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Vade-mecum mémoire1
2018-2019
1 Ce Vade-Mecum est valable pour l’année 2018-2019 pour les étudiants inscrits en B2.
Master en sciences de l’éducation (FOPA)
Ecole d’éducation et de formation (EDEF)
Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation (PSP)
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Table des matières Avant-propos ............................................................................................................................ 4
Objectifs du mémoire ............................................................................................................... 5
Étapes du mémoire ................................................................................................................... 7
1) Repérer un sujet sur la plateforme ............................................................................... 7
2) Prendre contact avec un·e promoteur·rice ................................................................... 7
3) Soumettre un projet de mémoire sur la plateforme ..................................................... 7
4) Acceptation ou refus de collaboration du/de la promoteur·rice .................................. 8
5) Constitution d’une commission ................................................................................... 8
a) Quel est le rôle de la Commission ? ......................................................................... 8
b) Qui en fait partie? ..................................................................................................... 8
c) Procédure de composition de la Commission ........................................................ 10
d) Quelles sont les modalités de fonctionnement de la Commission ? ...................... 10
6) Complétion et signature des documents d’engagement de confidentialité et de cession
du droit ................................................................................................................................. 11
7) Récolte des données du mémoire .............................................................................. 11
8) Rédaction du mémoire ............................................................................................... 11
9) Défense du mémoire .................................................................................................. 11
Les règles à respecter ............................................................................................................. 13
1) La confidentialité ....................................................................................................... 13
2) La pratique des cadeaux ............................................................................................ 14
3) L’éthique de la recherche et le plagiat ....................................................................... 14
a) L’éthique de la recherche ....................................................................................... 14
b) Le rapport aux sources et le plagiat ....................................................................... 15
Annexe 1 : Comment utiliser la plateforme OSIS ? ............................................................ 18
Annexe 2 : Les ressources et outils ....................................................................................... 22
Bloc complémentaire ............................................................................................................ 23
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Bloc 1 ................................................................................................................................... 23
Bloc 2 ................................................................................................................................... 24
Annexe 3 : Les règles de rédaction du mémoire .................................................................. 25
1. Les règles de forme du mémoire ...................................................................................... 25
a) Normes physiques du mémoire .................................................................................... 25
b) Les mises en évidence dans le texte ............................................................................. 25
c) La pagination ................................................................................................................ 25
d) L’orthographe et la syntaxe ......................................................................................... 25
2. Les règles de structure du mémoire .................................................................................. 26
a) L’organisation en chapitres et en titres ........................................................................ 26
b) Le résumé en quatrième de couverture ........................................................................ 26
c) La couverture ............................................................................................................... 26
d) La table des matières .................................................................................................... 26
e) Les notes de bas de page .............................................................................................. 26
f) La bibliographie ............................................................................................................ 27
3. La présentation des résultats de la recherche ................................................................... 27
a) La place des données brutes ......................................................................................... 27
b) La présentation des données qualitatives et de leur traitement .................................... 27
c) La présentation des données quantitatives et de leur traitement .................................. 28
d) Les tableaux et figures (schémas, graphiques)............................................................. 28
4. Citer les sources ............................................................................................................... 31
Annexe 4 : Critères d’évaluation du mémoire de fin d’études ........................................... 32
Annexe 5 : Engagement de confidentialité et Cession du droit à la propriété intellectuelle
.................................................................................................................................................. 35
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Avant-propos
Ce vade-mecum est destiné en priorité aux étudiant·e·s. Il doit leur permettre d'appréhender
les objectifs du mémoire et l'ensemble du dispositif mis en place pour les accompagner dans la
réalisation de celui-ci. Ils/elles y trouveront des informations sur les différentes étapes de cet
accompagnement et de la réalisation de leur mémoire. Les étudiant·e·s sont dès lors invité·e·s
à lire très attentivement ce document, y compris ses annexes.
Ce vade-mecum est également destiné aux personnes intervenant aux différents moments de
l'élaboration du mémoire de manière à ce qu'elles puissent situer leurs interventions dans
l'ensemble du dispositif.
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Objectifs du mémoire
À l’issue du master en sciences de l’éducation, il est attendu que chaque étudiant·e termine sa
formation par la présentation d'un mémoire.
Ce mémoire s'inscrit dans le cadre des objectifs généraux du programme, à savoir rendre
l'étudiant·e capable d’analyser des situations, des mutations et des enjeux qui interpellent le
monde de l’éducation et de la formation dans ses différentes dimensions (enseignement,
formation professionnelle, formation des adultes, animation et action sociale et culturelle,
éducation spécialisée et formation permanente), et de produire des connaissances à leur égard.
Dans cette perspective, l'étudiant·e doit, par son mémoire, faire la preuve de sa capacité à mener
une recherche en sciences de l’éducation. Dès lors,
1. Le mémoire doit faire apparaître que l'étudiant·e est capable de se documenter, de poser
un problème, de procéder à une analyse rigoureuse et de présenter les résultats de sa
recherche sous une forme concise et dans une langue correcte;
2. L'étudiant·e, à travers son mémoire, doit être capable de construire un objet de recherche
portant, soit sur un terrain d'action professionnel ou extra-professionnel, soit sur une
question nouvelle née de son expérience d'étudiant·e en formation;
3. Dans un souci de cohérence avec la complexité de la situation traitée, l'étudiant·e doit
montrer sa capacité à adopter un point de vue différencié et nuancé. À cet égard, son
mémoire démontre le bénéfice retiré des divers apports de la formation acquise.
Cependant, une voie d'approche doit être privilégiée en fonction de sa plus grande
pertinence par rapport à l'objet du mémoire. La perspective ainsi choisie est traitée de
manière approfondie et permet l'intégration d'aspects connexes;
4. Enfin, l'étudiant·e doit être capable de dégager les implications de sa recherche quant à
la définition des actions de formation qui permettent aux acteur·ice·s sur le terrain de
faire face aux situations de changement.
Ces différents points doivent être compris comme des orientations davantage que comme des
impératifs absolus. Ils sont d'ailleurs davantage destinés au promoteur·rice, laquelle reste le ou
la garant·e académique du mémoire et de sa qualité "scientifique". L'étudiant·e est invité à en
discuter avec son ou sa promoteur·rice.
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À partir de cet ensemble de considérations se pose la question des différentes formes que peut
adopter le mémoire. Le mémoire porte d’une manière ou d’une autre sur le rapport entre un
champ de pratiques et une analyse théorique.
Le mémoire peut prendre différentes formes et présenter différents types de recherches:
• Dans une perspective de recherche fondamentale, il se développe en articulation étroite
entre un modèle théorique et des observations empiriques. Le schéma de recherche correspond
à la démarche suivante : question de départ - problématique - hypothèses - vérification
empirique des hypothèses - conclusions.
• Dans la recherche évaluative, il part des questions nées du terrain, qu’elles soient à visée
pragmatiques ou politiques et les développe dans un objectif de prise de décision. C’est dans la
comparaison entre les observations issues du terrain et un modèle de référence que réside
l’articulation expérience - réflexion théorique.
• En ce qui concerne la recherche-action, il s’élabore à partir des pratiques du terrain et,
avec la participation des populations concernées, vise les transformations de ces pratiques. Son
mode de travail réside, comme pour la recherche évaluative, dans la comparaison entre la
situation actuelle et la conceptualisation d’une situation à produire.
Notez que, généralement, le mémoire relève d’une production individuelle. Toutefois, il peut
être réalisé collectivement. Dans ce cas, les étudiant·e·s élaborent un projet commun où
s’articulent de façon cohérente leurs contributions respectives. Un mémoire “collectif” ne peut
être réalisé par plus de deux étudiant·e·s. Le texte final devra clairement indiquer quelles sont
les contributions respectives de chacun·e des étudiant·e·s à l’ensemble du travail d’une part et
à la rédaction du texte d’autre part.
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Étapes du mémoire
Étapes Quand ?
1) Repérer un sujet sur la plateforme OSIS Dès le 1er février 2019
2) Prendre contact avec un·e promoteur·rice
Dès le 1er mars 2019
3) Soumettre un projet de mémoire sur OSIS
4) Acceptation ou refus de collaboration du
promoteur·rice
5) Constitution d’une commission Avant la récolte des données
6) Récolte des données du mémoire
En fonction du planning décidé avec le ou
la promoteur·rice 7) Rédaction du mémoire
8) Défense du mémoire
1) Repérer un sujet sur la plateforme
La plateforme « Mémoires » est le support utilisé pour visualiser l’ensemble des thématiques
et propositions de mémoire des promoteur·rice·s (lien vers la plateforme :
https://studies.uclouvain.be/dissertation/). Toutes les informations utiles concernant cette
plateforme sont données en Annexe 1.
Concrètement, à partir du 1er février, la plateforme mémoires sera mise à jour et permettra à
l’étudiant·e de prendre connaissance des centres d’intérêt et des domaines d’expertise des
promoteur·rice·s potentiel·le·s. Dès cette date, l’étudiant·e identifiera les promoteur·rice·s dont
les intérêts concordent avec les siens.
2) Prendre contact avec un·e promoteur·rice
À partir du 1er mars, l’étudiant·e peut prendre contact par mail avec des promoteur·rice·s
potentiel·le·s (un·e à la fois.) afin de leur faire part de son intérêt pour une thématique proposée.
Ce n’est que si un·e promoteur·rice a refusé d’encadrer un·e étudiant·e que celui-ci/celle-ci
peut prendre contact avec un·e nouveau·elle promoteur·rice.
3) Soumettre un projet de mémoire sur la plateforme
Si cette prise de contact s’avère fructueuse, l’étudiant·e peut soumettre un projet de mémoire
via la plateforme mémoires, en suivant les modalités proposées.
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4) Acceptation ou refus de collaboration du/de la promoteur·rice
Une fois la soumission effectuée, le/la promoteur·rice potentiel·le prend connaissance du projet
et accepte ou refuse de promouvoir le mémoire de l’étudiant·e. Cette acceptation ou ce refus se
fait toujours via la plateforme. En cas de refus, l’étudiant·e peut prendre contact avec un ou une
autre promoteur·rice et lui soumettre ensuite un projet de mémoire.
Seuls les accords réalisés via la plateforme Mémoires sont officiels.
5) Constitution d’une commission
La Commission d’accompagnement est formée à l’initiative de l’étudiant en concertation étroite
avec son/sa promoteur·rice.
a) Quel est le rôle de la Commission ?
La Commission d'accompagnement a pour but d’accompagner le/la mémorant·e à certains
moments charnières de la réalisation du mémoire. Elle se justifie, d'une part, par le fait que le
mémoire en formation d'adultes est fréquemment axé sur une pratique socioprofessionnelle et,
d'autre part, en raison de l'intérêt d’une complémentarité des compétences requises pour l’étude
de ce type d’objet. Son but est d'accompagner l'étudiant·e dans la réalisation de son mémoire
en vue de lui fournir les conseils utiles à la progression de sa recherche (orientations théoriques,
méthodologie, lectures, etc.). En fin de parcours, cette Commission se constitue en Jury de
mémoire, qui aura comme rôle d’évaluer celui-ci.
b) Qui en fait partie?
L’encadrement du mémoire est assuré par une Commission d’accompagnement. Celle-ci est
nécessairement composée du/de la promoteur·rice de mémoire et de deux
accompagnateur·rice·s.
Le/la promoteur·rice est un enseignant·e de la FOPA ou un·e académique de l’UCL qui dispose
d’une compétence reconnue dans le domaine de l’éducation et/ou de la formation. 23
Le/la premier·e accompagnateur·rice est :
- soit un·e membre académique ou scientifique de l’UCL ou d’une autre université,
2 Un professeur qui n’est pas (ou plus) un enseignant de la FOPA peut être choisi comme co-promoteur. 3 Un professeur invité qui accepte une promotion de mémoire s’engage à accompagner le mémoire jusqu’à son
terme (ou à organiser son remplacement), même dans le cas d’un non-renouvellement de son mandat.
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- soit un·e enseignant· en Haute Ecole,
- soit un·e chercheur·e spécialiste du champ,
- soit exceptionnellement un·e conseiller·e à la formation expert·e dans la thématique.
Le/la second·e accompagnateur·rice est une personne de terrain, c’est-à-dire possédant une
expérience pratique dans le domaine abordé par le mémoire. Cette personne doit être détentrice
d’un master.
Notez toutefois que si le promoteur·rice n’est pas un·e enseignant·e de la FOPA, il faut que
le/la premier·e accompagnateur·rice enseigne à la FOPA. En résumé, deux cas de figure sont
possibles :
Remarques :
1/ Ne peuvent pas faire partie de cette commission :
- les personnes qui entretiennent avec le/la mémorant·e des liens familiaux et/ou de
dépendance professionnelle,
- les étudiant·e·s actuel·les de la FOPA.
2/ Si un·e étudiant·e souhaite soumettre une demande d'exception par rapport à la composition
de sa commission, il/elle doit introduire sa demande auprès du président de la commission de
programme FOPA pour approbation.
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c) Procédure de composition de la Commission
Les accompagnateur·rice·s peuvent être choisi·e·s dès le début de l’élaboration du projet avec
le/la promoteur·rice, mais ils/elles peuvent aussi être choisi·e·s plus tard lorsque le projet est
déjà clarifié. Le/la promoteur·rice doit marquer son accord quant aux personnes qui peuvent
être sollicitées pour rejoindre la Commission d’accompagnement.
La Commission d’accompagnement du mémoire doit toutefois être composée avant que
l’étudiant·e ne procède à un recueil de données. Cette Commission doit en effet se réunir et
donner son aval sur la méthodologie adoptée pour le recueil de données.
Dès que la Commission est constituée et au plus tard lors de la rencontre qui fait le point sur les
aspects méthodologiques, tous ses membres doivent être encodés sur la plateforme soit par
l’étudiant·e, soit par le/la promoteur·rice. Le jury restreint vérifiera si la constitution de la
Commission est bien en accord avec les règles décrites supra et pourra le cas échéant mandater
des modifications4.
Chaque changement dans la composition de la Commission d’accompagnement doit être
signalé par l’étudiant·e au secrétariat de la FOPA, qui le transmettra au jury restreint pour
approbation.
d) Quelles sont les modalités de fonctionnement de la Commission ?
La Commission se réunit au minimum deux fois sur la base de documents écrits remis par
l'étudiant·e.
- Avant les premières opérations de récolte des données empiriques, les membres de la
Commission d’accompagnement se réunissent pour avaliser les propositions de
recherche empirique en fonction de la problématique de recherche, du cadre théorique
et des choix méthodologiques proposés par l’étudiant·e.
- Lors de la défense du mémoire (où la Commission devient Jury).
Si les membres de la Commission d’accompagnement l’acceptent, ils peuvent bien entendu
décider de se rencontrer plus souvent. Le/la promoteur·rice est par ailleurs chargé·e de soutenir
et d’orienter l’étudiant·e tout au long de son travail.
4 Les prérogatives du jury restreint peuvent être retrouvées dnas Règlement Général des Etudes et des Examens de
l’UCL approuvé par le Conseil académique du 2 juillet 2018 (https://uclouvain.be/fr/facultes/sc/reglement-des-
examens.html).
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6) Complétion et signature des documents d’engagement de confidentialité et de
cession du droit
Avant de se lancer dans la récolte de données, l’étudiant·e fait compléter par son/sa
promoteur·trice les documents concernant l’engagement de confidentialité et la cession du droit
à la propriété intellectuelle présents en annexe 5.
7) Récolte des données du mémoire
Une fois que ces documents sont complétés et que la commission s’est réunie et a donné son
accord quant à la ligne directrice à donner au mémoire et quant à la méthodologie choisie,
l’étudiant·e peut lancer sa récolte de données. Une série de cours, de séminaires et d’outils sont
d’ailleurs à sa disposition pour l’aider dans sa démarche de recherche (voir Annexe 2)
8) Rédaction du mémoire
La rédaction du mémoire peut débuter avant la récolte des données si l’étudiant·e souhaite déjà
avancer sur l’écriture de sa partie théorique. Cependant, la finalisation du mémoire nécessitera
d’avoir récolté les données. Plusieurs règles importantes de forme et de structure sont à suivre
lors de la rédaction du mémoire. En outre, les références bibliographiques utilisées sont à citer
en respectant les règles de l’American Psychological Association (APA). L’annexe 3 passe en
revue ces différentes règles.
9) Défense du mémoire
Le mémoire peut être défendu à tout moment estimé opportun par l'étudiant·e et les membres
de sa Commission d’accompagnement. L'étudiant qui le souhaite peut donc présenter son
mémoire à tout moment avant les dates butoirs indiquées ci-dessous.
Notez que le fait d’organiser la défense ne signifie pas pour autant que le mémoire répond aux
exigences de réussite. En effet, la note est attribuée à l’issue de la défense et prend en compte
la production écrite et la défense orale. Cette note est ensuite transmise au jury d’examens qui
est le seul habilité à créditer la note.
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Session de
janvier 2019
Session de
juin 2019
Session de
septembre 2019
Date ultime pour
(a) la défense du mémoire,
(b) la rentrée de la note
(par le promoteur)
29 janvier
à 10 h
29 janvier
à 12 h
27 juin
à 10 h
27 juin
à 12 h
5 septembre
à 10 h
5 septembre
à 12 h
Date ultime pour l’envoi de
l’attestation du dépôt du mémoire
sur DIAL (datée et signée)
22 janvier
à 12 h
21 juin
à 12 h
29 août
à 12 h
Date de délibération du jury 29 janvier 27 juin 5 septembre
L'étudiant·e devra prendre contact lui-même avec tous les membres de la commission
d'accompagnement (promoteur·rice – accompagnateur·rice·s) pour fixer la date et l'heure de la
défense. Il est important de ne pas tarder pour contacter sa commission afin de trouver une date
de défense facilement et afin d’éviter les situations d’urgence pour trouver une date.
L’étudiant·e est tenu de prévenir le secrétariat de la date de défense au moins 15 jours avant la
défense, afin qu’un local puisse être réservé et que la convocation officielle à la défense puisse
être envoyée aux membres de la Commission d’accompagnement.
La version papier du mémoire est à déposer aux membres de la Commission
d’accompagnement avant la date de défense. La date de ce dépôt (une semaine avant la défense)
est à définir avec le promoteur·rice et la Commission d’accompagnement. Au même moment,
la version électronique du mémoire doit être déposée en ligne sur DIAL
(http://dial.academielouvain.be/cgi-bin/Memoire/submit.cgi).
Concernant la défense à proprement parlé :
- La défense publique est faite par l'étudiant·e devant sa Commission
d'accompagnement, réunie en tant que Jury.
- Le/la mémorant·e présente durant dix minutes son mémoire en mettant en évidence
les éléments principaux de sa recherche.
- S'ensuit une discussion d'une trentaine de minutes entre les membres de la
Commission et le/la mémorant·e5.
5 N.B. : La défense du mémoire étant publique, l'étudiant peut y inviter condisciples, amis, famille.
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- Une fois la présentation et la discussion terminées, la délibération du jury de mémoire
se fait à huis clos. Les membres de la Commission, réunis en tant que Jury, formulent
leur appréciation sur la base des critères d’évaluation du mémoire (cf. Annexe 4). Plus
précisément, chaque membre de la Commission est invité à donner son appréciation. La
note finale est établie collégialement ou, par défaut, en faisant la moyenne des trois
notes proposées. Cette note correspond à l’intitulé de cours « Mémoire (LFOPA2920) »
et représente 22 crédits des cours de Bloc 2.
En résumé :
Quoi ? Pour quelle date au plus tard ?
Avant
la
défense
Prise de contact avec les membres de la
Commission d'accompagnement pour fixer
la date/heure de la défense.
/
Prévenir le secrétariat de la date/heure de la
défense.
Au moins 15 jours avant la date de la
défense*.
Remise d’un exemplaire imprimé du
mémoire à chaque membre de la
Commission.
À définir avec la Commission
d’accompagnement (au plus tard une
semaine avant la défense).
Dépôt du mémoire sur DIAL
(http://dial.academielouvain.be/cgi-
bin/Memoire/submit.cgi).**
Au même moment que le dépôt des
exemplaires aux membres du Jury
(Au plus tard : 22/01, 21/06 ou
29/08).
Défense Présentation du mémoire sur base d’un
support visuel (ex. PowerPoint ou poster).
Après
la
défense
Dépôt (par le promoteur) de la note au
secrétariat.
* Afin qu’un local puisse être réservé et que la convocation officielle à la défense puisse être envoyée aux membres
de la Commission d’accompagnement.
** Lorsque le mémoire est réussi, il sera rendu visible en ligne, sur dial, par le secrétariat si le travail a été évalué
à 14 ou plus.
Remarque : Dans l’éventualité où la date de défense du mémoire et/ou de rentrée de la note ne
serait pas respectée, le mémoire sera considéré comme non présenté (note A).
Les règles à respecter
1) La confidentialité
Par défaut, tout mémoire défendu et délibéré est consultable. Néanmoins, à titre exceptionnel,
le mémoire peut rester confidentiel. Cette option devra dans ce cas être choisie lors du dépôt du
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mémoire sur DIAL. Cette option doit faire l’objet d’une demande motivée et approuvée par
le/la promoteur·rice.
2) La pratique des cadeaux
La pratique des cadeaux à l’issue de la défense du mémoire et avant la délibération du jury
d’examen est interdite. Elle met les étudiants en situation d’inégalité les uns par rapport aux
autres et pourrait être perçue comme une tentative de corruption.
3) L’éthique de la recherche et le plagiat
Le travail de mémoire, comme tout travail de recherche, implique l’adoption d’une conduite
scientifique responsable et le respect de normes morales et éthiques. Deux aspects en particulier
sont à prendre en considération : 1) l’éthique de la recherche et 2) le rapport aux sources et le
plagiat.
a) L’éthique de la recherche
La production, l’exploitation et le traitement de données de recherche doivent répondre à des
exigences scientifiques, mais également à des exigences éthiques et morales.
La recherche implique la responsabilité du chercheur·e qui la mène et le respect par le/la
chercheur·e des principes suivants devant orienter son activité de recherche : la rigueur, la
prudence, la fiabilité, la vérifiabilité, l’indépendance et l’impartialité.
Par rapport à la relation entre les chercheur·e·s et les « sujets » de l’étude, nous reprenons ici
les principes généraux et spécifiques proposés par la Commission d’éthique de l’Institut de
recherche en sciences psychologiques (IPSY) (Pour plus d’information :
https://uclouvain.be/fr/instituts-recherche/ipsy/commission-d-ethique.html).
Principes éthiques généraux :
- Bienfaisance et non-malfaisance : Les recherches visent le développement des
connaissances au moyen d’interventions qui ne peuvent causer aucun dommage
physique ou moral aux participants.
- Fidélité et responsabilité : Les chercheur·e·s établissent des relations de confiance avec
leurs partenaires et ils assument personnellement la responsabilité de leurs choix.
- Intégrité : Le devoir d’honnêteté s’impose dans le respect du travail d’autrui et dans le
maintien de compétences professionnelles à un niveau élevé.
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- Justice : Les chercheur·e·s veillent à ne pas introduire d’inégalités ou de discriminations
dans leurs pratiques.
- Respect des droits et de la dignité des personnes : Les chercheur·e·s demandent le
consentement libre et informé des participant·e·s aux interventions mises en œuvre,
ils/elles respectent la confidentialité et la vie privée.
Principes éthiques spécifiques :
- Demande d’approbation institutionnelle : les chercheur·e·s s’engagent à respecter les
principes éthiques en soumettant leur projet à l’instance mise en place par l’institution
et s’engagent à ne pas modifier ce projet de manière substantielle au cours de sa
réalisation.
- Dispenses : les études utilisant des éléments disponibles dans le domaine public,
l’analyse a posteriori de données archivées et les tests effectués dans le contexte d’un
processus pédagogique ne nécessitent pas de demande formelle d’approbation.
- Respect de l’anonymat : un accord des participant·e·s est exigé en vue de l’utilisation
d’enregistrements audio ou vidéo et de leur image (cet accord est annexé au mémoire)
- La dissimulation totale ou partielle d’éléments de l’étude doit être justifiée par des
raisons scientifiques ; elle doit être expliquée a posteriori aux participant·e·s qui
conservent également le droit de demander l’effacement de données.
- Retour a posteriori (débriefing) : les participant·e·s ont le droit de recevoir en retour une
information compréhensible sur les résultats de l’étude.
Tout écart à ces principes doit être soumis à l’avis de personnes ou d’institutions qualifiées pour
donner un avis tant sur les aspects scientifiques que sur la portée éthique de la question (comité
d’accompagnement du mémoire, comité d’éthique, comité de suivi du programme, autorités
académiques…).
b) Le rapport aux sources et le plagiat
Dans un courrier transmis par les autorités académiques de l’UCL à l’ensemble des étudiants
(décembre 2007), on lit que « Plagier, c’est reprendre, comme si on en était l’auteur, le texte
d’un autre, même bref, ou les idées d’un autre, sans citer cet auteur. On observe régulièrement,
par exemple, des étudiants qui utilisent le « copier-coller » dans des travaux écrits de
séminaires, des rapports de stage ou des mémoires. Vos professeurs vous enseignent, dès le
début de vos études, comment citer l’auteur d’un ouvrage, d’un texte ou d’une idée. Cette
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formation à la méthodologie du travail universitaire vous apprend la rigueur, la curiosité
intellectuelle, l’intérêt et le respect du travail d’autrui, et, par-dessus tout, l’honnêteté et
l’équité. »
Le plagiat est donc un acte, volontaire ou involontaire, qui est considéré comme une tricherie
et qui est susceptible de sanction grave, allant du renvoi à l’année suivante jusqu’à l’exclusion
de l’étudiant·e. L’UCLouvain a mis en place une sévère politique de détection du plagiat. Pour
bien vous en informer, les enseignant·e·s et les conseiller·e·s à la formation vous en parleront
en début d’année académique. Les règles, strictes, sont rappelées dans les divers règlements.
N’oubliez pas que le plagiat recouvre une diversité de situations, lesquelles sont distinguées ci-
dessous :
La citation des sources
Pour éviter le plagiat, les sources utilisées doivent être mentionnées à la fois dans le corps du
texte et dans une bibliographie en fin de travail. Les citations sont placées entre guillemets avec
indication de la source.
Il est par ailleurs important de distinguer les sources primaires des sources secondaires. Les
sources primaires sont les textes de l’auteur·e tandis que les sources secondaires sont les travaux
d’étude ou de recherche produits par d’autres auteur·e·s en référence à la source primaire. Cette
distinction doit apparaître explicitement dans tout travail écrit.
Le plagiat électronique
Celui-ci peut prendre plusieurs formes :
• Copier ou paraphraser le contenu d’un site Web sans en citer la source.
• Télécharger des documents / travaux et prétendre en être l’auteur·e.
• Utiliser les fonctions « copier-coller » et prétendre être l’auteur·e du travail.
L’intégration d’une production préexistante (texte, image, son…) dans un nouveau document
nécessite par ailleurs d’obtenir l’assurance que la source n’est pas soumise à un copyright, afin
de respecter la législation sur la propriété intellectuelle.
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L’auto-plagiat
Reprendre son propre travail, en tout ou en partie, pour plusieurs utilisations différentes
(exemple, un même travail présenté dans le cadre de deux cours différents) et sans indiquer ce
fait est de l’auto-plagiat.
Généralement, le mémoire relève d’une production individuelle. Toutefois, il peut être réalisé
collectivement. Dans ce cas, les étudiant·e·s élaborent un projet commun où s’articulent de
façon cohérente leurs contributions respectives. En principe, un mémoire “collectif” ne peut
être réalisé par plus de deux étudiant·e·s. Le texte final devra clairement indiquer quelles sont
les contributions respectives de chacun·e des étudiant·e·s à l’ensemble du travail d’une part et
à la rédaction du texte d’autre part.
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Annexe 1 : Comment utiliser la plateforme OSIS ?
La plateforme OSIS est le lieu pour visualiser les projets/thématiques des promoteurs·rices,
soumettre un projet au promoteur·rice (sur la base d’un échange préalable), recevoir une
réponse du/de la promoteur·rice, officialiser le lancement du mémoire et de la promotion,
recenser les accompagnateurs·rices.
1) Pour y accéder, connectez-vous sur le lien suivant
https://studies.uclouvain.be/dissertation/
2) Vous devez introduire votre identifiant global et votre mot de passe pour pouvoir y
accéder.
3) Vous arrivez ensuite sur la page suivante :
4) L’onglet « sujet de mémoires » vous permet de visualiser l’ensemble des sujets de
mémoire proposés par les promoteurs·rices de la FOPA ainsi que le nombre de
mémoires que chaque promoteur·rice est prêt à encadrer (voir capture d’écran ci-
dessous). C’est sur base de cette « liste » que vous devrez réfléchir à un sujet de
mémoire qui vous intéresse et contacter par après un/une promoteur·rice
éventuel·lle. Pour en savoir plus sur le sujet, vous pouvez cliquer sur le sujet qui
vous intéresse et plus d’information apparaitront. Notez toutefois que certains
promoteurs·rices font preuve de souplesse dans leurs thématiques de mémoire et que
vous pouvez donc leur proposer des sujets parfois plus larges.
19
5) Après avoir pris contact avec un/une promoteur·rice et avoir discuté avec lui/elle
d’une éventuelle collaboration, vous êtes invité à soumettre un « projet de mémoire ».
Pour ce faire, vous serez amené à cliquer sur l’onglet « Mémoires » (mes projets de
mémoires).
6) Plus précisément, vous devrez cliquer sur le "+" et compléter la fiche (en fonction des
propositions lues ou du projet) tout en sélectionnant, grâce à un menu déroulant
l’enseignant·e avec qui vous avez eu un contact.
Ce promoteur accepte
d’encadrer 2 étudiants
et les 2 places sont
encore libres
Cliquez ici pour
ajouter un projet
20
7) Après avoir complété la fiche, cliquer sur « sauvegarder », ce qui met le projet à
l’état de brouillon. Il n’est alors pas encore envoyé au promoteur·rice
8) Après la sauvegarde, vous êtes renvoyé à une page qui récapitule votre projet. S’il
vous satisfait vous pouvez appuyer sur « soumettre au promoteur ». Le
promoteur·rice recevra alors un mail pour aller consulter votre projet. S’il vous
semble que quelques modifications doivent encore être apportées, cliquer sur l’icône
« éditer ». Cela vous permettra de revenir à votre projet et d’y apporter d’éventuelles
modifications.
Editer
21
9) En accord avec le/la promoteur·rice, pour soumettre un projet original (qui n’est pas
dans la liste), la procédure est la même. Il suffit alors de modifier le titre proposé au
départ par votre proposition.
10) Dès que la commission est constituée et au plus tard lors de la rencontre qui fait le
point sur les aspects méthodologiques, tous ses membres doivent être encodés sur la
plateforme soit par l’étudiant·e, soit par le/la promoteur·rice. Pour ce faire, vous
devrez retourner sur votre projet de mémoire et cliquer sur ajouter un lecteur.
22
Annexe 2 : Les ressources et outils
Durant son parcours, l’étudiant·e va se voir proposer une offre importante de cours et de séminaire ayant pour but de l’aider dans la démarche de
réalisation du mémoire. Le tableau ci-dessous en offre un aperçu.
Quand ? Activités centrées sur le mémoire Points d’appui supplémentaires
Bloc complémentaire Séminaire d’accompagnement des pratiques
professionnelles
(LFOPA 2008)
Ateliers d'intégration, de gestion et de formation
(LFOPA 2009)
Méthodologie de la recherche en sciences humaines
(LFOPA 2006)
Traitement de données quantitatives (LFOPA 2007)
Les cours et les contacts développés avec les différents
intervenants de la FOPA
Bloc 1 Démarche de recherche et accompagnement du
projet mémoire (LFOPA 2913)
Ateliers d'intégration, de gestion et de formation
(LFOPA 2112)
Traitement de données qualitatives (LFOPA 2914)
Les cours et les contacts développés avec les différents
intervenants de la FOPA
Service de documentation en éducation et formation
(SerDEF)
Bloc 2 Commission d’accompagnement – Séminaire de
promotion du mémoire (LFOPA 2922)
Les TP de soutien méthodologique organisés par
les assistants de la faculté
Séminaire de recherche en sciences de l’éducation (LFOPA
2924, 2925, 2926, 2927)
Ateliers d'intégration, de gestion et de formation (LFOPA
2124)
Service de documentation en éducation et formation
(SerDEF)
23
Bloc complémentaire
La préparation à la réalisation du mémoire s'opère dès le bloc complémentaire et s'inscrit
dans l'élaboration progressive d’une posture de recherche. Cet apprentissage est réalisé en
particulier dans le cadre du Séminaire d’accompagnement des pratiques professionnelles
(LFOPA 2008) et des Ateliers d’intégration, de gestion et de formation (LFOPA 2009).
Le séminaire a pour but d’amener les étudiant·e·s à décrire, interpréter et problématiser une
situation professionnelle en référence à des cadres théoriques et méthodologiques, afin de
déboucher sur un questionnement et/ou des pistes d’action et/ou de recherche. Il permet donc
d’amorcer une réflexion sur les questions de recherche pouvant émerger de la pratique
professionnelle.
Les ateliers sont placés sous la responsabilité du/de la conseiller·e à la formation et
comprennent trois volets. Les ateliers de gestion ont pour but de rendre l'étudiant·e
acteur·rice de la gestion logistique et pédagogique de sa formation (ex. fonctionnement et
vécu au sein des sous-groupes). Les ateliers de formation concernent le travail en groupe,
les méthodes de travail intellectuel (recherche documentaire, rédaction et lecture-synthèse
de textes scientifiques, expression orale, etc.), les méthodes plus spécifiquement de
formation d'adultes (entraînement mental, recherche-action, gestion du projet, créativité,
etc.) et les méthodes de prise de recul individuel (gestion du stress, du temps, etc.). Enfin,
les ateliers d'intégration ont pour objectif de rendre les étudiant·e·s capables d'analyser
leur(s) processus d'entrée en formation, en vue de donner sens à leur projet FOPA. Ces
différents axes contribueront donc de manière complémentaire à la réflexion de l’étudiant·e
sur son projet de mémoire.
Par ailleurs, les cours thématiques permettront à l’étudiant·e de prendre connaissance des
courants, études et questions en suspens dans ces différents domaines, et deux cours
méthodologiques permettront à l’étudiant de découvrir les bases de la recherche en sciences
humaines : Méthodologie de la recherche en sciences humaines (LFOPA 2006) et
Traitement de données quantitatives (LFOPA 2007).
Bloc 1
En Bloc 1, le cours de Démarche de recherche et accompagnement du projet mémoire
(LFOPA2913) est le lieu principal du démarrage et de l’élaboration du projet de mémoire.
Ce cours comporte deux parties distinctes, mais articulées. Dans la première partie du cours,
l'objectif majeur est de mettre en œuvre, par groupe d'étudiant·e·s, une démarche de
recherche dans ses différentes étapes (définition de la problématique, traduction en
question(s) de recherche, conception et mise en œuvre d'une méthodologie de recueil de
données, analyse de données, communication des résultats). Dans une seconde partie,
24
l'objectif est d'inviter les étudiant·e·s à définir leur problématique individuelle de mémoire,
par l'exploration et la lecture critique de la littérature y afférant.
Ensuite, les Ateliers d'intégration, de gestion et de formation (LFOPA 2112) contribuent à
l’élaboration du mémoire par une réflexion sur l’ancrage du projet du mémoire dans le
processus global de formation de l’étudiant d’une part et de l’apport d’outils intellectuels et
méthodologiques d’autre part.
En outre, le cours de Traitement des données qualitatives (LFOPA 2914) complétera le volet
quantitatif dispensé dans le Bloc 1 et familiarisera les étudiant·e·s avec la récolte et l’analyse
de matériaux qualitatifs (ex. entretiens). Enfin, le Service de documentation en éducation et
formation (SerDEF) est un outil précieux dans la mesure où il peut fournir une aide
substantielle en matière de recherche bibliographique.
Bloc 2
Des travaux pratiques optionnels de soutien méthodologique sont organisés par les
assistant·e·s de la faculté. L’étudiant·e peut y avoir recours en fonction de ses besoins sur
recommandations et accord de son ou sa promoteur·rice.
Par ailleurs, la réflexion de l’étudiant·e sera nourrie par les apports provenant des différents
cours, séminaires et ateliers, en particulier les ateliers d’intégration, de gestion et de
formation (LFOPA 2124) et les séminaires de recherche en sciences de l’éducation.
Concernant ces derniers, l’étudiant·e est invité·e à choisir un séminaire parmi quatre
possibilités, en fonction du type de méthodologie qu’il/elle souhaite mettre en œuvre dans
son mémoire :
- Entretien de recherche, récit de vie et traitement des données qualitatives (LFOPA 2925)
- Récolte et traitement de données quantitatives (LFOPA 2926)
- Étude de cas et monographie de site (LFOPA 2924)
- Recherche, critique et analyse de documents (LFOPA 2927).
25
Annexe 3 : Les règles de rédaction du mémoire
1. Les règles de forme du mémoire
a) Normes physiques du mémoire
Pour une bonne lisibilité, les caractères seront présentés avec empattement. L’écriture en
« Times new roman 12» est suggérée. Pour les titres, un caractère plus gros sera utilisé (Arial
si possible). Ceux-ci seront en décalage par rapport au corps du texte et toujours en tête de
page.
Des interlignes de 1,5 (18 points max. et 15 min.) sont demandés ainsi que des marges de 4
cm à gauche et 2,5 cm à droite.
Le texte aura donc une largeur variant entre 15 et 15,5 cm par page.
Le travail sera imprimé en recto-verso, sur papier recyclé. L’utilisation de plastique est
proscrite pour la couverture.
b) Les mises en évidence dans le texte
L’essentiel des mises en évidence doit être assuré par des sous-titres adéquats, des mots-
liens entre les paragraphes et des synthèses régulières. Il faut donc, autant que possible, éviter
les mises en évidence à l’intérieur du corps du texte, et respecter la règle de sobriété.
Néanmoins, il est admis de souligner ou de faire apparaître en caractères gras l’un ou l’autre
mot-clé dans le texte pour en montrer l'importance. Un excès de mises en évidence à
l’intérieur du texte abolit l'effet recherché.
c) La pagination
Il ne faut pas oublier de paginer tout document remis dans le cadre du mémoire, que ce soit
le corps du texte ou les annexes.
d) L’orthographe et la syntaxe
Il revient à l’étudiant·e de remettre un texte exempt de fautes de syntaxe et d’orthographe,
et de prendre les mesures nécessaires dans ce sens, telle la relecture par une autre personne.
26
2. Les règles de structure du mémoire
a) L’organisation en chapitres et en titres
Le mémoire est de maximum 80 pages pour les mémoires individuels et 120 pages pour les
mémoires en duo. Il est recommandé de recourir à un nombre raisonnable de chapitres : un
nombre suffisant de chapitres pour faire apparaître clairement la structuration générale du
mémoire, mais un nombre limité pour éviter de perdre le lecteur. En général, 4 à 6 chapitres
constituent un bon point de repère. La logique interne de la recherche indique quelle doit
être l'organisation des éléments présentés dans un chapitre. Il faut maintenir constant dans
tout le mémoire l'ordre des subdivisions et leur présentation.
Les titres doivent être clairs, précis et aussi brefs que possible. Un rappel du chapitre en
cours situé en en-tête (c’est-à-dire en haut de page) permet au/à la lecteur·rice de se situer
continuellement dans le mémoire. Il peut être intéressant de placer un bref aperçu du contenu
du chapitre après le titre de celui-ci, ou encore un résumé à la fin du chapitre.
b) Le résumé en quatrième de couverture
Un résumé d’une page du mémoire doit se trouver en quatrième de couverture du mémoire.
Il devra inclure une présentation du domaine de la recherche, la(les) question(s)-problème(s)
traitée(s), la méthodologie utilisée, une synthèse des résultats les plus significatifs, les
orientations éventuelles pour une future recherche et les références bibliographiques les plus
significatives.
c) La couverture
Un exemple type de couverture est repris sur la page web suivante :
https://uclouvain.be/fr/facultes/psp/edef/documents-administratifs.html
d) La table des matières
La table des matières se situe en début de mémoire, après les remerciements. Elle doit être
présentée de façon à faire apparaître clairement la structure hiérarchique du travail.
e) Les notes de bas de page
Il est bon de mettre en note de bas de page tout ce qui constitue une surcharge pour le texte
courant. Il faut faire le lien entre la note et le texte courant, soit par un chiffre indicé, soit par
un chiffre placé entre parenthèses, soit par un astérisque. Il faut veiller à adopter une
procédure constante tout au long du mémoire.
27
f) La bibliographie
Elle figure en fin de mémoire. Les règles concernant la bibliographie et la citation des
sources dans le mémoire seront présentées plus bas.
3. La présentation des résultats de la recherche
a) La place des données brutes
On ne fait pas figurer les données brutes dans le corps du mémoire. Le corps du mémoire ne
doit donc reprendre que l’ensemble des éléments nécessaires pour comprendre le
cheminement qui a permis de passer des données brutes recueillies sur le terrain aux résultats
de la recherche proprement dits. Il s’agit tout d’abord des données principales, qu’elles soient
qualitatives ou quantitatives, réorganisées et présentées de façon synthétique, sous la forme
de tableaux, de schémas, de graphiques. Il s’agit également des explications relatives à la
compréhension du raisonnement proprement dit : la raison de tel regroupement de données,
de telle relation que l’on établit entre elles, de tel type de traitement que l’on opère sur les
données brutes.
Celles-ci sont en revanche mises à la disposition des membres de la commission de manière
anonymisée, de manière à ce que ceux-ci soient en mesure de refaire la totalité du traitement,
qu’elles soient renvoyées en annexe, pour la partie la plus significative d’entre elles, ou que
les membres de la commission puissent les demander à l’étudiant·e, si ces données sont trop
abondantes pour figurer dans le mémoire. Les données brutes figurant en annexe devront
faire l’objet de références précises et explicites.
b) La présentation des données qualitatives et de leur traitement
Il est difficile de donner des règles générales pour la présentation des données qualitatives,
tant celles-ci peuvent revêtir des formes différentes. Tout au plus peut-on donner quelques
points de repère :
- éviter de présenter des données brutes abondantes dans le corps du texte ; mettre
l’essentiel de ces données en annexe (cf. ci-dessus) ;
- insérer quelques données brutes particulièrement significatives dans le corps du texte, à
titre d’illustration ;
- préciser la méthode d’analyse de contenu à laquelle on a recouru ;
28
- si l’on a opéré des catégories, des regroupements, justifier les raisons de ces
regroupements, préciser les critères opérationnels de classement ; présenter les tableaux
de fréquences ou autres selon les règles énoncées ci-dessus ;
- pour les données recueillies directement chez les personnes ou dans une institution,
respecter le principe de la confidentialité : éviter qu’à travers la retranscription des
informations l’on puisse reconnaître la personne ou l’institution qui les a fournies, et
éviter de nommer celle-ci, sauf si on en a obtenu l’autorisation expresse de sa part ;
- pour les données ayant un caractère public (ouvrage, revue, ...), respecter la règle relative
à la citation des sources (voir plus loin).
Le principe qui doit guider la présentation de données qualitatives est le principe de
répétabilité de la démarche et de la méthodologie, qui consiste à mettre à disposition du
lecteur les informations nécessaires pour qu’il soit en mesure de se représenter avec précision
le traitement opéré par l’étudiant.
c) La présentation des données quantitatives et de leur traitement
Pour la présentation des données quantitatives, il y a également quelques règles de base à
respecter.
Tout d’abord, il est nécessaire de respecter la même règle de répétabilité, énoncée ci-dessus,
ce qui implique que l’ensemble des données brutes soient mises à la disposition du/de la
lecteur·rice.
Il est ensuite nécessaire de préciser le type de traitement que l’on a opéré sur les données
quantitatives, et, le cas échéant, expliciter sommairement le modèle statistique auquel on a
recouru.
d) Les tableaux et figures (schémas, graphiques)
Que les résultats portent sur des données qualitatives ou quantitatives, il est souvent
intéressant de recourir à des tableaux ou à des figures (schémas, graphiques) pour présenter
ceux-ci. La présentation de ces tableaux et figures doivent respecter les normes APA (voir
plus bas). Voici les quelques règles à respecter dans leur utilisation.
29
Tout d’abord, il faut bien comprendre que des tableaux, des schémas et des graphiques
doivent pouvoir être compris et interprétés de façon indépendante du reste du texte. Pour ce
faire, il est nécessaire de les accompagner :
- d’un texte qui les présente, et qui montre quel est leur rôle dans le développement ;
- d’un titre explicite ; par convention, on place le titre d’un tableau au-dessus de celui-ci,
et le titre d’une figure (schéma ou graphique) au-dessous de celle-ci ;
- d’une numérotation ; cette numérotation est soit continue dans tout le travail, soit continue
au sein d’un chapitre (1.1, 1.2, 1.3, ..., 2.1, 2.2, ...) ; les numérotations des tableaux et des
figures sont indépendantes ;
- d’une légende, s’il est nécessaire de préciser les conventions d’écriture qui sont utilisées.
EXEMPLE 1
“On pouvait voir à la bibliothèque de Chartres, avant l’incendie de 1944, un manuscrit sur
lequel furent dessinées quatre figures présentant chacune trois cercles entrelacés de telle
sorte qu’il suffit de couper n’importe lequel d’entre eux pour que les deux autres soient
libérés. Ce volume est daté de 1355. Fort heureusement, un siècle avant sa destruction, la
première figure fut reproduite dans un ouvrage d’iconographie”.
(reproduction à l’échelle 1/2)
Figure 6.3. Les cercles de la Trinité (Julien, 1944, p.44)
30
EXEMPLE 2
Au total, cela peut permettre alors aux outils de décision de prendre la forme d’un tableau
présentant sensiblement les entrées suivantes :
TABLEAU 22. — Matrice de présentation de différentes alternatives susceptibles d’être
retenues dans l’élaboration d’un projet (Barbier, 1991, p.225)
Moyens
mobilisables
Conditions de
mise en œuvre
Résultat
probable
Effet possible
Première alternative
Seconde alternative
… etc.
Il faut en outre être le plus précis possible dans les types de données présentes dans les
tableaux ou dans les figures, en évitant les surcharges. C’est ainsi que les tableaux doivent
comporter des intitulés de lignes et de colonnes courts et précis. Les graphiques doivent,
pour leur part, préciser clairement quelles sont les grandeurs mises en relation : l’abscisse et
l’ordonnée (diagramme cartésien) ou autres grandeurs telles des bandes (histogramme) ou
des secteurs (diagramme en tarte).
On peut facilement améliorer la lisibilité d’un tableau ou d’un graphique de différentes
façons :
- en insérant des espaces à bon escient ;
- en jouant sur la taille des caractères et sur l’épaisseur des traits ;
Enfin, il faut éviter de présenter en une fois une information trop synthétique. Il est souvent
préférable de commencer par présenter des petits tableaux, ou des graphiques simples, de
façon séparée, quitte à les réunir ensuite dans un tableau ou graphique plus complexe. Le cas
échéant, on peut repousser en annexe des tableaux ou graphiques qui donneraient au texte
un caractère trop répétitif. Nous recommandons la lecture de l’ouvrage de « Albarello, L.,
Bourgeois, E. & Guyot, J.L. (2002). La statistique descriptive : un outil au service du
praticien chercheur. Bruxelles : De Boeck Université », qui fournit des exemples de
tableaux, figures et graphiques.
31
4. Citer les sources
Citer avec précision les travaux dont on s’est inspiré est important à double titre. D’une part,
c’est une question d’honnêteté intellectuelle. On respecte le travail des auteurs à partir
desquels on construit des synthèses personnelles; plagier, c’est voler des idées. Respecter les
sources, c’est une affaire de déontologie dont le non-respect est passible de sanctions en cas
de non-respect. D’autre part, le lecteur doit pouvoir retrouver sans ambiguïté les sources
bibliographiques citées parmi la masse énorme des publications scientifiques ; ce qui
implique la nécessité d’apporter le plus grand soin à la rédaction des références.
Trois questions se posent alors : Comment introduire des citations dans un texte ? Comment
noter les références bibliographiques ? Comment présenter une bibliographie ?
Pour répondre à cette question, nous renvoyons les étudiants vers le document suivant :
https://alfresco.uclouvain.be/alfresco/service/guest/streamDownload/workspace/SpacesSto
re/77f5b588-4a52-476a-b021-ca8f70548fcb/Norme%20APA_juillet17_EN.pdf?guest=true
Il s’agit d’un document, qui via des exemples, présente très concrètement le système des
références (normes) le plus utilisé dans le domaine des sciences de l’éducation : les normes
anglo-saxonnes telles que codifiées par l’A.P.A. (American Psychological Association).
C’est sur base de ces normes que vous devrez référencer la littérature utilisée pour rédiger
voter mémoire.
32
Annexe 4 : Critères d’évaluation du mémoire de fin d’études
Pour le Master en Sciences de l’Education
NOM et prénom de l’étudiant: ………………………………………………………………………………….… Titre du mémoire : ……………………………………………………………………………………………………………. Commentaires
Problématique, contextualisation et question de recherche (ancrage de la question de recherche dans le terrain et la littérature scientifique)
Cadre théorique (pertinence et maîtrise de la littérature)
Méthode de recherche (pertinence et validité des méthodes de recueil et d’analyse des données)
Résultats (rigueur de l’analyse et clarté de la présentation)
Discussion (interprétation, recul critique, pistes de recherche et d’action)
Structure (fil conducteur et organisation des informations)
Forme (style, normes APA)
Présentation/défense orale (focus, clarté, réflexion)
Autres commentaires
NOTE (sur 20 points – vaut 22 crédits) :……………………… Date : …………………………… Signatures : Promoteur Accompagnateur Accompagnateur Nom : ……………………………. Nom : ………………………. Nom : …………………………. Signature :……………………… Signature ………………… Signature ……………........
33
1. PROBLÉMATIQUE, CONTEXTUALISATION ET QUESTION DE RECHERCHE La problématique est développée (c.-à-d. le cheminement intellectuel, les éléments contextuels et/ou théoriques qui justifient le choix de la question de recherche). Cette problématique est contextualisée (c.-à-d. description du contexte dans lequel elle s’inscrit). L’objectif du mémoire, les questions de recherche et/ou les hypothèses sont :
- clairs - novateurs (c.-à-d. apportent des connaissances nouvelles) - pertinents pour le terrain (ex. ancrage dans le terrain, lien avec des enjeux importants) - pertinents pour la littérature scientifique (ex. permet de combler un vide).
2. CADRE THÉORIQUE
Les concepts sont maîtrisés. Le(s) cadre(s) théorique(s) et les recherches empiriques mobilisés sont :
- Pertinents par rapport à la problématique - À la pointe des connaissances sur le sujet (ex. références les plus récentes et/ou pertinentes) - Traités en profondeur - Intégrés, articulés, synthétisés et appropriés par l’étudiant.
3. MÉTHODE DE RECHERCHE
Les questions de recherche et/ou les hypothèses sont formulées de manière opérationnelle. Les méthodes de recherche choisies sont pertinentes pour répondre à la question de recherche. Les sources d’information (ex. échantillon de la population, matériau) sont pertinentes (ex. nombre de
participants, caractéristiques) et sont décrites avec précision. La méthode de recueil des données (ex. questionnaires, entretiens, expérience, analyse de cas) est décrite avec
précision, rigoureuse, basée sur la littérature et -éventuellement- originale. La méthode d’analyse des données (ex. analyses statistiques, analyses de contenu, méthode mixte) est décrite
avec précision, rigoureuse, basée sur la littérature et -éventuellement- originale. Pour les études quantitatives : les mesures sont valides et fiables (qualités psychométriques). Pour les études qualitatives : les critères d’inclusion dans les catégories sont précisés, etc.
4. RÉSULTATS Les données sont analysées avec précision et minutie. Les résultats sont présentés de manière :
- Rigoureuse - Ex. pour les études quantitatives : tests utilisés, valeurs des résultats, niveau de signification,
formulation correcte du résultat statistique dans le texte (cf. normes APA) - Ex. pour les études qualitatives : extraits de matériaux, références de ces extraits
- Claire et structurée. La présentation des résultats témoigne de leur compréhension par l’étudiant. La sélection des résultats présentés dans le corps du mémoire (par rapport aux annexes) est judicieuse.
5. DISCUSSION Ces éléments sont présents (si requis par le type de mémoire considéré) et de qualité:
- Résumé et interprétation des résultats en lien avec les questions de recherche - Mise en évidence de l’apport/production de connaissances nouvelles - Mise en relation des résultats avec la littérature existante - Pistes d’explication pour les résultats inattendus ou aberrants - Recul critique par rapport aux démarches, aux outils et aux résultats (identification des limites
de l’étude) - Apports pour la recherche : Ouverture à de nouvelles pistes de recherche - Apports pour le terrain: Réflexion contextualisée, ouverture à de nouvelles pistes d’action et
retour éventuel aux acteurs de terrain.
6. Structure Le mémoire suit la structure d’un article scientifique (introduction, partie théorique, méthode,
résultats, discussion, références). Les titres et sous-titres sont clairs et explicites. La structure des parties constituant le mémoire est claire. Le fil conducteur met en valeur la logique et la cohérence du raisonnement.
7. Forme Le mémoire ne contient pas de plagiat ; tout propos ne relevant pas d’une réflexion personnelle de
l’étudiant est référencé. Le mémoire correspond aux normes APA (citations, références dans le texte, tableaux, bibliographie…). Le langage utilisé dans le mémoire est professionnel, scientifique et clair. Le texte se lit de manière fluide (phrases courtes, claires, ponctuées, typographie soignée, orthographe
irréprochable). Le nombre de pages maximum (80) est respecté.
8. Présentation/défense orale
L’exposé : - est clair et bien structuré - met en évidence les résultats principaux du mémoire.
Le support utilisé (ex. Power Point) est de bonne qualité et correctement exploité. L’expression orale est aisée et professionnelle. La réponse aux questions :
- est basée à la fois sur le travail de mémoire (lectures effectuées, résultats obtenus) et sur une réflexion personnelle par rapport à celui-ci. Les réponses uniquement basées sur l’intuition personnelle ou l’expérience professionnelle sont évitées.
- témoigne d’un degré de maîtrise élevé du sujet et d’une réflexion approfondie par rapport à celui-ci.
34
Grille d’évaluation des mémoires pour le SERDEF Cette évaluation sommaire sera diffusée dans la base de données « Mémoires-FOPA ». Certains critères peuvent ne pas être évalués s’ils ne sont pas pertinents pour le mémoire en question. Auteur : Titre : Groupe FOPA : Date :
- -
(< 8)
- (8-9)
+/- (10-11)
+ (12-13)
++ (14-15)
+++ (16-17)
++++ (18-20)
1. Problématique et question de recherche
2. Cadre théorique
3. Méthode de recherche
4. Résultats
5. Discussion
6. Structure
7. Forme
8. Présentation/défense orale
9. Evaluation globale
Note globale attribuée (qui ne sera pas diffusée): /20
<8/20 = Le niveau est inacceptable. Le mémoire présente des lacunes fondamentales et doit être retravaillé en profondeur. 8/20 = Le mémoire est faible. Un certain nombre d’exigences ne sont pas rencontrées et hypothèquent la valeur globale du mémoire. 10/20 = Le mémoire atteint de justesse le seuil de réussite. 12/20 = Le niveau répond à la majorité des exigences. Quelques lacunes peuvent néanmoins être relevées. 14/20 = Le mémoire est de bonne qualité et ne contient pas de lacunes. 16/20 = Le mémoire se démarque par son excellence sur plusieurs critères. 18/20 = Le mémoire est remarquable et supérieur aux attentes. Il peut être qualifié de "professionnel", il dépasse les exigences sur la majorité des critères. Signature du promoteur :
35
Annexe 5 : Engagement de confidentialité et Cession du droit à la
propriété intellectuelle (voir pages suivantes)
Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Éducation (PSP)
Institut de recherche en Sciences Psychologiques (IPSY)
36
Engagement de confidentialité - Mémoire 1. Je soussigné·e …………………………………………………………………………
étudiant·e en ……………………………………………………. (études, niveau) à
……………………… (institution), réalise une recherche avec
……………………….………….………….……………… (responsable), aux fins de
………………………….……………….…. (mémoire/travail de fin d’études, article, etc.).
2. L’Université catholique de Louvain (UCLouvain) accepte de mettre à ma disposition
……………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………….. (documents, informations, savoir-faire, logiciels,
etc.) et me donne accès à
……………………………………………………………………………….. (laboratoires,
infrastructure,…).
3. Je reconnais que, sauf stipulation écrite contraire, sont réputées confidentielles1 toutes les informations (documents, savoir-faire, projets de recherche, projets d’activités, etc.) auxquelles j’aurai accès directement ou indirectement dans l’exécution des tâches qui me seront confiées dans la cadre de la recherche. En aucun cas, tant pendant l’exécution de la recherche qu’après son terme, quelle que soit la nature ou la forme de ces informations, je n’en divulguerai le contenu de quelque façon que ce soit et n’en ferai usage pour mon propre compte ou le compte d’un tiers. 4. Par ailleurs, j’ai pris connaissance du Règlement de l’UCLouvain en matière de propriété, de protection et de valorisation des résultats des recherches réalisées au sein de l’UCLouvain lui reconnaissant la propriété des résultats des recherches, y adhère et signe à ce titre le document ci-joint. L’UCLouvain acquiert donc la propriété des résultats qui seront développés par moi dans le cadre de la recherche. Fait en 2 exemplaires à Louvain-la-Neuve le …………………………
Le·La mémorant·e Le·La promoteur·trice
1 Ne sont pas considérées comme confidentielles les informations qui sont déjà dans le domaine public, ou dont
le·la mémorant·e peut établir qu’elles étaient en sa possession avant leur communication par l’UCLouvain, ou que le·la mémorant·e aurait obtenu d’un tiers non lié par une obligation de confidentialité à l’égard de l’UCLouvain.
Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Éducation (PSP)
Institut de recherche en Sciences Psychologiques (IPSY)
37
Cession du droit à la propriété intellectuelle
Je soussigné·e, …………………………………………………………………………………………
NOMA:…………………………………,
mémorant·e, cède à l'Université catholique de Louvain (UCLouvain), au fur et à mesure des travaux, avec l'ensemble des garanties de fait et de droit associés, en pleine propriété, l'intégralité des droits dont je suis titulaire sur toutes les données collectées dans le cadre de mon mémoire de
O MASTER en Sciences Psychologiques
O MASTER en Sciences de l'Education
O MASTER en Logopédie
O MASTER en …………………………
en ce inclus les bases de données et autres sous-systèmes, la documentation, les figures, les études pilotes, les procédés, les délivrables, tout document achevé ou non, et ce sur tous supports digitaux ou autres pouvant être utilisés en l’état ou intégrés, avec ou sans modification (ci-après « les Résultats »).
En particulier, j'autorise, sans réserve, l’UCLouvain
à disposer pleinement et irrévocablement des Résultats de la recherche menée dans le cadre du mémoire sus-cité;
à exploiter les Résultats de la recherche menée dans le cadre du mémoire sus-cité à des fins de publication, de reproduction ou de communication en son nom propre.
Cette autorisation est accordée dans la mesure où le mémoire réalisé s'inscrit dans le cadre d’une thématique avancée par le·la promoteur·trice et/ou dans un programme de recherches financé par une convention de recherche entre l'UCLouvain en la personne de mon·ma promoteur.trice et
………………………………………………… (Crédit de fonctionnement : ………………………)
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