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REVUE TRIMESTRIELLE

DE

L'ASSOCIATION FRANÇAISE DES AMATEURS

DE CACTÉES ET PLANTES GRASSES

84, RUE DE GRENELLE - P A R IS -V IIeCompte de Chèques Postaux : Paris 5406-36

Cotisation annuelle : FRANCE : 20 F

ETRANGER : 25 F

Cliché David-Boudet

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N° 86 6 F

Décembre 1965 20e ANNÉE

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ASSOCIATION FRANÇAISE DES AMATEURS

DE CACTÉES ET PLANTES GRASSES

MEMBRES FONDATEURSBERTRAND, Président d'honneur de la Société, J. CALLÉ, J. MARNIER-LAPOSTOLLE

M. RIFF, Dr J. SOULAIRE, E. VEAU.

COMITÉ D'HONNEURProfesseur A. GUILLAUMIN, L. VATRICAN, C. BACKEBERG, Professeur J. MILLOT.

CONSEIL D'ADMINISTRATIONBureau :

Président: J. MARNIER-LAPOSTOLLE, Membre associé du Muséum.Vice-Présidents: J. GASTAUD, M. RIFF, Dr SOULAIRE.Secrétaire-Trésorier : R. MERTEN.Secrétaire-Rédacteur : P. MONTANDON.Editeur-gérant de la Revue : J. TESSIER.

Membres du Conseil :J. BOYER, J. CALLÉ, Mme CHAUSSON (Grenoble), G. RICHARD, G. RIGOL, H. ROSE, E. VEAU.

Si vous voulez une réponse à vos lettres Joignez une enveloppe timbrée

Tout changement d’adresse doit être accompagné de la dernière adresse et de 0,50 F en timbre-poste.

CORRESPONDANCE A ADRESSER OBLIGATOIREMENTAdhésions, Renseignements, Trésorerie :

M. le Secrétaire Général de CACTUS, 84, rue de Grenelle, Paris (7e)Rédaction de la Revue, articles à publier, Bibliographie, Annonces:P. MONTANDON. Rédacteur de CACTUS, 9, av. Marcel - 93 - VILLEMOMBLE - 738-07-85

SOMMAIRE DU NUMERO 86

M. MARNIER-LAPOSTOLLE, Président de "Cactus”, Chevalier de la Légion d’Honneur. Quelques floraisons intéressantes, par M. DAVID-BOUDET.A propos d'Haseltonia Backbg. et de Deamia Br. & R., par C. BACKEBERG.Remarques sur un Echinopsis, par M. DAVID-BOUDET.Une cochenille parasite des Mesembryanthemum, par J. SCHNEIDER.Description de : Mammillaria solisii (Br. & R.) Boedeker.Description de : Mammillaria mazatlanensis Schumann.Description de : Mammillaria uncinata Zuccarini.Description de : Neochilenia paucicostata (Ritter) Backbg.Description de : Neochilenia jussieui (Monv.) Backbg.Description de : Euphorbia fruticosa Fork.Description de : Euphorbia schoenlandii Pax.Description de : Opuntia verschaffeltii Cels.Description de : Opuntia bulbispina Engelmann.Projet de constitution d’une nouvelle société.Essai d’une bibliographie de la famille des Cactées (additif).Lu pour vous, par P. MONTANDON.Index alphabétique des matières et des auteurs, 15e et 16e années 1960-1961.

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M a i s o n f o n d é e e n 1907

É T A B L I S S E M E N T S H O R T I C O L E S

K U E N T ZD o m a i n e d e l a M a g d e l e i n e — F R É J U S ( V a r )

C o m p te C h èques P o s ta u x : M A R S E IL L E 441-20

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NOTRE PRESIDENT A L’HONNEUR

Membre correspondant du Muséum,Président et Membre fondateur de ’’CACTUS",Président de la Société des Amis du Muséum,

Propriétaire du Jardin Botanique "Les Cèdres” à Saint-Jean-Cap-Ferrat.

L'ASSOCIATION FRANÇAISE DES AMATEURS DE CACTEES ET PLANTES GRASSES est heureuse et fière d'annoncer à tous ses membres la récompense dont vient d'être honoré son Président, M. Julien MARNIER-LAPOSTOLLE.

Cette haute distinction, la nomination au grade de CHEVALIER DE LA LEGION D’HON­NEUR, vient sanctionner une longue carrière consacrée aux Sciences Naturelles.

Epris dès son jeune âge des beautés de la Nature et s'intéressant tout particulièrement à la Botanique, il réussit à introduire de nombreuses espèces en Europe et à les acclimater. Il se consacre sans relâche à la botanique et à force de persévérance, il constitue à Saint- Jean-Cap-Ferrat une collection de végétaux unique au monde.

Ce sont d'abord les plantes originaires d’Australie qu'il acclimate dans sa propriété et dont certaines espèces sont vulgarisées sur notre Côte d’Azur. Puis les Cactées et les Plantes grasses lui ouvrent un autre horizon et il réunit la plus belle collection qui puisse exister. Les familles des Broméliacées, des Palmiers, des Aracées, les Euphorbes en parti­culier, sont étudiées par lui. Là encore il parvient à constituer des collections uniques.Mais le désir de réunir tous ces végétaux en tant que richesse végétale n’est pas son seul but.

Parallèlement II en étudie la systématique, l’écologie et l'acclimation sur le littoral méditerranéen alliant ainsi la botanique pure à la botanique appliquée.

De tous ses correspondants du Monde entier, botanistes, explorateurs, amateurs, il reçoit des plantes connues ou inconnues. Parmi ces envois, nombreuses sont les impor­tations dont l’horticulture lui est redevable.

Auteur, la Science lui doit également la description de nouvelles espèces et la mise à la disposition des botanistes français ou étrangers, du matériel nécessaire, provenant de ses riches collections, pour la publication de "novae species”.

Cher Président, l'Association Française des Amateurs de Cactées et Plantes grasses vous présente ses chaleureuses félicitations et se réjouit de vous voir attribuer cette haute distinction venant récompenser tous vos travaux pour l'avancement des Sciences naturelles.

86 (1965) — 113 —

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QUELQUES FLORAISONS INTÉRESSANTES

par M. DAVID-BOUDET

BACKEBERG dans "Blätter für Kakteenforschung en 1936 écrivait à peu près ceci : « Pour le genre Chilenia il a été établi en outre la nouvelle série des Dianth i (ce qui signifie : à deux fleurs). C'est un cas unique chez les cactées globuleuses que ces plantes puissent développer deux fleurs en même temps par aréole. Les fleurs naissent à gauche et à droite du bord supérieur de l’aréole. Le plus souvent une seul fleur arrive à se développer, tandis que l’autre avorte... »

Je donne Ici deux photos où, sur chaque plante, plusieurs aréoles ont deux fleurs arrivées à épanouissement ou qui s’épanouissent.

La photo N° 1 est de Neoporteria acutissima (subgibbosa)

La photo N° 2 Neochilenia hankeana var. taltalensis

A la défloraison, et ce n’était pas possible avant, tant les fleurs étaient serrées, j’ai eu la surprise de trouver, sur Neochilenia hankeana, une aréole qui avait eu trois fleurs.

La première photo a été prise en mars 1965, et la seconde en juin de la même année.

Les Neochilenia fleurissent chez moi (à Saint-lsmier en Isère) de juin à octobre ; les Neoporteria de novembre à juin avec arrêt du développement des boutons déjà nés de décembre à février, lorsque la température est basse dans la serre et l’éclairement réduit.

Il semble que les deux genres aient des époques de floraison totalement différentes, autant que je puisse en juger par les plantes que je possède, assez nombreuses, mais ne représentant pas toutes les espèces des deux genres. Il serait Intéressant de savoir ce qu’il en est au Chili.

Il est utile de rappeler qu'en 1936 BACKEBERG groupait dans le genre Chilenia les plantes du genre Neoporteria BR. & R. et quelques autres qu'il venait de découvrir. En 1942 il reprenait le genre N eoporteria BR. & R. en l’amendant et créait le nouveau genre Neochilenia (voir dans "Cactus” N° 84, 1965, page 80, lignes 14 et suivantes les raisons l’ayant amené à cette séparation).

Quoi qu’il en soit, les photos ci-jointes prouvent l’étroite parenté des plantes des deux genres.

Fig. 1 Neogorteria acutissima Fig. 2 Neochilenia hankeana var. taltalensis

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A PROPOS D’HASELTONIA BACKBG.

ET DE DEAMIA BR. & R.

C. BACKEBERGTraduit de l'a llem and par M. HERMANN

Certains auteurs ont essayé, récemment, de modifier la dénomination de ces deux genres. De multiples difficultés se sont présentées lorsqu’il a fallu justifier leur ancien nom.

Dans la revue "Die Kakteen” du 1-6-65, H. KRAINZ considère Haseltonia columnatrajani (Karw) Backbg. comme étant synonyme de Cephalocereus hoppenstedtii (Web.) K. Sch., et ma dénomination comme un "nomen confusum" typique qui, de ce fait, serait à rejeter.

Cela est inexact. KRAINZ de même que BUXBAUM semblent ignorer la description de PFEIFFER, sinon leur justification rapide du nom "C ereus columna tra jani Karw." devrait être considérée comme ayant été faite à la suite d'un examen très superficiel de ce problème. PFEIFFER mentionne en effet à la page 77 de son "Enumeratio Diagnostics Cactacearum” : Plantae e narratione dom. de Karwinski in patria prope San Sebastian frequentissim ae simplicissimae, 40-45 ped. altae... in api ce trunci latere septentrional i quasi cephalium e lana densa flavida, setisque brunneis elongatis consistens affixum esse dicitur, e quo flores e baccae p roven iun t". Les aiguillons sont indiqués comme étant de couleur corne ou blanche.

Pour le chercheur consciencieux la première question qui se pose est de savoir où se trouve San Sebastian. Or BR. & R., qui ont méconnu ce genre, (ils ne donnent aucune indication concernant le céphalium et mentionnent : fleurs décrites comme étant pourpres alors que l'on ne retrouve rien dans la description originale), donnent simplement comme origine : San Sebastian, Puebla.

L’ouvrage très peu connu de Léon DIGUET "Les Cactées utiles du Mexique” donne, à ce sujet, les indications les plus utiles. L’auteur y précise : Sud de l'Etat de Puebla, région de San Sebastian Zinacatepec. Après les multiples changements des anciens noms de saints, le deuxième nom est maintenant le seul valable.

J'ai ramassé dans cette même région, pour le compte du parc de Hambourg "Planten un Blomen", plusieurs exemplaires de quelques mètres de hauteur. Les constatations utiles pour la détermination exacte du genre et des caractères du type furent faites par moi sur le lieu même d'origine de la plante décrite par Karwinski.

Ces constatations originales sont donc importantes : "Plantes toujours solitaires, cépha­lium très laineux sur la face longitudinale nord, aiguillons de couleur corne à blanche et de 15 cm environ de longueur.

La question qui se pose ensuite est de savoir s’il pousse dans cette région d’autres cactées, en forme de colonne, dont les caractéristiques seraient identiques aux précédentes. Or il existe, là-bas seulement, une sorte de Cereus correspondant aux indications de PFEIFFER et qui, de même origine, est représentée par Léon DIGUET figures 102-104 sous le nom de Cephalocereus hoppenstedtii. Ces photos montrent également comment le nom de "Colonne Trajane", donné par Karwinski, convient bien à ces plantes géantes, légèrement penchées d’un côté pour autant qu’elles poussent sans ramification.

Il est donc hors de question que le nom plus ancien de Cephalocereus hoppenstedtii soit Cereus columna trajani. Ce n’est donc pas cette dernière dénomination qui est à rejeter, mais celle de Cephalocereus hoppenstedtii considérée comme valable par KRAINZ et BUXBAUM. Le nom de Cereus columna tra jani donné par Karwinski n’est donc pas un "nomen confusum", comme voudraient le faire croire les erreurs d'auteurs plus récents. Les confusions s'expliquent par un manque de consultations et de vérifications approfondies des textes aussi bien de PFEIFFER que de Léon DIGUET par les auteurs intéressés. D'ailleurs comment cette plante unique aurait-elle pu passer inaperçue aussi longtemps ?

En ce qui concerne le nom de Haseltonia il convient de remarquer que dans mon lexique des cactées je rejette toutes les conclusions :

a) Qui ne se fondent pas sur une classification établie suivant un plan clair et précis englobant toute la famille des cactées.

b) Dans lesquelles la conception du type, définie pour un ensemble d'espèces par des caractéristiques communes correspondant à celles du genre, perd son sens.

(1) Depuis BRITTON ET ROSE le nom s’écrit avec un trait d'union "colum na-tra jani.

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c) Qui ne concernent pas des ensembles naturels et sont par contre des assemblages artificiels, des interprétations subjectives d'auteurs isolés conduisant fatalement à des points de vue différents.

d) Le moyen le plus efficace pour l'ordonnancement cohérent et logique d'un clas­sement, qui lors des travaux préliminaires offre les plus grandes facilités, est avant tout la différenciation de la floraison d’après le degré de réduction des caractères d'une tige (épines, laine, poils durs, etc.) à la fleur. Elle décide de ce qu'est un groupe d'espèces (de même genre) naturellement cohérent et clairement reconnu et démontre en même temps son degré de développement actuel.

Ainsi fallait-il procéder en ce qui concerne Cereus columna trajani. Le genre Cephalocereus est monotypique ; ayant avec l'âge, le céphalium largement étalé, des fleurs de presque 10 cm de long, campanulées, infundibuliformes et velues ! Haseltonia produit par contre des céphaliums latéraux devenant très longs, les fleurs sont faiblement campa­nulées et glabres, ce qui constitue une différence fondamentale du type à fleurs velues du genre Cephalocereus qui, en conformité avec les b et c ci-dessus, nécessita la création d'un genre particulier pour la plante de KARWINSKI. Ce genre fut dénommé HASELTONIA en l'honneur de SCOTT HASELTON, l'éditeur de "Cactus and Succulent Journal of America" qui, après plus de 30 années d'activité, a pris sa retraite.

Si KRAINZ s'évertue à disséquer cette séparation très nette en rappelant que bien que les fleurs soient glabres, il apparaît avec la maturité progressive du fruit quelques traces de revêtement, l'importance nous en paraît négligeable pour la définition ou le regroupement du genre.

Nous connaissons plusieurs genres de Cereus mexicains qui ont des fleurs glabres mais des fruits plus ou moins épineux, c'est le cas chez Neobuxbaumia et Polaskia. Des constatations identiques (restes de poils) sont faites également, mais occasionnellement, chez des plantes provenant de l'Amérique du Sud par exemple chez Rebutia et Matucana. Tous ces exemples montrent bien qu'aucun regroupemnt n'est possible.

Le seul élément de réduction qui puisse être pris en considération est donc la fleur, car elle seule peut être déterminante pour la séparation des genres.

Ce qui caractérise le point de vue de BUXBAUM pour la réunion des genres, sans égard pour le type, est, entre autres, le genre Deamia de BRITTON et ROSE, qu'il a catalogué récemment comme sous-groupe des S elenicereus. Cette manière de faire est à rejeter (voir points c et d ci-dessus).

Sur cette question de séparation des genres, BRITTON et ROSE avaient un point de vue très net. Leur diagnose du groupe est en effet pour le Selenicereus "fleurs nocturnes" et pour le Deamia "fleurs diurnes", par ailleurs la forme de la plante est indiquée comme étant nettement différente, pour le Deamia : plante fortement côtelée à 3-5 ailes. BR. & R. disent ("wingend stemps”) corps en forme d'aile et pour Selenicereus : corps à côtes cannelées ou anguleuses (ribbed, fluted or angled) ; les rameaux de Deamia s'enroulent souvent autour du tronc en y adhérant comme le montre la fig. 293 de BRITTON et ROSE (Vol. II).

Quel intérêt peut donc présenter la réunion dans un même groupe de plantes à floraison si différente, diurne ou nocturne ? Pourquoi ne pas tenir compte de la différenciation crée par la nature elle-même, en vue de séparer les deux groupes ? Je dois donc considérer cette réunion comme superflue, d'autant plus qu'il me semble que là encore on s'efforce, par principe, de vouloir "faire autre chose".

Un jour j'examinerai le cas de Pseudomitrocereus, et Backebergia pour démontrer de quelle façon illogique BUXBAUM procède, dans ce cas, compte tenu de sa conception de Jasminocereus et Brachycereus et montrerai que le report de nom de M itrocereus sur Backebergia, fait par H. BRAVO, ne peut être admis par la différence de diagnoses.

Fig. 1. — L. Diguet fig. 102 : Cephalocereus hoppenstedtii, exemplaire solitaire de la région située entre Tehuacan et Zapotitlan, correspondant à la description de Cereus columna tra jani et dont la seule vue explique pourquoi Karwinski a été conduit à lui donner ce nom.

Fig. 2. — L. Diguet fig. 103 : Plantation d'Haseltonia columna tra jani (Karw.) Backbg. Karwinski décrit ce phénomène d'une façon concise et exacte : "Près de San Sébastian de nombreuses plantes sans aucune ramification... sur la face nord un céphalium de laine épaisse... aiguillons de couleur corne ou blanche jusqu'à 15 cm de long.”

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Haseltonia columna-trajani (Karw.) Backbg.

Amas typiques à San Sebastian Zinacatepec - L. Diguet fig. 103.

Plante solitaire à Zinacatepec - L. Diguet fig. 102.

Photocopies C. BACKEBERG.

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REMARQUES SUR UN ECHINOPSIS

M. DAVID-BOUDET

Dans son catalogue 1951, la Maison JOHNSON de Pasadena U.S.A., proposait un Echinopsis obrepanda var. amoena, en précisant : « Variété reçue récemment de Bolivie à fleurs rose-clair ou orange-rose.

J'ai donné la photographie de la fleur de cet Echinopsis dans le N° 68 de "CACTUS" (page 68) avec la description de E. obrepanda dans laquelle il est dit que la fleur est blanche ou pourprée.

Les fleurs de mon Echinopsis obrepanda var. amoena sont rose-pourpré assez foncé, en contradiction avec la description du catalogue de Johnson, se rapprochant sensiblement de la couleur de celle de l'Echinopsis hybride de Johnson baptisé "Sunset" que beaucoup de collectionneurs possèdent, car il est très floriféré.

Dans le N° 42 de "CACTUS" (page 41) est donnée la description et la photo d'E. tora­lapana Cardenas, accompagnées de commentaires qui me font supposer que mon E. obre­penda var. amoena pourrait bien être cette nouvelle espèce.

Bien que disposant d'une documentation abondante sur les cactées, en aucun endroit je n’ai trouvé mention de cette var. amoena qui n'est vraisemblablement qu’un nom de catalogue. Il serait intéressant de savoir de quelle région de Bolivie provient cette plante et si ce nom de variété doit être conservé.

Notre ami, M. le Professeur CARDENAS, que nous avons consulté à ce sujet, a eu l'amabilité, ce dont nous le remercions bien vivement, de nous adresser les précisions suivantes :

« J'ai fait une révision de la littérature à ma disposition sur les Echinopsis de Bolivie et n'y ai rien trouvé concernant E. obrepanda var. amoena annoncé par la Maison JOHNSON de Pasadena.

BACKEBERG a donné la diagnose de plusieurs variétés de Pseudolobivia obrepanda.

Lorsque j'ai donné dans "CACTUS" la diagnose d'E. toralaplana j'avais souvenir de la description déjà donnée d'E. obrepanda faisant mention d’une fleur blanche. Or sur les hautes montagnes des Andes de Bolivie j’ai rencontré au moins deux espèces d'Echinopsis possédant des fleurs d’environ 18 cm de long, magenta et rougeâtre. Une de ces espèces est E. toralapana.

Dans le centre et le centre est de la Bolivie j’ai vu des Echinopsis avec des fleurs lilas, rose-lilas ou orange-saumon. Je crois d'ailleurs qu'il existe plusieurs hybrides parmi ces différents Echinopsis, produits par ségrégation génétique, car il a été constaté que les graines provenant d'un même fruit donnaient naissance à des plantes avec fleurs blanches et colorées.

Echinopsis toralapana Cárd. est par contre une espèce bien définie, poussant isolée dans les hautes montagnes des Andes, avec des fleurs de couleur magenta uniforme.

La variété amoena de M. DAVID-BOUDET doit être entièrement différente.Ci-joint des diapositives en couleur de E. calochroma, E. toralapana, E. calliantholilaciana.

**

M. DAVID-BOUDET, a qui nous avons communiqué ces précisions, pense, après avoir examiné les diapositives, qu'il y a bien identité entre E. toralapana et E. obrepanda amoena qui, en outre, sont tous deux dépourvus d’aiguillon central. Toutefois pour lever complè­tement le doute, il faudrait pouvoir préciser les autres caractéristiques des deux plantes et les comparer.

♦**

M. le Professeur CARDENAS a bien voulu nous confirmer son accord sur cette dernière conclusion, en nous faisant toutefois observer :

— qu’il n’existe pas de plante type d'Echinopsis obrepanda dans les herbiers et qu’il est, de ce fait, difficile de définir ce taxon dont la description originale comportait deux formes fleurissant en purpurin et blanc ;

— qu’il existe dans les Andes, plus de deux espèces d'Echinopsis, d’ailleurs pas encore très bien connues, ayant des fleurs purpurines ou blanches ;

— que même si M. DAVID-BOUDET possède un exemplaire d'Echinopsis toralapana provenant de sa localité d'origine, l'identité de son Echinopsis obrepanda reste douteuse puisque l'on ne connaît pas sa localité d’origine et que l'on ne peut pas, de ce fait y aller chercher d’autres plantes pour procéder à une comparaison ;

— que les noms de nombreuses plantes, donnés après examen d’exemplaires de culture devraient être examinés en prenant comme base des spécimens bien identifiés ;

— qu'en fin trop de plantes dont la localité est douteuse sont identifiées comme pro­venant de Bolivie.

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U NE C O C H E N IL L E P A R A S ITE DES M E S E M B R Y A N T H E M U M

J. SCHNEIDER

"CACTUS" ayant déjà publié d'excellentes études sur les cochenilles parasites des cactées (1), mon propos n'est pas d'y revenir aujourd’hui, mais d ’attirer l’attention sur une espèce moins connue, parasite spécifique des Mesembryanthemum : Pulvinaria m esem ­bryanthemi Vall.

J'ai pu observer cette cochenille sur différentes ficoïdes en vente chez des fleuristes, et je l’ai retrouvée en plein air, parfois abondante, sur les Carpobrotus, naturalisés en de nombreux points du littoral méditerranéen.

Pulvinaria mesembryanthemi appartient à la famille des Lecaniidae. Les femelles adultes possèdent un tégument dorsal bombé, ou bouclier, dur, rigide, coriace, imprégné de cire, de couleur brun rouge. Elles sont d ’assez grande taille : 3 à 5 mm de long sur2,5 à 4 mm de large. Elles sont fixées sur les feuilles, à n'importe quelle face de celles-ci. leur rostre est plongé dans les tissus de la plante, dont elles aspirent la sève pour se nourrir. La ponte se fait dans un ovisac de couleur blanc pur, adhérant à l’abdomen et formé de filaments cireux très fins, enchevêtrés, isolant les uns des autres les œufs qui sont de couleur verte et au nombre de plusieurs centaines. La femelle ayant terminé sa ponte se ride complètement dans le sens transversal, et son tégument est soulevé en arrière par l’ovisac.

Pulvinaria mesembryanthemi sur Titanopsis

Femelles adultes dont le bouclier est soulevé par l’ovisac

Dans la nature, ces pontes ont lieu en mai et la sortie des larves a probablement lieu en juin. Les larves du premier stade sont très petites, de couleur vert pâle, et très mobiles. Elles sont facilement emportées par le vent. Après une mue, elles se transforment en larves du deuxième stade, également mobiles, vert pâle, mais de taille plus grande. Au bout d'un

86 (1965) — 119 —

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certain temps, ces larves se fixent définitivement, muent encore une fois, et deviennent des femelles adultes. La parthénogenèse paraît être la règle chez cette espèce.

Le nombre de générations annuelles est encore inconnu, mais en serre, la multiplica­tion est continue. Il semble que cette cochenille hiverne sous forme de larves du deuxième stade.

Lorsque les cochenilles sont très nombreuses, les feuilles attaquées se dessèchent, la plante dépérit et peut finir par mourir.

En plein air, la multiplication du parasite est limitée par l’action de plusieurs petits hyménoptères chalcidiens parasites, tels que Encyrtus frontalis, Coccophagus scutellarls et Coccophagus lineatus.

En serre, on peut être amené à intervenir par des traitements chimiques appropriés.

Du fait de leur bouclier protecteur, ces cochenilles, comma la plupart des autres espèces, sont très résistantes aux insecticides. On peut cependant utiliser avec succès des spécialités à base de nicotine, sulfotep, parathion, malathion et diethion.

En serre, la lutte peut être faite sous forme de fumigations à la nicotine ou au sulfotep. Les serres doivent être bien étanches et maintenues à une température suffisante, car des brûlures des plantes sont à craindre en atmosphère fraîche et humide. Ce procédé pré­sente l'avantage de la rapidité, mais il est onéreux pour la destruction de petits foyers, d'autant plus que l’efficacité des produits sur les œufs étant faible, une nouvelle fumigation est nécessaire après l'éclosion de ceux-ci, pour détruire la nouvelle génération avant que d'autres pontes se produisent.

C'est sous forme de pulvérisations que l’on interviendra généralement en utilisant des produits à base de parathion, de malathion ou de diethion. Ces produits ont une efficacité bien meilleure en solution huileuse, car l'huile asphyxie les cochenilles. Pour éviter des brûlures sur les feuilles des plantes traitées, on n'emploiera que des spécialités à base d'huiles blanches très raffinées, préparées pour les plantes florales, ou des préparations en bouillie ou en émulsion. D’ailleurs, afin d'éviter tout accident sérieux sur la végétation, une bonne précaution consiste à effectuer un essai sur quelques plantes pour examiner leur réaction, qui peut varier avec leur âge, la variété ou la température, puis à généraliser ensuite si aucune phytotoxicité n’a été constatée.

Il faut opérer avec un appareil à forte pression, mouiller rapidement les plantes para­sitées, puis les pulvériser abondamment quinze minutes plus tard. Deux à trois traitements seront parfois nécessaires, espacés d’une quinzaine de jours.

Pour l’amateur ayant seulement quelques plantes, il sera évidemment plus simple de laver les feuilles parasitées avec un tampon de coton hydrophile imbibé de l’un des pro­duits cités ci-dessus.

D’une façon générale, ces traitements seront tout à fait valables pour lutter avec succès contre les invasions des "Poux collants" des cactées et des autres succulentes (Liaspis, Aspidiotus, Parlatoria, Dactylopius, etc.), ainsi que celles des cochenilles blanches mobiles (Pseudococcus).

Par contre, le trop fameux "Pou des racines” (Rhizoecus cacticans), dont la biologie est très différentes, est justiciable d'autres méthodes de lutte. Nous y reviendrons dans un prochain article.

Directeur du Laboratoire des Nématodes

J. SCHNEIDER

Ingénieur Agricole,

(1) Cactus Nos 25, 28, 29.

— 120 —

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G . 1 1 3

S e c . I

S e r . 4

Cliché David-Boudet

G e n r e M A M M ILLA RIA H a w o r th

SECTION I : HYDROCHYLUS K. SCHUMANN

SÉRIE IV : ANCISTRACANTHAE K. SCHUMANN

M A M M ILLA RIA S O L IS II (Br. & R.) B o e d e k e r

in Mamm. - Vergl. - Schlüssel 35.1933

Synonyme :

Neomammillaria solisii (Br. & R.) The Cactaceae.

Description :

Plante solitaire ou proliférant sur le corps, globuleuse ou cylindrique, atteignant 10 cm de diam. et 20 de haut. Mamelons disposés sur 13 et 21 spires, verts devenant pourpres, coniques à sommet arrondi, à suc aqueux, de 8 à 10 mm de long, et 6 à 10 mm d'épais­seur à la base.

Aréoles ovales, à laine blanche vite caduque.

Axilles non laineuses, avec des soles blanches.

Aiguillons centraux 3 à 6 (le plus souvent 4) de 20 mm de long, les supérieurs droits, l’inférieur crochu et plus long, tous jaune-brun plus clair à la base, presque noir au sommet. Aiguillons radiaux 20 à 26, de 8 à 10 mm de long, blancs, aciculaires.

Fleur en entonnoir de 15 mm de long, rose foncé à rouge magenta avec médiane plus sombre.

Fruit blanc verdâtre à rose de 20 mm de long, claviforme.

86 (1965) — 121 —

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G. 113

S e c . I

S er . 4

Cliché David-Boudet

Genre MAMMILLARIA Haworth

S E C T IO N I : H Y D R O C H Y L U S K. S C H U M A N N

S É R IE IV : A N C IS T R A C A N T H A E K. S C H U M A N N

MAMMILLARIA MAZATLANENSIS SchumannIn M o n a t s c h . K a k t e e n . 11 1 5 4 .1 9 0 1

Synonymes :M am m illaria lito ra lis K. Brand.M am m illaria mazatlensis Hge.Neomammil laria mazatlanensis (K. Sch.) Br. & R.C hilita mazatlanensis Orc.Ebnerella mazatlanensis (Reb.) F. Buxb.

Description :

Plante cespiteuse à la base et sur le corps, de 3 à 4 cm de haut.Mamelons sur 5 et 8 spires, vert-grisâtre, à suc aqueux, de 4 à 8 mm de long et 10

de large à la base.Aréoles d'abord un peu laineuses, puis nues.Axilles nues avec parfois une ou deux soies (H. Bravo dit avec laine et soies).Aiguillons 13 à 15 radiaux, de 5 à 10 mm de long, aciculaires, droits, blanc-crayeux.

3 à 4 centraux de 8 à 10 mm de long, aciculaires, droits, blanc-crème à pointe rouge-brun.Fleurs apicales, en entonnoir de 3 à 4 cm de long, rouge-carmin, à bord des pétales

dentelés au sommet. Etamines jaunes, stigmates verts.Fruit claviforme de 7 X 20 mm, rouge-brun.Graines noires.

(Suite page 123)

— 122 —

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REVUE P É R I O D I Q U E

DE L 'A S S O C IA T IO N F R A N Ç A IS E DES A M A T E U R S

DE CAC TÉES ET PLAN TES GRASSES

15e et 16e Années

1960 - 1961

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Index alphabétique des matières et des Auteurs

15e et 16e Années 1960-1961

Revues 66 à 72 - Bulletins 66 s à 72 s— L e s n o m s d e p l a n t e s s o n t e n i t a l i q u e s , a i n s i q u e l e s n o m s d e g e n r e s .

— L a l e t t r e D i n d i q u e u n e d e s c r i p t i o n , l ’ a s t é r i q u e * u n e f i g u r e .

- — L e s noms d’auteurs sont en petites capitales.— L e s c h i f f r e s e n c a r a c t è r e s gras i n d i q u e n t l e n u m é r o d e l a R e v u e o u d u B u l l e t i n .

— L e s c h i f f r e s e n c a r a c t è r e s r o m a i n s i n d i q u e n t l e n u m é r o d e l a p a g e .

AAcaulon rosulatum, 72/132, 134, 135.Accident de circulation, 70/92*.Aiguillons, 71/128*.Aistocaulon rosulatum, 72/135.Alibert J. : 70.S.Aloïnopsis, 72/133.Aloïnopsis aloïdes, 72/135.Aloïnopsis dyeri, 72/135.Aloïnopsis jamesii, 72/136.Aloïnopsis lodwykii, 72/135*.Aloïnopsis luckhoffii, 72/136*.Aloïnopsis orpenii, 72/135.Aloïnopsis peersii, 72/136.Aloïnopsis rosulata, 72/134, 135.Aloïnopsis rosulatum, 72/133.Aloïnopsis rubrolineata, 72/133*, 135.Aloïnopsis schooneesii, 72/134*, 136.Annonces, 65.S., 66.S.Apocynacées (famille des), 67/27.Aporocactus, 67/37.Arsac J. : 66/2, 5, 13, 19 ; 70/85.Asclépiadacée nouvelle, 68-69/77.Austroèchinocactanées, 66/13.

BBâche élastique, 70/106.Backeberg. C. : 67/34.Backebergia, 70/87.Backebergia chrysomallus, 70/87.Beekenkamp : 68-69/84 ; 70/89.Bibliographie, 67/30 ; 70/95-96.Bowiea volubilis, 72/138.Boyer, (J.), 66/11 ; 70/86-88.Bryophyllum, 67/46.Bryophyllum tubiflorum, 66.S.

cCactaceaes y succulentas Mexicanas, 73/156.Cactées dans leur pays, 70/86.Cactus cocktail, 68-69/84 ; 70/89 ; 71/126 ; 72/146.Cactus humboldtii, 71/119*,D.Callé J. : 67/34 ; 68-69/74 ; 70/95 ; 70.S. ; 72/155.Cephalocereus, 70/88.Cephalocereus hoppenstedtii, 70/88.Cephalocereus macrocephalus, 70/87, 88.Cephalocereus tetetzo, 70/88.Cereus dasyacanthus, 70/97*,D.Cereus grossei, 71/117*,D.Cereus militaris, 70/87.Cereus roezlii, 71/120*,D.Cereus sericatus, 71/116*,D.Cereus tuberosus, 71/121.Cereus viperinus, 71/122*,D.Ceropegia africana fortuita, 68-69/53*,D.Ceropegia ampliata, 68-69/53*,D.

Ceropegia crassifolia, 68-69/53D, 54*.Ceropegia crassifolia copleyae, 68-69/53D, 54*.Ceropegia distincta haygarthii, 68-69/54*.Ceropegia distincta haygarthii lugurdae,

68-69/54D.Ceropegia elegans, 68-69/54*D.Ceropegia longifolia longifolia, 68-69/54D, 55*.Ceropegia mozambicensis, 68-69/55D, 56*.Ceropegia nilotica, 68-69/55D.Ceropegia robynsiana, 68-69/55*,D.Ceropegia succulenta, 68-69/55D.Ceropeaia variegata cornigera, 68-69/55D, 56*.Cheiridopsis noctiflora, 72/136.Cheiridopsis peersii, 72/136.Chiapasa nelsonii, 66/4*.Chileorebutia, 66/5, 6.Chileorebutia aerocarpa, 66/8*,D.Chileorebutia aricensis, 66/10.Chileorebutia esmeralda, 66/10.Chileorebutia fulva, 66/10.Chileorebutia glabrescens, 66/9*,D, 10D.Chileorebutia iquiquensis, 66/10.Chileorebutia krausii, 66/6D, 7*, 8D.Chileorebutia malleolata, 66/10.Chileorebutia napina, 66/5.Chileorebutia odieri, 66/5*,D, 6.Chileorebutia recondita, 66/10.Chileorebutia reichei, 66/5.Chileorebutia residua, 66/10.Chileorebutia saxifraga, 66/10.Cleistocactus, 70/99, 100.Cleistocactus buchtienii, 70/100*,D.Cleistocactus grossei, 71/117*,D.Cleistocactus herzogianus, 71/118*,D.Cleistocactus humboldtii, 71/119*,D.Cleistocactus morawetzianus, 70/99*,D.Cleistocactus roezlii, 71/120*,D.Collection (La) des débutants, 67.S. ; 69.S. ; 70.S. ;

71 .S. ; 72.S.Compte rendu du Conseil d’Administration, 69.S.Compte rendu financier, 66.S. ;Conophyllum, 68-69/57, 58, 59, 61.Conophyllum berrei, 68-69/59D.Conophyllum niveum, 68-69/59*.Conophyllum roseum, 68-69/59*,D.Considérations sur les Echinofossulocactus, 67/

39 à 41 ; 71/109 ; 72/141 à 145.Copiapoa, 66/19, 20, 21, 22 ; 68-69/62.Copiapoa barquitensis, 66/20D.Copiapoa coquimbana, 66/24.Copiapoa grandiflora, 66/22.Copiapoa hypogaea, 66/19*,D, 20.Copiapoa montana, 66/21 *,D.Copiapoa serpentisulcata, 66/22*,D.Copiapoa totoralensis, 66/23*,D.Correspondance, 70.S.Courrier, 65.S.Crassula perforata, 67/48*,D.Crassula perfossa, 67/48*,D.

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Crassula rosu laris , 67/48*,D.C rem ophylla nu tans, 71/132 ; 72/152.Cucurbitacees (N ouvelles), 71/123D.C ulture des rebu tia , 72.S.Curiosités, 72/138*.C ynanchum , 68-69/77, 78.C ynanchum com pactum , 68-69/77.C ynanchum perrieri, 68-69/77.

DDavid-Boudet M. : 67/35 à 39 ; 68-69/62 à 70, 81

à 83 ; 70/92* ; 71/109 ; 72/138.D ébutants (Pour les)... et les au tres, 65.S.D eilanthe persii, 72/136.Descoings B. : 68-69/77.Dichotom ie (C actées-m am m illaria), 68-69/62.Didiera m adayascariensis, 71/124.Die Cactaceae, 72/155.Die E n tw ick lungslin ien der tr ib u s Pachycereae,

72/156.D iplosom a, 68-69/57, 60.D iplosom a re troversum , 68-69/61.Disocactus eich lam i, 66/4*.

EEcheveria, 68-69/52 ; 70/103 à 105 ; 71/129 ; 72/

152.Echeveria aggregata, 71/131.Echeveria am oena, 71/130.Echeveria carnicolor, 70/105.Echeveria craigiana, 72/152.Echeveria crenulala, 70/104.Echeveria derenbergii, 70/105 ; 71/129.Echeveria Doris Taylor, 70/103* ; 72/152.Echeveria elegans, 71/129, 130.Echeveria expatria , 71/130.Echeveria fu lgens, 70/104Echeveria g ibb iflo ra , 70/104.Echeveria g ibb iflo ra caronculata, 70/104.Echeveria g ibb iflo ra hybride , 70/104.Echeveria g ib b iflo ra m etallica undulada, 71/130*.Echeveria gilva , 71/130.Echeveria harm sii, 71/131.Echeveria ho w ev ii, 71/132*.Echeveria hyb rid a , 71/131.Echeveria kew ensis , 71/131.Echeveria leucotricha, 71/129.Echeveria lurida , 70/105.Echeveria m anda hybride , 71/129.Echeveria m icroca lyx , 71/130.Echeveria m ontana, 72/152.Echeveria m u ltica u lis , 71/129.Echeveria nodulosa , 70/105* ; 71/132.Echeveria orpetti, 71/129, 130.Echeveria p ilosa , 70/105 ; 71/129 ; 72/152.Echeveria pubescens, 70/104.Echeveria pubescens tortuosa, 70/104.Echeveria p u lv in a ta , 70/105 ; 71/129.Echeveria retusa, 71/129.Echeveria scapaphylla , 71/131.Echeveria se tio llver, 71/131.Echeveria setosa, 71/131 ; 72/152.Echeveria s im u la n s , 71/130.Echeveria urb in ia hubride, 70/105.Echinocactus araneijer, 66/5.Ecliinocactus coptogonus, 67/37*,D ; 44.Echinocactus d ie trich ii, 67/38*D.Echinocactus arusonii, 66.S.Echinocactus huo tti, 68-69/70*D.Echinocactus lancifer, 67/38*D.Echinocactus lophophorio ides, 68-69/66*D. Echinocactus na p in u s, 66/5.Echinocactus obrepanda, 68-69/68D.Echinocactus o b va lla tus, 67/38.Echinocactus odieri, 66/5, 6.Echinocactus odieri m ebbesii, 66/6D.Echinocactus reichei, 66/5.Echinocactus schm ied ickeanus, 68-69/65.E chinocerus, 67.S. ; 70/97, 98.Echinocereus b la n ck ii, 67.S. ; 69.S.Echinocereus brandegeei, 67.S.Echinocereus ch loran thus, 67.S.Echinocereus caespitosus, 67.S.Echinocereus cinarescens, 69.S.Echinocereus coccíneas. 69.S.Echinocereus dasyacanthus, 69.S. ; 70/97*D.Echinocereus de laetii, 69.S.Echinocereus engelm anni, 69.S.Echinocereus enneacanthus, 69.S.Echinocereus fen d ler i, 69.S.Echinocereus fi tc h ii , 70/98*D.Echinocereus kn ip p e lia n u s , 69.S.Echinocereus p ap illo sus, 70/couvert*.Echinocereus paucisp inus, 69.S.Echinocereus pectinatus, 69.S.Echinocereus pen ta lophus, 69.S.

Echinocereus poselgerianus, 69.S.Echinocereus procum bens, 69.S.Echinocereus rig id issim u s, 69.S.Echinocereus roem eri, 69.S.Echinocereus sa lm d yck ia n u s , 69.S.Echinocereus sp in o siss im u s, 70/97*D.Echinocereus stram ineus, 69.S.Echinocereus su b in erm is, 69.S.Echinocereus trig lochidia tus, 69.S.Echinocereus v ir id iflo ru s , 69.S.E chinofossulocactus acroacanthus, 67/41.E chinofossulocactus a lba tus, 67/44 ; 71/111*.E chinofossulocactus an fre tuosus, 67/44 ; 72/141.E chinofossulocactus arrigens, 67/43, 44 ; 71/113.E chinofossulocactus arrigens ?, 67/42*.E chinofossulocactus boedekerianus, 72/143.E chinofossulocactus bustam entei, 72/143.E chinofossulocactus bravoiae, 67/43 ; 72/144.E chinofossulocactus carneus, 72/144.E chinofossulocactus coespitosus, 72/143, 145.E chinofossulocactus con fusus, 67/44 ; 72/142.E chinofossulocactus coptogonus, 67/37*D, 39*, 40,

41, 42, 43, 44 ; 71/109, 114 ; 72/142-145.E chinofossulocactus crispatus, 67/39, 42, 44 ; 71/

114.E chinofossu locactus den sisp in u s, 72/144, 145.E chinofossulocactus d ichroacanthus, 67/44 ; 71/

114 ; 72/143.E chinofossulocactus fle x isp in u s , 71/114.E chinofossulocactus g ladia tus, 67/44 ; 72/142.Echinofossulocactus gladia tus carneus, 72/144.E chinofossulocactus grandicornis, 67/41, 43, 44 ;

71/112.Echinof ossulocactus grisacanthus, 72/144.E chinofossulocactus guerraianus, 72/145.Echinofossulocactus hasta tus, 67/41, 44 ; 71/109*,

113.E chinofossulocactus heteracanthus, 67/44 ; 71/110.E chinofossulocactus ke llerianus, 72/141*, 145.E chinofossulocactus lam ellosus, 67/44 ; 71/112*,

114.E chinofossulocactus lancifer, 67/38*D, 44 ; 71/

114 ; 72/142, 143.E chinofossulocactus lexarzai, 72/143.E chinofossulocactus lloyd i, 67/41, 43, 44 ; 71/111,

112 ; 72/145.Echinofossulocactus m ultiarea la tus, 72/145.E chinofossulocactus m u lticosta tus, 67/39, 41, 44 ;

71/110, 111 ; 72/145.E chinofossulocactus obva lla tus, 67/39, 44 ; 71/114.E chinofossulocactus ochoterenaus, 72/142*, 143.E chinofossulocactus o ligacanthus, 67/41.E chinofossulocactus p a rksia n u s, 72/144.E chinofossulocactus p en tacan thus, 67/39, 40, 41.

44 ; 71/114, 110* ; 72/145.E chinofossulocactus phyllacan thus, 67/39, 44 ; 72/

141.E chinofossulocactus rec tisp inus, 72/144.E chinofossulocactus robustus, 67/40.E chino fossu locactus rosan ianus, 72/144.E chinofossulocactus sp., 67/40*.E chinofossulocactus sphacela tus, 72/144.Echinofossulocactus te traxyphus, 71/110 ; 72/143.E chinofossulocactus tricusp ida tus, 67/44 ; 72/141.E chinofossulocactus undu la tu s, 71/114. E chinofossulocactus vaupelianus, 72/143, 144*,

145.Ech ino fossu locactus v io laciflo rus, 67/41, 42, 44 ;

71/114.E chinofossulocactus w erderm anni, 68-69/62.E chinofossulocactus w ipp erm a n n i, 67/40, 44 ; 71/

110, 111 ; 72/144, 145.E chinofossulocactus zacatecasensis, 67/43, 44 ; 71/

111, 112, 113* ; 72/145.E chinofossulocactus zacatecasensis b revisp ina , 71/

111.E chinofossulocactus zacatecasensis lonqispina, 71/

111.E chinopsis, 67/31, 35, 36.E chinopsis apiculata, 68-69/70*D.E chinopsis calochlora, 68-69/67*D.E chinopsis cristata, 68-69/68D.E chinopsis huo tti, 68-69/70*D.E chinopsis hyb rid es, 67/35*.E chinopsis m isley i, 68-69/68D.E chinopsis obrepanda, 68-69/68*D.E chinopsis obrepanda am oena, 68-69/68.E chinopsis pygm aea, 70/102*D.E chinopsis rhodotricha, 68-69/69*D.E chinopsis rhodotricha argen tinensis. 68-69/69D.E chinopsis rhodotricha rob usta, 68-69/69D.E p ip h y llu m , 67/31 ; 68-69/71.E p ip h y llu m hybrides, 67/36.Eriocactus lenninghausii, 70/89*.Espostoa, 66/6 ; 71/115.E spostoa lanata, 71/115*D.Espostoa lanata sericata, 71/115, 116*D.Espostoa sericata, 71/116*D.

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Eulychnias, 66.S.Euphorbia ankarensis, 72/148.Euphorbia cylindrifolia, 72/147. 148D, 149*. 150*.

151*.Euphorbia decaryi, 70/93* ; 72/147, 148.Euphorbia françoisii, 70/93, 94* ; 72/147.Euphorbia globosa, 65.S.Euphorbia meloformis, 65.S.

FFicoïdacées, 68-69/57.Floraison des opuntias, 66.S.Frerea indica, 68-69/56*D.

GGalactophylae, 68-69/81.Galéjade (même dans le nord), 67.S.Gattefossé (nécrologie), 67.S.Gel (constatation), 66.S.Graptopetalum, 68-69/50.Graptopetalum amethystinum, 68-69/49*, 50.Graptopetalum hybride, 68-69/50.Groptopetalum paraguayense, 68-69/49*.Greffage, 70.S.Greffe des cactées, 70/107, 108*.Guillaumin (A.), 71/123 ; 72/139*.

HHaageocereus, 66/0.Hamet (R.) Dr., 67/45.Harrisia jusbertii, 72.S.Haseltonia, 70/88.Haseltonia columna-trajani, 70/88.Haseltonia hoppenstedtii, 70/88.« Haevenly twins », 67/36*.Heliocereus speciosus, 67/31.Herre (H.), 68-69/57 ; 72/133.Heterodera cacti (parasite), 72/153*, 154.Heterodera marioni (parasite), 72/154.Histoire vraie, 65.S.Hybrides (au sujet des), 65.S.Hybrides (d’echinopsis), 67/35*.

II.O.S., 72/139*.

JJacobsen (H.), 67/34.Jardin botanique des Cèdres, 66/3 à 10 ; 67/45 ;

68-69/53 ; 70/93.Jardin d’Hussein-Dey Alger, 68.S.Jardin (le) exotique de Rabat, 69.S.Je ne pique pas f, 71/127, 128*.

KKalanchoe, 67/45*, 46.Kalanchoe beharensis, 67/45.Kalanchoe luciae, 67/46*, 47*D.Kalanchoe thyrsiflora, 67/45, 46, 47D.Kalanchoe tubiflora, 67/45.Karimbolea, 68-69/77D, 78.Karimbolea verrucosa, 68-69/78D, 79*, 80D.Karimboles, 68-69/78.Keraudren (M.), 71/123.

LLechevalier (Librairie), 67/34.Lettre du Portugal, 68.S.Leucocephalae, 68-69/81.Liste des membres, 66.S., 67.S.Lithops, 68-69/75.Lobivia, 67/35, 36, 40.Lophophora williamsii, 68-69/62.l.r., 67.S.Lu dans le courrier, 65.S.

MMalococarpus napinus, 66/5.Malacocarpus reichei, 66/5.Mammillaria, 67/43 ; 68-69/63, 64.Mammillaria brunispina major, 68-69/63, 81*, 83.Mammillaria crucigera, 68-69/82.Mammillaria infernillensis, 68-69/82, 83.Mammillaria papyracantha, 68-69/65.Mammillaria parkinsoni, 68-69/83.Mammillaria parkinsoni brevispina, 68-69/83.Mammillaria perbella, 68-69/63*D, 81, 82.Mammillaria perbella lanata, 68-69/63, 82.

Mammillaria perbella minima, 68-69/63.Mammillaria perbella virens, 68-69/63.Mammillaria pseudoperbella, 68-69/64*D, 81 à 83.Marnier-Lapostolle (J.), 66/3 ; 68-69/52, 53, 71 ;

70/93, 97 à 102.Maughania, 68-69/57.Mediolobivia, 70/101, 102.Mediolobivia dursmaiana, 70/101*D.Mediolobivia pygmaea, 70/102*D.Melocactus, 70/91.Melocactus caesius, 70/91.Melocactus violaceus, 70/91.Meloidogyne (parasite), 72/154.Merten (R.), 68-69/52 ; 70.S.Mesembryanthemum albinotum, 72/133.Mesembryanthemum albipunctatum, 72/133, 134.Mesembryanthemum aloides, 72/133, 135.Mesembryanthemum aloideum, 72/134.Mesembryanthemum cibdelum, 72/133.Mesembryanthemum orpenii, 72/135.Mesembryanthemum rosulatum, 72/133 à 135.Mesembryanthemum rubrolineatum, 72/133, 134.Mesembryanthemum spathulatum, 72/135.Mesembryanthemum transvaalense, 72/133.Mesembryanthemum vittatum, 72/133.Meyerophytum, 68-69/57, 59D.Meyerophutum meyeri, 68-69/60*D.Mezenge-stahl (Mme), 68.S. ; 69.S.Mimetophytum, 68-69/57.Minusculeries, 71.S.Mitrocereus, 70/87.Mitrocereus fulviceps, 70/87, 88.Mitrocereus ruficeps, 70/88.Mitrophyllinae, 68-69/57.Mitrophyllum, 68-69/57 à 59, 61.Mitrophyllum mitratum, 68-69/57D.Mitrophyllum mitratum eburneum, 68-69/57*, 58D.Monadehium, 72/155.Monilaria, 68-69/57, 61.Monilaria chrysoleuca, 68-69/61*.Monilaria globosa, 68-69/60*.Monilaria moniliformis, 68-69/61.Montagnac (R.), 67/25.Moringa, 71/125*.

NNananthus, 72/133, 134.Nananthus cradockensis, 72/136.Nananthus dyeri, 72/135.Nananthus jamesii, 72/136.Nananthus orpenii, 72/135.Nananthus peersii, 72/136.Nananthus rubrolineatus, 72/135.Nananthus schooneesii, 72/136.Nananthus soehlemannii, 72/136.Nananthus vittatus, 72/133.National cactus & succulent journal, 68.S.Nématodes (parasites), 72/153*.Neobinghamia, 66/6.Neobuxbaumia tetetzo, 70/88.Neochilenia napina, 66/5.Neochilenia odieri, 66/5.Neochilenia reichei, 66/5.Nopalxochia phyllanthoides, 66/11.Note du Rédacteur, 69.S.Note du Secrétaire, 65.S. ; 66.S.Note (dernière) du Secrétaire, 69.S.Note du Secrétaire-Trésorier, 70.S.Notocactus lenninghausii, 70/89*.Nouvelles, 69.S.Nouvelles cucurbitacées, 71/123*D.Nyctocereus serpentinus, 72/138.

oOffres, demandes, échanges, 69.S.Oliveranthus elegans, 71/131.Opuntia (floraison des), 66.S.Opuntia erectoclada, 66/3*, 4.Opuntia picardoi, 66/3*, 4D.Opuntia tomentosa, 70/90.« Orange Paramount », 67/35*, 36.« Orange Paramount » Sunset, 67/36.« Orange Paramount » Tangerine, 67/36.Oroya, 66/13.Oroya borchersii, 66/13, 15*D, 16, 18.Oroya borchersii fuscata, 66/16.Oroya gibbosa, 66/18D.Oroya laxiareolata, 66/17D, 18.Oroya lutea, 66/18.Oroya neoperuviana, 66/13, 16 D, 17, 18.Oroya neoperuviana depressa, 66/17.Oroya neoperuviana ferruginea, 66/17D.Oroya peruviana, 66/13*D, 14*, 18*.Oroya subocculata, 66/13, 16*, 17D, 18.Oroya subocculta albispina, 66/17D.Oroya subocculta fusca, 66/17D.

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PPachycereus, 70/87.Pachycereus chrysomallus, 70/87, 88.Pachycereus columna-trajani, 70/88.Pachycereus pecten-arboriginum, 70/87.Pachycereus pringlei, 70/87.Pachycereus ruficeps, 70/86*, 87, 88.Pachycereus tetetzo, 70/88.Pachypodes, 67/27.Pachypodium ambongense, 67/26*, 28D, 29.Pachypodium baroni, 67/26*, 28D, 29*.Pachypodium brevicalyx, 67/26*, 28D, 29.Pachypodium brevicaule, 67/26*, 28D, 29.Pachypodium densiflorum, 67/26*, 28D, 29.Pachypodium geayi, 67/25*, 26*, 27, 28D, 29.Pachypodium norombense, 67/26*, 27*, 28D, 29.Pachypodium lamerei, 67/26*, 28D, 29*.Pachypodium (malgaches), 67/25, 26*, 27.Pachypodium meridionale, 67/26*, 29.Pachypodium rosulatum, 67/26*, 27, 28D, 29, 30*.Pachypodium rutembergianum, 67/26*, 27, 28D,

29.Pachypodium sofiense, 67/26*, 28D, 29.Pachypodium scheideckeri, 71/130.Pachyveria white nun, 71/129.Parasites (nématodes), 72/153*.Paris (R.), 70/107 ; 71/127.Parodia, 70.S.Parodia aureicentra, 71.S.Parodia aureispina, 68-69/62 ; 71.S.Parodia aurispina, 70.S.Parodia ayopayana, 71 .S.Parodia brevihamata, 71 .S.Parodia catamarcensis, 71.S.Parodia chrysacanthion, 70.S. ; 71.S.Parodia comarapana, 68-69/62 ; 71.S.Parodia erythranta, 71 .S.Parodia faustiana, 68-69/62, 71 .S.Parodia maasii, 68-69/62 ; 70.S. ; 71.S.Parodia macrancistra, 68-69/62 ; 71 .S.Parodia mairanana, 71.S.Parodia microsperma, 70.S. ; 71.S.Parodia microthele, 68-69 ; 71..S.Parodia nivosa, 71.S.F'arodia ocampoi, 68-69/62 ; 71.S.Parodia Saint-Pieana, 68-69/62 ; 71.S.Parodia sanagasla, 71.S.F'arodia sanguiniflora, 71.S.Parodia schutziana, 68-69/62 ; 71.S.Parodia schwebsiana, 71.S.Parodia setifera, 71 .S.F'arodia stumeri, 71/couvert.* ; 71.S.Parodia tilcarensis, 71.S.Parsonsiées (tribu), 67/27.Pereskia, 67/31.Pho’sol, 66.S.Photos (rares). 66/4*.Phyllocactées, 67/31.Phyllocactus, 67/31.Phyllocactus ackermannii, 66/11 ; 67/31.Phyllocactus cooperi. 66/11, 12.Phyllocactus cooperi tettanii, 66/12.Phyllocactus crenatus. 66/11.Phyllocactus macropterus, 66/11, 12.Phyllocactus pfersdorfii. 66/11, 12.Phyllocactus phyllanthoides. 67/32.Pilocereus macrocephalus, 70/88.Portugal (toujours le), 69.S.Pou des racines, 66.S.Prepodesma orpenii, 72/135.Producteurs de cactées étrangers, 69.S.Pyrrhocactus, 66/6.Pyrrhocactus confiais, 66/5.

QQuel est donc ce phyllocactus ?, 66/11*.

R

Rabiea, 72/134.Rabiea albinota, 72/134.Raud-Salamo (Mme), 65,S. ; 66.S.Rauh (W.) & Marnier-Lapostolle (J.), 72/147.Raymond-Hamet (Dr.), 67/45.Rebutia, 68-69/62.Rebutia (culture), 72.S.Rebutia pygmaea, 70/102*D.Récompense méritée, 68.S.Regrets, 70.S.Repiquage, 70.S.Revues et Publications nouvelles, 67/34 ; 68-69/

74 ; 72/155.

Rhipsalis, 67/33.Rhizococcus, 72/154.Richard (G.), 70/91, 92.Ritter (F.), 66/19.

sSchatzi (S. ), 66/13.Schneider (J.), 72/153.Schwantes (G.), 70/85*.Sedum, 68-69/49.Sedum adolphi, 68-69/50.Sedum allantoides, 68-69/50, 51*.Sedum amecamecanum, 68-69/51.Sedum bellum, 68-69/52.Sedum dasyphyllum, 68-69/50*, 51.Sedum dasyphyllum glanduliferum, 68-69/51.Sedum eichlami, 68-69/50.Sedum guatemalense, 68-69/52.Sedum morganianum, 68-69/51*, 52.Sedum nussbaumerianum, 68-69/50, 52*.Sedum pachyphyllum, 68-69/51.Sedum prealtum cristata, 68-69/50.Sedum sieboldii, 68-69/52.Sedum stahlii, 68-69/50*, 51, 52.Sedum treleasei, 68-69/50.Sedum weinbergii, 68-69/49.Selenicereus, 66/11 ; 67/32.Selenicereus grandiflorus, 67/31.Selenicereus grandiflorus, 67/31.Seleniphyllum, 66/12.Semis, 65.S. ; 70.S.Seticereus humboldtii, 71/119*D.Seticereus roezlii, 71/120*1).Seyrigia gracilis, 71/124*, 125*.Seyrigia humbertii, 71/123*, 125.Seyrigia multiflora, 71/123*, 125.Shields (M.E.), 68-69/49, 75 ; 70/103 ; 71/129 ;

72/152.Simo (A.), 66/13.Strombocactus, 68-69/65.Strombocactus lophophorioides, 68-69/66*D.

TTampon gex, 71.S.Tephrocactus, 72/137.Tephrocactus floccosus cardenasii, 72/137*.Thelocactus lophophorioides, 68-69/66*D.Toumeya, 68-69/65D.Toumeya klinkeriana, 68-69/65.Toumeya lophophoroides, 68-69/65, 66*D.Toumeya macrohele, 68-69/65.Toumeya papyracantha, 68-69/65.Toumeya peeblesiana, 68-69/65.Toumeya pseudomacrohele, 68-69/65.Toumeya schmiedickeana, 68-69/65.Trichocereus candicans, 72.S.Trichocereus pachanoi, 72.S.Trichocereus spachianus, 67.S. ; 72.S.Turbinicarpus, 68-69/65.Turbinicarpus lophophorioides, 68-69/66*D.Turbinicarpus schwarzi, 68-69/65.

uUitewaal (A.J.A.), 67/31, 33.

vVeau (E.), 65.S. ; 69.S.Vengeance du cactus, 70/92*.

wWerdermann (E.), 66/1, 2.Wilcoxia, 71/121D.Wilcoxia papillosa, 71/121D.Wilcoxia poselgeri, 71/121D.Wilcoxia schmolii, 71/121D.Wilcoxia striata, 71/121D.Wilcoxia viperina, 71/121D, 122*D.Wunderwelt kakteen, 72/156.

xXerosicyos danguyi, 71/123*.

zZygocactus, 72/138.Zygocactus hybrides, 67/33.

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(Suite de la page 122)

Origine :

Mexique.

Distribution :

Etats de Sinaloa et Sonora (Mazatlan).

Culture :

Dans un compost très poreux : selon MARSDEN1/6 terre de jardin 1/2 terreau de feuilles 1/6 sable 1/3 brique pilée

Observation :

Cette plante avait été également décrite par GURKE en 1905, mais SCHUMANN avait donné une description de la fleur dès 1901.

CRAIG dit, par erreur, que la fleur a de 3 à 4 mm de large, mais par ailleurs écrit que les pétales ont 3 cm de long et 5 mm de large, chiffres qu’il faut retenir.

MARSDEN n'a pas relevé l'erreur de CRAIG, l’aggravant en n’indiquant pas les dimen­sions des pétales.

CRAIG avait décrit une Mammillaria mazatlanensis var. monocentra dont BACKEBERG a fait une Mam m illaria occidentalis var. monocentra.

La multiplication de cette plante est facile, les jeunes têtes se détachant aisément et s'enracinant de même (comme pour Mam. grac ilis ou Mam. pro liféra).

(Suite de la page 121)

Origine :Mexique.

Distribution :

Etat de Guerrero.

Localité type :

Cerro de Buenavlsta de Cuellar.

Remarques :

CRAIG signale que cette espèce a donné de nombreux hybrides avec Mam. nuneeii et Mam. spinosissima (dans la serre de M. DAVID-BOUDET ces trois espèces ont fleuri en même temps).

Culture :

MARSDEN préconise un compost fortement sableux :1/4 terre de jardin ;3/8 sable ;1/8 terreau de feuilles ;1/8 débris de chaux ;1/8 poudre d'os et charbon de bois.

86 (1965) — 123 —

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G . I 1 3

S e c . I I

S e r . 9

Cliché David-Boudet

Genre MAMMILLARIA HaworthS e c t i o n II : G A L A C T O C H Y L U S K . S c h u m a n n

S è r i e 9 : M A C R O T H E L E A E K . S c h u m a n n

MAMMILLARIA UNCINATA Zuccariniin P f e i f f e r , E n u m , C a c t . 3 4 .1 8 3 7

Synonymes :M am m illaria depressa Scheidweiller 1838.M am m illaria uncinata sp inosior Lem.Mam m illaria uncinata rhodacantha Dietr.Neomammillaria uncinata Br. & R.Cactus depressus Kuntze.Cactus uncinatus Kuntze.

Description :Plante simple, globulaire, à sommet arrondi, de 3 à 8 cm de haut et 5 à 10 de diam. Mammelons répartis sur 8 à 13 spires, fermes, vert-bleu-sombre, pyramidaux, à suc

laiteux, de 7 à 10 mm de long et 8 à 11 de large.Axilles d'abord avec de la laine blanche, puis nues.Aréoles d'abord avec de la laine blanche, puis nues.Aiguillon central 1 (parfois 2 à 3) de 10 à 12 mm de long, crochu, rigide, couleur chair

à pointe noire.Aiguillons radiaux 4 à 7 de 5 à 6 mm de long, les supérieurs courbés, les inférieurs

droits, les supérieurs couleur chair, les Inférieurs blancs, tous légèrement étalés.Fleur en entonnoir, 15 à 20 mm de long, 18 mm de diam.Pétales blanc-rougeâtre à médiane brune et pointe rose, lancéolés. Anthères jaunes à

rose-pâle. Style crème à rose-rouge-pâle. Stigmates jaunâtres à rose-rouge.Fruit rouge, claviforme de 10 à 18 mm de long.Graines brunes, petites.

Origine :Mexique.

Distribution :Etats de Hidalgo, San Luis Potosi, Guanajuato.

Remarques :Une variété buicinata Lemaire est à 13/21 spires et 2 ou 4 aiguillons centraux.La plante de la photo est d'importation. Sous ses mamelons Inférieurs, secs, elle

abritait de très nombreux parasites. Les mamelons secs enlevés, elle a émis plusieurs rejets. Sa hauteur est de 8 cm.

Mam m illaria uncinata et Mami strobiliana sont les deux seules Mam m illaria à suc laiteux, ayant des aiguillons crochus, donc faciles à identifier.Culture :

MARSDEN dit de cette plante qu’elle est de croissance lente mais de culture facile dans un compost de même nature que celui utilisé pour Mam. solis ii.

— 124 —

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G . 8 0 b i s

Genre NEOCHILENIA

NEOCHILENIA PAUCICOSTATA (Ritter) Bckbg.in D i e C a c t a c e a e v o l u m e V I p a g e 3 7 8 0

Synonymes :H orridocactus paucicostatus Ritter.Pyrrhocactus paucicostatus Ritter

Description :Plante solitaire, d’abord aplatie, puis colonnaire. Epiderme gris-cendré. Racine épaisse. Cotes 8 à 12, à protubérances plus ou moins marquées.Aréoles moyennes, allongées, à feutre blanc.Aiguillons radiaux 5 à 8, d'abord gris-sombre, puis plus clairs en vieillisant, plus ou

moins courbés vers l’arrière, parfois un ou deux plus courts et plus minces derrière ceux du haut.

Aiguillons centraux d’abord un, ensuite jusqu’à 4 et atteignant 4 cm de long soit un peu plus que les radiaux.

Fleur en entonnoir de 3,5 cm de long et de diamètre, à tube velu blanc-rosé.Fruit rougeâtre à poils blancs. Graines brunâtres.

Origine :Chili.

Distribution :Vers Paposo.La photo représente la variété v irid is (Ritter) Backbg., à épiderme plus vert, à 13 cotes.

Culture :Dans un compost assez sableux. BORG conseille pour les Neoporteria (le genre

Neochilénia n’était alors pas séparé de Neoporteria) 3 parties de sable, 1 partie de briques finement concassées, 1 de bonne terre de jardin, 1 de terreau de feuilles, un peu de vieux fumier.

Beaucoup de ces Neochilenia semblent craindre le plein soleil, aussi vaut-il mieux les cultiver à l'exposition est ou ouest et de préférence greffés.

*

BACKEBERG dit de cette espèce qu'elle est une des plus belles découvertes de RITTER.

86 (1965) — 125 —

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G. 80 bis

Cliché Backeberg

G e n r e N E O C H IL E N IA B a c k b g .

NEOCHILENIA JUSSIEUI (Monv.) Backbg.in Fedde Rep., Ll : 60.1942

Synonymes :

Echus, jussieui Monv., in Salm - Dyck.Neoporteria jussieui (Monv.), Br. & R.Nichelia jussieui (Monv.), Bull.Chilenia jussieui (Monv.), Backbg.Hildmannia jussieui (Monv.), Krzgr. et Buin.

Description :

Sommet déprimé, légèrement floconneux.

Cotes 13 à 16, divisées en gibbosités par des sillons transverseaux, gibbosités en forme de menton à la base.

Aréoles distantes de 12 mm, allongées, couvertes d’un tomentum jaune peu important.

Aiguillons latéraux 7 à 14, les supérieurs les plus forts, 1 à 2 aiguillons centraux, jusqu’à 25 mm de long. Tous de couleur brunâtre au début puis de couleur corne à blanche, légèrement recourbés vers le haut, extrémité sombre.

Fleur au sommet, jusqu'à 4 cm de diam., rose-pâle, avec nervure médiane plus foncée. Etamines vertes ; 6 stigmates rouges.

Origine :

Chili.

— 126 —

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Cliché David-Boudet

G e n r e E U P H O R B IA L.

Groupe PEDUNCULICANTHA Jacobsen

Section POLYGONAE Bgr.

EUPHORBIA FRUTICOSA Fork

Description :

Plante succulente. Arbrisseau épineux formant des touffes basses de 50 cm de diam. et de haut.

Tiges cylindriques ou en massue — de 5 à 7 cm de diam., à 10 — 13 cotes de section triangulaire. Branches naissant à la base de la tige principale, érigées. Sillons très aigus avec une ligne sombre. Arêtes très dentelées.

Epiderme vert-gris.

Epines par deux, inégalement longues, de 10 à 20 mm de long, brunes d'abord, devenant noires ou prises, horizontales.

Origine :

Asie.

Distribution :

S - Arabie : Yemen ; vers Attara près de Chadra.

Cette plante craint les excès d'arrosage, elle pousse bien dans le compost standard utilisé pour les cactées.

86 (1965) — 127 —

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Cliché David-Boudet

Genre EUPHORBIA L.

G r o u p e P E D U N C U L I C A N T H A J a c o b s e n

EUPHORBIA SCHOENLANDII Pax

in J a h r b . G e s e l l s . V a t e r l . K u l t . 1 9 0 4

Synonyme :

Euphorbe fascicolata N.E. Brown.

Description :

Plante succulente. Tige épineuse cylindrique, atteignant 1,30 m de haut et 20 cm de diam., très rarement branchue.

Cotes spiralées, découpées en tubercules hexagonaux de 6 à 12 mm de haut, présentant une forte dépression à leur sommet.

Epines 1 par tubercule, naissant en haut du tubercule, de 25 à 50 mm de long et 3 à 5 mm d’épaisseur, recourbée ou droite, rigide, glabre, brun pâle d'abord, gris ou blanchâtre en suite.

Feuilles rudimentaires vers l'apex.

Inflorescence cyathum solitaire (ou par 3), bisexué sur même plante, naissant sous l’aiguillon dans la dépression du tubercule et plus court que cet aiguillon.

Origine :

Afrique du Sud. Province du Cap. Clanwillians district.

Observations :

Plante de croissance lente, d'aspect très particulier.

— 128 —

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G. 9

S/ G r I

S ie 8

Genre OPUNTIA M iller S o u s - G e n r e I - C Y L I N D R O P U N T I A B r i t t o n e t R o s e

S é r i e 8 - V e s t i t a e B r . & R .

OPUNTIA VERSCHAFFELTII Celsin W e b . , D i e t . - H o r t . - B o i s , 8 9 8 - 1 8 9 8

Synonyme :Cylindropuntia verschaffe ltii (Cels) Backbg.A ustrocylindropuntia (Cels) Backbg, 1942.

Description :Globuleux à l'état sauvage, cylindrique en culture. Articles atteignant 20 cm de long

et à 1 à 1,5 cm de diam. Epiderme vert-franc, devenant gris en vieillissant. Feuilles de 1 à 3 cm de long.

Aréoles à tomentum blanc, cachant les glochides. Aiguillons 2 ou 3, presque séteux, flexibles, long de 1 à 6 cm, d'abord blanc-jaunâtre, puis gris foncé.

Fleurs de 4 cm de long environ, rouge-feu à rouge-orange. Ovaire feuillu, 7 à 10 stig­mates violet-noir.

Opuntia verschaffe ltii var. longispina. synonyme de Austrocylindropuntia verschaffe ltii var. Iongispina Backbg. A de 3 à 9 aiguillons de 5 cm de long, blancs, en partie entrelacés, raides, droits, virant avec l'âge sur le blanc-ivoire. Origine inconnue.

Opuntia verschaffe ltii var. hypsophila Speg., synonyme de Austrocylindropuntia verschaf­fe lt ii var. hypsophila (Speg.) Backbg. Souvent considérée comme type de l’espèce, a 7 aiguil­lons subulés, mous et courts, 5 à 15 mm long, les sup. les plus courts, les inf. les plus longs, un central, d'abord séteux et blancs, puis s'épaississant pour devenir brunâtres. Origine dans les Andes du Nord de l'Argentine, à 2.500-4.000 m. Cette variété se différencie également du type par la faible longueur de ses articles.

Cette espèce est de culture facile dans un composte lourd. Il est préférable de la laisser plusieurs années de suite dans le même pot.

Elle fleurit facilement, peut-être est-elle celle qu'un amateur risque de voir fleurir de préférence à toute autre.

Elle se multiplie très facilement, les articles fragiles au choc, s'enracinent là où ils tombent comme il advient pour Mam. grac ilis par exemple. Poussant dans les Andes entre 3.500 et 4.000 m, elle doit être rustique sous abri, au sec naturellement.

Origine :Nord de la Bolivie, dans la pierraille.

Variétés :

Culture :

86 ( 1965) — 129 —

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C liché David-Boudet

G . 9

S e r . 9

Genre OPUNTIA M iller

S o u s - G e n r e C Y L I N D R O P U N T I A B r . & R.

S é r i e 9 C l a v a t a e

OPUNTIA BULBISPINA Engelmann

in P r o c . A m e r . A c a d . , 3 : 3 0 4 .1 8 5 6

Synonymes :

Corynopuntia bulbispina (Eng.) Knuth - Backb. & Knuth.

Cactus bulb ispinus Lem.

Clavatop bulbispinus (Eng.) Krzgr., 1935.

Description (selon M. Bravo) :

Plante formant des groupes bas de 1 à 2 mm de diamètre.

Articles ovoïdes de 2 à 2,5 de long et 10 à 12 mm de diam.

Aiguillons : 8 à 12 radiaux, auriculaires de 3 à 6 mm de long.

Aiguillons centraux beaucoup plus forts, renflés à la base.

Fleur et fruit non encore décrits.

Distribution :

Etats de Coahuila et de Duranzo.

Plante récoltée à Ciudad Lerdo (Durango).

— 130 —

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Observations :Notre ami M. DAVID-BOUDET qui cultive cette plante nous a adressé à son sujet les

observations ci-après :« Il semble que la fleur d'O puntia bulbispina n'a pas encore été donnée en photo. BORG

n’en dit pas un mot dans sa description de la plante. Mme H. BRAVO dans : "Las Cactaceas de Mexico” 1937 écrit : « fleur et fruit non encore décrits ».

BACKEBERG dans "Die Cactaceae" 1958 page 363 écrit fleurs et fruits Inconnus et, dans la clé des Corynopuntia, page 356 "die Blutenfarbe ist nicht bekannt bei O. bulbispina, C. agglomerata und C. dumetorum ; bel C. pulchella ist sle purpur, bel C. v ilis rot, bei den anderen (ausgenommen, wo sle unbekannt sind die Blüten gelb). »

Dans le volume 6, page 3602, — 1962, le même auteur écrit: «die Blute war bisher nicht benkannt ».

La plante dont je donne la photo, et qui est d'importation, a fleuri chez moi en 1963, mais j'ignorais alors que la fleur n'était pas connue. Admirant cette belle fleur j'en avais pris la photo. Ma plante ayant refleuri le 27 juin 1965 je suis en mesure d'en compléter la description comme suit :

Fleur: Ovaire plus long que les articles, + 30 mm de long, 18 mm de diam. au sommet.Sépales pointus, vert-lavé de rougeâtre.Pétales de 35 mm de long, 25 mm de large, jaune-citron-clair, au nombre de 15 environ.Fleur diurne, durant un jour, de 70 mm de long (ovaire compris) et 60 mm de diam.Etamines nombreuses, filets marron-rouge plus clairs vers les anthères jaunes.Pistil blanc-jaunâtre à 5 stigmates jaune-pâle dominant les étamines à 5 rangées d'aréoles

en spirales, 5 à 6 aréoles par spire, sur chaque aréole feuille et aiguillons semblables à ceux des articles mais plus fins.

Fruit : Etait stérile.

Culture :Cette plante est dans la même boite métallique depuis au moins 6 ans, dans le même

compost dont j’ai oublié la composition (sans doute un peu argileux) et toujours dans le coin le plus ensoleillé de la serre.

Compléments à la description :Epiderme vert-grisâtre demeurant marron en vieillissant et s'en allant alors en plaques

épaisses (comme on le voit sur les vieux articles d’Opuntia microdasys par exemple. Articles fortement mamelonnés aux aréoles, lesquelles sont grosses, 2 mm, à laine abondante, gri­sâtre au début et subsistant en partie par la suite, appliquée contre le corps par les aiguillons radiaux dirigés vers l'arrière.

Aiguillons radiaux blancs.Aiguillons centraux d'abord rougeâtres, puis blancs ou gris-foncé, érigés.

PROJET DE CONSTITUTION D’UNE NOUVELLE SOCIÉTÉ

M. C.A.E. PARR, Secrétaire Honoraire de "The Mammillarla Society", nous Informe que sur la demande d'un grand nombre de membres de cette Société, qui s'intéressent tout spécialement aux Succulentes d'origine africaine, Il envisage la création d’une Société ayant pour objet l'étude approfondie de ces plantes, en particulier de celles de l’Afrique du Sud et de Madagascar.

Les Succulentes africaines appartiennent à de nombreuses familles parmi lesquelles sont les Aizoaceae, Apocynaceae, Asclepiadaceae, Crassulaceae, Cucurbitaceae, Dldieraceae, Euphorbiaceae, Labiatae, Liliaceae, Passifloraceae, etc.

Si vous vous intéressez à certaines de ces plantes, nous vous conseillons de vous mettre directement en rapport avec Mr. PARR, 30 Wray Crescent, Londres N.4.

86 (1965) — 131 —

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ESSAI D'UNE BIBLIOGRAPHIE DE LA FAMILLE DES CACTACÉES

A p r è s l a 12* l i g n e d e la p a g e 96 d u N ° 84 a j o u t e r :

K R A IN Z H . : « D ie K a k te e n ».G e s a m t d a r s t e l l u n g d e r K a k t e e n ( M o n o g r a p h i e ) . L i e f e r u n g s w e r k s e i t 1 9 5 6 .

K R A IN Z H . : S u k k u l e n t e n k u n d e I - V I I I .( J a h r b ü c h e r d e r S .K .G . 1 9 4 7 -6 3 ) .

K R A IN Z H . & R O S H A R D T P . : S u k k u l e n t e n .

S i lv a - V e r l a g Z ü r i c h 1 9 5 8 .

LU POUR VOUSP . M O N T A N D O N

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Petit ouvrage, rédigé par une spécialiste des plantes succulentes qui, en 164 pages s'efforce de faire profiter les débutants dans la culture de ces plantes de sa grande expérience.

Cet ouvrage comporte 8 chapitres traitant :Des caractéristiques générales des plantes - de leur mode de culture en serre, et

en appartement - de l'utilisation des divers types de pots et de composts, des arrosages - de la multiplication des plantes - des maladies les affectant et des parasites qui les attaquent, avec l'Indication des traitements appropriés à chaque cas - de la formation d'une collection et enfin d'une description succincte des diverses succulentes.

Nous recommandons la lecture de cet ouvrage à nos amis débutants.

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et la collaboration du Prof. Dr. F. BUXBAUM et W. ANDREAE.Le 31e et avant-dernier fascicule de cette collection (I.VI. 1965) comporte 16 feuillets

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Sommaire du 31e fascicule : Ferocactus robustus, Mammillaria insularis, Mammillaria boolü, Lobivia wrightiana, Opuntia aurantiaca, Strom bocactus disciform is, Mam m illaria plumosa, Gymnocalycium glaucum, Cephalocereus hoppenstedtii, Gattung Selenicereus.

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Ce catalogue est rédigé en allemand, mais de très nombreuses pages sont traduites en anglais.

— 132 —

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Extrait de "CACTUS"Organe de l'Association Française des Amateurs de Cactées

et Plantes Grasses

84. Rue de Grenelle, PARIS (7e)

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