-
Les comptes de situation CPC
Les comptes de gestion ; bilan
Etat de solde de gestion : ESG
Les entreprises ont besoin des facteurs de production pour fonctionner : le facteur de travail ;
le facteur capital « capital financier propre et étranger, capital technique » ; tous cela va aider
à créer la valeur ajoutée.
Le tableau de financement nous permet de savoir la politique de financement passé de l’en/se.
L’etic ; état des informations complémentaire. C’est un état complémentaire des autres
« annexe ». Le crédit-bail est mentionné dessus.
Un produit est une source d’enrichissement. Une charge est une source d’appauvrissement.
Balance sheet: bilan
Account statement: CPC
La start up est une entreprise qui vient de démarrer mais qu’il est qualifié de pousser vite. Le
projet est porteur qui aide à croitre rapidement. Les capital-risqueurs « venture capitalists» ;
« Un business angel» particulier qui fournissent ces startup.
Norme IFRS : ce sont des normes qu’on applique pour que l’information comptable soit plus
concrète sur le marché. La juste valeur ; « fair value»
Audit et au service du contrôle interne et il est au service du contrôle de gestion.
Activités financière de l’en/se.
Liées à la trésorerie, elles peuvent être classées en trois catégories :
Les opérations relatives aux investissements : acquérir et vendre des équipements, des
constructions, du matériel,…
Les opérations de financement : augmenter le capital, emprunté, remboursé des dettes…
Les opérations relatives à l’exploitation ou l’activité : acheter et payer, vendre et encaisser,
payer les salaires,…
Une augmentation de capital se fait quand la société grandie. Les OCA ; c’est en départ une
obligation qui permet à son propriétaire de rendre cette obligation une action. Une fausse
augmentation des capital est le faite de faire ce qu’on a comme réserve passe au capital,
juridiquement sa change. Une dette à plus d’un an est un emprunt. Le mot crédit s’adapte au
cours terme
Qu’est-ce que la finance ?
La finance est une discipline qui traite de la recherche et de l’allocation optimale
de ressources rares et couteuses à des choix multiples : investissements,
placements, exploitation.
Ainsi, la fonction financière :
- Arbitre les options stratégiques de l’entreprise - Est reliée transversalement aux autres fonctions de l’entreprise. - A pour finalité l’optimisation du couple « rentabilité-risque »
-
Que fait gagner la société à ses actionnaires : résultat net
Le gendarme de la bourse de Casablanca : CDVM ; conseil déontologique des valeurs
mobilier. Site « CDVM Maroc ».
Une dette pour un financier c’est une ressource. Une dette est bonne s’elle est une source de
financement. L’effet de levier : c’est le cas de gagner de l’argent avec de l’argent des gens ».
Le biseness plan.
La rentabilité est une fonction croissante du risque. Il n’y a pas de rentabilité sans risque, il
n’y a pas de risque s’il y a pas une rentabilité à venir. La rentabilité est exprimée en
pourcentage. Rentabilité ; roi ; return on investment.
ISO : international standards organization.
La servuction ; processus de production des services. On a à coté la production.
La finance en trois questions
Toute la finance peut être résumée en trois question presque existentielles :
Comment trouver de l’argent ?
Comment garder son argent ?
Comment gagner de l’argent ?
La gestion financière :
Elle propose un carde théorique d’aide à la préparation et à l’exécution des
décisions financières stratégiques (moyen et long terme) et opérationnelles
(court terme).
Elle trouve son expression dans les grands domaines de la finance
d’entreprise « corporate finance » :
- Analyse financière - Choix des investissements - Choix des modes de financement - Elaboration du plan de financement - Gestion de la trésorerie.
La gestion est une discipline qui consiste à planifier, fixer des objectifs, organiser, coordonner
et ensuite contrôler.
Analyse financière ; est d’analyser le passé
Un gestionnaire : un cost killer ; maitriser les couts.
Un manager : c’est un gestionnaire qui gère aussi son groupe, il est plus créatif.
En gestion financière,
L’objet est de maximiser la valeur de l’entreprise
Il faut donc apprécier une entreprise selon :
- Sa capacité à obtenir et maintenir durablement une rentabilité suffisante des capitaux investis.
-
Orthodoxie financière : le long finance le long, le moyen finance le moyen, le court finance le
court.
Congloméra : un grand groupe qui est sur plusieurs secteurs.
Le holding : a un métier de financier.
- Sa capacité à maitriser les risques financiers, c’est-à-dire à assurer sa solvabilité et sa liquidité.
La valeur actionnariale : la valeur de l’entreprise aux actionnaires.
La raison d’être du financement permanant ; il doit exister pour financier l’actif
immobilisé.
Les cycles financiers de l’entreprise.
- Le cycle d’exploitation :
Il regroupe les opérations liées aux activités courantes, donc récurrentes, de
l’entreprise : approvisionnement, production, vente…
La durée du cycle d’exploitation correspond au temps qui s’écoule entre
l’approvisionnement et le règlement des clients. Cette durée peut être plus ou
moins longue en fonction de l’activité de l’entreprise (quelques jours à quelques
mois).
Le schéma ci-dessous reproduit le cycle d’exploitation d’une entreprise
industrielle.
-
Les cinq forces de porter
https://www.google.com/search?q=michel+porter&oq=michel+porter&aqs=chrome..69i57j69
i60j69i59j69i60j69i59j69i60.3423j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-
8#q=michael+porter
On peut ajouter deux autres menaces :
L’état ; fermeture de la frontière…
La menaces des forces sociale cache investigation « marketing : les stratégies secrète » France
2.
- Le cycle d’investissement
C’est un cycle long qui désigne toutes les opérations relatives à l’acquisition ou
à la création des moyens de production incorporels, corporels ou financiers.
- Le cycle de financement
Le cycle de financement est un processus regroupant l’ensemble des opérations
financières relatives à l’activité de l’en/se.
Le cycle de financement est la contrepartie des cycles d’exploitation et
d’investissement
Il correspond aux opérations de financement de l’en/se, au moyen de fonds
propres et/ou de fonds d’emprunt.
https://www.google.com/search?q=michel+porter&oq=michel+porter&aqs=chrome..69i57j69i60j69i59j69i60j69i59j69i60.3423j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8#q=michael+porterhttps://www.google.com/search?q=michel+porter&oq=michel+porter&aqs=chrome..69i57j69i60j69i59j69i60j69i59j69i60.3423j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8#q=michael+porterhttps://www.google.com/search?q=michel+porter&oq=michel+porter&aqs=chrome..69i57j69i60j69i59j69i60j69i59j69i60.3423j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8#q=michael+porter
-
Analyse et diagnostic financier
- L’analyse financière
L’analyse financière est au service du diagnostic financier.
Elle constitue un ensemble de concepts, de méthodes et d’outils qui permettent
de formuler une appréciation relative à :
• La situation financière passée et actuelle d’une en/se ;
• Aux risques qui l’affectent ;
• Au niveau et à la qualité de ses performances. - Le cadre du diagnostic financier
Le diagnostic financier s’insère dans le diagnostic global de l’entreprise.
Le diagnostic financier se construit à partir des informations comptables
Le diagnostic financier s’appuie dur les valeurs de référence.
Les créateurs de la méthode SWOT sont LCAG « Learned, Christensen, Andrews et Guth qui ont proposé ce modèle »
- Le but de l’analyse financière
Le but de l’analyse financière est, selon le cas :
- Soit d’évaluer la solvabilité de l’en/SE (pour lui accorder un crédit par exemple) : analyse crédit ;
- Soit d’estimer la valeur de l’entreprise dans une optique de cession de participation ou d’achat ou de vente d’actions en bourse : évaluation
d’entreprise.
La valeur dépend de l’utilité du bien chacun perçoit la valeur de sa manière. Le prix est
objectif, il est définie par l’offre et la demande.
La qualité :
L’entrée en bourse : IPO : initiale public offering : offre publique initiale
Le ratio cout / bénéfice « C/B »
RATIO COURS/BÉNÉFICE - RATIO C/B
=
Valeur au marché par action
Bénéfice par action
L'un des ratios les plus utilisés, il permet de comparer le prix courant au bénéfice
afin de déterminer si le titre est surévalué ou sous-évalué.
-
• Bénéfice par action : le bénéfice devisé par le nombre des actions.
Aide-Mémoire
• En règle générale, lorsque le ratio C/B est élevé, cela signifie
que les investisseurs prévoient une forte croissance dans le
futur.
• Le ratio C/B moyen du marché est de 20 à 25 fois le bénéfice.
• En utilisant dans la formule le bénéfice estimé, on obtient le
ratio C/B prévu.
• Les sociétés qui perdent de l'argent n'ont pas de ratio C/B.
[Cliquez sur le bouton ci-dessus pour consulter les états consolidés des résultats]
Pour Tequila Cory inc.
107.125 $
= 164.8
0.65 $
Analyse du ratio cours/bénéfice : Parfois appelé coefficient de capitalisation des bénéfices, le ratio C/B représente une prévision ou plus exactement une attente quant au rendement futur de l'entreprise. Le ratio C/B global du marché s'établit autour de 20 et vous pouvez constater que celui de Tequila Cory inc. est beaucoup plus élevé. En d'autres mots, le marché fonde de grands espoirs sur Tequila Cory inc. pour la prochaine période.
Souvenez-vous que, si le ratio C/B d'une société est bas, cela ne veut pas
nécessairement dire que son titre est sous-évalué. Le ratio C/B ne détermine pas
le cours de l'action - en fait, un ratio C/B bas peut indiquer que le bénéfice de
l'entreprise est stable ou qu'il croît lentement, comme il peut signifier que
l'entreprise éprouve des difficultés financières. Le ratio C/B ne dit pas tout, mais il
https://www.disnat.com/Content/images/BrokerageNotion/ratios6.jpg
-
est utile de comparer le ratio C/B de différentes sociétés au sein d'un secteur
d'activité ou sur le marché en général, ou le ratio C/B courant d'une entreprise
par rapport à ses ratios C/B antérieurs.
- Objectifs de l’analyse financière :
• Impératifs de l’entreprise o Assurer sa continuité et son développement o Payer ses créanciers et partenaires o Rémunérer ses actionnaires « bénéfices »
• Objectifs de l’analyse financière o Independence o Solvabilité o Liquidité o Rentabilité
Il ressort de cette analyse que les différents acteurs s’intéressant à
la santé de l’entreprise auront des objectifs et des intérêts
divergents
- Les utilisateurs de l’analyse financière
Les banques
Les analyses financière sur les marchés
Les crédits managers
Les sociétés d’affacturage ou factoring. L'affacturage (factoring en anglais) est une technique de financement et de recouvrement de créances mise en œuvre par les entreprises et consistant à obtenir un financement anticipé et à sous-traiter cette gestion à un établissement de crédit spécialisé : l'affactureur ou, en anglais, factor1.
Les entreprises
Les comités d’entreprise
Les organisations statistiques
Les agences de notation ou « rating » (exemples : standard & poor’s, Moody’s,
fitch) Une agence de notation désigne généralement une agence de notation financière et ne doit pas être confondue avec une agence de notation sociale et environnementale liée à la notion de Responsabilité sociale des entreprises. Une agence de notation désigne traditionnellement
dans le langage courant une entreprise ou une institution chargée de la notation des collectivités (États…) ou des entreprises selon certains critères définis par une réglementation ou par les acteurs du marché
https://fr.wikipedia.org/wiki/Recouvrement_de_cr%C3%A9anceshttps://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissement_de_cr%C3%A9dithttps://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissement_de_cr%C3%A9dithttps://fr.wikipedia.org/wiki/Affacturage#cite_note-1https://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_de_notation_financi%C3%A8rehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_de_notation_sociale_et_environnementalehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Responsabilit%C3%A9_sociale_des_entreprises
-
- Objectifs de l’analyse financière selon certain utilisateurs
Utilisateurs Objectifs Optique du diagnostic
Actionnaires Maximisation de la richesse - Rentabilité financière - Risque financier
Dirigeants Maximisation des revenus - Croissance - Rentabilité économique - Autonomie financière
Créanciers Remboursement des créances - Risque de défaillance - solvabilité
Salariés Maintien de l’emploie et croissance des
rémunérations
- croissance - rentabilité économique - risque de défaillance
- La démarche de l’Analyse financière
1 - L’Évaluation des performances de l’entreprise :
- Analyse de l’Activité
- Analyse de la Productivité
- Analyse de la Rentabilité
2 - L’Évaluation de la solidité financière de l’entreprise :
- Analyse de la Structure financière
- Analyse de la Solvabilité - Liquidité
- Analyse financière d’une en/se
• Evaluation de ses performances 1. Activité : chiffre d’affaires, production de l’exercice, valeur
ajoutée
2. Productivité : des moyens utilisés, des moyens consommés 3. Rentabilité : commerciale, économique, financière
• Evaluation de sa solidité financière 1. Structure financière 2. Liquidité-solvabilité
La productivité : En économie, la productivité entend mesurer le degré de contribution d'un ou de plusieurs facteurs de production (facteurs matériels consommés ou facteurs immatériels mis en œuvre) à la variation du résultat final dégagé par un processus de transformation. La productivité est en lien avec les notions de rendement, d'efficacité, et d'efficience.
Les comptes de ‘actif circulant doivent baissés et si c’est possible tendre vers zéro.
La différence entre stock minimum, stock alerte et stock de sécurité
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rendementhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Efficacit%C3%A9https://fr.wikipedia.org/wiki/Efficience
-
1- -18000 dh
In a business enterprise, downsizing is reducing the number of employees on the operating payroll. Some users distinguish downsizing from a layoff , with downsizing intended to be a permanent downscaling and a layoff intended to be a temporary downscaling in which employees may later be rehired. Businesses use several techniques in downsizing, including providing incentives to take early retirement and transfer to subsidiary companies, but the most common technique is to simply terminate the employment of a certain number of people.
Oui on a distribué tous les bénéfices, 180000
Oui, 180000
Une entreprise sous endetté : elle peut encore s’endetter s’elle le souhaite jusqu’à le niveau
des capitaux propres.
Les stocks sont gonflé ce qui veut dire qu’on gère mal le stock.
On vend à crédit au client.
2-
n n-1
Capitaux propres
+ emprunts auprès des établissements de
crédit
- Immobilisations
Fonds de roulements
Stocks
+ clients
- Fournisseurs - Dettes fiscales et sociales
Besoin en fonds de roulement
Disponibilités
- Concours bancaires
trésorerie
1 120 000
389 000-24 000 =
365 000
1 485 000 – 1 480 000
= 5000
147 000 _ 124 000 =
23 000
5000 _ 23 000 = -18
000
1 070 000
412 000
1 482 000-1 370 000
= 112 000
103 000 – 145 000 =
-46 000
112 000 _ 46 000 =
158 000
✓ Le fond de roulement doit être si possible égal à zéro. Le fond de roulement est un agrégat d’analyse de l’équilibre fin du haut du bilan. On est en cas d’un excédant.
FR = FP _ AI
-
✓ Le besoin de fond de roulement est un agrégat de l’analyse de l’équilibre fin du cycle d’exploitation.
BFR = AC (ht) _ PC (ht)
Au Maroc on le nomme BFG « besoin de financement global »
RFR : ressource en fond de roulement ; c’est quand le BFR est négatif.
✓ Trésorerie nette est une résultante entre le haut du bilan et le cycle. Elle est la conséquence des décisions stratégique et les décisions fonctionnelles.
TN = FR _ BFR
TN = TA _ TP
Dans le cas de n-1 on se trouve devant l’équilibre financier (4)
Equilibre financier satisfaisant en raison de trésorerie positive, avec risque de manque à
gagner « si sa reste pendant quelque mois ».
Dans le cas de n on se trouve devant le d’esquire financier (2)
Déséquilibre financier en raison de trésorerie négatif.
Tp n° 2
Exemple :
FR = 700 000-60 000 + 1453 000 - 1500 000 – 482 000 – 80 000 = 30 500
BFR = 53 200 + 82 300 – 59 000 = 76 500
TN = FR – BFR = - 46 000
On se trouve devant le cas numéro (2)
AC PC
Exemple1 :
On se trouve devant le cas numéro (6)
Exemple2 :
n-1 cas (5)
AI FP
FR
-
n cas (3)
Chiffre d’affaire en dehors c’est la vente en crédit. En dedans c’est la vente au comptant.
Tableau synthétique :
Solidité : santé,
Performance : efficacité et l’efficience
Un indicateur de performance : activité, productivité, rentabilité.
Le diagnostic économique et financière de l’entreprise : synthèse
Une en/se en bonne santé c’est celle qu’elle a moins de risque et une bonne rentabilité.
Le seuil de rentabilité est le niveau d’activité pour lequel le résultat courant est nul. On parle
souvent du chiffre d’affaire critique.
Le point mort, est le moment auquel on atteint le seuil de rentabilité. L’entreprise commence
à réaliser des bénéfices quand elle dépasse ce point.
Etude de cas n°1 :
Annexe1
Analyse première
Rentabilité économique = (résultat d'exploitation - impôts sur les bénéfices) / (capitaux
propres + dette financière)
Rentabilité financière = (résultat d'exploitation - impôts sur les bénéfices - intérêts versés aux
dettes financières) / capitaux propres
Le risque d’une entreprise : elle est sous endettée
Elle a un besoin de fond de roulement ce qui est naturel puis ce que c’est une en/se
industrielle.
Les immo en non-valeur sont des charges qui ne représente rien dans le patrimoine de
l’entreprise donc il faut les retranchés. En face on retranche les capitaux propres. Comme ça
on garde que les choses qui ont une valeur. La raison de leur présence est pour les amortir
Tableau des retraitements « correction et reclassement »
AI AC TA FP PC TP
920 000 310 000 70 000 1 000 000 200 000 100 000
Immo en non valeurs -45 000 -45 000
-Stock mort -4000 -4000
http://www.journaldunet.com/business/pratique/dictionnaire-comptable-et-fiscal/15133/resultat-d-exploitation-definition-calcul-traduction-et-synonymes.html
-
-stock outil +12 000 -12 000
-créance recouvrable à +
d’un an
+20 000 -20 000
-Créance provisionnée
irrécouvrable
Créance non provisionnée
irrécouvrable
-15 000 -15 000
Compte associés bloqués +50 000 -50 000
Les écarts réévaluation :
*MO
*MT
*MB
+50 000
-10 000
+50 000
-10 000
-prov durable pour risques
sans objet
-12 000 +12 000
-prov durable pour charge
à moins d’un an
-25 000 +25 000
-autres provision pour
risque et charge à plus
d’un an
+35 000 -35 000
Prêt immobilisé à moins
d’un an
-50 000 +50 000
Autres dettes de
financement à moins d’un
an
-60 000 +60 000
Tvp quasi liquide -30 000 +30 000
-répartition du résultat
distribution
-35 000 +35 000
-dette fournisseur +40 000 -40 000
Totaux après retraitements 897 000 279 000 100 000 969 000 207 000 1 000 000
Titre et valeur de placement : correspondent à des titres acquis avec une intention de
conservation à moyen terme pour en tirer un rendement ou une plus-value.
Le report à nouveau est un cumul des bénéfices ou déficits des années antérieures non
distribués et non affectés en réserves.
FR net ou fin = 72 000
-
BFR = 72 000
TN = 72 000 – 72 000 = 0
L’équilibre financier est satisfaisant.
-
Analyse financière par les ratios
L’analyse financière par ratios est un des principaux outils utilisés pour réaliser l’analyse
financière
L’utilité d’un ratio financier
Les ratios de l’analyse fin peuvent etre classés en :
Ratios de structure « financière » à partir des données du bilan
Ratios de gestion « du cycle » qui comparent des postes du bilan et du compte de produits et
charges
Ratios de rentabilité qui définissent des rapports entre les résultats, le chiffre d’affaires ou le
capital.
A. Ratios de structure Caractérisant l’équilibre financier global de l’en/se, les ratios fin analysent les grandes
masses du bilan :
1. Ratio d’indépendance financière = capitaux propres/ capitaux permanants > ou = ½
2. Ratio d’autonomie financière = capitaux propres/ financement permanent.
Ce dernier doit être > 50 % Plus on se rapproche de ce seuil, plus l'entreprise aura des
difficultés pour recevoir de nouveaux crédits.
3. Ratio de solvabilité générale = capitaux propres/ passif total > ou = 1/3 4. Ratio d’endettement à terme (leverage) = dette LMT/ capitaux propres < ou
=1
5. Ratio de capacité de remboursement = dettes à MLT / CAF< ou = 4 Ce ratio mesure le nombre d’années nécessaire au remboursement des dettes fin à
partir de la CAF, sachant que celle –ci doit également service à l’autofinancement
et à la distribution de dividendes.
-
La Caf est un indicateur de financement interne généré par l’activité courante de l’en/se.
La CAF doit permettre le :
1. Remboursement des dettes correctement à leur échéance 2. Réinvestir 3. Dividendes
6. Ratio de liquidité générale = actif circulant « y compris la TA »/ dettes à court terme « PC y compris la TP »
Il mesure la capacité de l’en/se à respecter ses obligations financière à court terme et à
survivre à des conditions économiques défavorables.
7. Ratio de liquidité relative = valeurs réalisables et disponibles à court terme/ dettes à court terme
Stocks : valeurs d’exp
CP Clt + tvp : valeurs réalisables
TA : valeurs disponibles
Ce ratio indique la situation de trésorerie de l’en/se. En général il est inférieur à l’unité. La
trop grande faiblesse de ce ratio peut indiquer une rupture prochaine de trésorerie.
8. Ratio de liquidité immédiate = TA/PC B. Ratios de gestion
Ratios de délai moyen/stocks =
• Stock moyen m/ses *360j / achats m/ses
• Stock moyen produits finis * 360j / production
En moyen les marchandises sont gardés dans l’en/se pendant
Mesure la fréquence de renouvellement des stocks
-
Ratio de délai moyen créances clients = créances clients *360j/ chiffre d’affaires TTC
Ce ratio permet de mesurer le degré de liquidité des créances clients. En bonne gestion, la
rotation des créances clients ne devrait pas être moins rapide que celle des dettes fournisseurs.
Afin de rendre homogènes le dénominateur et le numérateur.
Ratio de délai moyen dettes fournisseurs= dettes fournisseurs * 360j / achats TTC
Ce ratio permet de mesurer le degré
C. Ratios de rentabilité
La rentabilité est l’aptitude
Différentes expressions de la rentabilité
1. Rentabilité commerciale = résultat net/ CA HT 2. Rentabilité économique = résultat d’exploitation / actif économique (immo
exploitation + BFRE) ou financement permanent
3. rentabilité financière (ROE) = résultat net/ capitaux propres 4. ratio de profitabilité = résultat courant/ CA HT
D. État de solde de gestion : ESG
L’état des soldes de gestion est l’état de synthèse qui décrit, sous forme de tableaux, la
formation du résultat net et de l’autofinancement de l’exercice, en mettant en évidence des
soldes de gestion significatifs.
Il est formé de deux tableaux :
Le tableau de formation des résultats : le tableau de formation des résultats permet d’analyser,
en cascade, les étapes successives de la formation des résultats. Il fait apparaitre les soldes
caractéristiques de gestion.
Le TFR permet alors de répondre à deux questions :
Comment la richesse est créée ?
Comment est-elle répartie pour rémunérer les facteurs de production :
-
iv- La valeur ajoutée
• Définition et calcul
Elle représente la véritable richesse créée par l’entreprise du fait de son activité d’exploitation
et sa contribution à l’économe nationale.
-
• Intérêt économique de la VA :
Elle mesure le poids économique de l’entreprise et constitue le critère de taille le plus
pertinent.
Elle permet de faire des comparaisons entre entreprises
Le pourcentage de variation de la VA est un bon indicateur de la croissance de l’entreprise.
Ratio d’intégration de l’en/Se = VA / production de l’exercice
Par définition
-
En conséquence :
VA = somme des rémunérations des facteurs de production
v- L’excèdent brut d’exploitation : EBE ou IBE (insuffisance brute d’exploitation)
EBE c’est un indicateur de performance économique.
• Définition et calcul :
L’EBE représente un premier niveau du résultat d’exploitation calculé par la différence entre
les produits d’exploitation (autres que les produits et les reprises) et les charges
d’exploitations (autres que les dotations d’exploitations aux amortissements et aux provisions)
• Intérêt économique de l’EBE ➢ L’EBE est indépendant du mode de financement, des modalités d’amortissement et des
éléments courants. Il constitue de ce fait un bon critère de performance économique de
l’entreprise. D’où l’intérêt de comparaison avec les autres entreprises du secteur.
➢ S’il s’agit d’une insuffisance brute d’exploitation, cela signifie que l’exploitation n’est pas rentable et que l’entreprise n’est pas en mesure de payer ses charges financières, ni
renouveler ses immobilisations. D’où une aggravation de son endettement.
vi- Le résultat d’exploitation
Le résultat d’exploitation est donné directement par le CPC ou caculé, en tant que solde de
gestion, à partir de l’EBE.
-
Le résultat d’exploitation fournit le niveau de la performance réalisée après amortissement
mais avant influence des charges et produits financiers et des éléments non courants.
vii- Le résultat financier
Après le calcul du résultat d’exploitation, les autres niveaux de résultat sont tirés directement
du CPC.
Le résultat financier permet de connaitre le cout de l’endettement que supporte l’entreprise. Il
est lié à la politique de financement de l’entreprise.
viii- Le résultat courant
Il résulte des opérations ordinaires ou habituelles de l’entreprise, sur le plan industriel,
commercial et financier, exclusion faite des éléments non courants et de l’impôt sur le
résultat.
ix- Le résultat non courant
Il est calculé de façon isolée car il ne présente pas un caractère habituel pour l’entreprise.
x- Le résultat net de l’exercice
Il représente le revenu qui revient aux associés. C’est à partir du résultat net qu’on calcule la
rentabilité des capitaux propres.
E. Le tableau de calcul de la capacité d’autofinancement CAF et de l’autofinancement AF :
i- Définition de la CAF
C’est la ressource de financement générée par l’activité de l’entreprise au cours de l’exercice
avant affectation du résultat et que l’entreprise peut consacrer à l’autofinancement.
ii- Calcul de la CAF
La CAF représente la totalité des ressources internes que l’entreprise pourrait consacrer à
l’autofinancement. Ces ressources sont constituées par :
- L’encaissement des produits, générateurs de recettes ; - Diminués du paiement des charges, entrainant des dépenses.
CAF = produits encaissables – charges encaissables
Deux méthodes de calcul de la CAF sont retenues :
La méthode additive
La méthode soustractive
• La méthode additive
Le plan comptable marocain préconise la calcul de la CAF à partir du résultat net de
l’exercice.
-
• La méthode soustractive
Le calcul de la CAF selon la méthode soustractive, à partir de l’EBE, s’obtient en faisant la
différence entre tous les produits encaissables (non calculés) et les charges d’abaissables (non
calculées).
EBE
Retranchés
Charges décaissables
Autre charges d’exploitation
Charges financières
Charges non courantes
Ajoutés
Produits encaissables
Autres produits d’exploitation
Transfert de charges d’exploitation
Produits financiers
Produits non courants.
A l’exception
Les dotations relatives à l’actif immobilisé
Les dotations relatives au financement
permanent
La VNA des immobilisations cédées
Les reprises su A P de l’actif immobilisé
Les reprises sur provisions durables pour
risques et charges
Les reprises sur provisions réglementées
Les reprises su subventions d’investissement
Produits de cessions d’immobilisation.
• Intérêt de la CAF
-
Comme son nom l’indique la CAF détermine les possibilités d’autofinancement de
l’entreprise. Plus la CAF est élevée, plus les possibilités d’autofinancement sont grandes.
La CAF détermine également la capacité de remboursement des dettes de financement.
Les banques considèrent généralement le ration dettes de financement / CAF auquel elle fixes
comme limite maximum 4. En d’autres termes, les dettes de l’entreprise de devraient pas
excéder 4 fois la CAF.
iii- L’autofinancement
L’autofinancement présente certain sur le plan stratégique et sur le plan financier :
L’autofinancement confère à l’entreprise des degrés de liberté en matière de choix des
investissements.
Sur le plan financier, l’autofinancement constitue un facteur d’indépendance financière ; il
permet à l’entreprise de limiter le recours à l’endettement et améliorer sa rentabilité financière
en réduisant les charges financières.
ETE= EBE – variation BFRE
Trésorerie d’exploitation Trésorerie globale
Trésorerie potentielle
(Produits ; charges)
Excédent brut
d’exploitation
EBE
CAF
Produit encaissables –
charges décaissables
Trésorerie réelle
(encaissement ;
décaissement)
ETE
Encaissement d’exp –
décaissement d’exp
ETG
Encaissements –
décaissements
EBE : c’est un indicateur de performance économique, c’est un excédent de richesse
créé.
BCG
-
Le tableau de financement
VB Ammort VNA Prix de
cession
+ ou_ value
Construction
Matériel
Titre de
participation
15 000
5 000
5000
5 000
2000
0
10 000
3000
5000
13 000
1000
6000
+3 000
-2 000
+1000
La TF se calcule à partir de deux bilans avant répartition de résultat.
Un emploi c’est une augmentation de l’actif et diminution du passif
Une ressource c’est une augmentation du passif et diminution de l’actif
L’effet de levier financier ou effet de levier de la dette mesure l’impact l’endettement à terme
« à plus d’un an » sur la rentabilité financière.
Le seuil de rentabilité est le chiffre d’affaire ou le resultat courant = 0
Levier d’exploitation ou levier opérationnel = (∆ rex/ rex) / (∆ CA/ CA) = 5 « si le chiffre
d’affaires augmente de 1% le rex augmente de 5% »