BRGM
VULNERABILITE DES EAUX SOUTERRAINESA LA POLLUTION
LE LONG DD TRACE DE L'OLEODOC OTANEN FRANCHE-COMTE
LIÊNE LANGRES - BELFORT
88 SGN 071 FRC par Y. ATLAN
MINISTERE DE L'INDUSTRIE, DES P & TET DU TOURISME
DIRECTION DES HYDROCARBURESService Spécial des Dépôts d'Hydrocarbures
101, rue de Grenelle75 700 - PARIS
BESANCON, avril 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Franche-Comté12, avenue Fontaine Argent - 25000 BESANÇON - Tél.: 81.88.03.1 1
BRGM
VULNERABILITE DES EAUX SOUTERRAINESA LA POLLUTION
LE LONG DD TRACE DE L'OLEODOC OTANEN FRANCHE-COMTE
LIÊNE LANGRES - BELFORT
88 SGN 071 FRC par Y. ATLAN
MINISTERE DE L'INDUSTRIE, DES P & TET DU TOURISME
DIRECTION DES HYDROCARBURESService Spécial des Dépôts d'Hydrocarbures
101, rue de Grenelle75 700 - PARIS
BESANCON, avril 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Franche-Comté12, avenue Fontaine Argent - 25000 BESANÇON - Tél.: 81.88.03.1 1
VULNERABILITE DES EAOX SOUTERRAINESA LA POLLUTION
LE LONG DO TRACE DE L'OLEODOC OTANEN FRANCHE -COMTE
LIGNE LANGRES - BELFORT
88 SGN 071 FRC par Y. ATLAN
RESUME
Les données recueillies sur le cadre géomorphologique et hydro-géologique du tracé, ont permis l'élaboration d'une carte au1/50 000 définissant des secteurs très vulnérables, moyennementvulnérables, peu vulnérables à la pollution.
L'examen des mesures de contrôle et d'entretien, ainsi que du"Plan d'Intervention" de la Société TRAPIL, chargée de l'exploi¬tation de l'oléoduc, n'appelle pas de remarques fondamentales.Des mesures complémentaires sont proposées en conclusion, qui ontsurtout pour objet de faire souligner par le plan d'intervention,l'intérêt à porter à la protection des eaux souterraines dans leszones les plus vulnérables.
VULNERABILITE DES EAOX SOUTERRAINESA LA POLLUTION
LE LONG DO TRACE DE L'OLEODOC OTANEN FRANCHE -COMTE
LIGNE LANGRES - BELFORT
88 SGN 071 FRC par Y. ATLAN
RESUME
Les données recueillies sur le cadre géomorphologique et hydro-géologique du tracé, ont permis l'élaboration d'une carte au1/50 000 définissant des secteurs très vulnérables, moyennementvulnérables, peu vulnérables à la pollution.
L'examen des mesures de contrôle et d'entretien, ainsi que du"Plan d'Intervention" de la Société TRAPIL, chargée de l'exploi¬tation de l'oléoduc, n'appelle pas de remarques fondamentales.Des mesures complémentaires sont proposées en conclusion, qui ontsurtout pour objet de faire souligner par le plan d'intervention,l'intérêt à porter à la protection des eaux souterraines dans leszones les plus vulnérables.
TABLE. DES MATIERES
1 - OBJET DE L* ETDDE.
2 - DESCRIPTION DE L 'OUVRAGE.
3 - CADRE GEOMORPHOLOGIQUE 6
4 - CADRE HYDROGEOLOGIQUE 6
4.1 - CARACTERISTIQUES DES AQUIFERES 6
4.2 - NATURE ET ROLE HYDROLOGIQUE DES TERRAINS LE LONG DU
TRACE 8
4.2.1 - Terrains imperméables ou peu perméables(socle, argilite du Permien, marnes duTrias supérieur et du Lias, colluvionsargileuses) 8
4.2.2 - Terrains moyennement perméables et perméables (calcaires du Dogger, calcaires duSinémurien, grès du Trias supérieur, forma¬tions meubles tertiaires et quaternaires... 10
4.3 - LES RESSOURCES EN EAU
(plateaux haut-saônois, vallées de la Saône et del'Ognon, région sous-vosgienne , région deBELFORT ) 11
5 - PRESENTATION DE LA CARTE DE SYNTHESE AO 1/SO 000 12
6 - CAPTAGES A.E.P. A PROXIMITE DU TRACE 13
7 - MESURES DE PROTECTION 14
7.1 - MESURES PREVENTIVES 14
7.2 - METHODE DE DETECTION DES FUITES 14
TABLE. DES MATIERES
1 - OBJET DE L* ETDDE.
2 - DESCRIPTION DE L 'OUVRAGE.
3 - CADRE GEOMORPHOLOGIQUE 6
4 - CADRE HYDROGEOLOGIQUE 6
4.1 - CARACTERISTIQUES DES AQUIFERES 6
4.2 - NATURE ET ROLE HYDROLOGIQUE DES TERRAINS LE LONG DU
TRACE 8
4.2.1 - Terrains imperméables ou peu perméables(socle, argilite du Permien, marnes duTrias supérieur et du Lias, colluvionsargileuses) 8
4.2.2 - Terrains moyennement perméables et perméables (calcaires du Dogger, calcaires duSinémurien, grès du Trias supérieur, forma¬tions meubles tertiaires et quaternaires... 10
4.3 - LES RESSOURCES EN EAU
(plateaux haut-saônois, vallées de la Saône et del'Ognon, région sous-vosgienne , région deBELFORT ) 11
5 - PRESENTATION DE LA CARTE DE SYNTHESE AO 1/SO 000 12
6 - CAPTAGES A.E.P. A PROXIMITE DU TRACE 13
7 - MESURES DE PROTECTION 14
7.1 - MESURES PREVENTIVES 14
7.2 - METHODE DE DETECTION DES FUITES 14
7.3 - PLAN D'INTERVENTION EN CAS D'ACCIDENT 14
7.4 - MESURES COMPLEMENTAIRES PROPOSEES 15
TABLE DES FIGURES ET ANNEXES
Figure 1 - Situation du tracé de l'oléoduc 7
Figure 2 - Schéma lithostratigraphique de la Franche-Comté... 9
Annexe 1 - Carte de synthèse au 1/50 000 (hors texte)
Annexe 2 - Extraits du plan d'intervention 17
7.3 - PLAN D'INTERVENTION EN CAS D'ACCIDENT 14
7.4 - MESURES COMPLEMENTAIRES PROPOSEES 15
TABLE DES FIGURES ET ANNEXES
Figure 1 - Situation du tracé de l'oléoduc 7
Figure 2 - Schéma lithostratigraphique de la Franche-Comté... 9
Annexe 1 - Carte de synthèse au 1/50 000 (hors texte)
Annexe 2 - Extraits du plan d'intervention 17
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1 - OBJET DE L'ETUDE
La conduite d'hydrocarbure LANGRES - BELFORT, dépendant de la1ère Division des Oléoducs de Défense commune, traverse les dé¬partements de Haute-Saône et du Territoire de Belfort sur unedistance de 103 km. Le tracé de la ligne est représenté en fi¬gure 1 .
Les eaux souterraines, contenues dans les aguifères sous-jacentsau tracé de l'oléoduc, sont plus ou moins vulnérables à la pol¬lution et en particulier à celle qui résulterait d'une fuited'hydrocarbures provenant par exemple d'un accident.
L'objet de cette étude est d'analyser cette vulnérabilité aumoyen de considérations géologiques et hydrogéologiques, afin dedifférencier le long de l'oléoduc trois types de sections :
- aquifères vulnérables et/ou importants au plan des res¬sources en eau (section en rouge),
- aquifères moyennement vulnérables - ressources d'impor¬tance secondaire (section en bleu),
- aquifères peu vulnérables ou aquifères non utilisables(section en vert).
2 - DESCRIPTION DE L'OUVRAGE
La conduite est d'un diamètre de 8" 5/8 (219,1 mm) pour un volumede 33 m3 au km. Le tube a une épaisseur de 7,04 mm, qui passe à.8,74 mm au passage des routes et rivières. Il est en acier étirésans soudure, de nuance grade B suivant API 5 L. La pressiond'essai en usine est de 115 kg/cm2.
La profondeur moyenne d'enfouissement est de 0,8 m à 1 m.
Le débit nominal de la ligne estmaximale de service de 72 barscommune de BELVERNE (Haute-Saône)point bas dans la traversée deCONFLANDEY - CHAUX-LES-PORT (Haute-Saône).transportés à la température du sol.
de 150 m3/h pour une pressionLe point haut se situe sur la
à une hauteur dela Saône, sur
Les
455 m. et lela commune de
produits sont
Deux antennes relient l'oléoduc aux aérodromes de LUXEUIL et deLURE. D'un diamètre de 4" 1/4 (114,3 mm), elles sont respecti¬vement d'une longueur de 13,4 km (115 m3 ) et de 6,6 km (57 m3 ) .
Trois chambres à vannes (MELIN, BELLENOYE, LYOFFANS ) permettentd'accéder à des vannes de sectionnement de ligne.
Le tracé de la conduite est matérialisé au sol par des balisesimplantées en bordure de route ou de chemin tous les 500 m envi¬ron. Chaque balise porte le P.K..
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1 - OBJET DE L'ETUDE
La conduite d'hydrocarbure LANGRES - BELFORT, dépendant de la1ère Division des Oléoducs de Défense commune, traverse les dé¬partements de Haute-Saône et du Territoire de Belfort sur unedistance de 103 km. Le tracé de la ligne est représenté en fi¬gure 1 .
Les eaux souterraines, contenues dans les aguifères sous-jacentsau tracé de l'oléoduc, sont plus ou moins vulnérables à la pol¬lution et en particulier à celle qui résulterait d'une fuited'hydrocarbures provenant par exemple d'un accident.
L'objet de cette étude est d'analyser cette vulnérabilité aumoyen de considérations géologiques et hydrogéologiques, afin dedifférencier le long de l'oléoduc trois types de sections :
- aquifères vulnérables et/ou importants au plan des res¬sources en eau (section en rouge),
- aquifères moyennement vulnérables - ressources d'impor¬tance secondaire (section en bleu),
- aquifères peu vulnérables ou aquifères non utilisables(section en vert).
2 - DESCRIPTION DE L'OUVRAGE
La conduite est d'un diamètre de 8" 5/8 (219,1 mm) pour un volumede 33 m3 au km. Le tube a une épaisseur de 7,04 mm, qui passe à.8,74 mm au passage des routes et rivières. Il est en acier étirésans soudure, de nuance grade B suivant API 5 L. La pressiond'essai en usine est de 115 kg/cm2.
La profondeur moyenne d'enfouissement est de 0,8 m à 1 m.
Le débit nominal de la ligne estmaximale de service de 72 barscommune de BELVERNE (Haute-Saône)point bas dans la traversée deCONFLANDEY - CHAUX-LES-PORT (Haute-Saône).transportés à la température du sol.
de 150 m3/h pour une pressionLe point haut se situe sur la
à une hauteur dela Saône, sur
Les
455 m. et lela commune de
produits sont
Deux antennes relient l'oléoduc aux aérodromes de LUXEUIL et deLURE. D'un diamètre de 4" 1/4 (114,3 mm), elles sont respecti¬vement d'une longueur de 13,4 km (115 m3 ) et de 6,6 km (57 m3 ) .
Trois chambres à vannes (MELIN, BELLENOYE, LYOFFANS ) permettentd'accéder à des vannes de sectionnement de ligne.
Le tracé de la conduite est matérialisé au sol par des balisesimplantées en bordure de route ou de chemin tous les 500 m envi¬ron. Chaque balise porte le P.K..
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3 - CADRE GEOMORPHOLOGIQUE
La figure 1 donne les grandes unités géomorphologigues traver¬sées, soit d'Ouest en Est :
- les plateaux de Haute-Saône avec traversée de la valléede la Saône à proximité amont de CHAUX-LES-PORT,
- la région sous-vosgienne avec traversée de la vallée del'Ognon à proximité de LURE, et passage au pied des col¬lines et plateaux pré jurassiens au Sud-Ouest de BELFORT.
Le long du tracé de l'oléoduc, ces unités peuvent s'analysercomme suit :
a - Les plateaux de Haute-Saône sont des grandes zones tabulairesd'altitude inférieure à 300 m. A l'Ouest de la Saône, affleurentsurtout des calcaires du Jurassique moyen, calcaires karstifiéset dont les eaux souterraines sont très vulnérables. Entre Saôneet Ognon, affleurent également des marnes du Lias, imperméables.
b - Les vallées de la Saône et de l'Ognon sont le siège d'aqui¬fères importants exploités surtout en aval de l'oléoduc.
c - La région sous-vosgienne présente d'Ouest en Est, d'abord desgrès du Trias (région tabulaire de CHERIMONT), gui sont des agui¬fères non négligeables, puis des argilites et des grès duPermien, peu perméables à imperméables. Ensuite, au pied des col¬lines pré jurassiennes , on trouve des passages limités (500 m) decalcaires jurassiques. La plaine alluviale de la Savoureuse tra¬versée, l'oléoduc est essentiellement sur des alluvions et dufluvio-glaciaire ou bien sur des marnes parfois recouvertes deloess .
4 - CADRE HYDROGEOLOGIQUE
4.1 - CARACTERISTIQUES DES AQUIFERES
Les diverses formations calcaires, sableuses et graveleuses, per¬méables, sont le siège d'aquifères d'importances inégales, sépa¬rés par des niveaux marneux ou argileux peu perméables. En fonc¬tion du type de circulation de l'eau au sein du réservoir, cesaquifères peuvent être classés en deux catégories :
-6-
3 - CADRE GEOMORPHOLOGIQUE
La figure 1 donne les grandes unités géomorphologigues traver¬sées, soit d'Ouest en Est :
- les plateaux de Haute-Saône avec traversée de la valléede la Saône à proximité amont de CHAUX-LES-PORT,
- la région sous-vosgienne avec traversée de la vallée del'Ognon à proximité de LURE, et passage au pied des col¬lines et plateaux pré jurassiens au Sud-Ouest de BELFORT.
Le long du tracé de l'oléoduc, ces unités peuvent s'analysercomme suit :
a - Les plateaux de Haute-Saône sont des grandes zones tabulairesd'altitude inférieure à 300 m. A l'Ouest de la Saône, affleurentsurtout des calcaires du Jurassique moyen, calcaires karstifiéset dont les eaux souterraines sont très vulnérables. Entre Saôneet Ognon, affleurent également des marnes du Lias, imperméables.
b - Les vallées de la Saône et de l'Ognon sont le siège d'aqui¬fères importants exploités surtout en aval de l'oléoduc.
c - La région sous-vosgienne présente d'Ouest en Est, d'abord desgrès du Trias (région tabulaire de CHERIMONT), gui sont des agui¬fères non négligeables, puis des argilites et des grès duPermien, peu perméables à imperméables. Ensuite, au pied des col¬lines pré jurassiennes , on trouve des passages limités (500 m) decalcaires jurassiques. La plaine alluviale de la Savoureuse tra¬versée, l'oléoduc est essentiellement sur des alluvions et dufluvio-glaciaire ou bien sur des marnes parfois recouvertes deloess .
4 - CADRE HYDROGEOLOGIQUE
4.1 - CARACTERISTIQUES DES AQUIFERES
Les diverses formations calcaires, sableuses et graveleuses, per¬méables, sont le siège d'aquifères d'importances inégales, sépa¬rés par des niveaux marneux ou argileux peu perméables. En fonc¬tion du type de circulation de l'eau au sein du réservoir, cesaquifères peuvent être classés en deux catégories :
Figure 1
SITUATION DU TRACE DE L'OLEODUC
\L.leS.,.^i ^//
/J /Ml / iPtr^^ ^- ^^ ^v/. Petite ^^'^
fCtét P«l« 30kM
-J
Tracé de l'oléoduc
Figure 1
SITUATION DU TRACE DE L'OLEODUC
\L.leS.,.^i ^//
/J /Ml / iPtr^^ ^- ^^ ^v/. Petite ^^'^
fCtét P«l« 30kM
-J
Tracé de l'oléoduc
8-
les aquifères à porosité d'interstices, constitués parles sables et graviers des formations alluviales etfluvio-glaciaires, par les sables pliocenes et les cail¬loutis du Pl io-Quaternai re . La circulation de l'eau estgénéralement lente, de l'ordre de quelques décimètres àquelques mètres par jour,
les aquifères à porosité de fissures, constitués par lescalcaires. Généralement, le réservoir calcaire est divisépar un grand nombre de fissures fines anastomosées, où lacirculation de l'eau est lente. Par contre, le réservoirest également parcouru par un réseau moins dense de frac¬tures, chenaux et conduits de grandes dimensions, formantles réseaux karstiques marqués en surface par les do-lines, gouffres, pertes, typiques de la morphologie ju¬rassienne. La circulation de l'eau y est rapide : deguelques dizaines de mètres à plusieurs centaines demètres par jour.
4.2 - NATURE ET ROLE HYDROLOGIQUE DES TERRAINS LE LONG DU
TRACE
La figure n ** 2 donne un schéma lithostratigraphique de laFranche-Comté. Elle est tirée de l'article du ProfesseurP. CHAUVE dans "Besoins et ressources en eau de la Franche-Comté" .
4.2.1 - Les terrains imperméables ou peu perméables
Le socle :
Ces formations anciennes, d'âge primaire, sont très peu représen¬tées à l'affleurement sur le tracé : complexe dévono-dinantienentre BELVERNE et la Lizaine, sur environ 2 km ; il s'agit deroches massives éruptives (rhyolites, andésites et roches asso¬ciées) peu fissurées, gue l'on peut considérer comme impermé¬ables .
Les argilites du Permien :
Il s'agit de dépôts finement détritiques constitués par des ar¬gilites indurées gui affleurent dans la région sous-vosgienne.
Les marnes du Trias supérieur (Keuper) et du Lias :
Les marnes du Trias supérieur constituent un écran imperméable àla base des calcaires du Sinémurien (Lias inférieur) et des grèsdu Rhétien (Trias terminal).
8-
les aquifères à porosité d'interstices, constitués parles sables et graviers des formations alluviales etfluvio-glaciaires, par les sables pliocenes et les cail¬loutis du Pl io-Quaternai re . La circulation de l'eau estgénéralement lente, de l'ordre de quelques décimètres àquelques mètres par jour,
les aquifères à porosité de fissures, constitués par lescalcaires. Généralement, le réservoir calcaire est divisépar un grand nombre de fissures fines anastomosées, où lacirculation de l'eau est lente. Par contre, le réservoirest également parcouru par un réseau moins dense de frac¬tures, chenaux et conduits de grandes dimensions, formantles réseaux karstiques marqués en surface par les do-lines, gouffres, pertes, typiques de la morphologie ju¬rassienne. La circulation de l'eau y est rapide : deguelques dizaines de mètres à plusieurs centaines demètres par jour.
4.2 - NATURE ET ROLE HYDROLOGIQUE DES TERRAINS LE LONG DU
TRACE
La figure n ** 2 donne un schéma lithostratigraphique de laFranche-Comté. Elle est tirée de l'article du ProfesseurP. CHAUVE dans "Besoins et ressources en eau de la Franche-Comté" .
4.2.1 - Les terrains imperméables ou peu perméables
Le socle :
Ces formations anciennes, d'âge primaire, sont très peu représen¬tées à l'affleurement sur le tracé : complexe dévono-dinantienentre BELVERNE et la Lizaine, sur environ 2 km ; il s'agit deroches massives éruptives (rhyolites, andésites et roches asso¬ciées) peu fissurées, gue l'on peut considérer comme impermé¬ables .
Les argilites du Permien :
Il s'agit de dépôts finement détritiques constitués par des ar¬gilites indurées gui affleurent dans la région sous-vosgienne.
Les marnes du Trias supérieur (Keuper) et du Lias :
Les marnes du Trias supérieur constituent un écran imperméable àla base des calcaires du Sinémurien (Lias inférieur) et des grèsdu Rhétien (Trias terminal).
-9-
Figure 2
SERIE LITHOSTRATIGRAPHIQUE DE LA FRANCHE-COMTE
(d'après Monsieur P. CHAUVE)
Glaciaire Í4
Tertiaire J 2
Calcaires du Crétacé b^Purbeckien r 5 te
J3 Alluvions
Calcaires du Jurassique supérieur "4
Marnes Oxfordo- argoviennes *
Calcaires du Jurassique moyen 3
Marnes liasiques ''3
Calcaires sinémuriens ^2
Marnes triasiques '3
Calcaires Muscheikalk ^
Grès du Buntsandstain ' 1
Permien ^2
Socle indifférencié '' 1
V V V V V V V V-r.Z. V v-^v v-^v y-^v-Vv\-v V V V V-^V V V \
QUATERNAIRE
TERTIAIRE
(72
OOZo3»MP3Pl
S3M
3>M50W
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Figure 2
SERIE LITHOSTRATIGRAPHIQUE DE LA FRANCHE-COMTE
(d'après Monsieur P. CHAUVE)
Glaciaire Í4
Tertiaire J 2
Calcaires du Crétacé b^Purbeckien r 5 te
J3 Alluvions
Calcaires du Jurassique supérieur "4
Marnes Oxfordo- argoviennes *
Calcaires du Jurassique moyen 3
Marnes liasiques ''3
Calcaires sinémuriens ^2
Marnes triasiques '3
Calcaires Muscheikalk ^
Grès du Buntsandstain ' 1
Permien ^2
Socle indifférencié '' 1
V V V V V V V V-r.Z. V v-^v v-^v y-^v-Vv\-v V V V V-^V V V \
QUATERNAIRE
TERTIAIRE
(72
OOZo3»MP3Pl
S3M
3>M50W
-10-
Le Lias marneux constitue un écran imperméable à la base des cal¬caires du Jurassique moyen (Dogger). Les points hauts de ces for¬mations imperméables sont, pour ces raisons, jalonnés par unesérie de sources.
Les roches meubles très peu perméables :
Il s'agit de roches à forte teneur en argile, qui sont essentiel¬lement, sur le tracé étudié ici, rencontrées dans les valléessecondaires et les vallées sèches où les alluvions sont mélangéesà des colluvions provenant des marnes affleurant sur les flancsdes val lées .
4.2.2 - Les terrains moyennement perméables etperméables
Les calcaires :
Les différents niveaux calcaires rencontrés sur le tracé sontprésentés ci-dessous dans l'ordre stratigraphique :
Les calcaires du Jurassique moyen (Dogger) : il s'agit d'uneassise calcaire puissante (jusqu'à 200 m), fracturée et karsti-fiée, et qui est, par conséquent, un aquifère important. Le Dog¬ger affleure largement sur les plateaux de Haute-Saône par les¬quels se fait une grande partie de l'alimentation de l'aquifère.Les marnes liasiques imperméables le limitent à sa partie infé¬rieure, et de grosses résurgences sortent â la limite de ces deuxformations .
Les calcaires du Sinémurien (Lias inférieur) : ces calcaires sontde puissance faible, et limités inf ér ieurement , avec les grèsrhêtiens, par les marnes du Trias supérieur. Les aquifèreskarstiques correspondants ont, de ce fait, des débits trèsvariables en fonction des précipitations. Le Sinémurien affleurepeu sur le tracé : quelques tronçons de 0,5 à 1 km de longueur auSud de FLAGY, avant la vallée du Bâtard et entre VELLEMINFROY etPOMOY.
Les roches à perméabilité d'interstices :
Les grès : on trouve, sur le tracé, des grès du Permien dans larégion sous-vosgienne et des grès du Rhétien (Trias terminal).Les grès du Permien, peu perméables, se rencontrent entreBELVERNE et la vallée de la Lizaine. L'exurgence d'Etambon auNord du tracé en provient.
Les grès du Rhétien, moyennement perméables, affleurent sur 1 à2 km avant la vallée du Bâtard et plus loin, immédiatement avantPOMOY.
-10-
Le Lias marneux constitue un écran imperméable à la base des cal¬caires du Jurassique moyen (Dogger). Les points hauts de ces for¬mations imperméables sont, pour ces raisons, jalonnés par unesérie de sources.
Les roches meubles très peu perméables :
Il s'agit de roches à forte teneur en argile, qui sont essentiel¬lement, sur le tracé étudié ici, rencontrées dans les valléessecondaires et les vallées sèches où les alluvions sont mélangéesà des colluvions provenant des marnes affleurant sur les flancsdes val lées .
4.2.2 - Les terrains moyennement perméables etperméables
Les calcaires :
Les différents niveaux calcaires rencontrés sur le tracé sontprésentés ci-dessous dans l'ordre stratigraphique :
Les calcaires du Jurassique moyen (Dogger) : il s'agit d'uneassise calcaire puissante (jusqu'à 200 m), fracturée et karsti-fiée, et qui est, par conséquent, un aquifère important. Le Dog¬ger affleure largement sur les plateaux de Haute-Saône par les¬quels se fait une grande partie de l'alimentation de l'aquifère.Les marnes liasiques imperméables le limitent à sa partie infé¬rieure, et de grosses résurgences sortent â la limite de ces deuxformations .
Les calcaires du Sinémurien (Lias inférieur) : ces calcaires sontde puissance faible, et limités inf ér ieurement , avec les grèsrhêtiens, par les marnes du Trias supérieur. Les aquifèreskarstiques correspondants ont, de ce fait, des débits trèsvariables en fonction des précipitations. Le Sinémurien affleurepeu sur le tracé : quelques tronçons de 0,5 à 1 km de longueur auSud de FLAGY, avant la vallée du Bâtard et entre VELLEMINFROY etPOMOY.
Les roches à perméabilité d'interstices :
Les grès : on trouve, sur le tracé, des grès du Permien dans larégion sous-vosgienne et des grès du Rhétien (Trias terminal).Les grès du Permien, peu perméables, se rencontrent entreBELVERNE et la vallée de la Lizaine. L'exurgence d'Etambon auNord du tracé en provient.
Les grès du Rhétien, moyennement perméables, affleurent sur 1 à2 km avant la vallée du Bâtard et plus loin, immédiatement avantPOMOY.
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Les formations meubles tertiaires et quaternaires : sables plio¬cenes, graviers fluvio-glaciaires, alluvions anciennes et mo¬dernes .
Sur le tracé, ce type de formation se rencontre essentiellementau voisinage et à la traversée des vallées des cours d'eau perma¬nents, soit, de l'Ouest vers l'Est : Saône, Ognon, Lizaine,Savoureuse, Saint-Nicolas.
4.3 - LES RESSOURCES EN EAU
On peut distinguer (référence "Besoins et ressources en eau po¬table de la Franche-Comté" - Université de Franche-Comté) sur leszones traversées par l'oléoduc, 3 grands secteurs hydrologiques,chaque secteur étant caractérisé par des types de ressourcessemblables.
De l'Ouest vers l'Est on trouve :
a - Les plateaux haut-saônois : les aquifères principaux sontdans les calcaires karstifiés du Jurassique moyen et du Juras¬sique supérieur ; sur la rive gauche de la Saône l'oléoduc sesitue sur le Jurassique moyen et c'est donc cet aquifère qui estle principal concerné par une fuite éventuelle. En rive droite,entre Saône et Ognon, l'oléoduc se situe principalement sur desmarnes liasiques et triasiques peu vulnérables et qui protègentles aquifères sous-jacents. On y trouve cependant égalementquelques zones calcaires (Sinémurien), de faible extension et deforte vulnérabilité.
b - La vallée de la Saône et la vallée de l'Ognon : les alluvionsde la Saône contiennent une nappe qui est exploitée par de nom¬breux puits en aval de l'oléoduc. Cette nappe est en partie ali¬mentée par les grès et calcaires sous-jacents, exploités euxaussi, quand la nappe alluviale est insuffisante.
Les alluvions de l'Ognon proviennent de la destruction de rochescristallines. L'eau de la nappe est acide et nécessite pourl'A.E.P. un traitement.
Ces deux vallées sont traversées par l'oléoduc dans leur partieamont, les parties aval, fortement exploitées pour l'A.E.P., sontvulnérables surtout du fait de la possibilité d'un transfert ra¬pide de la pollution via la rivière.
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Les formations meubles tertiaires et quaternaires : sables plio¬cenes, graviers fluvio-glaciaires, alluvions anciennes et mo¬dernes .
Sur le tracé, ce type de formation se rencontre essentiellementau voisinage et à la traversée des vallées des cours d'eau perma¬nents, soit, de l'Ouest vers l'Est : Saône, Ognon, Lizaine,Savoureuse, Saint-Nicolas.
4.3 - LES RESSOURCES EN EAU
On peut distinguer (référence "Besoins et ressources en eau po¬table de la Franche-Comté" - Université de Franche-Comté) sur leszones traversées par l'oléoduc, 3 grands secteurs hydrologiques,chaque secteur étant caractérisé par des types de ressourcessemblables.
De l'Ouest vers l'Est on trouve :
a - Les plateaux haut-saônois : les aquifères principaux sontdans les calcaires karstifiés du Jurassique moyen et du Juras¬sique supérieur ; sur la rive gauche de la Saône l'oléoduc sesitue sur le Jurassique moyen et c'est donc cet aquifère qui estle principal concerné par une fuite éventuelle. En rive droite,entre Saône et Ognon, l'oléoduc se situe principalement sur desmarnes liasiques et triasiques peu vulnérables et qui protègentles aquifères sous-jacents. On y trouve cependant égalementquelques zones calcaires (Sinémurien), de faible extension et deforte vulnérabilité.
b - La vallée de la Saône et la vallée de l'Ognon : les alluvionsde la Saône contiennent une nappe qui est exploitée par de nom¬breux puits en aval de l'oléoduc. Cette nappe est en partie ali¬mentée par les grès et calcaires sous-jacents, exploités euxaussi, quand la nappe alluviale est insuffisante.
Les alluvions de l'Ognon proviennent de la destruction de rochescristallines. L'eau de la nappe est acide et nécessite pourl'A.E.P. un traitement.
Ces deux vallées sont traversées par l'oléoduc dans leur partieamont, les parties aval, fortement exploitées pour l'A.E.P., sontvulnérables surtout du fait de la possibilité d'un transfert ra¬pide de la pollution via la rivière.
-12-
c - La région sous-vosgienne : outre les zones alluvionnaires etfluvio-glaciaires (Savoureuse), trois types de terrains sont ren¬contrés : le socle vosgien à faible perméabilité, le Permien peuperméable à imperméable, et les grès du Trias inférieur qui cons¬tituent localement une réserve non négligeable.
Le socle alimente quelques localités en amont de l'oléoduc. Enrevanche, le grès triasique fournit une eau de bonne qualité etdoit être considéré comme vulnérable.
d - La région de BELFORT : la principale ressource en eau potableactuellement exploitée est constituée par la nappe de la plainede la Savoureuse.
5 - PRESENTATION DE LA CARTE DE SYNTHESE AU 1/50 000
La carte de synthèse présentée en annexe 1, donne au 1/50 000 letracé de l'oléoduc avec figuré :
- des formations géologiques sur une bande d'environ 3 kmde part et d'autre du tracé,
- des captages pour l'alimentation en eau publique voisinsdu tracé et vulnérables à une pollution qui ferait suiteà une fuite de l'oléoduc,
- des zones :
. très sensibles en rouges,
. moyennement sensibles en bleu,
. peu sensibles en vert.
On notera que toutes les traversées de cours d'eau sont égalementdes zones très sensibles, car la pollution des eaux superficiel¬les entraîne celle des aquifères qui sont en relation avec ceseaux superficielles.
Parmi les sections notées très vulnérables, certaines méritentune attention particulière du fait de l'importance des aquifèressusceptibles d'être pollués. Il s'agit principalement de :
- la traversée des plateaux calcaires de Haute-Saône entrele PK 30 (vers MALVILLERS) et le PK 51 ( VILLERS-SUR-PORT) ,
- la traversée des vallées alluviales de la Saône, del'Ognon, de la Lizaine, de la Savoureuse,
- et à un moindre degré, la traversée des grès triasiquesentre le PK 90 (LYOFFANS) et le PK 96,4 (BERZAINE).
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c - La région sous-vosgienne : outre les zones alluvionnaires etfluvio-glaciaires (Savoureuse), trois types de terrains sont ren¬contrés : le socle vosgien à faible perméabilité, le Permien peuperméable à imperméable, et les grès du Trias inférieur qui cons¬tituent localement une réserve non négligeable.
Le socle alimente quelques localités en amont de l'oléoduc. Enrevanche, le grès triasique fournit une eau de bonne qualité etdoit être considéré comme vulnérable.
d - La région de BELFORT : la principale ressource en eau potableactuellement exploitée est constituée par la nappe de la plainede la Savoureuse.
5 - PRESENTATION DE LA CARTE DE SYNTHESE AU 1/50 000
La carte de synthèse présentée en annexe 1, donne au 1/50 000 letracé de l'oléoduc avec figuré :
- des formations géologiques sur une bande d'environ 3 kmde part et d'autre du tracé,
- des captages pour l'alimentation en eau publique voisinsdu tracé et vulnérables à une pollution qui ferait suiteà une fuite de l'oléoduc,
- des zones :
. très sensibles en rouges,
. moyennement sensibles en bleu,
. peu sensibles en vert.
On notera que toutes les traversées de cours d'eau sont égalementdes zones très sensibles, car la pollution des eaux superficiel¬les entraîne celle des aquifères qui sont en relation avec ceseaux superficielles.
Parmi les sections notées très vulnérables, certaines méritentune attention particulière du fait de l'importance des aquifèressusceptibles d'être pollués. Il s'agit principalement de :
- la traversée des plateaux calcaires de Haute-Saône entrele PK 30 (vers MALVILLERS) et le PK 51 ( VILLERS-SUR-PORT) ,
- la traversée des vallées alluviales de la Saône, del'Ognon, de la Lizaine, de la Savoureuse,
- et à un moindre degré, la traversée des grès triasiquesentre le PK 90 (LYOFFANS) et le PK 96,4 (BERZAINE).
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6 - CAPTAGES POUR L'ALIMENTATION EN EAU PUBLIQUE (A.E.P.) APROXIMITE DU TRACE
Le tableau ci-après donne la liste des captages A.E.P. (sourceD.D.A. S. S. de Haute-Saône et du Territoire de Belfort) avec lescoordonnées de leurs responsables. Ceux-ci devraient être infor¬més de tout accident (ayant entraîné une pollution des eaux su¬perficielles ou souterraines) dans le secteur de l'oléoduc auquelon peut les rattacher.
CAPTAGE
BELFORT - DORANS
CHATENOI S-LES-FORGES
MEROUX-MOVAL
PETITE-CROIX
FOUSSEMAGNE
MALVILLERS
CONFLANDEY
JARGES
GRANDE-FONTAINE
CHEVRE-GOUTTE
RESPONSABLE
Maire de BERMONT
Maire
Idem DORANS
Maire de MONTREUX-CHATEAU
Maire
Maire de ROCHE-MOREY
Maire de CONFLANDEY
Maire de JARGES
Maire de BROCHANS-LES-LURE
Maire de LYOFFANS
N° Téléphone
84.54.00.21
84.29.40.67
84.54.00.21
84.23.32.31
84.23.34.40
84.91.00.59
84.91.63.39
84.91.39.58
84.30.10.03
84.63.09.70
Autres numéros
Exploitant C.G.E. 84. 62. 84.44/84. 36. 01
Exploitant SEREM 81.35. 57.18
84.91.02.98
84.91.63.55
84.30.22.38
84.63.09.31
.87
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6 - CAPTAGES POUR L'ALIMENTATION EN EAU PUBLIQUE (A.E.P.) APROXIMITE DU TRACE
Le tableau ci-après donne la liste des captages A.E.P. (sourceD.D.A. S. S. de Haute-Saône et du Territoire de Belfort) avec lescoordonnées de leurs responsables. Ceux-ci devraient être infor¬més de tout accident (ayant entraîné une pollution des eaux su¬perficielles ou souterraines) dans le secteur de l'oléoduc auquelon peut les rattacher.
CAPTAGE
BELFORT - DORANS
CHATENOI S-LES-FORGES
MEROUX-MOVAL
PETITE-CROIX
FOUSSEMAGNE
MALVILLERS
CONFLANDEY
JARGES
GRANDE-FONTAINE
CHEVRE-GOUTTE
RESPONSABLE
Maire de BERMONT
Maire
Idem DORANS
Maire de MONTREUX-CHATEAU
Maire
Maire de ROCHE-MOREY
Maire de CONFLANDEY
Maire de JARGES
Maire de BROCHANS-LES-LURE
Maire de LYOFFANS
N° Téléphone
84.54.00.21
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Autres numéros
Exploitant C.G.E. 84. 62. 84.44/84. 36. 01
Exploitant SEREM 81.35. 57.18
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7 - MESURES DE PROTECTION
La Société TRAPIL a la charge d'assurer l'entretien de l'oléoducet de déclencher et diriger les interventions nécessaires en casd ' accident.
7.1 - MESURES PREVENTIVES
Un survol â basse altitude du tracé est exécuté tous les dixjours. Il a pour but essentiel de repérer les travaux menés àproximité de l'oléoduc, de façon à intervenir auprès des entre¬prises pour s'assurer de la prise en compte dans ces travaux dela présence de l'oléoduc. un service est spécialement chargé, àpartir de LANGRES, de renseigner et de contrôler les entreprisestravaillant près et sur la conduite.
Sections renforcées : dans la traversée des cours d'eau, desvoies de chemin de fer, des routes importantes, le tubage del'ouvrage est renforcé par un gainage en acier ou en béton et ilest posé plus profond.
Mesures contre la corrosion : le tube en acier est protégé par unrevêtement en brai de houille et parcouru par un courant de pro¬tection cathodique. Par ailleurs, un essai de mise en pressionest réalisé tous les 10 ans, qui permet de repérer les zones cor¬rodées .
7.2 - METHODES DE DETECTION DES FUITES
Lorsque la conduite est en exploitation (40% du temps) le con¬trôle est assuré par le calcul de la balance de ligne comparantles volumes expédiés et les volumes reçus.
Lorsque l'ouvrage n'est pas en service (60% du temps) une pres¬sion est maintenue dans la ligne et son contrôle permet de déce¬ler une fuite éventuelle.
7.3 - PLAN D'INTERVENTION EN CAS D'ACCIDENT
La Société TRAPIL dispose, dans les ateliers de son district deLANGRES et du siège de Division de CHALON-SUR-SAONE, des moyenset matériels spécifiques pour intervenir dans les plus brefs dé¬lais sur le lieu de l'incident. Ces travaux se font en coordina¬tion avec les différents services et administrations concernés
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7 - MESURES DE PROTECTION
La Société TRAPIL a la charge d'assurer l'entretien de l'oléoducet de déclencher et diriger les interventions nécessaires en casd ' accident.
7.1 - MESURES PREVENTIVES
Un survol â basse altitude du tracé est exécuté tous les dixjours. Il a pour but essentiel de repérer les travaux menés àproximité de l'oléoduc, de façon à intervenir auprès des entre¬prises pour s'assurer de la prise en compte dans ces travaux dela présence de l'oléoduc. un service est spécialement chargé, àpartir de LANGRES, de renseigner et de contrôler les entreprisestravaillant près et sur la conduite.
Sections renforcées : dans la traversée des cours d'eau, desvoies de chemin de fer, des routes importantes, le tubage del'ouvrage est renforcé par un gainage en acier ou en béton et ilest posé plus profond.
Mesures contre la corrosion : le tube en acier est protégé par unrevêtement en brai de houille et parcouru par un courant de pro¬tection cathodique. Par ailleurs, un essai de mise en pressionest réalisé tous les 10 ans, qui permet de repérer les zones cor¬rodées .
7.2 - METHODES DE DETECTION DES FUITES
Lorsque la conduite est en exploitation (40% du temps) le con¬trôle est assuré par le calcul de la balance de ligne comparantles volumes expédiés et les volumes reçus.
Lorsque l'ouvrage n'est pas en service (60% du temps) une pres¬sion est maintenue dans la ligne et son contrôle permet de déce¬ler une fuite éventuelle.
7.3 - PLAN D'INTERVENTION EN CAS D'ACCIDENT
La Société TRAPIL dispose, dans les ateliers de son district deLANGRES et du siège de Division de CHALON-SUR-SAONE, des moyenset matériels spécifiques pour intervenir dans les plus brefs dé¬lais sur le lieu de l'incident. Ces travaux se font en coordina¬tion avec les différents services et administrations concernés
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par ce type d'incident. Les modalités d'intervention des diffé¬rents participants sont consignées et regroupées dans le "Pland'Intervention" de la Division.
On trouvera en annexe 2 le plan du dossier d'intervention et, àtitre d'exemple, extraites de ce dossier d'intervention, lesfiches donnant :
- la liste des communes avec, en regard, les points parti¬culiers de l'oléoduc et les coordonnées des services etadministrations concernés,
- le repérage d'un point particulier : il s'agit ici de latraversée du cours d'eau "Saint-Nicolas", avec les ins¬tructions détaillées à suivre en cas de fuite.
7.4 - MESURES COMPLEMENTAIRES PROPOSEES
Les mesures mises en oeuvre par la Société TRAPIL paraissent toutà fait satisfaisantes. Nous ferons cependant trois suggestionsqui peuvent améliorer l'état actuel :
- il serait utile d'ajouter les services géologigues régio¬naux du B.R.G.M. à la liste des services et administra¬tions concernés par ce type d'accident, même si, en pra¬tique, la Préfecture signale le plus souvent au B.R.G.M.ce type de pollution et lui demande éventuellement d'in¬tervenir ,
- la traversée du plateau karstique de Haute-Saône mérite¬rait un examen plus détaillé que celui présenté ici. Cetexamen pourrait aboutir à la définition de zones à trai¬ter par un gainage supplémentaire, tout comme pour unetraversée de rivière.
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par ce type d'incident. Les modalités d'intervention des diffé¬rents participants sont consignées et regroupées dans le "Pland'Intervention" de la Division.
On trouvera en annexe 2 le plan du dossier d'intervention et, àtitre d'exemple, extraites de ce dossier d'intervention, lesfiches donnant :
- la liste des communes avec, en regard, les points parti¬culiers de l'oléoduc et les coordonnées des services etadministrations concernés,
- le repérage d'un point particulier : il s'agit ici de latraversée du cours d'eau "Saint-Nicolas", avec les ins¬tructions détaillées à suivre en cas de fuite.
7.4 - MESURES COMPLEMENTAIRES PROPOSEES
Les mesures mises en oeuvre par la Société TRAPIL paraissent toutà fait satisfaisantes. Nous ferons cependant trois suggestionsqui peuvent améliorer l'état actuel :
- il serait utile d'ajouter les services géologigues régio¬naux du B.R.G.M. à la liste des services et administra¬tions concernés par ce type d'accident, même si, en pra¬tique, la Préfecture signale le plus souvent au B.R.G.M.ce type de pollution et lui demande éventuellement d'in¬tervenir ,
- la traversée du plateau karstique de Haute-Saône mérite¬rait un examen plus détaillé que celui présenté ici. Cetexamen pourrait aboutir à la définition de zones à trai¬ter par un gainage supplémentaire, tout comme pour unetraversée de rivière.
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ANNEXE 1
CARTE DE SYNTHESE AU 1/50 000
HORS TEXTE
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ANNEXE 1
CARTE DE SYNTHESE AU 1/50 000
HORS TEXTE
-17-
ANNEXE 2
EXTRAITS DU PLAN D'INTERVENTION
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ANNEXE 2
EXTRAITS DU PLAN D'INTERVENTION
PLAN D'INTERVENTION
Ce dossier renferme les documents suivants :
I - REGLEMENTATION
Texte du planRéglementation - DécretIncidentRéquisition. Instruction 31
P.V. vierge
II - PERSONNEL
Installation et téléphoneHiérarchie par districtListe du personnel par districtOrganismes divers
III - LISTE ALPHABETIQUE DES COMMUNES
Pour l'ensemble de l'ouvrage
IV - COMMUNES PAR LIGNE
Classement des communes par ligne/Département
Ligne EOS-LANGRESLigne E5PIGUETTE-N0VESLigne LANGRES-CHALONSLigne LANGRES-MIRECOURTLigne LANGRES-BELFÜRT
V - TELEPHONE D'URGENCE
par département du Sud vers le Nord, classement ensuite dans le sensdes aiguilles d'une montre.
VI - ENTREPRISE
idem
VII - MOYENS D'INTERVENTIONS
Inventaire des moyens en 1ère et 2ème intervention et bases lourdes.
VIII - INCIDENT TYPE
Matériel envisagé en fonction des divers incidents
IX - POINTS PARTICULIERS
Répertoire des points dits "sensibles" sur les lignes. Classement pardépartement du Sud vers le Nord
X-XI-XII - PLAN LIGNES
Plan de pose et profil en long de la ligne par département. Classementpar district du Sud vers le Nord
OCTOBRE 1985
PLAN D'INTERVENTION
Ce dossier renferme les documents suivants :
I - REGLEMENTATION
Texte du planRéglementation - DécretIncidentRéquisition. Instruction 31
P.V. vierge
II - PERSONNEL
Installation et téléphoneHiérarchie par districtListe du personnel par districtOrganismes divers
III - LISTE ALPHABETIQUE DES COMMUNES
Pour l'ensemble de l'ouvrage
IV - COMMUNES PAR LIGNE
Classement des communes par ligne/Département
Ligne EOS-LANGRESLigne E5PIGUETTE-N0VESLigne LANGRES-CHALONSLigne LANGRES-MIRECOURTLigne LANGRES-BELFÜRT
V - TELEPHONE D'URGENCE
par département du Sud vers le Nord, classement ensuite dans le sensdes aiguilles d'une montre.
VI - ENTREPRISE
idem
VII - MOYENS D'INTERVENTIONS
Inventaire des moyens en 1ère et 2ème intervention et bases lourdes.
VIII - INCIDENT TYPE
Matériel envisagé en fonction des divers incidents
IX - POINTS PARTICULIERS
Répertoire des points dits "sensibles" sur les lignes. Classement pardépartement du Sud vers le Nord
X-XI-XII - PLAN LIGNES
Plan de pose et profil en long de la ligne par département. Classementpar district du Sud vers le Nord
OCTOBRE 1985
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132 km
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136 km
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137 km
140 km
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POINTS PARIICUIIERS.
Route N 83
SNCF Besançon-Bel fortRuisseau
Route V 1
Ruisseau
Roule n 10
Route D 19Rivière Ja DouceAutoroute A. 36
Canal de Huntbejaaid
Roule N.19 bis
S.N.C.F.naFmT à fWI.E
feeder COf
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Roule D 23II
Rtjisseau de la Prai 1
Roule D.13Route D.25
SNCF PARIS-BALERuisseau la Clavière
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Roule P 'il""_Bxiáfcje St-NJCQlü3
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2.850
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/
LURE
IIERl COURT
5ALILX de VESOl
LUXEUIL
URf
___
POMPIERS . D^sl
LURE
7i Um
AEROOROHT DC LUXEU
L VE SOUL 8 km
9 km
10 km
14 km
LUXEUIL
5 km
ALROOROME OE LURE
LURE 8 km
-H
8 km
7 km
2 km
5 km
BASE
HAUTC-SAONE
. Dist
LANGRES
177 Um
L
LANGRES 82 km
83 km
84 km
88 km
94 km
"1
LANGRES
1 ANCRES
98 km
99 km
99 Km
102 km
104 km
N" CARTE
U 25 000LURE 7-8
3421 Ouest
3420 Est
LURE 1-2
POINTS PARTICUIERS
/Rnutp 0.16RiiifîiipMii r1p<; Pr|4-!
Chaj 1 lantf////
Ruisseau des PrésChai Liants
Route D.130
Ruisseau
CAU
RuisseauRuisseauRoute D.125Route D.14
/
Riv. te DurqeonRoule D 141
Route V 2
/
Route D.144/
Route D.71
/Roule N 57
Riv. ta l anterreHoule D 142Poste de livraison
C. à V.Ruisseau de Semé
Ruisseau de Semé
Roule N 19
/Route D.3SNCF PARlS-nrifORI
/
Poste' de 1 ivraison
PK
.1 Oí,. 730ins nm
107.145
107.250
107.085
o.ono0.3150.9631.5732.605
/
6.0156.2447.050
/
8.970/
10.544/
12.70312.70313.00013.408
0.0060.8301.6102.712
/2.9504.4934.493
6.624
RISQUES
IMMEDIAT SECONDAIRES/
Roule N 67
Roule N 67
/
/
Pont Joly///
////
Riv. l.a lanteri-eRN 57
/
/Riv. le RabinRiv. Le Rabinllabi talion
/
/Route D.3
/
1 IIHf
Ruisni'iiiiRiv. le Ourgeon
/
/
Mai 1 lerancourl
///
////
DaudoncourtHrnirinncnurl
/
/
LICHÍ 1 ANCHI 5 - BELFORT
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/
La SfUVClir-les-1 URE
/
PK. SUD
105.070105.115105.155105.710
4.7505.560
///
8.640
/
/11.380
/
DEPARTEMENT DE :
GENDARMERIE
COMPAGNIE BRIGADEEURE
-
IIIRC
///
2.850
//
/
LURE
IIERl COURT
5ALILX de VESOl
LUXEUIL
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POMPIERS . D^sl
LURE
7i Um
AEROOROHT DC LUXEU
L VE SOUL 8 km
9 km
10 km
14 km
LUXEUIL
5 km
ALROOROME OE LURE
LURE 8 km
-H
8 km
7 km
2 km
5 km
BASE
HAUTC-SAONE
. Dist
LANGRES
177 Um
L
LANGRES 82 km
83 km
84 km
88 km
94 km
"1
LANGRES
1 ANCRES
98 km
99 km
99 Km
102 km
104 km
N" CARTE
U 25 000LURE 7-8
3421 Ouest
3420 Est
LURE 1-2
POINTS PARTICUIERS
/Rnutp 0.16RiiifîiipMii r1p<; Pr|4-!
Chaj 1 lantf////
Ruisseau des PrésChai Liants
Route D.130
Ruisseau
CAU
RuisseauRuisseauRoute D.125Route D.14
/
Riv. te DurqeonRoule D 141
Route V 2
/
Route D.144/
Route D.71
/Roule N 57
Riv. ta l anterreHoule D 142Poste de livraison
C. à V.Ruisseau de Semé
Ruisseau de Semé
Roule N 19
/Route D.3SNCF PARlS-nrifORI
/
Poste' de 1 ivraison
PK
.1 Oí,. 730ins nm
107.145
107.250
107.085
o.ono0.3150.9631.5732.605
/
6.0156.2447.050
/
8.970/
10.544/
12.70312.70313.00013.408
0.0060.8301.6102.712
/2.9504.4934.493
6.624
RISQUES
IMMEDIAT SECONDAIRES/
Roule N 67
Roule N 67
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/
Pont Joly///
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Riv. l.a lanteri-eRN 57
/
/Riv. le RabinRiv. Le Rabinllabi talion
/
/Route D.3
/
1 IIHf
Ruisni'iiiiRiv. le Ourgeon
/
/
Mai 1 lerancourl
///
////
DaudoncourtHrnirinncnurl
/
/
TERRiruIKE VE BELfORTPOINT PARTICULIER.Cours d'eau : íU\j¿í/ii "Sí tUco/ju"
PK 3,505
COWUNE de FOUTAÍHE H' 350
r/ CARACTERISTiqUES DU POINT PARTICULIER
- Largeur- Profondeur- Vitesse
0,40 m/1,20 m
0,10 m/i
Import:ance : non navlnablc.Environnement : pítuAíi
ÔÇÇ?5 Oiptjuj, point de. lincontM, fuendne ¿t gauchí V IS ¿Uiíítion PETITCKOIX. A PETITCROIX pA.zndxe. i aancke. 0 29 íLíaíc-íion CÜWEÍ.IERES. A CÜNEÍ.IERES, pAzndAí i Qtuichz V 11 jmqa' à intiUi&zciÂ.on 0 419. A t'intiMicJÎian, pxencUi igauchí d¿líCt¿on FRAIS. A hcuLteuA. di. ta. bcLt¿iZ, dziczndAz à djioi-tz dani la. pn.a¿,ii.i. Le. Cytoliement rfu pipetir.te.t de. ta. >iL\illii i£ t\otx\jz à 300 m.
Z"! RISQUES
- PolùitLon de. ta. /iMiíhtí- Poítatíon dz la. \¿\jiiAz "La. BoanbetUí"
3°/ MOYENS ET SERVICES EXTERIEURS :
ATTENTION FAIRE PARTIR D'URGENCE :
- Base de 1ère Intervention de : Í.AWGRE5
- Base de 2ème intervention de : LAUGRES
- Pompiers de : SELFÛRT
Prévenir :
- Préfecture de
Distance
9 km
Longueur de barrage nécessaire 10 m
- Compagnie de gendarmerie de- Pompiers de : BEÍ.FÜRT- Mairie de : f ONTAWE- Service de la Navigation de
V POINT DE RENCONTRE - Lieu
BELFiRT
BELFORT Vipdt (FSED) Tit. S4.Z1.Û5.61
Accès : i/znarU dz LANGRES i BELFORT. A BELFORT, dJAZctLon ALTKIRCH. Au ceutte dz PEROUSE (/ fern ap\Í6 ioitLz BELFORT],pKZitdKZ diAzztion MOUTREUK-CHATEAU V ZS. A 2,500 Km apKÏi CHEl/REMOWT, p>t.zndA.z pM2jn¿íA.z toiUz à gauchz, allzn.jtiiqu'au boLLt du chemin iani ¿iiaz.
5°/ INTERVENTION :
5.1- Isolement : CAf dz LVOFFANS - VÎpô-t dz BELFORT
5.2- Barrage de prévention :
- Longueur du barrage : ZO m on 40 m
.- Pose du barrage par TRAPIL :
- Aide et bateau par les pompiers de : BELFORT
- Vitesse : o,lS m/i- Temps mis : 4 H, 30- Temps mis : ; H. 00
Accès : VzptUi point dz t.zncsint\z, pn.zmiAz dùiziUion VEZELOTS 0 ¡3, ptUà BREBOTTE. A ta io.tXiz d' AUTRECHAIUE , au Zlmz parX,poiz da boAHaqz Zn amont dz czlui-ci. -
NOTA : ZO m dz baAAo^z à 50 m en amont da pont paA tzmpi iic zt 40 m dz boAAogz cowOlz tz pont pan. tempi dz oiuz.
5.3 - Barrage intermédiaire :
- Longueur du barrage : 10 m
- Pose du barrage par pompiers de : BELFORTVitesse : 0,10 m/iTemps mis : / H. 00
Accès :Vznaiit dz BELFORT, pxzitdt.z tüAZCtion ALTKIRCH D 419. A Z km à la iottie dz FRAIS, piznd-iz à dtoitz V U dlrecXicrBRETAGNE. Au IzA. pont 3. la iotXiz dz MOWTREUX-CHATEAU, poiz da biWioge en amont da pont.
5.4 - Barrage de récupération :
- Longueur du barrage : 20 m
- Pose du barrage par TRAPIL -.llxz i Zlmz intzAv.- Pose du barrage par pompiers : BELFORT
- Vitesse : 0,10 m/iLANGRES - Temps mis -.4 H. 30
- Temps mis : Aide i TRAPIL
Accès : VzpuJJi tz point dz xznccntxz, pn.zndn.z i gauchz D ZS diizction PETITCROIX. A PETÍTCR01X, pxzndAe à gauchz dLi.zcti.:nCUHELIERES. A CUNELIERES. pxzndiz V Zl diAzction FOUSSEhlAGUE. Au I^t pont, poiz du ba-L-ju^z en a\jaZ.
UOTA : Stationnement dti camioni citeAnzi ioiitz CUHELIERES.
TELEPHONE D'URGENCEOEPAHTEMENT de
EN TREPrtISESTERRITOIRE DE BELFORT
TERRiruIKE VE BELfORTPOINT PARTICULIER.Cours d'eau : íU\j¿í/ii "Sí tUco/ju"
PK 3,505
COWUNE de FOUTAÍHE H' 350
r/ CARACTERISTiqUES DU POINT PARTICULIER
- Largeur- Profondeur- Vitesse
0,40 m/1,20 m
0,10 m/i
Import:ance : non navlnablc.Environnement : pítuAíi
ÔÇÇ?5 Oiptjuj, point de. lincontM, fuendne ¿t gauchí V IS ¿Uiíítion PETITCKOIX. A PETITCROIX pA.zndxe. i aancke. 0 29 íLíaíc-íion CÜWEÍ.IERES. A CÜNEÍ.IERES, pAzndAí i Qtuichz V 11 jmqa' à intiUi&zciÂ.on 0 419. A t'intiMicJÎian, pxencUi igauchí d¿líCt¿on FRAIS. A hcuLteuA. di. ta. bcLt¿iZ, dziczndAz à djioi-tz dani la. pn.a¿,ii.i. Le. Cytoliement rfu pipetir.te.t de. ta. >iL\illii i£ t\otx\jz à 300 m.
Z"! RISQUES
- PolùitLon de. ta. /iMiíhtí- Poítatíon dz la. \¿\jiiAz "La. BoanbetUí"
3°/ MOYENS ET SERVICES EXTERIEURS :
ATTENTION FAIRE PARTIR D'URGENCE :
- Base de 1ère Intervention de : Í.AWGRE5
- Base de 2ème intervention de : LAUGRES
- Pompiers de : SELFÛRT
Prévenir :
- Préfecture de
Distance
9 km
Longueur de barrage nécessaire 10 m
- Compagnie de gendarmerie de- Pompiers de : BEÍ.FÜRT- Mairie de : f ONTAWE- Service de la Navigation de
V POINT DE RENCONTRE - Lieu
BELFiRT
BELFORT Vipdt (FSED) Tit. S4.Z1.Û5.61
Accès : i/znarU dz LANGRES i BELFORT. A BELFORT, dJAZctLon ALTKIRCH. Au ceutte dz PEROUSE (/ fern ap\Í6 ioitLz BELFORT],pKZitdKZ diAzztion MOUTREUK-CHATEAU V ZS. A 2,500 Km apKÏi CHEl/REMOWT, p>t.zndA.z pM2jn¿íA.z toiUz à gauchz, allzn.jtiiqu'au boLLt du chemin iani ¿iiaz.
5°/ INTERVENTION :
5.1- Isolement : CAf dz LVOFFANS - VÎpô-t dz BELFORT
5.2- Barrage de prévention :
- Longueur du barrage : ZO m on 40 m
.- Pose du barrage par TRAPIL :
- Aide et bateau par les pompiers de : BELFORT
- Vitesse : o,lS m/i- Temps mis : 4 H, 30- Temps mis : ; H. 00
Accès : VzptUi point dz t.zncsint\z, pn.zmiAz dùiziUion VEZELOTS 0 ¡3, ptUà BREBOTTE. A ta io.tXiz d' AUTRECHAIUE , au Zlmz parX,poiz da boAHaqz Zn amont dz czlui-ci. -
NOTA : ZO m dz baAAo^z à 50 m en amont da pont paA tzmpi iic zt 40 m dz boAAogz cowOlz tz pont pan. tempi dz oiuz.
5.3 - Barrage intermédiaire :
- Longueur du barrage : 10 m
- Pose du barrage par pompiers de : BELFORTVitesse : 0,10 m/iTemps mis : / H. 00
Accès :Vznaiit dz BELFORT, pxzitdt.z tüAZCtion ALTKIRCH D 419. A Z km à la iottie dz FRAIS, piznd-iz à dtoitz V U dlrecXicrBRETAGNE. Au IzA. pont 3. la iotXiz dz MOWTREUX-CHATEAU, poiz da biWioge en amont da pont.
5.4 - Barrage de récupération :
- Longueur du barrage : 20 m
- Pose du barrage par TRAPIL -.llxz i Zlmz intzAv.- Pose du barrage par pompiers : BELFORT
- Vitesse : 0,10 m/iLANGRES - Temps mis -.4 H. 30
- Temps mis : Aide i TRAPIL
Accès : VzpuJJi tz point dz xznccntxz, pn.zndn.z i gauchz D ZS diizction PETITCROIX. A PETÍTCR01X, pxzndAe à gauchz dLi.zcti.:nCUHELIERES. A CUNELIERES. pxzndiz V Zl diAzction FOUSSEhlAGUE. Au I^t pont, poiz du ba-L-ju^z en a\jaZ.
UOTA : Stationnement dti camioni citeAnzi ioiitz CUHELIERES.
TELEPHONE D'URGENCEOEPAHTEMENT de
EN TREPrtISESTERRITOIRE DE BELFORT