Revue de Presse
Juin 2016
Label Origine France Garantie
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Les Echos 1er juin 2016
Quo Vadis résiste toujours à l'agenda numérique
L'agenda papier, obligatoire en milieu scolaire, favorise la filiale nantaise du groupe ExacomptaClairefontaine.
Le monde scolaire est une bénédiction pour Quo Vadis, filiale du groupe Exacompta-‐Clairefontaine. L'entreprise nantaise, qui se présente comme le numéro un mondial de l'agenda sous forme hebdomadaire, réalise 40 % de ses ventes auprès des élèves, du CE1 à la terminale. C'est là son principal rempart contre l'agenda électronique.
« Nous ne pouvons prévenir l'avenir, mais pour l'instant, on oblige les enfants, collégiens et lycéens à écrire sur un agenda, se félicite Frédéric Cical, directeur commercial de Quo Vadis. La démographie française se portant bien nous bénéficions chaque année de 800.000 consommateurs supplémentaires et, pour les parents, le prix n'est pas un critère déterminant. »
Pour capter cette jeune clientèle, Quo Vadis a largement misé sur les produits dérivés, dont les fourre-‐tout, cartables, sacs et classeurs généralement cobrandés. La marque nantaise figure aux côtés des écritures de l'artiste Ben, des clubs de foot (PSG, OM, Barça), de la langue des Rolling Stones ou les héros de Marvel. Entre les formats, les versions fille, garçon ou les couleurs, Quo Vadis n'a cessé de décliner son agenda, inventé dans les années 1950 par le docteur Francis Beltrami.
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Il propose 150 versions principales et des milliers de variantes. Le monde enseignant est également toujours consommateur d'agenda papier. Le modèle « professeur » s'écoule à quelque 80.000 exemplaires. Il existe même une version « principal » et une version « universitaire ».
« Un tiers des agendas adultes sont des septembre-‐septembre, car la vie scolaire rythme celle de la famille, davantage que l'année civile », poursuit le dirigeant estimant que 57 % des adultes font encore le choix du papier pour inscrire leurs rendez-‐vous, adresses et coordonnées. « Pour les enfants comme pour les adultes, l'agenda est un vrai journal intime, un objet que l'on personnalise, que l'on customise . »
Pour mieux valoriser ses produits, Quo Vadis est délibérément absent des grandes surfaces généralistes pour se concentrer sur le réseau de librairies-‐papeteries, les grands magasins ou les espaces culturels des enseignes. « Nos agendas scolaires sont à près de 7 ou 8 euros contre 1 euro dans les grandes surfaces, dit aussi Frédéric Cical, mais nous militons pour faire comprendre que le premier prix n'est pas forcément une économie. »
Made in France
La marque sert 5.000 points de vente en France, 10.000 dans le monde. L'autre principe est l'Origine France Garantie sur les agendas et les carnets. Les 9 millions de produits imprimés le sont à Carquefou, près de Nantes, où plusieurs millions d'euros sont investis chaque année. Récemment, cette usine, qui emploie 230 salariés, s'est dotée d'une imprimante huit couleurs, d'une machine à spiraler et de caméras de contrôle qualité.
Le made in France est un atout à l'export qui représente 30 % des ventes sur un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros. Quo Vadis édite en 15 langues et s'adapte aux vacances scolaires, jours fériés et autres spécificités des marchés ciblés.
Emmanuel Guimard
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Restauration Collective
Process Alimentaire 1er juin 2016
Des croques savoureux et innovants avec Cobral
Cobral (groupe d'aucy) revisite le fleuron des brasseries parisiennes : le croque-‐monsieur. Avec une version À L'Ancienne tout d'abord, généreuse (250 g) et de caractère, pour un croque composé d'une tranche de pain de campagne pour un goût rustique, de jambon de qualité supérieure Origine France Garantie, d'emmental et de moutarde à l'ancienne pour relever le tout. 10 ou 15 minutes au four à 180°C suffisent pour une remise en température optimale.
Cobral propose également le Croque-‐Madame micro-‐ondable 210 g: prêt en 3 minutes seulement, il comprend du pain de mie complet, du jambon de qualité supérieure Origine France Garantie, de l'emmental et un œuf au plat 100 % pondu en France. Ces deux produits surgelés, s'inscrivant dans la nécessaire innovation de formules d'appel pour tout type de restauration, sauront répondre aux attentes des professionnels en quête quotidienne de qualité et de praticité.
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Le Journal des Entreprises 1er juin 2016
Ateliers Dixneuf. Cap sur l'international
Métallerie Le fabricant de solutions techniques et décoratives pour le chauffage lance le site expertschaleurbois.com après avoir créé un réseau d'experts qui réunit 400 cheministes français. Leader sur le marché français, la PME affiche aujourd'hui de fortes ambitions à l'export.
Après la création d'un réseau " experts chaleur bois " qui réunit plus de 400 cheministes en France, le fabricant d'équipements pour cheminées et poêles à bois de La Romagne lance ce mois-‐ci le site expertschaleurbois.com. Un site conçu pour ses clients cheministes qui proposera au grand public des conseils d'experts, exemples de réalisations... « L'objectif est de montrer que nous sommes un réseau et de créer du passage dans leurs magasins, explique Manuel Brin, co-‐dirigeant depuis 2013 des Ateliers Dixneuf avec sa soeur Raphaële Lucas. Pour nous qui sommes fournisseurs, ce travail en réseau amène des idées sur de nouveaux produits et services. »
Des engins agricoles à la cheminée
Implantés sur 24.000 m² à la Romagne près de Cholet -‐ sur le site historique de l'entreprise familiale créée en 1919 par Joseph Dixneuf arrière-‐grand-‐père des dirigeants actuels -‐ les Ateliers Dixneuf sont spécialisés dans la conception, la fabrication et la vente d'accessoires et produits techniques destinés aux équipements de chauffage bois (cheminées et poêles). Positionnée à sa création sur une activité de réparation d'outils agricoles et de ferblanterie, la PME s'est diversifiée vers le domaine de la cheminée dès le début des années 70 et ses premiers chenets, pare-‐feux et serviteurs. Un secteur qui concentre désormais près de 100 % de son activité et de son chiffre d'affaires de 30 M€. Un chiffre légèrement en baisse depuis 2014 (-‐8 %) lié à une chute du marché de la cheminée depuis quelques années (-‐18 % en 2014, -‐15 % en 2015) due à la fin des crédits d'impôts accordés depuis 2005 pour l'acquisition de matériels de cheminées. « Ce dispositif nous a beaucoup aidés, reconnaissent les deux dirigeants. Nous avons ajouté à notre gamme des produits à forte valeur-‐ajoutée. »
Entre 2005 et 2011, l'entreprise a doublé son chiffre d'affaires et ses effectifs (200 collaborateurs aujourd'hui, dont 20 intérimaires). Une douzaine de personnes est actuellement en formation pour intégrer les Ateliers en contrat de professionnalisation à partir de juillet.
80 % du chiffre d'affaires sur les solutions techniques
L'activité est répartie en deux grands secteurs : les solutions techniques : raccordement d'appareils de chauffage bois et d'évacuation de fumée (conduit, grilles d'aération...) qui totalisent 80 % du chiffre d'affaires et les accessoires de décoration (rangements à bois ou à granulés, serviteurs, protections murales). La fabrication représente 48 % de son chiffre, l'autre partie étant liée au négoce. Les 3/4 de ses ventes sont réalisés auprès des professionnels (1.600 cheministes), 1/4 auprès des grandes surfaces de bricolage (essentiellement avec des articles de déco et protections murales). Un référencement en GSB amorcé en 1999 grâce à l'acquisition d'un fabricant de soufflets à bois (9 salariés) près de Limoges, présent dans les enseignes de bricolage.
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Des ambitions à l'export
Leader sur le marché français -‐ le plus important en Europe dans ce son domaine -‐ sur la partie solutions techniques pour le chauffage bois, le fabricant est présent à l'international (2 % de son chiffre) où il affiche de fortes ambitions depuis 2-‐3 ans. Ses solutions sont commercialisées en Allemagne, Belgique, aux Pays-‐Bas. Il dispose également d'agents en Russie et en Suisse (via le dispositif VIE) et prévoit de recruter un commercial dédié à l'export avant la fin de l'année. La marque Dixneuf vient également de gagner de nouveaux référencements en Belgique. « Au départ, nous allions à l'export par opportunisme, en accompagnant nos clients, explique Raphaële Lucas. Aujourd'hui, nous sommes dans une démarche active. »
Une démarche soutenue par la labellisation OFG (Origine France Garantie) que l'entreprise a obtenue cette année. Tournée vers l'innovation, la PME propose tous les ans une cinquantaine de nouveaux produits. « Depuis 2013, notre gamme s'est étoffée grâce à de nouveaux partenariats avec des fabricants. Un de nos objectifs dans le futur est de travailler en R & D pour ces fabricants afin de positionner nos pièces en amont. »
B.H.
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Opticien Presse (web) 1er juin 2016
L’offre Prysme de Carte Blanche dans les starting-‐blocks
Les montures 1796 fournies par Carte Blanche dans le cadre de l’offre Prysme seront livrées aux opticiens partenaires du réseau tout au long du mois de juin pour un démarrage officiel au 1er juillet.
Le tollé provoqué par cette initiative n’aura pas eu raison de la détermination de Carte Blanche à proposer aux porteurs une offre de qualité sans reste à charge. Présentée par la plateforme comme une « révolution » sur le marché de l’optique, celle-‐ci inclut des montures de la collection 1796 vendus aux opticiens par la centrale d’achat créée par Carte Blanche et des verres fournis par les 3 fabricants sélectionnés pour cette offre : Essilor, Zeiss et Nikon. Les montures (envoyées dans les jours prochains aux opticiens partenaires) sont, pour les 12 modèles labellisés Origine France Garantie, fabriqués par trois lunetiers jurassiens. « Nous leur avons fait un contrat sur 4 ans, ce qui leur a permis d’acheter du matériel et d’embaucher du personnel. L’année prochaine, ils seront donc en mesure de fabriquer les 24 autres modèles de la collection qui deviendront à leur tour made in France », a expliqué Jean-‐François Tripodi, directeur général de Carte Blanche, lors d’un point presse organisé mercredi 31 mai, en précisant que l’offre est actuellement expérimentale et que le modèle est susceptible d’évoluer selon les résultats.
« Pas une bonne nouvelle pour les opticiens »
Désormais imminente, le lancement de l’offre Prysme continue de faire grincer des dents, y compris parmi les acteurs favorables aux réseaux.
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En visio-‐conférence depuis son bureau de Jérusalem, Laurent Lévy, PDG d’Optical Center, a ainsi tout bonnement déclaré que cette initiative « n’est pas une bonne nouvelle pour les opticiens qui doivent rentrer une nouvelle marque inconnue, se voient imposer des lunettes qu’ils payent le double du prix et s’inquiètent du SAV sur ces montures. » Cependant, « on a décidé d’être 100% réseaux et Optical Center a confiance en Carte Blanche.
Nous avons donc payé ce ‘droit d’entrée’ au réseau et allons observer si cela nous ramène des clients. Et si ça peut aider à donner un nouvel élan dans le Jura, tant mieux », a-‐t-‐il ajouté. Frédéric Poux, président du directoire du groupe, a également rappelé avoir été un des premiers partenaires de Carte Blanche car « favorable aux réseaux ouverts ».
« Mais quand nous avons découvert l’appel d’offres, nous nous sommes demandé s’ils ne sortaient pas du cadre », a-‐t-‐il rappelé. Il a toutefois insisté sur l’attachement de l’enseigne, qui vient d’ailleurs de relocaliser une partie de sa production, à la fabrication française : « Si l’offre Prysme peut sensibiliser les opticiens au made in France, c’est bien. Mais nous aurions préféré que cela se fasse sous une autre forme, par exemple en imposant une certaine quantité de montures françaises aux opticiens partenaires. »
Concernant l’avenir, Jean-‐François Tripodi a assuré « ne pas vouloir faire d’argent » avec la centrale d’achat Carte Blanche, créée sous un statut associatif. « La marge servira exclusivement à la logistique », assure-‐t-‐il, en pronostiquant un CA de 10 millions d’euros pour 200 000€ de résultat. Il garantit par ailleurs que la plateforme ne deviendra ni fournisseur de lentilles ni de verres, mais annonce cependant que « la structure peut évoluer si ça marche bien ».
Photo : Jean-‐François Tripodi, directeur général de Carte Blanche (à gauche), avec Frédéric Poux, président du directoire du groupe Alain Afflelou (à droite), le 31 mai à Paris lors de la présentation à la presse de l’offre Prysme.
Anne-‐Sophie Crouzet
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Acuité (web) 1er juin 2016
Carte Blanche officialise le lancement de sa collection et de son offre "Prysme"
"Les montures seront livrées en magasin le 6 juin prochain et l'offre sera accessible à nos bénéficiaires dès le 1er juillet", s'est enthousiasmé Jean-‐François Tripodi, directeur général de Carte Blanche Partenaires, lors d'une conférence de presse le 31 mai visant à officialiser le lancement de Carte Blanche Prysme. Invités à s'exprimer sur le sujet, Frédéric Poux, président du directoire d'Alain Afflelou, et Laurent Lévy, président d'Optical Center, ont pointé du doigt une initiative qui a au moins le mérite de mettre le Made in France au coeur du débat. A date, le réseau compte 7 734 opticiens pour 6,5 millions de bénéficiaires.
Une offre sans reste à charge comprise entre 100 et 550 euros
Pour mémoire, cette offre, que doivent proposer tous les opticiens partenaires "sans contrainte de vente", se dessine autour d’une collection de montures baptisées 1796 et créée spécifiquement par la plateforme. Elle se compose de 36 modèles optiques (acétate, métal, cerclé), dont 12 fabriqués dans l'Ain (01) et le Jura (39) sont labélisés Origine France Garantie (OFG), les autres étant marquées CE. "Elle sera annuellement renouvelée et suite au contrat sur 4 ans passé avec les fabricants français*, la totalité des montures sera fabriquée en France en 2017", a rappelé Jean-‐François Tripodi, en précisant que "l’offre est actuellement expérimentale et que le modèle est susceptible d’évoluer selon les résultats".
Du côté des verres, Carte Blanche a référencé trois verriers : Essilor, Zeiss et Nikon offrent des conditions particulières.
La valeur totale des équipements proposés est comprise entre 100 -‐ 350 euros en unifocal et 200 -‐550 euros en progressif. Enfin, la plateforme met en place un site Internet qui permet aux opticiens de visualiser différentes associations (montures + verres) correspondant à la prise en charge de chaque bénéficiaire. Un extranet est également dédié aux commandes.
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PLV, livraison et SAV
Carte Blanche est donc aujourd'hui prêt à lancer son offre Prysme. La livraison des montures, assurée par la messagerie d'Oyonnax, est prévue le 6 juin prochain. La collection s'accompagne également d'un ensemble de PLV (chevalets, affiches, flyers, présentoirs...). Les opticiens ont pour obligation de présenter un facing de 24 modèles en magasin, dont les 12 labellisés OFG. Quant au service après-‐vente, il est gratuit et sera assuré 2 ans après le jour de vente aux porteurs.
Pour arriver à ce résultat, Carte Blanche a mis en place une centrale d’achats « sous un modèle associatif, précise Jean-‐François Tripodi. Cela démontre notre volonté de ne pas remonter de dividendes à Carte Blanche », insiste-‐t-‐il. Au total, ce sont 400 000 montures qui ont été commandées (stock de réassort et SAV compris). "La marge servira exclusivement à la logistique", assure-‐t-‐il en avançant un chiffe d'affaires de 10 millions d’euros pour 200 000 euros de résultat.Interrogé sur les ambitions de la structure pour les années à venir, il assure que "Carte Blanche ne fera pas de verres, ni de lentilles".
Pour Optical Center, il faudra calculer l'apport de clientèle
Laurent Lévy estime que "l'initiative de Carte Blanche n'est clairement pas une bonne nouvelle pour les opticiens. Des reseaux nous imposent d'acheter des lunettes chez eux et 10 euros plus cher que si on les faisaient fabriquer nous-‐même en France. Je dois avouer qu'Optical Center n'était pas très content à la réception du nouvel appel d'offres, confie-‐t-‐il. D'un autre côté, nous avons pris la décision d'aller à 100% dans la direction des reseaux et nous avons confiance en Carte Blanche. C'est désormais le prix à payer. Nous calculerons dans quelques temps l'apport de clientèle. Si c'est positif on continuera, si ça ne l'est pas on sortira. C'est valable pour tous les autres réseaux", souligne-‐t-‐il avant d'ajouter : "Je trouve tout de même extrêmement courageux de la part de la plateforme de lancer une nouvelle donne avec des produits fabriqués en France. Et si on peut redonner un nouvel élan au Jura, c'est bien".
Un investissement relativement dur pour certains opticiens, selon Alain Afflelou
De son coté, Frédéric Poux a estimé que "la polémique est derrrière nous". "Quand on a découvert l'appel d'offres, on s'est demandé si Carte Blanche ne sortait pas du cadre alors que nous aurions pu répondre à ses besoins. Je trouve finalement cela formidable car l'initiative permet au moins de remettre le sujet du Made in France sur la table. Produire en France n'est plus aussi conséquent et ça peut créer des emplois, estime-‐t-‐il. L'histoire de notre pays est étroitement liée à la lunetterie et aujourd'hui le jura est un désert". Et d'ajouter : "C'est pour ça que je salue le travail de Carte Blanche même si l'investissement demandé est relativement dur pour certains opticiens. Nous avons le pragmatisme de soutenir les réseaux ouverts. Je regrette simplement que la position syndicale soit divisée alors qu'un syndicat sous une forme d'ordre aurait pu défendre et représenter notre métier avec une seule voix".
Pour Jean-‐François Tripodi, "nos partenaires disent ce qu'ils ont à dire. Les pressions ont été fortes avec des attaques judiciaires sur tous les fronts possibles mais mon inquiétude est en dessous de zéro et nous sommes très sereins sur le résultat", conclut-‐il.
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Fréquence Optique (web) 2 juin 2016
L'incendie oublié, Mont-‐Royal montre sa vitalité
Résultats de vente en hausse, recrutement de nouveaux collaborateurs au sein de l’équipe commerciale et marketing, lancement de son dernier progressif Intégral, obtention du label OFG… le verrier lorrain a tourné la page de l'incendie qui avait touché son site de production en septembre dernier.
Le verrier lorrain se porte bien et entend le faire savoir. Son début d'année se place sous le signe d'une "haute vitalité", explique la direction dans un communiqué. Tous les indicateurs sont au vert après la séquence mouvementée de septembre dernier qui a vu un incendie se déclarer dans son usine à Goetzenbruck. "Nous tenons à remercier nos clients pour leur fidélité et leur soutien pendant la période post-‐incendie en fin d’année dernière, ainsi que les nouveaux clients qui nous ont accordé leur confiance en nous rejoignant depuis le début de l’année", tient à dire Alexandre Vigouroux, directeur commercial et marketing de Mont-‐Royal. Renaud Dalissier, le directeur général, se réjouit lui aussi des "performances" solides affichées sur le premier trimestre : la société déclare avoir enregistré une hausse de ses ventes de verres de + 21 % en volume et de + 5 % en valeur par rapport aux résultats obtenus en 2015 sur la même période. Une tendance qui se confirme sur les mois d’avril et de mai.
En dépit du contexte délicat lié aux incidents de septembre, ces premiers résultats sont en phase avec les objectifs que le verrier s’était fixé l’an dernier, se félicite-‐t-‐on encore au sein de la direction.
Comme annoncé par Alexandre Vigouroux, lors de sa prise de fonction en avril 2015, la croissance de Mont-‐Royal dans l’Hexagone passe par un déploiement de son implantation commerciale sur l’ensemble du territoire.
Si le verrier lorrain dispose historiquement d’un maillage assez dense dans les régions Nord, Est et Sud-‐Est, il est moins représenté dans l’Ouest. La direction travaille donc à étendre son périmètre, une expansion notamment soutenue par une communication renforcée autour de ses produits et services, avec des actions régulières destinées à accompagner les opticiens dans leur démarche de conseil et de vente. Dans cette perspective, de nouveaux collaborateurs ont été recrutés.
Sur la région Ouest, en vue du développement du secteur Bretagne -‐ Pays de la Loire, un nouvel attaché commercial, Vincent Martineau, a pris ses fonctions mi-‐janvier. Au service marketing, Céline Palmigiano assure quant à elle depuis février la fonction d’assistante marketing, basée au siège de la société, à Goetzenbruck.
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Signe de sa politique d'investissement, Mont-‐Royal a par ailleurs décroché le label Origine France Garantie.
À l’issue de l’audit réalisé sur son site, le verrier a obtenu, début avril, la confirmation de l’attribution définitive de cette certification qui porte sur les verres unifocaux et progressifs en indice 1,5 et 1,6, quels que soient les designs et les traitements (durcis ou antireflets). Toujours côté produits, signalons enfin que Mont-‐Royal lancera en juin son verre progressif de dernière génération, baptisé Intégral, modèle phare de sa gamme Excellence.
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ITR Press (communiqué) 3 juin 2016
Qualiac : +20% de croissance organique du chiffre d’affaires 2015 dopée par des ventes de licences en forte hausse
Paris, le 3 juin 2016 – A l’occasion de la publication de ses résultats annuels 2015, Qualiac, éditeur ERP, affiche un chiffre d’affaires de 17,8 M€ en croissance organique de 20%. Pour la 6ème année consécutive, Qualiac enregistre une hausse significative de son chiffre d’affaires à périmètre constant confirmant ainsi sa capacité à répondre aux attentes du marché et à générer de la croissance.
Au vu de ces résultats, la Banque de France a revu sa cotation à la hausse en accordant à Qualiac la note maximale de E3++ (qualifiée « Excellente ») soulignant ainsi sa structure financière saine et sa très forte capacité à honorer ses engagements financiers. La progression de 33% des ventes de licences par rapport à l’année précédente a permis de doubler le ROC (Résultat Opérationnel Courant ) qui passe ainsi de 1,4 M€ à 2,9 M€.
Ces bons résultats s’expliquent notamment par :
• Un positionnement marché pertinent : avec un vif succès rencontré dans le secteur public grâce à la pertinence de son offre GBCP, avec des signatures comme : Opéra national de Paris, cinq agences sanitaires nationales de la Direction Générale de la Santé, UGECAM, Canopé, ANSES…mais aussi grâce à de très belles victoires dans le secteur privé : hypermarchés Cora, Coopérative Limagrain, La Montagne (groupe Centre-‐France)...
• Un très haut niveau de satisfaction de ses clients : avec notamment les résultats de la toute dernière grande enquête de satisfaction CXP/PAC qui positionne Qualiac loin devant ses concurrents (réalisée de manière indépendante par des experts du cabinet).
Forte de 1165 réponses, cette vaste enquête positionne en effet l’éditeur Qualiac loin devant ses concurrents ERP sur de très nombreux points :
• Une avance très nette sur tous les critères de jugement du produit (fiabilité, richesse fonctionnelle, adéquation aux besoins, interopérabilité, évolutivité, mobilité),
• Une avance très nette sur tous les critères de jugement de l’ergonomie (prise en main, personnalisation, nouveaux états, fluidité, temps de réponse, Workflow…),
• Une satisfaction à 100% des clients sur les services de l’éditeur et des notes très largement au-‐dessus de ses concurrents sur les 10 critères de jugement des partenaires (respect du cahier des charges, réactivité, connaissances métier, adaptation aux besoins du client…),
• Des notes d’assistance/hotline très largement au-‐delà des concurrents sur tous les critères analysés (amabilité, délai d’attente, qualité des réponses, résolution rapide…),
• Un niveau de confiance total dans l’éditeur et un rapport qualité/prix inégalé.
Vision & Perspectives 2016
« La performance financière et les succès commerciaux que nous rencontrons sont de toute évidence le résultat de nos efforts permanents en direction de l’innovation et de la satisfaction client, que nos
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utilisateurs ont clairement identifiés et qu’ils valident largement au travers de la récente grande enquête CXP/PAC.
Tout ceci augure de très bonnes choses pour les années à venir et déjà l’exercice 2016 s’inscrit dans la lignée de 2015.
L’année en cours confirmera aussi notre présence à l’international. Après notre implantation aux Etats-‐Unis en 2012 et en Pologne en 2014, nous avons poursuivi en 2015 notre expansion sur le marché espagnol et portugais afin de lutter à armes égales avec les « mastodontes » que nous rencontrons tous les jours » commente Jean-‐Paul ESTIVAL, Président du Directoire de Qualiac.
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Aquitaine Presse (web) 3 juin 2016
86 -‐ “1ères rencontres régionales du Produire en France”
La CCI Vienne organise le jeudi 9 juin sur le site du Futuroscope à Chasseneuil du Poitou les “1ères rencontres régionales du Produire en France”. Plusieurs entreprises (Chiminove SA, Ferrand, Smuggler, Mecafi, Heuliez, Matfa, Aigle International, Bio Concept, Beaumont Group, Patisserie Beurlay...) témoigneront de leur expérience du label et de ses retombées économiques autour de trois tables rondes : “A quoi sert le label Origine France Garantie ?”, “Peut-‐on encore produire en France ?” et “Le label Origine France Garantie fait-‐il vendre ?”.
A cette occasion, Yves Jégo, Président de Pro France remettra les certificats OFG aux dernières entreprises labellisées.
Inscriptions : [email protected]
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Centre Presse (web) 5 juin 2016
JEUDI : Origine France
La chambre de commerce et d'industrie organise les premières rencontres régionales du produire en France, au Campanile Futuroscope.
Elles se dérouleront en présence d'Yves Jégo, président fondateur de Pro France. Trois entreprises recevront des certificats "Origine France Garantie". Parmi elles, le fabricant de literie de la Vienne Matfa.
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Charonbellis (blog) 5 juin 2016
Mon après-‐midi de rêve au Pershing Hall avec Naturactive
Comme tu as pu le voir il y a quelques jours sur Instagram, j’ai eu la chance de passer un moment de rêve avec le Club des Ambassadrices Naturactive au Pershing Hall à Paris. (oui, je prends du grade !)
Pour celles qui débarqueraient sur le blog et qui ne connaitraient pas, pour faire simple, Naturactive fait partie du groupe Pierre Fabre. Pour schématiser très brièvement leur cible, il s’agit de la branche du groupe spécialisée dans l’aroma, la phytothérapie… Bref dans les produits de santé, beauté et bien-‐être d’origine naturelle, et pour cela, ils ont un catalogue de produits composé de compléments alimentaires, huiles essentielles, plantes médicinales…
Pour plus de renseignements, je vous invite tout simplement à consulter leur site car je ne vais malheureusement pas tout pouvoir retranscrire ici.
(…)
On a commencé avec un déjeuner fantastique au pied du mur végétal de l’hôtel. On ne pouvait pas avoir plus dépaysant. Puis on a enchainé avec une présentation de la marque. Et surtout ses valeurs (une marque locale, technique et engagée). Et une fois de plus, on a pu voir que même si Pierre Fabre est un grand groupe, l’humain est au centre de tout.
Les plantes sont rigoureusement sélectionnées, pour pouvoir faire des huiles essentielles d’une qualité irréprochable puisqu’elles sont bio. On évite les pesticides, les OMG…
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Et on privilégie les circuits courts puisque tout est fait à Lavaur (plus d’info avec le label Origine France Garantie présent sur de nombreux produits). Ça m’a immédiatement fait penser à l’avoine rhéalba de chez A-‐Derma puisque le schéma est le même.
Article dans sa totalité : http://charonbellis.com/melting-‐pot/mon-‐apres-‐midi-‐de-‐reve-‐au-‐pershing-‐hall-‐avec-‐naturactive/
Carole
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La Nouvelle République 6 juin 2016
Les rencontres " OFG " à Poitiers
Bioconcept (liquide pour cigarettes électroniques, Niort), Matfa (literie, Poitiers) et Chiminove (produits chimiques, Angoulême) rejoindront jeudi, au Futuroscope à Poitiers, le cercle des entreprises déjà labellisées Origine France Garantie (OFG).
Se tiendront les premières assises régionales du Produire en France, organisées par la CCI de la Vienne, en présence d'Yves Jégo, président fondateur de Pro-‐France. Plusieurs tables rondes (A quoi sert le label OFG ? Peut-‐on encore produire en France ? Le label OFG fait-‐il vendre ?) seront organisées durant la matinée au cours desquelles témoigneront notamment Fabienne Delahaye, commissaire générale du Salon Made in France ainsi qu'une quinzaine d'entreprises régionales déjà labellisées, notamment les deux-‐sévriennes Eno (l'entreprise niortaise s'est positionnée dès le lancement de ce label en 2011), Axitec (Niort) et Heuliez Bus (Rorthais).
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Plus que Bien (blog) 6 juin 2016
EGO Paris – Griffe de mobilier d’extérieur
Cultiver la différence
Ne vous fiez pas à son nom. Si la marque EGO Paris est bien française, et si elle dispose bien d’un showroom à Paris, elle est en fait originaire de la région lyonnaise. EGO Paris a été créée en 2004, à Belleville-‐sur-‐Saône (69), au coeur du Beaujolais.
La maison EGO Paris est portée depuis le début par 3 frères, Jean, Yvan et Nicolas Sommereux, et autour d’eux, toute une petite famille pleine d’ambition.
Leur projet s’est élaboré sur les complémentarités de l’équipe. Puis il s’est enrichi de la diversité des parcours, parfois atypiques des uns et des autres. Cette aventure industrielle à l’approche humaine fait d’EGO Paris une entreprise singulière, vraie et passionnée. Ensemble, les membres d’EGO Paris ont fondé une société et des produits «différents, pour être irremplaçables» comme ils l’expliquent en paraphrasant Coco Chanel.
Peu à peu, comme une maison de haute couture établit sa griffe, EGO Paris s’est fait une place dans le design de meubles d’extérieurs luxueux, en proposant des concepts uniques.
Leur vocation et leur ambition est de s’imposer comme une griffe de mobilier, qui propose des modes de vie plus que des meubles.
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Pour satisfaire les clients les plus exigeants et s’inscrire dans les plus beaux sites, EGO Paris se doit de fournir le meilleur de l’artisanat français. Ses équipes apportent un soin extrême aux détails et aux finitions. Et son atelier français permet d’assurer une réactivité et une qualité répondant aux plus hauts standards.
L’ensemble de la création ainsi que l’essentiel de la production (plus de 80%) sont assurés en France. EGO Paris bénéficie ainsi du label Origine France Garantie.
Article dans sa totalité : http://www.plus-‐que-‐bien.fr/?p=18996
Tripette
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Filière 3e (web) 6 juin 2016
Rencontre : André Bousquet fondateur de Meljac
André Bousquet crée Meljac en 1995 et lui donne ce nom en hommage à son village d’origine. Travaillant dans l’installation électrique, il devait créer ses propres platines car il ne trouvait pas ce qu’il souhaitait. 20 ans se sont écoulés et Meljac conçoit, fabrique et commercialise des appareillages électriques de luxe (interrupteurs, prises de courant, thermostats, sonnettes…) principalement sur-‐mesure.
(…)
De l’artisanat automatisé
Fabriquées à la main, les créations Meljac sont le résultat d’une succession d’étapes minutieuses. A côté de chaque ouvrier qui réalise une étape manuelle se trouve les machines les plus en pointe. La main côtoie la machine à toutes les étapes du processus de fabrication : étude, usinage, gravure, chanfreinage, pose d’inserts, estampillage, polissage, traitement des plaques et des vis (bains et rinçages), brossage, vernissage, montage et conditionnement. Pour savoir préserver les compétences, Meljac a reçu les labels Origine France Garantie OFG et Entreprises du Patrimoine Vivant EP. Ces distinctions témoignent du savoir-‐faire de l’entreprise et de la qualité de ses produits. La réalisation des produits comprend une dizaine d’étapes (dont l’usinage, la gravure, le polissage, le traitement de surface…) et fait appel à la fois à des machines numériques de haute précision et à l’irremplaçable main de l’homme. Il en résulte une gamme standard et une importante fabrication de produits sur-‐mesure qui représente 35% de la production et 50% du Chiffre d’Affaires
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Seine et Marne Développement (web) 6 juin 2016
Timber Productions à Esmans, une entreprise 100% française
L'entreprise vient de recevoir le label Origine France Garantie. Créée en 1990, Timber Productions est une entreprise familiale spécialisée dans la conception et la fabrication de systèmes de pesage pour les matériels de manutention (transpalette électrique et chariot élévateur).
« Mais pourquoi tu fabriques des balances ? » est l'une des questions que Frédéric Timber a le plus entendu dans sa vie. « Quand on a lancé l'idée avec mon père voici 26 ans, on s'est dit qu'il fallait rendre hommage en quelque sorte au kilogramme, ce système métrique créé en France à la fin du 18e siècle. »
Histoire de famille
Ce fut d'abord le fils, Frédéric, puis le père, François qui se sont lancés dans l'aventure. Avant d'être rejoints par leurs épouses respectives, puis trois employés. « Si je n'avais pas eu mes parents, je ne serais jamais devenu chef d'entreprise. » confesse Frédéric Timber. Au cours des années, leur société s'est appliqué à innover, avec des produits pensés et fabriqués sur place. Et bien que leur domaine de prédilection soit la boulangerie, les Timber vont s'attaquer dès le mois de septembre à un public plus large en lançant leur propre balance, à destination des particuliers.
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Origine France Garantie
Recevoir ce label, c'est rejoindre une gamme de produits qui garanti aux consommateurs que les produits labellisés respectent les deux conditions cumulatives suivantes : que 50 % à 100% du prix de revient unitaire de ce produit est acquis en France, et que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France (c'est-‐à-‐dire que toutes les étapes de transformation y sont effectuées).
Pro France
Créée par Yves Jégo en 1990, l'association Pro France regroupe des chefs d'entreprise, avec comme idée de mettre à disposition des entreprises qui fabriquent en France un outil de validation. « Il n'existait pas d'outil de reconnaissance d'origine des produits qui soit transversal, c'est-‐à-‐dire qui concerne tous les produits industriels, naturels, transformés ou non dans tous les secteurs. » indique Yves Jégo, Député-‐maire de Montereau et président de cette association. Ce label est un atout pour les entreprises françaises, et agit comme un repère pour les consommateurs et pour que les industriels puissent se démarquer de la concurrence internationale. Ce label est attribué après un audit de la société et doit être renouvelé tous les 3 ans.
Karine BRIVES
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Charente Libre 8 juin 2016
Les fils reprennent les rênes
Ilne veut plus qu'on parle de lui, mais de ses fils. Pourtant, il est là derrière son bureau, à interrompre la conversation pour y glisser son grain de sel. Marc Meunier est officiellement retraité depuis fin 2015.
Lui qui a fondé l'entreprise générale du bâtiment Meunier en 1972 a laissé la place à ses fils le 1er janvier 2016. Anthony Meunier, 40 ans, est donc désormais le nouveau président de cette SAS, dont le siège social est à Angoulême dans la ZE de Ma Campagne. Et Jordane Meunier, 36 ans, en est le directeur général. Mais le patriarche ne reste jamais bien loin. «Notre père, en fait, il nous fatigue», sourit Anthony Meunier: «Il reste avec nous pour que la transition se fasse en douceur. Certains clients, qui apprécient son bagout, en redemandent. D'autres sont frileux devant son caractère. C'est un artisan de l'ancienne génération.»
Un «ancien» de 65 ans qui a commencé petit, d'abord employé chez Nicoleau, puis à son compte comme peintre en bâtiment. Aujourd'hui, portée par ce fondateur pugnace qui a bâti son développement à l'étranger, la SAS Meunier, avec sa filiale Glauser International (Paris), c'est 10 millions d'euros de chiffres d'affaires attendus pour 2016. Et c'est 61 employés -‐ si on compte les 12 salariés de chez son voisin Baney, avec qui elle est associée. Son coeur de métier: les travaux de second oeuvre. La décoration, menuiserie, serrurerie de projets luxueux, en particulier dans l'hôtellerie. Une niche que les fils Meunier s'attellent à creuser en France.
Bye l'étranger, bonjour le luxe
Il y a quinze ans, plus de la moitié du chiffre d'affaires de la SAS Meunier se faisait à l'étranger. En témoignent les prestigieuses réalisations affichées dans le hall de l'entreprise, comme l'ambassade de France à Kinshasa (République démocratique du Congo) ou l'Institut culturel français à Prague (République Tchèque). Pour le ministère des Affaires étrangères, Meunier a travaillé également sur des lycées français à l'international. «On est aussi intervenu sur des chantiers d'hôtels de luxe: le Naoura à Marrakech en 2008, le Four Seasons également à Marrakech en 2009, 2010 et 2011» , raconte Jordane Meunier. Mais depuis, plus rien.
La concurrence féroce des entreprises asiatiques, du Moyen-‐Orient ou même du sud de l'Europe ne permet plus à la PME de remporter des marchés par-‐delà les frontières. «Depuis 5 ans, c'est très difficile. Dans les chantiers publics comme privés, c'est la course au bas prix. Pour nous, c'est impossible de suivre, nous n'avons plus de chantier à l'étranger», fait observer Anthony Meunier qui, dans ce contexte, confie qu'il n'est pas aisé de prendre la succession de son père: «Notre marge aujourd'hui est très réduite. On voit de plus en plus de concurrents mettre la clé sous la porte.»
Pour continuer à se développer, les frères Meunier se concentrent sur une niche, leur art de prédilection: les chantiers de luxe. La déco du fameux Fouquet's à Paris, c'est eux. La rénovation du Grand Commun du château de Versailles, ils en étaient. Actuellement, la PME charentaise intervient sur le chantier de l'hôtel Les Neiges -‐ le cinq étoiles du groupe Barrière à Courchevel. Ainsi que sur la serrurerie décorative du siège de Facebook à Paris comme sur celle de la halle Freyssinet, projet de Xavier Niel, le créateur de Free.
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«On essaie de travailler sur des belles choses. À travers Glauser, qui est à Paris, on met au coeur de la capitale notre petite boîte de Charente. Localement, il faut aussi qu'on se fasse mieux connaître», disent les patrons.
Aujourd'hui, la moitié de leur chiffre d'affaires est réalisée sur Paris. Le reste se partage entre le Poitou-‐Charentes et Bordeaux. Les Meunier ont donc encore de la marge de progression sur les marchés régionaux. Couvés, dans leur nouvelle voie, par l'ombre tutélaire du père: «Il est toujours à nos côtés et maintenant, c'est à nous de jouer.»
Laurent Martin, directeur général du Crédit-‐Agricole Charente-‐Périgord, a posé le débat avec un chiffre éloquent: «Quand on détient 50% de parts de marchés sur un territoire, cela signifie qu'un salarié sur deux d'une entreprise est client du Crédit Agricole. On a donc tout intérêt à ce que les entreprises se développent . » Mercredi dernier, dans les locaux de la fromagerie Le Manslois, à Rivières, il a signé deux conventions tripartites avec la SIAGI et la chambre des métiers. La première, le prêt lanceur, est un prêt destiné à la reprise et transmission d'entreprise. Plafonné à 20.000 euros, à 1%, il permet aux repreneurs de compléter le financement de leur projet, avec quitus et expertise de la chambre des métiers. Le second, décisif, est une garantie apportée par la SIAGI pour des prêts allant jusqu'à 200.000 euros, pour des projets de développement. Là encore, c'est la chambre des métiers qui oriente les dossiers, le Crédit Agricole qui les valide et la SIAGI qui garantit. «Dans ce dispositif, seuls la SIAGI et le Crédit Agricole prennent en charge le risque» , explique Olivier Boulet, responsable de la clientèle professionnelle au CA. «ça permet aux entrepreneurs de ne pas engager une partie de leur patrimoine » , dit Caroline Lafaurie, directrice de la SIAGI, quand Alain Testaud, le président de la chambre des métiers, estime: «Les banques financent l'économie aujourd'hui. Ce qu'il nous manque souvent, ce sont des dossiers bien finalisés, bien montés. C'est ce que permet cette convention ».
Chambre des métiers: 05 45 90 47 00
Elle était déjà d'origine charentaise garantie. Mais jeudi, Chiminove, installée aux Trois-‐Chênes à Angoulême, va recevoir officiellement son label Origine France Garantie (OFG) pour sa gamme de produits ménagers Vinckel. La remise du certificat aura lieu à 12h15, lors des premières rencontres régionales du Produire en France auxquelles participe Yves Jégo. Avant de recevoir son certificat, Chiminove participera à la table ronde «A quoi sert le label Origine France Garantie?» Débat auquel participera aussi l'entreprise Ferrand de Villebois-‐Lavalette dont les chaussons sont déjà OFG.
«Pour le consommateur, c'est une garantie de qualité», explique Laurence Bacquey, responsable du marketing. C'est aussi un support de communication.
Pour l'obtenir, Chiminove a fait l'objet d'un audit. «Il fallait que 50% du prix de revient unitaire de nos produits soit fabriqué en France», précise la responsable marketing. Chez Chiminove, seul le plastique servant à réaliser les flacons contenant les produits ménagers, n'est pas français. «Il n'y a plus de plastique fabriqué en France», précise Laurence Bacquey.
Myriam HASSOUN
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Success Stories (web) 8 juin 2016
Les bérets Laulhère à la conquête du monde
Laulhère, fabriquant historique du béret français, est aujourd’hui en pleine croissance grâce à son savoir-‐faire ancestral sans cesse renouvelé et sa stratégie commerciale tournée vers l’exportation.
Située à Oloron-‐Sainte-‐Marie, dans les Pyrénées-‐Atlantiques, l’entreprise française Laulhère, née il y a plus de 170 ans, est célèbre pour ses bérets et perpétue un savoir-‐faire alliant tradition artisanale, culture et patrimoine.
Les origines du béret
La légende fait remonter les origines du béret à Noé. En effet, après avoir sauvé les animaux du déluge, Noé aurait trouvé, au fond de son bateau, du feutre provenant de leur toison. Il en aurait découpé un morceau et l’aurait mis sur sa tête. Plus récemment, les véritables pionniers du béret sont les bergers béarnais qui tricotaient la laine de leurs animaux et la feutraient dans l’eau afin d’obtenir un couvre-‐chef qui les protégeait à la fois du soleil, du vent et des intempéries.
Tout d’abord adopté par les milieux militaires pour ses qualités, son aspect pratique et ses possibilités d’identification, le béret devient rapidement incontournable dans la société civile et se diffuse rapidement dans toutes les couches de la société.
C’est ensuite au tour du béret féminin de gagner ses lettres de noblesse notamment grâce à Coco Chanel qui le fait monter sur les podiums dans les années 30. Au cinéma, il est rendu célèbre par Michèle Morgan dans Quai des brumes ou Faye Dunaway dans Bonnie and Clyde.
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Un important contrat avec l’armée française
En 2011, l’entreprise Laulhère obtient une homologation de l’OTAN et accède ainsi aux appels d’offres des armées des 28 pays membres. En 2013, elle remporte les labels Origine France Garantie et Entreprise du patrimoine vivant, véritables marques de reconnaissance de l’Etat qui distinguent les entreprises françaises au savoir-‐faire d’excellence.
Forte de son expérience, l’entreprise vient de signer pour l’armée française une importante commande de 60.000 à 150.000 couvre-‐chefs dans le cadre d’un appel d’offre et pour un contrat de 3 ans.
Ce n’est pas la première commande de ce type pour cette PME de 44 salariés qui possède une branche militaire. La dernière grosse commande provenait de l’armée norvégienne et de nombreux pays d’Afrique sont aussi clients.
Les militaires ne sont bien sûr pas les seuls à porter les bérets Laulhère. Du berger à la parisienne en pensant par la star du cinéma, le béret est porté par toutes les catégories de personnes. Les équipes de Laulhère comptent d’ailleurs développer la branche mode de l’entreprise et voyagent beaucoup à l’étranger afin de rencontrer les créateurs.
Le bond des ventes à l’export des berets Laulhère
L’entreprise Laulhère est florissante et met en avant la qualité de ses produits tout en jouant sur le « 100 % made in France ». Pourtant, il y a quatre ans, face à la concurrence des pays émergents comme le Pakistan et la Chine, elle était en redressement judiciaire avant d’être rachetée par le groupe Cardo-‐Promodis, spécialisé dans les équipements pour l’armée française.
Cardo-‐Promodis a investi plus d’un million d’euros afin de moderniser l’entreprise qui comptait 25 salariés au moment du rachat contre 44 aujourd’hui. Rosabelle Forzy, P-‐DG de Laulhère, a également fait évoluer la stratégie de l’entreprise en développant le créneau du haut de gamme et en exportant le savoir-‐faire Laulhère à l’étranger. Le marché asiatique a d’ailleurs fait bondir les ventes de l’entreprise à l’exportation de 34% en 2015 générant un chiffre d’affaires de 2,6 millions d’euros.
En 2016, l’entreprise a investi le marché américain (Etats-‐Unis, Canada) et mise sur un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros. Les bénéfices devraient profiter au niveau local puisque des embauches sont prévues.
Après le rachat de son confrère Blancq-‐Olibet en 2013, Laulhère est aujourd’hui la dernière fabrique historique de bérets en France. La maison est ainsi devenue l’unique dépositaire d’un héritage ancestral qu’elle se donne pour mission de préserver tout en œuvrant au renouveau du béret en France comme à l’étranger.
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L’Usine Nouvelle 9 juin 2016
Label Origine France pour Timber
Présent sur le marché mondial du pesage industriel depuis plus de vingt-‐cinq ans, Timber, implanté à Esmans (Seine-‐et-‐ Marne), vient de se voir décerner le label Origine France Garantie pour deux gammes d'indicateurs de pesage adaptables sur des engins de manutention. C'est la première entreprise française de matériel de pesage à avoir obtenu cette certification. La PME, qui a réalisé 2 millions d'euros de chiffre d'affaires, entend poursuivre sa stratégie de développement, qui repose sur quatre piliers : forte capacité d'innovation, vitalité commerciale, structure à taille humaine et développement maîtrisé.
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Le Courrier de l’Ouest 10 juin 2016
Économie -‐ Heuliez Bus au Salon européen de la mobilité
La société Heuliez Bus sera présente à la 7e édition du Salon européen de la mobilité, les 14, 15 et 16 juin, à Paris et présentera deux véhicules sur son stand : le GX 337 en version 100 % électrique et le GX 437 en version diesel, doté de la technologie HI-‐S.C.R.
La gamme GX, labélisée « Origine France Garantie », offre tous les niveaux de finition jusqu'au concept BHNS (Bus à haut niveau de service). Avec ses versions hybride et électrique, Heuliez Bus fait le pari d'associer respect de l'environnement et esthétisme.
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Juste pour Femmes (web) 11 juin 2016
Top 20 des marques de fours
Vous projetez de vous acheter un four ? Oui, mais lequel ? De nombreuses marques proposent des fours abordables ou haut de gamme, simples d’utilisation ou très innovants. Voici 20 marques présentées en détails pour vous aider à faire votre choix.
Quoi de mieux qu’un four pour réaliser des recettes alléchantes. Plusieurs marques de fours françaises ou internationales se partagent le marché. Voici une sélection pour vous aider dans votre choix, que vous ayez besoin d’un four simple, que vous soyez à la recherche d’un modèle haut de gamme, ou que vous visiez des références innovantes.
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6) Sauter, des fours performants et précis
Depuis sa création en 1915, Sauter défend des valeurs de créativité, de qualité, d’émotion. Gratifiée du label « Origine France Garantie » obtenu en 2011, la marque du groupe Brandt privilégie la fabrication française. Avec sa collection de fours « Experts », Sauter propose un appareil simple d’utilisation, performant, précis, qui autorise la créativité et permet de cuisiner tous les plats, dans le plus grand respect de la tradition.
Article dans sa totalité : http://www.justepourfemmes.com/top-‐20-‐des-‐marques-‐de-‐fours-‐14169/
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Trucs de Mecs (web) 13 juin 2016
Une chemise de luxe Leverdez à remporter
LEVERDEZ est une jeune marque française fondée en 2014 qui propose des chemises haut de gamme pour hommes. La marque a été fondée par Brice LEVERDEZ, joueur professionnel de badminton, sacré plusieurs fois champion de France et salué pour sa participation au Jeux Olympiques. Afin de concilier élégance et confort en toutes circonstances, Brice Leverdez s’est entouré d’une équipe très compétente afin de développer un nouveau genre de chemise. La chemise LEVERDEZ est un concept original et unique qui allie un confort optimal. Envie de découvrir une de ces chemises haut de gamme ? Ça tombe bien, car l’un d’entre-‐vous aura la chance de remporter une chemise LEVERDEZ.
Les chemises Leverdez, présentation
La marque LEVERDEZ s’est fixé comme objectif de créer des produits uniques et adaptés à la vie moderne. Les maîtres mots sont « aisance et élégance ». Pour se faire, la confection des chemises LEVERDEZ est réalisé avec un coton haut de gamme, sélectionné pour sa qualité, sa résistance et les spécificités de son fil. Ce coton est ensuite tissé selon une technique innovante et originale qui permet d’offrir un confort unique au tissu 100% stretch sans ajouts de fibres élastiques. Ce tissage unique, le positionnement de sa trame en oblique et la construction en spirale constituent une innovation majeure dans le l’univers de la chemise haut de gamme. Autre point fort des chemises LEVERDEZ : son label : « Origine France Garantie ». La marque collabore avec des confectionneurs français reconnus pour leur savoir-‐faire et leur qualité de travail dans le domaine du prêt-‐à-‐porter de luxe.
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Article dans sa totalité : http://trucsdemec.fr/2016/06/13/chemise-‐de-‐luxe-‐leverdez-‐a-‐remporter/
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Femme Actuelle (web) 13 juin 2016
Labels alimentaires : à qui faire confiance ?
Entre labels officiels et d’autres purement marketing, il est parfois difficile de savoir à qui se fier. Dans son hors-‐série Agroalimentaire : vérités et mensonges, le magazine 60 millions de consommateurs se penche sur la question et nous éclaire sur les vrais labels garants de qualité.
Ils ont envahi les emballages des denrées alimentaires de nos supermarchés. « AOC », « AB », « Elu Produit de l’Année », ces labels semblent être les garants d’une certaine qualité à une époque où les scandales alimentaires se multiplient. Pourtant les niveaux d’exigences entre eux sont très disparates. Voici quelques clés pour s’y retrouver :
Les labels officiels et reconnus :
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Dans l’agroalimentaire, le label « Origine France Garantie » assure que plus de la moitié de la valeur ajoutée soit fait chez nous en France. Ils concernent aussi bien les produits bruts comme les fruits et les légumes que les plats transformés. Si ce label garantit une lutte contre les délocalisations, il n’a aucune valeur réelle en terme de qualité.
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Article dans sa totalité : http://www.femmeactuelle.fr/cuisine/guides-‐cuisine/labels-‐alimentaires-‐a-‐qui-‐faire-‐confiance-‐30700
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News Eco (communiqué) 15 juin 2016
MONT-‐ROYAL lance INTÉGRAL, son nouveau verre progressif de haute technologie, ultra personnalisable, Origine France Garantie
Présenté en avant-‐première au Mondial de l’Optique 2015 et nominé aux SILMO d’OR, le verre progressif INTÉGRAL, modèle phare de la nouvelle gamme Excellence de MONT-‐ROYAL, est disponible à la vente depuis le 01 juin. Conçu avec les récentes technologies développées par le verrier lorrain, notamment le calculateur Perfect Lens Optimizer, INTÉGRAL offre une acuité visuelle et un confort au porté exceptionnels. Avec ce verre de dernière génération, fabriqué en France, MONT-‐ROYAL apporte aux presbytes la solution idéale pour une expérience visuelle unique en toutes occasions.
L’intégralité des technologies de MONT-‐ROYAL au coeur du progressif INTÉGRAL
INTÉGRAL, le dernier verre progressif Free Form, ultra personnalisable, capitalise sur toutes les évolutions technologiques de MONT-‐ROYAL, repoussant les limites physiques de la conception d’un verre. Son architecture unique, reposant sur une nouvelle modélisation tridimensionnelle, permet d’associer une face avant à variation constante à un design taillé sur mesure
Une face avant à variation constante associée à une technologie innovante
Alors qu’un palet classique se limite à une courbure sur l’ensemble de la face avant du verre, le verre INTÉGRAL bénéficie d’une évolution continue de la courbure de sa face avant, garantissant ainsi un meilleur confort visuel, une adaptation plus rapide et un esthétisme optimal. De plus, le nouveau mode de calcul Perfect Lens Optimizer, dont l’innovation technologique réside dans sa capacité à associer chaque point de la face avant avec un point précis de la face arrière, permet d’obtenir un verre totalement personnalisé.
Adaptation Automatique du Design, selon le profil du porteur
Le design du verre INTÉGRAL s’adapte parfaitement aux habitudes de lecture et aux activités quotidiennes du porteur. Grâce à une évaluation simple et rapide des besoins du porteur, l’opticien identifie le comportement visuel de son client (primo-‐porteur, vision de loin ou de près favorisée, utilisation équilibrée, etc.) afin de déterminer son design idéal. Ces informations sont transmises à la commande pour être intégrées aux autres paramètres de personnalisation (pré-‐calibrage et paramètres de la monture), permettant la réalisation d’un verre unique pour chaque porteur.
Positionnement Automatique du Couloir de progression, selon les spécificités du porteur
INTÉGRAL combine l’ensemble des données optiques et morphologiques liées au porteur, la forme de sa monture et ses habitudes pour en déduire automatiquement un couloir de progression parfaitement ajusté à ses besoins. Les différentes zones de vision sont ainsi positionnées de façon à limiter le changement de port de tête en fonction des activités, pour un confort optimal du porteur.
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Journal des Professionnels (web) 15 juin 2016
Cigarette électronique : Les liquides Bioconcept labellisés Origine France Garantie
Installée à Niort depuis 2010, la société Bioconcept conçoit et fabrique des liquides pour cigarettes électroniques. Hormis la nicotine, tous ses ingrédients sont produits et assemblés en France. Elle privilégie les composants d’origine végétale et sa glycérine est issue de l’agriculture biologique.
Le 9 juin, dans le cadre des premières Rencontres régionales du Produire en France qui se tenaient au Futuroscope, Yves Jégo, président fondateur de l’association Pro-‐France a remis le label « Origine France Garantie » à l’entreprise BioConcept, en présence de Philippe Chartier, Président de la CCI de la Vienne. Le certificat attestant du label a également été remis aux entreprises Matfa (literie Duvivier) de la Vienne et Chiminove de Charente, pour ses détergents Vinckel professionnel.
Certifié par audit, le label « Origine France Garantie » certifie au consommateur que 50 % à 100% du prix de revient unitaire d’un produit est acquis en France et que ce dernier y prend ses caractéristiques essentielles, c’est-‐à-‐dire que toutes les étapes de transformation y sont effectuées.
Bioconcept emploie 10 salariés. Elle propose 6 gammes de recharges, déclinées en plus de 120 saveurs. Avec « DIY », elle permet au client de composer lui-‐même son e-‐liquide, à partir de d’arômes et de bases mixtes ou neutres.
Laurent Kaczmarek
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Les Echos (web) 16 juin 2016
Parmi les recommandations de son deuxième Livre blanc, le think tank agroalimentaire met l'accent sur l'origine.
Traçabilité et composition : tels sont les deux premiers critères sur lesquels, plus que jamais, les Français fondent leur évaluation de la qualité d'un produit alimentaire (lire ci-‐dessus). Autant dire que la capacité à mettre en valeur la provenance d'un aliment et ce qui le compose s'avère primordiale. C'est d'ailleurs un des sujets qu'avait identifiés, pour sa deuxième année d'existence, le think tank agroalimentaire animé par « Les Echos », en partenariat avec Crédit Agricole, InVivo et Tereos.
Le Livre blanc édité à partir des réflexions menées par les 26 membres du think tank, et qui sera présenté officiellement à Paris le 28 juin, a ainsi consacré un chapitre à la question suivante : « Comment donner plus de valeur à l'offre France ? » D'emblée, un constat est dressé : « L'origine des produits et des matières premières est un élément de la compétitivité hors coût, car elle apporte la réassurance d'un terroir, d'un savoir-‐faire ou d'une qualité. Alors que, partout dans le monde, le consommateur cherche cette réassurance, la revendiquer peut être un levier puissant. » Et d'autant plus puissant quand, en France, on dispose d'une telle diversité de terroirs, de productions et de savoir-‐faire.
Une revendication encore faible
Paradoxalement, dans les rayons des grandes surfaces, la revendication de l'origine des produits -‐ qu'il s'agisse du lieu de fabrication ou de la provenance des matières premières -‐ est encore faible, comme l'a montré la première étude de l'Observatoire de l'origine France, publiée fin 2015 par les Editions Dauvers. Menée sur 24 catégories de produits alimentaires basiques, avec plus de 2.000 observations dans toutes les enseignes de la grande distribution, elle relève que trois produits sur quatre étaient certes élaborés ou transformés en France, mais seuls 8 % le revendiquaient. Quant à l'origine de la matière première, 39 % des produits seulement annoncent l'origine française.
Et ce alors même qu'existe depuis 2011 le label Origine France Garantie, rappelle le think tank. Or, à date, si plus de 3.800 produits l'arborent, dans l'agroalimentaire une trentaine de références seulement sont concernées. Les professionnels invoquent la complexité de la démarche pour expliquer ce nombre si faible. Mais, souligne le Livre blanc, quoi qu'il en soit, l'origine doit porter une valeur différenciante, au-‐delà de sa seule provenance géographique.
Antoine Boudet
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Les Boomeuses (blog) 16 juin 2016
Des transats pour se prélasser
Certes le temps n’est pas vraiment printanier, mais l’été finira bien par arriver. On y croit, on y croit ! Et comme nous sommes des adeptes du farniente, nous avons forcé sur un choix de chaises longues, chiliennes et transats et autres accessoires. Qu’ils soient utilisés au balcon, sur la terrasse, au jardin ou au bord de la piscine, nous vous souhaitons un bel été, ensoleillé …si possible ! Mais si on y croit.
(…)
Transats berlingots
La marque Tissage de Luz fabrique depuis cinq générations, du linge dans la pure tradition du pays basque, mais recolorisé en version berlingot. Sa collection de transats 2016 propose 25 modèles en toiles pur coton et à la structure en hêtre. 87 € le transat. Tout est fabriqué en France dans leurs ateliers à Espelette. L’entreprise a obtenu le label « Origine France Garantie ». Les toiles sont aussi disponibles en version prête-‐à-‐poser (25 €) et en métrage (16 € le m.) La marque propose aussi des serviettes de bain et des sacs assortis so chics.
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Article dans sa totalité : http://lesboomeuses.com/transats-‐se-‐prelasser/
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Vienne rurale (web) 17 juin 2016
Origine France Garantie, un avantage commercial supplémentaire
À l’heure où de nombreux élus préconisent vivement aux consommateurs de privilégier l’achat de produits français, le label Origine France Garantie, prisé par de plus en plus d’entreprises, entend se distinguer d’autres certifications, en donnant une information qui se veut sincère, contrôlé par un organisme indépendant, sur les conditions de fabrications d’un produit. Témoignages de chefs d’entreprises de la région.
Garantir l’origine française des produits : un argument de vente actuellement utilisé par un nombre croissant d’entreprises. L’attachement des Français au « Made in France », rapporté par des enquêtes d’opinion, les y encourage. Mais il n’est pas toujours facile de s’y retrouver dans la jungle des logos et autres étiquettes apposés sur les produits. Le label Origine France Garantie fait exception, ne serait-‐ce que dans ces conditions d’obtention : une entreprise peut bénéficier du label si elle produit réellement en France, à savoir que le prix de revient unitaire du produit soit au moins à 50 % français.
Article dans sa totalité à lire en page 3 de la Vienne Rurale du 17 juin.
Guillaume de Werbier
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Info-‐Eco (web) 17 juin 2016
Origine France Garantie séduit et rassure
Plus français que le Made in France, le label Origine France Garantie se distingue par son exigence et ses portes paroles « people » qui en font la promotion en national comme à l’international. Mafta (Literie Duvivier) en Vienne et Chiminove en Charente viennent d’être labellisées.
La valorisation du savoir-‐faire français n’est pas l’apanage d’Yves Jégo ou d’Arnaud Montebourg, vous vous rappelez surement la publicité* des chambres de commerce et d’industrie sortie dans les années 90 : « Nos emplettes sont emplois » ? L’objectif reste le même : promouvoir la fabrication française et informer le consommateur. Exit le Made in France avec un emballage réalisé à Chartres, désormais le label Origine France Garantie exige un cadre sérieux et contrôlé par le Bureau Veritas.
Créé en 2011, le label oblige aux produits de « prendre ses caractéristiques essentielles en France », il faut traduire par : production ou fabrication 100 % française ou que 50 % au moins du prix de revient unitaire du produit soit acquis en France. Très pointilleux, ce label revendique un double objectif : offrir plus de traçabilité aux consommateurs et valoriser les marques qui ont maintenue ou relocalisée leur production en France.
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Fashion-‐Spider (web) 19 juin 2016
Daniel Hechter reste fidèle à ses principes de bases
Imaginer un luxe abordable, telle était la mission que s’était fixé Daniel Hechter en 1962 en créant sa marque éponyme. Visionnaire dans son époque, il complète rapidement ses collections masculines, féminines et enfants avec les parfums, les accessoires jusqu’aux éléments de décoration pour la maison. Avec ce concept de vie globale, dans lequel le vêtement reflète le style de vie de celui qui le porte, Daniel Hechter a été un précurseur de ce que nous vivons aujourd’hui avec des marques de mode proposant un éventail bien au delà de ce secteur.
Depuis 1998, La société est entre les mains de Miltenberger Otto Aulbacch GmbH, détenteur de la licence allemande depuis des années, qui a souhaité pérenniser la marque en consolidant son succès dans le monde entier. Si, pour la France, le nom de Daniel Hechter a disparu des podiums des fashion weeks, il est très actif à l’étranger avec une présence de 600 boutiques en propre et 2500 points de ventes multimarques à travers 65 pays.
Sensible à la mode et au savoir-‐faire, la marque a décidé, pour ce printemps, de lancer sa capsule « Made in France » en s’associant au dernier façonnier français: France Confection, basé à Limoges. Christophe Blondin-‐Péchabrier, le directeur artistique de Daniel Hechter, a travaillé de concert avec le fabricant pour unir l’esprit de la marque au savoir-‐faire. Les tissus, labellisés Origine France Garantie et griffés Vitale Barberis, ont été choisis pour leur qualité de laine et de mohair permettant une grande fluidité grâce à leur texture légère.
Article dans sa totalité : http://www.fashion-‐spider.com/daniel-‐hechter-‐reste-‐fidele-‐a-‐ses-‐principes-‐de-‐bases.fashion
Fred
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La Nouvelle République (web)
Vapoteurs (web) 20 juin 2016
Le label Origine France Garantie à trois entreprises locales
Yves Jégo, président-‐fondateur de Pro France et député-‐maire de Montereau (Seine-‐et-‐Marne), a remis dernièrement le label Origine France Garantie à trois entreprises locales à l'occasion des premières rencontres régionales du Produire en France organisées par la Chambre de commerce et d'industrie de la Vienne au Futuroscope. Il s'agit de la société Matfa (literie) dans la Vienne, Bioconcept (liquides pour cigarette électronique) à Niort, et Chiminove (produits chimiques, allume-‐feu et détergents) installée à Angoulême.
Matfa SAS est une entreprise familiale réunissant deux marques : Duvivier et Onrev. Présidée depuis plus de 40 ans par Michel Dousset, l'entreprise a été confiée à Éric Le Corre en janvier 2015. Duvivier conçoit et fabrique des matelas sur deux sites en France : l'un en Vendée et l'autre dans la Vienne, à Joussé dans le sud du département.
Forte de ses 250 collaborateurs, l'entreprise poitevine maîtrise trois métiers : le travail du bois, le travail de l'acier et le travail du textile afin de fournir une qualité de matelas unique.
La marque Duvivier, labellisée depuis novembre 2015, recevra officiellement le certificat Origine France Garantie pour ses matelas produits dans la Vienne.
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Acuité (web) 20 juin 2016
Krys Group souhaite rétablir la vérité sur l’usine Codir
Dans notre news du 15 juin dernier, l’Autorité de concurrence annonçait avoir rejeté la plainte de la Centrale des Opticiens (CDO) et deux opticiens indépendants qui dénonçaient les modalités de renouvellement du réseau Carte Blanche. Contacté par acuité.fr, Jean-‐François Tripodi, directeur de Carte Blanche Partenaires, avait alors déclaré que « la centrale Codir ne pouvait pas être référencée car ils ne sont pas fabricants ».
Souhaitant rétablir la vérité, Krys Group a voulu apporter les précisions suivantes : « Codir, fabricant de verres filiale de Krys Group, produit depuis 1999, 1,3 millions de verres par an sur le site de Bazainville (78), au service de plus de 3 000 points de vente. En 2012, Codir est le premier verrier à avoir obtenu le label « Origine France Garantie » (OFG), renouvelé en 2015. Le savoir-‐faire et l’expertise de Codir en tant que verrier sont reconnus par l’ensemble des acteurs de santé. L'unité de production est sollicitée, au même titre que les autres grands verriers français, lors des appels d’offres organisés par les plateformes de santé. Codir est un des verriers référencé au sein de la plateforme Carte Blanche », rappelle Krys Group.
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Lili Bakery (blog) 20 juin 2016
Escapade gourmande chez La Mère Poulard
Ce nom vous dit quelque chose, n’est-‐ce pas ? La Mère Poulard, c’est le nom du très célèbre restaurant du Mont Saint Michel, ce fameux rocher-‐joyaux des côtes normandes classé au patrimoine mondial de l’humanité. Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous avez dû entrevoir quelques posts liés à mon escapade au Mont St Michel. J’ai eu la chance, il y a peu, de pénétrer les coulisses de la Mère Poulard, en très bonne compagnie qui plus est…
Début juin, j’ai été conviée avec plusieurs blogueuses à participer à une battle culinaire sucrée au Mont St Michel. Le défi ? Créer un dessert pour 6 personnes en 1 heure dans les cuisines historiques de l’auberge. La recette devait incorporer plusieurs ingrédients frais et les biscuits de la gamme La Mère Poulard.
Qui est La Mère Poulard ?
Une cuisinière émérite, Annette Poulard, qui a bâti son auberge en 1888 au cœur de la cité médiévale du Mont Saint Michel. Son grimoire renfermerait des centaines de recettes traditionnelles (dont la fameuse omelette soufflée). Le titre honorifique de « Mère » lui a été spécialement attribué pour récompenser son talent culinaire.
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Aujourd’hui, La Mère Poulard c’est un groupe présent à travers le monde. Le restaurant de La Mère Poulard, particulièrement prisé des touristes asiatiques a exporté son concept au Japon et en Corée. Les recettes de biscuits traditionnels crées par Annette Poulard se fabriquent aujourd’hui à grande échelle à quelques kilomètres du Mont, et sont distribués en France et à l’étranger. Certifiés « Origine France Garantie » ils contiennent uniquement des ingrédients sélectionnés pour respecter la recette traditionnelle.
Ce sont ces biscuits que nous, blogueuses food, nous sommes appliquées à intégrer à nos recettes pour cette battle culinaire. Et qui dit battle, dit jugement, et nous avons été particulièrement gâtées de pouvoir être jugées par deux Meilleurs Ouvriers de France : Philippe Urraca et Martial Enguehard. Ces derniers n’ont pas hésiter à sortir de leur rôle de juge et nous aider, nous conseiller durant l’épreuve. De beaux souvenirs pour chacune des participantes… Un grand merci à l’équipe La Mère Poulard pour leur accueil lors de ces deux jours « en immersion ».
Aurélie
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Entreprendre (web) 20 juin 2016
Ça balance en France pour Timber
Présent sur le marché depuis plus de 25 ans, c’est un spécialiste du pesage créé par Frédéric Timbert et son père François.
Une belle reconnaissance
L’entreprise vient de recevoir la certification Origine France Garantie des mains d'Yves Jego. Une reconnaissance symbolique pour cette entreprise seine-‐et-‐marnaise qui maintient un savoir-‐faire et une production locale sur un secteur spécifique, les instruments de pesage pour le commerce et l'industrie.
Innover
La PME, qui réalise 2 M€ de CA, mise également sur l'innovation, avec la conception d'appareils originaux comme le Transkil, premier transpalette hydraulique, aujourd'hui utilisé dans le monde entier.
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L’Usine Nouvelle (web) 20 juin 2016
Le marché de l'optique ne se laisse pas "ubériser"
Dans les ventes de lunettes, le bouleversement promis par les sites de e-‐commerce n'a pas -‐ encore-‐ eu lieu. La raison ? La mobilisation des acteurs historiques : industriels et distributeurs. Mais les enseignes low-‐cost changent la donne...
"Les cow-‐boys qui ne regardent pas l'intérêt du consommateur", comme les décrivait le leader mondial des verres Essilor, n'ont pas encore gagné. Il y a cinq ans, l'arrivée en fanfare du site internet Sensee, fondé par le serial-‐entrepreneur Marc Simoncini, annonçait une révolution sur le marché de l'optique. 49 euros la monture, soit cinq fois moins que chez un opticien classique... Les acteurs traditionnels -‐ opticiens, fabricants de verres, de montures et de lentilles -‐ avaient beau crier au loup, chacun avait regardé comment se positionner. Le français Essilor, en tête, en s'emparant de sites internet de ventes en ligne.
Toujours pas de chiffres officiels
Cinq ans après, le bouleversement tant redouté... n'a pas encore eu lieu, s'accordent les dirigeants du secteur interrogés par l'Usine Nouvelle. Ils étaient réunis par leur Club Inter-‐Optiques ce 17 juin pour faire le point sur les chiffres du marché. Les informations manquent encore cruellement sur l'impact du e-‐commerce, toujours pas pris en compte dans les chiffres présentés par le cabinet d'expertise GFK et le magazine BienVu.
En 2015, le marché français de l'optique vendu en magasins (hors Corse et territoires d'Outre-‐Mer) a cru de 3,3% à 6,5 milliards d'euros. Une progression, certes, mais inférieure à celle de nos voisins européens. Les ventes sont constituées à 60,9% des verres de correction, 25,3% des montures optiques, 7,5% des montures solaires, 5,3% des lentilles de contact et 1% des solutions d'entretien. Problème, le chiffre d'affaires moyen des 12 460 boutiques d'optique diminue : les ouvertures de nouveaux magasins se faisant plus nombreuses que la croissance du secteur.
Les lentilles mieux vendues en ligne que les lunettes
Et cette dernière ne bénéficie encore que peu aux pure-‐players du numérique. "Les retailers physiques adaptent leur prix au bout d'un moment pour ne pas laisser échapper le marché", observe Jean-‐Pierre Champion, le directeur général du groupe Krys, numéro deux des ventes de l'optique derrière Optic 2000. Tandis que leurs partenaires industriels rechignaient à livrer les acteurs de la vente en ligne, dénonçait il y a deux ans le fondateur de Sensee. Les consommateurs, quant à eux, restent toujours attachés à récupérer et faire régler leur matériel chez les opticiens. L'achat de lunettes -‐ un dispositif médical loin d'être anodin -‐ s'est donc peu digitalisé.
« Dix ans pour que le concept s'installe ! »
Chez les sites Happyview et Malentille, on évalue à 1% du marché les ventes d'équipements complets-‐ monture et verres correcteurs -‐ réalisées sur Internet. Moins, assurent les concurrents. "C'est beaucoup plus dur et plus long que tout ce que tout le monde avait pu prévoir, estime Alain Colin, le directeur général de Sensee.
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Il est très compliqué de faire comprendre aux gens qu'ils vont payer moins cher un produit qu'ils ne payent pas (grâce à la prise en charge des complémentaires santé, ndlr). Il faudra encore dix ans pour que le concept d'Internet s'installe."
La sauce a mieux pris du côté des lentilles de contact, plus faciles à renouveler en ligne, avec 20% de part de marché en volume sur internet. "Nous allons arriver un jour à celle de l'Allemagne, qui est de 40%", promet Alain Colin. "Mais elle ne se situe qu'à 20% lorsqu'on raisonne en valeur, et s'est stabilisée depuis !", relativise un fabricant de lentilles.
Le bouleversement du marché de l'optique vient finalement d'ailleurs : des enseignes low cost. Optical Discount, Hans Anders... Ce sont elles qui ouvrent le plus de boutiques, observe Patrick Janas, le fondateur de BienVu. Pas forcément une bonne nouvelle pour les fournisseurs industriels... D'autant que, 71% du marché de l'optique étant concentré entre les mains de 13 enseignes, la concurrence et la pression sur les prix rendent de plus en plus difficile de garantir la fabrication en France, estiment leurs fabricants (Zeiss, Hoya, BBGR : filiale d'Essilor...). Qui tentent malgré tout d'expliquer la complexité des technologies derrière les verres, et de défendre leur industrie, via notamment le label "Origine France Garantie".
Gaelle Fleitour
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First Luxe (web) 20 juin 2016
Leverdez ouvre un Pop Up Store à Paris
Les chemises Leverdez ont connu un grand succès auprès de nombreuses Vips lors du Festival de Cannes en mai dernier, où la marque était installée au Carlton, dans la Suite glamour chic de Nathalie Dubois.
Jusqu’au 25 juin, au Pop Up Store rue Saint Roch, vous pouvez vous aussi les découvrir, craquer et… repartir avec votre modèle coup de coeur !
Créée par le champion de badminton Brice Leverdez, la collection de chemises Femme et Homme Leverdez est née du constat d’un manque d’aisance dans l’élégance. S’inspirant de la noblesse des sportifs du début du XXème siècle, la marque a repensé dans son intégralité un nouveau modèle de chemisiers associant raffinement et liberté de mouvement, grâce à l’innovation de ses coutures en spirale.
Le coton utilisé pour la conception, labellisée « Origine France Garantie », a été minutieusement sélectionné pour sa qualité, sa résistance et les spécificités de son fil. Les collections s’organisent autour de deux types de modèles : la gamme Metis bicolore et la gamme Iris unie. Chaque chemise est ensuite déclinée en version pour gaucher et droitier au prix unique de 450€.
POP UP STORE au 10 rue Saint Roch 75001 Paris. Jusqu’au 25 juin
www.leverdez.com
Frédérique de Granvilliers
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PA Sport (web) 21 juin 2016
Krys dévoile ses lunettes Made In France pour le Tour de France
Un engagement de KRYS GROUP en faveur du Made In France…
Opticiens Officiels du Tour de France pour la 3ème année consécutive, Krys a conçu spécialement pour l’occasion des lunettes de soleil collector, fabrication française garantie.
Illustration du savoir-‐faire de Krys et de son attachement au Made In France, les lunettes officielles Tour de France allient style et confort visuel pour permettre aux passionnés de vivre les émotions de la Grande Boucle.
Une démonstration du savoir-‐faire de Krys : technique, esthétique et accessibilité. Technique : monture équipée de verres teintés gris polarisants catégorie 3 pour une meilleure restitution des couleurs et une limitation des effets de réverbération. Esthétique : style urbain casual chic à porter en toute occasion. Très esthétique, l’acétate cristal mat apporte du chic à la monture et les verres miroités ajoutent de la personnalité au modèle.
Accessibilité : lunettes en exclusivité chez Krys à 79€ TTC prix de vente public conseillé. Collection intégrée à l’offre commerciale de l’été chez Krys : une solaire achetée = une solaire offerte*.
Un engagement de KRYS GROUP en faveur du Made In France
Cliquer pour télécharger le film Le partenariat entre Krys et le Tour de France trouve sa force dans une volonté commune de promouvoir le savoir-‐faire français.
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C’est donc naturellement que Krys, en sa qualité d’Opticiens Officiels du Tour de France, souhaite valoriser les lunettes officielles de l’événement, vitrine de la qualité et de l’excellence française en matière d’équipement optique solaire.KRYS GROUP est le seul groupement d’optique à fabriquer ses propres verres labellisés Origine France Garantie dans son usine située à Bazainville (Yvelines). Ce choix stratégique de relocalisation de sa production permet au Groupe de répondre aux nouvelles exigences des consommateurs en conciliant qualité et accessibilité. Très attachée à cette spécificité, le Groupe a fait du Made In France un engagement et un levier de croissance pour les années à venir. Une prise de position forte qui se traduit par une stratégie d’investissement ambitieuse dans l’outil de production afin d’augmenter la capacité de production de 50%. En 2015, 1 300 000 verres ont été produits.
Une occasion de diffuser des messages de prévention en matière de santé visuelle
Krys profite également du lancement de ces lunettes et de sa présence sur le Tour de France pour adresser au plus grand nombre des messages de prévention en matière de santé visuelle.
Concernant les risques liés au soleil, l’enseigne rappelle trois grands principes.
1. Même par faible ensoleillement, il est conseillé de porter des lunettes de soleil en extérieur et dans la pratique du sport.
2. 100% des français ont besoin de lunettes de soleil et plus particulièrement les enfants dont les yeux sont plus vulnérables aux UV.
3. Il est plus dangereux de porter des lunettes de soleil qui ne protègent pas des UV que de ne pas en porter du tout. Porter des lunettes de soleil de normes CE.
L’enseigne sera présente sur les villages du Tour pour proposer au public des tests de performances visuelles et des conseils en matière de santé qui seront également relayés sur le Twitter @maillotblancKrys.
Gilles Carvoyeur
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Top Outre Mer (web) 22 juin 2016
Vacances propres contre les déchets sauvages
81 000 tonnes de déchets sauvages en France en 2015 :
Vacances Propres appelle à une prise de conscience générale face à ce fléau environnemental et sanitaire
Vacances Propres estime à plus de 81 000 tonnes le volume de déchets sauvages abandonnés en France en 2015, soit l’équivalent de 8 Tours Eiffel ! Pour sa nouvelle campagne nationale, Vacances Propres, parrainée par Jean-‐Michel Cousteau, incite tous les acteurs concernés à s’engager à ses côtés pour lutter contre ce fléau environnemental et sanitaire : citoyens, collectivités locales, Pouvoirs publics, ONG, entreprises,...
Des sacs nouvelle génération : empreinte écologique réduite et design renouvelé
Pour collecter les déchets, Vacances Propres propose des sacs de collecte aux collectivités locales. Elles en ont utilisé 2,4 millions en 2015, soit 8,5% de plus qu’en 2014.
Ces sacs, connus par 1 Français sur 2 sont désormais composés de 50% de matière recyclée, au lieu de 30%, et restent imprimés à l’encre à l’eau, toujours certifiés NF et Origine France Garantie.
De plus, leur design est actualité et insiste davantage sur le geste via le logo Vacances Propres, tout en conservant leurs célèbres rayures.
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La Voix du Nord (web) 24 juin 2016
Toyota : et pendant ce temps-‐là, la 3 millionième Yaris est sortie de l’usine d’Onnaing
Alors que le monde économique, et Toyota aussi forcément, regardent d’un œil inquiet le divorce entre le Royaume-‐Uni et l’Union européenne, l’usine TMMF d’Onnaing, près de Valenciennes, célébrait ce vendredi matin sa 3 millionième Yaris.
Très peu de commentaires ce vendredi matin à Onnaing sur le séisme économique du jour. Et pourtant, il y a quelques jours, la direction de Toyota motor manufacturing UK plaidait ouvertement contre le Brexit : « L’accès ouvert et gratuit au marché européen est d’une importance critique pour notre activité de fabrication au Royaume-‐Uni », déclarait ainsi le groupe dans un entretien repris par plusieurs médias nationaux.
En France et à TMMF, l’effet sera forcément de moindre ampleur, les exportations vers la Grande-‐Bretagne ne représentant que 17 %. Reste que la chute de la livre sterling et la nouvelle donne douanière auront forcément des conséquences sur les ventes et donc la production. De quelles ampleurs ? « Il est prématuré de tirer les conclusions de ce référendum », a réagi sobrement la direction.
L’heure était plutôt à la célébration, ce vendredi matin, en présence des équipes. Après quinze ans d’activités, l’usine d’Onnaing a sorti sa 3 millionième Yaris. Un cap franchi un mois après l’annonce des 10 millions de Toyota produites en Europe par ses six sites de production (1). « Près d’un tiers de la production européenne est réalisé ici à Onnaing, c’est dire si TMMF est un acteur important du groupe », a commenté la direction.
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La vedette du jour est donc une Yaris bicolore noire et blanche. Et le hasard fait plutôt bien les choses… À Onnaing, on aime à rappeler que cette nouvelle gamme, lancée au 1er janvier, est née ici de l’initiative de l’équipe peinture, qui a pensé et réalisé le prototype. « Le marketing, basé à Bruxelles, ne pensait pas lancer l’idée avant trois ans, mais il a finalement été séduit par la proposition de notre équipe », rappelle-‐t-‐on à l’usine. Et le marketing a eu raison de faire confiance aux « team members » du cru : la bicolore, « ça marche bien ». Lors des dernières portes ouvertes (nationales), elles ont représenté pas moins de 40 % des ventes.
Cécile Thiébaut
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Ubiconseil (blog) 27 juin 2016
Le « made in France » est un avantage concurrentiel
Les consommateurs français sont de plus en plus sensibles à l’origine des produits. Près des trois quarts des français sont prêts à payer 5 à 10% plus cher pour acquérir un produit fabriqué en France.
En effet, l’achat de produits français est perçu comme une démarche citoyenne qui permet de préserver l’emploi local et le patrimoine industriel du pays. L’origine française des produits est également un gage de qualité pour les consommateurs.
Les consommateurs français sont particulièrement sensibles à l’origine des produits du secteur alimentaire (55%), devant l’automobile (17%) et l’habillement (12%).
Cette volonté de consommer des denrées alimentaires produites localement pousse également les français à être attentifs à la région d’origine des produits.
Pour assurer la visibilité des produits fabriqués en France auprès des consommateurs, plusieurs labels existent. Le label « Origine France Garantie » est promu par l’association ProFrance et est délivré par des organismes de certification indépendants. Le Label « Entreprise du Patrimoine Vivant » est une initiative de l’Etat qui consacre des entreprise industrielles et artisanales françaises.
De nombreux labels existent également pour certifier les productions régionales à l’instar de « Produit en Bretagne » qui existe depuis une vingtaine d’années.
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La Revue Automobile (web) 27 juin 2016
Toyota Yaris en France : 3 millions d'exemplaires produits
Inauguré en janvier 2001, le site Toyota de Valenciennes vient de produire son 3 000 000e exemplaire de Yaris. La citadine japonaise est fabriquée en France pour 42 pays d'Europe et d'Amérique du Nord. 35 % de la production reçoit une motorisation hybride.
Ecrit le 28 Juin 2016 Toyota Yaris en France : 3 millions d'exemplaires produits
Toyota n’a pas besoin de lancer une série spéciale Yaris France comme il le fait régulièrement pour qu’on sache que sa citadine est produite dans l’Hexagone. C’est en effet à Valenciennes que les chaînes de production du constructeur japonais tournent depuis le 31 janvier 2001 pour fabriquer des Yaris à destination de 42 pays de l’Europe et de l’Amérique du Nord.
Aujourd’hui, la fabrication de la Yaris en France franchit un cap avec le palier des 3 millions d’exemplaires qui vient d’être atteint. Si, il y a quinze ans de cela, 2 000 salariés fabriquaient 400 Yaris par jour, aujourd’hui ils sont 3 800 pour en produire 1 010 par jour. Logiquement, comme certains modèles Peugeot et Citroën, la Toyota Yaris bénéficie du label Origine France Garantie.
35 % d’hybrides
Sur les chiffres de janvier à mai 2016, la Toyota Yaris se classe 17e des ventes en France avec 13 154 exemplaires écoulés. C’est mieux qu’une Citroën C4, qu’un Nissan Qashqai ou qu’une Fiat 500 !
Environ 35 % des Yaris fabriquées en France à Valenciennes sont des Yaris HSD à motorisation hybride, une version lancée en 2012 – à l’époque elle ne représentait que 25 % de la production. Aujourd’hui, la Toyota Yaris est vendue entre 13 700 et 20 500 euros (18 990 et 21 200 euros pour la version hybride).
Emmanuel Genty
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Le Vif (web) 28 juin 2016
Trois millions de Toyota françaises
Les 3.800 salariés du site de Toyota Motor Manufacturing France (TMMF) viennent de produire leur 3.000.000e Yaris: une Yaris bicolore hybride destinée au marché français.
Il y a maintenant un peu plus de 15 ans, le 31 janvier 2001, Toyota Valenciennes fabriquait sa toute première Yaris "made in France". A l'époque, près de 2.000 salariés travaillaient sur le site pour produire un peu plus de 400 Yaris par jour. Aujourd'hui, 3.800 salariés travaillent sur le site en trois équipes à la réalisation de 1.010 Yaris par jour pour livrer les 42 pays clients (Europe et Amérique du Nord).
Le lancement de la Yaris hybride, en 2012, restera l'un des challenges les plus importants: fabriquer la toute première voiture du segment des citadines, équipée de la technologie hybride (moteur 1.5L essence associé à un moteur électrique). La France est d'ailleurs le premier pays client de ce modèle puisque près d'une Yaris hybride sur quatre produite reste dans l'hexagone.
En 2012 également, la gamme Yaris (essence, diesel et hybride) produite en France a été le premier véhicule labellisé "Origine France Garantie". Deux critères sont nécessaires à l'obtention du label: tout d'abord le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et ensuite, entre 50% et 100% du prix de revient unitaire de ce produit doivent être acquis en France. Comment dit-‐on "cocorico" en japonais? (Belga)
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Dame Skarlette (blog)
Special Mode (blog) 28 juin 2016
Les nouveaux biscuits de la Mère Poularde
La Mère Poulard, un nom mondialement connu je pense. Et dire que je n'ai jamais mis les pieds au Mont Saint Michel !!!
La Mère Poulard existe depuis 1888. La tradition d'hospitalité se perpétue au Mont Saint Michel depuis le Moyen Âge. C'est donc tout naturellement qu'en 1888, Annette et son mari Victor Poulard ouvrent leur auberge afin d'y accueillir à leur tour les pèlerins venus de tous les horizons.
Très vite reconnus, les talents d'Annette Poulard et ses quelques sept cents recettes lui valent le titre honorifique de "Mère" qui distingue ses qualités de cuisinière mais aussi sa contribution à la renommée de la gastronomie française. Célèbre dans le monde entier pour sa fameuse omelette soufflée cuite au feu de bois dans la grande cheminée de son auberge, ses délicieux biscuits ont aussi contribué à sa renommée.
En 2016, le restaurant "La mère poulard" reste l'un des plus célèbres restaurants en France et dans le monde entier. En effet, le nom de la Mère Poulard et du Mont Saint Michel a attiré 3.5 millions de visiteurs français et étrangers chaque année. Le Mont Saint Michel est aussi connu pour son abbaye que pour la Mère Poulard. Comme l'a écrit Paul Bocuse en 1979 : "La mère Poulard, c'est la France".
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Depuis, plus de 120 ans, les biscuits de la Mère Poulard régalent les amateurs de douceurs sucrées. Dorés à souhait et croustillants, savoureux, légers et croquants, les biscuits de la Mère Poulard accompagnent toutes les pauses gourmandes et se dégustent au petit-‐déjeuner, au goûter et au dessert.
Les biscuits de la Mère Poulard sont des valeurs 100 % françaises ils expriment : racines, traditions, savoir faire depuis 1888. Produit en france hier, aujourd'hui et demain. Matières premières 100 % origine France. Labellisées Origine France Garantie.
En 2016, la biscuiterie "La Mère Poulard" met en avant sur ses paquets ses fondamentaux : mention produit en France, Origine France Garantie et qualités et avantages des biscuits la mère Poulard.
Article dans sa totalité : http://www.dameskarlette.com/2016/06/les-‐nouveaux-‐biscuits-‐de-‐la-‐mere-‐poulard.html
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Femmes Référence (web) 29 juin 2016
Éléphant, une offre complète d'accessoires ménagers adaptés à tous nos besoins
C'est en 1845 à Beauvais qu'Alphonse Dupont fonde la marque Éléphant, à l'origine une fabrique de tabletterie, de brosserie et de boutons. 90 ans plus tard, en 1932, La Brosse, un autre brossier de la région, fusionne avec les établissements pour former le groupe La Brosse & Dupont.
Éléphant, l'expert de l'entretien de nos maison... nous accompagne au quotidien depuis 170 ans.
La Brosse & Dupont et Éléphant ont soufflés en 2015 leur 170ème bougie d'anniversaire !
À partir d’une activité historique de fabrication de brosses... la marque a su évoluer pour proposer de nouvelles solutions qui facilitent le ménage et la vie des consommateurs. Éléphant fait aujourd'hui partie du quotidien des Français : balais, brosses, tissus, pelle, seau, cintres, parfums, tapis,... on a tous un "Éléphant" chez soi !
Éléphant : des produits de qualité, à la fois performants et design -‐ qui ne nous trompent pas !
Leader de la brosserie en France et symbole de qualité, la marque est reconnue comme la spécialiste du nettoyage et de l’entretien de la maison.
Produits innovants ou traditionnels, modernes ou classiques, Éléphant offre un large éventail d’accessoires de ménage mais aussi de tissus d’entretien, tapis et entretien du linge pour balayer, nettoyer, astiquer... afin d'avoir une maison toujours plus éclatante.
Des produits majoritairement certifiés FSC® ou PEFC™, et principalement de fabrication française.
La certification "Origine France Garantie" pour les ensembles seaux et essoreurs.
Les certifications FSC® (Forest Stewardship Council) et PEFC™ (Programme for the Endorsement of Forest Certification) pour la gamme Éléphant Origine.
Un maximum de produits "made in bleu, blanc, rouge"...
Toujours soucieux de l’origine et de la qualité de leurs produits, la marque a conservé une partie de la fabrication dans leur usine, à Béthisy-‐Saint-‐Pierre, située dans l’Oise ; Disposant d'un atelier d'injection plastique, elle produit chaque année près de 5 millions de produits : pelles, balais à plats, débouche évier, montures de balais, balayettes ou encore têtes de loup !
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Elle est également équipée d’un atelier d’empoilage sur des montures plastiques et bois, permettant de fabriquer des balais et balayettes aux fibres diverses (soie de porc, chiendent, coco, crin,...) -‐ adaptés à tous types de sols.
... et le reste de la gamme, fabriqué à l'étranger.
Néanmoins, les fournisseurs sont sélectionnés avec soin ; Des audits réguliers permettent d’assurer une production de qualité, conforme à leurs exigences et à leurs valeurs.
Sabine Vermorel (Bloggeuse chez La petite cuisine de Sabine)