ensemble€¦ · maintenant. chez nous sont utilisés des rameaux de buis, mais ailleurs ils sont...

De tous ces moments qui jalonnent la vie d’un prêtre au long d’une année, le baptême d’un enfant, d’un jeune ou d’un adulte, mais aussi l’inhumation d’une personne constituent des moments privilégiés pour accueillir et annoncer le cœur de la foi.D’un côté, dominent la joie de la naissance, le bonheur de voir la famille s’agrandir, la fête qui réunit petits et grands à l’église puis dans le cercle familial…De l’autre, c’est tout le contraire : La mort lorsqu’elle survient, qu’elle soit brutale ou bien attendue, provoque peine, souffrance et désarroi…Dans la foi qui est la mienne, celle qui me fait vivre au quotidien, le lien entre ces deux moments c’est bien évidemment Pâques : Au baptême comme pour l’inhumation, d’ailleurs, le cierge pascal se trouve en bonne place, pour signifier que la victoire du Christ est bien ce qui nous rassemble.

Au cœur du Printemps nouveau, alors que surgissent rameaux et bourgeons, renaît la nature et se poursuit le cycle de la vie. « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruits » dit Jésus (St Jean 12,24). Cette réalité biologique qui nous est si présente, voici que depuis ce matin de Pâques, les chrétiens croient qu’elle s’inscrit aussi dans la dimension spirituelle de notre existence humaine « Dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement » (1 Jean 3,2) affirme Saint Jean.Et si c’était vrai ?Si la vie humaine était bien plus que le temps de ces quelques années entre deux dates ? Si la mort était tout autre chose qu’une rupture, un enfouissement, et des regrets éternels ?Alors…la joie de la naissance d’un enfant, tout comme le départ de l’aïeul qui a achevé sa course, prendraient une toute autre dimension !Vous ne croyez pas ?Dans la joie et l’espérance de Pâques, très cordialement,

Père Yves de MALLMANNCuré de Saint Jean des Campagnes

Et si c’était vrai ?

ensembleLe magazine de la paroisse Saint Jean des Campagnes

N°9 - Mars 2019

C’est la période préparatoire à Pâques, qui dure quarante jours. Elle commence par un temps de pénitence et de conversion qui s’ouvre avec le Mercredi des Cendres et culmine dans la semaine sainte.

Dans l’Eglise primitive, c’était le temps ultime de préparation au baptême pour les catéchumènes, qui devaient le recevoir dans la nuit de Pâques. Dès le IVe siècle se manifeste la tendance à en faire un temps de pénitence et de renouvellement pour toute l’Eglise, avec la pratique du jeûne, de l’abstinence (c’est-à-dire l’abstention de certains aliments, en l’occurrence la viande). Restée assez stricte dans les Églises d’Orient, la pratique pénitentielle de Carême a été de plus en plus allégée en Occident, pour se réduire à des exigences minimales : invitation au jeûne le Mercredi des Cendres et le vendredi saint, et l’abstinence de viande les vendredis de Carême. L’Eglise Catholique conseille aussi de profiter du temps de Carême pour remettre en vigueur l’antique pratique de l’aumône, sous forme, par exemple de dons à des organismes d’aide au Tiers-Monde.L’Eglise entend toujours faire de ce temps une sorte de retraite spirituelle marquée par la prière, la mortification et le partage.

Elle propose comme modèle Jésus lui-même luttant pendant quarante jours dans le désert contre les forces du mal qui cherchaient à contrecarrer sa mission. Le chrétien est ainsi invité à secouer sa torpeur et à raviver sa foi.

Temps de pénitence, le Carême est également présenté par la liturgie comme temps de joie, car il est déjà éclairé par la lumière de Pâques. La Résurrection du Christ est déjà présente dans la pénitence du Carême, qui aide le chrétien à mourir pour revivre pleinement en Jésus ressuscité. Temps par conséquent non pas de tristesse mais de retour à Dieu, de conversion, d’ouverture à autrui.

Dans la tradition catholique, le chemin de Croix est un acte dévotionnel privé ou communautaire. Tout en commémorant la Passion du Christ en évoquant quatorze moments particuliers (peintures ou monuments).Pendant le carême, qui est un temps de pénitence et de prière, il faut méditer la Passion du Christ pour se préparer à fêter sa résurrection.

Faire le chemin de Croix est une cérémonie qui nous fait revivre les évènements de la passion de Jésus et nous fait réfléchir à la signification de ces évènements. On pense aux souffrances du Christ et on fait l’expérience de l’amour que révèle son attitude. Cette méditation éveille en nous un sentiment de compassion et de gratitude envers le Seigneur qui nous a aimé jusqu’au bout.

Cette cérémonie nous fait vivre avec amour notre croix. « Celui qui veut marcher derrière moi, qu’il se renonce lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive » nous a dit Jésus. Nous trouvons dans l’exemple du Christ l’attitude que nous sommes invités à vivre à notre tour. C’est ainsi que nous participons à la croix du Christ.Ce sont les papes Clément XII et Benoit XIV qui fixèrent la forme de cette dévotion.

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Qu’est-ce que le Carême ?

Le chemin de Croix

La fête des RameauxElle célèbre par une procession l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem qui venait y fêter la Pâque, et les foules l’ont acclamé aux cris de « hosanna » (en hébreux: « sauve-nous maintenant »), avec des branches d’arbres verts, des oliviers sûrement, possiblement des palmes à cause du symbole royal, saluant le Messie, annonçant la joie du Royaume à venir. Ces processions des Rameaux apparurent dès le IVème siècle. À Rome, dès le VIème siècle, en occident à partir du IXème siècle, le dimanche précédent Pâques était celui de la Passion, avec la procession des Rameaux. Après celle de Pie XII, la réforme de Paul VI (1970) a instauré le «Dimanche des Rameaux et de la Passion», que nous connaissons maintenant. Chez nous sont utilisés des rameaux de buis, mais ailleurs ils sont d’olivier, saule, houx, palmes…

Ils sont bénis lors de la célébration. La procession des Rameaux, par son caractère joyeux rencontre une vraie ferveur populaire. Ces rameaux sont le signe d’un nouvel élan sur le chemin de l’Évangile, le signe que la croix du Christ est comme un arbre de vie qui introduit à la vie éternelle.

Les traditionsLes fidèles mettent ces rameaux au crucifix de la maison et la coutume est d’aller ensuite se recueillir auprès des tombes des défunts, d’y déposer un rameau béni, de nettoyer, de fleurir…. Tout comme après la messe de la Toussaint (ou le 2 novembre). Pourtant ces deux fêtes n’ont pas de lien évident sauf le souvenir de nos défunts… Ce sont des traditions qui remontent à la plus haute antiquité. Lors des débuts et fins de la saison d’été, marquant le renouveau de la végétation puis le déclin vers la morte saison, les familles célébraient leurs morts, par piété, mais aussi pour éviter que des revenants ne les tourmentent.

Pour les anciens celtes dont la religiosité suivait les cycles de la nature, Samhain était la fête des morts, vers le 1er novembre. Pour les anciens romains la fête des Lemuria (le 13 mai) tentait de conjurer les spectres malfaisants. La révélation de Jésus Christ nous a introduit une toute autre espérance : celle de la résurrection, et de la vie éternelle en Dieu.

L’Église la célèbre tout au long de l’année, guidant spirituellement les fidèles sur un chemin qui mène à

la sainteté. Cependant le calendrier liturgique a varié au fil des siècles, afin de mieux intégrer la piété populaire.

La ToussaintLe dimanche après la Pentecôte honorait tous les saints et martyrs aux IVème et Vème siècles. Mais le 13 mai 610, le pape Boniface IV consacra le Panthéon en église. La fête de la Toussaint fut dès lors fêtée le 13 mai (jour des Lemuria). Vers 835, le pape Grégoire IV place la fête de la Toussaint le 1er novembre (jour de Samhain).

Cette célébration honore tous les saints canonisés, qui sont dans la Gloire de Dieu, mais aussi tous les bienheureux. L’Évangile lu est celui des Béatitudes qui invite à la sainteté tous ceux et celles qui choisissent de mettre leurs pas dans ceux du Christ. Le mot « heureux » ou « bienheureux » devient synonyme de « saint » parce qu’il exprime le fait que la personne qui est fidèle à Dieu et qui vit sa Parole atteint, dans le don de soi, le vrai bonheur (§64 de l’exhortation apostolique « La joie et l’allégresse » de notre Pape François).

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Les Rameaux...

Au cours de la Semaine Sainte, dans chaque diocèse du monde, a lieu la messe « chrismale ». L’adjectif vient du grec « chrisma » qui signifie « onction ».C’est au cours de cette messe que l’évêque va consacrer le Saint Chrême, dont seront marqués les nouveaux baptisés, les nouveaux confirmés et les futurs prêtres, durant la cérémonie d’ordination. De plus, l’évêque va également bénir l’huile des malades et l’huile des catéchumènes.

Avec la première, on donnera l’onction à ces personnes malades et âgées qui en font la demande, parfois à l’hôpital, mais, le plus souvent aujourd’hui, au cours d’une célébration du sacrement des malades au milieu de la communauté chrétienne rassemblée, qui les entoure et prie pour eux.

Les catéchumènes (c’est ainsi que l’on désigne les personnes adultes qui se préparent au baptême) seront eux aussi marqués de cette huile, signe de la force qui les accompagne sur leur chemin de préparation.

Au cours de cette messe qui manifeste l’unité de toute l’Église diocésaine autour de son évêque, les prêtres, les diacres, et l’évêque lui-même, renouvellent leurs promesses sacerdotales : vivre toujours plus unis au Seigneur Jésus, chercher à lui ressembler, renoncer à soi-même, être fidèles aux engagements attachés à la charge ministérielle, célébrer les sacrements, annoncer la Parole de Dieu avec désintéressement et charité.

D’année en année, la messe chrismale constitue un moment fort de la vie de l’Eglise diocésaine : Venus des différentes paroisses, les chrétiens aiment à se retrouver à la cathédrale pour entourer leurs prêtres, et partager un moment fort.

Dans notre diocèse du Havre, la Messe chrismale aura lieu à la cathédrale, le mardi Saint 16 avril 2019 à 19h.


Messe Chrismale

Jacques MADIOTAu cours de la Semaine Sainte, Voici 2 ans que j’ai répondu à l’appel de l’équipe funérailles pour servir au sein de la communauté paroissiale.Cet engagement, m’a permis de redécouvrir et d’approfondir ma Foi par les lectures des textes bibliques.

Les familles que je reçois pour préparer la célébration des funérailles me permettent en tant que chrétien d’affirmer ma Foi et mon espérance en la partageant, cela est aussi une source d’enrichissement pour chacun.

En allant vers les autres, ces moments sont un lieu d’évangélisation par l’annonce du mystère Pascal de la mort et de la résurrection, nous sommes tous frères en «Jésus-Christ» et chacun a besoin de réconfort de solidarité, de soutien dans ces moments difficiles à vivre.

C’est au cœur de notre foi, de notre témoignage en tant que chrétien que chacun peut vivre à sa manière l’amour du Christ.

Oui, cet engagement m’a permis de grandir avec les autres dans l’amour fraternel.

Bertrand MARIEVoilà bientôt 5 ans que j’ai été appelé et préparé pour accompagner les familles en deuil et assurer en équipe des célébrations de funérailles chrétiennes. Je mesure bien le chemin que j’ai déjà parcouru. Et depuis peu, j’assure la permanence téléphonique. Il faut être disponible pour des familles qui demandent une célébration religieuse, la prière de l’Église pour leurs défunts et pour elles-mêmes aussi, à qui il faut apporter soutien et réconfort. C’est une mission parfois très délicate qui nécessite écoute et discrétion. Nous ne les rencontrons pas seulement à titre personnel, mais au nom de l’Église. Cela m’a fait approfondir ma foi sur des thèmes que l’on a parfois tendance à évacuer parce qu’ils gênent. Pourquoi la maladie, les accidents, la souffrance et la mort ? Où en suis-je avec ma foi en la résurrection ? Par la très grande qualité des entretiens que j’ai eu avec les familles, j’ai pu voir à quel point soutien et assistance mutuels y sont répandus, cela réconforte. Le rituel est un bon guide, je parle au nom de l’Église, mais ces paroles sont les miennes, elles m’engagent aussi. Je témoigne de ma foi dans des circonstances où la douleur des gens me touche et m’émeut, mais j’essaie de les apaiser. Les funérailles sont un moment intense de prière et d’écoute de la Parole de Dieu. Je remercie toute l’équipe qui m’épaule si bien.

L’équipe funérailles : témoignages !


Nous sommes une famille avec 2 enfants étant en 4ème et 2ème année de catéchisme, nous allons régulièrement aux messes des familles qui se déroulent le samedi soir à Bretteville de Grand Caux une fois par mois.Nous avons découvert ces messes depuis l’inscription de nos enfants au catéchisme.

Les enfants participent activement à la célébration, que ce soit en chantant ou en participant à la cérémonie dune façon ou d’une autre (ex : bénédiction des cartables, la remise du nouveau Testament …). Un orchestre accompagne la chorale pour animer ce rassemblement.

Le prêtre se met à la portée des enfants en entamant un dialogue avec eux, en posant des questions. Des mains se lèvent, la réponse est bonne ou erronée : peu importe, les enfants sont heureux de participer entourés de leurs catéchistes et de leurs parents.

La préparation des jeunes à la 1ère communion est reprise lors de ces messes.

L’esprit de ces messes des familles, préparée avec les équipes de la catéchèse, est toujours très chaleureux. Cela unit les enfants et les parents.

Nous, parents qui nous étions éloignés de la religion par des expériences un peu négatives ou obligations professionnelles avons retrouvé le chemin de la Foi grâce à ces messes !


La Messe des Familles


CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL - CARNET PAROISSIAL

COTTARD LéaneLE ROLLAND LisePESTRIMAUX DanaelRETOUT ManonHERRIER JodieQUINIOU EthanMEUNIER MiaGOGUELIN MaëlMARTOT AedhanRAS IlanBARIL PierreMALLEJAC ChloéLEROY NinonLANDRIN LéonVARLET LoïcGROSDEMONGE EliotLANGLOIS Zoé

DENIS-MEPLES RaphaëlTROUVAY CharlyTROUVAY LéonieAUVRAY MaximeFOUCART RobinLAVENU ArthurMARC EmmaSAVOURAY ChloéVERNIZEAU AmaliaGIBEAUX AaronMARICAL KaelanGORNY AndréaMABIRE LeslieVANGEON AmaëlN0BILI LouiseSORTAMBOSC MaéDELPORT Lilie

DELPORT SarahLIMARE ThaïsCOUSIN BriceGAMBE LéaVIOT ApollineACHER EBRAN AnaéDUMONT MathysVONE AëllaGABRIAGUES BaptisteLEMAISTRE ClémenceLIOT JeanORANGE AmbreCHERFILS CASTILLO GONZALEZ MilaFLEURY AthanDILARD LAMIRAND Tom

VILLENEUVE Yohann et RODIER LaetitiaMARIN dit SURÔNE Joffrey et FEMEL MarieVARIN Guy et CARDON LauraPERRON Adrien et GAMBERT AmélieDUBOS Bastien et FLOCH GaëlleREBOURS Damien et DESSOLE EvyeANQUETIL Fabrice et LECOQ ChristelleRIARD Anthony et GALLIEN AurélieBOULARD Pierrick et COTTARD Eléonore

MOIZAN Anthony et LIMARE AudreyBONNEVILLE Damien et OURSEL AurélieGERVAIS Alexandre et LETHUILLIER JulieANDRIEU Nicolas et GELEBART SoizicLEVIEUX Stevie et DURECU LaureenGILBERT Abrial et HERNALESTEEN TiffanyLEBAIGUE Gaël et FLEURY PaulineHEBERT Karl et GRANCHER Liliane

BREANT Marguerite MarieVINCENT FrançoiseCANIEL BernardPASSICOT BernadetteBARRAY RogerLENORMAND RogerLEFRANCOIS EtienneLEDUEY ElyséeLAMOTTE LilianeLEDUEY DeniseLEBOUCHER YvetteHALLAY GabrielleLAMBERT FlorenceMARICAL StéphaneCATHERINE PauletteKERDAL JeanneGRAVE Anne-MarieRENAULT Bernard LECACHEUR PhilippeDEBRAY JeanBELLANGER Jacques

BREARD NicoleSOENEN MoniqueCHAMPION SimoneLACHEVRE ThérèseMARICAL JeanVINCENT YvetteDESCHAMPS MoniqueMOUTON JoëlGODEFROY JeanBASILE MichelPREVOST AndréeREVEILHAC PatriceBELLET JacquelineMIE PatrickCALAIS YvonneCRAQUELIN ThérèseFIQUET GenevièveCREVON LéoneCHALOT Marie-LouiseBERTELLE ChristianeHAUCHECORNE Pierre

COUSIN PhilippeVAUTIER Jean-PierreAME DanielCOQUIN RobertLETENDRE MichelCAUDEBEC MichelHOULBREQUE ChristianVASSE MorganeAUBER JeannineHAUGUEL DeniseHAUBERT EdithDELAUNE AdrienHAUGUEL DominiqueCOLOMBEL BernadetteGODIN EmilieMANDEVILLE MichelLAINNE MichelineRENAULT MadeleineDRIEU MauriceLEFEBVRE Marie-ThérèseLUCE Marie

DELRIVE SergeGAVARD MilaMAZE GérardVASSE DeniseBENOIST DanielSIMON jean-PierreBENOIST GérardDELASALLE OdileREAL MartheHANGARD DidierCOUROYER Anne-MarieFLEURY RenéDECULTOT JacquelineDEFRANCE DeniseAUBER PascalBLONDEL ClaudeACCARD Michel

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Paroisse Saint-Jean-des-Campagnes4 rue du vieux Château 76110 Goderville Tél. 02 35 27 75 94Email : [email protected] : https://saintjeandescampagnes.wordpress.com

Curé : Père Yves De Mallmann / [email protected] permanent : M. Jean-Loup Nancy / [email protected]

Accueil et secrétariatMardi 10h-12h et 14h-17h / Jeudi 10h-12h et 14h-15h45 / Samedi 10h-12h

BAPTÊMES : contacter l’accueil ou le secrétariatMARIAGES : M. et Mme Deneuve au 06 75 16 11 85 / [email protected] : appeler le 06 30 42 65 16CATECHISME :Primaire : Sophie Leber / 06 25 91 32 54 / [email protected]ège : Bernadette Fleury / 06 21 34 59 61 / [email protected]

Magazine réalisé par Cauxmunication | www.cauxmunication.comEmail : [email protected] | Tél. 06 22 34 15 10

Mardi 16 avril 19h - Messe chrismale à la Cathédrale du HavreJeudi 18 avril 19h - Jeudi Saint à GodervilleVendredi 19 avril19h - Vendredi Saint à GodervilleSamedi 20 avril21h - Veillée pascale à GodervilleDimanche 21 avril10h30 - Pâques à GodervilleSamedi 27 avril10h - Eveil à la Foi pour les 3/7 ans à GodervilleSamedi 4 mai18h30 - Messe des familles à BrettevilleSamedi 25 mai10h - Eveil à la Foi pour les 3/7 ans à GodervilleDimanche 26 mai10h30 - 1ère Communion à GodervilleJeudi 30 mai10h30 - Messe de l’Ascension à GodervilleDimanche 2 juin10h30 – 1ère Communion à GodervilleSamedi 8 juin17h - Profession de Foi à GodervilleSamedi 22 juin17h – Profession de Foi à Goderville

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La paroisse Saint Jean desCampagnes se trouve justederrière l’église.

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