ecrivez un poème à quelqu’un de votre entourage en … · 2017-06-28 · tout d’abord, je...

21
Les élèves de 4 e 6 ont participé au Prix des Incorruptibles. Ils ont réalisé des travaux d’écriture et des exposés sur les 5 romans de la sélection. Ecrivez un poème à quelqu’un de votre entourage en lui exprimant vos sentiments et en développant les souvenirs que vous avez en commun avec cette personne. Ma cousine… Ma cousine est spéciale, Capable de danser sur les tables, Elle n’a peur de rien, Pas même d’un gros chien. J’admire son courage, Et son entourage. J’aime faire des choses avec elle, Car la vie est plus belle. Aller à des concerts, A la mer, Chanter à pleine voix, Ou embêter les oies, Rire à en pleurer, S’amuser. Les gens coincés, Elle les fait rigoler. Elle est un peu déjantée, C’est un de ses bons côtés… Solenne V.

Upload: dinhphuc

Post on 14-Sep-2018

217 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Les élèves de 4e6 ont participé au Prix des Incorruptibles. Ils ont réalisé des travaux d’écriture et des exposés sur les 5 romans de la sélection.

Ecrivez un poème à quelqu’un de votre entourage en lui exprimant vos

sentiments et en développant les souvenirs que vous avez en commun

avec cette personne.

Ma cousine… Ma cousine est spéciale, Capable de danser sur les tables, Elle n’a peur de rien, Pas même d’un gros chien. J’admire son courage, Et son entourage. J’aime faire des choses avec elle, Car la vie est plus belle. Aller à des concerts, A la mer, Chanter à pleine voix, Ou embêter les oies, Rire à en pleurer, S’amuser. Les gens coincés, Elle les fait rigoler. Elle est un peu déjantée, C’est un de ses bons côtés…

Solenne V.

Quelques années plus tard, Mo retrouve, par hasard, Ailes. Imaginez

leurs retrouvailles.

« 10 ans plus tard, Mo était devenu un homme. Il avait fait des études et était arrivé à la

tête d'une entreprise internationale. Un jour, alors qu'il était en train de se demander s'il

devait ou non avoir plus d'employés, une jeune femme d'à peu près son âge entra dans

son bureau. Cette jeune femme, il pensait l'avoir déjà vue quelque part mais sans savoir

où. Mais lorsque la personne en face de lui parla, tous ses souvenirs presque oubliés lui

revinrent, tel un torrent :

- Bonjour, Mo. Comment vas-tu ?

Il bafouilla :

- Ail... Angéli... Ailes, que... que fais-tu là ? Où est la fille sauvage qui est partie au pays

des trolls, il y a 10 ans de cela ?

- Eh bien... Je vois. Bon je vais te raconter ce qui s'est passé...

Après une bonne heure de récit captivant, elle termina :

-...Et donc ce changement est dû aux trolls.

Abasourdi, Mo ne savait plus que penser : pleurer sa fille sauvage perdue ou rire et

laisser éclater sa joie car elle ne sera plus traquée comme une bête sauvage. Pour couper

court à ses sentiments, il proposa :

-Et si on retournait à notre lac ? Il fait si chaud aujourd'hui.

- Oui pourquoi pas ?

Ils y allèrent donc, main dans la main, par les sentiers que prenait Mo pour la rejoindre.

Et là-bas, ils dormirent jusqu'au coucher du soleil. Le moment venu, ils se jetèrent à

l'eau. Une fois dedans, oublièrent tous leurs problèmes et s'amusèrent comme ils le

faisaient autrefois. Puis soudain, un flash. Les voici redevenus enfants, mais deux

enfants vivant en harmonie avec la nature. Morgan et Angélique venaient de mourir, Mo

et Ailes revinrent à la vie en reprenant leur place du passé. Voici donc la fin de leur

histoire: ils vécurent heureux l'un avec l'autre jusqu'à leur mort.

Antonin B.

Des années plus tard, Mo était allé faire une randonnée dans les forêts de

Finlande, avec quelques amis. Ils se promenaient dans la forêt, quand soudain, Mo vit

une forme étrange au loin, perchée dans les arbres. Il ne reconnaissait pas ce que

c’était, mais il ne demanda pas à ses amis, qui n’avaient probablement rien vu. Ils

continuaient à marcher sur le sentier, tout en se rapprochant de la chose.

Mais c’est alors que Mo la reconnut. C’était Ailes ! Ils se regardèrent un long

moment. Mo finit par continuer son chemin car ses amis lui disaient de presser le pas.

Environ une demi-heure plus tard, les amis s’arrêtèrent et installèrent leurs tentes pour

la nuit. Ils mangèrent et allèrent se coucher, mais Mo avait pensé à Ailes toute la

soirée. Quand tout le monde fut endormi, il se leva et essaya d’aller la retrouver, car il

voulait à nouveau la rencontrer.

Il marcha vers l’endroit où il l’avait vue un peu plus tôt et attendit. Au bout de

quelques minutes, il la vit sortir de derrière un arbre et s’avancer vers lui. Mo la

contempla. Il se demanda si elle l’avait reconnu et conclut que oui, car elle ne se serait

jamais approchée d’aussi près de quelqu’un d’autre que lui. Ils restaient un long

moment sans parler puis se saluèrent et entrèrent dans une longue discussion, bien

qu’Ailes avait un peu oublié comment parler. Mo lui demanda si la Finlande lui plaisait,

s’il y avait assez de nourriture dans cette forêt, si elle n’avait pas trop froid…

Enfin, Mo lui demanda si c’était bien elle qui lui avait envoyé la carte postale, il y

a des mois de cela, et elle le lui confirma. Ils discutèrent durant des heures et Mo lui dit

qu’il devait retourner dans sa tente, mais il lui promit qu’il reviendrait un jour et elle lui

dit qu’elle lui renverrait des cartes postales. Mo s’en alla à contre coeur et lui laissa sa

veste polaire, bien qu’elle lui ait dit qu’elle ne la voulait pas. Mais Mo ne tint pas sa

promesse, il ne revint jamais voir Ailes, mais il ne l’oublia jamais.

La place des jeux vidéo dans votre vie. Combien d’heures jouez-vous ? À quels genres de jeux ? qu’est-ce que cela vous apporte ? Quels sont les dangers ? Comprenez-vous que Mo se réfugie dans son jeu ?

Les jeux vidéo occupent une petite place dans ma vie. Je comprends Mo, qui se réfugie dans son jeu, même si personnellement, ce n’est pas un exemple que je suivrais car je préfère faire d’autres activités.

Tout d’abord, je joue souvent aux jeux vidéo sur de courtes périodes, mais cela représente environ une heure par jour, le plus souvent à des jeux de simulation sur mon téléphone. Mo, lui, avant de rencontrer Ailes, passait tout son temps libre à jouer à « Endof World ». En effet, durant tout le début du roman, Mo nous raconte ce qui se passe dans son jeu. Cependant, Mo, à qui personne ne s’intéresse à part un garçon de sa classe qui joue au même jeu que lui, se retrouve seul, sans amis, il s’ennuie et se distrait avec son jeu.

Ensuite, les jeux vidéo m’apportent seulement de la distraction quand je m’ennuie contrairement à Mo. Dans la mesure où son jeu est son seul centre d'intérêt, il y pense toute la journée, passe tout son temps libre à y jouer et y joue même la nuit se privant de sommeil.

Enfin, les jeux vidéo peuvent présenter des dangers car certaines personnes y jouent beaucoup et ne font donc pas d’efforts physiques. Comme Mo, qui avant de rencontrer Ailes ne bougeait jamais, jouait tout le temps à son jeu et était en surpoids. Mais après être resté des jours dans la forêt, il arrête de jouer et bouge plus ce qui lui a fait perdre ses kilos en trop. Les jeux vidéo peuvent aussi être addictifs et contenir de la violence, ce qui peut rendre certaines personnes agressives.

Pour conclure, les jeux vidéo n'occupent pas une grande place dans ma vie. Mo, lui, se réfugie dans son jeu car il se sent peut-être seul. Mais on voit que lorsqu’il rencontre Ailes, il parvient à se passer de des jeux vidéo. Il faut tout de même savoir que les jeux vidéo peuvent être nuisibles à certaines personnes.

Jeanne D.

Critique

Mon roman préféré du prix des incorruptibles est De Cape et De Mots de Flore VESCO.

J’ai aimé ce roman car le personnage est attachant. Je me suis identifiée au personnage de Serine car j’ai aussi plusieurs frères. Le fait qu’elle affirme ses idées m’a beaucoup plu dans son caractère.

De plus, l’histoire est captivante. Quand Serine se propose d’être demoiselle et ainsi gagner de l’argent pour ses frères, montre la sensibilité et la responsabilité du personnage.

Enfin, j’ai particulièrement aimé le passage de la « renaissance » de Serine. Le moment où elle fait sa réapparition sous les traits d’un bouffon du roi m’a surprise. Son activité de bouffon m’a fait beaucoup rire.

Ce livre m’a plu grâce aux personnages attachants, le caractère de Serine et l’histoire captivante. Ce roman est accessible à tous, car il se lit rapidement et facilement. De plus, il est très récent. N’hésitez pas à le lire !

Solenne V.

Nous tenions ici à adresser nos remerciements à Christel Mouchard pour

sa venue au collège.

Madame, Nous avons particulièrement apprécié le fait que vous ayez répondu à toutes nos questions avec sincérité et humour. Votre enthousiasme transparaissait dans les anecdotes captivantes que vous nous avez livrées à la fois sur l’élaboration de vos romans, sur votre métier d’écrivain (bien qu’il ne constitue pas votre activité principale) et sur votre parcours. Vous avez su nous faire partager votre passion pour les histoires vraies (notamment celle d’Herman) et pour les enfants aventuriers. Votre message est bien passé. Nous avons beaucoup appris grâce à vous sur les coutumes des Indiens. Cette expérience a été très enrichissante pour toute notre classe. Nous souhaitions partager avec vous les travaux que nous avons réalisés sur L’Apache aux yeux bleus et sur les autres romans du Prix des Incorruptibles. Ce moment rare entre un auteur et ses lecteurs restera gravé dans nos mémoires. Nous sommes impatients de lire votre prochain roman ! Bonne continuation à vous ! Et peut-être à bientôt au collège Gustave Doré !

Les élèves de 4e6

Rencontre avec Christel

Mouchard

Le mardi 2 mai 2017, le collège Gustave Doré à Hochfelden a reçu la visite de Christel Mouchard. Les élèves de 4ème 6 et 3 ont pu échanger avec l’auteure, en parlant de ses voyages et expériences puis de son livre L’Apache aux yeux bleus sélectionné par le Prix des Incorruptibles et lu par les élèves.

Christel Mouchard nous a expliqué que, petite ne pensait pas devenir écrivaine. Elle voulait devenir archéologue car les histoires d’Indiana Jones la fascinaient. Mais finalement elle s’est dirigée vers une autre voie en suivant des études de Sciences politique. Elle est maintenant écrivaine et éditrice. Pour elle, écrire des livres est un loisir et elle ne se contraint pas chaque jour une charge d’écriture définie. Au début, Christelle Mouchard écrivait des livres historiques pour adultes, puis elle a été contactée par une éditrice qui lui a proposé d’écrire des livres pour la jeunesse. Elle a tenté de relever le défi mais n’a pas réussi. Quelques années plus tard, la même éditrice l’a recontactée pour lui refaire la même proposition. L’écrivaine a alors réessayé. Sa première lectrice fut sa fille de 16 ans qui lisait les chapitres un à un de ce premier livre. Elle a été

d’une grande aide pour sa mère et cela l’a encouragée à poursuivre.

Les ouvrages qu’écrit Christel Mouchard s’appuient sur des faits réels, comme dans L’Apache aux yeux bleus où elle adapte les Mémoires d’Herman Lehman. Celle-ci reprend des histoires d’aventuriers et surtout d’aventurières, les simplifie et fait en sorte qu’elles soient adaptées pour les jeunes. Mais dans ce roman-là, il s’agit d’un garçon qui a été enlevé à sa famille par les Indiens.

Les personnages principaux incarnent souvent des héros féminins car elle veut montrer à la société que des jeunes filles peuvent aussi être de grandes aventurières et pas seulement des jeunes garçons. De plus elle aimerait faire connaitre des histoires réelles d’aventurières qui ne sont pas connues du public.

Christel Mouchard nous a ensuite confié qu’elle était triste de quitter les personnages à la fin d’un livre. Au fur et à mesure de l’histoire elle s’y est attachée et a l’impression de ressentir les mêmes sentiments et sensations qu’eux. Afin que les détails de ses livres soient cohérents avec le lieu du récit, elle se rend dans les pays et prend en compte son vécu, (les odeurs, les bruits…) L’éditrice l’aide beaucoup aussi. Pour écrire ses livres de jeunesse Christel Mouchard réalise des recherches sur les personnages, les lieux, le

contexte durant environ une année.

Elle nous a également confirmé que les critiques ne l’atteignaient pas personnellement, mais qu’elle les prenait en compte afin de s’améliorer.

Christel Mouchard ne peut pas nous dire qu’elle est son meilleur ouvrage. Mais elle nous a quand même précisé qu’elle avait un petit faible pour L’Apache aux yeux bleus, du fait qu’il soit retenu par le Prix des Incorruptibles. L’idée lui est venue d’écrire une histoire sur l’aventure d’Hermann lorsqu’elle a écrit le livre sur Quanah Parker. Elle est alors tombée sur Hermann. Elle a voulu en savoir plus à son sujet. Elle a donc fait des recherches et a écrit un livre, L’Apache aux yeux bleus qui connut un grand succès. Son écrivain préféré est Jack London. Elle a aussi adoré son ouvrage Croc Blanc, qui raconte l’histoire d’un jeune loup aventurier.

Anaïs M.

Christel Mouchard Dans le cadre du Prix des Incorruptibles, deux classes de 4° ont eu l'opportunité de

rencontrer l'écrivain jeunesse Christel Mouchard et de lui poser des questions.

Cette interview a permis de découvrir ses habitudes d'écriture.

Quand vous étiez petite, imaginiez-vous devenir écrivain ? écrire des romans ? Alors, quand j'étais petite je voulais devenir Indiana Jones. Donc être

archéologue.

Qu'est ce qui vous a amené à écrire ? Comme je ne pouvais pas devenir archéologue, j'ai commencé à collectionner des

livres sur des aventuriers célèbres. Et j'ai eu envie de partager ces histoires, et je

me suis mise à écrire des livres historiques pour adultes.

Quelles études avez-vous faites ? Quelque chose qui n'a rien à voir avec les livres. J'ai fait Sciences Politiques. Mais

je n'ai jamais fait de politique.

Quand vous commencez un livre, êtes-vous sûre de ce que vous allez écrire ou improvisez-vous au fur et à mesure des pages ? Je n'improvise jamais ! Quand j'écris des livres de jeunesse, j'adapte surtout la

vraie histoire qui est souvent plus compliquée. En fait, j'ai adapté les mémoires

d'Herman Lehman.

Combien de temps écrivez-vous par jour ? Pas beaucoup, l'écriture est un loisir. En fait, les idées me viennent quand je fais

quelque chose, par exemple quand je fais une randonnée, mais par contre, quand

je rentre, il faut vite que j'écrive tout sinon j'oublie. Je sais que tous les écrivains

font ça.

Combien de temps s'écoule-t-il entre la fin de l'écriture d'un livre et sa publication ? Environ 6 mois. Enfin surtout quand l'éditeur prend bien le temps de relire, de

corriger.

Qui sont vos premiers lecteurs ? Il faudrait plutôt dire « ma première lectrice » !!! Quand j'écrivais des romans

pour adultes, c'était Hélène, mon éditrice de Flammarion, qui lisait tous mes

manuscrits. Et puis un jour, elle m'a demandé si je voulais écrire des romans pour

la jeunesse. J'ai accepté et quelques semaines plus tard, je lui envoyais mon

manuscrit. Elle m'a mis un beau zéro pointé et m'a dit que ce n'était pas comme

cela qu'on écrivait un roman de jeunesse. Donc je n'ai plus essayé. Dix ans plus

tard, cette même Hélène m'a réécrit pour voir si je voulais réessayer. J'ai de

nouveau accepté, pour ne pas rester sur une défaite, et puis, puisque ma

deuxième fille avait 16 ans, pour ne pas me tromper une deuxième fois, je lui

faisais lire tous mes chapitres les uns après les autres. Parfois elle me disait «

celui là il ne va pas » alors je le jetais et recommençais. Et puis un jour, elle m'a

demandé « c'est quand que tu me donnes la suite maman ? » et j'ai su que j'y

étais. Depuis, c'est encore elle qui lit mes manuscrits avant que je les envoie à

l'éditeur.

Pourquoi avez-vous écrit L'Apache aux yeux bleus ? Pour montrer aux gens que les enfants aussi peuvent garder leur sang froid

quand ils sont en danger de mort et que les enfants aventuriers, ça existe.

Pourquoi dans vos livres le personnage incarne-t-il un héros féminin ? Quand j'étais petite, on ne parlait que des aventuriers hommes. Je ne savais

même pas que les aventurières existaient. Quand j'ai découvert qu'il existait

autant d'aventurières que d'aventuriers, j'ai voulu que tout le monde le sache.

Êtes-vous triste de quitter vos personnages à la fin d'un livre ? Oui, beaucoup. Quand j'écrivais, je devenais Herman, je ressentais tout comme

Herman. Quand il était en colère, j'étais aussi en colère, quand il ne savait pas

quoi faire, je ne savais pas quoi faire non plus.

Avez-vous déjà une idée de thème et/ou de titre pour votre prochain ouvrage ? Oui, ce sera aussi une histoire vraie. Ça parlera d'un garçon de 8 ans, et ça se

passera en Europe.

Quel est votre écrivain préféré ? Mon écrivain préféré est Jack London. C'était aussi un enfant aventurier.

Qu'avez-vous ressenti lors de vos premières publications ? Quand on voit notre livre dans les librairies, on ressent à la fois de la satisfaction,

mais aussi du doute, on pense que si on avait gardé plus longtemps notre

manuscrit, on aurait pu changer des choses, et les personnages sont durs à

quitter.

Êtes-vous sensible aux critiques ? Oui, bien sûr. Mais il ne faut pas être blessé par les critiques, il ne faut pas les

prendre à cœur.

Lorsque vous avez écrit votre premier livre de jeunesse, aviez-vous l'envie d'écrire ce livre puis l'inspiration est venue ou y avait-il un sujet dont vous vouliez vraiment parler ? Quand Hélène m'a proposé d'écrire pour la deuxième fois des romans pour la

jeunesse, j’étais en Afrique. J'ai donc écrit un livre en rapport avec l'Afrique et j'ai

écrit La princesse africaine.

Valérie D.

Critiques du roman L’Apache aux yeux bleus

Ce livre m'a fait découvrir les Apaches et les Comanches, des tribus

indiennes que je ne connaissais pas avant de lire le roman. J’ai ainsi

découvert leurs façons de vivre dans le désert ainsi que leurs rites et

coutumes comme la série d'épreuves que Hermann a dû subir pour devenir un

guerrier ou encore leurs façons de chasser.

Ensuite, j'ai aimé le fait que ce livre me fasse découvrir l'histoire de

Hermann Lehman, histoire vraie que l'auteur a adaptée dans son roman

L’Apache aux yeux bleus qui raconte l’enlèvement d’Hermann par les

Apaches et sa transformation en véritable guerrier apache.

Même si ce roman est inspiré d’une histoire vraie, je n’ai pas aimé le

fait qu’Herman subisse une si grande injustice en étant enlevé à sa famille. Il

devient l’esclave de cette tribu, doit se battre pour rester en vie puis à la fin

du roman il sert d’intermédiaire entre les Indiens et les Blancs afin que les

membres de sa nouvelle famille soient respectés.

Malgré ce point négatif, j'ai apprécié ce livre parce qu'il m'a fait

découvrir la vie des Apaches ainsi que celle d’Hermann. Ce roman m’a fait

rêver.

Florian B.

L'Apache aux yeux bleus de Christel Mouchard

La vie au sein d'un peuple inconnu est souvent source d'apprentissages

divers. Hermann a grandi loin de ses proches, ce qui n'était pas facile pour

lui, mais il a su ouvrir son esprit à d'autres valeurs.

Premièrement, j'ai bien aimé ce roman parce que Hermann a su faire

preuve de courage et s'ouvrir aux coutumes des Apaches. Par exemple, il a

dû choisir entre un gâteau aux noix, son aliment préféré, et de la viande

crue. Après avoir pris la viande crue, il devient un vrai Apache et son

nouveau nom est En-Da.

Ensuite, le fait qu'En-Da arrive à se faire respecter par les autres

Apaches et qu'il devienne l'un d'eux m'a marquée. En choisissant la viande

crue, il a le privilège d'être adopté par le chef des Apaches et d'être

conseillé et suivi par Chiwat, qui devient comme un frère pour lui.

Pour conclure, j'ai aimé ce roman parce que l'histoire est bien racontée

et palpitante, et pour la fidélité d'Hermann qui, même en ayant retrouvé sa

famille, va toujours voir les Apaches dans les réserves. Valérie D.

Réalisez des affiches présentant les us et coutumes des Comanches et des Apaches, les personnages principaux : Hermann, Carnoviste, Quanah.

Créez le carnet de voyage de Madeleine de son périple en Normandie.

Cliquez pour ajouter un titre

● Cliquez pour ajouter un texte

Cliquez pour ajouter un titre

1 ligne 2 ligne 3 ligne 4 ligne

0

2

4

6

8

10

12

1 colonne

2 colonne

3 colonne

Cliquez pour ajouter un titre

● Cliquez pour ajouter un texte