L’indexation des salaires au L’indexation des salaires au Luxembourg : éléments de Luxembourg : éléments de réflexionréflexion
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 22
Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 33
Qu’est-ce que l’indexation des Qu’est-ce que l’indexation des salaires ?salaires ?
Liaison des salaires au niveau du coût de la vie, c’est-à-dire aux prix à la consommation ; généralisée en 1975
Automatique au Luxembourg parce que, dès que l’inflation augmente de 2,5% sur une moyenne mobile de six mois, les salaires sont augmentés dans la même proportion
Un certain degré d’automatisme connu aussi dans d’autres pays
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 44
Pourquoi une indexation des Pourquoi une indexation des salaires ?salaires ?
Choix politique, emprunt de solidarité, en faveur de la cohésion sociale visant à conforter le niveau de vie et le bien-être de la population
Atout pour le Luxembourg : climat social excellent et productivité particulièrement élevée (avec des coûts salariaux évoluant à un rythme inférieur à ses partenaires)
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Contribution à la croissance : variation Contribution à la croissance : variation par rapport à la période précédentepar rapport à la période précédente
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Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
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Aucune relation ne peut être établie entre les tranches indiciaires et les augmentations de prix
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IPCH : Indice des Prix à la Consommation Harmonisé.
Il permet une mesure de l’évolution des prix conformément à des règles communes pour l’ensemble des pays de l’UE.
IPCNIPCN : : Indice des Prix à la Consommation Indice des Prix à la Consommation National National
Chaque pays peut calculer ses propres indices de prix Chaque pays peut calculer ses propres indices de prix reposant sur des méthodologies nationales. Lreposant sur des méthodologies nationales. Les différences es différences entre les IPCH et les IPCN tendent à s’estomper en Europe.entre les IPCH et les IPCN tendent à s’estomper en Europe.
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Au Luxembourg Au Luxembourg seule différenceseule différence entre IPCH et entre IPCH et IPCN :IPCN :
pondérationspondérations différentes liées à la consommation différentes liées à la consommation des frontaliers en tabac, alcool et carburants des frontaliers en tabac, alcool et carburants essentiellement.essentiellement.
Mais les évolutions de prix sont les Mais les évolutions de prix sont les mêmes entre les deux indicesmêmes entre les deux indices
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 1010
Le patronat utilise l’IPCH pour dénoncer le caractère Le patronat utilise l’IPCH pour dénoncer le caractère inflationniste de l’économie (et donc la mise en danger de la inflationniste de l’économie (et donc la mise en danger de la compétitivité) et compétitivité) et pour pour indirectement remettre en cause indirectement remettre en cause l’indexation des salaires.l’indexation des salaires.
Mais l’IPCH ne reflète pas mieux Mais l’IPCH ne reflète pas mieux les hausses de prix que l’IPCN dans les hausses de prix que l’IPCN dans le cas du Luxembourg.le cas du Luxembourg.
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De l’IPCH à l’IPCN : mesurer la De l’IPCH à l’IPCN : mesurer la consommation résidenteconsommation résidenteUn écart grandissant avec les mêmes variations de prix
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Inflation sous-jacenteInflation sous-jacente : :
Calculée par le Statec en excluant certains produits Calculée par le Statec en excluant certains produits dont les prix sont déterminés hors du Luxembourg :dont les prix sont déterminés hors du Luxembourg :
le gas-oil, le gas-oil, l’essence, l’essence, pommes de terre,pommes de terre,le café, le café, le thé, les infusions, le thé, les infusions, le cacao, le chocolat en poudre,le cacao, le chocolat en poudre,le gaz de ville, le gaz naturel, le gaz de ville, le gaz naturel, le gaz liquéfié, le gaz liquéfié, les combustibles liquides, les combustibles liquides, les combustibles solides, les combustibles solides, les lubrifiants, les additifs les lubrifiants, les additifs les fleursles fleurs
Permet de mesurer l’évolution des prix
propre au Luxembourg
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De l’IPCH à l’inflation sous-jacente : De l’IPCH à l’inflation sous-jacente : reflet de l’inflation d’origine intérieurereflet de l’inflation d’origine intérieureLa baisse continue du taux d’inflation sous-jacente montre que les autorités ont su maîtriser la dérive des prix.
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De l’inflation sous-jacente à De l’inflation sous-jacente à l’inflation endogènel’inflation endogène
Par exemple:
les prix administrés : mesures discrétionnaires des administrations publiques ayant un impact direct sur les prix à la consommation
les prix du tabac
les loyers qui évoluent avec un certain retard sur les prix de ventes dépendant pour partie de logiques spéculatives
Certains prix dont les variations sont déterminées dans le pays (et sont donc intégrés au calcul de l’inflation sous-jacente calculée par le Statec) peuvent toutefois être déterminés par des événements déconnectés du rapport entre l’offre et la demande ou indépendants des phénomènes monétaires.
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Possibilité d’affiner plus avant Possibilité d’affiner plus avant lles variations de prix propres es variations de prix propres à l’économie luxembourgeoiseà l’économie luxembourgeoise
Sont exclus :Sont exclus :
- - lles prix administréses prix administrés- - lle tabace tabac- - lles loyerses loyers
Permet de mesurer les véritables tensions
inflationnistes de l’économie
Inflation endogèneInflation endogène
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Pondération Pondération pour mille des pour mille des prix prix administrés administrés version BCL version BCL en 2005en 2005
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 1717
Impact sur l’IPCN en points de Impact sur l’IPCN en points de pourcentage des prix du tabacpourcentage des prix du tabac
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Depuis 2001 où elle avait atteint son maximum, l’inflation endogène ne cesse de reculer montrant une amélioration par les autorités de la maîtrise des causes internes de l’inflation
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Depuis 2000, un écart avec l’inflation de la zone euro en baisse et qui est même légèrement favorable au Luxembourg en 2002-2003.
Comparaison internationaleComparaison internationale
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Sur l’ensemble de la période, une inflation au Luxembourg conforme à la zone euro.
Ceci est d’autant plus remarquable que le pays a connu une forte croissance économique, à l’image de l’Irlande qui a connu une inflation beaucoup plus forte.
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Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 2222
Des ménages défavorisés davantage touchés par Des ménages défavorisés davantage touchés par l’inflationl’inflation
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 2323
Alimentation, loyers, eau, électricité :
Des postes de dépenses - incompressibles car ce sont des besoins primaires- qui augmentent plus vite que l’inflation- qui sont plus importants chez les ménages à faible revenu :
339 ‰ pour Q1253 ‰ pour Q2208 ‰ pour Q3184 ‰ pour Q4156 ‰ pour Q5
Des ménages modestes donc plus sensibles à l’inflation
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Des produits dont les prix évoluent moins vite que l’inflation qui sont plus pondérés chez les ménages à revenus élevés
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Faible pondération des loyers dans l’IPCN
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Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 2727
Le système ne serait pas social car, en s’appliquant à système ne serait pas social car, en s’appliquant à la totalité du salaire, il accorde (logiquement) des la totalité du salaire, il accorde (logiquement) des augmentations plus forte aux revenus élevésaugmentations plus forte aux revenus élevés
Mais la progressivité de l’impôt fait que, en termes Mais la progressivité de l’impôt fait que, en termes relatifs, si les relatifs, si les augmentationsaugmentations de salaires nets sont de salaires nets sont dégressives avec le revenu, elles sont toutefois dégressives avec le revenu, elles sont toutefois plus plus importantes pour les petits revenusimportantes pour les petits revenus
RappelRappel : l’inflation frappe davantage les ménages : l’inflation frappe davantage les ménages défavorisés et l’index est un rattrapage ex-post du défavorisés et l’index est un rattrapage ex-post du pouvoir d’achatpouvoir d’achat
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CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 2929
Et l’Etat est également bénéficiaire de l’indexationEt l’Etat est également bénéficiaire de l’indexation
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Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 3131
Une simple sortie de l’indice du tabac et de l’alcool pénaliserait les ménages à faible revenu
Car ils sont proportionnellement plus consommés par les ménages à faible revenu.
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Effet prix décisifEffet prix décisif
La protection vis-à-vis de produits qui créent des assuétudes et nuisent à la santé doit s’opérer au travers d’une réduction de la demande et par d’importantes mesures d’accompagnement.
Le prix de ces biens et, partant, leur niveau de taxation représentent un instrument privilégié de réduction de la demande.
Une politique de prix permettrait :
de réduire la consommation de ces produits
et ainsi de diminuer leur pondération dans l’indice
et donc de réduire l’inflation.
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 3333
En sortant les carburants, on ne résout ni le problème des prix, ni le problème sanitaire et environnemental.
Plus utile d’instaurer des mesures de promotion d’énergies moins polluantes et/ou alternatives lors de déplacements automobiles ainsi qu’une politique d’aménagement du territoire et environnementale pour permettre : de réduire la consommation d’énergie
et ainsi de diminuer leur pondération dans l’indice
et donc de réduire l’inflation.
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Une indexation qui n’a aucune raison Une indexation qui n’a aucune raison d’être remise en caused’être remise en cause
1.1. L’indexation : comment et pourquoi ? L’indexation : comment et pourquoi ?
2.2. Une économie qui n’est pas exagérément inflationnisteUne économie qui n’est pas exagérément inflationniste
3.3. Une inflation qui affecte davantage les ménages modestesUne inflation qui affecte davantage les ménages modestes
4.4. Une indexation à vocation socialeUne indexation à vocation sociale
5.5. La politique de santé ne passe pas par une modification de La politique de santé ne passe pas par une modification de
l’indexationl’indexation
6.6. Coût de l’indexation pour les salariés et les entreprisesCoût de l’indexation pour les salariés et les entreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 3535
Coût d’une indexation pour les salariés et les Coût d’une indexation pour les salariés et les entreprisesentreprises
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 3636
Rappelons qu’il s’agit en effet d’un rattrapage ex-post des salaires ; il s’agit d’une restauration du pouvoir d’achat
Mais attention !!!
Au moment où les salaires sont réévalués, les entreprises ont déjà bénéficié des
augmentations de prix
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Sur base des chiffres de la comptabilité nationale 2004 :Sur base des chiffres de la comptabilité nationale 2004 :
Une tranche indiciaire coûte en effet 326 millions, soit Une tranche indiciaire coûte en effet 326 millions, soit 1,27% du PIB.1,27% du PIB.
Non seulement, une augmentation des prix de 2,5% et Non seulement, une augmentation des prix de 2,5% et précédant l’indexation entraîne un surplus de consommation précédant l’indexation entraîne un surplus de consommation de 309 millions.de 309 millions.
Mais en plus, une croissance du PIB de 4% avec un « prix Mais en plus, une croissance du PIB de 4% avec un « prix du PIB » qui augmenterait de 2,5% aboutit en termes du PIB » qui augmenterait de 2,5% aboutit en termes nominaux à une augmentation du PIB nominal de 6,6%, soit nominaux à une augmentation du PIB nominal de 6,6%, soit 1.693,8 millions permettant largement d’absorber le coût 1.693,8 millions permettant largement d’absorber le coût d’une tranche indiciaire. d’une tranche indiciaire.
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Effets d’un plafonnement
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CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4242
D-K : Economie marchande (1)D-K : Economie marchande (1)
P°P°
P°P°
P°P°
VABVAB
VABVAB VAB
VAB
CI
CI
CI
CICI
CI
EBEEBE
EBE EBE EBE EBE
ENE
ENE ENE ENE
Rém.Rém.
Rém.Rém.
Rém.
Rém.
0
50 000
100 000
150 000
200 000
250 000
300 000
LU BE DK DE FR NL
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D-K : Economie marchande (2)D-K : Economie marchande (2)
Valeurs en euros par salariéP° - CI VAB - Rém. EBE -AIP - CCF ENE
LU 249 046 140 646 108 401 44 416 63 985 1 240 11 198 51 547BE 228 121 139 973 88 148 43 788 44 360 1 876 16 904 25 580DK 155 924 81 697 74 227 40 933 33 294 496 14 702 18 096DE 132 635 67 208 65 427 34 079 31 348FR 149 194 76 841 72 353 37 548 34 805 2 952NL 133 334 71 422 61 912 34 219 27 693 302 11 078 16 313
P° VAB EBE
LU BE DK DE FR NL
1
2
3
4
5
6
1
2
3
4
5
6
1
2
3
4
5
6
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Valeur ajoutée pour 1 euro de rémunération Valeur ajoutée pour 1 euro de rémunération des salariés des salariés (2003 sauf FR 2002)(2003 sauf FR 2002)
Classement Luxembourg
2ème 3ème 2ème 1er 2ème 1er 1er 4ème
VA pour 1 euro de dépenses de personnel
0,00
1,00
2,00
3,00
4,00
5,00
LU 1,65 2,95 1,71 2,17 1,85 2,02 3,35 2,77
BE 1,56 2,63 1,73 1,76 1,83 1,54 1,75 3,66
DK 1,47 4,83 1,30 1,39 1,76 1,78 2,06 2,97
DE 1,40 2,44 1,53 1,50 0,99 1,93 1,43 4,16
FR 1,70 2,36 1,65 1,48 1,84 1,63 1,70 2,79
NL 1,59 4,35 1,50 1,56 1,98 1,80 1,91 2,21
Ind. Manuf. Energie, eau Constr. Commerce HorecaTransp. Comm.
Act. Financières
Immob, location, serv.
aux ent.
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4545
Classement aux différents stades de Classement aux différents stades de la création de richessela création de richesse (1) (1)
Industrie manufacturière
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4646
Classement aux différents stades de Classement aux différents stades de la création de richessela création de richesse (2) (2)
Commerce, réparations et articles domestiques
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4747
Classement aux différents stades de Classement aux différents stades de la création de richessela création de richesse (3) (3)
Transports et communication
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4848
Classement aux différents stades de Classement aux différents stades de la création de richessela création de richesse (4) (4)
Activités financières
CEP•LCEP•L Dialogue analyse - mars 2006Dialogue analyse - mars 2006 4949
AnnexesAnnexesEvolution 1995-2005 de l’ensemble des prix
Evolution des prix 1995-2005 – Produits alimentaires (évoluant plus vite que l’inflation)
Evolution des prix 1995-2005 – Produits alimentaires (évoluant moins vite que l’inflation)
Evolution des prix 1995-2005 – Alcool et tabac
Evolution des prix 1995-2005 – Produits – Vêtements – Chaussures
Evolution des prix 1995-2005 – Logement
Evolution des prix 1995-2005 – Ameublement – Equipement de la maison
Evolution des prix 1995-2005 – Santé
Evolution des prix 1995-2005 – Transport
Evolution des prix 1995-2005 – Communication – Loisirs – Culture – Enseignement
Evolution des prix 1995-2005 – Divers et Horeca