enseignements du christ

8/11/2019 Enseignements du CHRIST

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Enseignements du CHRIST - Lecture vibrale

ANAL a communiqu les prcisions suivantes concernant l'tat d'espritauquel nous sommesconvis dans la mise en uvre de ces Enseignements, afin de nous permettre de bnficier defaon optimale de leur ensemencement vibral :

Ainsi que vous le save, la mise en rsonance des Enseignements du !"#$%& est une c'ose

essentielle($l ne s)agit en effet pas de les laisser dans un placard mais, bien au contraire, d)inviterlittralement c'aque *tre vivant + la surface de cette plante + s)en imprgner, si cela lui sied, et +rsonner au travers de ces Enseignements en communion et en fusion avec le !"#$%&, et endissolution dans la nature vritable de l)-tre(

!e qui compte avant tout, c)est la faon dont l)*tre qui s)appr*te + lire et faire vibrer de telsEnseignements se place en conscience afin de vivre leur lecture( $l s)agit effectivement d)uneforme de lecture, mais qu)il ne convient pas . surtout pas . d)appr'ender au travers de l)ancienprisme d)une lecture distancie, spare de ce qui est lu( &out ceci est bien s/r + rsonner et +vibrer : l+ est l)essentiel(

$l convient donc de ne pas surc'arger l)attention par rapport au contenu des mots prononcs etvibrs, mais effectivement d)inviter c'acun + se placer dans un espace o0 il se laisse littralementensemencer par le 1erbe, sans rien c'erc'er + comprendre ni saisir de ce qui est dit en apparence(

%ac'ant que ds lors, il e2iste de multiples faons, d)un point de vue pratique, de vivre ceslectures . + voi2 'aute ou + voi2 basse, seul ou en groupe, et 3e dirais de toutes les faons qu)ilplaira + c'acun d)adopter( 4

Enseignements du CHRIST 5source :666(accordanceaucoeur(com7

1. Enseignement sur la peur et la colre 5p( 872. Enseignement sur la peur ultime 5p( 97

3. Enseignement sur la ai2 5p( ;7

4. Enseignement sur la ?7

6. Enseignement sur l)Annonce et l)Annonciation 5p( >97

7. Enseignement sur la misre 5p( >@7

8. Enseignement sur la #surrection 5p( >7

9. Enseignement sur la sacralisation de la Batire par l)Esprit 5p( 8>7

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CHRIST 23 uin 2!"#

Enseignement sur la peur et la colre

Cien.aims, 3e suis !"#$%&(


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CHRIST 2$ uin 2!"#

Enseignement sur la peur ultime


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Alors, mes bien.aims, soDe l)Amour que vous -tes, et ne donne nulle prise + l)illusion d)autrec'ose que l)Amour( Embrasse tout, toutes les peurs( Ainsi se rvlera le courage c'e ceu2 quevous ctoDe, le courage d)*tre en l)Amour et nulle part ailleurs, et d)abandonner tout le reste(Ainsi, marc'e droits, car la droiture n)est autre que ce qui mne en droite ligne 'ors du labDrint'ede cette illusion(

$l n)D a pas l+ d)invitation + faire quoi que ce soit d)autre que ce que vous faites d3+( $l D a l+ un

rappel, le rappel de la force et la force du rappel de l)Amour, et du courage d)*tre entirementl)Amour(

%oDe sans craintes, non pas comme un volontarisme, mais comme une certitude( !ar le couragen)est au fond rien d)autre que cette certitude sertie des diamants de l)Amour, purifie de touteclatement autre que l)clat indivisible du cristal, qui se mire en l)Amour et qui n)offre que ce miroirparfait + ceu2 qui s)en approc'e(

1oil+, mes amis, mes #ois d)Amour, mes frres et surs, ce que 3e voulais dire et rsonner enl)Amour, dans cette rsonance du courage d)*tre entier I non pas en tiers, mais en tri.Pnit(

Et ainsi, d)*tre entirement dans l)Amour, enterrant toute peur en les &erres de l)Amour, par lecourage d)*tre entier . entirement vrai, et totalement offert + se laisser sculpter en un diamantd)Amour, diamant d)Hternit(

Alors, 3e veu2 vous dire : offre ce miroir parfait de l)Amour qui se mire en lui.m*me, au.del+ descirconstances de votre monde( Ne regarde que l)Amour, ne voDe que l)Amour, car tout est Amour(

Et quand la plus grande peur surgit du trfonds de ce qui ne semble pas *tre l)Amour, accueillel)enfantement, le cri de l)Amour qui renaFt + lui.m*me( !ar c)est parce qu)il se voit mais ne sereconnaFt pas encore, qu)il a peur(

Et le courage n)est autre que cette rage de retrouver l)Amour oubli, qui nous reste au travers ducou et de la gorge( !e courage est tel un cri, un appel d)Amour qui ne demande qu)+ percer ettranspercer tous les voiles, tous les regrets, tous les oublis, toutes les peines(

!e courage a la force d)un cri, d)essence !'ristique( !)est le courage de se voir et s)acceptertotalement, dans la bance du miroir tendu de l)Amour(

1ous *tes ce miroir et vous *tes cet Amour, les deu2 + la fois(

1ous *tes la peur du vide et le vertige abDssal marquant ce manque d)Amour, et vous *tes lecourage qui s)invite lui.m*me + s)offrir, + gorge dploDe, au rire librateur qui fait voler en clatsla superc'erie, brisant le miroir au m*me moment qu)il l)offre . runissant ainsi les deu2 faces decette seule et m*me c'ose que constitue la peur d)avoir perdu l)Amour, surgissant au moment o0l)Amour enfin se retrouve(

$l n)D a rien de plus + voir que cela, cette force d)Amour, ct pile et ct face( La regarder ainsi,c)est la nourrir dans son entiret(

L)ultime moment, vcu comme tel, n)est autre que le premier cri d)Amour( $l est de toute Ceaut,

sur l)envers du dcor( $l est &ransfiguration de la personne et #etrouvailles en l)Amour(

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CHRIST 2% uin 2!"#

Enseignement sur la ai2


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Elle est ce qui permet et ce qui invite + retrouver l)Amour au milieu du c'amp de bataille, au milieudes mensonges, au milieu des apitoiements, au milieu de la vindicte : elle n)en a cure, car elleinvite + sortir de tous les 3eu2 striles pour revenir en les &erres fcondes de l)Amour(

La ai2 est ce qui n)a pas de frontires et qui n)offre prise + nulle guerre, nulle 'istoire dedmarcation, car sa seule marque est d)inviter + la ai2 et non de dfendre quoi que ce soit

d)autre(La ai2 ne milite pas non plus, elle est rsence( Elle propose + ceu2 qui veulent bien la voir, +ceu2 qui s)en approc'ent et se laissent approc'er par elle, s)abandonnant dans ses bras, cessanttous les combats, elle propose ce qu)elle est, dans une rsonance qui permet de se laisser enva'irpar ce qu)elle est(

La ai2 n)est pas de votre monde, car la pai2, ainsi nomme sur votre monde, est tou3oursp'mre et n)est pas une ai2 vritable et durable I sauf celle des saints qui ont su appuDer leurpai2 en leurs rofondeurs, D puisant la ai2 vritable, au.del+ de ce monde, gagnant alors lacapacit d)*tre un porte.tendard de cette ai2(

La ai2 est l)appel + revenir + soi, + s)veiller des 3eu2 de ce monde, + ne plus vouloir des eau2troubles de ce monde I non pas en les re3etant, mais simplement en les disqualifiant par laconscience de ce qui est pur et propice + la ai2, et de ce qui ne l)est pas(

La ai2, enfin, est un cadeau, un cadeau merveilleu2( !ar la ai2 que vous offre, vous vousl)offre + vous.m*me( Et la ai2 que vous receve est un Gon de vous.m*me + vous.m*me, bienau.del+ des apparences(

Alors, soDe en ai2, et soDe la ai2(


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CHRIST - 3! uin 2!"#

Enseignement sur la


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La


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CHRIST 2 uillet 2!"#

Enseignement sur le %oleil


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Le %oleil est comme une lance qui vient pourfendre la carapace enserrant notre cur afin delibrer notre !ur( Lorsqu)il s)lance en nous.m*mes, le %oleil ne libre au fond que son !ur(

Ainsi en est.il du %oleil, il danse en nous et au.dessus de nous( $l nous appelle et nous rappelle +notre Nature igne( $l vient nous rc'auffer et transpercer nos curs afin qu)close le vritable!ur(

Le %oleil est miroir de ce !ur de l)*tre qu)il laisse transparaFtre dans toute son Ardeur( $l n)a riend)un dcor, il prend corps en nous.m*mes et son reflet n)claire que le vide au de'ors(

Le %oleil nous appelle + la lnitude intrieure de ses raDons rieurs( Et parfois il nous mord, cartelle est son Ardeur, en notre -tre intrieur, que parfois il dvore par le Meu du !ur, et consumeet dissout ce qui est en travers des raDons qui s)lancent en droite ligne en nos curs(

Le %oleil est ce !ur qui s)appelle lui.m*me, et il consume tout ce qui n)est pas lui.m*me( !ar le%oleil luit de l)Amour de lui.m*me, et il nous appelle en Lui, en ce !ur de nous.m*mes(

Le %oleil n)est pas autre c'ose que le c'as de l)aiguille o0 se retourne toute c'ose, vers l+ o0l)Amour brille, en son Meu retourn et en l)apot'ose de la


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Le %oleil est cet Astre sacr qui merveille cette part d)'umanit, qui, tou3ours, a su le conserveren son !ur afin d)D retourner, en l)Essence qui est la 1rit . et l)Ardeur est sa nature igne(

Le %oleil est votre 1rit, celle du !ur, si longtemps oublie(

Le %oleil vient donc vous rappeler que le !iel est de l)autre ct( $l enflamme ce qui doit

transparaFtre pour laisser le passage + vos -tres . qu)en l)Hternit, ils puissent se faufiler par laorte du !ur ensoleill(


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CHRIST # uillet 2!"#

Enseignement sur l)Annonce et l)Annonciation


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et le Librer(

L)Annonce est ce qui vient marteler le t'Otre de ces coups rpts pour lui signifier, par des Actes,que les actes 3ous dans ce t'Otre sont termins, que le t'Otre dpli va *tre repli, et que lesplis qui en sont trop marqus risquent d)*tre dc'irs s)ils ne se laissent pas, simplement etdocilement, replier(

L)Annonce vient mettre sous couvert ce qu)elle a dcouvert, afin de l)emp*c'er de nuire et deg*ner le bon droulement de ce qui fait suite + cette Annonce(

L)Annonce est l)ouverture d)un Cal qui n)est pas costum, et qui se rit des costumes du t'Otre(

L)Annonce est une mise + nu de ce qui vient entraver la Lgret de l)-tre, pour l)en dpouiller etle br/ler(

L)Annonce est une mise en ordre, dans l)ordre naturel des c'oses, afin de permettre + ce qui avaitt couc', sous le poids de l)infamie, de se relever et de pitiner 3oDeusement les restes de laprison de verre pulvrise, esquissant ainsi le premier pas de Ganse(

L)Annonce est ce qui vient rvler au grand 3our ce qui tait cac', dissimul de faon plus oumoins 'abile, de faon plus ou moins tordue, afin que ne demeure que la !lart et la 1erticalit(

L)Annonce ne s)embarrasse d)aucune forme de prcaution, car l)Annonce se produit lorsque toutesles prcautions ont d3+ t prises afin que ne demeure intact, suite au martlement de l)Annonce,que ce qui doit rester intact(

L)Annonce est comme un coup de clairon retentissant dans la campagne, il semble surgir de nullepart, sauf pour ceu2 qui attendaient cette Annonce(

L)Annonce n)est pas autre c'ose que l)Annonce d)un 'eureu2 vnement, celle d)une #enaissancequi passe par la dc'irure de tous les voiles et de toutes les prisons du t'Otre( !ar le t'Otre n)estplus . il n)a 3amais t, mais pour ceu2 qui sont pris dans son 3eu, m*me illusoire, il faut bienl)enlever(

Ainsi, ce qui n)tait que poudre au2 Deu2 retourne en poussire(Ainsi, ce qui n)tait que tissu de mensonges est dc'ir, br/l, rduit en cendres(

!ar ce qui n)a pas de place devant la 1rit retourne naturellement + son ine2istence(

!ar l)illusion d)un 3eu qui a t tolr ne peut pas subsister, ds lors que le rideau se lve, non passur le premier acte, mais sur la fin de tous les actes(

&ous les actes sont 3ugs, comme vous le dit l)Annonce, non pas comme un 3ugement, maiscomme une pese de ce que votre !ur a bien voulu en consommer(

!eu2 dont le !ur se soulve dans une forme de spasme d)avoir ingurgit tant et tant demensonges, sont invits par l)Annonce + faire le 3e/ne de l)illusion(!eu2 dont le !ur se soulve de


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travers de la faon dont vous receve cette Annonce( !e qui spare l)un de l)autre ne peut *tre quel)illusion de cette sparation, ne de l)identification + ce 3eu du t'Otre . qui vient se terminer,rvlant ainsi la mascarade(

$l n)D a dans l)Annonce qu)une ultime prvenance, pour ceu2 qui veulent bien l)entendre, +s)carter et se tenir loign de ce qui n)est pas 1rit, de ce qui n)est qu)un 3eu qui n)a que tropdur(

Ainsi donc, mes bien.aims, ne voDe en l)Annonce aucune punition, 3uste une #vlation, maiscette #vlation sublime contraste d)trange faon avec l)tat du monde qu)elle illumine(

!ette #vlation n)est autre que la #vlation de l)Amour, dans un monde o0 l)Amour a tou3ourst prsent, mais o0 l)obscurcissement des voiles et du 3eu qui a t 3ou a cr une sorte defoss, + peine franc'issable, avec cet Amour(

L)Annonce ne vient pas combler ce foss, elle vient vous montrer + quel point vous l)ave creus,en vous.m*me( La profondeur de ce foss, telle que vous la vive, n)est que le reflet de ce quevous ave mis de distance, en vous.m*me, avec la 1rit(

L)Annonce n)est pas non plus ce qui vous affranc'it de toute obligation + poursuivre et + mener cequi doit encore l)*tre, sur ce terrain de 3eu finissant( !ar le %ervice + la Lumire, qui vient claireret dissoudre ce qui doit l)*tre, doit *tre accompagn par une Ganse qui vienne rvler les motifscac's sous.tendant l)illusion et qui forment une trame subtile, qui vient soutenir l)illusionfinissante et amortir sa dissolution(

Ainsi, la transition ncessite une Ganse, qui se droule + partir d)une bobine invisible, mais dontles pieds foule encore cette illusion(

L)Ascension de la &erre cre cette obligation qui n)est autre, dans le sens du %ervice, qu)une


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CHRIST $ uillet 2!"#

Enseignement sur la misre


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m*me, et + c'aque pas que nous faisons dans l)autre direction, augmente le sentiment de pertede ce que nous tions( L)enfance se souvient que tout est d3+ l+ mais l)Oge adulte l)oublie tropsouvent, et ne se consacre qu)+ c'afauder des stratgies et des palliatifs dans l)ob3ectif depouvoir vivre un 3our ce qui est d3+ l+, ds lors qu)on s)D ouvre(

La misre n)est pas une sanction d)une quelconque faute( Elle vient souligner ce qui doit *trecompris, l)erreur qui doit *tre vue et qui n)est qu)une erreur de regard, une erreur de distance mise

avec nous.m*me, comme un loignement qui nous emporte dans l)errance, sur des c'eminsbiarres que rien ne nous oblige + suivre mais que nous pourrions suivre pendant des tempsincalculables, pendant des ons, si le cours de l)'istoire ne se c'argeait pas de nous dire que nousavanons + reculons(

La misre n)est pas le contraire de la


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cette occasion donne de capituler, en laissant mourir en soi ce qui nous loigne de la vraie 1ie, enlaissant ce qui tourne + l)envers se remettre + l)endroit(


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CHRIST "" uillet 2!"#

Enseignement sur la #surrection


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Bais il n)D a rien d)autre qui vaille la peine, en vous, d)*tre ressuscit, car tout le reste alorsnaturellement s)ensuivra . c'acun + son rDt'me, le rDt'me de ses pas, dans cette marc'eintrieure qui est redcouverte de ce qui marc'e d3+(

La #surrection n)est miracle que pour celui qui croit que cela n)e2iste pas( !ette croDance est unegrille place devant la porte du c'Oteau o0 rside l)Esprit( Elle vous en barre l)accs plus s/rement

qu)une immense arme(La #surrection est l)Abandon ultime de ces 3eu2 de miroir o0 la personne se contemple, dansl)illusion de ce qu)elle croit *tre et de ce qu)elle pense impossible, ou qui, de son point de vue, nela concerne pas(

La #surrection, c)est remettre son esprit + ce qu)il Est d3+, afin qu)il puisse revivre la 1rit qu)iln)D a nulle personne 4, qu)il n)D a personne( !ette 1rit.l+ est une mort sDmbolique, qui est +accepter par ce qui n)est personne( Elle n)a pas + *tre dsire, car cette 1rit est l+ de touteHternit : elle est + embrasser, il suffit de s)D fondre(

Alors, arr*te de courir( S0 coure.vous comme cela J

!roDe.vous que la mort ne vous attende pas J Su voDe.vous d3+ que cette croDance.l+ provientde ce que vous n)*tes pas J

$l n)D a pas + ressusciter puisque vous l)-tes d3+, ds qu)il n)D a plus personne( L+ est l)"umilit,celle de voir qu)en fait ce qui disparaFt est poussire, poussire d)Hternit, et que seule peuttomber tout au fond de la tombe l)illusion d)*tre n(

La sortie du tombeau n)est pas une renaissance( !e sont des #etrouvailles avec ce que vous -tesde toute Hternit et qui n)est 3amais n, et ne mourra 3amais(

$l n)D a dans ces mots qu)une tendre rsonance, car mon !ur vous appelle(


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CHRIST "$ uillet 2!"#

Enseignement sur la sacralisation de la Batire par l)Esprit


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$l n)D a rien + saisir avec une canne + p*c'e, si la canne qui p*c'e s)appuie sur autre c'ose que sapropre droiture( !ar cette canne doit devenir tel le bOton du plerin qui marc'e, et qui ne s)appuieen fait que sur l)a2e de sa marc'e(

$l est souple et rigide, les deu2 + la fois, ce bOton qui emp*c'e 3usqu)au moindre fau2 pas, cardans sa tenue se trouve le fil tnu qui remonte 3usqu)+ moi(

$l n)D a dans ces lignes qu)une 'umble p*c'e + la ligne, qui vous montre qu)un tel poisson ne sep*c'e qu)+ l)endroit o0 il n)D a nul appOt( !ar le dsir emp*c'e que l)'ameon se retourne pour semettre + l)endroit o0 le fil se voit, et o0 la filiation, devenue vidence, d)elle.m*me tire le moulineto0 danse le poisson(

$l n)D a de p*c'e miraculeuse que pour celui qui croit qu)il faut qu)un 'ameon soit mis avec sesdoigts, tout au bout de ce fil que le poisson ne voit( L)'ameon est d3+ l+, et il attend son 'eure(Le fil ne se voit pas pour ne pas g*ner ce nageur(

Et que la canne soit droite ne dpend que de l)ardeur avec laquelle le poisson aspire + remonter lefil de son 'istoire, qu)il a lui.m*me laiss se dbobiner pour pouvoir oublier qu)il ne peut filer qu)endroite ligne de ce fil(

La Batire est sacre, car elle est d3+ tisse de ces fils enlacs sans s)en apercevoir, et elle tissedes patrons qui ne sont dirigs que par la Ceaut de ce qu)on ne peut voir( !ette Batire estbrode de multiples faons, car elle vient s)agencer sans rien pour l)emp*c'er de raliser ce qu)ellesou'aite raliser(

Elle tisse sans aiguille ni bOton, et rien ne peut venir dvier le bras de son mtier(

Elle se moque du p*c'eur, car il n)D a rien + p*c'er qui ne soit d3+ inclus dans ses trames dores(

La Batire est souveraine, car c)est elle l)toffe o0 viennent s)imprimer les motifs de nos vies( Elleest d3+ %acre( Et l)'ameon dgag ouvre l)Ome + l)Esprit, qui retrouve le fil d)Ariane qui vient luirvler la trame inouTe dont son 'istoire est tisse(

La Batire est sacre, et l)Esprit retrouv retrouve en la Batire ce + quoi il s)est consacr,s)apercevant alors que ce qui s)est droul est comme un fil d)or qui participait + broder les tramesd)une intrigue, les motifs d)un trsor qui se miroite sans fin dans un brocart de fils d)or(

Le sens du %acr ne peut *tre rvl qu)+ celui qui consacre le fil entier de son 'istoire + participer

au brocart sans rien en brocarder( ar ce fil alors, il peut *tre 'iss, ici.m*me, o0 rsident lesmaFtres + tisser( !ar dans cette navette, entre le n et le non.n, ne se cre que ce qui peut venirre'ausser la Ceaut du trsor(

La Batire est sacre et l)Esprit s)D consacre, voil+ la 1rit pour qui sait l)entendre(


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