editorial - kodonso.net€¦ · le journal scolaire est un puissant outil de communication qui...

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Dans ce numéro :

C’est Cla

ss !

Lycée Kodonso

La remisé de Diplômes 2

Musique 8

Prof du mois 9

Qu’est-il devenu ? 10

Sport 11

Jeux 12

Les Stars du Mois 13 -14

Test 15

La gérante de la cantine 18

Cuisine -Poèmes-Blagues 19

* L’Interview avec M. Directeur SANOH, Le Codirecteur du Lycée Kodonso.

Page 3 et 4

*Le Mali a 50 ans Et Conférence avec les Etonnants Voyageurs Page 5 et 6

* Mr Doucouré Abdou de Kalanso dévoile sa personnalité Page 7 * L’écrivain « Seydou Badian Kouyaté » 6 et 17

Elèves: 250 F cfa

Autres: 500 F cfa

EDITORIAL Guindo Safiétou MTEA , Tolo Aminata MTEA

Vivement la rentrée scolaire 2010-2011 ! L’équipe de Kod’News renoue avec son traditionnel enthousiasme qui est de vous informer et de vous donner la possibilité de vous exprimer. Le journal scolaire est un puissant outil de communication qui permet aux élèves et aux professeurs, à l’administration, bref, à tout le monde d’échanger, de conseiller et de réactualiser la transmission des connaissances avec les NTIC dans une tranchante transparence. L’année 2009-2010 a été couronnée de succès grâce aux résultats obtenus au bac-calauréat dans les différentes séries. Juste une façon de vous rappeler que le succès est au bout de l’effort .Les professeurs ,artisans de ce travail laborieux en complicité avec l’administration ont monnayé l’incertitude de certains candidats mal préparées en succès .Est ce une façon de confirmer la devise de l’école. <<Il n’y a pas de mauvais élève ,mais une mauvaise pédagogie>>. Certes , les apprenants sont les meilleurs juges. Mais, les résultats en diront plus. Nous souhaitons également la bienvenue aux nouveaux élèves dans l’établissement. Le sabot des nouveaux coursiers doit entamer le galop frénétique pour maintenir les clameurs d’antan. Dans le premier numéro de cette année ,vous remarquerez une nouvelle rubrique consacrée à l’édition de texte poétiques qui nous rappelle <<les génies enherbes>>. Et enfin des interviews dont particulièrement celles du Co-directeur, monsieur Dianka Sanoh, et de l’écrivain Seydou Badian Kouyaté. Nous souhaitons une très bonne rentrée scolaire à toutes et à tous, et beaucoup de courage à nos candidats aux examens du Baccalauréat 2011. Pour terminer, Kod’News rappelle aux élèves que le PELF leur permettra D’améliorer leur français dans de meilleures conditions avec le Slogan <<le plaisir d’apprendre>>. Venez maintenant suivre les activités tous les samedis de 9h à midi.

Bulletin d’information du lycée Kodonso

La photo des Membres

de Kod’News 2010-2011

Les jo

urn

alistes

Année 10 , n°25 Octobre - Novembre Décembre 2010

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Année 10, n° 25

Coulibaly Fatoumata SBTA

1°) Présentation Je me nomme Coulibaly Fatoumata. J’ai 15 ans.je fais la série SBTA 2°)Que signifient le DELF et le DALF ? Le DELF,c’est le diplôme d’étude en langue française et le DALF le diplôme approfondi en langue française. Ce sont des compétences évaluées pour chaque niveau correspondant à celle décrite dans le cadre européen commun de références pour les langues. DELF A1 et A2 : utilisateur élémentaire. DELF: B1 et B2 utilisateur indépendant.

DALF: C1 et C2 utilisateur expérimenté. 3°)Quelles sont les importances du DELF et du DALF selon toi ? Selon moi, le DELF a une grande importance . Il y a deux étapes:

une production écrite et une production orale. Il me permet d’évaluer mes compétences en français et également de savoir comment se passent les. examens à l’extérieur.

Le diplôme facilite l’obtention d’un visa Français et permet de s’inscrire dans une université même sans un diplôme de haut niveau. 4°)Combien d’admis y avait il au lycée ? Au niveau du lycée 18 personnes ont été admises au B1 et 2 personnes au B2 y compris moi-même. 5°)Comment était l’atmosphère dans la salle le jour de la remise des diplômes ? L’atmosphère était bien. Tout le monde était joyeux et fier de son travail.des photos par ci et par là. 6°)Comment était le directeur du lycée ? Il était très content et fier de ses élèves. Il s’était même enorgueilli de nos résultats obtenus , et nous

a beaucoup félicité sans oublier les autres membres de l’adminis-tration. 7°)Quels conseils donnes-tu à tes camarades. J’invite tous mes camarades à participer au DELF car il est très déterminant dans l’acquisition des connaissances . 8°)Vos remerciements. Je remercie tous mes hôtes qui n’ont ménagé aucun effort pour leurs disponibilités. Bon courage à tous les bacheliers !!!!

LA REMISE DE DIPLÔME

Condoléances Suite au décès tragique de notre camarade Moussa

Diallo élève de la 1TEB , l’équipe Kod’News présente à

la famille du .disparu ses condoléances les plus attristées

et prie pour le repos de son âme.

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Année 10, n° 25

Kod’News :Bonjour Mr Sanoh pourriez-vous nous faire savoir comment Kodonso a été créé ? D. Sanoh :Je vous l’ai déjà raconté plusieurs fois. Kodonso a été créé pour donner la possibilité à nos élèves de Kalanso de continuer leurs études dans une structure secondaire conforme à l’école fondamentale qu’ils venaient de fréquenter. Kalanso a été créé en 1994 et en 1998 les 1eres promotions de Kalanso arrivaient en 8ème. Nous avons donc créé Kodonso pour les recevoir un an après lorsqu’ils arriveraient en 10ème. Kodonso a donc été créé pour donner une issue aux élèves de Kalanso, un lycée qui soit une suite cohérente à la scolarité de l’école fondamentale qu’ils avaient déjà suivie. Les parents ne voulaient pas que leurs enfants retournent à l’école publique après avoir déjà fait Kalanso. Kod’News : Dite nous quelles sont les différentes étapes. D. Sanoh :Quand nous avons commencé, on a voulu réserver Kodonso uniquement aux élèves de Kalanso. Mais nous avons été amenés à accepter les élèves d’autres écoles pour étoffer les effectifs pour l’émulation pédagogique. Les élèves de Kalanso constituaient grosso modo une ou deux classe; de 10ème sur l’ensemble du lycée. On a recruté des élèves. venant d’autres lycées des communes I , II et III, les communes les plus proches. A cette époque, l’école publique avait beaucoup de difficultés de fonctionnement avec les grèves aussi bien des élèves, que des. professeurs. Les parents étaient inquiets sur l’avenir de leurs enfants nous les ont confié. Mais nous avons été amenés à accepter les élèves d’autres écoles pour étoffer les effectifs , pour créer une émulation pédagogique afin que les nouveaux puissent s’adapter à l’idéologie qu’on a de l’école. Aux élèves de Kalanso et ceux déjà des communes mitoyennes, c’était le tour des élèves de la sous région et de l’Afrique et même d’un autre continent. Kod’News :Que signifie le nom Kodonso ? D. Sanoh :Kodonso veut dire la maison où on acquiert le savoir. Kalanso en bambara veut dire. école, là où on apprend. Kodonso, c’est la suite. Kalan c’est la connaissance. Kodon c’est le savoir en malinké. Kod’News :Comment faites-vous pour que Kodonso soit l’un des meilleurs établisse-ments du Mali ? D. Sanoh :C’est très simple, il faut aimer les élèves et aimer les professeurs.

Nous mettons en avant la réussite de nos élèves et nous comptons sur nos professeurs. Vous avez du remarquer, que chaque fois qu’il y a 34 ou35 élèves dans une classe, on divise automatiquement en deux l’effectif pour que les conditions d’étude soient toujours bonnes. Deuxièmement, on a aussi institué une discipline qui permet aux élèves de travailler tranquillement. Nous avons un très grand souci de protéger les filles du lycée par une discipline de tous. Les élèves, les garçons en particulier. Nous avons mis en place une structure qui permet de bonnes conditions d’étude. Nous sommes aussi attentifs à la vie des professeurs ainsi qu’à leurs familles. Nous faisons très attention à leur niveau de vie. Les dépenses prioritaires commencent d’abord par les salaires des professeurs. Nous ne reculons devant aucune dépense qui permet de travailler dans de bonnes conditions. Pour les élèves, il ya les fournitures scolaires, les tenues, l’entretien de l’école. Pour les professeurs, il y a les équipements pédagogiques. Kod’News : Etes-vous aujourd’hui fier de nous les élèves ? Et pourquoi ? D. Sanoh :Je suis très fier de mes élèves parce qu’ils sont premiers partout. On pensait que les enfants maliens ne travaillaient pas, ou bien qu’ils étaient paresseux. Les enfants de Kodonso et de Kalanso ont prouvé que les maliens restent les maliens, c’est-à-dire de très bons travailleurs, à condition que les conditions soient réunies : conditions matérielles, conditions psychologiques, des professeurs qui viennent à l’heure, des tables et des bancs, de la craie, des chiffons pour nettoyer le tableau. Ils sont extraordinaires. Nous sommes très fiers de nos élèves qui ont eu le BAC et qui ont eu des bourses d’excellence. Ils vont à l’extérieur et réussissent leurs études supérieures. Les gens pensaient que nos enfants qui venaient de familles plus ou moins aisées, il faut le reconnaitre, étaient des enfants gâtés qui n’allaient pas réussir. Mais on voit maintenant qu’on peut naître dans une. famille aisée et être quand même un bon élève à pourvu que les conditions soient réunies. Je vois des élèves et je suis très fier de leur réussite parce que malgré tout ce qu’on dit, cela fait dix ans qu’ils sont premiers. Ils sont là dans toutes les entreprises du monde aujourd’hui : dans les assurances, dans les bureaux d’études, dans les entreprises. individuelles, commerciales. Certains ont créé des entreprises pour donner des emplois à leurs camarades. Je suis très fier d’eux.

INTERVIEW INTERVIEW INTERVIEW INTERVIEW AVEC M. DIANKA SANOH , LE CODIRECTEUR DU LYCÉE KODONSO

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Année 10, n° 25

Kod’News : Le Mali a aujourd’hui 50 ans. Selon vous a-t-il gagné ou perdu dans sa lutte pour le développement ?

D. Sanoh : Bon ! il faut dire que c’est très difficile pour vous de comprendre ce qui a été fait en 50 ans. La grande partie du travail qui a été faite n’est pas malheureusement matérielle :c’est la décolonisation des esprits et ceci est un travail très long que de décoloniser les esprits. De dire que nous pouvons faire des choses pour notre pays sans recevoir les ordres de quelqu’un, n’est pas encore accepté par beaucoup de gens. Nous avons beaucoup de problèmes jusqu’à présent parce que les gens pensent que les écoles françaises ou anglaises, même installées en Afrique, sont meilleures que les écoles que nous avons créées. Ceci parce qu’ils ne sont pas décolonisés ; ils pensent toujours que les produits fabriquent ailleurs sont toujours meilleurs que les nôtres . C’est parce qu’on n’est pas décolonisé. Malheureusement on peut remarquer que les élèves maliens ,cherchent à s’inscrire à l’étranger alors que des étudiants quittent leur pays pour venir s’inscrire ici au Mali. La décolonisation est loin d’être finie. Elle nous prendra encore beaucoup d’énergies qui pourraient être mobilisées pour d’autres tâches. Notre école a été créée dans le temps par les colons pour former des supplétifs de l’administration coloniale, c'est-à-dire, former des gens qui allaient aider les colons à nous encadrer. Aujourd’hui, notre école devrait former des travailleurs pour le développement économique; mais jusqu’à présent nos élèves déjà formés et qui sont des cadres vivement avec ce clichet. Alors qu’ils ont la possibilité de créer des emplois. Kod’News : Mr Le Directeur pourquoi avoir changé les tenues de cette année et pourquoi avoir interdi t le port de celles des années précédentes ?

D. Sanoh : Oui! on a changé les tenues parce que dans un 1er temps on a voulu travailler avec les artisans pour qu’ils puissent faire vos tenues à Bamako. Les tailleurs qui devaient confectionner vos tenues nous avaient promis l’exclusivité. Cependant, ils ont fait la même tenue pour tous les lycées de la commune. Il était devenu difficile de reconnaître nos élèves de Kodonso car tous les élèves avaient la même tenue. Le second problème est que comme la tenue ne changeait pas, les gens récupéraient les anciennes tenues pour faire croire qu’ils sont élèves. Ici et commettaient des vols de mobylettes.C’est pour cela qu’on a apporté du changement. Troisièmement, la population change, Comme vous par exemple, Bouaré .Cela fait trois ans que vous portez la même tenue. C’est bien de changer. Pour les tenues de cette année, nous avons eu un commerçant qui a tout préfinancé. Ce qui n’est pas possible avec les artisans d’ici. Ceux-ci demandent toujours l’argent avant de commencer la confection des tenues. Or à la fin de l’année le lycée n’a pas toujours de l’argent pour cela.

Kod’News : Quelle relation entretenez-vous avec les élèves ?

D. Sanoh : Très chers élèves, je vous vois dans la cours, je viens vous voir, je tiens à ce que vous réussissiez. Mon objectif est que vous vous sentiez bien dans la cours de l’école. Je ne veux pas que les élèves disent qu’ils ne veulent pas venir à l’école. Je veux que vous ayez envie de venir à l’école. Je veux rendre l’école attrayante. La confection de plusieurs activités sont conçues pour cet objectif : la salle d’informatique avec internet, les conférences , les sorties pédagogiques, etc. Le lycée est bien protégé vis-à-vis de l’extérieur. Cela est important, notamment pour les 50% de filles que comporte l’effectif.

Kod’News : Quels conseils donnez-vous aux élèves, surtout aux candidats au BAC ?

D. Sanoh :Je leur conseille de travailler. La réussite au bac quand on est élève à Kodonso, tient à une chose essentielle :c’est de venir tous les jours à l’école. Lorsqu’on suit régulièrement les cours au lycée, on a quasiment pas besoin d’apprendre à la maison parce que nous avons ici une dynamique instituée par les professeurs et la direction des études, qui fait que l’élève est maintenue en permanence en éveil. On éveille la motivation pour les études. Nous faisons tout pour que le travail essentiel soit fait dans l’école, encadré par les professeurs. Nous contrôlons régulièrement les acquisitions par les devoirs en classe et aussi par l’institution d’un devoir obligatoire surveillé de tous les mercredis après-midi. Cela nous permet de savoir constamment où vous en êtes pour pouvoir corriger les erreurs. Il y a aussi une bonne entente dans l’équipe pédagogique. Chaque classe a un professeur principal qui se renseigne en permanence sur le vécu scolaire. De cette façon, nous pouvons intervenir très rapidement sur le climat de la classe avant qu’il ne se dégrade. Je veux que vous continuiez à travailler correctement, que vous soyez conscients que vous êtes les élèves de Kodonso , que vous avez une lourde responsabilité vis-à-vis de ceux qui vous suivent et vis-à-vis de vos aînés qui ont créé la légende de Kodonso. Depuis la première promotion qui a passé le bac en 1999jusqu’à aujourd’hui, pas une seule promotion de la bourse d’excellence n’a été constituée sans au moins un ou deux élèves de Kodonso. Nous avons toujours eu des mentions BIEN et TRES BIEN dans toutes les séries : sciences exactes, sciences biologiques, sciences humaines et en mathématiques, technique économie. Je souhaite que vous continuiez à tenir haut le flambeau. Chaque année nous essayons de trouver quelque chose qui peut vous inciter à travailler. Cette année nous avons amené les rubans souvenirs pour ceux qui ont eu des mentions au. baccalauréat 2010 !

Kod’News : Merci Mr le directeur.

D. Sanoh : Merci à vous !

Bent Kattra Fatouma SHTA, Bouaré Yacouba SHTA

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Année 10, n° 25

1°)Pouvez-vous vous. présenter aux lecteurs? Je suis Mamadou Lamine Diarra , enseignant à la retraite et ancien secrétaire général du syndicat national de l’éducation et de la culture. Actuelle-ment je suis le président de la fédération nationale des associations des

parents d’élèves et étudiants du mali. 2°)Expliquez nous comment le soudan donc le Mali d’aujourd’hui a-t-il accédé à son indépendance? C’est à l’image des autres pays de l’Afrique que le Mali a été colonisé par les français ,selon certains pendant 70 ans et pour d’autres 80 ans . Nous qui étions jeunes en ce temps là , avons vu ce qu’était la colonisation. Et pourquoi la colonisation?. Les français, les anglais , les allemands sont venus chez nous pour leurs intérêts. En tout cas, je prends le cas de France, s’en est servi pour faire un empire français. Il y avait dans cette domination le soudan français qui faisait le coton du soudan français ;où il y avait beau-coup de cultures vivrière, beaucoup, de cultures industrielles pour les industries françaises donc pour accélérer à cela les français ont tracé des routes pour. permettre de circuler etc. Exploiter la terre , il y avait aussi également de l’or au Mali mais il a été exploité, mais pas à l’avantage du Soudan Français; donc cette colonisation n’a fait que servir le soudan français et les français en ont profité pour amener chez vous ,une autre culture qui n’était pas la notre personnelle , j’opposais que mes ancêtres étaient des gaulois en histoire .Je connaissais plus l’histoire de la France que l’histoire de l’Afrique. En 1960 avec l’avènement des partis politiques le Mali a pris son indépendance après avoir subi la colonisation. 3°)Parlez-nous de la naissance de la fédération du Mali et comment cette fédération du Mali a-t-elle éclatée ? L’idée de la fédération du Mali est venue du Soudan. Français en 1959. Elle était composé du Benin , de la Haute Volta actuel Burkina Faso , le Soudan Français , la Côte d’Ivoire. Mais tous ces états se sont retirés pour laisser la fédération entre les mains du Mali et du Sénégal. Elle était présidée par Senghor. Malheureusement elle ne dure qu’une année. L’idée d’exploitation cet d’exploitation des matières. premiers. A cela s’ajoute l’aspect culturel. Cette culture a fait que je connaissais plus l’histoire de la France que celle de l’Afrique. Voilà une façon de nous aliéner ; jusqu’au jour où le mali devenait indépendant en 1960. . 4°) En 1960 dites-nous quels étaient les rôles joués par les partis politiques de l’époque? Je cite le PSP et avec à sa tête Filidabo Sissoko. Le RDA était dirigé par Mamadou Konaté. Mais Modibo Keïta prit la relève après son décès. Le RDA avait un programme similaire au syndicat du Soudan Français. Ces partis ont. œu-vré dans l’ombre pour susciter la notion d’indépendance. Mais des quiproquos existaient entre les leaders du RDA qui

étaient favorables à l’indépendance et ceux du PSP étaient réticents dans le but que le pays n’était pas encore prêt pour assurer son autonomie. Mais le RDA a eu le. dessus et c’est ainsi que nous sommes allés à l’indépendance en 1960. 5°) Parlez-nous de l’école soudanaise avant 1960. l’école soudanaise était une école de régime français qui formait des cadres subalternes pour la cause de la France. Pendant les 70 ans de colonisation, quelques soudanaises allaient à l’école. On formait également des instituteurs en petit nombre , des interprètes et des auxiliaires qui. travaillaient avec des chefs de canton. Il faut signaler que les enfants des chefs ne voulaient pas de l’école. A leur. places , on envoyait les enfants des esclaves.L’exploitation du socialisme n’a pas été clair dans l’esprit. 6°) parlez-nous de l’option socialiste et de la constitution du 22 septembre 1960. L’option socialiste a été imposée par le RDA . Les militants du RDA ont voulant renforcer l’esprit communautaire au Mali ; ont développé le sens du communautarisme. Ces responsables étaient des syndicalistes. Ce qui a favorisé l’intrusion de l’esprit socialiste ;une époque favorable au développement de l’Afrique. Pour conserver cet acquis; le RDA avait une milice qui imposait cette conduite. La population n’a pas compris la différence entre consommer les produits d’ici et ceux de l’extérieur car les décideurs de l’époque , qui ont imposé cela avaient eux-mêmes des penchants pour les produits de l’étranger. L’exemple et. t y p i q u e é t a i t c e l u i d e l a S O N A T A M . 7°) Parlez-nous de la mise en place des institutions de la d é m o c r a t i e e t d u p l u r a l i s m e . La démocratie a été mise en place après la chute de. Moussa Traoré. Sa mise en place a suscite la création de beaucoup de partis politiques, beaucoup d’associations. politiques . Au cour des circonstances comme dans l’intérêt de la masse actuellement, je ne sais pas combien de partis politiques nous avons. Il y a tellement d’associations qui se créent pour la démocratie, si bien qu'on est noyé personnelle-ment. Voilà ce que je pense de la démocratie. Cette démocra-tie a aligné la culture malienne ,démocratie veut dire se respecter et respecter les autres. Pour moi c’est la. signification de la chose ; les biens de l’état citoyens. La démocratie à un « temps vieilli » les gens ont tellement. compris. La démocratie qu'on ne sait plus où se donner la tête elle s’est tournée en « voyoucratie » dans la rue. Nous avons laisse nos actifs. Vous ne trouvez pas ici au Mali une ethnie qui n’a pas ses vertus, le respect du bien d’autrui, le respect de la famille , le respect du quartier et le respect du pays actuellement. Avec cette démocratie que nous avons,

on ne pense qu'à soi-même. ça c’est ma définition d e l a d é m o c r a t i e actuelle au Mali. Il est vrai qu'on a crée beaucoup de partis beaucoup de syndicats. Il faut une union entre les partis pour a s s o i r l e d é v e l o p p e m e n t d u M a l i . 8°) Il y a eu en 1991 une conférence nationale. En quoi –a- t - e l l e s e r v i r ? Mais ce que l’on a arrêté a réussi à calmer d’abord les esprits. Ce qui est positif pour moi.

Le Mali à 50 ans

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Année 10, n° 25

Ensuite, elle a posé les jalons d’une élections libre et transparente. Enfin qu’au délà des prises de positions , elle a réconcilié l’arme et le peuple. 9°) Que pensez-vous maintenant de l’école malienne? L’école Malienne va à la dérive à condition qu'on se ressaisisse .Cette école , héritée du Soudan Français , était une des meilleures écoles de l’Afrique.Jusqu'en 1982, j’ai vu des. élèves qui quittaient nos grandes écoles pour. continuer mieux leurs études soit en France, ou dans les pays socialistes qui étaient les meilleurs parce que les enseignants qui étaient. chargés de l’école aimaient leur pays. Ils. faisaient leur travail convenablement, ils étaient payés selon les moyens de l’Etat. L’école malienne est partie à la dérive à partir du moment où la banque mondiale a parlé de pacte. Les meilleurs enseignants sont partis à la retraite anticipée depuis, l’école est restée orpheline. Ce délabrement a vu l’émergence d’une nouvelle race d’enseignants et d’élèves qui a substitué l’effort personnel et honnête en monnaie. A cela s’ajoute aussi la prolifération des écoles privées dont certaines ne cultivent pas l’excellence. Ainsi un fils de pauvre n’aura pas les mêmes chances de réussite scolaire qu’un fils de riche. 10°)Le Mali de 1960 à 2010 a t-il gagne ou perdu dans son développement ? Par rapport au développement ; je peux dire qu’on a eu beaucoup d’infrastructures. Le désenclavement a commencé.

Les ressources minières vont faire le bonheur du Mali. Tout dépend des gouvernants.

11°) Quelles conseils donnerez vous à la jeunesse actuelle ? Le conseil que je donne à la jeunesse actuelle est de se mettre au travail. Certains ont dit que la jeunesse est l’avenir de demain. Mais il faut préparer la jeunesse, être consciente de son futur rôle , cela ne peut se faire qu’à l’école et avec des enseignants consciencieux .Un gouvernement qui tient compte des devoirs et des droits de l’enfant. Il faut les mettre dans les bonnes conditions de travail , dans les facultés , dans les grandes écoles, pour que demain ils peuvent faire la relève. Mais le disfonctionnement de l’éducation actuelle ne permettre pas cela. Une école qui n’enseigne pas la morale n ’ e s t p a s u n e é c o l e. 1 2 ° ) V o t r e m o t d e l a f i n je vous encourage à ce que vous êtes entrain de faire. On dit qu’en écoutant les jeunes ,chaque vieillard à quelque chose entrain à vous, dire , chaque vieille femme à quelque chose à vous dire , à vous direz sur la société d’entente pour le Mali, d’entente c'est-à-dire le Soudan français. Vous-avez que vous avez un pays dont la première constitution est le. Kurunkanfuga. En interrogeant les anciens , on apprend toujours. Je vous souhaite beaucoup de courage. Merci.

Nassour Mariam LLTA


CONFERENCE AVEC LES ETONNANTS VOYAGEURS

Vendredi, 26 Novembre 2010, les élèves littéraires ont participé à une conférence au sein même du lycée avec deux auteurs à savoir Mr Page Martin et Mr Nouhouaï Jérôme béninois, dans le cadre du festival du livre, « les étonnants voyageurs » . La rencontre a débuté aux environs de 14H30 dans la salle de conférence. Elle était présidée par nos deux auteurs. Les conférenciers étaient assistés Mr Keita Aziz et Mr Dao Kader , tous les deux professeurs de français au lycée. Mr Sissoko, Directeur des études, a pris la parole pour souhaiter la bienvenue

à nos chers écrivains, et par la même occasion , exhorté les élèves à s’intéresser aux livres , qui selon lui sont la clé de la connaissance . Ensuite la rencontre a commencé par la présentation des auteurs et de leurs œuvres à savoir : le Piment des Plus Beaux Jours de Mr Jérôme et La Disparition de paris et Sa Renaissance En Afrique de Mr Page. Après l’intervention des auteurs , c’était au tour des questions posées par les élèves aux écrivains. Les auteurs , surpris quelques fois par la qualité des questions , ont tout fait pour donner des réponses satisfaisantes et ont expliqué le pourquoi du choix de cette carrière. Pour eux cela était parmi leurs multiples rêves depuis leur adolescence. Ils ont donné des conseils pour ceux qui seront amenés à faire un jour le même travail comme eux. Enfin elle s’est terminée par une dédicace . Ce fut un expérience merveilleuse tant bien pour les littéraires que pour tous ceux qui étaient présents car ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de rencontrer l’auteur d’un roman déjà lu.

Annoncé ! Kod’News a le plaisir de vous informer du mariage de Mlle Mansata Sampana , attachée du direction du lycée Kodonso , avec Mr Issaka Diaby , agent de commence. La cérémonie civile aura lieu le 26 décembre 2010. Kod’News espère sur une mobilisation du lycée pour cet événement heureux qui n’arrive pas chaque fois et souhaite beaucoup de bonheur au nouveau couple.

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Résultats du bac 2010 du Lycée Kodonso

CANDIDATS ADMIS MENTIONS TAUX DE REUSSITE

Très-Bien Bien Assez-Bien

SET 25 24 2 2 7 96.00

MTE 55 51 0 3 6 92.73

LLT 40 34 0 0 8 85.00

SHT 48 38 0 1 6 79.17

SBT 35 20 0 2 2 57.14

Total 203 167 2 8 29 82.27

SERIES

Année 10, n° 25

Mentions Très Bien: Sow Barakissa et Kané Souleymane de la SET

INTERVIEWINTERVIEWINTERVIEWINTERVIEW

1°)Pouvez-vous vous présenter ? Je me nomme Abdou DOUCOURE, je réside à Magnambougou en commune 6, je suis Informaticien à l’Espace Education kalanso. . depuis 2001. 2°) En quoi consiste votre métier ? Mon travail consiste à assurer le bon fonctionnement du matériel.. Informatique au sein de l’école, assurer l’apprentissage de l’outil . Informatique aux élèves, le traitement des notes des élèves avec un. logiciel que j’ai développé, l’évolution et la mise à jour du site... Internet que j’ai élaborées.

3°)Avez-vous toujours voulu exercer ce métier ? Toujours; non! au cours de mes études j’ai fait de la Géologie à l’Informatique et depuis j’apprécie ce métier car il est innovant et on apprend tous les jours. 4°)Quelles études avez-vous faites ? Je suis technicien supérieur en Analyse programmation. 5°) Comment trouvez vous l’enseignement de nos jours ? D e nos jours, l’enseignement est en baisse pour beaucoup de raison mais j’espère qu’avec les changements qui sont entrain d’être effectués ,le niveau sera rehaussé. 6°) Quel conseil pourriez - vous donner pour aider un élève qui voudrait s’améliorer ? Pour s’améliorer , un élève a besoin de beaucoup de courage et de travailler avec tout le sérieux qu’il faut. 7°)Quelles sont les difficultés que l’on trouve le plus souvent dans votre métier ? Dans ce travail ,les difficultés sont des atoûts car une difficulté surmontée devient une expérience acquise. 8°) Qui souhaiteriez vous remercier ? Je remercie le Bon Dieu, mes parents, M. et Mme SANOH pour ce travail qui m’apporte beaucoup. 9°)Votre mot de la fin ? Pour terminer ,je dirais que seul le travail paie dans la vie.

Diallo Hawa Mariam LLA

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Année 10, n° 25 MUSIQUEMUSIQUEMUSIQUEMUSIQUE

1°) Bonjour ,qui est penzy? Bonjour, mon vrai nom c’est Taïrou Enguiné. 2°) Comment êtes-vous arrivé à la musique ? Je peux dire que je suis toujours dans la musique depuis mon enfance. j’ai décidé d’être artiste chanteur . en 2007. 3°) Parlez-nous de votre parcours ? Je crois un peu qu’en fin en 2007 et non en 2006 que j’ai décidé d’être chanteur.J’ai sorti mon premier album en 2007 il. s’appelle « maman » je viens de faire mon deuxième album qui s’appelle « yafa » qui est sorti à peine 3 mois, il est déjà sur le marché. 4°) Avant d’embrasser la carrière musicale que faisiez-

vous ? J’étais à l’école comme tous les autres. Mais en 2005 j’ai travaillé dans l’entreprise ERICA .J’ai fait deux (2) ans là-bas, juste après j’ai commencé la musique voilà un peu. 5°)Quel message véhiculez-vous dans vos chansons ? Bon ,dans mes chansons je véhicule plein de messages.. concernant les jeunes ,les familles .Je parle un peu de tout. Pour. revenir un peu en arrière, je suis soninké (maraka) et vous le savez on est des. Commerçants. et Voilà mon grand père est un grand commerçant. Avant de quitter l’école, pendant les vacances, je partais au marché avec lui. Je peux dire que j’ai fait un peu le. commerce en plus de l’école. Juste après je suis devenu un artiste chanteur, voilà . 6°)Quelles ont été vos impressions sur le cinquantenaire ? Le cinquantenaire a été une très bonne chose. J’ai bien apprécié tous les efforts et actes posés par le président de la république. Nous avons une fierté aujourd’hui d’avoir un président qui se soucié de la

vie de son peuple . Les infrastructures , les logements sociaux , Bref ! 7°)Que pensez-vous du lycée Kodonso et surtout du Kod’News ? Ce qui m’a impressionné pour la première, c’est le niveau d’instruction des élèves. Kod’News devient pour nous un moyen d’établir des contacts. 8°)Quel conseil avez-vous à donner à la jeunesse malienne ? Mon conseil va dans le sens du travail et de la responsabilité . Nous sommes l’avenir de ce pays et il est temps de changer la mauvaise impression qu’on a des maliens. 9°)Quel est votre mot de la fin ? Je remercie tous les professeurs du lycée, tous les élèves de

Kod’News. Je remercie tout le monde de. m’avoir accordé ces minutes d’entretien et je vous remercie beaucoup. Je souhaite bon courage aux.. élèves . Merci beaucoup tout le plaisir est pour nous.

LE RAPPEUR MALIEN « PENZY »

Singaré Aminata 1TEB , Diénta Aminata Namina LLTA , Diénta Djénaba SHTB , Bouaré Yacouba SHTA

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Année 10, n° 25 PORTRAIT D’UN PROF

Touré Habibata 11SEA , Bent Kattara Fatouma SHTA , Traoré Issoumaïla 1TEB

1°) Bonjour Mr Konaté , pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs? Vous avez Mr Konaté Tiémoko, professeur d’histoire et géographie au lycée Kodonso. 2°)Vous êtes marié? Oui marié père de 7 enfants 3°)Comment êtes-vous arrivé au lycée Kodonso? Je suis arrivé au lycée Kodonso par le biais d’une demande d’emploi. J’exerçais en Côte D’Ivoire le métier.d’enseignant dans un

lycée D’Abidjan. Je suis venu en congé et j’ai. demandé à enseigner au Kodonso c’est ainsi que m’a demande fut acceptée. 4°)Quels sont vos relations avec les autres profess eurs? Très amicales. 5)Depuis quand enseignez-vous au lycée? Depuis octobre 2002. 6°) Pouvez-vous nous faire un bref résumé de votre p arcours? Depuis mon arrivée jusqu’à maintenant, j’ai constaté l’engagement sans faille de tout le monde pour que nos efforts soient couronnés de succès. 7°)Quels sont vos rapports avec les élèves? Avec les élèves, c’est aussi des relations vraiment très amicales et je m’entends avec tout le monde. 8°)Que pensez-vous du journal Kod'News? Si Kod'News n’existait pas , il fallait l’inventer et cela montre vraiment combien ce journal est important. 9)Pensez-vous que le système éducatif du lycée est b on? Le système est excellent, plus que bon. 10°)Quels sont vos loisirs? Parmi mes loisirs , la lecture occupe la première position. Ensuite le sport et parfois des films documentaires. 11°) En tant qu’un vieux professeur du lycée, avez- vous un message pour les jeunes ? Un message pour les jeunes en tant qu’ancien va dans le sens du courage, parce que c’est un métier très difficile. Un message d’endurance et un message de patience. Je demande à tout le. monde d’avoir la patience et d’aimer surtout les élèves. 12°) Votre mot de la fin. Le mot de la fin, c’est vraiment un grand merci d’abord à vous les membres de Kod'News. Un grand merci à la Direction de l’établissement ,une direction qui fait vraiment. beaucoup pour le corps professoral et un grand merci pour nous aussi pour nos collègues parce qu’ il y a une collaboration et quelque soit la situation.On ne sent pas la moindre défaillance. Merci Mr Konaté .

ouu

Année 10, n° 25 QU’EST-IL DEVENU?

Diénta Aminata Namina LLTB

1°)Présente-toi aux lecteurs Je m’appelle Sékou Zéïdane Traoré. Mes amis m’ont surnommé « Zizou », sans même que je sois bon. footballeur. Je suis un ancien du lycée Kodonso. 2°)Tu es de quelle promotion (session bac) et quelle série as-tu faite au lycée Kodonso ? Je suis de la promotion 2004, série MTE. Je faisais partie de l’effectif de la MTEC. Nous étions au nombre de 18 dont seulement 4 filles si ma mémoire est bonne. Je me rappelle encore de tous les visages que j’ai vus pendant les 9 mois de cours, enfin pour ceux qui étaient toujours présents.

3°)Pourquoi as-tu choisi le Maroc pour les études s upérieures ? En classe de terminale, certes le souci principal est de réussir aux épreuves du baccalauréat. Mais tout élève normal pense naturellement à l’après-lycée. Après ,arrive le moment ou le choix et le rêve des bonnes universités se posent. A vrai dire, je ne pensais pas très sou-vent à un point particulier de chute après le lycée. Je me contentais d’aller en classe afin d’être prêt pour n’importe quelle université qui m’ouvrirait ses portes. Ensuite, à la sortie des résultats du. baccalauréat, mes notes me permettaient de postuler pour des. bourses. d’études à l’étranger. J’ai saisi l’occasion et j’ai été retenu pour une école de commerce au Maroc. 4°)Que fais-tu actuellement ? Quelques mois avant la fin de mes études, j’ai saisi une autre occasion, cette fois-ci, du groupe bancaire et financier marocain, Attijariwafa Bank, maison mère de la BIM sa, Alors à la recherche de compétences originaires d’Afrique Subsaharienne dans le cadre de sa politique d’expansion vers cette même zone. A l’issu d’un certain nombre d’entretiens d’évaluation et de tests, j’ai intégré le siège de la banque à Casablanca pour une période de 12 mois au terme de laquelle période, j’ai été affecté à la BIM sa en qualité de risk manager, fonction que j’occupe actuellement dans cette même banque. 5°)Est-ce que tu as des conseils à donner aux futur s étudiants qui partiront à l’étranger ? Naturellement, en tant qu’aîné, mon rôle doit être de bien guider mes cadets afin qu’ils puissent éviter certains pièges de la vie à l’étranger. que seule l’expérience permet de voir à l’avance. Des études ont démontré que les jeunes, entre 16 et 20 ans sont généralement attirés par toute expérience pourvu qu’elle soit nouvelle, et que plus ils en ignorent le dénouement plus ils y portent de l’intérêt, et moins ils oublient par conséquent les choses les plus sûres, les plus. importantes. C’est d’ailleurs dans cette fourchette d’âge que. la plupart quitte les parents pour les études à l’étranger.C’est aussi de la sorte que beaucoup d’entre nous épousent de nouveaux modes de vie, de nouveaux looks, en parfaite inadéquation avec les valeurs, les mœurs que nous ont enseignées nos braves parents. Nous oublions ainsi le but recherché du voyage : étudier pour apprendre, obtenir un document preuve de notre aptitude, revenir un jour au pays, avec des connaissances à transmettre, des valeurs à partager, plutôt que . d’être une charge pour les parents, être un contributeur au développe-ment du Mali en chantier. Ainsi je dirai à mes cadets que les « années fac » font partie des plus belles années de notre vie. Nos mémoires, pour toujours seront garnies de souvenirs agréables et souvent entachées de regrets. Il faut beau-coup s’amuser, s’ouvrir au monde sans adhérer à toutes les. tendances, tout en gardant à l’esprit que c’est pendant cette période que 50% de notre vie se réalisent. Car c’est à partir de ce moment que nous attérrissons sur le marché du travail assez hostile et hyper sélectif,c’est là que la plupart d’entre nous fonderont ou projetteront de fonder une famille, de monter une affaire, bref c’est de là que se dessine. N'oubliez jamais le pays des parents. Notez bien s’il le faut sur votre miroir ou comme écran d’accueil de votre téléphone, afin que vous vous le rappeliez constamment la mission qui vous est assi-gnée :est d’étudier. 6°)Quel a été ton meilleur souvenir du lycée ? Mon meilleur souvenir au lycée a été cette fois où j’ai eu 10 sur 20 en note de conduite. Ma joie a été tellement grande que j’ai failli l’exprimer par un grand « wééééééé ». Cela peut sembler bizarre, je le sais. Mais

à l’époque je n’étais pas membre du club des plus disciplinés, chose que je regrette fortement. Par la même occasion, je formule mes excuses à l’endroit de l’ensemble du staff du lycée Kodonso qui m’a encadré entre 2002 et 2004. Je pense notamment à Mr Bakayoko, Mr Bagaga et Mr Diallo de la surveillance. 7°)Qu’est ce que tu penses du nouveau local du lycé e ? J’ai beaucoup aimé le nouveau bâtiment du lycée à tel point que c’est avec une grande fierté que j’indique à chaque occasion à mes amis que ‘’voici mon lycée’’, même si je n’y suis plus. Je passe devant le bâtiment en allant au travail chaque matin et au retour chaque soir. Malheureusement, je n’ai pas encore eu l’occasion de me rendre sur les lieux, mais je suis impatient d’y mettre les pieds. Cela ne saurait tarder. L’immeuble est très moderne et très classe à l’image même du lycée. 8°)De ton temps, quels étaient les professeurs qui étaient cools ? Maintenant que vous me posez la question, j’ai beau cherché dans ma mémoire, je ne retrouve aucun professeur qui n’ait été cool à certains moments et ferme à d’autres. Par contre pour citer les professeurs qui m’ont beaucoup marqué, je commencerai par M. Diarra Drissa qui a été mon professeur de géographie, un excellent professeur qui avait de la passion pour ce qu’il faisait. J’ai beaucoup appris de lui. Il me vient aussi à l’esprit, le nom de notre professeur d’Economie, Mlle Mariam Traoré,. Je ne sais pas si la situation a changé depuis, mais je l’espère sincèrement. Elle m’a inculqué les bases des sciences. économiques avec beaucoup de rigueur. Il y a aussi mon professeur de mathématiques, M. Maiga. Un homme très net, de très bonne foi. Je n’oublie pas non plus M. Diarra Seyba qui a renforcé en terminale l’anglais que m’a enseigné en première M. Dembélé Tioméké, un autre excellent professeur. A l’époque, il y avait un autre professeur de géographie qui ne m’avait jamais enseigné, mais que je respectais énormément de par l’image quel véhiculait la qualité de ses cours ainsi que la rigueur avec laquelle il s’assumait dans son rôle de berger, il s’appelle Sina. De tous les professeurs, celui qui nous faisait le plus rire était M. Singaré, professeur de français. En réalité, tous les. enseignants étaient cools. 9°)Quels conseils peux-tu donner aux terminalistes ? Aux élèves de terminales, quelle que soit la série, l’objectif étant de bien réussir le départ du lycée avec son Baccalauréat ‘’en poche’’, je dirais que la clé du succès n’est plus cachée en raison de tous les outils, moyens matériels, psychologiques, mis à votre disposition par et les parents et l’ensemble du staff du Lycée Kodonso. En raison de toute la documentation physique et numérique qui vous est aujourd’hui facilement accessible et fournie, encore une fois et par les parents et par le lycée. La terminale n’est pas comme les autres classes où ne cherche qu’à passer en classe supérieure. De la terminale, l’on obtient son ‘’passeport ‘’ pour les grandes écoles, les grandes universités, et de là, son ‘’passeport’’ pour une vie active plus sûre. Il ne faut donc en aucun cas, se laisser entrainer dans les petites distractions dont l’effet positif s’estompe aussitôt la fête finie. Les conséquences négatives nous suivent à jamais. Faites de cette année une année d’endurance, car Dieu aime l’endurance et les plus endurants. Il les guide toujours. Dites-vous ‘’c’est ma dernière année avant l’université, je me donnerai entièrement pour avoir mon baccalauréat’’, et faites-le, vous n’aurez pas à aller chercher votre nom sur la liste le jour des délibérations. 10°)Ton mot de fin En fin je dis merci à votre revue d’information « Kodonso News » pour m’avoir accordé ce privilège de m’exprimer en si bon lieu et de m’avoir permis ce moment de remémoration de ces merveilleuses années passées au sein de cette prestigieuse structure. Je remercie le Lycée Kodonso pour avoir rempli cette place prépondérante dans la formation de l’élite – je suis convaincu. dirigeante le Mali de demain. Je lui souhaite bon vent et puisse la class-attitude continuer. Je souhaite bonne chance à tous les élèves des classes de terminale et à ceux à venir, dans les différentes épreuves auxquelles ils seront confrontés durant toute l’année jusqu’aux épreuves du baccalauréat. PS : Il m’a toujours été difficile de m’exprimer, j’espère très sincèrement n’avoir offensé personne dans l’expression de mes sentiments et idées, je tiens formellement à m’excuser, le cas échéant auprès de toute personne ayant été sensible à toute partie d’expression ou toute expression figurant dans cet entretien.

ouu

Année 10, n° 25 SPORTSPORTSPORTSPORT

1°)Pouvez vous vous présenter aux lecteurs de Kod’News ? Je m’appelle monsieur Cheick Oumar Coulibaly ancien joueur du Stade Malien de Bamako entre 1981-1982

2°)Comment êtes vous devenu footballeur ? Je suis devenu footballeur par amour comme beaucoup d’autre pratiquant de ce sport. On aimait imiter les grandes stars du temps des Domingo Allias Salif Keita.

3°)Qui a été votre entraîneur et quel poste occupez-vous à l’époque ? Mon premier entraîneur à l’époque était feu Mamadou Keita dit Capi, ex- entraîneur des Aigles du Mali. Le premier poste occupé fut le milieu offensif communément appelle demi 8.

4°)Avez-vous participé la finale de Yaoundé 72 contre Congo ? Non, je n’ai pas participé à Yaoundé 72.

5°)Quand avez-vous arrêté de jouer au football ? J’ai arrêté de jouer en 1995.

6°)Que pensez vous du football malien d’autrefois et dans les jours à venir ?

Autrefois , le football malien était basé sur l’engagement, la connaissance, et surtout l’esprit de sacrifice . On aimait et savait ce que veut dire porter un maillot national. Le joueur avait le sens du patriotisme. Il était discipliné et respectait son adversaire et avait le sens du fair-play. .

Dans l’avenir ,le football progressera surtout avec la création de plusieurs centres permettant la formation des jeunes à bas âge. Certains aujourd’hui , jouent comme professionnel dans le championnat européen. Les jeunes deviennent de plus en plus ambitieux. Et surtout l’argent en fait

partie.

7°)Que faites- vous actuellement comme profession ? Actuellement j’enseigne à Medina-Coura.

8°)Quels conseils donnerez-vous aux jeunes ? Je dis aux jeunes d’aujourd’hui , avant de faire toute chose il faut l’aimer. Etre sérieux, discipliné ,ambitieux et honnête sinon ils ne réussiront jamais dans la vie actuelle.

Diawara Bobo , Doucouré Mahamadou 1TEB

On dit que la vie du lycée est plutôt agréable et l’atmosphère est assez vivable. Les tenues: Les tenues de cette année sont très jolies surtout les jupes et les pantalons. Il y a beaucoup plus de cohérence et les couleurs des t-shirts ainsi que les chemises sont très jolies aussi. Les profs: Ils sont très bien , ils expliquent bien les leçons et les zones d’ombre. Mais souvent ils sont trop sévères. La nourriture: La nourriture est très peu pour ce qu’on paye. Il faut augmenter la quantité ;par exemple les plats sont trop petits pour la qualité . Amélioration : - Il y a beaucoup d’amélioration au niveau du laboratoire . Le lycée a fourni le matériel adéquat pour nous permettre de réaliser des expériences. Mais nous remarquons qu’il y a trop de coupure. Les élèves souhaiteraient que la salle informatique soit climatisée, condition idoine dans l’acquisition des connaissances .

Bouaré Yacouba SHTA

LA VIE DU LYCEE LA VIE DU LYCEE LA VIE DU LYCEE LA VIE DU LYCEE

ouu

Année 10, n° 25 JEUXJEUXJEUXJEUX

Diallo Hawa Mariam 11LA

Devinettes et Charades

5 1 3 7

8 9

3 7 9 6 1 2

7 5 8 1 9 6

9 3

1 2 4

8 6 4 2 3 1

3 7 6 5 4

2 8

AIRE ARC AXE BALLE BALLON BILLARD BOULETTE BOULIER CERCLE CIRCONFERENCE

CIBLE CLEF CLOU CYCLE DIAMETRE FRAPPE IGLOO ŒIL OVE PANIER PIECE POINT POIL RAYON REBONDIR ROND ROUE ROULEAU ROULER SOLEIL TROU ZERO

R D R A L L I B R E R E

E R E N I D N O R V O C

I G L O O R U U R O U N

L E B Y P L E L E E E E

U L I A E E C E I P E R

O L C R U O R T N P T E

B A L L O N R T A A U F

C B C E R C L E P R A N

R R E B O N D I R F E O

A X E R T E M A I D L C

R F E L C Y C L O U U R

L I E L O S O E I L O I

P O I N T O Z E R O R C

Règles du Jeu:Il s’agit de parvenir à remplir les cases vides avec les chiffres allant de 1 à 9 sans aucune répétition d’un même chiffre sur une ligne horizontale ou verticale et selon un regroupement de 9 cases!

Sudokôl Mots Cachés

4 7 9

1 8 9 5

3 2

6 1

2 3 4

7 2 8 9

6 8 2 3

7 4 6

5 1 4 6

3 5 1

3 8 6 2

9 1 4 7

4 7 5 3

4

8 6

1 6 3 9

2 3 4 1

7 6 2 3

1.Quelles sont les 2 lettres grecques à l’origine du mot alphabet ? 2.Quel est le nom des mammifères carnivores à griffes rétractiles ? 3.Quelle est la monnaie de l’Inde ? 4.Quelle région, berceau des civilisations, se situait entre le Tigre et l’Euphrate ? 5.Quelle petite fille juive à écrit de 1942 à 1944 un journal devenu célèbre. C1:Alpha et Beta. C2:Les félins. C3:La roupie. C4:La Mésopotamie. C5:Anne Frank.

ouu

Année 10, n° 25 Les Stars du mois

1°)Présente-toi aux lecteurs ? Salut ! Je me nomme zeinab kounta, Jai 17 ans et je suis élève au lycée Kodonso. 2°)Peux-tu nous faire part de la méthode que tu emploies pour aboutir à ce haut niveau ? pour aboutir à ce niveau, je prends du courage à revoir exos et leçons vus en classe. C’est ce qui me facilite la .tâche. Je parle pas trop en classe, mais quand j’ai des difficultés je m’en vais consulter le prof à la fin des cours. Je dirai que mes parents aussi sont à la base de ces bons résultats. Le fait de ne pas avoir ma maman à mes côtés me pousse bizarrement à travailler afin de pouvoir m’occuper de mes sœurs plus tard. Et aussi , avec un. papa .écrivain et aussi scientifique, donc un papa qui pose trop de questions et cherche à faire comprendre ce que l’on ne comprend pas, je ne peux que travailler. 3°)Pourquoi as- tu choisi la série MTE.que veux-tu faire plus tard et pourquoi ? Oh! en fait, avant mon entrée au lycée, j’hésitais entre les sciences et l’économie. Mais j’ai fini par opter pour l’économie . Après le bac je compte bien faire des études de finance. 4°)Que conseilles-tu aux jeunes de la 10éme et 11éme ? Je conseille aux élèves de la 10éme et 11éme, de donner le meilleur d’eux-mêmes afin de maîtriser un certain nombre de choses avant leur entrée en terminale . Un bon début aboutit à une bonne fin. 5°)Parle-nous un peu de ce que tu aimes et de ce que tu n’aimes pas. D’abord , j’adore les livres. Ils sont mes compagnons de tous les jours , surtout la littérature africaine . je surfe beaucoup aussi . Je n’aime pas les égoïstes et l’hypocrisie. 6°)Quelles sont tes initiatives pour affronter le B.A.C ? Je compte redoubler d’effort et faire de mon mieux afin de mieux l’affronter inchallah ! 7°)Tes impressions sur le lycée Kodonso Je pense que mon lycée , sur le plan national est l’un des excellents établissements . Il dispose de bons professeurs , ce qui nous permet d’être bien formés durant nos 3 années. 8°)Merci, un petit mot de la fin Je remercie les membres de kod’news de m’avoir élue star du mois et je souhaite bonne année scolaire à tout le lycée! notamment les. bacheliers .bonne chance !

Coulibaly Niamé 11SBA, Guindo Safiètou MTEA

1-Présente – toi aux lecteurs? Bonjour je m’appelle Mélissa Nkikabahizi Iyiziré j’ai 16 ans je suis en classe de 1ère TEB. 2– Comment es-tu venue au lycée Kodonso ? Je suis venue au lycée Kodonso parce que j’étais à kalanso. C’est une continuité. Il y’a aussi le fait q u e b e a u c o u p d e m e s .

connaissances y ont étudié et y ont réussi brillamment. 3– Depuis la 10é , tu as de très bonne moyenne, Quel est donc ton secret ? En fait, ce n’est pas vraiment un secret. J’apprends mes leçons le jour parce qu’en les laissant s’entasser, cela pourrait me donner du fil à retordre. Egalement beaucoup d’exercices car il ne suffit pas seulement de comprendre une matière ;il faut aussi s’exercer. 4– Qu’est ce que cela fait d’être star du mois ? Vous ne pouvez savoir l’immense joie que je ressens du fait d’avoir été choisie comme star du mois. Je ne pouvais guère l’imaginer. C’est une fierté d’en faire partie. 5- A part les études , qu’aimes-tu faire dans la vie ? A part les «études j’aime bien faire de la lecture, écouter de la musique, regarder la télé, surfer sur le net , découvrir de nouveaux horizons et faire des jeux de culture générale. 6– Quelles sont tes initiatives pour affronter le bac ? Pour affronter le bac, je dois redoubler d’effort dans toutes les matières, faire des exercices chaque jour, apprendre mes leçons régulièrement et chercher à aller au-delà des cours en faisant des recherches. 7- Et que penses-tu des différents changements faits au bac ? Les changements apportés au bac sont très bénéfiques car cela permettra de juger le niveau des candidats à leur juste valeur. En plus, il les incitera à travailler davantage. Ce qu’il faut souligner c’est que les candidats se présentent dans une situation équitable au bac. 8- que penses-tu du lycée Kodonso ? La chance que nous avons à Kodonso résulte d’une part de la compétence des professeurs et de la discipline qui y règne d’autre part. En outre le lycée Kodonso jouit d’un cadre de travail incontestable-ment agréable. 9- merci Mélissa, votre dernier mot. Je remercie l’équipe* de Kod'News de m’avoir accordé cette interview et longue vie au lycée Kodonso !

Sylla Assitan ,Bent Kattara Fatouma SHTA

ouu

Année 10, n° 25 Les Stars du mois

1°) Présente toi aux lecteurs? Bonjour ! Je me nomme SISSIKO Bourama (Bouraxi pour les intimes) . J’ai 17 ans et je fais la SHTA au lycée Kodonso. 2°) Comment es-tu arrivé au lycée Kodonso ? C’est grâce à mes parents. Et en plus, ça a toujours été mon choix de venir dans un lycée tel que Kodonso, là ou règnent le travail bien fait et un niveau excellent de travail. Selon moi c’est le meilleur lycée du Mali. 3°) Quelle est ta méthode de travail ? Elle est simple : Comme tout élève raisonnable, je suis attentif aux explications des profs, Je leur pose des questions sur une partie non comprise, je m’exerce, j’apprends régulièrement mes leçons et je révise constamment. 4°) Qu’est ce que cela te fait d’être star du mois ? J’en suis à vrai dire surpris et très flatté car c’est une opportunité qui ne s’offre pas à tout le monde. 5°) Hormis les études , quels sont les autres choses que tu aimes ? Ce sont : la musique, le sport (football) et les jeux vidéo. 6°) Que penses-tu des différents change-ments effectués au bac ? Je pense que c’est une bonne initiative des autorités scolaires. Ces changements permettent de rehausser le niveau du système éducatif national, de pousser surtout les élèves à être plus assidus, rigoureux et se donner à fond dans les études. 7°) Quel est ton avis vis-à-vis du lycée Kodonso ? Je crois que le lycée Kodonso est formidable; c’est comme une famille. L’atmosphère est bonne, et les profs aiment leur travail et sont toujours disponibles. Les élèves sont respectueux surtout entre eux et tout le monde s’entend. Bref, c’est cool !! 8°) Ton mot de fin. Je remercie infiniment l’équipe de Kod'News de m’avoir choisi comme « Star du mois » et j’encourage tous mes camarade à travailler pour que nous fassions 100% au BAC !!!

1°)Qui est Kadiatou. Sidibé ? Kadiatou Sidibé est une . élève du lycée Kodonso en classe de 1TEA. 2)°Comment tu t’es.

retrouvée au Lycée Kodonso ? J’ai choisi le lycée Kodonso par ce que j’aimerai avoir une base solide dans mes études. 3°)Pourquoi avoir choisi la TE comme série ? J’ai choisi la série TE car j’aimerai faire une carrière en banque. 4°)Quel genre d’élève es-tu ? Je suis une élève très sympa et brave. 5°)Comment faites-vous pour avoir

de bonnes notes ? Je m’exerce et j’apprends mes leçons. 6)Que penses-tu des professeurs et du lycée ? Le lycée Kodonso est un bon établissement cependant certains professeures sont. sévères. 7°)Qu’ aimerais-tu faire plus tard ? A la fin de mes études, j’aimerais être une bonne gestionnaire. 8°) Quel conseil donnerais-tu aux élèves ? Je leur conseillerai d’être disciplinés. 9°) mot de la fin. Veuillez recevoir par ma voix les vœux de bonne année scolaire à tous les élèves du lycée Kodonso.


ouu

Année 10, n° 25

Simpara Fatoumata , Doucouré Djénèba 11SBA

Texte : Sais-tu t’adapter aux changements. Comment Réagis-tu quand les choses. changent autour de toi ? Te sens-tu inquièt(e) ; Perturbé(e) par l’effort à faire, Heureux (se) de changer tes habitudes ? Encercle tes réponses ou test, et lis les résultats pour le savoir 1) Pour aller en classe, tu aimes……. Prendre toujours le même chemin ? Changer parfois ton trajet ? Tu te décides au dernier moment. 2) Dans les groupes, tu aimes… T’asseoir toujours à la même place Tu changes souvent 3) Tu ne te sens pas bien dans une autre place. Parmi tes vêtements Il y en a un que tu ne jetteras pas Tu portes souvent la même chose Tu adores avoir quelque chose de nouveau 4) Tu devais garder la petite sœur cet après midi, mais maman est là Tu restes à la maison avec ta sœur Super, tu peux faire ce que tu veux Tu en profites pour avancer tes leçons. 5) Il y’a un nouveau prof. C’est nul, il n’explique pas comme celui d’avant. Il dit de nouvelles choses intéressantes. Bof ! Tous les profs sont pareils.

6) Tu voulais aller en boite, mais tu n’as pas la somme prévue. C’est toujours la même chose , pas de chance ! Il y’a bien quelqu’un qui va t’inviter. Tu vas mouver un autre plan sympa. 7) Ton pantalon vient de craquer……derrière. Tu marches en rasant les murs. Tu noues un foulard autour de tes hanches. Tu t’assois et tu ne bouges plus. 8) Ta copine te pose un lapin pour une sortie à deux. Tu passes la soirée à l’appeler sur son portable. Tu restes à la maison à ruminer. Tu trouves une remplaçante d’un soir. 9) Ton magazine préféré a changé. Tu es curieux (se) de voir ce qui est de nouveau. Tu cherches tes pages habituelles. Tu mets du temps à t’y faire. 10) C’est la grève, le marché est fermé. Tu mets le bazar dans la cuisine sans succès. Tu vas voir si tatie à ce qu’il te faut. Tu inventes une recette de cuisine avec le reste.

Un Maux de Un Max de Un Max de Tu as l’étoffe d’un(e) Curieux (se) mais Méfiant(e) ou Pionnier(ère) pas trop courageux (se) inquiet (été) ? Tu sais t’adapter. Tu as Tu n’a pas tellement Tu as besoin de De la souplesse d’esprit, de confiance en ce qui retrouver tes habitudes L’imagination, et assez de est nouveau. Tu ne Tu te sens mal quand Confiance en toi pour ne sais pas trop comment les choses changent Pas avoir peur de la te comporter face à autour de toi. Nouveauté. Attention ce que tu ne connais Peut-être as tu eu Quand même à ne pas pas, et tu as besoin trop de changement Te précipiter vers ce de réfléchir avant dans la vie ? Qui est nouveau sans d’y aller. Pense que Ou bien ne te sens-tu Réfléchir ! Il vaut parfois, quand on en sécurité que lorsque Mieux y regarder à n’est pas sûr de soi tu es entouré(e) de tes objets Deux fois : ce n’est pas c’est plus facile de et de tes proches. Toujours synonyme de partager l’expérience Tu as besoin de te rassurer Qualité. Avec un(e) ami(e) avant de réussir peu à peu A retrouver confiance en toi Et en ta vie

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Résultats

ouu

Année 10, n° 25

1°)Bonjour pouvez-vous vous présentez aux lecteurs du journal Kod'news ? Je suis né à Bamako et j’ai 82 ans et poussières. Je m’appelle Seydou Badian Kouyaté. J’ai fait mes études primaires à Bamako. A l’école de Bagadadji. Ensuite, j’ai été en France en octobre 1945. Je n’ai pas fait le lycée . J’ai été au lycée de Montpellier où j’ai passé le bac 1ère partie à l’oral. En 1948 c’était la terminale. Il fallait faire un de plus. J’ai passé 7 année comme interne et j’ai soutenu pour la thèse en 1955. En 1956 je suis rentré au Soudan français. J’étais médecin à Bougouni jusqu’au jour où j’ai été appelé par la direction du parti RDA pour être Ministre du Plan et de l’E-

conomie Rurale. C’est mon entrée en politique et jusqu’au coup d’Etat du 19 novembre 1968. J’ai passé 7ans de détention dans le Sahara. 2°)Vous êtes un grand écrivain du Mali, pouvez -vous comparer l’école malienne actuelle et celle de votre époque ? Je ne veux pas être méchant. Mais l’école malienne actuellement, c’est la dégringolade. Moi j’ai des petits enfants qui sont bacheliers et ils sont incapables d’écrire une lettre correctement . L’école a beaucoup per-du et c’est vraiment malheureux parce que si l’école tombe , elle entraîne tout le reste dans sa chute. Elle est la préparation de demain. On a besoin de se ressaisir et je crois que c’est une question de vie pour l’avenir du Mali. De notre temps , l’école était pris au sérieux, c’est nous qui avions fait la reforme de l’enseignement en 1962. Les bacheliers de notre temps étaient des hommes cultivés, travailleurs, sérieux. Mais aujourd’hui, ce n’est pas ça, l’école a beaucoup perdu et c’est dommage. 3°) Peut-on penser que l’école privée a pris le pas sur l’école publique alors qu’on sait que la plus part de nos cadres ont été formés dans les écoles publiques ? De notre temps il n’ y avait pas d’écoles privées, peut être quelques unes. Mais le niveau était le même que celui de l’école publique . Nous tous sommes issus de l’école publique et elle était sérieuse. Elle n’était pas une école où on allait s’amuser. Ce n’était pas un lieu où on achetait les diplômes . Ce n’était pas une école où on n’avait aucune considération pour les maîtres. Nous respections nos maîtres .Ils étaient nos pères de la journée. Mais aujourd’hui j’ai appris des choses scandaleuses. On donne quelques coups à un élève, les parents intentent un procès. Nos maîtres nous tabassaient et nos pères les. félicitaient. On les respectait, ils étaient nos pères, nos papas. Moi je dois beaucoup à l’un de mes profs qui s’appelle Mr Gaoussou Keïta . Son fils est actuellement à l’EDM, il s’appelle Moussa Keïta . Mais c’est grâce à lui qu’on m’a inscrit à l’école .Donc je suis devenu ce qu’il avait souhaité. Nous nos maîtres étaient des demi-dieux . Si vous frappez vos maîtres qu’est ce que vous pouvez devenir? 4°)Que pensez-vous de l’appellation en langue Bambara du lycée Kodonso et quelles sont vos impressions sur le lycée ? Kodonso veut dire la maison du savoir. Moi je vous poserai la question quel est votre pourcentage de succès au Baccalauréat? vous avez dit 82,27 % bravo félicitations ! continuez ainsi vous mériterez. vraiment le nom que vous portez. 5°) La situation de l’école malienne est préoccupante. Quelles sont les causes et quelles solutions envisagez-vous ? On rentre dans le domaine politique . Tout le monde sait que l’école malienne est malade. Chacun de nous le sait, Il faut prendre les choses à la base. L’école ce n’est pas seulement le français, les mathématiques, physique, chimie, l’école c’est aussi la formation morale. Il faut former moralement les hommes et les femmes. Il faut que vous vous respectiez. Il faut que vous sachiez que vous êtes l’avenir du pays . Il faut que moralement on vous prépare à vos tâches de demain. Il faut aimer la patrie, savoir que vous êtes les citoyens de demain, des bâtisseurs de demain. Quand on a le sentiment qu’on n’est bâtisseur de demain, on prend tout au sérieux.

L’Ecrivain « Seydou Badian Kouyaté

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Année 10, n° 25

Nimaga Nana SHTA

Les autorités politiques ont leur part, vous aussi vous avez la vôtre. Ensemble on s’installe et on ouvre les débats sérieusement pour. découvrir les plaies et ensemble nous les soignons. 6°) L’alphabétisation en langue Nationale peut constituer une . alternative parce qu’elle est plus facile à apprendre et elle prend en compte nos propres réalités. Quelle explication pensez-vous donner aux lecteurs du journal ? Vous avez la réponse vous-mêmes. Moi je suis pour l’alphabétisation jusqu'à un certain niveau. Mais il ne faut pas que ça soit un facteur de retard. On peut ouvrir l’esprit des enfants parce que l’alphabétisation peut aider, surtout les enfants à comprendre ce qu’est une. agriculture moderne. Ce qu’il faut pour soigner. correctement les

bêtes en bambara, c’est bon, mais je dis mais, il ne faut pas oublier qu’on étudie pas la médecine en bambara. On étudie pas les langues ,on étudie pas l’entrée dans les grandes. écoles en bambara. 7°) Quelles sont les stratégies au développement pour améliorer l’alphabétisation ? Il faut voir avec les spécialistes. Moi je ne suis pas spécialiste, mais ce que je viens de dire, c’est que l’alphabétisation est bien quand on met l’accent sur les problèmes pratiques .On peut même enseigner la morale en bambara aux enfants. On peut aussi enseigner les rudiments de l’agriculture moderne, de. l’élevage moderne en bambana et encore une fois, il ne faut pas que ça nous mette en retard parce qu’il y a un âge pour. accéder aux écoles supérieures. Vous dépassez l’âge ,vous n’êtes plus admis. Il faut que cela soit axé sur les problèmes pratiques de l’alphabétisation . 8°) C’est une fierté pour nous les étudiants d’aujourd’hui d’apprendre que vous êtes l’auteur de l’hymne national de notre pays le Mali. Quelles sont les aspirations profondes qui vous ont motivé à l’écrire ? Moi, on m’a demandé de l’écrire parce que j’ai eu à composer le chant des pionniers vers la fin du. régime. Colonial. Le chant des pionniers est un peu ,si vous voulez le grand père de l’hymne national. Dans le chant des. pionniers on dit: « c’est le jour de l’Afrique oh oh jeunesse ! c’est l’heure de l’Afrique quelle belle espérance, la nuit disparaît, le soleil éclaire dans les cieux, la liberté inscrit l’unité ». Ça c’est le chant des pionniers ,et l’hymne dérive de là . Tous ceux qui écrivent , tous ceux qui. composaient, auraient pu écrire l’hymne parce que nous étions portés par une ferveur extraordinaire, par. l’enthousiasme. Nous avions récupéré notre patrie, nous avions trouvé notre indépendance, nous sommes fiers d’être des hommes libres et la ferveur qui était en nous était grande. Je pense que je n’ai pas de. mérite. spéciale, tous ceux qui avaient cette ferveur-là auraient pu prendre la plume et écrire l’hymne. 9°)Quel est votre mot de la fin ? Je dis aux élèves de travailler, de ne pas tricher ,de ne pas frauder, de respecter les maîtres. Si vous ne. respectez pas les maîtres, vous n’avez pas de considération pour ce qu’ils vous apprennent. Les maîtres sont les pères de la journée, il faut avoir du respect pour eux. Quand vous ne respectez pas vos maîtres, on n’a pas de considération pour le savoir. Il faut du respect pour le savoir que vous êtes venus chercher à. l’école . Il faut du respect pour ce, grâce auxquels ce savoir s’offre à vous, respectez et aimez votre pays et sachez que vous êtes les pionniers de demain. Les vauriens ne peuvent pas construire un pays. Si vous avez le sentiment que vous seriez les pionniers de demain, vous prendrez l’école avec sérieux, vous. respecterez vos maîtres comme vous respectez vos parents. Monsieur le professeur Seydou Badian , je tiens à vous remercier au nom du journal Kod’News de votre disponibilité permanente d’être à l’écoute de l’école malienne. Je vous remercie.

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Année 10, n° 25 La gérante de la cantine

1°)Pouvez-vous vous présenter aux membres de . Kod'News? Je m’appelle Mme Doumbia Halima Traoré , je gère la cantine du lycée Kodonso, 2°)Comment êtes-vous arrivée au lycée? Je suis restauratrice et j’ai travaillé dans certains grands hôtels comme ex-Kaissi .J’étais gouvernante.C’est quand cet hôtel a été fermé , que je me suis lancée dans la restauration en ouvrant un petit restaurant en face du marché de Djélibougou , à côté de l’ex-lycée Kodonso. Certains élèves du lycée qui allaient manger là-bas m’ont demandé d’aller voir la Directrice pour gérer la cantine. Et c’est dans cette perspective que je suis allée voir Mr Sanoh et voilà , je suis là aujourd’hui. j’ai fait.

aussi la santé. J’ai exercé dans les cliniques à Sikasso et à Bamako.. Je suis membre du bureau de la fédération de l’hôtellerie, donc la restauration c’est mon domaine. 3°)Depuis quand occupez-vous cette cantine? J’ai commencé en 2005-2006. 4°) Avez-vous d’autres activités en dehors de la c antine? Bien sur, comme je vous l’ai dit au départ, j’ai un petit restaurant que je gère et d’autres activités comme les. cocktails et tout récemment du 15-16- 17, j’étais au palais des congrès pour le SITOUR . 5°) Etes-vous satisfaite de ce travail ? Bien sûr que je suis satisfaite de mon travail comme je l’ai dit . La restauration est mon domaine et j’aime aussi les critiques. ça me fait plaisir parce que dans toute chose du monde ,il faut accepter les critiques, voir et faire des changements. Donc je suis très satisfaite dans ce domaine. 6°)Qu’ est ce qui vous a poussé à faire ce travail ? Je vous ai dit que l’hôtellerie et la santé allaient ensemble. Quand j’ai fait l’école des. infirmiers à Sikasso. J’ai eu mon DEF à Mopti. Après je suis repartie à Sikasso où je faisais un stage à la clinique « Salmada ». Ainsi , j’ai changé et j’ai donc décidé d’aller à la. restauration parce que c’est aussi l’hygiène. C’est comme ça que j’ai commencé l’hôtellerie. 7°)Cela veut dire que vous avez fait des études ? Oui j’ai fait des études. J’ai eu mon DEF et je suis partie à école des infirmières. Après l’école des infirmières , j’ai effectué un stage. Même avec ça aussi, j’ai constaté que je ne pouvais pas tenir. J’ai démissionné et je suis partie au Grand hôtel , l’hôtel de l’amitié , au Kaissi en tant que gouvernante. 8°) ET VOUS ETES SEVERE EN TRAVAILLANT ? Oui je suis sévère. 9°) Que pensez-vous de notre établissement ? Bon, je n’ai rien à dire c’est un bon établissement. Si les enfants ont des problèmes, ils peuvent aller me voir. Je suis prête à leur répondre. S’ils veulent des changements, je ferai tout pour changer. je n’ai pas de problème avec les enfants. 10-Mot de la fin ? Je suis très contente parce que je suis parmi mes enfants, mes sœurs… ça m’a fait beaucoup plaisir de venir travailler au lycée Kodonso. Merci .

Camaradini aïchata D 10 SA, Bouaré Yacouba SHTA , Dienta Djénabou SHTB

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Année 10, n° 25

PoémesPoémesPoémesPoémes

Blagues

Doucouré Djénèba 11 SBA , Sylla Assitan SHTA

Cuisine Riz au Gras à la viande: On achète des ingrédients s uivants : Des tomates ; viandes des persils, des céléris, des gros et petits oignons, des cubes Mag-gi, des choux, des aubergines, des navets. Pour préparer : on prend la marmite et on met sur le feu, puis on met de l’huile dedans.si l’huile chauffe on met de la viande ., on écrase » les tomates, on les ajoute avec du sel et un peu de céleri et persil. On laisse cuire pendant quelques minutes et après on met de l’eau et des choux , aubergines des navets. Après la cuisson , on n’enlève tout les légumes qu’on a mis à la sauce et on les met à coté puis on met le riz et on laisse cuire .Après on enlève le riz pour met-tre dans l’assiette avec un gros poisson la dessus. BONNE APPETIT.

Poème : Guerre qui es-tu ? Guerre ! Tu m’as rendu orpheline Tu m’as arraché mes parents Ceux que j’aime le plus au monde Et maintenant je suis seule dans Cette vie. Guerre ! Tu m’as rendu perclu Et maintenant Me voici dans une chaise roulante Me voici avec des béquilles Me voici handicapé

Me voici privé de beaucoup de chose Guerre ! Qui es-tu ? Pour faire beaucoup de mal Pour faire autant souffrir Guerre ! Je te détestais Je te déteste Je te détesterai pour toujours

Simpara Fatoumata B 11SBA Assitan Sylla SHTA

D’un enfant perdu Cet enfant porté pendant peu de temps Cet enfant qui n’a jamais vu le jour! J’espère que cet enfant me pardonnera un jour, Je pense que cet enfant comprendra un jour J’aurai tant voulu le garder J’aurai tant voulu le bercer

Je l’aurai tant aimé! Mais un enfant sans père Ne sera hélas jamais heureux Ne sera hélas jamais heureux

Deux belges sont en safari en Afrique. Soudain, un lion sort de la brousse et se jette sur un des gars. Après une dure bataille il réussit à se dégager de la bête et à la faire fuir. Il rejoint alors son ami tout ensanglanté et les vêtements en lambeaux. - E s p è c e d ' i d i o t , p o u r q u o i t u n 'a s p a s t i r é ? C e l i o n a f a i l l i me t u e r . - Mais tu m'as dit que c'était un fusil pour les éléphants...

Blague drôle – demande de passeport Blague drôle Blague drôle – demande de passeport Une dame va renouveler son passeport. Le fonctionnaire lui demande: – Combien d’enfants avez-vous? – 10 – Et leur prénoms? – Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard et Bernard. – Ils s’appellent to+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Blague sur les enfants Le petit Thomas demande à sa maîtresse s’il peut lui parler après le cours. Elle accepte. – Alors, que veux tu me dire Thomas ? – Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête ! Je voudrais passer directement au Lycée. Sur ce, le directeur informé, demande...

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La bonne nouvelle pour la ménagère, C'est que, pour la même somme d'argent,

Son panier sera de moins en moins lourd... Lesio

C'est l'histoire d'un kamikaze Qui refusait de voler parce que

Son avion n'était pas équipé

Depuis très longtemps, l'espèce humaine s'est deman dée comment est-elle arrivée au monde mais personne ne se pose la question de

comment va t-elle y rester. Antoine

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