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150 FCFA

MERCREDI9 septembre 2009

NUMERO 7787

l Sciences ettechnologie

La presse enligne face aupari du modèlepayant

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l Célébration, hier, de la 42eme édition de laJournée internationale de l'Alphabétisation

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LLes pluies diluviennes enregistrées ces dernières semaines ontoccasionné d'importants dégâts matériels avec, par endroits,des pertes en vies humaines et animales. Sur le plan desdégâts matériels, des maisons d'habitation, des magasins etboutiques, des routes, des ponts, des écoles et bien d'autres

édifices ont été emportés par les torrents. S'ajoutent aussi des jardins et deschamps, des puits qui, submergés par les eaux, sont devenus inutilisables.En vérité, presque toutes les régions de notre pays ont connu leur sinistre àdes degrés divers, suite aux précipitations torrentielles accompagnées parfoisde violents vents de sable qui s'y sont abattus : de la région de Zinder où latoute première pluie de l'année a atteint une hauteur de plus de 120 mm enpassant par la Communauté urbaine de Niamey dont certains quartiers sontisolés par les eaux ; la région d'Agadez avec sa légendaire capitale de l'Aïrqui a été sérieusement endommagée ; Dosso ou des villages et des champsont été envahis par des torrents d'eau, ou aussi la Cité de l'Ader, Tahoua, oùles eaux ont occasionné des dégâts ; ainsi que bien d'autres agglomérations,dans d'autres localités du Niger profond, ont été surprises par les eaux…Puisse maintenant que Dieu, le Tout Puissant, le Miséricordieux, faire ensorte que s'estompent les intempéries endeuillantes et que cet hivernage soitle plus fécond possible. La situation est particulièrement critique dans la villed'Agadez et les villages environnants où des quartiers entiers ont tout

simplement disparu… C'est dire que les besoins sont immenses et par consé-quent, la mobilisation se doit d'être générale. L'ensemble des filles et des filsde ce pays, de l'intérieur comme de l'extérieur, se doivent d’apporter leurcontribution afin de venir en aide à leurs concitoyens durement éprouvés parles aléas climatiques. C'est une tâche qui ne peut être laissée au seul Etat,au seul gouvernement ; où aux seules ONG et Associations. L'action de lachaîne de solidarité est nécessaire pour voler au secours des familles frappées par les dégâts aussi bien au niveau des villes que des villages. Lesautorités compétentes, appuyées en cela par des partenaires au développe-ment ont déjà donné le ton. Ainsi, des cellules de réflexions, de mobilisationet d'encadrement sont entrain d'être mises sur pied et un appel à laCommunauté internationale et aux organismes spécialisés dans les secoursd'urgence, a été lancé. On a l'habitude de dire que c'est dans les momentsdifficiles qu'on reconnaît ses vrais amis…Et c'est pour cette raison que nousestimons que tous nos partenaires, sans exclusifs, doivent nous accompa-gner dans cette épreuve des inondations. Il est vrai que les appuis sollicitésne compenseront pas tout ce que les victimes de ces intempéries dévastatri-ces ont perdu, mais elles y trouveront ce réconfort moral de ne pas se sentirseules, abandonnées face à l'épreuve des catastrophes naturelles. Car enpareille situation, les victimes ont toujours besoin d'un coup de main quisauve. Aujourd'hui, plus qu'hier, les catastrophes naturelles restent imprévisi-bles malgré le progrès de la technologie et c'est pourquoi même dans lespays nantis, on rencontre des cataclysmes comme les tsunamis, des trem-blements de terres, des incendies inexplicables de forêts, des importantesinondations, des ouragans dévastateurs etc. Partout où elles se produisent,la chaîne de solidarité doit prévaloir et c'est cela la force de l'homme sur terrequi doit agir sur la durée pour ses proches afin de les aider à combattre lapauvreté et le sous développement.

l Cérémonie officielle de réception provisoire destravaux de réhabilitation de l'ENAM

Plaidoyer pour une mobilisationdes ressources en faveur de l’alphabétisation

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Les locaux de l'établissemententièrement rénovés

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Solidarité agissante

Par Issaka Saïdou

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2 SOCIETE

Mercredi 9 septembre 2009

Louanges à Allah Seigneur de l'Univers,l'Eternel Indépendant qui n'a besoin de rienalors que tout a besoin de Lui et rien ne peut sepasser de Lui ne serait-ce qu'un instant, Il arecommandé à Ses serviteurs croyants de sesouvenir de Lui et de Lui être reconnaissantsdans tous leurs états et situations:"Et quand Mes serviteurs t'interrogent surMoi… Je suis tout proche (d'eux par Ma sci-ence, connaissant parfaitement leurs états etleurs problèmes): Je réponds à l'appel decelui qui M'invoque quand il M'invoque(directement, sans l'intermédiaire d'un inter-cesseur). Qu'ils répondent donc à Monappel, et qu'ils croient en Moi, afin qu'ilssoient bien guidés". Sourate 2, verset 186Prière et salut d'Allah sur notre Prophète etGuide Mouhammad çallallahou a'layhi wa sal-lam, sur sa sainte famille et ses fidèlesCompagnons. Il rapporte çallallahou alaihi wasallam de son Seigneur le récit sacré suivant:Comment être proche de Dieu?(2) "Je Me tiens vis-à-vis de Mon serviteurconformément à l'opinion qu'il se fait de Moiet Je suis avec lui quand il Me mentionne (sesouvient de Moi). S'il Me mentionne en lui-même, Je le mentionne en Moi-Même.S'il Me mentionne dans une assemblée, Je lementionne dans une assemblée meilleureque la sienne. S'il s'approche de Moi d'unempan, Je M'approche de lui d'une coudée.S'il s'approche de Moi d'une coudée, JeM'approche de lui d'une brasse. S'il vient àMoi en marchant, Je vais à lui en courant".(Çahîhoul-Boukhâry, Hadîs n° 7405). Ce versetcoranique et ce Hadîs sacré, nous enseignentdeux des principes ou concepts fondamentauxde l'Islam: Le premier résume en fait toute la vieet la religion de l'Homme, il s'agit du principe deréciprocité de comportement entre le serviteur etle Créateur d'une part et entre l'oeuvre et sonrésultat (sa récompense) d'autre part. Autrementdit, Dieu se comporte envers le serviteur commece dernier se comporte envers Lui et la récom-pense de toute oeuvre est à la fois identique etproportionnelle à cette oeuvre. Le second, quantà lui constitue la station la plus sublime et la plusrecherchée par toutes les créatures sansaucune exception, il s'agit de la proximité oucompagnie divine. Quelle est en effet la créaturequi ne veut pas être proche de Dieu? Quel estl'être humain de façon générale, qui ne veut pasêtre proche de Dieu? Quel est le musulman defaçon particulière qui ne veut pas être proche deDieu? Il n'y a pas de doute que pour accéder àune telle station, il faut connaître et mettre enapplication un certain nombre de critères ouconditions ou encore des moyens. L'objet princi-pal de cet article est de vous présenterquelques-uns des principaux moyens qui per-mettent d'accéder à cette proximité divine pen-dant ce mois béni de Ramadan considérécomme le mois par excellence pour être mieuxconnecté et plus proche d'AllahSoubhanahahou wa taala. C'est le mois et l'oc-casion au cours desquels le musulman doitretrouver sa spiritualité, sa dimension transcen-dantale et sa proximité auprès de son Seigneur.Retenez que le seul fait d'entendre, de connaîtreou de lire ces moyens, n'apportera aucunchangement dans votre vie spirituelle ni dansvotre position par rapport à Dieu. Ce qui fera lechangement c'est la connaissance et la mise enapplication de ces moyens qui sont variés afinque chacun puisse trouver le ou les moyens qu'ilpeut mettre tout de suite en application pourainsi commencer à faire partie de l'élite desRapprochés de Dieu. Sachez qu'aucun change-ment de quelque ordre ou nature qu'il soit nepeut s'opérer dans le vide. Il faut nécessaire-ment des bases, des objectifs, des règles et loiset surtout de la volonté, de la détermination etde la persévérance.Ces règles qui permettent un changement nesont pas connues de tous et malheureusementceux qui les ignorent ne profitent pas des occa-sions -telles des publications pareilles- pour lesnoter afin de pouvoir les mettre en application.La plume est l'instrument principal d'enseigne-ment et d'apprentissage et c'est pourquoi Allahsoubhanahou wa taala a juré par elle et ce que

tracent (écrivent) les hommes avec cette plumecar comment réviser une leçon si on ne l'a pasécrite et comment mettre en application uneleçon qu'on n'a pas sous les mains et commentle changement peut advenir si on reste toujoursle même? Contrairement à ce que l'Islam veutque nous soyons (la Communauté de lecturepar excellence), nous sommes devenus la com-munauté qui lit le moins au monde et le résultatnous pataugeons dans l'ignorance sur tous lesplans et à tous les niveaux.Espérant que nous avons pris ou allons prendredésormais conscience de ce fait, nous allonsvous donner de façon résumée les moyens deproximité divine qu'Allah soubhanahou wa taalanous a permis de réunir pour la circonstancetout en Le priant de nous réunir tous dans SonVaste Paradis et la béatitude éternelle!Les moyens qui permettent d'être proche deDieuIl faut signaler ici qu'il y a deux catégories deproximité ou compagnie divine: La proximité oucompagnie générale en ce sens que Dieu estproche de toutes Ses créatures sans exceptionet cette proximité implique la connaissance deleurs états, de leurs situations, de leurs actions,de leurs comportements, de leurs paroles voirede leurs pensées et imaginations de sorte querien d'eux ne Lui échappe. Il a en effet dit entreautres: "C'est Lui qui a créé les cieux et laterre en six jours puis Il S'est établi (Istawâ)sur le Trône [selon une manière qui convientà Sa Majesté]; Il sait ce qui pénètre dans laterre et ce qui en sort, et ce qui descend duciel et ce qui y monte, et Il est avec vous oùque vous soyez. Et Allah observe parfaite-ment ce que vous faites ". Sourate 57, verset4 "Ne vois-tu pas qu'Allah sait ce qui estdans les cieux et sur la terre? Pas de Nadjwâ(conversation secrète) entre trois sans qu'Ilne soit leur quatrième, ni entre cinq sansqu'Il n'y ne soit leur sixième, ni moins ni plusque cela sans qu'Il ne soit avec eux, là où ilsse trouvent [par Sa science tandis qu'Il estEtabli (Istawâ) sur le Trône selon unemanière qui convient à Sa Majesté, audessus de sept cieux]. Ensuite, Il lesinformera, le Jour de la Résurrection, de cequ'ils faisaient, car Allah est Omniscient".Sourate 58, verset 7. "Nous avons effective-ment créé l'homme et Nous savons ce queson âme lui suggère et Nous sommes plusprès de lui [par Notre Science] que sa veinejugulaire". Sourate 50, verset 16 La proximitéou compagnie spéciale divine réservée à unecatégorie des serviteurs à cause de leur bonnefoi, de leurs bonnes actions, de leurs bons com-portements et paroles. Cette proximité impliquel'amour et l'amitié de Dieu à leur égard, Sonassistance et protection pour eux, l'exaucementde leurs invocations, la prise en charge de leursaffaires… C'est de cette proximité dont il estquestion ici et dont toute adoration islamiquelégale constitue un moyen de l'obtenir tels que lejeûne, le Hadj, la retraite spirituelle, le respectdes parents… Cependant les moyens suivantsont un accent particulier dans le rapprochementdu serviteur de son Seigneur:

1- La foi"Allah est vraiment avec les croyants".Sourate 8, verset 19.2- L'accomplissement des obligationsreligieuses3- L'accomplissement des adorations faculta-tivesCes deux moyens sont confirmés dans le récitsacré suivant:"Mon serviteur ne se rapproche pas de Moipar quelque chose de plus agréable (à Mesyeux) que l'accomplissement de ce que Jelui ai prescrit, et il ne cesse de se rapprocherde Moi par des oeuvres surérogatoires aupoint que Je l'aime. Et lorsque Je l'aime, jedeviens son ouïe par laquelle il entend, sonregard par lequel il voit, sa main par laquelleil saisit, et son pied avec lequel il marche; s'ilMe demande, assurément Je l'exaucerai; s'ilcherche auprès de Moi asile, assurément Jelui donnerai". Rapporté par Alboukhary.4- La dévotion ou servitude sincère"Et quand Mes serviteurs t'interrogent surMoi… Je suis tout proche (d'eux par Ma sci-ence, connaissant parfaitement leurs états etleurs problèmes): Je réponds à l'appel decelui qui M'invoque quand il M'invoque(directement, sans l'intermédiaire d'un inter-cesseur). Qu'ils répondent donc à Monappel, et qu'ils croient en Moi, afin qu'ilssoient bien guidés". Sourate 2, verset 186.5- Le fait d'être pionnier dans l'accomplissementde bonnes oeuvres"Les premiers (à suivre les ordres d'Allah surla terre) ce sont eux qui seront les premiers(dans l'au-delà). Ce sont ceux-là les plus rap-prochés d'Allah". Sourate 56, versets 10 et 11.6- La piété ou crainte d'Allah7- La bienfaisanceCes deux derniers moyens sont confirmés dansle verset coranique suivant: "Certes, Allah estavec ceux qui Le craignent et ceux qui sontMouhsinoûn (bienfaisants)". Sourate 16, ver-set 128.8- La patience"O vous qui croyez! Cherchez secours dansl'endurance et la Çalât (la prière). Car Allahest avec les Çâbiroûn (les endurants)".Sourate 2, verset 1539- La prière"Le Prophète çallallahou alaihi wa sallam a dit:"Le serviteur est plus rapproché de son

Seigneur dans la prosternation, multiplies-y

alors l'invocation". Rapporté par Mouslim. Il aaussi dit: "Certes, quand l'homme commence sa

çalat, Allah se tourne vers lui par Son Visage, Il

ne le quittera que lorsque celui-ci se retourne ou

commet un acte de souillure". Rapporté parIbnou Mâdjah.10- La lecture du Saint Coran"Tu ne te trouveras dans aucune situation, tune réciteras aucun passage du Qour'ân,vous n'accomplirez aucun acte sans queNous soyons témoin au moment où vousl'entreprendrez. Il n'échappe à ton Seigneur,sur terre ou dans le ciel, [aucune chose] dupoids d'un atome, ni d'un poids plus petit ouplus grand, qui ne soit déjà inscrit dans un

livre évident". Sourate 10, verset 61.Il est dit par ailleurs dans un Hadîs que celui quirécite le Saint Coran converse avec Allah.11- Le Zikr"Je Me tiens vis-à-vis de Mon serviteur con-formément à l'opinion qu'il se fait de Moi etJe suis avec lui quand il Me mentionne (sesouvient de Moi). S'il Me mentionne en lui-même, Je le mentionne en Moi-Même. S'il Mementionne dans une assemblée, Je le men-tionne dans une assemblée meilleure que lasienne. S'il s'approche de Moi d'un empan,Je M'approche de lui d'une coudée. S'il s'ap-proche de Moi d'une coudée, Je M'approchede lui d'une brasse. S'il vient à Moi enmarchant, Je vais à lui en courant".(Çahîhoul-Boukhâry, Hadîs no 7405).12- L'amour en Dieu"Certes, Allah a des serviteurs qui ne sont ni

prophètes ni martyrs et qui seront enviés par les

prophètes et les martyrs à cause de leur prox-

imité et de leur place auprès d'Allah le Jour de la

Résurrection. Un bédouin se trouva dans un

coin de l'assistance, se jeta sur ses genoux et

étendit ses mains en disant: "Décris-les pour

nous ô Messager d'Allah ". Le narrateur ajouta :

"J'ai alors vu la joie (se dessiner) sur le visage

du Prophète çallallahou alaihi wa sallam ". Il

répondit : "Ce sont des serviteurs parmi les

serviteurs d'Allah venant des pays différents,

des tribus différentes, aucun lien de parenté ne

les lie ni un lien matériel, ils s'aiment seulement

en Dieu. Dieu remplira leurs visages de lumière,

leur accordera des divans en perle au devant

des gens. Ils ne seront pas effrayés. Les gens

auront peur alors qu'ils n'éprouveront aucune

crainte".

Rapporté par Ahmad et Alhâkim.13- Le fait d'être proche des couches faibles dela sociétéAllah soubhanahou wa taala a dit dans un Hadîssacré authentique rapporté par Mouslim: "Allah

le Très Haut dira le jour de la Résurrection: ô fils

d'Adam, Je suis tombé malade mais tu ne m'as

rendu visite. Le serviteur répondra: O Seigneur

comment Te rendre visite alors que Tu es le

Seigneur de l'Univers? Allah lui dira: N'as-tu pas

su que mon serviteur un tel a été malade mais

tu ne lui a pas rendu visite. Ne sais-tu pas que si

tu l'avais visité tu allais Me trouver auprès de

Lui? O fils d'Adam Je t'ai demandé de Me nour-

rir et tu ne M'as pas nourri. Le serviteur répon-

dra: O Seigneur comment Te nourrir alors que

Tu es le Seigneur de l'Univers? Allah lui dira:

N'as-tu pas su que mon serviteur un tel t'a

demandé de le nourrir mais tu ne l'as pas nour-

ri. Ne sais-tu pas que si tu l'avais nourri tu allais

trouver cela (la récompense) auprès de Moi? O

fils d'Adam Je t'ai demandé de M'abreuver et tu

ne M'as abreuvé. Le serviteur répondra: O

Seigneur comment T'abreuver alors que Tu es

le Seigneur de l'Univers? Allah lui dira: N'as-tu

pas su que mon serviteur un tel t'a demandé de

l'abreuver mais tu ne l'as pas abreuvé. Ne sais-

tu pas que si tu l'avais abreuvé tu allais trouver

cela (la récompense) auprès de Moi?". Voilàquelques-uns des principaux moyens qui per-mettent d'être proche de Dieu! Qu'Allah nousaide à les mettre en application dès aujourd'huiet pour toujours et à les enseigner aux autres!

Cheikh Boureima Abdou Daouda

l Ramadan

"Comment être proche de Dieu?"

Mercredi 9 septembre 2009

3NATION

Placée sous le haut patronage duministre de la Justice, Garde desSceaux, cette cérémonie s'est

déroulée dans les locaux de laditeécole, en présence du président de laCommission Nationale des Droits del'Homme et des LibertésFondamentales, M. Mamoudou DjiboPhd., du directeur général de l'ENAM,de la représentante de la commissioneuropéenne, du représentant de la cel-lule Union européenne et de plusieursinvités.Dans l'allocution qu'il a prononcée àcette occasion, le Coordonnateur du

PAJED, M. Rabo Maïnassara, aindiqué que cette cérémonie traduitl'excellence des rapports de franchecoopération entre notre pays et laCommission Européenne, et concrète-ment la parfaite collaboration qui existeau quotidien entre la Délégation de laCommission Européenne et les services du Programme d'Appui à laJustice et à l'Etat de Droit. L'UnionEuropéenne a toujours pris part aufinancement des activités dedéveloppement entrepris par le Nigerdans le cadre de l'amélioration desconditions de vie de ses populations a

ajouté M. Rabo Maïnassara. La deux-ième signification de cet événement estliée au fait que, pour la première foisdans l'histoire de la justice nigérienne,un programme d'appui à la justice a vule jour et contribue aujourd'hui grande-ment à l'amélioration du cadre juridiqueet judiciaire a précisé le coordonnateurdu PAJED. " Comment ne pas tirer decette action salutaire un motif de satis-faction personnelle lorsqu'on sait quedepuis sa création, l'ENA devenueaujourd'hui ENAM a été et est encorele principal pourvoyeur des cadres dehaut niveau de l'administration nigéri-enne, parmi lesquels les magistrats etgreffiers qui se consacrent au servicede la justice”, s'est réjoui M. RaboMaïnassara. Ce dernier a souligné quele PAJED a non seulement permis laréhabilitation des locaux de l'ENAMgrâce au financement de travaux d'unevaleur de 150.000 euros, premier acted'un programme complet de réhabilita-

tion et de construction qui intéresse denombreux autres bâtiments, et notam-ment l'ensemble de nos tribunaux degrande instancemais aussi la dota-tion de l'ENAM enmatériels informa-tiques haut degamme. Cesefforts conjuguéscontribueront àmaintenir l'ENAMdans le pelotondes écoles d'excel-lence au Niger et àaccélérer la néces-saire modernisa-tion de notre jus-tice a indiqué M.Rabo Maïnassara. Prenant à son tourla parole, ledirecteur général de l'ENAM, M.Niandou Daouda, a remercié au nom

du Premier ministre, tous les partici-pants à cette cérémonie avant de noterque les travaux de réhabilitation del'ENAM interviennent à un moment oùl'école a pris comme objectif de cultiverl'excellence. Améliorer le cadre de tra-vail contribue en effet à atteindre cet

objectif. C'est le lieu de saluer l'Unioneuropéenne pour le financement destravaux de réhabilitation de cette écoleet tous les acteurs qui ont contribué àla réalisation de ces travaux a indiquéM. Niandou Daouda. Le président de laCommission Nationale des Droits del'Homme et des LibertésFondamentales, Mamoudou Djibo Phd.initiateur de ce projet de réhabilitationde l'ENAM, a d'abord remercié tous lesacteurs qui ont contribué à la réalisa-tion de cet important projet et ensuitelancé un appel à l'endroit du Premierministre en tant que premier responsable de l'ENAM et principalinterlocuteur avec les partenaires afinqu'il use de son possible pour quecertains projets de restructuration del'ENAM qui sont mis aux oubliettespuissent aboutir et que, cette école soitcapable de répondre aux exigences dutemps. Les participants à cette céré-monie ont eu droit à une visite des lieuxsous la conduite de l'ingénieur civile duPAJED, M. Illiassou Souley pourconstater les travaux réalisés.

Habibou Ousmane

l Cérémonie officielle de réception provisoire des travaux de réhabilitation de l'E.N.A.M

Les locaux de l'établissement entièrement rénovésLe coordonnateur du Programme d'Appui à la Justice et à l'Etat de Droit(PAJED), M. Rabo Maïnassara, a présidé hier, la cérémonie de réception provi-soire des travaux de réhabilitation de l'ENAM. Ces travaux dont le coût s'élèveà 86.939.281 FCFA ont consisté à une reprise des couvertures et plafondsdégradés dans tous les locaux, la reprise de la peinture intérieure et extérieu-re, la révision du circuit électrique et de plomberie de l'ensemble des locaux,l'extension de la salle informatique équipée en matériel d'une valeur de22.985.000 FCFA et le curage des caniveaux d'évacuation.

Une vue des participants à la cérémonie, hier

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Dans son message, le ministre del'Education nationale, a rappeléque, depuis 1965, date à laquelle

s'était tenue à Téhéran en Iran, la con-férence des ministres de l'Education,l'engagement a été pris de commé-morer chaque année le 8 septembre, laJournée internationale de l'alphabétisa-tion. Cette commémoration, a ajouté M.Ousmane Samba Mamadou, a pourobjectif d'informer et de sensibiliser, lesdécideurs et les communautés ruraleset urbaines, sur les avantages del'acquisition de compétences de viecourante, à travers l'appropriation desconnaissances instrumentales de baseque sont la lecture, l'écriture et le calcul.Elle constitue aussi, a souligné le min-

istre, l'occasion de rappeler au mondeque l'analphabétisme est un fléau quimine le développement socio-économique et l'épanouissement de nospopulations. De ce fait, a-t-il poursuivi, ilconstitue un frein non seulement pourtoutes les reformes nécessaires, maisaussi pour la transformation des men-talités sans lesquelles une réelle partici-pation des citoyens à la constructionnationale ne peut s'opérer qualitative-ment et quantitativement. Selon le ministre en charge de l'Education,l'UNESCO et tous les pays saisissentcette opportunité annuelle pour dresserle bilan de leurs activités, recenser lesopportunités qu'offre l'alphabétisationdes jeunes et adultes. Cette journée est

aussi un moment deplaidoyer pour unemobilisation desressources en faveurde l'alphabétisationauprès de tous lesacteurs que sont, lesdécideurs politiques,les collectivités, lespartenaires techniqueset financiers, ainsi queles partenaires d'exé-cution, principalementles ONG et les associ-ations actives enalphabétisation. S'il estvrai, a ajouté M. Ousmane SambaMamadou, que depuis plus d'un demisiècle, tant la communauté interna-tionale, à travers l'UNESCO et lesautres partenaires, que le gouverne-ment nigérien, ont déployé des moyensconsidérables pour réduire voire éradi-quer l'analphabétisme, il n'en demeurepas moins qu'avec la démographie

galopante, ces efforts doivent se pour-suivre et s'intensifier si le Niger veut êtreau rendez- vous de 2015. " Notre payscompte plus de 4 000 000 d'anal-phabètes, soit 86% des personnes deplus de 15 ans. Trois quarts de cesanalphabètes, soit 3 000 000, sont desfemmes. Cette situation préoccupante,à plus d'un titre, doit nous inciter à

accorder un intérêt particulier à l'alphabétisation et à veiller résolumentpour qu'elle soit une priorité dans lesprogrammes nationaux” a indiqué leministre de l'Education nationale. C'estdans cet esprit, qu'avec le soutienconstant de SEM. Mamadou Tandja,Président de la République, Chef del'Etat, Chef du gouvernement, le budgetdu Ministère de l'Education Nationalealloué au développement de l'alphabéti-sation a connu une augmentation signi-ficative en passant de 400 millions en2007 à un milliard en 2009 a-t-il ajouté.Par ailleurs, le ministère, de concertavec les partenaires techniques et financiers, la société civile, et les collec-tivités, mettront bientôt en place le fondsd'appui à l'alphabétisation. Cettejournée mettra l'accent sur le rôle del'alphabétisation comme moyen d'autonomisation et son importancepour la participation, la citoyenneté et ledéveloppement social. Le ministre aenfin invité tous les intervenants àmobiliser leurs talents et leurs énergiespour faire de la célébration de cettejournée, au Niger, une réussite de tousles jours.

l Oumarou Moussa

A l'instar de la communauté internationale, le Niger a célébré hier,la 42ème Journée internationale de l'alphabétisation. A la veille de lacélébration de cette Journée, commémorée sous le thème : “le pouvoir de l'alphabétisation ", le ministre de l'Education natio-nale, M. Ousmane Samba Mamadou, a prononcé un message.

l Message du ministre de l'Education nationale à l'occasion de la célébration de la 42eme édition de la Journée internationale de l'Alphabétisation

Intensification des efforts pour vaincre l'analphabétisme

Le ministre Ousmane Samba Mamadou

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La joie des pop-ulations étaitperceptible à

travers l'engoue-ment qui s'est crééà la porte de la fon-dation. A 8 heuresdéjà, les intéressésétaient sur place.En effet, laFondation avaitprocédé en amont àune identificationdes ménages. Lesménages ainsi iden-tifiés ont reçu un tick-et qui leur donnedroit aux produits distribués. L'opérationest essentiellement destinée auxfemmes et aux enfants des familles delépreux, de handicapés locomoteurs etdes non voyants. A 9 heures, l'opérationa commencé. Chaque ménage a reçu

deux paquets de sucre, un complet et unjouet par enfant. Il faut dire que laFondation Magama a pris en comptejusqu'à 4 à 5 enfants notamment les plusjeunes par famille. Pour Mme DikissiRapkatou, Secrétaire générale de laFondation Magama, cette opération

répond à un des objectifs essentiels deleur ONG, qui est l'assistance et l'aidemultiforme aux profits des plus vul-nérables en l'occurrence les femmes etles enfants. Et Mme Dikissi Rapkatoud'ajouter que l'implantation du siège deMagama à Kouara Tégui s'inscrit dans lebut d'être plus proche de ceux qui sontdans le besoin. ''Le village de KouaraTégui dont la population est essentielle-ment composée de lépreux, de handi-capés locomoteurs, de non voyants etbien d'autres familles vulnérables,répond à nos critères d'intervention'' aprécisé la Secrétaire générale de laFondation Magama. Quant à M. DaoudaAmadou, chef du village de KouaraTégui, il a exprimé sa gratitude et celledes populations, à la FondationMagama. ''Nous sommes très heureuxde cette opération, nous remercions lafondation Magama et la Première DameHadjia Laraba Tandja d'avoir pensé auxpopulations de Kouara Tégui en cemoment difficile de carême et que Dieules bénisse'' a-t-il indiqué. Le chef du vil-lage a ajouté que cette opération n'estpas la première, c'est une habitude à lafondation. Cette opération a amenébeaucoup de joie dans les ménagesconcernés quand on sait l'attachementdes enfants, notamment les plus jeunes,

aux traditionnels habits de fête d'unepart et d'autre part le faible revenu deces ménages, qui ne leur permet passouvent de répondre à cette exigencedes enfants. Mme Amina Maïnassara,non voyante, mère de trois enfants, necache pas sa joie après avoir reçu leshabits de fête de ses trois filles.''Maintenant, je suis tranquille, les fillesne vont pas mettre la pression la veillede la fête'' a-t-elle indiqué toute souri-ante. En dehors de ces opérationsponctuelles, l'ONG Magama a créé dansl'enceinte de son siège un centre d'ap-prentissage et de formation pour lesjeunes déscolarisés (filles et garçons)ainsi qu'un centre de santé, tous fonc-tionnels actuellement aux profits de cespopulations démunis. Depuis son lance-ment en 2005, l'ONG Magama œuvredans le domaine de la santé, de l'éduca-tion, de la protection sociale et assis-tances multiformes sur toute l'étenduedu territoire national.

l Siradji Sanda

Malgré l'engagement pris par les syndicats et certaines associations à la

veille du Ramadan, pour réduire ou stabiliser les prix de certains pro-

duits, la réalité est tout autre dans les différents marchés de la capitale

et même dans nos régions. C'est dire que, les structures ayant pris cet engage-

ment doivent fournir l'effort de contrôler pour s'assurer que, les instructions

données sont suivies ou pas. Mieux de part et d'autre on doit faire l'effort de

respecter la parole donnée. Il y va de la crédibilité de tous.AM

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l Distribution de sucre, de vêtements et de jouets à la Fondation Magama

Apporter de la joie dans les ménages vulnérables de Kouara TéguiFidèle à ses habitudes, la Fondation Magama pour l'aide à l'enfant et à lafemme en souffrance de la Première Dame Hadjia Laraba Tandja a procédé,hier matin, à son siège sis au quartier Kouara Tégui de Niamey, à une distri-bution de sucre, de vêtements et jouets au profit des enfants issus des ména-ges vulnérables dudit quartier. L'opération a été supervisée par la Secrétairegénérale de ladite fondation et en présence du chef de village de Kouara Tégui.Ce sont au total 178 ménages qui ont bénéficié de cette opération.

La Fondation Magama toujours proche des couches vulnérables

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Mercredi 9 septembre 2009

Selon M. Baaré Tourba, boucherexerçant depuis 31 ans au Petitmarché de Niamey, toute cette polé-

mique et sans fondement, parce qu'il affirmequ'ils sont obligés de vendre la viande audessus du prix fixé par l'accord. La clientèlese fait rare depuis longtemps, ajoute-t-il et sielle se présente, elle exige d'acheter la vian-de avec os à 1750F et celle sans os à 2000F,bien en deçà des prix fixés. M. Baaré Tourbaévoque par ailleurs, le manque de chambrefroide pour la conservation. Pour lui, le pro-blème de la cherté de la viande au Niger estdû aux différentes conventions internationa-les et sous régionales, de libéralisation des asigné dans le cadre dela globalisation et del'intégration régionale.''En effet, le marché dubétail répond à la loi del'offre et de la deman-de. Ainsi tous les mar-chés de bétail du Nigersont envahis par lesacheteurs du Nigeria,qui eux, sont prêts àmettre le prix qu'il faut.Et, c'est ce qui expliquela cherté des prix dubétail a affirmé M.Baaré.Il y a aussi selon lui, lasuccession de plu-sieurs événements, tel-les que les sécheres-ses, la conjonctureéconomique qui aamené notre pays à la dévaluation. M. Baarése souvenait que le kilo de viande se vendaità 80F dans les années 70. En 1984, le prixdu kilo de viande avec os est de 650F et800F pour la viande sans os. C'était, ajoute-t-il, la période faste de la profession et le ser-vice de contrôle des prix était très actif. " Toutcelui qui transgressait la loi, est contraint depayer 4000F de taxe. Il y a eu aussi le temps

où c'était la SONARA qui fournissait la vian-de aux bouchers détaillants”, a rappelé M.Barré, un brin nostalgique. Pour lui, c'est la profession même qui setrouve menacée avec des bouchers trèsendettés et qui tournent à perte. Par exem-ple, explique t-il, un boucher peut se dépla-cer jusqu'à Téra pour acheter un bœuf,ensuite s'acquitter des taxes de 35f/kg del'abattoir qui, selon lui n'est frigorifique quede nom, et au final se retrouver avec uneperte de 30.000F à 40.000F. ''La professionde boucher est une profession très complexecar la qualité de la viande dépend de plu-sieurs critères qui vont de la qualité du bétail

à la conservation de la viande dans leschambres froides. Si un seul maillon de lachaîne est défaillant c'est toute la professionqui est compromise'', affirme-t-il. M. BaaréTourba lance un appel aux autorités de la 6ème

République pour accélérer la modernisationde la filière viande afin d'assainir et de sau-ver la profession de boucher d'une mortannoncée.

RUÉE VERS LE POISSONDu côté des vendeurs de poissons, la situa-tion est tout autre. En effet, depuis que lemarché de la viande connait des fluctua-tions, la clientèle s'est rabattue sur le pois-son. Le marché du poisson se porte bien ence mois béni, et il respecte les prix fixés parl'accord entre le Ministère de la compétitivitéet les opérateurs économiques. Au 16ème jourdu Ramadan par exemple, les prix sontrestés stables conformément aux accords.Le kilo de poisson se vend de 2000F à2500F selon la variété du poisson. Selon M. Mamane Yawalé dit Dan Daré,délégué des vendeurs de poissons du Petitmarché de Niamey depuis plus de 27ans, leproblème de prix ne s'est jamais posé parrapport à la vente du poisson pendant cemois de Ramadan qui a coïncidé avec lasaison des pluies très poissonneuse. En effet

a ajouté M. Dan Daré, le marché réceptionnede 500 kilos à une tonne de poissons parjour. Le poisson vient du Mali, d'Ayérou deKollo, Say, Falmèye et Goumba. Le marchédu poisson ne connaît pas la crise a affirméle délégué, parce que le poisson se vend trèsbien. Les vendeurs du Petit marché peuventselon lui vendre de 500 kilos à une tonne depoisson par jour et le reste est conservé dansles congélateurs installés à cet effet. Cependant, M. Dan Daré, a déploré lemanque de chambre froide au Petit marchépour la conservation du poisson pendant lapériode où il y en a beaucoup. Il reconnaîtque la commune II a fait de son mieux en cequi concerne la propreté du marché mais, ilsattendent mieux avec la construction deschambres froides et des étales appropriés

l Wata Nana F.

On se rappelle qu'en début de ce mois béni du Ramadan, le ministre de laCompétitivité Nationale et de la Lutte contre la Vie Chère et les opérateurs écono-miques ont signé, un accord sur l'engagement de ces derniers à réduire les prix à laconsommation des produits de première nécessité. Cet accord concerne notammentla viande et le poisson. Mais, aujourd'hui encore, la polémique fait rage à Niamey surla cherté de la viande. A tort ou à raison, les bouchers sont accusés de ne pasrespecter la décision de vendre la viande avec os, à 1900F/kg et la viande sans os à2400F/kg.

l Vente de la viande et du poisson au Petit marché

Polémique autour du prix de la viande

Face à la chereté de la viande, les clients se ruent sur les poissons

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"La Société Nigérienne d'Electricité (NIGELEC)

se propose d'effectuer des recrutements pour les

postes ci-après :

- 4 Ingénieurs électriciens ou électro-mécaniciens ;

- 1 Ingénieur mécanicien ;

Les avis de recrutement sont affichés au niveau

de l'ANPE à Niamey et à l'intérieur du pays ".

COMMUNIQUÉ

Aux termes d'un acte reçu le 04 septembre 2009par le Notaire soussigné, il a été constitué unesociété dont les caractéristiques suivent :

Dénomination: GROUPE IB IMPORT- EXPORTpar abréviation GROUPE IB

Forme : Société Anonyme avec AdministrateurGénéral.

Objet- l'import-export ; - le commerce général ; - la représentation commerciale ; - le négoce ;- la vente en gros et en demi gros des produitsde consommation ; l'achat, la vente et la distribu-tion de tous produits alimentaires; - l'achat,la vente,l'échange,la consignation, l'em-magasinage, de tous produits, les marchandises,les denrées et objets de toutes natures et detoutes provenances ; Et, plus généralement, toutes opérations et activ-ités commerciales, financières ou industriellesmobilières ou immobilières de quelque natureque ce soit pouvant se rattacher directement ou

indirectement à l'objet ci-dessus notamment parvoie de création de Sociétés nouvelles, d'ap-ports, de souscription ou d'achats de titres oudroits sociaux, fusion ou association en participa-tion ou autres.

Siège social : Niamey, Quartier Banizoumbou(GM), 351, Rue du Sénégal,B.P:2188.

Durée : 99 ans à compter du 04 septembre2009,Capital : Dix Millions (10.000.000) de francsCFA, divisé en mille (1.000) actions de DIXMILLE (10 000) francs CFA chacune,numérotées de 1 à 1.000 souscrites et libéréesen numéraire.

Administration: Mr Ibrahim a SAÏDOI MAÏGADépôt légal : Une expédition contenant l'acteconstitutif et les statuts a été déposée le 04 sep-tembre 2009 au Greffe du Tribunal de GrandeInstance Hors Classe de Niamey où la société aété immatriculée au Registre du Commerce et duCrédit Mobilier de Niamey le même jour sous lenuméro RCCM-NI-NIA-2009-B-1958.

Etude de Maître BOUBACAR ISSANotaire, Quartier Grand Marché, 351, Rue du Sénégal

BP : 11124 Niamey - Niger Tel : 20 73 89 01

CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

Aux termes d'un acte reçu le 04 septem-bre 2009 par le Notaire soussigné, il a étéconstitué une société dont les caractéris-tiques suivent :

Dénomination : FABA BOTOLO

Forme : Société à Responsabilité LimitéeUnipersonnelle.

Objet :- Tous transports en tous genres :aériens, ferroviaires, routiers, maritimes,fluviaux, par véhicule de toute nature ;- Le transport de marchandises ;- Le transport de passagers;- Les études, le conseil, la représen-tation ;Et, plus généralement, toutes opérationset activités commerciales, financières ouindustrielles mobilières ou immobilièresde quelque nature que ce soit pouvant serattacher directement ou indirectement àl'objet ci-dessus notamment par voie de

création de Sociétés nouvelles, d'apportsde souscription ou d'achats de titres oudroits sociaux, fusion ou association enparticipation ou autres.

Siège social : Niamey, Quartier GRANDMARCHE, 390, GM-7, BP : 11.570.

Durée : 99 ans à compter du 04septembre 2009.Capital : Dix MILLIONS (10.000.000) defrancs CFA.Gérant: Mr MOUSSA YOUNOUSSAMAIGADépôt légal : Une expédition contenantl'acte constitutif et les statuts a étédéposée le 04 septembre 2009 au Greffedu Tribunal de Grande Instance HorsClasse de Niamey où la société a étéimmatriculée au Registre du Commerceet du Crédit Mobilier de Niamey le mêmejour sous le numéro RCCM-NI-NIA-2009-B-1956.

Etude de Maître BOUBACAR ISSANotaire, Quartier Grand Marché, 351, Rue du Sénégal

BP : 11124 Niamey - Niger Tel : 20 73 89 01

CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

5SOCIÉTE

Mercredi 9 septembre 2009

Dans la Communauté urbainede Niamey, les populationsse ruent chaque jour vers les

magasins OPVN, principaux pointsde vente ouverts dans la capitale.Contrairement à l'année passée, lespopulations ont plus de difficultés àaccéder aux produits, les points devente étant relativement réduits.Ainsi, le principal point de vente quiest le centre de l'OPVN Lazaret,,déborde chaque matin de monde.L'opération ''spécial Ramadan''consiste à vendre aux populationsdu riz, du maïs, du mil et du sucre àdes prix modérés. Ainsi pour cette2ème édition, 3000 tonnes de chacunde ces produits sont mis à la dispo-sition des ménages en raison de13.000 Fcfa, le sac de riz de 50 kg,13.000 F le sac de 100 kg de mil oude maïs et 13.000 F le carton desucre de 25 kg. C'est ainsi que 530tonnes de riz, 103 tonnes de sucre,ainsi qu'un tonnage important de milet de maïs ont été programméespour la Communauté urbaine deNiamey. Chaque jour, l'agence principale del'OPVN à Lazaret est envahie. Hier,matin quand nous étions arrivés,c'est une foule importante compo-sée d'hommes, de femmes etmême d'enfants qui attendent ledébut de la vente. Pendant cetemps, des camions sont entraind'être chargés en vue d'approvision-ner les autres centres de l'intérieurdu pays. D'autres camions déchar-gent du mil ou du riz. En effet, d'a-près M. Kimba Issa, de l'agenceOPVN Niamey, le riz destiné à cetteopération est stocké à Dosso alors

que le mil est à Maradi. ''Quandnous avons lancé les commandes,les magasins de Niamey étaientdéjà saturés. Nous nous sommesvu obligés de garder le riz au niveaude nos magasins de Dosso et le milà Maradi'' explique-t-il. Par contreajoute t-il, nous avons 5000 tonnesde maïs, et une quantité importantede sucre stockées ici à Niamey''.Ainsi, dans la Communauté urbainede Niamey, l'OPVN a ouvert quatre(4) points de vente dont, un auniveau du centre de Lazaret, unpoint de vente aux magasins de laRive droite, un autre au magasinGamkalley et un point de vente auniveau du garage OPVN Gamkalley.Seulement, au regard de l'affluencequi règne à Lazaret, il est aisé deconstater que les points de ventesont insuffisants. En effet, ce sontde longues files d'attente qui se sontformées très tôt le matin. Selon lestémoignages recueillis sur place,certains passent même la nuit là-bas alors que d'autres viennent trèstôt (vers 5 h) pour être sûr de setrouver aux premières loges. Lundijusqu'à 10 h, les dockers conti-nuaient à sortir les sacs des maga-sins. Aussitôt que l'agent de l'OPVNfut son apparition, c'est une grandebousculade. Les agents des forcesde l'ordre présents sur placeessaient de calmer les gens. C'estau moins trois files qui se sont cons-tituées dont une file pour les fem-mes et deux pour les hommes. Etl'on procède de manière alternativejusqu'au dernier sac destiné à la vente de la journée.Mais, il faut dire que les deman-

deurs sont tellement nombreuxqu'en moins d'une heure de temps,plus de deux cent sacs sont déjàvendus. En attendant la sortie d'unautre lot, certains clients attendentdans les files alors que d'autres semettent sous les arbres.Dans les communes par contre,l'ambiance est morose. En effet, del'avis de plusieurs responsablescommunaux, les communes ne sontpas officiellement associées dans laconduite de cette opération. Ainsi àla rive droite (Commune V), le prin-cipal point de vente est le magasinOPVN quartier Karadjé. A la com-mune IV, ce sont aussi les magasinsde Gamkalley et le garage OPVNdu même quartier. Mais à notre arri-vée, les lieux ne sont pas aussi ani-més que Lazaret. Aux magasinsRive droite, les quelques personnestrouvées nous ont confié qu'il n'yavait pas eu de vente depuis le lundi1er septembre dernier. Au garageGamkalley, la dernière venteremonte au vendredi dernier. Pour M. Alhousseini Soumana, 2ème

Vice-maire de la Commune V, l'approche de l'année dernière estmeilleure. En effet, explique-t-il,''l'année dernière, nous avonsouvert cinq points de vente et nousavions même vendu en détail parceque nous savons que beaucoup deménages n'ont pas la possibilitéd'acheter le sac''. Mieux encore, lemagasin OPVN rive droite est situédans un grand quartier de laCommune V à savoir Karadjé quifait 30.000 habitants. ''Sur la base

de nos estimations, indique M. Alhousseini Soumana, il faut 150tonnes pour répondre aux besoinsde ce seul quartier. Ce qui faitqu'avant que les autres quartiers etvillages soient informés, les stockssont déjà finis''. Mais d'après le 2ème

vice-maire de la Commune V,l'OPVN a amené il y a de cela plusd'une semaine, 200 sacs au niveaude la mairie même pour servir d'unsecond point de vente. Mais depuislors, il n'y a pas eu de nouvel arriva-ge. Au niveau de la Commune IV, ily a selon M. Laouali Balla, 1er adjointau maire de ladite Commune, unseul point de vente qui est le garageOPVN Gamkalley alors qu'il y enavait six (6) l'année dernière.Globalement et contrairement àl'année dernière, les populations ontbeaucoup plus de difficultés auniveau de la CUN à accéder auxproduits. Certains sont obligés dequitter très tôt leurs quartiers sou-vent très éloignés pour se rendre àLazaret. Une situation qui s'expliqueselon beaucoup par le fait que lescommunes ne sont pas pleinementassociées dans cette opération.

l Siradji Sanda

Les points de vente de l'officesont quotidiennement prisd'assaut par la population

constituée en majorité de femmes,de vieux hommes et des adoles-cents. Les vivres achetés sontacheminés à domicile à dosd'ânes, à motos, sur des charretteset souvent en taxi. Certainsacheteurs viennent des villagesenvironnants de Niamey. Al'intérieur de l'OPVN, la vente descéréales est faite séparément.D'un côté, on vend du maïs et duriz et de l'autre, on vend du mil etdu sucre. Cette opération de ventedes céréales à un prix étudié fait lajoie de beaucoup de citoyens quine cachent pas leur satisfaction.Seuls quelques uns manifestentleur mécontentement quant à lamanière dont ces vivres sont ven-dus. M Abdoulaziz Abdoulaye estun citoyen qui a acheté cinq (5)cartons de sucre en raison de 13000 F l'unité. Pour se procurer dusucre, on ne présente aucunepièce d'identité. C'est seulementpour l'achat du riz, du mil ou dumaïs qu'il faut présenter une carted'identité ou un carnet de familleaffirme-t-il. Mais c'est très difficiled'accéder aux céréales, il faut venirtrès tôt car moi je suis ici depuis laprière de l'aube. Aminatou, unefemme rencontrée sur les lieux necache pas aussi sa joie. " J'étaisvenue très tôt le matin, je me suisinscrite sur la liste de ceux qui veu-lent acheter du riz. J'ai apporténotre carnet de famille. On vend un

seul sac par personne et le prix dusac est 13 000F. Je suis venue àplusieurs reprises, mais aujour-d'hui que j’ai pu avoir mon sac deriz”, affirme Mme Aminatou.Mme Hadiza dit avoir obtenu un

sac de riz, un sac de mil et uncarton de sucre par agent, ''parceque nous avions fait une liste pourle compte de notre service. J'étaislà depuis le matin et il n'y a pasbeaucoup d'embouteillage. Nousavons transmis notre liste au mag-asin. C'est vraiment une bonne ini-tiative de la part du Président de laRépublique”. D'autres par contres'inquiètent de ne pas obtenir gainde cause avant la fin de l'opération.M. Abdoulaye insiste sur le fait quecette vente est destinée aux pau-vres. ''Pourtant nous voyons desgens plus aisés défiler ici avec leurvéhicule pour repartir avec du riz etdu sucre. Je suis venu du quartierDjiddah et je ne suis pas encoreservi'', se plaint-il. Non loin de lui,Abdoul Kadri est lui venu de Simiri.J'ai pu acheter 3 sacs de mil maisj'ai passé trois jours ici. Pour lui,l'initiative est tellement belle quel'opération ne saurait se déroulersans des scènes de bousculade.C'est parce qu'il y'a beaucoup declients. " Il faut être endurant etpatient ", affirme M. Mahamadou,un manœuvre de l'OPVN.

Abda G. Boubacar

Dans son discours de clô-ture, le Secrétaire généralAdjoint de la région a

adressé ses salutations aux par-ticipants avant de rendre un hom-mage mérité au Président de laRépublique pour sa disponibilitéconstante, ainsi qu'aux différentspartenaires pour leur aide dansl'œuvre de construction nationale." Je puis vous assurer que lesautorités de la région de Maradi neménageront aucun effort pour faireparvenir votre importante contribu-tion aux prochaines assises duConseil National de l'Education ",a-t-il ditAuparavant, plusieurs recomman-dations ont été adoptées par lesparticipants. Elles portent, entreautres, sur la création d'un fondsrégional de solidarité en faveur de

l'éducation qui sera alimenté parles bonnes volontés ; l'intégrationprogressive des enseignants con-tractuels à la Fonction Publique envue de les motiver davantage ; latenue d'un forum régional en vuede diagnostiquer la baisse duniveau qui ne fait que s'accentuerdavantage dans le département deMadarounfa ; la mise en œuvred'un plan stratégique de la scolari-sation de la petite fille ; au MEN,de doter la Région de Maradi de125 enseignants supplémentairesà la rentrée scolaire 2009-2010pour couvrir les besoins expriméspar les différentes inspections dela région ; la mise à la dispositiondes directions régionales encharge de l'éducation et des serv-ices déconcentrés les moyensnécessaires pour un bon fonction-

nement du service ; aux commu-nautés et aux collectivités la con-struction des classes en pailloteavant la rentrée ; à l'Etat, l'accélération du processus durecrutement des enseignants con-tractuels à la Fonction Publique ; àl'Etat, la transformation du CEG 2de Maradi en CES, etc. Le conseilrégional a adopté une motion deremerciement à l'endroit duPrésident de la République et dugouvernement pour les effortsfournis dans le cadre de l'éduca-tion et une autre aux partenairestechniques et financiers. Lors de lacérémonie d'ouverture destravaux, lundi dernier, leGouverneur de la région de Mardi,M. Chaïbou Ali Maazou, a indiquéque cette réunion doit permettre devalider les documents que larégion va présenter aux assises duconseil national de l'Education. Ils'agira, a-t-il dit, d'examiner lebilan de l'année scolaire écouléeainsi que le programmes d'activitéde l'année 2009-2010 et d'apporterau besoin des suggestions.

l Zeinabou GaohONEP Maradi

Pour aider davantage la population en cette période du mois bénidu Ramadan, le Président de la République, Chef de l'Etat, SEMMamadou Tandja, a instruit, depuis un certains temps, les servi-ces compétents pour vendre à des prix étudiés, les produits depremière nécessité comme le mil, le riz, le maïs et du sucre. Dansla capitale, l'opération de vente de ces produits se poursuit nor-malement à l'OPVN et dans d'autres centres identifiés de la CUN,tous les jours.

L'opération de vente des vivres à prix étudiés dite ''Opération spé-cial Ramadan'' engagée par les pouvoirs publics et exécutée parl'Office des produits vivriers du Niger (OPVN) se poursuit sur toutel'étendue du territoire nationale.

Les bénéficiaires apprécient…

l Opération de vente des vivres et de sucre à prix étudiés ou ''spécial Ramadan''

Importante affluence aux magasins OPVN Lazaret

Le point de vente de l’OPVN-Lazaret quotidiennement pris

d’assaut par les populations

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Les travaux des assises du Conseil régional de l'éducation ont prisfin, lundi dernier dans l'après midi, sous la présidence du SGAdans les locaux de la Communauté Urbaine de Maradi. C'était enprésence du président du Conseil, des Préfets, des Maires, des pré-sidents des conseils sous régionaux de l'éducation, des directeursrégionaux en charge de l'éducation, des représentants desOrganisations internationales, des représentants des syndicats,associations, projets et ONG ainsi que de plusieurs invités.

l Fin du Conseil régional de l'éducation à Maradi

Plusieurs recommandations pertinentesformulées par les participants

6 ANNONCES

Mercredi 9 septembre 2009

La République du Niger a obtenu des partenairestechniques financiers à travers le Secrétariat du Fast TrackInitiative (F.T.I), le financement du Projet d'Appui àl'Education de Base (P.A.E.B).Dans le cadre de la mise en place de son personnel, leProjet d'Appui à l'Education de Base (P.A.E.B) lance unavis d'appel à candidatures pour le recrutement d'un (1)Architecte, de sept (7) Ingénieurs en génie civil et d'un(e) Comptable.

1. ARCHITECTE

A. DESCRIPTION DES TÂCHES ET RESPONS-ABILITES

En tant que membre de la Direction des Infrastructures etde l'Equipement Scolaire (DIES), l'Architecte est placésous l'autorité directe du DIES à qui il rend compte de sesactivités. Il participe à toutes les activités relatives à la con-struction qui font partie des attributions et missions de laDIES dans le cadre de l'exécution du projet. A ce titre, iltravaille en étroite collaboration avec tous les autres serv-ices de la DIES ainsi que les services techniques duMinistère de l'Education de Nationale, des agencesd'exécution, des régions et départements impliqués dansl'exécution du projet.

Plus spécifiquement, il aura la responsabilité des tâchessuivantes :

ETUDES, SUIVI ET CONTROLE

(a) Assurer le suivi de l'exécution de l'ensemble desactivités et tâches liées à l'architecture et à la construction;

(b) Participer à l'élaboration des programmes et plansarchitecturaux et techniques ;

(c) Participer à l'élaboration du planning d'exécution desactivités de construction, de réhabilitation, d'équipement etcelui de la passation de marchés.

(d) Participer à la révision et à l'élaboration, en collabora-tion avec les autres techniciens de la DIES, des dossiersd'appel d'offres des constructions et d'équipements ainsique des demandes de propositions concernant le recrute-ment des maîtres d'œuvre ;

(e) Assurer sous l'autorité du D.I.E.S, la supervision del'exécution des activités du projet ;

(f) Mettre en place une banque de données (normes, plansstandards, coûts, etc.), suivre l'évolution des coûts desservices et de la construction ;

(g) Participer à la mise en place d'un système de gestiondu patrimoine du MEN.

B. QUALIFICATIONS REQUISES

(a) diplôme d'études supérieures en architecture (BAC+5minimum).

(b) expérience professionnelle d'au moins cinq (5) annéesdans le domaine de suivi des travaux d'infrastructurescollectives.

(c) connaissance et/ou expérience des règles et procé-dures de passation des marchés de la Banque mondialeou d'une autre institution multilatérale de développementconstituerait un atout.

(d) connaissance de l'utilisation de l'outil informatique ainsique des logiciels spécialisés de dessin et de banque dedonnées

(e) maîtrise de la langue française. Une bonne connais-sance de l'anglais comme seconde langue serait unavantage.

C. CONDITIONS D'EMPLOI

Le poste à pourvoir est contractuel. Le candidat ne pourrapas appartenir au corps de la fonction publique

Les conditions d'emploi feront l'objet d'un contrat d'un (1)an renouvelable ; la première année est probatoire avecune évaluation écrite et détaillée après six (6) mois et uneconfirmation écrite pour l'année suivante à l'issue de lapremière année (si satisfaisant) ;

(f) Lieu d'affectation : Niamey

(g) Date de prise de fonction : notification de prise deservice

D. DÉPÔT DES DOSSIERS DE CANDIDATURES Les dossiers de candidature comprenant, un curriculumvitae détaillé, les copies légalisées des diplômes, les attes-tations de travail ou de bonne fin d'exécution de contrat, uncertificat de nationalité nigérienne, un extrait d'acte denaissance, un certificat médical et un casier judiciairedatant de moins de trois mois, seront déposés à l'adressesuivante :

Madame la Secrétaire Générale du Ministère del'Education Nationale

B.P : 557 Niamey, Niger avec la mention :" Candidature au poste d'Architecte ".

La date de clôture est fixée au 15 septembre 2009 à16 H 30.

2. INGENIEURS EN GENIE CIVIL

Placé sous la responsabilité directe du Directeur Régionalde l'Education Nationale (DREN), l'Ingénieur en Génie civilest chargé de la mission suivante :

A- TACHES- Participation à l'élaboration des programmes régionauxde construction et de réhabilitation des classes primaires ;- Evaluation des travaux en vue de réhabilitation ;- Participation à l'inventaire de l'état du patrimoineimmobilier de MEN ;- Contrôle technique des travaux des constructions géréesen maîtrise d'ouvrage directe et déléguée ;- Certification des travaux en vue de l'établissement desdécomptes ;- Rapports périodiques sur l'état d'avancement des travauxet tenue à jour de toutes les données y afférentes ;- Appui technique aux COGES dans les domaines deconstructions, réhabilitation et entretien des infrastructuresscolaires

B- QUALIFICATIONS REQUISES- ne pas être fonctionnaire.- Ingénieur en génie civil (BAC+4), issu d'une école ouinstitut de formation officiellement reconnu.- Expérience professionnelle d'au moins 3 ans dans ledomaine de la surveillance, contrôle et suivi des chantiersde travaux de construction ; l'expérience en suivi deconstruction des classes, serait un atout. - Maîtrise de l'outil informatique notamment des logicielscomme Excel, Word pour Windows, etc.- Etre disposé à travailler dans une structure déconcentréeet sous la responsabilité du Directeur Régional et sur leterrain.- Etre titulaire d'un permis de conduire de catégorie B.

C- CONDITIONS D'EMPLOI- Il s'agit d'un poste de contractuel ;- durée du contrat : un (1) an renouvelable. - date de prise de fonction : notification de prise deservice. - lieu d'affectation : Direction Régionale de l'EducationNationale (D.R.E.N).

D. DÉPÔT DES DOSSIERS DE CANDIDATURESLes dossiers de candidature comprenant, un curriculumvitae détaillé, les copies légalisées des diplômes, lesattestations de travail ou de bonne fin d'exécution decontrat, un certificat de nationalité nigérienne, un extraitd'acte de naissance, un certificat médical et un casierjudiciaire datant de moins de trois mois, seront déposés auSecrétariat Général du Ministère de l'Education Nationaleà l'adresse suivante :

Madame la Secrétaire Générale du Ministère del'Education Nationale

B.P : 557 Niamey, Niger avec la mention :" Candidature au poste d'Ingénieur en génie civil ".La date de clôture est fixée au 15 septembre 2009 à

16 H 30

3. COMPTABLE

A. TACHES

Placé sous la responsabilité directe et la supervision duDirecteur des Ressources Financières et Matérielles duMEN, le (la) Comptable est localisé(e) dans l'administra-tion centrale du MEN à Niamey. En tant que Comptable, il (elle) a pour tâches principales:

- respecter les règles, suivre les procédures et observerles pratiques d'imputation,- tenir la comptabilité prévisionnelle dans le cadre d'unegestion budgétaire par activité et par catégorie dedépenses ;- tenir la comptabilité générale ;

- effectuer les démarches nécessaires à l'obtention desexonérations des droits et taxes indirects ;- faire les imputations comptables ; - tenir quotidiennement à jour les livres comptables et,entre autres, s'assurer le journal de banque et faire ainsiles rapprochements bancaires mensuels du compte à 90 jours ;- contrôler et saisir les pièces comptables et s'assurer deleur conformité avec le plan OHADA et les nomenclaturesbudgétaires selon les procédures comptables formaliséesdans le manuel ;- établir la paie et les déclarations CNSS et IUTS ;- procéder au règlement des factures sur la base de la véri-fication des liasses complètes et probantes de pièces jus-tificatives de dépenses,- préparer et signer les chèques avant la signature duDRFM et du Coordinateur du Projet ;- produire les rapports financiers intérimaires non audités(RFINA);- procéder à la clôture de fin d'exercice des comptes àtemps et produire les états financiers et de gestion duprojet ; - mettre en œuvre les recommandations des auditeurs etdes missions de supervision ;- rendre compte au DRFM toute anomalie constatée dansl'exercice de ses tâches.- Analyser les comptes et justifier les soldes ;- Etablir les états financiers périodiques ;- Assurer les opérations de clôture du projet ;- Participer à l'organisation de l'audit.

B. QUALIFICATION, QUALITES ET COMPETENCES

De formation supérieure en finances et comptabilité (auminimum Bac + 5) ou équivalent avec une expériencedans un poste similaire, dans un projet, le Comptabledevra maîtriser le logiciel Tompro ou équivalent.

Il devra être un cadre supérieur doté d'un sens aigu deresponsabilités, discret, rigoureux, imaginatif etméthodique.

Le Comptable devra par ailleurs faire preuve de rigueurdans l'organisation du travail et avoir un esprit de synthèseet de clarté et un sens des relations humaines.

La parfaite connaissance du français et la capacité delecture en anglais constitueront des atouts supplémentaires.

C. DÉPÔT DES DOSSIERS DE CANDIDATURES

Les dossiers de candidature comprenant, un curriculumvitae détaillé, les copies légalisées des diplômes, lesattestations de travail ou de bonne fin d'exécution decontrat, un certificat de nationalité nigérienne, un extraitd'acte de naissance et un casier judiciaire datant de moinsde trois mois seront déposés au Secrétariat Général duMinistère de l'Education Nationale à l'adresse suivante :

Madame la Secrétaire Générale du Ministère del'Education Nationale

B.P : 557 Niamey, Niger avec la mention :" Candidature au poste de Comptable ".

La date de clôture est fixée au 15 septembre 2009 à 16 H 30.

APPEL A CANDIDATURES

Marchés Publics

REPUBLIQUE DU NIGERMINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE

PROJET D'APPUI A L'EDUCATION DE BASE (P.A.E.B)

Mercredi 9 septembre 2009

7ECONOMIE

Cette récession a été causéepar la crise financière quis'est propagée rapidement

du secteur des prêts hypothécairesà risque du marché financier auxEtats-Unis à l'intégralité du systèmefinancier de ce pays et, presquesimultanément, aux marchés finan-ciers d'autres pays développés,souligne le rapport, dont les gran-des lignes ont été présentés, lundi àRabat, par l'universitaire MounaCherkaoui, lors d'une rencontreavec la presse. "Aucun marché n'aété épargné, qu'il s'agisse des mar-chés boursiers et des marchés del'immobilier d'un grand nombre depays développés et de pays émer-gents ou des marchés des changeset des marchés de produits debase", ajoute le document, faisantobserver que la crise du crédit aretenti sur l'activité économiqueréelle, accélérant la chute de l'em-ploi et de la demande privée et pro-voquant la récession la plus sévèredepuis la Grande Dépression. Les économistes de la Cnuced évo-quent la déréglementation des mar-chés financiers comme la causeprincipale de la crise financière,estimant que l'absence de régle-mentation a entraîné une innovationanarchique dans le domaine des

instruments financiers qui a obscur-ci les relations entre créanciers etdébiteurs et encouragé la prise derisques inconsidérés. La crise, qui adébuté initialement dans le secteurfinancier, s'est muée en un graveralentissement de l'économie réellepuisque le PIB mondial devrait chu-ter de plus de 2,5% en 2009. Selonla même source, le PIB des paysdéveloppés contractera de quelque4% en 2009 et la production despays en transition devrait baisser deplus de 6%. Dans les pays en développement,la croissance devrait tomber de5,4% en 2008 à 1,3% en 2009,entraînant la réduction du revenumoyen par habitant. Les pays dontla croissance sera positive cetteannée, comme la Chine et l'Inde,accusent un ralentissement signifi-catif par rapport aux années précé-dentes, fait remarquer le rapport. En2009, le commerce mondial devraitcontracter d'au moins 11% en ter-mes réels et de 20% en dollars cou-rants.Les régions en développement lesplus gravement touchées par lacrise mondiale sont notammentl'Amérique latine, où le PIB chuteraprobablement d'environ 2% en2009 mais également l'Asie de

l'Ouest où de nombreux pays sontlargement tributaire des exporta-tions de produits manufacturés. EnAfrique, la croissance de la produc-tion devrait fortement chuter en2009 mais rester positive, avec uneaugmentation anticipée de 3% enAfrique du Nord et de 1% en Afriquesubsaharienne. Le document esti-me que dans cette région, "la réali-sation des Objectifs du Millénairepour le développement d'ici à 2015est devenue pour ainsi dire

impossible".L'atténuation des changements cli-matiques ne s'oppose pas auxobjectifs de développement, c'estau contraire un processus de trans-formation structurelle dans lemonde entier qui offre de considéra-bles possibilités économiques destimuler le développement, indiquele rapport onusien. La conférencede Copenhague sur le changementclimatique, prévue en décembre,offre une nouvelle occasion pour

déterminer des politiques visant àréduire les émissions de gaz à effetde serre et limiter le réchauffementplanétaire, indique le document.Des politiques industrielles dyna-miques doivent être engagées pours'implanter sur le marché rapide-ment croissant des "technologiesvertes" et des "biens environne-mentaux", souligne le Rapport2009.

(MAP)

L'économie mondiale connaîtra, en 2009, une récession accruesuite aux répercussions de la crise financière internationale,indique le rapport 2009 sur le Commerce et le développementpublié, lundi, par la Conférence des Nations unies pour le com-merce et le développement (Cnuced).

l Crise financière

L'économie mondiale connaîtra une récession accrue

Durement frappée par lacrise, l'économie améri-caine a perdu de sa

compétitivité. Selon le tradition-nel classement effectué par leForum économique mondial, laSuisse a ravi la première placeaux Etats-Unis, qui ont étérétrogradés à la deuxièmeplace, devant Singapour, laSuède, et le Danemark. "LesEtats-Unis ont construit d'im-portants déséquilibres macroé-conomiques ces dernièresannées. Les déficits budgé-taires cumulés ont conduit àdes niveaux croissants d'endet-tement public", expliquent lesauteurs du rapport du Forum.Or la crise et les politiques derelance budgétaire ont "exacer-bé" ces niveaux d'endettement.Washington se retrouve ainsi93e (contre 66e précédem-ment) pour le critère de "la sta-bilité macroéconomique".Le Forum constate aussi uneperte de confiance sensible deshommes d'affaires vis-à-vis desEtats-Unis en raison, notam-ment, des dysfonctionnementsdans nombre d'"institutionsprivées" américaines, commepar exemple les spécialistes enaudit et application des

normes, et évidemment lesrécents scandales qui ont eulieu dans le secteur financier.Pour autant, le pays continue"d'être doté de nombreusescaractéristiques structurellesqui rendent son économie

extrêmement productive et quile placent sur une base solidepour surmonter les change-ments cycliques et les chocséconomiques", nuance le rap-port.

L'UE TIRE SON ÉPINGLE DUJEUPar ailleurs, le Forum estimeque l'Union européenne "con-tinue à être bien représentée"

avec la Suède, le Danemark, laFinlande, l'Allemagne et lesPays-Bas "parmi les dix paysles plus compétitifs". Dans cetenvironnement, la France n'estclassée que seizième.

Quant au Brésil, à l'Inde et à laChine, en tête des pays émer-gents, ils ont tous les troisamélioré leur compétitivité endépit de la crise et s'arrogent

respectivement les 56e, 49e et29e rang du dernier classe-ment.

A l'inverse, la Russie perddouze places (63e).

Enfin, deux pays d'Afrique,Zimbabwe et Burundi, arriventen queue du classement.

(Les Echos)

Les Etats-Unis ont été rétrogradés à la deuxième place, derrière laSuisse, du classement annuel du Forum économique mondial. LaFrance est seizième.

L'économie américaine n'est plus la plus compétitive du monde

Dans ce rapport consacré aucommerce et audéveloppement en 2009,

l'agence de l'ONU attribue la résis-tance chinoise à la récession auxpolitiques de soutien de lademande intérieure. Au premiersemestre, l'économie du pays aenregistré une croissance de7,1%, dont plus de 80% a été ali-mentée par les investissementsgouvernementaux. "Le gouverne-ment chinois a adopté des poli-tiques économiques pertinentes

qui ont permis au pays d'afficherune croissance positive du PIB(produit intérieur brut) au premiersemestre de l'année", a évaluéSupachai Panitchpakdi, secrétairegénéral de la CNUCED.Il a fait cette remarque lors de lacérémonie de dévoilement du rap-port, organisée dans le cadre del'exposition sur les investisse-ments et le commerce en AsieNord-Est, qui s'est déroulée du 1erau 6 septembre à Changchun,capitale de la province chinoise du

Jilin (nord-est). Le contenu du rap-port n'a été publié que le 8 sep-tembre. Selon le rapport, l'impactde l'augmentation des dépensespubliques sur les infrastructures etde l'augmentation des crédits estvisible en Chine, et les politiquesdynamiques du pays pourraientatténuer les effets du déclinéconomique.En revanche, le rapport prévoitune chute de l'économie mondialede plus de 2,5% cette année. LePIB des pays développés devraitdiminuer de 4%, et la productiondes économies de transition, deplus de 6%. Quant aux pays endéveloppement, la croissancechuterait de 5,4% en 2008 à 1,3%en 2009.

(Xinhua)

L'économie chinoise devrait afficher une croissance de7,8% cette année, tandis que l'économie mondiale devraitchuter de plus de 2,5%, a prévu la Conférence des NationsUnies sur le Commerce et le Développement (CNUCED)dans un rapport dévoilé mardi.

La CNUCED prévoit une croissanceéconomique chinoise de 7,8% en 2009

L'or pourrait franchir la barrede 1 000 dollars l'once etcontinuer son ascension

au-delà.Du fait de la récession, lademande d'or jaune pour la joail-lerie et l'industrie a baissé. Ausecond trimestre, elle a étéinférieure de 20 % à ce qu'elleétait un an auparavant. Enrevanche, la demande de la partdes investisseurs a augmenté de46 %, alors même que les fac-teurs favorables à la spéculationsur l'or n'étaient pas réunis. Eneffet, les marchés boursiers sesont repris et le spectre de fail-

lites bancaires en cascade s'estéloigné. Si les investisseursdevaient avoir de bonnes raisonsde se tourner vers l'or, le coursexploserait. La productionminière annuelle a une valeurd'environ 100 milliards de dollarsau cours actuel (69,7 milliardsd'euros), autant dire desbroutilles au regard du déficitbudgétaire américain, qui secompte maintenant en billions.La Chine et d'autres pays d'Asieà forte épargne pourraient aussicontribuer à une hausse de lademande. La construction àHongkong d'un nouveau lieu de

stockage consacré au métaljaune peut également rallumerles passions. En fait, ce sont lespolitiques monétaires anti-réces-sion qui ont le plus de chance deréveiller l'appétit pour l'or. Au plusfort de la bulle du crédit, les sur-plus de liquidités avaient provo-qué une flambée des marchésboursiers et de l'immobilier. Maisaujourd'hui, les marchés d'ac-tions subissent le poids de larécession qui comprime lesbénéfices des entreprises, tandisque les marchés immobiliersdoivent digérer d'énormes excé-dents d'offre dans la plupart despays.Les plus grandes banques cen-trales du monde ont été trèsclaires : elles continueront depratiquer des politiques favor-ables à la relance jusqu'à ce quela reprise ne fasse plus aucundoute. Cette implication déter-

minée amène certains investis-seurs à craindre que la récessionne s'aggrave, d'autres à s'in-quiéter de l'endettement excessifdes Etats, et d'autres encore àredouter les effets inflationnistesdes politiques monétaires enquestion. Tous ces inquiets pour-raient se constituer une formed'assurance en se rabattant surl'or.Il est possible que même ceuxqui ne sont pas particulièrementsoucieux participent au mouve-ment. L'or se vend en ce moment60 fois plus cher que l'argent,c'est-à-dire bien au-delà de lamoyenne de long terme : l'argentvaut peut-être aussi la peinequ'on s'y intéresse.

(Lemonde.fr)

Lorsque les investisseurs croient à la croissance, que les banquescentrales mènent des politiques saines et que les déficits publicsrestent raisonnables, le cours de l'or a peu de chance de s'embal-ler. Ce n'est pas ce qui se passe actuellement. Les investisseursdisposent de capitaux, mais ils ont à la fois peu d'opportunités ras-surantes de placement et beaucoup de sujets d'inquiétude.

l Finances

L'or constitue plus que jamais une valeur refuge

Mercredi 9 septembre 2009

8 ANNONCES

Le CNPG organise au cours des mois d’octobre et novembre 2009 les séances de formation ci-après:

FORMAFORMATIONS D'OCTTIONS D'OCTOBRE 2009OBRE 2009

TECHNIQUES DE CORRESPONDANCE ET DE REDACTION ADMINISTRATIVEDu 05 au 09 OCT. 2009 à Cotonou (Bénin)

PRATIQUE DE LA DELEGATION DE POUVOIRS DANS UNE ORGANISATIONDu 05 au 09 OCT. 2009 à Cotonou (Bénin)

GESTION FINANCEPREVISION ET GESTION DE TRESORERIE

Du 05 au 09 OCT. 2009 à Cotonou (Bénin)LES ASPECTS JURIDIQUES DE LA GESTION DU PERSONNEL

Du 05 au 09 OCT. 2009 à Cotonou (Bénin)

FORMAFORMATIONS DE NOVEMBRE 2009TIONS DE NOVEMBRE 2009

ACCUEIL, COMMUNICATION ET RELATIONS PUBLIQUESDu 16 au 21 NOV. 2009 à Cotonou (Bénin)

PERFECTIONNEMENT DES STANDARDISTES, RECEPTIONNISTES ET AGENTS D'ACCUEILDu 16 au 21 NOV. 2009 à Cotonou (Bénin)

GESTION INFORMATISEE DES ARCHIVES ET DE LA DOCUMENTATION Du 16 au 21 NOV. 2009 à Cotonou (Bénin)

Techniques Comptables: CONDUITE DES TRAVAUX DE FIN D'EXERCICE ETCERTIFICATION DES COMPTES

Du 16 au 27 NOV. 2009 à Cotonou (Bénin)COMPTABILITE DES PROJETS : OBJECTIFS ET CONTENU DES ETATS FINANCIERS

Du 16 au 27 NOV. 2009 à Cotonou (Bénin)

Pour toute information complémentaire veuillez nous contacter au CNPG Tél: 20 73 41 43/ 20 73 41 55 ou 93 81 77 73

Objet : La Communauté Urbaine de Niamey, dans le cadrede l'exécution de son budget d'investissement 2009,représentée par la Direction des Services Techniques lanceun avis d'appel d'offres national restreint pour : le pavage dela rue GM 41 au quartier Lacouroussou.

Le présent appel d'offre national restreint fait suite à l'avisgénéral de passation de marchés de la CommunautéUrbaine de Niamey publié dans le sahel n°7678 du mercredi25 Février 2009.

Une visite du terrain à laquelle les futurs soumissionnairespourront prendre part sera organisée par la CommunautéUrbaine de Niamey trois (03) jours après la date de publica-tion du présent appel d'offre national restreint.

La date limite de dépôt des offres interviendra deux (02)semaines après la publication du présent appel d'offresrestreint, à 09 heures au bureau d'ordre. L'ouverture des plis interviendra le même jour à partir de 10heures dans la salle de réunion de la Communauté Urbainede Niamey.

Marchés Publics

Avis d'appel d'offre national

restreint n°009/2009/PC/CUN/DST

REPUBLIQUE DU NIGER REGION DE NIAMEY

COMMUNAUTE URBAINE DE NIAMEYDIRECTION DES SERVICES

TECHNIQUES

I. Missions Placé sous la responsabilité directe du DirecteurRégional de la Santé Publique (DRSP) et la supervisiondu Comptable principal, le Comptable Régional estlocalisé dans une Direction Régionale de la SantéPublique. Il accomplit à la fois les tâches suivantes dansun environnement informatisé (utilisation de la bureau-tique et d'un logiciel de gestion) :

- Tenir la comptabilité prévisionnelle dans le cadre d'unegestion budgétaire par activité et par catégorie dedépenses- Assurer la bonne utilisation des équipements acquisdans le cadre du fonds commun au niveau de la région,faire leur codification, effectuer la prise annuelle de leurinventaire physique et tenir un registre des équipements - Assurer le réapprovisionnement du compte à 90 joursen transmettant trimestriellement à temps (2 semainesaprès la fin du trimestre) au Comptable Principal pourconsolidation l'état de dépense du dernier trimestre et lebudget de trésorerie du trimestre suivant respectivementcertifié et validé par le DRSP, le contrôleur de Gestion- Faire les imputations comptables- Tenir quotidiennement à jour les livres comptables et,entre autres, s'assurer le journal de banque et faire ainsiles rapprochements bancaires mensuels du compte à 90jours- Contrôler et saisir les pièces comptables et s'assurerde leur conformité avec le plan OHADA et les nomen-clatures budgétaires selon les procédures comptablesformalisées dans le manuel- Suivre la justification et l'utilisation des fonds mis à ladisposition des DRSP et des DS- Classer et archiver la documentation nécessaire ausuivi administratif et financier de la DRSP et des DS et àla justification des opérations et transactions- Produire le reporting trimestriel des informations de

gestion sur le contrôle des rapports de Suivi Financier(RSF)- Procéder à la clôture de fin d'exercice des comptes àtemps et produire les états financiers et de gestion de laDRSP et des DS- Contribuer à la mise en œuvre des recommandationsdes auditeurs et des missions de supervision au niveaurégional- Rendre compte au DRSP toute anomalie constatéedans l'exercice des ses tâches.

II. Qualification, qualité et compétencesDe formation supérieure en finances et comptabilité (auminimum Bac G2 + 2) ou équivalente avec une expéri-ence dans un poste similaire, dans un projet ou dansl'administration de l'Etat, le comptable régional devraavoir des connaissances en techniques comptables etmaitriser les outils comptables.

Il devra être un cadre doté d'un sens de responsabilité,discret, rigoureux, imaginatif et méthodique.

Le comptable régional devra par ailleurs faire preuvedans l'organisation du travail et avoir un esprit de syn-thèse et de clarté et un sens des relations humaines.La maitrise du logiciel TOMPRO est exigée.

III. Condition d'emploiLes conditions d'emploi feront l'objet d'un contrat d'un (1)an renouvelable à négocier avec l'administration encharge du projet. Il s'agit d'un poste contractuel. Le candidat ne pourra pas appartenir à la FonctionPublique.

IV. Lieu d'affectation :Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey, Tahoua, Tillabéryet Zinder.

V. Composition et dépôt des candidaturesLes candidats (es) intéressé (es) doivent soumettre undossier comprenant :- Un extrait de naissance ou de jugement supplétif ;- Un certificat de nationalité ;- Un extrait de casier judiciaire datant de moins de trois(3) mois ;- Des copies certifiées des diplômes (BAC G2 plus lesautres diplômes) ;- Un certificat médical attestant la capacité physique ducandidat ;- Une attestation de travail fournie par les employeursnotamment dans les domaines de compétence précités - Une attestation sur l'honneur pour les agents de lafonction publique, s'engageant à demander une mise endisponibilité vis à vis de la fonction publique au cas où ilsseraient retenus ;- Une demande manuscrite ;- Une lettre de motivation ;- Un curriculum vitae.Les dossiers doivent parvenir à l'Adresse suivante : Cabinet KMC Audit et Conseil BP 11 160 Niamey Niger Tél. (227) 20 73 59 41 Fax. (227) 20 73 73 99

Siège social : Boulevard Mali Béro, Rue YN 125Email : [email protected] ou [email protected]

Avec la mention " Candidature au poste d'un comptablerégional ", au plus tard le vendredi 18 septembre 2009à 15 heures locales.

NB : Seul(es) les candidats (es) présélectionné (es)seront contactés.

Les dossiers ne seront pas retournés aux candidats.

Avis de recrutement de huit (8) Comptables RégionauxPour l'exécution du Fonds Commun d'Appui à la mise en œuvre du Plan de Développement Sanitaire (PDS) 2005-2009, le Ministère de la

Santé Publique et de la Lutte contre les Endémies (MSP/LCE) recherche pour recrutement, huit (8) comptables régionaux.

AVIS DE PERTEAvis est donné par l'Etude de Maître Djibo Hamsa Garba Notaire Niamey, LI 18,BP 2444 Tel 21.76.97.02 ; de la perte de l'Actes de Cession portant sur laparcelle N, Ilôt 6858, Lotissement Zam Koira ; au nom de Monsieur IbrahimMamoudou Hassane.Prière à toute personne qui l'aurait retrouvé de bien vouloir déposer au servicedes affaires domaniales de la CUN ou à l'étude ci dessus indiquée.

9SOCIÉTÉ

Mercredi 9 septembre 2009

L'usage intensif du portable parbeaucoup de gens en villecomme dans les campagnes,

a développé le système du transfertdes crédits. Selon les réseaux, cetransfert à un nom connu de tousles usagers. Il est ainsi nommé''shap-shap'', ''TTC'', ''flash'' et''araba''. Beaucoup d'usagerspensent en effet que c'est surtoutce système de transfert de créditqui a entraîné la baisse de la clien-tèle au niveau des télécentres. Aulieu de chercher à appeler sur untéléphone fixe, des personnes choi-sissent le transfert du crédit dansleurs portables pour communiquerde façon sécrète. Ce transfert de

crédit a aussi des avantages pourles gérants de télécentres.Contrairement à la communicationsur le téléphone fixe où le bénéficeest de 25 %, le transfert du créditsur les portables a moins de béné-fice. En effet, seulement 5 % debénéfice est accordé au promoteurdes télécentres, soit un bénéfice de50 F CFA sur 1.000 F de communi-cation. M. Ariza Mayamba gérantd'un télécentre a affirmé qu'il y adeux mois, il a rechangé 50.000 fsur le télécentre fixe, et qu'il s'estretrouvé encore avec un crédit deprès de 40.000 FCFA. Les bou-tiques ayant un télécentre doiventnécessairement payer des impôts

qui varient entre 100.000F et200.000 Fcfa par an. Avant des'installer, chaque promoteur d'untélécentre doit payer une caution de200.000 F. Avec l'avènement des portablespromotion, les détenteurs deportable sont de plus en plus nom-breux et fréquentent de moins en

moins les télécentres fixes pourcommuniquer. Les télécentres nejouent plus leur rôle d'avant. Pourrentabiliser leurs activités, les pro-moteurs des télécentres placentd'autres marchandises dans leurboutique, en vue de payer parexemple le loyer, l'électricité et faireface à d'autres dépenses. Certains

ont même mis la clé sous le paillas-son. Pourtant les appels dans lestélécentres ne sont pas chers. Pourcommuniquer sur le télécentre fixe,l'appel se fait sur certains réseauxà 25 F toutes les 10 secondes. Maisc'est au niveau de la minute que latarification varie selon les réseaux,car, les impulsions varient d'unréseau à l'autre. Au départ, pour ouvrir un télécen-tre, l'intéressé doit adresser unedemande au niveau de la SONI-TEL, après avoir versé une cautionde 100.000 F remboursable etadresser une demande pour l'ob-tention du téléphone. Mais cetteannée, les données ont véritable-ment changé, car on n'a plusbesoin de faire une demande pourun téléphone fixe. Quand les pro-moteurs de télécentres épuisentleurs crédits, ils se dirigent versleurs siéges respectifs pourrecharger leurs téléphones fixes.Pour ce qui est du transfert ducrédit dans les portables, ils n'ontpas besoin de se déplacer, lesréchargeurs vont de quartier enquartier pour faire le transfert decrédits

Mayaki Saïdou

Avec la diversité des réseaux de communication dans notre pays,des télécentres sont installés dans presque tous les quartiers deNiamey et sous plusieurs formes. Ainsi on distingue des télécen-tres à kiosques, des télécentres logés dans des boutiques et destélécentres qui sont tout simplement à ciel ouvert. Il fut un tempsoù la facturation ne tenait pas compte de la recharge, mais de nosjours, la facturation se fait sur la base du montant rechargé. Et larecharge se fait librement.

l Télécentres à Niamey

La révolution du transfert des crédits

Avec l’avènement du portable, la fréquentation des télécentres diminue

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Des données scientifiquesrécentes ont montré en effetque, l'oeuf est un aliment de

choix et que la consommation d'un œufpar jour est acceptable voire mêmerecommandée. Car l'œuf est très nour-rissant, polyvalent et offre une excel-lente valeur nutritive à moindre coût.Selon Dr Moustapha, un diététicien, lejaune d'œuf (composé en grande partie

de la lutéine et de la zéaxanthine) aideà prévenir la dégénérescence muscu-laire liée à l'âge, les maladies cardio-vasculaires, réduit le risque de certainscancers par la protection contre ledéveloppement des tumeurs, enfinl'œuf favorise le développement et lefonctionnement du cerveau principale-ment le centre de la mémoire. ANiamey, précisément au Petit marché,

c'est un véritable centre de businessqui s'est crée autour de la filière œuf.Provenant de Namouno, Torodi,Makolondi, Guéyimé, Kantchari, lesœufs de poule et surtout de pintade,connaissent une ascension en cettepériode. Les consommateurs peuvents'approvisionner sans difficulté, lesdétaillants aussi voient leurs chiffresd'affaire à la hausse en matière devente. Il faut cependant préciser que lecommerce des œufs est une activitégénératrice de revenus saisonnière. Eneffet, la majeure partie de la ponte sefait aux mois de juillet/août et favorisedu coup ce marché. Pour Maïmouna, une femme qui

excelle dans ce commerce, la ventedes œufs n'est pas chose aisée. C'estplutôt un travail à risque puisqu'on peutfacilement casser une à deux dizainesd'œufs lors du transport. Nous allonsdans les villages pour acheter les œufsà 50f l'unité et nous les revendons à60f. Nous les plaçons dans des bar-riques ou des grandes tasses con-tenant du foin ou du son pour permet-tre aux œufs de résister aux chocs etdiminuer ainsi les pertes surtout avecles apprentis chauffeurs des transportsen commun qui ne prêtent aucuneattention aux objets fragiles. Souventce sont les gens de la brousse qui nousamènent les œufs, mais, nous sommesun peu réticents à les prendre parceque, le plus souvent, ce sont des œufscollectés pendant plusieurs semainesqu'ils rassemblent afin de gagner beau-coup plus d'argent. Or, la plupart deces œufs ne sont plus frais, parfois ontrouve beaucoup qui sont déjà gâtés.

L'un dans l'autre, la vente des œufsconnaît pendant cette période despluies, ses jours de gloire car on entrouve partout et à moindre frais. Il esttrès fréquent de voir des jeunesfemmes faire du porte à porte à larecherche d'éventuels preneurs etmême dans les offices et sociétés pourfaciliter l'achat et la disponibilité. Pourla concurrence avec les œufs de ferme(avicole), il faut dire qu'elle n'est pastrès forte car en cette période, leconsommateur préfère le produit local.Selon M. Ibrahim, un consommateurtrouvé sur place, les œufs de produc-tion traditionnelle sont moins cher etmême le goût diffère. C'est pourcela que les populations ne consom-ment les autres oeufs, que lors qu'il n’ya presque plus d'œufs de ponte localesur le marché, c'est-à-dire en saisonsèche.

Adamou Barira

Aliments d'excellente qualité, les œufs de pintade et de poulessont très prisés en cette période de saison des pluies ou leur pro-duction est très abondante. Elle coïncide aussi avec le mois duRamadan, un moment pendant lequel, le jeûneur diversifie les ali-ments à la rupture.

l Vente des œufs au Petit marché de Niamey

Une activité lucrative en cette période des pluies

Des oeufs de pintades recherchés pendant cette période

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Mahamane Maliki, étudiant endroit, président de la commis-sion des Affaires Culturelles du

Club UNESCO de l'université de Niameyparle des mérites de cette jeune équiped'étudiants acteurs: Selon lui, les pré-paratifs du récent rendez-vous du don-ner et du recevoir de Lomé, n'a pas étéde tout repos : " dès la mise en place dela commission culturelle par le bureauexécutif du Club UNESCO UAM pour leFESCUAO 2009, la troupe s'est mise àpied d'œuvre avec la mise au point deplusieurs éléments dont une danse tra-ditionnelle où tous les rythmes de notrepays ont été regroupés, une pièce théâ-trale intitulée un pieds dedans, un piedsdehors où est mis en scène l'histoired'un couple d'étudiants dont l'amour estcontrarié par des difficultés de la vie d'uncoté et de l'autre, la querelle entres lesétudiants sur le problème de transport.Deux mois durant, la troupe a travaillédur pour enrichir la qualité des élémentsà présenter au FESCUAO a indiqué M.Mahamadou maliki. Les activités de latroupe culturelle ne doivent pas être cir-constancielles au festival mais, à défautdes moyens de fonctionnement, les

activités de la troupe ne peuvent pasêtre permanentes a ajouté le présidentde la commission culturelle, M.Mahamadou Maliki. Cependant, la

troupe malgré ses moyens limités a étéà la hauteur à Lomé en défendantvalablement la spécificité culturellenigérienne à tous les spectacles. Auniveau du défilé où toutes les déléga-

tions sont appelées à présenter la par-ticularité culturelle de leur pays, latroupe du Niger a défilé en tenues tradi-tionnelles de toutes les ethnies du Niger.En théâtre et en danse, la troupe cul-turelle du club UNESCO a laissé un sou-venir inoubliable aux festivaliers de l'édi-tion de Lomé 2009 grâce à la beauté desprestations offertes. La prouesse de cesjeunes acteurs prouve qu'il est possible

de joindre études et activités culturelleset avec un peu de soutien ces grandsacteurs de demain sont capables defaire mieux.

Habibou Ousmane

Forte d'une vingtaine d'acteurs tous étudiants à l'Université Abdou Moumounide Niamey, la troupe culturelle du club Unesco U.A.M a brillé par ses bellesprestations au festival culturel des clubs UNESCO universitaires(FESCUAO)qui s'est tenu du 13 au 23 août dernier, à Lomé au Togo.

l Troupe culturelle club Unesco de l'Université Abdou Moumouni de Niamey

Une pépinière de jeunes talents

Photo de famille de la troupe

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AVIS DE PERTEAvis est donné par l'Etude de Maître ABDOU INAZELAbderahamane, Notaire à Niamey- BP : 11.754,Téléphone : 21. 76. 58. 18, de la perte d'un acte de cessionobjet de la parcelle F, de l'îlot 6011, Quartier SARYKOUBOU Niamey, au nom de Monsieur HAMIDOU ISSA.Toute personne qui l'aurait retrouvé est priée de bien vouloirle déposer à l'Etude ci-dessus indiquée ou au Service desAffaires Domaniales de la Communauté Urbaine de Niamey.

Mercredi 9 septembre 2009

10 ETRANGER

Paris, qui entretient des liens anciens etétroits avec le Gabon, a demandé àses ressortissants d'éviter les déplace-

ments, même si pour l'instant aucune éva-cuation n'est envisagée. Face à cette situa-tion, la France affirme n'avoir joué aucun rôledans le scrutin et dit attendre que soient exa-minés les recours déposés par les adversai-res d'Ali Bongo pour reconnaître les autoritéslégitimes gabonaises. L'Elysée a rappelélundi que les observateurs internationaux ontdit que cette élection, "la plus libre qu'aitconnue le Gabon depuis 40 ans", s'étaitdéroulée calmement, "même s'il y a des cho-ses à dire, certainement".Proche du président de la République, qu'il luiarrive de conseiller sur les questions africai-nes, Robert Bourgi a lui aussi déclaré lundisur RTL que Paris n'était intervenu "ni avantle processus électoral, ni pendant, ni après.""La France n'avait pas de candidat auGabon", a dit ce personnage influent dansl'Afrique francophone, qui entretenait desrelations étroites et privilégiées avec OmarBongo. "C'est le peuple gabonais qui a choisiAli Bongo et la France n'est intervenue enaucune manière que ce soit dans cette élec-tion présidentielle", a-t-il ajouté. La présiden-

ce française estime que les troubles qui agi-tent le Gabon "ont été grossis" et dit s'interro-ger sur ce qui a pu laisser penser que Pariss'était mêlé d'une affaire politique interne auGabon. "Le plus inquiétant, ce ne sont pas lesquelques incidents qu'il y a eu mais plutôtl'expression d'un vote ethnique. C'est beau-coup plus préoccupant", dit-on à l'Elysée.D'un côté, la France affiche clairement sesdistances et rappelle que le Quai d'Orsay est"la seule voix légitime de la France" en matiè-re de diplomatie. D'un autre côté, elle conti-nue d'entretenir des liens privilégiés avec sonancienne colonie, liens qui ne passent pastoujours par les canaux diplomatiques habi-tuels. "Il y a toujours eu des diplomaties paral-lèles. Il y a plusieurs portes dans la maison dupère", a déclaré Robert Bourgi qui a implicite-ment reconnu nourrir des relations tenduesavec le ministre des Affaires étrangèresBernard Kouchner. Signe de cette ambivalen-ce, Robert Bourgi a raconté comment OmarBongo et plusieurs autres chefs d'Etat afri-cains, dont le Congolais Denis SassouNguesso, avaient obtenu le départ du secré-taire d'Etat à la Coopération et à laFrancophonie, Jean-Marie Bockel, qui avaitcritiqué la "Françafrique".Omar Bongo, particulièrement mécontent dela politique que menait Jean-Marie Bockel,aurait contacté cet homme d'influence et luiaurait demandé d'intervenir auprès deNicolas Sarkozy. "Je suis allé voir le présidentde la République à l'Elysée en présence deM. (Claude) Guéant (le secrétaire général del'Elysée-NDLR) et je lui ai passé le message

ferme et voilé de menaces du présidentBongo", a-t-il raconté. "Il m'a dit, 'dis à Omaret autres chefs d'Etat que M. Bockel partirabientôt et qu'il sera remplacé par un de mesamis et un ami de M. Guéant'. Il m'a donné lenom en me demandant de le garder pourmoi", a encore indiqué Robert Bourgi.Lors du remaniement ministériel du 23 juin

dernier, Jean-Marie Bockel a cédé sa place àAlain Joyandet et a rejoint le ministère de laJustice. Mais l'Elysée a souligné lundi que"Robert Bourgi n'est pas le porte-parole, niofficiel ni officieux de la France".

(Reuters)

l Gabon/Après la présidentielle

Paris dément avoir joué un rôle dans l’électionLa France assure n'avoir joué aucun rôle dans l'élection présidentielle qui a vu AliBongo succéder à son père au Gabon mais s'inquiète de l'expression d'un "vote eth-nique" qu'elle juge "préoccupant". La victoire d'Ali Bongo, proclamée par la commis-sion électorale vendredi dernier, a entraîné des troubles à Libreville, la capitale, et àPort-Gentil, deuxième ville et capitale économique du pays, des partisans des candi-dats battus estimant que le scrutin avait été entaché de manipulations.

Selon la Commission électoraleindépendante (IEC), ces résultats,toujours partiels, portent sur 74,2%

des bureaux de votes. Néanmoins, l'a-vance de Hamid Karzaï devrait se con-firmer au fur et à mesure du dépouillage,puisque les chiffres manquants sontessentiellement ceux des provinces dusud et du sud-est, traditionnellement ral-liées au président sortant.En troisième position, le candidat indépen-dant Ramazan Bashardost, champion dela lutte contre la corruption, obtenaitdimanche soir 10,7% des voix, suivi parl'ancien ministre des Finances AshrafGhani à 2,7%.

200.000 VOTES ANNULÉS Par ailleurs, les bulletins de 447 bureauxde vote sur 25.450 ouverts le jour duscrutin ont été déclarés nuls à cause desfraudes. Selon le porte-parole de l'IEC,cette annulation pourrait concerner envi-ron 200.000 votes. De nombreux observateurs afghans etétrangers avaient signalé des irrégularitésle jour de l'élection, à plus ou moinsgrande échelle selon les sources. Desaccusations de fraudes égalementsoutenues par Abdullah Abdullah, qui con-tinue à affirmer sa victoire sur HamidKarzaï.Si l'IEC n'a pas fourni de chiffres relatifs autaux d'abstention, certaines sources diplo-matiques prédisent une très faible partici-

pation, estimée entre 30 et 35%.Pour être définitifs, les résultats devront

d'abord être confirmés par les nom-breuses enquêtes ouvertes suite à desmilliers de plaintes pour fraude. Le nom dugagnant officiel de cette élection, la deux-ième dans l'histoire de l'Afghanistan, seraannoncé le 17 septembre, au plus tôt.

(L’EXPRESS)

"Le gouvernement est plus ou moins formé. Ilcomprend des ministres alliés des anciensprésidents Ravalomanana et (Didier)

Ratsiraka", a dit Roindefo dans une allocutiontélévisée. Il a ajouté que les nominations seraientrendues publiques mardi, ce qui donne à penserque des négociations se poursuivent en couliss-es. Les principaux mouvements d'opposition dupays ont affirmé que Rajoelina et Roindefoavaient choisi seuls les ministres, contrairement àl'accord de partage du pouvoir conclu le moisdernier à Maputo, au Mozambique.

Aux termes de cet accord, Rajoelina,Ravalomanana, Ratsiraka et l'ancien présidentAlbert Zafy devaient désigner un gouvernementde consensus et se répartir les postes de prési-dent, vice-président et Premier ministre. Mais ilssont restés divisés sur l'identité de celui qui dirig-era Madagascar jusqu'à l'élection présidentielleprévue fin 2010. La semaine dernière, l'armée arefusé d'occuper ces trois postes, ainsi que le luiproposait l'opposition, affirmant que les militairesn'ont aucun rôle à jouer en politique.

(Reuters)

l Madagascar

Le Premier ministre désigné par Rajoelina forme un gouvernementMonja Roindefo, Premier ministre désigné par le dirigeant malgache AndryRajoelina, annonce qu'il a formé un gouvernement d'union en dépit d'un boycottagede ses rivaux de l'opposition. Un accord conclu en août prévoyait un partage dupouvoir, mais Rajoelina, qui a renversé en mars le président Marc Ravalomanana, aordonné vendredi à Roindefo de former un gouvernement dans les 72 heures.

Lubna Hussein faisait partie d'un groupe de 13femmes interpellées le 3 juillet dernier lorsd'une opération de police dans un café de

Khartoum, la capitale soudanaise. Dix d'entre ellesont été condamnées à une amende et ont reçu descoups de fouet deux jours plus tard. Mais LubnaHussein et deux autres femmes ont décidé d'allerjusqu'au procès, entendant en faire une tribunecontre l'oppression de la femme par le régimeislamique soudanais. Lubna Hussein a déclaré àl'Associated Press qu'elle ne payerait pas l'amende,préférant passer un mois de prison parce qu'elle enfait une question de principe. "Je passerai un moisen prison. C'est une occasion de se rendre comptedes conditions de vie en prison", a-t-elle déclaré.Son avocat, Galal al-Sayed, a confié qu'il lui avaitconseillé de payer l'amende avant de faire appel,mais qu'elle avait refusé. L'avocat a également ditque le juge n'avait pas tenu compte de sa requêtede présenter des témoins de la défense. "Le juge-ment est incorrect", a-t-il affirmé. Selon lui, le jugeavait l'option de choisir les coups de fouet, mais il aapparemment opté pour l'amende pour éviter lescritiques de la communauté internationale. "Il y a lesentiment général, dans le monde, que fouetter esthumiliant", a affirmé Galal al-Sayed.Peu avant que le jugement soit rendu, la policeavait interpellé plusieurs dizaines de femmes,beaucoup portant des pantalons, qui manifestaientdevant le tribunal. Les pantalons sont considéréscomme indécents dans la stricte interprétation de lacharia, la loi islamique adoptée par le régime deKhartoum depuis le coup d'Etat militaire conduit parle président Omar el-Béchir en 1989.

(AP)

l Soudan

La journaliste jugée pour avoirporté un pantalon condamnée à200 dollars d'amende

La journaliste soudanaise Lubna Hussein,qui encourait 40 coups de fouet pour avoirporté un pantalon en public, a finalementété condamnée lundi à 200 dollars (140euros) d'amende par un juge soudanais.

Au cours d'une conférence de presse àLibreville, les dirigeants de l'opposition,dont l'ancien ministre de l'Intérieur André

Mba Obame arrivé deuxième, ont appelé lapopulation à se préparer à des "actions gradu-elles" pour protester contre les résultats qui ontété rendus publics. "Nous demandons au peu-ple gabonais de rester mobilisé et vigilant pourdes actions graduelles", ont-ils dit.La victoire d'Ali Bongo, proclamée par la com-mission électorale jeudi dernier, a entraîné destroubles à Libreville, la capitale, et à Port-Gentil,deuxième ville et capitale économique du pays,des partisans des candidats battus estimantque le scrutin avait été entaché de manipula-tions. Lors de la conférence de presse, leschefs de l'opposition ont souhaité une enquêteinternationale sur l'attitude des forces de sécu-rité pendant ces troubles. "Les candidats

demandent instamment la mise en place d'unecommission d'enquête internationale pourdéterminer la gravité des faits, des violationsdes droits de l'homme, ainsi que les respons-abilités de ce véritable bain de sang", ont-ils dit.Pierre Mamboundou, qui a recueilli environ25% des voix à la présidentielle, a quitté la con-férence de presse avant la lecture du commu-niqué commun. "Je suis ''wanted'', je suis unbrigand et recherché par la police", a-t-il dit,faisant écho aux craintes de ses partisans quiredoutent qu'il soit arrêté, accusé d'avoir incitéaux désordres. Les violences ont fait au moinsdeux morts la semaine dernière à Port-Gentil,où le couvre-feu a été instauré et où des ren-forts ont été dépêchés pour rétablir l'ordre.

(Reuters)

L'opposition demande un recomptagedes votes soient recomptésLes partis de l'opposition gabonaise demandent un nouveau dépouillement des suf-frages de l'élection présidentielle du 30 août, à l'issue de laquelle Ali Bongo, fils duprésident défunt, a été déclaré vainqueur. "Nous exigeons le recomptage des voixinterrompu par le président de la CENAP (la commission électorale) sur la base desprocès-verbaux de tous les bureaux de vote", ont déclaré dans un communiquécommun les 17 candidats qui affrontaient Ali Bongo lors du scrutin.

l Elections en Afghanistan

Le Président sortant Hamid Karzaï en têteHamid Karzaï, président sortant, restait en tête dimanche de l'élection présiden-tielle en Afghanistan. Avec 48,6% des votes, il devance ainsi son principal adver-saire, l'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah (31,7%).

AVIS DE PERTEAvis est donné par l'Etude de Me MAHAMANE NAKOBO, Notaire à Niamey B.P.10.453, Tél. 73 43 51, de la perte de l'acte de cession objet de la parcelle n° J de l'îlotn° 3218 Lotissement Kouara Kano au nom de Madame KARIM FATOUMA ZARA.Toute personne qui l'aurait retrouvé est priée vouloir le déposer à l'Etude ci-dessusindiquée.

Mercredi 9 septembre 2009

11SCIENCES ET TECHNOLOGIES

Les parents de la plus grande famille améri-caine ont annoncé attendre leur 19e enfantpour mars, et seront grands-parents pour lapremière fois le mois prochain.Les 18 enfants de la famille Duggar ont reçuun prénom commençant par la lettre J et le19e, qui devrait naître en mars, ne fera pasexception. Jim Bob et Michelle Duggarvivent dans une grande maison avec leuraîné, Josh et son épouse Anna, 21 ans ;Jana et John-David, 19 ans ; Jill, 18 ans ;Jessa, 16 ans ; Jinger, 15 ans ; Joseph, 14ans ; Josiah, 13 ans ; Joy-Anna, 11 ans ; lesjumeaux Jedidiah et Jeremiah, 10 ans ;Jason, 9 ans ; James, 8 ans ; Justin, 6 ans; Jackson, 5 ans ; Johanna, 3 ans ; Jennifer,2 ans et Jordyn-Grace, 8 mois. Leur modede vie devrait faire l'objet d'une émission detélé-réalité. Les parents expliquentdépenser 1 431 euros par mois pour nourrirla famille, avoir changé environ 90 000couches et faire tourner la machine à laverenviron 200 fois par mois. Ils ont par ailleursavoué que lorsqu'ils se sont mariés, ilsavaient prévu de n'avoir que deux ou troisenfants. Après leur deuxième enfant,Michelle a fait une fausse couche et le cou-ple a alors décidé d'arrêter tout moyen decontraception et de laisser faire Dieu. Enfervents chrétiens, ils ont voulu laisser laprovidence décider du nombre d'enfantsqu'ils devraient avoir. Aujourd'hui, l'aîné dela famille, Josh et son épouse, vont accueil-lir à leur tour leur premier enfant. Lesgrands-parents sont ravis à l'idée d'accueil-lir leur première petite-fille.

(Zigonet)

I N C R O Y A B L E M A I S V R A I

Une mère de 18 enfantsest enceinte à nouveau

La presse en ligne face aupari du modèle payantLe fait que Rupert Murdoch puisse éventuelle-ment rendre payant l'accès à ses journaux enligne à partir de 2010 suscite l'enthousiasme dusecteur de la presse d'information qui y voit lefer de lance d'une révolution qui mettrait fin à lagratuité du contenu sur internetJusqu'ici aucun géant du secteur ne voulaitprendre le risque d'être le premier éditeur à selancer dans un modèle payant, préférant misersur les revenus publicitaires, de peur de perdredes lecteurs au profit des médias concurrents,restés gratuits.Mais depuis le coup de tonnerre du patron deNews Corp, le secteur se prend à rêver d'unpossible accord entre éditeurs de presse desti-né à faire payer leurs contenus, ce qui réduiraitle risque d'érosion des lecteurs mais pourraitsoulever des problèmes de concurrence.Seulement, avant de voir en Rupert Murdoch lesauveur potentiel de la presse, il faut garder àl'esprit que le modèle économique de NewsCorp lui procure des avantages bien spécifiquesque d'autres groupes ne pourront pas reprodui-re, préviennent des analystes.News Corp peut par exemple inclure dans sonpack d'abonnement à la télévision par satelliteBSkyB un petit forfait permettant d'accéder àses sites d'informations en ligne, offrant ainsi uncontenu haut de gamme via un moyen de paie-ment déjà en place.En comparaison, pour les éditeurs ne disposantpas d'un empire multimédia, vendre leur conte-nu sera plus difficile, surtout si le site est essen-tiellement un duplicata des informationspubliées sur papier et agrémentées de quelquesvidéos et dépêches d'agence."Je ne sais pas comment ils feront pour passerau modèle payant", a déclaré Malcolm Coles, unconsultant sur internet qui a ouvert un blog surle sujet à l'adresse www.malcolmcoles.co.uk/blog/charging-online-content/Jusqu'à présent les rares titres à avoir trouvé laformule magique sont le Wall Street Journal,propriété de News Corp, et le Financial Times,détenu par Pearson, qui font payer les lecteurspour du contenu économique spécialisé et pro-fessionnel. Thomson Reuters, pour sa part, fac-ture certains de ses contenus sur le site reu-ters.comSelon le cabinet spécialisé Outsell, la plupartdes éditeurs de la presse grand public pour-

raient finalement considérer que faire payer lecontenu en ligne n'est pas valable et chercher lemoyen d'accroître leurs revenus à travers desannonces plus ciblées ou un système d'adhé-sion qui offrirait aux membres des produits sup-plémentaires.La distribution des contenus sur des platefor-mes alternatives comme le téléphone mobile -une stratégie déjà couronnée de succès auJapon et en Chine - est également une autreoption.

UN SECTEUR À LA TRAÎNED'après l'agence de médiasZenithOptimedia, les revenus issus de lapublicité dans l'ensemble du secteur de lapresse d'informations ont atteint un pic en2007.Le chiffre d'affaires publicitaire devraitdécroître de 15%, soit 18,2 milliards de dol-lars, cette année, à mesure que les lecteursdélaissent la presse traditionnelle au profitdes journaux en ligne où la publicité estbien moins chère.Alors que le reste du secteur de l'informa-tion a tiré 70% de son chiffre d'affaires desactivités en ligne en 2008, la proportionpour les journaux d'information était d'àpeine 11%, selon la dernière étude publiéepar Outsell en août."(...) Ils demeurent tributaires des recettesissues de la presse imprimée. Le segmentdes journaux d'information ressort toujourscomme le plus à la traîne du secteur de l'in-formation", ajoute le cabinet.C'est peut-être cette situation calamiteusequi a conduit News Corp, le premier four-nisseur mondial d'informations depuis lerachat en 2007 de Dow Jones et du WallStreet Journal, à entamer sa mue, expliquele cabinet.À l'époque, Murdoch avait laissé entendrequ'il renoncerait au modèle payant du WallStreet Journal, dans l'espoir d'accroître lesrevenus publicitaires au-delà des 50millions de dollars que dégageait le site enaugmentant le nombre de lecteurs qui pla-fonnait alors à un million.Depuis le magnat des médias semble s'êt-re ravisé, en annonçant le mois dernier qu'ilferait payer l'accès à ses sites d'informa-tions à compter de la mi-2010."A long terme, on pourra peut-être fairepayer certains contenus en ligne mais pasdes informations courantes", a déclaré de

son côté une porte-parole du Guardian.Murdoch a commencé à sonder d'autreséditeurs pour voir s'il serait possible de sus-citer une démarche collective sur ce point."L'identification des marques d'intérêt estpour le moment à un stade très préliminai-re", a déclaré une source proche des dis-cussions.Selon Ken Doctor, qui dirige le cabinetOutsell, les éditeurs de presse doivent êtreplus imaginatifs pour trouver le moyen dedégager des recettes en dehors des jour-naux. "Le secteur de la presse vit dans lemythe (...) qu'il n'y a pas d'argent en ligne",observe-t-il.

Au lieu de demander aux lecteurs de payerpour du contenu, les éditeurs devraientprendre en considération des services àvaleur ajoutée comme les systèmes declubs, une option que le Guadian est entrain d'étudier, ajoute-t-il."La subtilité ici consiste à aller dans le sensde la psychologie humaine et non l'inver-se", note-t-il parlant de "forger une relationplus profonde avec les lecteurs" et citant enexemple des groupes comme Google oul'éditeur de revues scientifiques Elsevierqui ont compris très tôt comment faire del'argent en ligne.

(Reuters)

Suivant acte en date à Niamey du 12 Janvier2009, enregistré le 13 Janvier 2009, reçu parMaître Boubacar Salaou, Notaire à Niamey, il aété constitué une société à responsabilité lim-itée aux caractéristiques suivantes :Dénomination : La société prend la dénominationsociale de "SAHARA TRANSPORT S.A.R.L"UNIPERSONNELLE.Forme : SOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEEUNI PERSONNELLE.Capital social : deux cent millions (200.000.000)francs CFA divisés en vingt mille (20.000) parts dedix mille (10.000) francs CFA chacune, toutesentièrement souscrites et libérées.Siège social : Le siège est fixé à Niamey BP : 11.225 NIAMEY, BANIFANDOU RUE BF-10.Objet social : La Société a pour Objet :Au Niger et entre le Niger et tout autres pays laconstruction et l'exploitation d'une ou plusieursunités de transport de marchandises. Touteprestation de services dans le domaine de trans-ports de marchandises ; le transport de marchan-dises en provenance des ports de COTONOU,LOME, d'ACCRA, TEMA, en direction de tous lespays de l'Afrique ; le transport de marchandises detoutes natures, en provenance de tous les paysd'Afrique en direction de tous les autres pays dumonde, toutes opérations d'intermédiation par lasignature de contrat de transport, le conseil deschargeurs et leur représentation ; le transport devoyageurs à l'intérieur et à l'extérieur du NIGER ;le transport des hydrocarbures et de tous produits

pétroliers, par la mise sur le marché de moyensmoderne de transport ; toutes opérations de tran-sit à l'importation et à l'exportation ; commission-naire en douane ; la déclaration en douane ; toutesopérations de consignations, d'entreposages ;d'emmagasinage ; de tiers détention ; la représen-tation commerciale des sociétés de transport et oude chargeurs ; la prise de participation dans toutessociétés créées ou à créer, nigériennes ouétrangères, pouvant se rattacher à l'objet social oufavoriser le développement et ce, par tousmoyens, notamment par voie d'apport, desouscription ou d'achat d'actions ou de parts, defusions d'association ou de commandite :Et généralement, toutes opérations industrielles,commerciales, financières, mobilières ou immo-bilières pouvant se rattacher directement ou indirectement à l'objet social, tous travaux néces-saires et accessoires à l'activité sociale, similairesou connexes prévues comme devant être entre-prises par la société aux termes des présentsstatuts.Gérance : Monsieur OUMBARIK KHALIL.Durée de la société : la durée de la société estfixée à 99 années à partir du 13 Janvier 2009.Dépôt légal : dépôt d'une expédition des statutsau Greffe du Tribunal de Grande Instance HorsClasse de Niamey et la Société immatriculée auregistre du Commerce et de Crédit mobilier sous lenuméro RCCM-NI-NIA-2009-B-069 en date du 13 janvier 2009.

ETUDE NOTARIALE BOUBACAR SALAOU19, Rue du Terminus - BP. : 568 NIAMEY-NIGER

TEL : 20- 73 69 40/ 96-96-27-42

AVIS DE CONSTITUTION DE SOCIETE

H O R O S C O P EH O R O S C O P E

EEvitez l’agitvitez l’agit aa --

tion. Il faut setion. Il faut se

reposer de tempreposer de temps ens en

temptemps.s.

LL a reprise du traa reprise du tra --

vail sera quandvail sera quand

même déstmême dést abilabil --

isante pour cerisante pour cer --

ttains...ains...

DD es questionses questionsm é tm é t a p h y s i q u e sa p h y s i q u e s

vous tvous t araudent?araudent?Personne ne peutPersonne ne peutvraiment y répondre,vraiment y répondre,mais c’est si bonmais c’est si bond’en discuter!d’en discuter!

LLes pes parentarents onts ont

des responsdes respons --

abilités pabilités parfois difarfois dif fifi --

ciles à assumerciles à assumer..

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vous intégrer àvous intégrer à

un groupe en restun groupe en restantant

vous-même.vous-même.

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Médecins de nuit : 20 73 47 37

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LE SAHELPlace du Petit Marché ;

BP 13182 Niamey (R. Niger)

Tél : 20 73 34 86/87 ; Télécopieur : 20 73 30 90

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Directrice: Mme Saïdou Rahamou T. 20 73 99 85

Chef service Recouvrement: Mme Ado Haoua Hachimou

Directeur de Publication

SAÏDOU DAOURA

Composition : ONEPTirage : 3000 exemplaires

Mercredi 9 septembre 2009

L'Estadio Gigante de Arroyito deRosario serait-il maudit ? Pour la troi-sième fois en trois affrontements,

l'Argentine n'a en tout cas toujours pasréussi à y battre l'ennemi juré brésilien.Pire, les hommes de Diego Maradona y ontsubi leur cinquième défaite en éliminatoires(1-3), la quatrième lors des six derniersmatches et la première à domicile !Toujours quatrièmes et donc virtuellementqualifiés dans la Zone AmSud, les coéqui-piers de Leo Messi, de nouveau très déce-vant samedi, ne comptent toutefois quedeux petites longueurs d'avance sur le duoColombie-Equateur (22 points contre 20).Et encore, ils peuvent s'estimer heureuxque les Colombiens aient dominé les Équa-toriens dans le même temps (2-0), lesempêchant ainsi de s'emparer seuls de lafameuse quatrième place… Tout avait pour-tant plutôt bien débuté pour les coéquipiersdu Marseillais "Gabi" Heinze qui régnaienten maître jusqu'à la 24e minute et ce coup-franc d'Elano repris de la tête par un Luisaoétrangement seul (0-1). Un premier butrapidement suivi d'un second signé LuisFabiano, opportuniste sur un tir de Kakarepoussé par Andujar (0-2, 30e).

"ON FERA CE QUE L'ON PEUT"

"On les a contrôlés pendant 25 minutes,Kaka n'avait même pas touché le ballon etsur leur premier centre, ils ont ouvert lescore. Puis ils ont marqué le second butpresqu'aussitôt. A partir de là, il était diffici-le de revenir, surtout face au Brésil", regret-tait Maradona après la rencontre.Légèrement mieux après la pause et leremplacement de Maxi Rodriguez parAgüero, les Argentins avaient pourtantréussi à recoller par l'intermédiaire deDatolo, d'une superbe frappe du gauche (1-2, 65e), mais Luis Fabiano, encore lui,redonnait deux buts d'avance auxAuriverde dans la foulée (1-3, 68e). Avec30 points, les Brésiliens, qui ont ajouté un18e match à leur série d'invincibilité, sontdonc officiellement qualifiés pour la Coupedu Monde en Afrique du Sud. Pourl'Argentine, qui se déplacera au Paraguaymercredi, le chemin risque en revanche d'ê-tre un peu plus long. "Même si nous parve-nons à prendre les trois points, ça seracompliqué jusqu'au bout. Encore plus sinous perdons. Nous irons au Paraguay(Ndlr : 3e avec 27 points) pour faire ce quel'on peut", a conclu Maradonna.

ZONE EUROPEGroupe 1:Danemark 1, Portugal 1Hongrie 1, Suède 2

Groupe 2:Israël 0, Lettonie 1Moldavie 0, Luxembourg 0Suisse 2, Grèce 0

Groupe 3:Pologne 1, Irlande du Nord 1Slovaquie 2, Rép. tchèque 2

Groupe 4:Azerbaïdjan 1, Finlande 2Russie 3, Liechtenstein 0

Groupe 5:Arménie 0, Bosnie-Herzégovine 2Espagne - BelgiqueTurquie 4, Estonie 2

Groupe 6:Croatie 1, Belarus 0Ukraine 5, Andorre 0

Groupe 7:Autriche 3, Iles Feroë 1France 1, Roumanie 1

Groupe 8:

Bulgarie 4, Monténégro 1Chypre 1, Irlande 2Géorgie 0, Italie 2

Groupe 9:Islande 1, Norvège 1Ecosse 2, Macédoine 0

ZONE AFRIQUEGroupe A:Gabon 0, Cameroun 2Togo 1, Maroc 1

Groupe C:Rwanda 0, Egypte 1Algérie 1, Zambie 0

Groupe E:Côte d'Ivoire 5, Burkina Faso 0Malawi 2, Guinée 1

Groupe F:Bénin 1, Mali 1Ghana 2, Soudan 0

ZONE AMERIQUE DU SUDArgentine 1, Brésil 3Chili 2, Venezuela 2Colombie 2, Equateur 0Pérou 1, Uruguay 0Paraguay 1, Bolivie 0

(AP)

Les résultats des matches disputés samedi etdimanche pour le compte des éliminatoires

SSttandardandard20 72 22 5320 72 23 26

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l Coupe du monde 2010/Qualifications Zone Amérique du Sud

Le Brésil bat l'Argentine par 3 buts à 1Dans le choc de la nuit en Amérique du Sud, le Brésil s'est imposé en Argentine (3-1).Surclassés par une Seleçao désormais qualifiée, les hommes de Diego Maradonasont toujours en ballotage pour le Mondial 2010.

Quatre points. C'est l'écart qui sépareaujourd'hui et à trois journées de la fin deséliminatoires de la Coupe du Monde en

Europe, la sélection française de son homologueserbe. Un écart qui ne s'est pourtant pas vérifié àl'occasion de ce qui a été jusque-là la seule con-frontation entre les deux sélections. En effet, le 10septembre 2008, au tout début des éliminatoireset trois jours après avoir été humiliés en Autriche(3-1), les Bleus avaient pris le meilleur surStankovic et ses partenaires (2-1). Depuis cettedate-là, beaucoup d'événements sont survenus etla hiérarchie bousculée. Pendant que l'Equipe deFrance s'amusait à glisser sur une pente pourretomber inexorablement dans ses travers, laSerbie s'est totalement transfigurée pour devenir

un leader incontestable de sa poule qualificative.LA " PATTE " ANTIC

Dans le sport du haut niveau, les beaux discoursjouent très certainement un très grand rôle dans lamontée aux sommets d'une équipe, mais ce quicontribue, en premier lieu, à ce qu'elle atteigneson meilleur niveau après avoir flirté avec l'échecc'est la confiance. Et la confiance ne s'acquiertqu'à travers une succession de victoires, fussent-elles à l'arraché. Le parcours de la sélectionnationale Serbe dans la campagne qualificativepour le Mondial 2010 pourrait être considérécomme l'un des meilleurs exemples de cettehypothèse. Partis de rien après avoir notammentmanqué l'Euro 2008, les Aigles Blancs ont retrou-vé en l'espace d'une année seulement un niveaubeaucoup plus conforme à leurs ambitions etaussi à leur réservoir impérissable de talents. 40eau classement FIFA en octobre dernier, ils pointentdésormais à la 13e position, à trois rangs seule-ment de la France, leur dernier bourreau en matchofficiel.

(Goal.com )

La Serbie a changéMercredi, l'Equipe de France se frottera à la Serbie,lors d'un match ultra décisif comptant pour les éli-minatoires du Mondial. Les Bleus peuvent s'attend-re à affronter un tout autre adversaire, que celuiqu'ils ont battu à l'aller au Stade de France (2-1).

R E C I T E T A S

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C H U T E R T I R

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M N U L L A T

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R A N C U N I E R S

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

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8

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10

1. Opportunistes;2. Voie ferrée - Poème;3. Moyen contourné - Vedette;4. Condition retournée - Observatoire spatial européen(sigle) - Sans motifs (inversé);5. Traite avec mépris - Petit patron;6. Filet - Bottera;7. Superficie modeste - Endroit où l’animal traquépar les chasseurs se retire pour se sécher;8. Sigle d’impôt - Infintif - Colère ancestrale;9. Grecque - Métal léger;10. Chassent les démons par des prières.

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n u m é r o p r é c é d e n t

H O R I Z O N T A L E M E N T1. Donc certainement injuste;2. Filets lumineux - Désert de dunes;3. Vallée ennoyée - Technique acoustique;4. Insulaires - Petit tour;5. Direction sur la rose - Opposé au progrès;6. Pronom - Boule-de-neige;7. Tamis - Lentilles - Carte;8. Gavroche - L’on y est enfermé sans raison;9. Poids irrésistible - Cité sumérienne;10. Observaient attentivement.


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