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23e édition des Nuits de Nacre TULLE

Corrèze – Limousin

du jeudi 16 au dimanche 19 septembre 2010

Thématique Musette Métisse

PRÉ-DOSSIER DE PRESSE

Renseignements publics : 05 55 20 28 54 www.accordeon.org et www.nuitsdenacre.com Contact presse : Soizick Fonteneau 01 42 77 00 08 – 06 15 92 57 72 113, rue Vieille du Temple 75003 Paris soizick@club-internet.fr - www.soizickfonteneau.com Direction – Programmation Laurence Lamy – nuitsdenacre@free.fr

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MUSETTE METISSE Tout à la fois java, valse et complainte, le musette représente en France ce qu'est le blues aux Etats-Unis ou le tango en Argentine. Toutes ces musiques ont pour point commun d'être apparues aux

quatre coins du globe à la même époque, à l'aube de ce siècle. Elles sont, toutes les trois, l'étrange fruit d'un métissage culturel et humain profondément original. (Richard Galliano)

Utilisée à la Cour au Moyen Âge, la musette de la famille des cornemuses était l’instrument préféré des pâtres. Au XVIIIe siècle, la musette est une danse de théâtre au tempo lent à 2 ou 3 temps. Au XIXe, son sens a changé et c'est devenu un bal dans lequel on danse au son de la cornemuse ou de la musette auvergnate, d'où son nom de bal à la musette. C'est au XXe que l'accordéon supplante la cabrette (instrument emblématique du Massif Central) et que la valse détrône la bourrée. La cabrette des auvergnats rencontre à Paris l’accordéon des italiens et donne à ces bals leur appellation de bals musettes. Toute histoire véhicule sa part de légendes et la réconciliation entre l’accordéon et la cabrette est officiellement située en 1902. L’anecdote a pour cadre le bal d’Antoine Bouscatel, le plus célèbre joueur de cabrette de la rue de Lappe, véritable fief auvergnat. Charles Péguri aurait demandé à y jouer malgré les réticences du patron et des clients. Quelques mazurkas ... Charles Péguri épouse la fille de Bouscatel quelques années plus tard et s’installe au premier étage du bal, dans un atelier logis qui deviendra le point de rendez vous des accordéonistes de la capitale. Dans le musette, les danseurs cherchent des danses faciles, sensuelles, rapides, des danses susceptibles d'être dansées dans des espaces réduits, jusqu'à une arrière salle de bistro. Le genre d’établissement que désigne bal musette n’a jamais été défini avec exactitude. Cette dénomination ne s’applique pas seulement aux bals auvergnats. L’appellation bal musette est accolée à des établissements modestes, populaires, populaciers. En 1879, on dénombre 130 bals musette à Paris dont 26 pour le 11e arrondissement, fief des auvergnats implantés Rue de Lappe depuis Louis XV. Initialement ouverts le dimanche pour une clientèle familiale, les bals musettes finissent par devenir publics et par accueillir une population plus importante tous les soirs de la semaine. Fréquentés par le public ouvrier mais aussi par une faune peu recommandable en mal de distractions constitués en bandes rivales, dont certaines figures resteront célèbres (Casque d'Or, le Corse, la Panthère, le Dénicheur …), les bals musette attirent dès le début du siècle quelques nantis avides de sensations fortes pour danser les mazurkas, les polkas, la java et la valse musette. Les bals populaires ont fermés leurs portes durant la Grande Guerre : leur tourbillon n'a repris qu'en 1919. Placées sous le signe de la danse et ce, dans toutes les couches de société, les années folles (1919 – 1929) sont fécondes en chansons sur le sujet.

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Le public des beaux quartiers dans les dancings, théâtres et cafés concerts, celui des quartiers populaires, au bal musette. D'un côté, tango, fox trot, one step, de l'autre les danses à l'accordéon. Rupins désireux de s'encanailler, engouement de la bourgeoisie pour le monde apache, dans le haut lieu de la culture populaire, la Bastille, la rue de Lappe. Une clientèle, des codes, un accordéon à vibrations un brassage culturel, un métissage avec le tango argentin, le paso doble espagnol, la salsa,le charleston puis à partir des années 30, la rumba cubaine, la biguine antillaise... le répertoire des bals musette s'enrichit de morceaux plus mondains. Années 20 : Charles Péguri, Martin Cayla, Joseph Colombo, Emile Vacher, Jean Vaissade (…) l'accordéon sort de l'ombre grâce aux disques enregistrés (Odéon, Pathé, Gramophone). Vers 1935 : la mode des bals musette et des chanteurs de musette est déjà passée. Django Reinhardt accompagne des jeunes vedettes de la chanson, le jazz arrive... le genre accordéon n'a plus qu'à retourner aux bals musette et au public populaire. Mais son émancipation a peut-être permis au prolétariat de prendre conscience de son importance dans la vie du pays. Désormais, la lutte se place sur un autre front, qui prendra le nom de Populaire. La culture du peuple est à l'honneur. La chanson musette devenue la chanson qui incarne Paris. Accordéon Libération, l'après-guerre grave l'oubli d'années tourmentées dans la réouverture des bals musettes et des guinguettes qui progressivement disparaissent du paysage parisien au cours des années 50 pour se réfugier dans les bals de province, souvent un désastre artistique comme l'a qualifié Didier Roussin. Le répertoire musette évolue, se métamorphose, s'égrène, fuse et se diffuse. Il devient new musette, rock musette, klezmer, tsigane, jazz musette : il est multiple, il est métisse. Il y a quelques années, Astor PIAZZOLLA m'a dit : vous avez une image d'accordéoniste de jazz, trop proche des Américains. Ce n'est pas bon du tout. Retrouvez vos racines françaises. Il faut que vous vous lanciez dans le new musette, comme moi j'ai inventé le tango nuevo. Comme une étincelle, la révélation fut

foudroyante, décisive. Une invitation brutale à «remettre les compteurs à zéro» (…) pour entraîner, enfin, son instrument trop longtemps mal-aimé, condamné par beaucoup comme démodé, dans un nouveau tangage, vers de nouveaux rivages: le new musette » (Richard Galliano).

Le musette est avant tout une aventure humaine métissée par les histoires, les cultures, une tradition urbaine, un puzzle compliqué avec toutes ses influences.

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ARTISTE FIL ROUGE 2010 : Domi Emorine A retrouver tout au long des Nuits de Nacre…

Domi Emorine a consacré son nom à la musicalité et son énergie à la musique. À la fois doux et rythmé, son jeu combine nonchalance et puissance. Domi rafle tous les premiers prix depuis son plus jeune âge.

Domi Emorine commence à 6 ans son apprentissage avec un professeur particulier, Didier Dessauge. Celui-ci réussit à canaliser la fougue de sa brillante élève en la préparant à participer à divers championnats, comme son premier concours A.C.F. (Accordéon Club de France) à 7 ans. A 9 ans, elle se présente et remporte le trophée “Accordéon mon amour” où elle rencontre Maurice Larcange et Eric Bouvelle. Maurice Larcange devient son parrain et l’aventure des Petits Prodiges commence. Elle enchaîne alors les émissions de TV, les galas et les albums. En 1989, elle décide de prendre des cours avec Eric Bouvelle et fait également quelques stages aux côtés de Jacques Mornet qui lui propose de se présenter à la Coupe du Monde en Variétés dont elle remporte le premier prix en 1990. Elle est alors très sollicitée en France et à l’étranger car elle est la plus jeune à avoir remporté ce concours, à l’âge de 15 ans.

Les années suivantes, la jeune femme poursuit sa carrière aux côtés de Maurice Larcange et son grand orchestre dont elle prend la direction en 1995. Domi adore faire danser les gens : c’est une vraie passion! Elle décide de se remettre à l’apprentissage et s’inscrit au C.N.I.M.A. (Centre National et International de Musique et d’Accordéon) dirigé par Jacques Mornet à Larodde dans le Puy de Dôme. Ils décident ensemble de préparer tous les concours internationaux en Variétés. Elle remporte alors le Trophée mondial et le concours de Klingenthal en 1997, le Grand Prix Sacem en 1998 et de nouveau Klingenthal en Classique cette fois avec un Prélude et une fugue de Bach, en 1999. Depuis 1998, Domi Emorine voyage dans le monde entier avec le duo Paris-Moscou qu’elle forme avec Roman Jbanov, accordéoniste qui vient de Sibérie. Le public est amené entre ces deux villes, entre des époques, d’une culture à l’autre, en passant par le classique (transcriptions et morceaux originaux), le folklore russe et le musette français. Ils font découvrir la richesse de leur instrument sous toutes ses facettes en liant technique et sensibilité. En 2007, Domi intègre le groupe de rock festif La Milca pour une nouvelle aventure musicale. Amateur de variété, rock, jazz et de rhythm'n'blues avec un penchant pour Pat Metheny, Domi est pour le mélange des genres, ne mettant aucune barrière dans la musique. Domi est une grande admiratrice de la carrière inégalée d’Yvette Horner, une grande dame de l’accordéon. ■Dernier album : Visite (1999 – Set Music) ■ http:// www.accordions.com/duo

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���� La Milca (avec Domi Emorine) CONCERT D’INAUGURATION jeudi 16 septembre - à partir de 18h – chapiteau Jo Privat / MAGIC MIRROR - gratuit

NOUVEAUTÉ 2010 Formation auvergnate née en 2001, La Milca est un de ces groupes qui font la part belle à l'accordéon et au texte. Le quintet distille de la chanson rock guinguette inspirée, avec de temps à autre une rythmique ska ou un air de java ravigotant qui invite à la fête... Le mélange que nous livrent les membres de La Milca est enchanteur. La voix de Jérôme, auteur-compositeur, captive et l'auditoire s'investit ainsi dans les histoires racontées. Les compositions regorgent de rythmiques enlevées et charment l'oreille. Accordéon, guitares, trompette, basse, contrebasse, batterie… Domi, Fred, Charlie et Laurent marient leurs cultures musicales et permettent l'interaction de plusieurs influences. C'est notamment Domi Emorine qui vient empreindre les compositions du groupe de son interprétation fougueuse et habitée. Des textes bien écrits et pleins de poésie séduisent l'esprit. Des contemplations du monde qui nous entourent se mêlent à des clins d'œil cinématographiques ou à des références historiques - abordant la nécessaire mémoire citoyenne - et créent tantôt de la mélancolie, tantôt de l'entrain populaire… Le répertoire nous embarque dans un univers de sentiments. Inscrivez-vous donc aux cours de “Philosophies de Comptoirs”, album édité en 2003. Ils vont avoir la côte. Ceux qui habitent l’Auvergne ont rendu leur copie en chantant La Milca lors de concerts plutôt imprégnant et qui donnent chaud. La Milca continue d'écumer les salles de spectacles après avoir assuré la première partie de Mickey 3D, Sergent Garcia, Tété, Java, Blankass, les Wampas, Les Ogres de Barbak… Le groupe amorce un nouveau tournant en Mars 2007 avec la sortie de son double album (CD / DVD concert live) intitulé "Des Fleurs" avec un esprit plus rock. ■ Dernier album : Des Fleurs – L’Autre Distribution. ■ www.myspace.com/lamilca

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���� Richard Galliano « French Touch Trio » jeudi 16 septembre – chapiteau Albert Hamann – 20h30 22/25 €

Richard Galliano est un accordéoniste franco-italien. Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment connu de soliste majeur et que, par les connotations qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné du swing, Richard Galliano est parvenu, avec une détermination sans pareille, à imposer l'idée que son instrument était digne de figurer aux côtés des saxophones et trompettes qui sont au cœur de la musique de jazz. Inspiré par son admiration pour son ami Astor Piazzolla, inventeur du Tango Nuevo, l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son new musette, à revitaliser une tradition bien française qui semblait ne jamais devoir connaître de renouveau.

Richard Galliano est né en 1950 à Cannes. Il a commencé à jouer de l'accordéon à

l'âge de 4 ans, influencé par son père Lucien, un accordéoniste originaire d'Italie, vivant près de Nice. Il apprend à jouer du piano et de l’accordéon avec Claude Noël qui lui fait découvrir le jazz. Il entre au conservatoire de Nice, dirigé par l'organiste Pierre Cochereau, et commence le trombone à coulisse, dont il obtient le 1er prix d'excellence en 1969. Parallèlement à ses études, il participe à des concours internationaux d'Accordéon. En 1992, il est nommé musicien jazz de l'année par l'Académie du jazz français et reçoit le Prix Django-Reinhardt. Il succède entre autres à Jean-Luc Ponty, Michel Petrucciani, Eddy Louiss, Christian Escoudé, Michel Portal, Pierre Michelot, Maurice Vander et Martial Solal. Il a joué avec de très nombreux artistes : George Mraz, Francis Lassus, Al Foster, Juliette Gréco, Charles Aznavour, Ron Carter, Chet Baker, Enrico Rava, Martial Solal, Miroslav Vitous, Trilok Gurtu, Jan Garbarek, Michel Petrucciani, André Manoukian, Michel Portal, Daniel Goyone, Toots Thielemans, Bobby McFerrin, Claude Nougaro (en hommage à qui il compose et interprète Tango pour Claude, à Marciac en 2006), Allain Leprest, Barbara, Les Rita Mitsouko, Khalil Chahine ... On lui doit le thème du générique de la série P.J.. Richard Galliano sera accompagné par deux pointures du jazz : Jean-Philippe Viret à la basse (il joue avec L’Orchestre des Contrebasses, Didier Lockwood, Simon Goubert, Jean-Marie Machado, Stéphane Grapelli en trio…) et Jean-Marie Ecay à la guitare (Didier Lockwood, Billy Cobham, Eddy Louiss, Claude Nougaro, Carlos Bonnavent…). ■ Dernier album : Richard Galliano joue Bach (12 avril 2010- Universal/Deutsche Grammophon records) ■ DVD : Richard Galliano Acoustic Trio 2009 (Dreyfus ) ■ www.richardgalliano.com

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���� Les Dénicheurs jeudi 16-vendredi 17 & samedi 18 septembre – bars & scènes - gratuit Un chanteur qui ne ménage pas son organe et soigne sa moustache. Un orchestre ultra réduit aux penchants Rock n' Roll Musette qui vient de Normandie. L'envie de faire redécouvrir des textes forts drôles et caustiques… C'est à peu près cela les Dénicheurs : un travail de collectage de chansons anciennes qui sont réactualisées. A la recherche de raretés, ils traînent leurs guêtres dans les foires aux greniers pour chiner de vieux disques poussiéreux, rayés et bon marché, qui leur réservent parfois de très bonnes surprises. Reste ensuite à retrouver la gouaille d'antan pour clamer haut et fort des mots et des notes qui n'ont pas réellement vieilli. ■ Dernier album : Saucissons zé raretés de la chanson rétro ■ www.myspace.com/lesdenicheurs

���� Bal Les Gonelons jeudi 16 septembre à 21h30 - Place des Frères Maugein - gratuit Orchestre de bal, le trio « Les Gonelons », prononcez Gounélou : oiseau de nuit en occitan, est devenu en 13 années de présence un des piliers de la musique actuelle populaire et traditionnelle dans le Cantal. Bals, fêtes de villages, mariages, foires agricoles, rencontres culturelles… les 3 musiciens (Jacques Delprat à l’accordéon diatonique, Isabelle Kerneis à la cabrette et Bruno Bonté au banjo plectrum) cultivent un art de la musique à danser bien inscrit dans la vie du Cantal et des hautes terres du Massif Central. Les Gonelons, musiciens de pays et noyau de l'ONS (Orchestre National de Salilhes – présent aux Nuits de Nacre en 2008) ont renforcé délibérément la musique du duo cabrette-accordéon diatonique par une rythmique banjo qui accentue le côté scandé de la musique. Jacques Delprat a un jeu identifiable entre tous. Ayant commencé par le chromatique pour aller vers le diatonique, il a un placement rythmique très personnel. Le groupe se nourrit de l’énergie des danseurs et des diverses rencontres. Le voyage se fait toujours cabrette, diatonique et banjo en bandoulière. L’important est de déballer les instruments, de s’asseoir devant un public et d’envoyer la musique : alors Les Ganelons regardent danser les gens !

���� The Bavest vendredi 17 & samedi 18 septembre – bars & scènes - gratuit

The Bavest est un groupe de trip hop acoustique centré autour de l’accordéon diatonique, réunissant le trio des sœurs Pelpel (Josepha, accordéon, compositions - Judith, violons, guitare - Océane, clarinette, trombone) et Cyril Pernot au Human Beat Box. Josépha découvre l’accordéon diatonique aux Nuits de Nacre en 2005 et ce sera une révélation. Elle s’approprie totalement l’instrument et décide de créer le groupe The Bavest - aux sonorités de musiques actuelles et électroniques - 2 ans plus tard avec ses 2 sœurs. Issue d’une famille où la musique occupe une place centrale, elles ont commencé trèsjeunes leur apprentissage au Conservatoire de Musique et de Danse de Tulle : Judith à commencé le violon à 3 ans et Océane, la clarinette à 7 ans. Elles rencontrent Cyril à Paris qui apporte une sonorité originale au groupe. Il fait du Human Beat Box depuis ses 15 ans. L’osmose s’est rapidement installée dont les compositions s’enchaînent. Leurs influences sont nombreuses et variées : Portishead, Archive, Beltuner, Bonobo, MaM, Nervous Cabaret sans compter les divers univers musicaux qui ont marqué et façonné la créativité des quatre membres du groupe. The Bavest était en résidence à la Salle des Lendemains Qui Chantent à Tulle début février 2010. Le groupe travaille actuellement – par le biais de la 7pel compagnie - à l'organisation d'une tournée européenne du 10 juillet au 8 août (passant par la Belgique, l’Allemagne, la République Tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie pour se terminer à Istanbul, capitale européenne de la culture en 2010). ■ www.myspace.com/thebavest ■ Album : The Knights who say Ni

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���� Caroline Loeb « Mistinguett, Madonna… et moi » Vendredi 17 septembre – Théâtre – 20h30 18 / 20€ Accompagnée à l'accordéon par Patrick Brugalières. Véritable cinglée du Music-hall, Caroline Loeb passe en « revue » avec humour, un répertoire qui lui ressemble, insolent et glamour, de Mistinguett à Madonna en passant par Gainsbourg (pour Birkin et Régine) , Juliette, Joséphine Baker, Yvette Guilbert, Marlène Dietrich, Annie Cordy… et Caroline Loeb avec les chansons de son dernier album « Crime parfait » et en réglant au passage son compte à SON tube ! Accompagnée à l’accordéon par l’excellent Patrick Brugalières, elle propose une évocation délirante de son histoire et des petites histoires de ses idoles – toutes dotées de fortes personnalités – qui depuis plus d’un siècle, sont les légendes du Music Hall : Mae West, Tallulah Bankheads, Arletty… Riche de son travail avec de nombreux interprètes (depuis le milieu des années 90, elle fait de la mise en scène pour Michel Hermon, Lio, Victor Lazlo, Judith Magre…), c’est maintenant son tour de s’approprier ces chansons qui font partie du patrimoine. Avec son expérience, son tempérament, son sens de l’humour, sa gouaille parigotte et new-yorkaise (elle y a passé une partie de son enfance), sa créativité, sa chance de ne pas être « desservie par une grande voix » (comme le disait Sacha Guitry de Mireille) mais d’en posséder une bien à elle non formatée, qui s’est affirmée au fil des ans. Artiste singulière et complète, elle est désormais fin prête pour présenter ce tour de chant original, réjouissant et spectaculaire (lumière, costumes, surprises). Caroline et Patrick Brugalières se connaissent depuis des années. Leurs chemins se sont croisés sur « Lio chante Prévert » dans lequel son « piano à bretelles » faisait des merveilles, puis sur « Noir c’est Noir ». Accordéoniste, il joue aussi du bandonéon, compose et manie les samplers. Il a entre autres accompagné Enrico Macias, Serge Reggiani et Juliette Gréco ! ■ Dernier album : Crime parfait ■ www.myspace.com/carolineloeb

���� Duo Paris-Moscou (avec Domi Emorine) Vendredi 17 septembre – scène - gratuit

La musique est souvent faite de rencontres extraordinaires, d'alchimie entre des personnalités, de complicité et de complémentarité autour d'une passion commune. La Naissance du duo Paris-Moscou en est la parfaite illustration. En 1997 la route d'un jeune sibérien (Roman Jbanov) croise celle d'une bourguignonne (Dominique Emorine).

Après une carrière déjà bien remplie en solo, Domi et Roman décident de proposer un voyage musical à travers les époques, les styles, entre Paris et Moscou. C'est la confrontation de 2 univers, de 2 cultures, de 2 façons de jouer, de 2 conceptions de la musique, l'une plutôt orientée vers la variété française et le musette, l'autre plus classique, orientée vers la musique traditionnelle russe. Depuis Février 1998, le duo Paris-Moscou a eu la chance de faire découvrir son répertoire dans de nombreux concerts et festivals, autant en France qu'en Russie mais aussi dans beaucoup d'autres pays : Danemark, Italie, Pologne, Chine, Portugal, Lituanie, Canada, Angleterre, Norvège, Espagne, Suisse ... Avec l'humour de Roman, l'enthousiasme de Domi, ces voyages sont toujours des moments de bonheur et de joie partagés.

■ Dernier album : Paris Moscou ■ www.accordions.com/du

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���� JOHNNY CLEGG Vendredi 17 septembre – chapiteau Albert Hamann – 20h30 35 €/32 € Jonathan Clegg dit Johnny Clegg, ou encore le Zoulou blanc, est le célèbre auteur-compositeur-interprète blanc sud-africain (et danseur zoulou), Fils d'une riche famille de paysans juifs lituaniens et polonais immigrés en Rhodésie, Johnny Clegg, né en 1953 près de Manchester (Royaume-Uni), grandit en Afrique du Sud, à Johannesburg, puis en Afrique. Il est le leader successif des groupes « Juluka » et « Savuka ». Ses chansons sont principalement axées sur la lutte contre l'Apartheid dont le célèbre titre « Asimbonanga ». Johnny Clegg a toujours soutenu Nelson Mandela, dont on fête les 20 ans de libération en 2010. Johnny Clegg débute sa carrière dans les années 80. C'est entre le Zimbabwe et l'Afrique du Sud, où il passe la majeure partie de son enfance, qu’il puise ses influences. A 14 ans, Johnny commence à jouer de la guitare et, grâce à cette activité, rencontre Mntonganazo Mzila, un concierge zoulou, qui était un musicien des rues. Pendant 2 ans, Clegg apprend les rudiments de la musique zoulou et le Ihhlangwini (danse des bâtons zoulou) malgré le barrage de la langue. Il accompagnait Mzila, se faisant une réputation de bon musicien de la musique compétitive traditionnelle zoulou. Début 70, Johnny, garçon des banlieues de la bourgeoisie blanche rencontre Sipho Mchunu, un musicien autodidacte qui a grandi à Krankop au cœur du pays zoulou. Le duo noir et blanc ouvre une voie totalement nouvelle : celui d'un rock zoulou, mêlant les chants africains, à la guitare électrique. Ensemble, ils firent secrètement la tournée de tous les foyers de travailleurs immigrants, enjoignant les autres musiciens à compétitionner avec eux. En plein Apartheid, cette association inimaginable provoqua une forte agitation, aussi bien artistique que politique, partagés entre ceux qui dénigraient cette multi-culturalité et ceux qui l'encourageaient. En 1976, Johnny et Sipho signent leur premier contrat majeur en tant que duo (sous le nom de « Johnny et Sipho ») et sortent leur premier single "Woza Friday" (Come Friday), stupéfiant le pays tout entier. En 1979, le duo change de nom pour devenir « Juluka » et sort son premier album, « Universal Men », salué par la critique mais censuré en Afrique du Sud, toujours sous la coupe de l'Apartheid. Leur deuxième album, « African Litany », comprenant leur premier hit "Impi", constitue leur première percée nationale. « Scatterlings », leur quatrième album, marque leur entrée sur la scène internationale. 5 disques de « Juluka » deviennent disques d'or et 2, disques platines. En 1985, Sipho retourne dans sa communauté pour y apporter de l'aide et Johnny continue sa carrière en formant le groupe « Savuka ». Peu après sa création, « Savuka » fait connaître la musique sud-africaine au monde entier. Leur premier album "Third World Child" s’est vendu dans le monde à plus de 2 millions d'exemplaires avec les titres-phares "Asimbonanga" (chanson dédiée à Nelson Mandela,

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alors prisonnier sur une île au large du Cap) et "Scatterlings of Africa" (qui a été reprise dans la bande originale de Rain Man. L’album suivant, « Shadow Man » permit à Clegg d'entreprendre une tournée mondiale, partageant la scène entre autres avec Steve Winwood et George Michael. Le quatrième album « Heat, Dust and Dreams » fut nommé dans la catégorie Best World Music et gagna le Bilboard Music Award pour le meilleur album du monde en 1993. Durant toutes ces années, Johnny Clegg n'a jamais cessé de faire des tournées en Afrique du Sud. En 1997, Johnny et Sipho se rencontrent pour travailler un nouvel album « Ya Vuka Inkunzi (The Bull has Risen ) » de Juluka, après une mise en veille de 10 ans. Johnny Clegg s'efface petit à petit de la scène rock, confronté à certains mouvements nationalistes, contre lesquels il se bat. Il réapparaît en 2004 avec un nouvel album baptisé "New World Survivor" puis « One Life » en 2006, produit par Renaud. En Janvier 2010, la chanson « The Crossing (Osiyeza) » fait partie de la bande originale du film « Invictus », réalisé par Clint Eastwood, retraçant le parcours de l'équipe d'Afrique du Sud de rugby, championne du monde en 1995. Surtout reconnu pour ses chorégraphies et ses danses tribales, Johnny Clegg est assimilé à une icône des années 90 et continue à électriser le public. Images de Johnny Clegg au concertina « I call your name » : http://www.youtube.com/watch?v=XcKUWpzYITc ■ Dernier album : « One Life » – Nouvel album à paraître fin mai ■ Site : www.johnnyclegg.com � Orchestre Rémi Sallard vendredi 17 septembre - place des Frères Maugein - 19h30 à 22h30 - gratuit Rémi Sallard est un jeune virtuose de l’accordéon aux activités débordantes : spectacles, formations, enregistrements d’albums… c’est un homme talentueux qui reste discret, il n’a qu’une passion : jouer. Rémi commence l’accordéon diatonique à 5 ans. Il participe alors aux Amis de la Bourrée, groupe folklorique dirigé par ses parents. A 8 ans, il passe au chromatique et est formé par Jo Fressange puis par Jean-François Giancatarina. A 13 ans, il est sélectionné pour faire partie des Petits Prodiges de Maurice Larcange. Il fait alors son premier thé dansant à Saint-Privat avec son père et Titi Lavergne, ancien batteur d’Altéro Betti. Depuis, le jeune accordéoniste a fait du chemin et anime thés dansants, galas et bals dans tout le Massif Central et sur le territoire national. Accordéoniste aux multiples casquettes, il accompagne la troupe de théâtre « Les Xaintrigolos » et le « Groupe vocal de la Xaintrie », joue en duo avec Frédéric Valy dans le « Non Trio » avec un répertoire autour de Piazzola, Jo Privat… Il intègre l’association « Phonambule » en 2007 qui organise des mini concerts pour les personnes âgées dans les maisons de retraite. En plus de ces activités, Rémi enseigne l’accordéon chromatique, diatonique et la vielle à roue. Il a plusieurs albums à son actif avec différents groupes ou avec son orchestre.

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SAMEDISAMEDISAMEDISAMEDI 18181818 SEPTEMBRESEPTEMBRESEPTEMBRESEPTEMBRE

���� Hommage à Maurice Larcange - Création samedi 18 septembre – Théâtre – 20h30 20 €/18 € AVEC : Domi Emorine, accordéon – Mickaël Larcange, piano – Marc Pascal, chant…. Programmation en cours Rénovateur, catalyseur, visionnaire génial, Maurice Larcange a régénéré le monde du piano à bretelles. Il a composé 2000 titres et vendu des millions d’albums dans le monde entier et a surtout initié le concept des Petits Prodiges.

Né en 1929, dans le faubourg de Valenciennes, Maurice « Momo » Larcange possède l’accordéon chaleureux et la générosité du vrai Ch’ti Mi qu’il restera jusqu’à l’âge de 16 ans. Son père, mineur, jouait régulièrement de l’accordéon avec ses deux frères et avait même créé une école de musique. Maurice commence le solfège avec son père puis apprend le cor au conservatoire (sa famille ne pouvant acheter un piano) puis se met à l’accordéon mais il est plus attiré par le football ! Tout jeune, Maurice travaille à l’usine pendant la semaine et se retrouve dans l’orchestre de son père le week-end. A 16 ans, il suit un ami de la famille à Saint-Brieuc en Bretagne et se produit dans des bals locaux puis rencontre le patron du Régina à Perros-Guirec qui voulait créer un orchestre. Il se fait ensuite embaucher à La Rotonde à Saint-Brieuc jusqu’à son départ au service militaire. Le lieutenant l’ayant entendu jouer à Perros-Guirec lui propose de monter un orchestre pour le départ en retraite du général de la base ! A son retour de l’armée, Maurice déserte le Nord et le chemin de l’usine pour se rendre à Paris où il va retrouver Aimable (ancien élève de son père) qui le fait embaucher au Floréal. Il passera ensuite par La Java, la Boule Rouge, la Boule Noire, la Croix de Malte, Balthazar. En 1950, il monte son orchestre et en 1956, il sort ses premiers albums (Polydor, Decca…) : c’est un succès foudroyant. Exportés dans 85 pays, ses albums se vendent à des millions d’exemplaires. En 1969, il obtient le Grand Prix du Disque de l’Académie Charles Cros pour « French Touch », enregistré avec les 65 musiciens du London Festival Orchestra. Maurice tourne alors dans le monde entier avec 2 ans de contrats ferme signés à l’avance ! Il voyage sans arrêt, enregistre, accompagne, passe en soliste, fait des galas avec ses frères André et Roger, passe dans un nombre incalculable d’émissions radio et TV. En 1986, en écoutant Domi Emorine, âgée de 9 ans, dans un concours Radio France, il décide de regrouper une élite de l’accordéon : l’idée des Petits Prodiges voit le jour, une Star Academy avant l’heure. Les radios locales de Radio France vont l’aider à recruter ces jeunes : Eric Bouvelle, Sébastien Farge, Lionel Suarez, Rémi Sallard…une bonne centaine d’accordéonistes au total en 14 ans. Il est émerveillé par le talent et la technique de ces jeunes. Il organise alors des stages pour leur apprendre à chanter, danser, se tenir sur scène, marcher en rythme, s’habiller… Depuis, beaucoup de ces prodiges ont fait de belles carrières. Jusqu’à la fin (Maurice Larcange disparaît en 2007 à 78 ans), il donne des galas, compose, fait des arrangements et aide à la promotion des jeunes.

Domi Emorine

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���� Juliette GRÉCO Samedi 18 septembre – chapiteau Albert Hamann – 21h00 35 €/32 € Après l’ovation du public au Théâtre des Champs-Elysées et une représentation d’exception à l’Opéra Royal de Versailles, Juliette Gréco poursuit sa tournée et se produit pour la troisième fois aux Nuits de Nacre. Elle sera accompagnée par Jean-Louis Matinier, accordéoniste d’exception qui a dépassé toutes les virtuosités et qui fut élève du légendaire Joë Rossi. C’est Gérard Jouannest, l’accompagnateur et compositeur des plus belles chansons de Brel, avec qui elle travaille depuis quarante ans, qui l’accompagne au piano. Juliette Gréco, est née le 7 février 1927 à Montpellier et passe les six premières années de sa vie à Bordeaux chez ses grands-parents. En 1933, sa famille s'installe à Paris et Juliette y découvre sa passion pour la danse et entre à l'Opéra comme petit rat. La guerre sépare la famille et Juliette se retrouve livrée à elle-même. Elle traîne à Saint–Germain-des-Prés et au Quartier Latin et y découvre une vie intellectuelle et artistique qui influencera sa vie. Elle joue dans quelques pièces qui récoltent peu de succès, travaille à la radio puis se lance dans la chanson en 1949 parrainée par Jean-Paul Sartre et Joseph Kosma. Elle enregistre son premier disque en 1951 avec son premier succès « Je hais les dimanches » et passe à Bobino puis part chanter au Brésil et aux USA où elle remporte un réel succès dans la revue "April In Paris". De retour en France, Juliette se lance à la conquête du grand public en donnant une série de concerts et en chantant une dizaine de titres écrit par Serge Gainsbourg. En 1965, son rôle dans la série TV "Belphégor" fait grimper sa popularité et Juliette surfe sur la vague du succès pendant les années qui suivent avec les titres « Un petit poisson, un petit oiseau » en 1966 et « Déshabillez-moi » en 1967. Pourtant, au début des années 70, sa carrière s'essouffle un peu. Juliette continue malgré tout de tourner au niveau international et donne des dizaines de récitals par an. Elle signe ses premières chansons en 1975. En 1982 elle écrit son autobiographie «Jujube », sort un nouvel album l’année suivante « Les Années d’autrefois » et remonte sur scène. Elle s'éclipse pendant quelques années et revient au début des années 90 qu'elle marquera avec une rétrospective en six albums et une reconnaissance nationale avec l'insigne d'Officier de l'Ordre National du Mérite. Toujours en tournée aux quatre coins du monde, elle donne une série de concerts à l’Odéon en 1999. Juliette Gréco, malgré une alerte cardiaque, ne refuse jamais de partir à la rencontre de son public à qui elle chante la langue française séduisant toujours un très large auditoire comme avec ses albums « Aimez-vous les uns les autres ou bien disparaissez » paru en 2003 et « Le Temps D'une Chanson » sortit fin 2006 sur lequel elle reprend 12 classiques. Pour son dernier album « Je me souviens de tout », Juliette Gréco a rassemblé autour d’elle un casting étourdissant (Abd Al Malik, Olivia Ruiz, Maxime Le Forestier, Brigitte Fontaine, Orly Chap, Christophe Miossec, Marie Nimier, Adrienne Pauly…) vaste maelström d’audace, de jeunesse, de poésie, d’invention…. Avis à ceux qui souhaitent revoir la Grande Dame à Tulle ! ■ Dernier album : Je me souviens de tout (Universal) – 2009 ■ www.tsprod.com

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QUELQUES ANIMATIONS ���� ART NOMAD du jeudi 16 au dimanche 19 septembre inclus– gratuit. – Place Astor Piazzola Pour la quatrième année, le camion « Art nOmad » - dispositif itinérant de diffusion de l’art contemporain et de formation des publics en milieu rural – fera halte au centre du village des Nuits de Nacre. Des ateliers d’arts plastiques seront proposés aux petits et aux plus grands autour de l’instrument accordéon. Art nOmad est une association de plasticiens, qui sillonne la Région, en transportant à son bord des œuvres d'artistes et d'étudiants ainsi que tout le matériel d'outillage nécessaire pour la pratique des arts plastiques. ���� LES JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINE

samedi 18 et dimanche 19 septembre - gratuit

Visites du Pôle Accordéons et du Musée des Armes de la Ville de Tulle. Thématique des Journées européennes du Patrimoine : les grands Hommes (et Femmes) ���� MARCHÉ DES PRODUCTEURS DE PAYS – 4ème édition Dimanche 19 septembre - Quai Edmond Perrier de 9h00 à 18h00 L’Office de Tourisme Intercommunal Tulle et Cœur de Corrèze organise, en partenariat avec la Chambre d’Agriculture de la Corrèze et la Cité de l’Accordéon, la quatrième édition d’un Marché de Producteurs de Pays, le dimanche 19 Septembre 2010 de 9H00 à 18H00. Ce marché à caractère événementiel, sera adossé au festival des Nuits de Nacre qu’il prolongera et conclura. Au programme de cette manifestation : animations musicales, marché des producteurs de pays avec possibilité de consommer sur place des produits locaux et variés grâce à l’aménagement d’un espace autour du point restauration du festival. Accueil, renseignements et réservations auprès de l’Office de Tourisme de Tulle au 05.55.26.59.61.