q
Pour un achat réfléchi d’une cuisine de qualité
VERRE
STRATIFIE
Le secteur du meuble a toujours été avare d’informations vis-à-vis du consommateur et c’est justement pour cette raison que ce dernier peut difficilement comprendre les différences de qualité entre les divers produits. Pas même les nombreux labels de qualité, proposés dans mille et une variantes, lui sont utiles et, souvent, ils ne font que l’embrouiller davantage. À travers ce guide, nous essayerons de lui fournir des informations utiles pour qu’il puisse effectuer un choix réfléchi. Ces informations sont le fruit non seulement de nos trente ans d’expérience dans le secteur, mais également de notre capacité d’écouter les besoins de chaque client qui, avec leurs requêtes, nous ont poussés à réaliser des essais reproduisant le stress réel que subit, chaque jour, une cuisine plutôt que de suivre des normes abstraites qui ne s’adaptent pas à la vie réelle.
32
Le marché offre aujourd’hui une vaste gamme de matériaux pour le plan de travail. Souvent, ils ont un nom commercial attribué par la société qui le fabrique (ou par le distributeur) et, dans certains cas, ils prennent le nom de la société même, ce qui engendre une grande confusion. En réalité, les matériaux principalement utilisés pour le plan de travail ne sont que huit.Nous n’avons pas pris en considération le bois parce que nous jugeons que ce matériau ne convient pas pour la réalisation d’un plan de cuisine, notamment s’il doit loger un évier ou une table de cuisson.Le tableau ci-dessous veut être une aide pour identifi er correctement le nom commercial ou du fabricant et le matériau auquel il se réfère. Dans nos laboratoires, nous avons analysé toutes les marques relatives au même matériau, en ne trouvant que des différences minimes entre elles. Pour une compréhension plus aisée, nous avons donc reporté dans le tableau, la moyenne relative aux caractéristiques des matériaux et non pas des marques.Ce sont en effet les matériaux et non pas les marques qui défi nissent les principales qualités techniques des produits.
MATÉRIAU NOM COMMERCIAL OU DU FABRICANT
Acier inox 18/8 AISI 304 Non défi ni
Résine acrylique chargée Corian - Pral - Staron - Hi∙macs - Nikron - Delian - GetaCore - Harmony - Policor - Wilsonart - Hanex
Quartz aggloméréStone - Okite - Zodiaq - Romaxx - Silestone - Technistone - Caesar Stone - Santa Margherita - Quarella - Eco by Cosentino - Eco∙friend - Romaxx quartz surfaces - Cristalite - Viatera - Oreolite
Stratifi é Abet Laminati - Formica - Lamicolor - Arpa Industriale - Thermopal - Puricelli - Duropal - Resopal
Verre Non défi ni
Marbre naturel Non défi ni
Granit naturel Non défi ni
Céramique Kerlite - Laminam
Il n’existe pas un matériau qui puisse être considéré, de manière absolue, comme le « meilleur » pour un plan de travail de cuisine : chaque matériau présente des avantages et des inconvénients. Pour aider le consommateur à choisir son plan de travail, nous avons analysé les principales caractéristiques des divers matériaux :• résistance aux rayures ;• résistance aux taches et à la corrosion, nettoyabilité ;• résistance à la chaleur ;• résistance aux chocs ;• hygiène de la surface.
Les résultats des essais sont reportés dans les tableaux insérés dans les pages suivantes avec les appréciations suivantes :
Résultat ExcellentRésultat Bon Résultat Assez bonRésultat InsuffisantRésultat Très insuffisant
Ceci afi n d’aider le consommateur à effectuer le choix le plus approprié à ses besoins.
QUELS SONT LES ÉLÉMENTS D’UNE CUISINE ?
La cuisine se compose de quatre éléments principaux
LE CAISSON
LES PORTES ET LES FAÇADES LES ÉLECTROMÉNAGERS
LE PLAN DE TRAVAIL
Quel plan de travail choisir pour sa cuisine ?
MARBRE
VERRE
RÉSINE ACRYLIQUE
CÉRAMIQUE
ACIER INOX
QUARTZ AGGLOMÉRÉ
GRANIT
STRATIFIÉ
Quel est le meilleur ?
LE PLAN DE TRAVAIL
Dans le présent opuscule, vous ne trouverez pas le chapitre « Les portes et les façades » car, s’agissant d’un sujet très vaste, celles-ci ont été décrites de manière exhaustive dans le « Guide d’achat d’une cuisine de qualité », disponible chez tous les Revendeurs Valcucine.
54
On entend souvent parler de « surface anti-rayures ».En réalité, aucune surface n’a une résistance absolue aux rayures. En effet, elles peuvent toutes être rayées par des matériaux plus durs ou ayant une dureté égale.Pour connaître le plus résistant, nous avons soumis tous les matériaux à un essai de rayage avec des pointes de matériaux divers et de dureté allant de 1 (résistance minimale) à 10 (résistance maximale).
Commentaire sur les résultats des essais de résistance aux rayures.
Comme on peut le comprendre en analysant le tableau ci-contre, de nombreuses convictions sont réfutées par des données objectives.On croit communément que l’acier inox est un matériau dur. En réalité, il se raye facilement, notamment lorsqu’il a une fi nition brillante. Si l’on souhaite un plan de travail qui résiste longtemps aux rayures, il ne faudra donc pas choisir l’acier inox. En revanche, si l’on accepte que la surface ait un aspect de « vécu », on pourra alors apprécier les qualités propres de l’acier inox.
Pour avoir un matériau avec une résistance maximale aux rayures, il sera préférable de le choisir parmi ceux indiqués ci-dessous et fournis par ordre décroissant de résistance :• céramique ;• granit naturel ;• quartz aggloméré ;• verre.Pour le verre, nous avons mis au point une nouvelle technique qui permet de déposer, moyennant les nanotechnologies, certaines molécules de matériau sur sa surface en la rendant plus dure et donc plus résistante aux rayures (voir tableau). Valcucine propose déjà cette technologie pour certains coloris du verre.
Outre la résistance aux rayures, il faut également prendre en considération sa mimesis.Les rayures se manifestent différemment sur la surface en fonction de la fi nition (elles se voient moins sur une surface gaufrée que sur une surface brillante) et de la couleur (elles se voient moins sur une surface claire ou multicolore que sur une surface foncée ou uniforme). En rayant avec la même intensité un plan de travail en verre noir brillant avec une couleur uniforme et un plan de travail en marbre blanc mat diaspré, les rayures seront beaucoup plus visibles sur le plan en verre noir brillant.
Il est également nécessaire de prendre en considération la possibilité de rénover la surface du plan de travail.Tous les matériaux analysés sont théoriquement réparables, hormis le stratifi é. Cependant, vu la complexité de l’opération, les plans de travail en résine acrylique chargée sont les seuls réparables, car ils sont tendres et faciles à polir.
En observant le tableau ci-contre, on constate que la céramique est le matériau le plus dur. Voilà pourquoi, nous recommandons de faire très attention lorsque l’on déplace des objets en céramique sur le plan de travail (par exemple, des pots de fl eurs qui ont des aspérités sur le fond) car, ayant une dureté semblable à celle du diamant, ils arrivent à rayer n’importe quel type de matériau.
MATÉRIAU TYPE FINITION RÉSISTANCE AUX RAYURES
Acier inox 18/8 AISI 304, épaisseur 1 mm, sur support
Brillante 1,5 Très insuffi sante
Satinée 2,5 Insuffi sante
Gaufrée 3,0 Assez bonne
Résine acrylique chargée Moyenne des résultats entre les différentes marques Mate 1,5 Très insuffi sante
Quartz aggloméré
Non traité Brillante 7,0 Excellente
Traité avec un imprégnateur traditionnel Mate 7,5 Excellente
Traité avec un imprégnateur nanotechnologique Mate 7,5 Excellente
Stratifi é
HPL, épaisseur 0,9 mm, appliqué sur un support en aggloméré Lisse 2,5 Insuffi sante
Gaufrée 3,0 Assez bonne
HPL, épaisseur 2 mm, appliqué sur un support en aggloméréLisse 2,5 Insuffi sante
Gaufrée 3,0 Assez bonne
HPL, épaisseur 10 mm, sans supportLisse 2,5 Insuffi sante
Gaufrée 3,0 Assez bonne
VerreTrempé
Brillante 4,5 Assez bonne
Satinée 5,0 Assez bonne-Bonne
Trempé, durci en surface avec des nanotechnologies Satinée 6,0 Bonne
Marbre
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur traditionnelBrillante 4,5 Assez bonne
Mate 4,5 Assez bonne
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur nanotechnologiqueBrillante 4,5 Assez bonne
Mate 4,5 Assez bonne
Granit
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur traditionnel
Brillante 7,0 Excellente
Mate 7,5 Excellente
Flammée 7,5 Excellente
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur nanotechnologique
Brillante 7,0 Excellente
Mate 7,5 Excellente
Flammée 7,5 Excellente
CéramiqueÉpaisseur 3 mm, appliqué sur un support en aggloméré Semi-mate 9,0 Excellente
Épaisseur 3 mm, appliqué sur un support spécial en aluminium Semi-mate 9,0 Excellente
LE PLAN DE TRAVAIL
Résistance aux rayures
LE PLAN DE TRAVAIL
76
MATÉRIAU TYPE FINITION RÉSISTANCE AUX TACHES
RÉSISTANCE À LA CORROSION Acides faibles
RÉSISTANCE À LA CORROSION Acides forts
NETTOYABILITÉ
Acier inox 18/8 AISI 304, épaisseur 1 mm
Brillante Excellente Bonne Insuffi sante Très diffi cile
Satinée Excellente Bonne Insuffi sante Très diffi cile
Gaufrée Excellente Bonne Insuffi sante Très diffi cile
Résine acrylique chargée
Moyenne des résultats entre les différentes marques Mate Bonne Excellente Bonne Simple
Quartz aggloméré
Non traité Brillante Excellente Excellente Excellente Simple
Traité avec un imprégnateur traditionnel Mate Très insuffi sante Excellente Excellente Diffi cile
Traité avec un imprégnateur nanotechnologique MateAssez bonne - Bonne
Excellente Excellente Assez simple
Stratifi é
HPL, épaisseur 0,9 mm, appliqué sur un support en aggloméré
Lisse Excellente Excellente Assez simple Simple
Gaufrée Excellente Excellente Assez simple Assez simple
HPL, épaisseur 2 mm, appliqué sur un support en aggloméré
Lisse Excellente Excellente Assez simple Simple
Gaufrée Excellente Excellente Assez simple Assez simple
HPL, épaisseur 10 mm, sans supportLisse Excellente Excellente Assez simple Simple
Gaufrée Excellente Excellente Assez simple Assez simple
VerreTrempé
Brillante Excellente Excellente Excellente Simple
Satinée Bonne - Excellente Excellente Excellente Assez simple
Trempé, durci en surface avec des nanotechnologies Satinée Bonne - Excellente Excellente Excellente Assez simple
Marbre
Traité avec un imprégnateur traditionnelBrillante Insuffi sante Très insuffi sante Très insuffi sante Assez simple
Mate Insuffi sante Très insuffi sante Très insuffi sante Assez simple
Traité avec un imprégnateur nanotechnologiqueBrillante Assez simple Très insuffi sante Très insuffi sante Assez simple
Mate Assez simple Très insuffi sante Très insuffi sante Assez simple
Granit
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur traditionnel
Brillante Assez simple Excellente Bonne Simple
Mate Insuffi sante Excellente Bonne Assez simple
Flammée Insuffi sante Excellente Bonne Assez simple
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur nanotechnologique
Brillante Bonne Excellente Bonne Simple
Mate Bonne Excellente Bonne Assez simple
Flammée Bonne Excellente Bonne Assez simple
Il est bien connu que le consommateur est très sensible au problème des taches sur les plans de travail, causées par les activités quotidiennes de la cuisine. Souvent, il est induit en erreur par la mention « traité avec un imprégnateur anti-taches » utilisée par beaucoup de commerçants pour les plans de travail en marbre et granit. En réalité, le traitement anti-taches améliore la résistance aux taches, notamment si l’on utilise les imprégnateurs de nouvelle génération aux nanotechnologies, mais ceux-ci ne forment pas une barrière impénétrable contre les taches. Les matériaux se tachent parce que leur surface est microporeuse ce qui permet aux liquides de pénétrer à l’intérieur. Telle porosité varie d’un matériau à l’autre et d’une fi nition à l’autre. En ce qui concerne le marbre, le granit et le quartz aggloméré mat, nous avons remarqué de grosses différences entre les surfaces traitées avec des produits anti-taches traditionnels et celles traitées avec des produits anti-taches de nouvelle génération, fruit de la recherche sur les nanotechnologies. Nous avons reporté les deux résultats dans le tableau ci-contre. Le quartz aggloméré brillant n’a pas besoin de traitement alors qu’il est absolument nécessaire de traiter la version mate, comme indiqué dans le tableau. Nous avons effectué une centaine d’essais de laboratoire, en utilisant tous les produits d’usage courant dans une cuisine pour vérifi er :- la résistance aux taches (de sauce, de café, de vin...),- la résistance à la corrosion causée par des acides faibles (citron..),- la résistance à la corrosion causée par des acides forts (acide chlorhydrique...),- la facilité de nettoyage.
Les essais se sont déroulés de la façon suivante :1. nous avons versé sur chaque matériau quelques gouttes d’une série de produits habituellement utilisés dans la cuisine ;2. ces gouttes ont été couvertes avec un capuchon pour éviter qu’elles ne s’évaporent ;3. après 16 heures - qui est une période de temps suffi samment longue avant de nettoyer un plan de travail taché - les surfaces ont été lavées ;4. nous avons analysé le résultat.Si on laissait le produit utilisé pour l’expérimentation pendant plus de 16 heures sur la surface, le résultat pourrait être différent de celui indiqué dans le tableau.
Il est utile de savoir que les matériaux comme le marbre, qui sont à base de carbonate de calcium, sont corrodés par des produits acides comme le citron, le vinaigre ou l’acide chlorhydrique et les produits anti-calcaire. L’analyse peut avoir des exceptions non évaluées, notamment pour les produits naturels : par exemple, certains granits peuvent avoir des impuretés de carbonate de calcium et donc avoir une réaction aux acides, semblable à celle du marbre.Vu la grande quantité de granits qu’offre le marché aujourd’hui, il nous est donc assez diffi cile de fournir au consommateur une liste de granits purs. Toutefois, nous pouvons lui suggérer de faire ce simple test : avant d’acheter le plan de travail, il devra demander au marchand un échantillon du matériau choisi. Il lui suffi ra de verser sur celui-ci quelques gouttes de vinaigre, de citron et de produit anti-calcaire. En le nettoyant après une période de temps de 16 heures, il pourra vérifi er si la surface est corrodée. Cet essai peut également être réalisé pour évaluer la résistance aux taches en versant les principaux produits utilisés dans une cuisine.
Commentaire sur les résultats des essais de résistance aux taches et à la corrosion et de nettoyabilité.
D’après les essais de laboratoire, le stratifi é imprégné de résine de mélamine est non seulement le matériau le plus économique, mais il résulte également être le plus approprié à une utilisation dans une cuisine. Le stratifi é que nous avons pris en considération est le HPL, le meilleur selon les normes établies et normalisées. Vu que, dans le commerce, on trouve également des stratifi és de mauvaise qualité, nous recommandons de demander la garantie HPL. En évaluant les données reportées dans le tableau, le consommateur pourra effectuer un choix plus réfl échi.S’il pense acheter un plan de cuisine en marbre, nous jugeons opportun de l’informer qu’il devra traiter ce matériau avec soin en veillant à ne pas poser de produits acides. Il aura fait un excellent choix s’il accepte et s’il désire un plan de travail vécu, taché et corrodé parce que tous les produits naturels savent stratifi er le temps et les défauts en une sensation positive de vécu.
En dernier lieu, nous avons analysé la nettoyabilité des surfaces. Les matériaux peuvent être très résistants aux taches, mais peuvent demander un grand travail pour leur entretien. Nous avons reporté dans le tableau les résultats des essais, en les classifi ant selon quatre niveaux de nettoyabilité (très diffi cile, diffi cile, assez simple, simple). En général, il est plus facile de nettoyer une surface brillante plutôt que mate car cette dernière a tendance à retenir la saleté dans les aspérités. En revanche, les traces de doigts se voient beaucoup plus sur une surface brillante que sur une surface mate.
Résistance aux taches et à la corrosion et nettoyabilité
LE PLAN DE TRAVAILLE PLAN DE TRAVAIL
98
Commentaire sur les résultats des essais de résistance à la chaleur
Si la résistance à la chaleur est l’élément que l’on considère comme le plus important, nous déconseillons d’utiliser des matériaux contenant des résines qui se ramollissent en cas d’exposition à de hautes températures. Si ces matériaux sont choisis pour d’autres caractéristiques positives, il sera alors nécessaire d’avoir soin d’utiliser des dessous-de-plat avant de poser des objets particulièrement chauds sur le plan de travail.L’évaluation du quartz aggloméré n’a pas été indiquée dans ce tableau parce que nous avons remarqué de grandes différences entre les matériaux appartenant à différentes marques : certains résistent à « - de 140°C », d’autres à « + di 210°C ». Indiquer une valeur moyenne aurait signifi é pénaliser les produits plus résistants.Si le consommateur considère cette donnée comme très importante, il pourra facilement tester le matériau en demandant au vendeur un échantillon du matériau qu’il désire acheter et y poser pendant au moins vingt minutes une cafetière qu’il aura laissée sur le feu 3 minutes après que le café est sorti.De cette façon, la cafetière pourra atteindre 190°C qui est une température suffi samment haute pour tester la résistance à la chaleur de la surface.
MATÉRIAU TYPE FINITION RÉSISTANCE À LA CHALEUR
Acier inox 18/8 AISI 304, épaisseur 1 mm, sur support
Brillante + de 210°C
Satinée + de 210°C
Gaufrée + de 210°C
Résine acrylique chargée Moyenne des résultats entre les différentes marques Mate - de 140°C
Quartz aggloméré
Non traité Brillante Variable
Traité avec un imprégnateur traditionnel Mate Variable
Traité avec un imprégnateur nanotechnologique Mate Variable
Stratifi é
HPL, épaisseur 0,9 mm, appliqué sur un support en aggloméré Lisse - de 180°C + de 140°C
Gaufrée - de 210°C + de 180°C
HPL, épaisseur 2 mm, appliqué sur un support en aggloméréLisse - de 180°C + de 140°C
Gaufrée - de 210°C + de 180°C
HPL, épaisseur 10 mm, sans supportLisse - de 180°C + de 140°C
Gaufrée - de 210°C + de 180°C
VerreTrempé
Brillante + de 210°C
Satinée + de 210°C
Trempé, durci en surface avec des nanotechnologies Satinée + de 210°C
Marbre
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur traditionnelBrillante + de 210°C
Mate + de 210°C
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur nanotechnologiqueBrillante + de 210°C
Mate + de 210°C
Granit
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur traditionnel
Brillante + de 210°C
Mate + de 210°C
Flammée + de 210°C
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur nanotechnologique
Brillante + de 210°C
Mate + de 210°C
Flammée + de 210°C
CéramiqueÉpaisseur 3 mm, appliqué sur un support en aggloméré Semi-mate + de 210°C
Épaisseur 3 mm, appliqué sur un support spécial en aluminium Semi-mate + de 210°C
Il est très important, dans une cuisine, d’évaluer la résistance à la chaleur du plan de travail. Au cours de nos nombreuses années d’expérience, nous avons souvent vu des plans de travail abîmés par une cafetière à peine retirée du feu ou par des casseroles réverbérant la chaleur sur le plan de travail parce qu’elles étaient trop larges et qu’elles débordaient de la table de cuisson. Et ce sont notamment les tables de cuisson avec des grilles plus basses que le plan de travail, qui peuvent faire atteindre à ce dernier des températures très élevées. Voilà pourquoi Valcucine les déconseille.
L’essai de résistance à la chaleur a été réalisé en posant sur les divers matériaux à analyser un objet cylindrique particulier chauffé aux températures suivantes : 140ºC, 180ºC, 210ºC. Le résultat a été défi ni comme point de résistance à la chaleur par rapport à ces trois températures.Nous avons fi xé une température limite de 210°C parce que nous pensons qu’il s’agit de la température maximale pouvant être atteinte par un objet d’usage courant dans une cuisine. Vu que l’essai s’arrête à 210°C, la température maximale au-delà des 210°C à laquelle le matériau peut s’abîmer n’est donc pas indiquée.Exemple : une cafetière à peine retirée du feu atteint 180°C / 190°C.
Exemple de lecture des résultats reportés dans le tableau ci-contre: 1 si un matériau n’est pas abîmé à 140°C, mais qu’il est abîmé à 180°C, le résultat sera « + de 140°C, - de 180°C »2 si un matériau est déjà abîmé à 140°C, le résultat sera « - de 140°C »3 si un matériau n’est pas abîmé à 210°C, le résultat sera « + de 210°C »
Résistance à la chaleur
LE PLAN DE TRAVAILLE PLAN DE TRAVAIL
1110
Commentaire sur les résultats des essais de résistance aux chocs
Les essais ont été mis au point par le laboratoire Valcucine en reconstruisant les conditions réelles de chocs possibles sur le plan de travail, exactement comme cela se passe en utilisant quotidiennement une cuisine.Toutes les analyses ont été effectuées sur des matériaux de qualité supérieure : pour le stratifi é par exemple, nous n’avons pris en considération que le HPL, obtenu à haute pression, actuellement le meilleur dans le commerce. Pour le verre, nous n’avons pris en considération que le verre trempé qui a une résistance 4 fois supérieures au verre non trempé. Pour la céramique, nous avons utilisé deux types de support et nous les avons représentés tous les deux car, avec un support qui ne convient pas, le plan peut même se casser.Malgré l’utilisation de produits d’excellente qualité, il n’existe pas en nature un matériau résistant à tous les essais effectués, qui sont certainement forcés par rapport à ce qui passe normalement dans une cuisine, mais qui, dans certains cas, peuvent se vérifi er. Pour ces raisons, nous recommandons à l’utilisateur de veiller le plus possible à ne pas laisser tomber d’objets lourds ou pointus sur son plan de travail.
MATÉRIAU TYPE FINITION DOMMAGE SUITE
À LA CHUTE D’UNE
CASSEROLE
DOMMAGE SUITE À LA
CHUTE D’UN POT DE
NUTELLA
DOMMAGE SUITE
À LA CHUTE D’UN
COUTEAU
DOMMAGE SUITE
À LA CHUTE D’UNE
BOULE DE FER
Acier inox18/8 AISI 304, épaisseur 1 mm, sur support
Brillante Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde
Satinée Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde
Gaufrée Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde Bosselure profonde
Résine acrylique chargée
Moyenne des résultats entre les différentes marques
Semi-mateLégère bossulure
Légère bossulure
Érafl ure évidente
Rupture du plan
Quartz aggloméré
Non traité BrillanteLégère bossulure
Bosselure évidente
Érafl ure évidente
Légère bossulure
Traité avec un imprégnateur traditionnel MateLégère bossulure
Aucune variation
Légère érafl ure
Aucune déformation
Traité avec un imprégnateur nanotechnologique
MateLégère bossulure
Aucune variation
Légère érafl ure
Aucune déformation
Stratifi é
HPL, épaisseur 0,9 mm, appliqué sur un support en aggloméré
LisseBosselure profonde
Bosselure évidente
Érafl ure profonde
Légère bossulure
GaufréeLégère bossulure
Aucune déformation
Érafl ure évidente
Aucune déformation
HPL, épaisseur 2 mm, appliqué sur un support en aggloméré
Lisse Légère bossulure
Légère bossulure
Érafl ure profonde
Aucune déformation
GaufréeAucune déformation
Aucune déformation
Érafl ure évidente
Aucune déformation
HPL, épaisseur 10 mm, sans support
LisseLégère bossulure
Aucune déformation
Érafl ure évidente
Aucune déformation
GaufréeAucune déformation
Aucune déformation
Légère érafl ure
Aucune déformation
Verre
Trempé
Brillante Légère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Aucune déformation
Satinée Légère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Légère érafl ure
Trempé, durci en surface avec des nanotechnologies
Satinée Légère érafl ure
Aucune déformation
Érafl ure évidente
Aucune déformation
Marbre
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur traditionnel
Brillante Légère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Bosselure évidente
MateLégère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Bosselure évidente
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur nanotechnologique
BrillanteLégère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Bosselure évidente
MateLégère érafl ure
Légère érafl ure
Érafl ure évidente
Bosselure évidente
Granit
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur traditionnel
Brillante Légère bossulure
Légère bossulure
Légère érafl ure
Aucune déformation
MateLégère bossulure
Légère bossulure
Légère érafl ure
Aucune déformation
FlamméeLégère bossulure
Légère bossulure
Légère érafl ure
Aucune déformation
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur nanotechnologique
BrillanteLégère bossulure
Légère bossulure
Légère érafl ure
Aucune déformation
MateLégère bossulure
Légère bossulure
Légère érafl ure
Aucune déformation
FlamméeLégère bossulure
Légère bossulure
Légère bossulure
Aucune déformation
Céramique
Épaisseur 3 mm, appliqué sur un support en aggloméré
Semi-mate Rupture du plan Rupture du planAucune déformation
Rupture du plan
Épaisseur 3 mm, appliqué sur un support spécial en aluminium
Semi-mateLégère bossulure
Aucune déformation
Aucune déformation
Aucune déformation
Les causes les plus fréquentes de bosselures et d’érafl ures sur le plan de travail sont représentées par la chute d’objets depuis l’élément haut ou d’ustensiles avec la pointe tournée en direction du plan.Pour tester la résistance aux chocs des différents matériaux, le laboratoire Valcucine a effectué quatre essais en laissant tomber sur les surfaces quatre divers objets :- une casserole de 2200 g avec arête, d’une hauteur de 60 cm ;- un pot de Nutella de 395 g avec le fond incliné pour former une arête, d’une hauteur de 60 cm ;- un couteau de 145 gr avec la pointe tournée vers le plan de travail, d’une hauteur de 30 cm ( distance entre la pointe et le plan ) ;- une boule de fer de 500 g, d’une hauteur de 100 cm.Le tableau ci-contre indique les résultats de tels essais classifi és avec les termes suivants :- Bosselure : surface déformée sans enlèvement de matière - Érafl ure : surface déformée avec enlèvement de matière. Nous avons attribué à ces deux défauts cinq niveaux de gravité :1. aucune déformation ;2. légère bosselure (défaut quasiment invisible) et légère érafl ure (défaut quasiment invisible) ;3. bossulure évidente (défaut visible) et érafl ure évidente (défaut visible) ;4. bossulure profonde (défaut grandement visible) et érafl ure profonde (défaut grandement visible) ;5. rupture du plan de travail (défaut qui implique le remplacement du plan de travail).
Résistance aux chocs
LE PLAN DE TRAVAILLE PLAN DE TRAVAIL
1312
Commentaire sur les résultats de l’essai d’hygiène de la surface
Comme on peut le voir dans le tableau ci-contre, les matériaux utilisés pour le plan de travail peuvent avoir des surfaces plus ou moins hygiéniques.Souvent, même la fi nition de la surface infl ue sur cet essai : en général, plus la surface est rugueuse et mate, plus elle a tendance à retenir les particules de saleté, même après le nettoyage, en favorisant la prolifération des bactéries.Parmi les nouveautés que le marché commence à proposer pour améliorer le niveau d’hygiène de la surface, on trouve celle qui englobe, dans les matériaux qui le permettent, des particules d’argent qui exercent une action antibactérienne. Valcucine a testé ce type de surfaces, mais n’ayant pas encore suffi samment de données mises à jour à disposition, elle n’est pas en mesure de les proposer dans le tableau ci-contre.
MATÉRIAU TYPE FINITION HYGIÈNE DE LA SURFACE
Acier inox 18/8 AISI 304, épaisseur 1 mm, sur support
Brillante Excellente
Satinée Excellente
Gaufrée Bonne - Excellente
Résine acrylique chargée Moyenne des résultats entre les différentes marques Semi-mate Excellente
Quartz aggloméré
Non traité Brillante Bonne - Excellente
Traité avec un imprégnateur traditionnel Mate Bonne
Traité avec un imprégnateur nanotechnologique Mate Bonne
Stratifi é
HPL, épaisseur 0,9 mm, appliqué sur un support en aggloméré Lisse Excellente
Gaufrée Bonne - Excellente
HPL, épaisseur 2 mm, appliqué sur un support en aggloméréLisse Excellente
Gaufrée Bonne - Excellente
HPL, épaisseur 10 mm, sans supportLisse Excellente
Gaufrée Bonne - Excellente
VerreTrempé
Brillante Excellente
Satinée Excellente
Trempé, durci en surface avec des nanotechnologies Satinée Excellente
Marbre
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur traditionnelBrillante Assez bonne
Mate Insuffi sante
Blanc Carrare, traité avec un imprégnateur nanotechnologiqueBrillante Bonne
Mate Assez bonne
Granit
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur traditionnel
Brillante Assez bonne
Mate Insuffi sante
Flammée Insuffi sante
Moyenne parmi les divers granits traités avec un imprégnateur nanotechnologique
Brillante Bonne
Mate Assez bonne - Bonne
Flammée Assez bonne - Bonne
CéramiqueÉpaisseur 3 mm, appliqué sur un support en aggloméré Semi-mate Excellente
Épaisseur 3 mm, appliqué sur un support spécial en aluminium Semi-mate Excellente
Nous avons effectué, dans notre laboratoire, l’essai pour tester le niveau d’hygiène des matériaux en salissant la surface avec un mélange représentatif de la saleté dans une cuisine, formé de lait et de jaunes d’œufs.Le mélange a été laissé sur la surface pendant 16 heures, puis lavé avec un chiffon imbibé d’une solution détergente neutre. Enfi n, nous avons fait une évaluation pour établir s’il y avait une différence signifi cative de prolifération bactérienne entre la partie salie puis nettoyée et la partie qui n’a pas été salie. Les résultats des essais ont été reportés dans le tableau ci-contre et classifi és comme hygiène de la surface avec les appréciations suivantes : Insuffi sante, Assez bonne, Bonne, Excellente.
Nous avons réalisé cet essai parce que nous sommes conscients que de nombreuses personnes sont attentives à ce problème et qu’elles veulent obtenir pour leur cuisine une hygiène quasiment absolue.Nous conseillons toutefois de choisir librement le plan de travail, indépendamment du problème de l’hygiène de la surface.Nous voulons rappeler que, dans le temps passé, les bouchers utilisaient un billot en bois pour couper la viande crue et cela ne causait pas nécessairement le développement de maladies suite à une mauvaise hygiène. Il s’est probablement créé un équilibre entre « hygiène insuffi sante » et « plus d’anticorps ».Toutefois, si l’on désire pouvoir choisir librement le plan de travail et, en même temps, éviter ce problème, il sera possible, en cas de matériaux poreux comme le marbre, d’utiliser une planche à découper en polyéthylène sur laquelle on effectuera toutes les opérations pouvant faire proliférer les bactéries comme, par exemple, préparer un gâteau en mélangeant le lait et les œufs ou couper de la viande crue.
Hygiène de la surface
LE PLAN DE TRAVAILLE PLAN DE TRAVAIL
1514
Presque toutes les cuisines actuellement dans le commerce (plus de 99%) proposent le caisson en mélaminé. Le mélaminé est un panneau en aggloméré revêtu sur les deux faces avec un papier imprégné de résines mélaminiques qui donnent à la surface une bonne résistance aux rayures et aux taches.Les mélaminés ne sont pas tous pareils. Outre la qualité de l’aggloméré et l’épaisseur du papier - variables diffi ciles à trouver - il y a deux éléments très importants qui doivent être pris en considération au moment de l’achat. Le premier est l’émission de formaldéhyde.Le formaldéhyde est un gaz cancérigène émis par les colles qui composent l’aggloméré. Comment peut-on reconnaître un produit à très basse émission de formaldéhyde ? Heureusement qu’il existe des normes indiquant la limitation maximale relative à une dénomination déterminée. Comme on peut le lire dans le tableau ci-dessous, le produit ayant la plus basse émission de formaldéhyde est le F****, défi ni par la norme japonaise. En Europe, il existe une méthode différente pour le mesurage, que nous avons dû redéfi nir afi n de pouvoir la comparer à la méthode japonaise. Les normes européennes ont normalisé un unique produit, le E1, qui correspond presque exactement au F****. Il existe également des dénominations commerciales, comme le E0 et le E2, qui, n’étant pas normalisées, ne peuvent pas donner de garantie sur les limites d’émission de formaldéhyde et que nous avons reportées dans les tableaux comme limites présumées. La donnée indique les milligrammes de formaldéhyde par litre.
Pour ceux qui ne désirent pas avoir de caissons en aggloméré, Valcucine propose le caisson en multiplis de bouleau revêtu sur deux faces avec du stratifi é de 9 dixièmes et non pas avec du papier imprégné. Il a une très haute résistance à l’eau et une émission de formaldéhyde qui respecte le F****. Un produit prestigieux pour une cuisine de très haute qualité.
Pour ceux qui ne veulent ni le caisson en aggloméré ni le caisson en multiplis et qui veulent avoir des émissions de formaldéhyde pratiquement nulles et aucune autre émission d’une quelconque substance chimique, Valcucine propose le tout nouveau et révolutionnaire caisson en verre et en aluminium assemblé mécaniquement sans utilisation de colle.Le nouveau caisson en verre et en aluminium représente le point d’arrivée pour Valcucine qui, depuis 30 ans déjà, a entrepris le chemin de la recherche de l’écocompatibilité pour ses produits, bien avant que l’écologie devienne une mode. Une mode parce que, à l’improviste, beaucoup de produits se disent aujourd’hui écologiques pour des raisons purement marketing.Malheureusement, il n’existe aucune norme ou loi qui établisse quand un produit commercial peut se défi nir écologique et c’est pour cette raison que ce terme a proliféré. Toutefois, nous pensons qu’aucun produit industriel n’a un impact zéro sur l’environnement et qu’aucun produit ne peut donc être considéré comme écologique. Cependant, avec beaucoup de travail, de recherche et de créativité, il est possible de réduire tel impact.
Il existe une unique usine écologique « zéro impact » au monde que Valcucine, lors de ses 30 ans d’activité, a pris comme exemple pour améliorer ses propres comportements. Cette usine s’appelle Arbre : elle produit en utilisant à 100% l’énergie solaire, elle utilise, comme matière première, l’anhydride carbonique, l’humus et l’eau et elle élimine, comme rebut de production, l’oxygène qui nous sert pour vivre, la vapeur d’eau pure qui deviendra pluie et les feuilles qui deviendront humus. Tout cela avec un équilibre parfait.L’homme se comporte comme un arbre qui produit plus de feuilles que celles pouvant être transformées par les bactéries et par les lombrics en humus et reste ainsi suffoqué par ses propres déchets. À ce point, nous nous demandons : où iront toutes ces cuisines déclarées comme écologiques à la fi n de leur vie ? Rappelons que l’Italie fabrique environ 600-700 mille cuisines par an.
Grâce à sa volonté d’imiter le cycle fermé de l’arbre, Valcucine a décidé de donner à ses cuisines vendues avec le caisson Invitrum, une garantie à vie sur le retrait gratuit du produit obsolète, en se rendant responsable de son recyclage et de sa réutilisation. Tout cela a été possible parce que cet objetif a été pris en considération au niveau du projet. Une attention maximale a été accordée à la simplicité de désassemblage, en éliminant totalement les colles, et à la possibilité de réutiliser les matériaux sans passer par la phase de recyclage, mais tout simplement à travers un procédé de renouvellement des matériaux qui permet de les réutiliser, en fournissant également un avantage économique.C’est cet avantage qui nous permet de donner cette garantie à vie avec un coût égal à zéro pour la société. Les coûts de retrait du produit sont compensés par les profi ts pour la réutilisation des éléments. Tout cela est une démonstration de ce que la créativité peut faire pour l’environnement.
LE CAISSONLE CAISSON
Le caisson en mélaminé
Le caisson en multiplis stratifi é sur 2 faces
Le caisson en verre et en aluminium
DÉNOMINATION COMMERCIALE NON NORMALISÉE
DÉNOMINATION NORMES EUROPÉENNES DÉNOMINATION NORMES JAPONAISES TAUX DE FORMALDÉHYDE (mg / l)
E0Limite non normalisée
F**** ≤ 0,3
E1 F*** > 0,3 et ≤ 0,5
E2Limite non normalisée
F** > 0,5 et ≤ 1,5
F* > 1,5 et ≤ 5,0
MATÉRIAU RÉSULTAT ESSAI RÉEL SUR PRODUIT DANS LE COMMERCE
RÉSULTAT SUR ÉCHANTILLONFABRIQUÉ AVEC MARQUE VALCUCINE
LIMITE PRÉVUE PAR LES NORMES EN VIGUEUR
ÉVALUATION
Aggloméré mélaminé P2 15,2% Non utilisé Non prévue Insuffi sant
Aggloméré mélaminé P3 7,6% 14% Bon
Multiplis Valcucine 1,5% Non prévue Excellent
L’essai consiste à immerger le produit pendant 24 heures dans de l’eau à 20°C. La donnée du tableau indique le pourcentage de gonfl ement.
Le deuxième élément à prendre en considération est la résistance à l’eau de l’aggloméré et sa tendance à gonfl er. Les panneaux mélaminés ne gonfl ent pas tous de la même façon. Pour ce problème, il existe des dénominations codifi ées qui peuvent nous aider dans notre choix. Le meilleur aggloméré surfacé mélaminé est le P3. Le multiplis Valcucine a un gonfl ement quasiment nul. Voir tableau ci-dessous.
VAPEUR
L’ARBRE: L’USINE PARFAITE
> supérieure,≤ inférieure et/ou égale
1716
Dans ce chapitre, nous nous occuperons du quatrième élément qui compose une cuisine : l’électroménager, en concentrant notre attention sur le lave-vaisselle.Dans le secteur du meuble, rien n’a été fait pour classifi er la qualité du produit de manière objective. Ils peuvent tous dire qu’ils sont écologiques, qu’ils utilisent des matériaux de qualité, qu’ils ont des garanties de longue durée que les clauses d’exclusion rendent très souvent inopérantes.En revanche, le secteur de l’électroménager a introduit des paramètres objectifs qui permettent au consommateur de comparer la qualité des différents produits.Chaque électroménager est accompagné d’une étiquette énergétique contenant les paramètres indiqués ci-dessous : ce sont les seuls qui permettent d’effectuer une comparaison réelle entre les différentes marques parce qu’ils ont été enregistrés avec des modalités univoques.Bien qu’elle soit très utile au consommateur, il nous semble important de signaler que l’étiquette énergétique a deux graves défauts. Nous faisons donc ici appel aux associations des consommateurs afi n qu’ils fassent pression pour les résoudre.
Défaut 1 : bien qu’il faille la considérer comme un instrument très utile au consommateur pour une première compréhension des caractéristiques fondamentales d’un électroménager, notamment en ce qui concerne la consommation et le niveau sonore, cette étiquette se révèle, en réalité, être un instrument de simplifi cation excessive et d’homologation des caractéristiques, en pénalisant les meilleurs électroménagers. La “classe A” pour un lave-vaisselle ou un lave-linge se réfère à un seul programme. Et tous les autres ?Défaut 2 : l’étiquette énergétique qui est insérée à l’intérieur de l’électroménager n’est pas complète : il manque la partie où sont expliquées les valeurs fournies.L’obligation de présenter l’étiquette complète dans les show-rooms ne résoud pas le problème parce que, en premier lieu, seuls quelques produits sont exposés par rapport à la gamme dans le commerce et, en second lieu, parce que les produits restent longtemps dans les show-rooms en devenant obsolètes et ne correspondant plus à la gamme actuelle.
Dans la page ci-contre, nous reportons un exemple d’étiquette qui accompagne chaque lave-vaisselle (seule, elle est incompréhensible) et un exemple d’étiquette complète. Pour résoudre ce problème et avoir une vue complète des étiquettes, nous vous conseillons de visiter le site : www.enea.it, où vous pourrez trouver de très bonnes explications sur les étiquettes de tous les électroménagers.
Analysons l’étiquette énergétique avec attention :
L’étiquette est divisée par secteurs :
La partie haute de l’étiquette identifi e le lave-vaisselle en fournissant la marque du fabricant et le nom du modèle.
Il indique les classes d’effi cacité énergétique et met en évidence la classe à laquelle appartient le lave-vaisselle en objet.Il est utile de rappeler que la classe énergétique se réfère à un cycle de lavage appelé « eco » et toutes les machines ne sont pas aussi économiques dans les autres cycles.
Il indique la consommation d’énergie exprimée en kWh par cycle de lavage. La consommation d’énergie indiquée dans l’étiquette est une mesure de laboratoire effectuée pour un cycle de lavage « eco » selon une procédure standardisée, valable pour toute l’Union Européenne, qui prévoit l’utilisation d’eau froide. En réalité, la consommation effective dépend de la façon selon laquelle l’appareil est utilisé.
Il indique la classe d’effi cacité du lavage avec des lettres allant de A (effi cacité maximale = plus propre) à G (effi cacité minimale = moins propre). Les essais pour évaluer l’effi cacité de lavage sont ici aussi effectués en laboratoire avec le même cycle et la même procédure standardisée.
Il indique la classe d’effi cacité de séchage avec des lettres allant de A (effi cacité maximale) à G (effi cacité minimale). Comme dans les cas précédents, les mesures sont effectuées en laboratoire, selon la procédure standardisée habituelle.
Il indique le nombre maximum de couverts que le lave-vaisselle peut laver et la consommation d’eau pour le cycle de lavage, selon la procédure standardisée habituelle.
Il indique le niveau sonore moyen de l’appareil durant le cycle de lavage.
LES ÉLECTROMÉNAGERS
1.05
A BCDEFG F GA BCD E F G
LES ÉLECTROMÉNAGERS
Partie de l’étiquette énergétique non présente sur le lave-vaisselle
Partie de l’étiquette énergétique présente sur le lave-vaisselle. Seule, elle n’est pas compréhensible.
L’étiquette énergétique
Étiquette énergétique complète
SECTEUR 1: marque du fabricant et nom du modèle
SECTEUR 2 : classes d’effi cacité énergétique. La fl èche noire reporte la lettre distinctive de la classe énergétique de l’électroménager.
SECTEUR 3 : consommation énergétique exprimée en kWh pour chaque cycle de lavage.
SECTEUR 4 : classe d’effi cacité de lavage avec des lettres allant de A (plus propre) à G (moins propre)
SECTEUR 5 : classe d’effi cacité de séchage avec des lettres allant de A (effi cacité maximale) à G (effi cacité minimale)
SECTEUR 6 : nombre de couverts que le lave-vaisselle peut laver et consommation d’eau exprimée en litres par cycle de lavage
SECTEUR 7 : niveau sonore de l’appareil durant toutes les phases de lavage, exprimé en décibel
SECTEUR 1 SECTEUR 2
SECTEUR 3
SECTEUR 4
SECTEUR 5
SECTEUR 6
SECTEUR 7
Real Life, une philosophie pour le consommateur.Nous voulons ici approfondir l’analyse d’un électroménager, à savoir un lave-vaiselle qui est le produit le moins connu des consommateurs, comme exemple d’évaluation en suivant, en succession, les différents points de l’étiquette énergétique.Nous avons choisi de prendre en considération le nouveau lave-vaisselle du Groupe Electrolux avec cuve XXL Real Life parce qu’il a été étudié selon une philosophie adaptée à résoudre les problèmes de la vie réelle plutôt que de répondre uniquement à des normes qui, étant souvent vieilles et ascétiques, ne s’occupent pas des problèmes quotidiens des personnes et de leurs solutions. S’occuper des problèmes et des faits concrets de la vie réelle des personnes est également notre mode d’opérer. Nous voulons expliquer correctement ce concept avec un exemple : pour l’essai sur la résistance aux chocs du plan de travail reporté dans cet opuscule, le procédé normalisé prévoit de faire tomber une sphère d’acier à différentes hauteurs. Cependant, dans la vie réelle, personne n’a de sphères dans ses meubles hauts, mais des casseroles, des pots de confi tures ou de Nutella qui peuvent tomber sur le plan et l’abîmer. Les résultats confortant obtenus avec l’essai de la sphère n’ont pas été confi rmés en utilisant des objets communément utilisés dans la cuisine. Quel est l’essai Real Life? C’est celui qui exprime le mieux les faits de la vie vécue, de la vie réelle justement.
1918
peuvent être rondes, carrées, rectangulaires. Le projet du lave-vaisselle Real Life du groupe Electrolux va au-delà du standard : il sait s’adapter à la vie réelle et prend en considération même les assiettes à pizza qui ont un diamètre de 34 cm. Grâce à la cuve qui est la plus haute sur le marché (4 cm de plus par rapport à un lave-vaisselle traditionnel H 82 cm) et aux nouveaux paniers fl exibles, il est également possible de charger des assiettes avec des formes inhabituelles, des verres de différentes hauteurs, des casseroles aux dimensions professionnelles que personne n’utilisait dans les années 70 quand les lave-vaisselle n’avaient été conçus que pour laver des couverts standard. Exemple : si, pour calculer l’espace d’une voiture, on prenait le nombre de personnes pouvant être transportées, en supposant un poids standard de 60 kg par personne, on pourrait conclure qu’une Fiat 500 dispose du même espace qu’une Fiat Croma puisque toutes deux peuvent transporter 5 personnes. Dans le secteur automobile, pour évaluer l’espace intérieur d’une voiture, on ne calcule pas le nombre de personnes transportables, mais
les dimensions effectives de l’espace intérieur. Ceci doit également être valable pour calculer la capacité effective du lave-vaisselle. Le groupe Electrolux a réalisé un grand investissement dans le secteur du lave-vaisselle pour la fabrication de la base standardisée de la nouvelle cuve XXL, disponible sous les marques Rex, Electrolux et Aeg. Cela se passe comme dans le secteur automobile où un châssis est utilisé par plusieurs marques comme, par exemple, Porche, Audi et Wolkswagen, en apportant des avantages à tous. La marque haut de gamme gagne parce que l’investissement est divisé sur un grand nombre de personnes plutôt que sur le faible pourcentage de personnes qui choisissent le produit élite, alors que le bas de gamme gagne en qualité puisque le châssis doit être assez solide pour supporter les puissants moteurs du haut de gamme. De la même façon, Rex, Electrolux et Aeg peuvent exploiter la nouvelle et spacieuse cuve XXL en payant une somme minime pour l’amortissement du moule qui sera divisé entre toutes les personnes qui auront choisi les trois marques. Tout cela n’empêche pas qu’il y ait des différences entre les divers modèles, comme dans les voitures, puisque la structure de base peut être équipée avec des éléments différents pour arriver, avec la marque Aeg, à un moteur spécial et au premier rang au monde quant au niveau sonore. Il est important que le consommateur comprenne ce concept car c’est lui qui, à la fi n, paye les coûts de la recherche, les moules et les équipements nécessaires à la réalisation du produit.Le besoin d’avoir un lave-vaiselle avec plus de place en hauteur est un besoin perçu depuis longtemps et partiellement résolu avec la fabrication de machines plus hautes qui sont devenues des produits de niche pour leur plus grand encombrement et pour les faibles quantités vendues qui déterminent un coût plus haut pour l’amortissement de l’investissement. La machine la plus spacieuse sur le marché, avec des dimensions extérieures standard et fabriquée en grande série, a fi nalement été réalisée, au profi t
du consommateur.En continuant à analyser l’étiquette qui accompagne chaque électroménager, nous trouvons comme dernière donnée le niveau sonore exprimé en décibel.Nous pensons que cette donnée est très importante pour un lave-vaisselle parce qu’il se trouve dans une cuisine, parce que la cuisine et le séjour forment de plus en plus un espace unique et parce que le lave-vaisselle sera toujours plus utilisé durant les heures nocturnes afi n de réduire les consommations d’énergie. Pour choisir la meilleure machine quant au niveau sonore, nous pouvons contrôler les décibels déclarés dansl’étiquette. Malheureusement, il n’est pas obligatoire de déclarer cette donnée et certaines marques ne remplissent pas cette case. En outre, l’essai standardisé pour mesurer le bruit n’indique que le niveau sonore moyen du cycle standard.Outre le niveau sonore moyen, l’étiquette devrait indiquer la valeur maximale du bruit atteint car c’est la chose la plus fastidieuse à supporter dans la vie réelle. Le groupe Electrolux a effectué des études et des recherches pour réduire les valeurs maximales de bruit tant en basse qu’en haute fréquence.
Notre collaboration avec cette société dure déjà depuis de nombreuses années et la philosophie commune visant à l’attention et au respect de l’environnement en est une autre confi rmation. En tant que Valcucine, nous sommes les premiers fabricants de cuisine italiens à avoir obtenu la certifi cation environnementale ISO 14000 et le groupe Electrolux est le seul à avoir obtenu cette certifi cation dans presque tous ses établissements. Le nouveau projet du lave-vaisselle XXL nous plaît beaucoup car il est également le fruit d’un gros investissement réalisé en Italie, en renonçant à une délocalisation dans des pays où la main-d’œuvre coûte moins cher et où elle a moins de protection. Cela fait également partie de la philosophie Valcucine qui fabrique entièrement en Italie, en assurant du travail à ses jeunes.
La première donnée à évaluer pour bien choisir un lave-vaisselle est la basse consommation énergétique. Valcucine recommande de choisir une machine en Classe Énergétique A qui assure une grande effi cacité avec un faible impact sur l’environnement. Les nouveaux lave-vaisselle XXL d’Electrolux réservent une attention particulière aux économies énergétiques. La technologie brevetée Energy Smart réduit automatiquement les consommations en fonction de la quantité de vaisselle et de leur niveau de saleté. L’option Économie d’Énergie assure une économie énergétique jusqu’à 25% et avec l’exclusive fonction Auto Off, le lave-vaisselle s’éteint complètement après un bref temps de veille.
Pour réduire encore plus les c o n s o m m a t i o n s et rendre le lave-vaisselle encore plus durable, on pourra
choisir parmi les modèles qui permettent le raccordement à l’eau chaude (si possible chauffée avec des panneaux solaires). Les lave-vaisselle vendus dans le commerce ne peuvent pas tous être racordés à l’eau chaude de manière correcte, car ils ne sont pas tous dotés d’un système électronique permettant de gérer l’eau déjà chauffée.Tous les lave-vaisselle XXL Rex, Electrolux et Aeg sont dotés d’un système, géré électroniquement, pour le raccordement et pour l’utilisation de l’eau
chaude du réseau, en réduisant les consommations jusqu’à 35% par rapport à un modèle alimenté uniquement à l’eau froide.
Les données les plus importantes à prendre en considération sont l’effi cacité de lavage et l’effi cacité de séchage. En effet, une machine qui consomme peu, mais qui lave mal, n’est sûrement pas un bon choix. Grâce au circuit hydraulique entièrement reconçu et à la puissance sans égale et à l’ampleur du jet du nouveau bras à double rotation, les lave-vaisselle Electrolux assurent des résultats de lavage excellents. Chaque angle de la cuve est atteint par de puissants jets d’eau, même lorsque le lave-vaisselle est totalement chargé, en lavant également les plats les plus sales de la vie réelle et non pas uniquement la saleté standard des essais de laboratoire.La donnée du séchage est également très importante. Souvent le contenu du lave-vaisselle sort, une fois lavé, encore mouillé avec des gouttes d’eau qui font perdre la brillance, notamment aux verres. Cela se produit généralement parce que le but est d’atteindre le meilleur niveau énergétique vu que le séchage est le cycle qui consomme le plus d’énergie. Une machine qui consomme peu, mais qui sèche mal, n’est sûrement pas le meilleur choix, même s’il suffi t parfois d’ouvrir légèrement la porte du lave-vaisselle à la fi n du cycle en améliorant de cette façon tant les consommations que le séchage.
Un produit de qualité se distingue donc par les trois lettres A : A pour l’effi cacité énergétique, A pour le lavage, A pour le séchage.
En continuant notre analyse des données de l’étiquette énergétique, nous trouvons la consommation d’eau. Le lave-vaisselle réduit la consommation d’eau de 80% en moyenne, par rapport au lavage à la main et donc, contrairement à ce que l’on croit, il est plus écocompatible. Il faut tenir compte que tous les lave-vaisselle ne consomment pas la même quantité d’eau et c’est pour cette raison que l’étiquette qui indique la consommation d’eau dans le programme eco, nous vient en aide. Il est important que l’on ne réduise pas les rinçages pour réduire la consommation d’eau, comme cela se produit sur certaines machines qui laissent des résidus de lessive ou d’aliments sur la vaisselle : on pourra le savoir en lisant l’étiquette qui, dans ce cas, n’indiquera pas un lavage de qualité classé A.
Une autre donnée présente sur l’étiquette énergétique est le nombre de couverts. Sur cette donnée, nous jugeons que la norme est obsolète puisque le couvert standard a été défi ni dans les années 70 et que le mode de cuisiner et de manger a totalement changé depuis lors. Prenons, par exemple, la forme des assiettes. Auparavant, il n’existait que des assiettes rondes. Aujourd’hui, elles
Fabrication des cuisines Valcucine
Fabrication du nouveau lave-vaisselle Electrolux XXL
LES ÉLECTROMÉNAGERS LES ÉLECTROMÉNAGERS
Considérations utiles pour choisir le lave-vaisselle
2120
avec un cœur technologique”
Artematica Noyer Tattile
Vernissage à l’eau
Aucune émission de solvants aromatiques cancérigènes
Aspect de la matière et chaleur des surfaces
Très haute résistance aux taches
Micro-rainurage
Système d’éléments bas Invitrum
100% recyclable
100% verre et aluminium
Aucune utilisation de colle
Aucune émission de formaldéhyde
Résistance absolue à l’eau
Facile à décomposer et à réutiliser
Design Gabriele Centazzo
“Cuisine en bois
Maintenant vous pouvez faire un choix plus réfl échi !
Valcucine S.p.A. Via L. Savio, 11 - 33170 Pordenone IT - Tel. +39 0434 517911 Fax +39 0434 572344 www.valcucine.it [email protected]
Les modifi cations éventuelles sur les matériaux et sur les normes qui auront lieu après la date d’impression de ce Guide ne pourront pas être prises en considération.
Cré
atio
n : G
abri
ele
Cen
tazz
o -
Pro
jet g
raph
ique
: La
ra S
antin
- I
llust
ratio
ns :
Dei
sa C
enta
zzo
Impr
essi
on :
Imoc
o G
roup
Spa
Aoû
t 201
0 Commentez le contenu de ce Guide sur le portail www.arredamento.it