portés, « s villes A demi écroulées, ces po-puintliiiis suns asilu, saiw puiu, sans vête-ments. Vous avez s.ongé il ces victimes quiont tout perdu, tout . . , , depuis la pierre dufoyer domestique jusqu'à la tombe des aïeuxet' le berceau des nouveau-nés: c'est Adiréce que le passé, lo présent e t . l 'avenir ontj B plus sacré. Vous avez entendu la plainteje ces orphelins qui cherchent vainementle sourire maternel à jamais évanoui, e ta l o r i , ï o u s n'avez plus;voulu de cesrécom-

' peD«5' vous les a\oz jetées dans le creusetj a l a charité et voua en avez fait de l'orpour soulager l ' infortune.

Vous avez bien fait, jeunes élcvts, et jovoiisdis; merc i l

Merci, au nom de notre patrie commune,do cette Franco si éprouvée et qui, dans sesmalheurs, se ressaisit e t se retrouve elle-même commepour montrer au mondequ'elleest toujours le grand peuple fraternel etdoux.

Merci, au nom do ces populations que j econnais et que j ' a ime .

Merci surtout au nom de cette noblo e tpauvre ville qui, maintenant assise sur lebord de son fleuve, contemple avec stupeurle deuil de ses enfïints, ot qui, pour emprun-ter a l 'acriture une parole de suprême tris-tesse, peut s'écrier elle aussi : « Vous quipassez par ce chemin, arrêtez-vous et con-sidérez s'il- est une douleur égale- à ma dou-leur I »

En agissant ainsi, vous avez fait une no-ble, une-sainte action qui vous fait honneuret qui honore en même temps les maîtresqui ont su vous inspirer de tels sentiments.

Et maintenant, jeunes élèves, vous pou-voz ren t re r au sein de vos familles p û u r vgoûter un reposai hien conquis, e t lorsqu'onvous dira : où sont vos récompenses ? vouspourrez répondre aveo une- fierté bien légi-.time : Noua avons eu, cette année, pour ré-compensa les btiné'licUans des malheureux.

La qnertion des revendeurs de, légumes |t de fruit», qui achètent des campagnard»mrs produits i très bas prix, pour nous lesîvendrc beaucoup trop cher, e*t un problo-ie des moins simples.A t o n le droit de prohiber ca genre de

Jinmerce, quand on se garde bien d'empe-s e r M. A. ou M. B . d acheter du mauvais

ilicot à 7 sous, qu'il nous revend à 1 fr-50pour la plus fine cretnnne

II parait que ce droit existe, et que desdécrets spéciaux règlent la matière. Néan-moins, sauf abus, tes règlements restent leplus s o u t e n u l'état do lettre morlc

On nom annonce cependant ijn'à la suiteî n o m b r e u x plaintes d'habitants du Cân-îs, les décceU mentionnés sm-ontiWuiili-îinent mis en vigueur sur notre marché Airt ir du jeudi 5 août.Dorénavnnt, les revendeurs do comestî-

les exer ran t leur commerce en ville nelurront s'approvisionner chez les produc-

teurs qu'à partir de huit heures du matin..Avis aux retardataires.

La loi du 17 juillet dernier sur les vinai-gres e t les acides acétiques est exécutoirelus à présent dans lo département l e Mlûigres et les acides acétiques sont nrsau, CiMiiiftoirol diversappareils do pharmacie • le t o u t à l a r e n u u t e fr 2» c ,l e ^ i t i o 1 fi 1 i tiv. "fi de570ti ts 00 fr ou cm non 10 c li tasse —1 mon, ntrt bon d | p te les bottas dettC li r> J llB tcli /MM 1 uchillon,I UTI I é; I i 11 ? listes n -a i u r-miui i i I ( ur \ r l i n et 1 inzlo,llnim r i, ruttl ^ iibts a t innés etcliu- k nhaimaci n et II épicier —Dir »\«BY i Ci)., 2«, l'luce Vendûniû, Paris.

CIIEHIN DE FER DE PARIS A LTfON EX A LA

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