Travail de Recherche
La survie du mythe d’Électre
dans la littérature française
Júlia Rocas Sumoy
Dirigé par Isabel Domínguez
2n de Batxillerat 3
IES Montserrat
06. 11. 2013
NOTE DE REMERCIEMENT
Premièrement, je voudrais vraiment remercier à Anna Valls pour sa contribution sur la
recherche des documents que je nécessitais pour pouvoir développer cet ouvrage.
Ensuite je veux aussi montrer ma reconnaissance à Francesc Garrido pour avoir voulu
rédiger le prologue et à mes parents pour m’avoir conseillé tout au long du procès en
me proposant certaines corrections et modifications pour améliorer mon labeur.
Finalement je ne veux pas oublier la patience et la dédicace de mes professeures
Isabel et Maria Jesús.
A tous je vous remercie sincèrement votre effort et votre appui.
INDEX
·Prologue p.1
·Introduction p.3
·Pourquoi Électre p.6
-La famille des Atrides p.7
·Époque Classique p.8
-Eschyle p.9
-Sophocle p.11
-Euripide p.13
·Comparaison Classique p.15
·XVIIIème siècle p.24
-Hilaire-Bernard de Longepierre p.26
-Prosper Jolyot de Crébillon p.28
-Nicolas-François Guillard p.30
·XIXème siècle p.32
-Marie-Joseph Chénier p.34
-Charles Baudelaire p.36
·XXème siècle p.39
-Jean Giraudoux p.40
-Jean-Paul Sartre p.42
-Margarite Yourcenar p.44
-Jean Anouilh p.45
·Conclusions p.47
-Forme p.47
-Titre p.48
-Division des pièces p.48
-Lieux où se développe l’action p.49
-Présence des annotations p.50
-Temporalité p.51
-Le Chœur p.52
-Deus-ex-machina p.53
-Personnages p.54
-Argument p.61
-Finalité p.65
·Attachés p.66
-Fiches d’œuvres p.66
-Graphique Chronologique p.70
-CD avec les œuvres des auteurs français en version PDF p.71
·Bibliographie p.72
PROLOGUE
Júlia entró a formar parte de mi vida, o mejor dicho, yo entré a formar parte de su vida
en el momento en que la pusieron en el grupo que yo tutorizaba y creo que yo,
también, tuve mucho que ver en su conocimiento y tratamiento de los clásicos y, en
concreto, de la mitología.
Los mitos han llamado siempre la atención de todas las personas. Por mucho que
pasen los años, es más, los siglos; los principales personajes mitológicos siguen
estando presentes en nuestra cultura, nuestra sociedad o incluso en nuestro trabajo
diario, porque hay en ellos algo inexplicable que nos une, nos conecta o nos hace
reflexionar sobre diferentes aspectos de nuestra vida. Muchas veces nos interesamos
por un personaje en concreto sin ninguna razón aparente y, cuando indagamos y
profundizamos en la vida y en las historias de éste, nos sorprendemos al observar las
infinitas similitudes que compartimos, como si fuera el personaje el que nos ha elegido
a nosotros o el que nos marca el ritmo de nuestra vida. Seguramente algo así debió de
suceder en el momento en que Júlia decidió investigar más a fondo el papel de
Electra, quizás porque aun ignorándolo, tienen muchos puntos en común y quién sabe
si no es el propio personaje dramático el que la estaba buscando a ella.
Para llegar hasta el fondo de sus características, nuestra autora ha utilizado un
sistema comparativo, iniciado hace años por dos grandes conocedores de la historia:
un lingüista como Franz Bopp, que descubrió el origen de nuestra lengua y nuestro
pasado común, y Georges Dumézil, un mitólogo que demostró el parentesco entre
religiones muy dispares entre sí. Los dos lo consiguieron con un sistema innovador
para la época: la lingüística y la mitología comparada, respectivamente. Júlia se ha
servido de la misma técnica, en este caso literaria, para comparar el tratamiento del
mito en los autores clásicos (Esquilo, Sófocles y Eurípides) y en autores posteriores
de la literatura francesa más actual; denotando las similitudes y las diferencias entre
ellos, en la contemporaneidad; y entre todos, en la distancia temporal. Sus
conclusiones tienen en cuenta el más mínimo detalle de cada una de las obras y
ofrecen al lector teorías y reflexiones dignas de un personaje que demostró tener una
gran personalidad, así como un fuerte carácter, y que estuvo dotado de una seguridad
impropia para su época; por todo lo cual, llegó a ser un personaje tan temido por
algunos hombres en aquella sociedad y tan seguido, posteriormente, por otros que
deseaban mostrar las injusticias o desigualdades sociales.
Quién sabe si estamos ahora mismo delante de una gran obra maestra que pueda
asentar nuevas teorías; al igual que los antecesores “comparatistas” del XIX que, sin
saberlo, crearon un nuevo sistema de estudio, utilizado aún hoy día, y de deducciones,
demostradas científicamente hace pocos años.
Asimismo, el personaje de Electra aporta a nuestra autora una seguridad que le
permite obtener unos objetivos muy interesantes. Esa seguridad es propia de una
personalidad y de un carácter muy concretos; parecidos y muy cercanos una de la
otra. Seguramente, porque desde un principio, compartían una similitud entre ellas que
las atraía entre sí.
Francesc Garrido
INTRODUCTION
« Comment a évolué la société par rapport à la mythologie classique ? » C’est quelque
chose que je m’ai toujours demandé. Ce n’est pas une question qui m’est arrivée
quand je pensais au travail de recherche, sinon que c’est quelque chose dont j’y suis
intéressée depuis très longtemps et par rapport à des aspects très différents. Peut-être
cette question a aussi été ma première hypothèse de travail quand j’ai pensé pour la
première fois à chercher un sujet pour mon travail. Et elle est devenue si intéressante
que je me suis fait plusieurs questions qui m’ont menée, avec l’aide de ma tuteure, à
chercher un mythe grec qui ait eu survie dans des époques postérieures. Ces
« époques postérieures » ont devenu, quand j’ai commencé à concréter le sujet, la
littérature française, car comme je devais faire tout mon travail en français, j’ai pensé
que ce serait plus facile de travailler avec des pièces et des auteurs d’origine français.
L’étape suivante que je devais résoudre c’était choisir un mythe. J’en ai cherché
plusieurs et finalement, après en avoir lu les arguments et cherché les pièces qui y font
référence, j’ai choisi le mythe d’Électre. La première des raisons c’était l’étendue
influence que ce mythe a eu dans la littérature française, et puis dans la psychologie
du XXème siècle. Il y avait aussi une question d’argument : je ne connaissais pas ce
mythe et il m’a attiré l’attention, comme antérieurement me l’avait attiré le mythe
d’Antigone, car ce son des histoires avec une protagoniste qui est sûr d’elle-même, qui
n’a pas peur et qui lutte pour ses sentiments, pour ses désirs et pour la justice. Mais,
même si elles ont un caractère très fort, elles ont aussi un beau cœur qui souffre et qui
aime. Électre aime son père et puis elle aimera Pylade, avec qui se mariera, en faisant
n’importe quoi pour eux.
C’est pour ces raisons que j’ai choisi ce mythe, le mythe d’Électre. Le prochain aspect
que je devais traiter c’était chercher toutes les œuvres françaises qui aient relation
avec le mythe d’Électre, et puis j’ai fini le rédige de ma hypothèse de travail, où je me
posais questions par rapport aux variations dans les différentes versions, aux genres
littéraires et à la connaissance du mythe dans la société. Je voulais savoir comment
les différentes œuvres étaient arrivées au publique, l’influence que les écrivains
avaient eu et ses raisons pour parler d’Électre ; et c’était parce que je suis très
intéressé en tout ce qui concerne à la littérature et aussi à la mythologie. Savoir d’où
viennent les histoires qui racontent quelques auteurs, de qui se sont influencés et
quelle a été sa motivation pour traité ces sujets, c’est, pour moi, quelque chose
d’attirant, et à ce moment-là j’avais l’opportunité, et je l’ai eu pendant tout ce temps de
recherche, de connaître plus profondément les raisons de la survie d’un mythe, comme
celui d’Électre.
Alors, mes objectifs, le point où je voulais arriver, étaient simples. Je cherchais une
étude comparative, une étude pour voir les éléments communs et les différents des
œuvres. J’avais besoin de connaître nouveaux styles littéraires, d’apprendre à rédiger
une étude comparative, à éclaircir l’information, et je voulais traiter un sujet qui avait
relation avec la mythologie ainsi qu’avec la littérature comparée. Et j’y suis arrivé,
après la recherche et l’analyse complète de toutes les œuvres ; j’ai atteint à mes
aspirations.
La première chose que je devais faire pour pouvoir commencer mon travail c’était
trouver toutes les œuvres que j’avais choisi pour développer l’étude ; c’était une
mission difficile, car certains des pièces que je devais chercher avaient été composées
au XVIIIème siècle, c’est pourquoi je ne pouvais pas y accéder en l’achetant ou en le
demandant à la bibliothèque. D’abord c’était un problème, un grand problème, puis que
je ne savais pas comment je pouvais retrouver ces œuvres à Barcelone. Mais j’ai eu la
chance de connaître la Directrice de la Bibliothèque de l’Institut del Teatre de
Barcelone qui les avait presque toutes. Et les œuvres qu’elle n’avait pas elles étaient
les plus actuelles et je les ai trouvées plus facilement, de sorte que j’avais résolu le
plus grand des problèmes que j’avais. En ce moment-là j’avais une deuxième question
à résoudre : la langue. La plupart des œuvres étaient écrites en français, un français
ancien qui paraissait trop difficile à comprendre. En plus je devais rédiger tout mon
travail en français et je ne savais pas si je serais capable de le faire ; mais je l’ai
essayé et après de lire deux œuvres j’ai vu que ce n’était pas si difficile comme il
m’avait paru au début. Deuxième question résolue. A partir de ce moment il fallait
« seulement » lire toutes les pièces pour faire le travail. J’ai commencé avec les
tragédies grecques, et pour faciliter le postérieur étude et pouvoir faire une
comparaison complète, j’ai développé une fiche de chaque pièce. Dans ces fiches
j’annotais des aspects par rapport à la forme du texte, aux annotations, à l’apparition
des dieux, aux personnages et ses caractères, aux lieux où l’action se passait et aussi
au développement de l’argument. Comme ça j’aurais toute l’information nécessaire
bien ordonnée. En plus, quand je finissais chaque une des époques, chaque époque
était formée par un siècle, j’ouvrais un nouveau document où je faisais une
présentation historique et littéraire du siècle et puis je rédigeais une biographie des
auteurs avec une bref mentionne de l’œuvre et de ses caractéristiques principales. Par
rapport à l’époque classique, j’ai aussi fait une comparaison en montrant les similitudes
et les différences entre les trois tragédies. Pour bien développer ce travail j’ai bâti un
graphique chronologique qui m’a aidé à me situer dans le temps et j’ai lu plusieurs
livres d’histoire de la littérature, et tous les avant-propos des œuvres, où se racontent
certains aspects de la vie de l’auteur et de l’œuvre.
Finalement, en ayant lu toutes les pièces et en ayant étudié toutes les époques de la
littérature française où le mythe d’Électre a eu sa influence, j’ai développé la
comparaison générale en attendant tous les points déjà commentés pour en extraire
des conclusion.
POURQUOI ÉLECTRE?
Électre c’est un caractère de la mythologie grecque qui a eu une survie dans notre
culture grâce aux pièces théâtrales d’Eschyle, Sophocle et Euripide, mais aussi à
cause de sa histoire tragique qui sera reprise au XXème siècle du point de vue
psicològique et présentée comme la contrepartie féminine d’Edip, car ses actions sont
pareilles malgré que la finalité et ses destins sont différents.
Électre est décrite comme la fille d’Agamemnon, le roi de Mycènes, et Clytemnestre,
sœur d’Hélène. Sa tragédie commence quand son père, qui devait partir à la Guerre
de Troie, sacrifie sa petite fille Iphigénie aux dieux pour assurer la bonne chance des
grecs pendant la guerre. Clytemnestre ne pardonnera pas son mari pour avoir tué sa
petite fille, et pendant son absence elle planifiera la vengeance. Elle connaîtra Egisthe,
avec qui se marierait plus tard, et qui, pour obtenir le trône de Mycènes, l’aiderait à tuer
Agamemnon quand il reviendra de la guerre dix ans plus tard. En ce moment-là, sa fille
Électre, et même son fils Oreste, n’étaient pas dans la ville, de sorte que quand la
première rentrera à la maison émouvante de pouvoir revoir son père, elle découvrira la
trahison de sa mère et une haine incontrôlable s’emparera d’elle. Depuis alors, elle
voudra se venger des assassins de son père, mais elle ne le pourra faire jusqu’au
moment qu’Oreste, qui était exilé, reviendra à Mycènes. Pendant ce temps la fille vivra
dans un enfer où personne ne la comprend pas et elle deviendra, obligée, une esclave
des rois, de sa propre mère.
Quand Oreste rentre à la maison, il le fait, dans la plupart des versions, sous une autre
identité, car il cherchait la même chose que sa sœur à cause de la visite à l’Oracle de
Delfos qu’il avait fait : la vengeance. Sous cette identité, il cherche sa sœur Électre
jusqu’à la rencontrer et c’est alors que tous les deux planifient la grande vengeance.
Habituellement ce sera à Oreste de tuer Clytemnestre et Egisthe, et par conséquence
il deviendra fou en étant poursuivi par les Erynnies pour avoir assassiné quelqu’un de
sa propre famille. Alors Oreste part de Mycènes pour chercher protection à l’Oracle de
Delfos, mais ce sera finalement la déesse Athéna qui le recevra à l’Acropolis et le
portera avec sa sœur pour les acquitter de la punition. Quelque temps après, Électre
se marie avec Pylade, le meilleur ami d’Oreste et le même personnage qui l’avait
accueilli pendant l’exile.
Cet amour inconditionnel d’Électre pour son père et l’haine pour sa mère font de la fille
une figure réinventé et utilisé comme symbole de la fixation d’une fille pour la figure
paternelle et la compétence avec la mère. C’est un processus habituel dans la
formation psychique et émotionnelle des enfants et sa résolution, pour comprendre le
développement correcte et l’orientation de la sexualité et le rôle social.
Dans ce mythe il reste fossilisé le passage qui va d’une société matriarcale à une autre
de patriarcale. C’est pour ça que les Erynnies, défenseures du droit matrilinéaire,
attaquent à Oreste quand il tue sa mère, mais justifient de n’avoir pas poursuivi
Clytemnestre quand elle a assassiné Agamemnon, car elle n’a pas assassiné un
parent. Par contre, le tribunal des dieux décidé pardonner Oreste et Électre, et de cette
façon la mère ne sera plus la seule parente, c’est-à-dire que, le lignage évoluera pour
imposer les droits patriarcales sur les matriarcales.
·La famille des Atrides
Atreus
Anaxobie
Pylade
Agamemnon
Iphigénie
Électre
Oreste
Chrysotemis
Clytemnestre
Menelao
Hermione
Thyeste
Egisthe
ÉPOQUE CLASSIQUE
Entre les siècles V et IV aC est devenu, dans la culture grecque, l’époque classique où
le monde a commencé à évoluer aussi politique que littérairement, économique et
culturellement en devenant la première puissance et l’exemple à suivre par les
civilisations postérieures. Pendant ce moment historique les humains ont défini
certains aspectes liés à ses croyances religieuses à travers de la création des mythes
qui, au début, avaient pour objectif d’expliquer des événements qui prenaient source
dans la vie quotidienne, mais qui depuis quelques siècles voulaient raconter les
histoires des héros grecs. À la même époque la littérature est devenue une partie très
importante. La poésie, le théâtre et la narrative ont évolué en provocant la popularité
entre les gens : certains ont commencé à écrire des œuvres, des textes ; et d’autres se
sont intéressés à la littérature. C’est là qu’est apparue la majorité des auteurs les plus
importants du monde classique, parmi les quels on peut citer les trois dramaturges
tragiques Eschyle, Sophocle et Euripide. Avec l’amélioration littéraire et l’augment de
participation du peuple, se sont créées des compétitions théâtrales annuelles où les
écrivains devaient présenter une trilogie d’œuvres propres ; mais c’était presque
impossible d’écrire trois œuvres innovatrices et originales chaque année, de sorte que
les dramaturges ont eu l’idée de parler sur des mythes grecs connus par tout le monde
mais avec des caractéristiques argumentaires plus personnelles, qui changeaient
selon l’auteur.
C’est la raison pour la quelle aujourd’hui on trouve des pièces de théâtre grecques qui
parlent du même mythe ou qui racontent la même histoire et qui appartiennent à des
auteurs différents ; comme on peut le voir avec le mythe d’Électre. Il a été traité par les
trois dramaturges grecs mais il n’y en a aucune exactement pareille aux autres. Même
si elles appartiennent toutes les trois à la même époque, au même mouvement culturel
ou à une conception de la vie similaire, il y a des petits détails, et d’autres qui ne sont
pas si petits, dans l’argument et la mise en scène qui les différencient et les dotent de
la personnalité propre à l’auteur correspondant.
·Eschyle
Etude de l’auteur
Eschyle a été un des plus importants dramaturges grecs et
aussi le plus ancien des trois. Il a vécu entre les siècles V et
IV aC ; exactement il est né le 526 aC en Attique et il est mort
en Sicile le 456 aC. Il a vécu une partie de sa vie à Athènes
où est devenu en outre d’un grand dramaturge reconnu, un
modèle à suivre par les générations prochaines à lui. De plus,
officiellement, il a été un militaire qui a participé aux batailles
de Marathon et Salamine aux côtés des grecs et pourtant
contre les perses. Les victoires qu’il a obtenues dans ces batailles ont devenues une
des influences du caractère optimiste qu’il montre dans ses œuvres, la majorité des
quelles étaient mythiques. Il a écrit surtout des tragédies où la plupart des conflits se
résolvaient et où les personnages antagonistes se réconciliaient ; donc il faut trouver le
bonheur et la paix malgré les difficultés et les disputes.
Eschyle disait que la douleur mène à la victoire et croyait que les dieux étaient justes
avec tout le monde, donc dans ses œuvres, on peut trouver chants à la justice divine et
la peur que ça supposait chez les humains. Il est remarqué pour sa force dramatique,
la tension, l'angoisse qui habite ses pièces, dont la cohérence se comprend surtout par
la progression qui les reliait au sein de trilogies.
L’œuvre qui est devenue la plus connue au fil des ans et qui est, encore aujourd’hui, la
source d’inspiration pour écrivains assez connus ; c’est L’Orestie, une trilogie qui a été
récompensée dans une des compétitions théâtrales qui se célébraient chaque année.
Cette œuvre est composée par « Agamemnon », « Les Choéphores » et « Les
Euménides » ; chacune d’entre les quelles raconte un des épisodes de la vie
d’Agamemnon et de sa famille, depuis sa participation à la guerre de Troia jusqu’aux
causes des assassinats perpétrés par différents membres de la famille comme dans la
famille même d’Agamemnon, assassinats perpétrés par Clytemnestre et son nouveau
mari Egisthe ou par Oreste et Électre. Une partie de cette trilogie, plus concrètement
celle qui s’appelle « Les Choéphores », raconte le mythe d’Électre en accord avec les
caractéristiques propres à Eschyle.
Eschyle
« Les Choéphores »
L’œuvre d’Eschyle « Les Choéphores » a été écrite en 458 aC. Elle forme partie de la
trilogie « L’Orestie » qui a été élaborée pendant les dernières années de sa vie ; en
racontant le mythe d’Électre et la mort d’Agamemnon depuis le jour de l’arrivée
d’Oreste à Mycènes jusqu’à l’assassiné de Clytemnestre et Egisthe par vengeance et
en y ajoutant les tourments d’Oreste, après l’assassiné, provoqués par les Erynnies.
En ce qui concerne le mythe d’Électre exposé par Eschyle, on peut parler d’une pièce
qui montre des humains qui ne sont pas seuls et qui jouissent de la protection du
peuple, favorisés par les divinités.
·Sophocle
Etude de l’auteur
Le dramaturge Sophocle a vécu dans l’époque la plus
prolifique de la Grèce Classique ; c’est-à-dire, au Vème siècle
aC. Il habitait dans un village proche d’Athènes, à Colon,
mais fréquentait la grande cité lors de rendez-vous avec
d’autres écrivains ou gens célèbres de l’époque. Il est
considéré comme le paradigme de la tragédie classique et il
a gagné quelques compétitions littéraires en prouvant sa
supériorité à l’égard des autres dramaturges qui étaient ses
adversaires. C’est à ce moment-là que ses œuvres ont commencé à se connaître et où
le caractère psychologique des personnages est devenu plus profond et détaillé.
Aujourd’hui on dit que cet auteur de tragédies a été l’innovateur le plus important dans
l’art de la dramaturgie, où il a introduit un troisième personnage dans les dialogues et a
augmenté le nombre des participants dans le Chœur.
Comme tous les autres auteurs à cette période historique, Sophocle a toujours traité
des thèmes mythiques dans ses œuvres qui pouvaient appartenir à moments différents
de l’histoire de la Grèce. Il a écrit un nombre de pièces considérable, dont une partie
formée part des trilogies ; mais aujourd’hui il n’en reste que sept complètes ; celles
devenues les plus importantes. Dans toutes ses pièces de théâtre, Sophocle présente
ses héros isolés et face aux autres personnages qui interviennent dans l’action ; tous
lesquels doivent accepter la justice implacable des dieux et se résigner à chercher les
mystères par eux-mêmes. Cette résignation se trouve aussi au moment de résoudre
les conflits ; ils no sont pas résolus avec un caractère optimiste comme chez Eschyle,
sino que les personnages n’ont pas une option différente à celle qui est menée. C’est
pour ça que Sophocle est comparé aux calvinistes, parce que selon lui tout est
prédéterminé.
« Électre »
La pièce de Sophocle, « Électre », est une version du mythe d’Électre qui a été
composée entre le 410 aC et le 148 aC et qui raconte les conséquences de
l’assassinat d’Agamemnon et la revanche conduite par Électre et Oreste. Cette
tragédie, et toutes ces qui parlent sur ce mythe, appartienne à celles de l’époque de la
guerre de Troie parce que les événements qui se produisent se situent en ce moment
Sophocle
historique. Elle est une des œuvres les plus connues avec celle d’Edip roi ou
d’Antigone.
Cette version écrite par Sophocle centre l’histoire seulement sur Électre, sa vie, ses
sentiments, son amour pour son père, sa participation dans la revanche et sa position
dans sa famille. Ces caractéristiques sont clairement résumées par le titre de la
tragédie qui porte le prénom de la protagoniste. A ce jour, on ne connaît pas la source
de l’inspiration de l’auteur pour écrire cette œuvre et les experts sont en train de
considérer l’option d’une influence de la pièce « Les Choéphores » d’Eschyle.
·Euripide
Etude de l’auteur
L’écrivain Euripide a vécu pendant le siècle V aC,
entre 485 aC et 406 aC, dans la ci tée d’Athènes. Il
était une génération plus jeune que son adversaire
Sophocle et il appartenait aux disciples sophistes de
l’époque ; c’est-à-dire, il suivait les idéaux sophistes
et était d’accord avec leurs croyances. Euripide
aujourd’hui est connu parce qu’il est devenu un
dramaturge célèbre dans le monde antique ; mais
aussi il est devenu quelqu’un d’important de par
l’actualité de ses pièces théâtrales, ses tragédies. Ses œuvres appartiennent à
l’époque classique et il en avait écrie un grand numéro, dix-huit conservées encore
entières aujourd’hui.
Tout au long de sa vie il s’est identifié avec le philosophe Socrate. Il a été influencé par
Sophocle dont il a acquis la présentation des problèmes dans ses œuvres sans donner
des solutions cohérentes et non plus définitives. Malgré leur adversité dans le monde
du théâtre, Sophocle et Euripide étaient très bons amis et le seconde allait au théâtre
seulement pour voir les pièces du premier.
Ce dramaturge a été à l’origine des plus grandes évolutions du théâtre. C’est pourquoi
c’était lui qui est commencé à représenter les héros des tragédies au travers de
caractéristiques humaines et attitudes réelles. Il profitera aussi pour mettre en avant
les misères et les défauts des humains contrairement aux auteurs antérieurs qui
donnaient de l’importance à l’esprit traditionnel des mythes ; c’est-à-dire, Euripide
caractérisait les personnages comme ils étaient au lieu de les caractériser comme il
faudrait. Un autre des éléments qu’il a proposé dans ses pièces c’est l’ajout d’un
quatrième personnage dans les dialogues ; mais il n’en faisait usage presque jamais
parce qu’il n’y avait pas de compagnies théâtrales avec un si grand nombre d’acteurs.
« Électre »
La pièce théâtrale « Électre » écrite par Euripide date du 413 aC et bien qu’elle
appartienne au plus jeune auteur des trois, il est possible que ce soit une œuvre plus
ancienne, en dépit d’autres études avançant qu’elle est postérieure à celle d’Eschyle.
Euripide
Comme les autres elle raconte l’histoire d’Électre et la mort d’Agamemnon, son père ;
mais cet auteur approche l’argument d’un point de vue un peu différent des autres et
ajoute des personnages innovateurs qui centrent l’histoire totalement sur Électre. Avec
ces changements, par rapport aux autres auteurs du moment, Euripide voulait aussi
faire sourire le public qui regardait la pièce au théâtre, aussi on peut penser que, en
considérant qu’elle n’a été pas l’œuvre sur Électre débutante, c’est une parodie de
l’œuvre d’Eschyle ; une parodie menée au travers de l’ajout d’éléments inventés.
COMPARAISON CLASSIQUE
C’est fréquent à retrouver des caractéristiques communes entre des œuvres d’une
même période historique, alors en supposant que tous les trois pièces appartiennent à
une même époque, les éléments qui font référence à la forme et à l’esthétique pourront
se classer dans un registre commun où, au moins, similaire ; parce que en fait Eschyle,
Sophocle et Euripide –chronologiquement ordonnés – se sont fondés en un même
modèle stylistique. Ces spécificités on peut les voir reflétés tel qu’il suit :
En ce qui concerne à la forme, il faut noter premièrement que toutes les trois
appartiennent au genre théâtral, plus concrètement à la tragédie classique, dont le
modèle diviseur c’est un peux différent parce que deux sont composées par trois actes
et la dernière par quatre d’un coté, et de l’autre une série de versets différents selon
qui les récites ou quand ils sont récités. Celle-ci c’est la suivante : normalement les
tragédies débutent avec un prologue récité les acteurs pour mettre les spectateurs en
situation. Après le prologue c’est le moment de l’entrance du choir à l’scène, c’est-à-
dire, le parode ; et à continuation ils s’alterneront, entre trois et cinq fois, le chant du
choir, appelés estasims et les dialogues des acteurs, appelés épisodes. La dernière
scène sera l’exode, où le choir sortira de l’scène.
Un autre des éléments communs dans toutes les œuvres c’est l’écriture en trimètres
iambiques en ces parties du texte qui étaient récités et en tout type de mètres quand il
se tractait d’un fragment lyrique, chanté. Ces verses avaient un rythme différent au ce
d’aujourd’hui, donc la poésie grecque et latine base son rythme en la quantité de
voyelles des versets, c’est-à-dire, en l’alternance entre les syllabes brefs et longues.
Les histories qui se racontent ont une extension temporel qui se corresponde avec le
temps qui serait nécessaire à la réalité pour exécuter les événements, ou au moins
c’est proche ; c'est-à-dire une heure au temps de l’argument c’est une heure dans la
réalité. Aussi toutes les trois se centrent en une unique action, une seule histoire qui a
une introduction, un développement et une conclusion et résolution des conflits. Cette
action, en fait, c’est commune dans les trois pièces : la revanche. Revanche pour
l’assassiné d’Agamemnon menée pour ses deux fils : Electre et Oreste qui se sont vus
exclus de sa propre famille, trahi pour sa mère et son nouveaux mari, Egisthe.
Un troisième aspecte important au moment de faire l’analyse d’une pièce théâtrale
c’est le lieu, ou les lieux, où l’histoire se développe. Et c’est en ce moment là où les
auteurs choisiront des chemins différents. Premièrement Eschyle a fait usage de deux
lieux pour développer l’action : au début tout se situera à coté de la tombe
d’Agamemnon, mais la résolution du conflit se produira devant le palais de la famille à
Électre. La tombe sera alors l’scénario où se rencontreront Oreste et Électre après une
demi vie sépares, et aussi là où il et son ami Pylade planifieront l’assassiné des
assassins à son père, c'est-à-dire, Clytemnestre et Egisthe.
Sophocle, le seconde écrivain, situe l’action au même scénario ; cet-à-dire devant le
palais de Mycènes. Si l’on se souvient que, même si tous les deux appartiennent à la
même époque, Sophocle a écrit sa pièce en 418 aC, pendant qu’Eschyle l’avait
composée en 458 aC ; de sorte que peut être Sophocle s’est inspiré en celle de son
copain. Cependant, les études réalises indiquent que, malgré les différentes
coïncidences, ce n’est pas sure qu’Eschyle aie été le modèle à suivre par Sophocle.
Un des motives qu’ils donnent c’est la différence au niveau d’argument. Si comme
l’œuvre d’Eschyle forme partie d’une trilogie, et comme commander ajoute scènes et
explications qui n’ont pas une stricte relation avec le mythe d’Électre ; la pièce à
Sophocle est unique et parle plus spécifiquement d’Électre et ce qui le concerne. Cette
différence elle est claire depuis qu’on lise les titres des œuvres. Celle à Eschyle
s’appelle Les Choéphores, un titre qui ne parle pas d’Électre comme à protagoniste de
l’histoire, pendant que Sophocle est un peux plus spécifique en l’appelant Électre.
D’un autre coté le dramaturge Euripide ne suivi plus le modèle à Eschyle, et non plus à
Sophocle. En ce qui concerne aux lieux où l’action passe, Euripide parle aussi d’un
scénario, mais différent aux antérieures. C’est le champ qu’il y à devant une petite
maison d’un agriculteur, marié avec Électre pour convenance à Clytemnestre, c’était la
manière la plus facile d’atteindre que sa vindicative fille partait du palais. Dans ce
scénario sera où Électre et son frère Oreste se réconcilieront et prépareront la
revanche pour sa mère et son nouveau mari, Egisthe. Ce sera le lieu où se produira
l’assassiné, la revanche et pour tant la résolution des conflits.
Au moment de représenter ces pièces, tout dépendait, et encore aujourd’hui dépend,
du directeur de la mise en scène ; et normalement il prend ses décisions selon les
indications que l’auteur originel avait ajoutées à l’histoire au moment de l’écriture. Ces
indications se peuvent trouver dans les œuvres écrites en forme d’annotations qui
spécifient l’scénario, le nombre de personnages dans la scène, le caractère qui
montrent et parfois aussi les costumes qui doivent s’habiller. En ce qui concerne aux
trois pièces classiques, il se fait usage des annotations ; mais ce n’est pas
indispensable, au moins dans le moment où elles ont été crées.
Eschyle les utilise régulièrement mais d’une façon bref et peux explicative, c’est-à-dire
sans détails. Seulement veulent montrer les actions d’entrance et sortie de l’scène des
acteurs, si comme les petits gestes et la façon à les réalises qu’il faut imaginer quand
quelqu’un lis la pièce, parce que les dialogues entre les personnages en ce moment là
n’étaient pas concrets ou détailles.
En seconde lieu il y à Sophocle qui fait un usage inférieur à celle d’Eschyle, mais il
montre plus aspectes que lui. Par exemple il mentionne le moment de la journée, les
mouvements des acteurs et parfois aussi l’hauteur et la modulation de la voix des
personnages. Contrairement à Eschyle, Sophocle ajoute une description des scénarios
où l’action se développera au début de la pièce. Une description superficiel mais qui
situe le lieu dans le monde réel ; donc normalement les lieux choisies par les auteurs
étaient connus, réels.
Ce dernier type d’annotation se répète dans la pièce à Euripide qui utilise exactement
la même technique pour apporter information sur les lieux où se produise l’œuvre. En
ce qui concerne aux autres annotations, l’auteur les utilise aussi pendant le
développement de l’histoire pour décrire plus spécifiquement les scénarios ; mais aussi
pour annoncer a qui se dirigent quelques dialogues, les acteurs qu’il y à dans la scène
et les différents mouvements qu’ils font. Malgré être l’auteur qui fait l’usage le plus
diverse des annotations, c’est aussi celle qui le fait le plus pauvre ; donc ces dialogues
sont plus explicatifs que ces aux autres dramaturges et il n’a pas besoin de remarquer
tout ce qui se produis.
Une autre manière que s’utilisait dans l’époque classique pour clarifier certaines
situations ou apparitions des nouveaux personnages c’était la présence du choir. Le
choir était un group de personnes qui chantaient une partie de la pièce pour expliquer
des événements antérieurs à l’histoire ou montrer des points de vue contrastés. Ils
avaient la fonction d’informer le publique et de présenter un point de vue objectif des
situations. Au début du théâtre était un élément très important et présent constamment
dans les pièces, mais avec la professionnalisation des dialogues et l’augment d’acteurs
actifs sur la scène le choir est commencé à perdre rôle. En ce moment là il s’est utilisé
seulement pour complémenter les pièces. Dans le choir y avait une personne qui
faisait de porte-parole du groupe. Il s’appelait Corifeu, et avait la fonction de
communiquer comme s’il était un autre personnage de l’histoire, c’est pour ça que
parfois il participait aux dialogues avec les acteurs et parlait comme la voix objective,
de la sagesse.
Cet élément a été utilisé pour les trois écrivains ; mais chacun en faisait un usage plus
mauvais en ordre chronologique. Le premier en faisait un usage très important et il
était tout le temps sur la scène en racontant des passages antérieurs ou en aidant
aussi les propres personnages avec ses problèmes, que le publique avec la
compréhension des actions. Il représentait un groupe de sirventes d’Électre qui
l’aidaient et l’accompagnaient tout le temps en posant des questions ou en les
répondant. Le second utilisait le choir d’une façon aussi constante, mais celle-ci était
formé par les femmes de Mycènes. En ce cas là, le Corifeu seulement appariait pour
faire certains commentaires qui voulaient clarifier les situations ; mais n’avait autant
importance comme aux premières ans. Finalement le troisième écrivain n’utilise le
choir que pour les situations les plus essentiales où le publique a besoin d’une
explication claire. En conséquence le représentant du choir c’est presque nul, il
n’apparait presque jamais comme un personnage en actif.
Parallèlement à la présence du choir dans les pièces théâtrales il y à celle des
personnages qui parlent à la même fois, c’est-à-dire qui prennent partie d’un dialogue
et qui augmente avec la professionnalisation du théâtre. Au moment où Eschyle a écrit
sa version d’Électre, les dialogues étaient formés seulement pour deux personnes,
motif pour le quel le choir avait plus de présence. C’était parce que les dialogues entre
deux personnages étaient plus simples, faciles et en plus parce que il n’y avait que
trois ou quatre acteurs dans les compagnies qui représentaient les œuvres. Des
années plus tard, avec l’apparition de Sophocle dans le monde du théâtre, il s’est
ajouté un troisième acteur aux dialogues. L’introducteur de ce troisième personnage a
été le même Sophocle, qui voulait perfectionner les pièces et agrandi le nombre
d’acteurs des groups. Avec cette meilleure, le choir a perdu importance et est devenu
un élément ajouté aux pièces pour leur donner de la musicalité. Finalement l’écrivain
Euripide a presque éliminé la présence du choir et du Corifeu en développant les
dialogues en ce qui concerne à la profondeur des mots et, parfois, en ajoutant un
quatrième personnage actif dans l’scène. Cette quatrième personne n’était utilisée
qu’en des œuvres très spécifiques, mais majoritairement il faisait usage seulement de
trois, comme Sophocle avait proposé. Pour ce motif dans la pièce « Électre » il n’y à
jamais que trois personnages en discutant à la même fois.
Comme marque le patron de la tragédie classique, la finalité qui se cherche dans les
œuvres c’est surtout morale, donc a travers des sentiments de terreur et compassion
que l’spectateur peut expérimenter il se produit, à l’intérieur de chacun, une
purification des passions appelé catharsis. Alors tous les trois dramaturges
chercheront cet effet avec une intensité ou une autre ; mais toujours en dirigent le
message à un public général, pas minoritaire. Cette intensité se peut voir, par exemple,
dans l’importance du destin qui est essential pour Eschyle, donc il parle toujours d’un
fons religieux dominé pour cette idée d’une future marquée pour les dieux. Ça reste
aussi dans les écris à Sophocle, bien qu’il n’est pas si impressionnante qu’Eschyle.
Dans le cas d’Euripide, il y à un claire change en ce qui concerne à la culture
hellénique ; donc les dieux n’inspirent pas respect et l’auteur s’intéresse plus pour les
humains qui nagent dans un monde pessimiste qui ne permet pas l’idéalisation. Il se
considère, en fait, un connaisseur de l’âme humaine et peut la développer en
profondeur.
En centrant l’analyse comparatif dans un cadre d’argument il se peut constater des
claires différences aussi de contenu que d’ordre des événements. Dans le premier lieu
il y à l’scène du début et le personnage introducteur de la situation. La pièce à Eschyle
présente le personnage Oreste, frère exilé à Électre, à coté de la tombe a son père,
Agamemnon, en faisant un monologue où il raconte sa propre histoire et expresse sa
volonté de revanche pour cet assassiné injuste. Ce monologue fini quand il voit arriver
sa sœur avec tous ces sirventes et il se cache pour n’être par découvert, donc il avait
été exilé depuis qu’il était un bébé et personne ne devait pas savoir encore qu’il était
retourné. Alors c’est un monologue personnel, sentimental et profond prononcé pour
un des personnages protagonistes de l’histoire qui se lamente pour la mort à
Agamemnon et la tragédie de toute sa famille. Juste après les mots d’Oreste, ce sera
le moment où le choir racontera l’histoire complète de la tragédie qui la famille avait
souffert pour informer le publique et les mettre en situation.
En ce qui concerne à l’œuvre composée par Sophocle, ce n’est pas Oreste qui parle,
c’est le Précepteur qui se dirige à Oreste et qui présente ce personnage pour en faire
connaitre ses origines et sa personnalité. Après lui ce sera le propre Oreste qui,
comme dans l’antérieure pièce, parlera sur son return et son objectif de revanche. Il
fera aussi une description sur la terre d’où il venait et le motif pour le quel i l était allé a
Mycènes. Cette explication finisse aussi avec l’apparition d’Électre, ou plus
concrètement avec ses lamentations précédentes de l’intérieur du palais. En ce cas ci
la présence du choir ne sera pas visible jusqu'après un troisième monologue prononcé
par Électre. Un monologue plein des lamentations et où elle montre son amour pour
Agamemnon et l’haine pour sa mère, Clytemnestre. En ce qui concerne au choir, il ne
fera pas s’apparition que pour répondre à la fille et raconter, élément pareil à l’œuvre
d’Eschyle, l’histoire de la famille et l’assassiné d’Agamemnon. Donc malgré l’apparition
de certaines différences d’ordre et d’un nouvel personnage, le début de ces deux
points de vue du mythe ce sont presque pareilles.
Comme en des autres points, la troisième œuvre présente des caractéristiques
considérablement différentes aux celles des deux antérieures. Euripide situe le début
de l’histoire au champ, proche d’une maison habitée pour un agriculteur et sa femme,
Électre. Le protagoniste de l’scène c’est l’agriculteur qui, en faisant la fonction du choir
originel (celle qui avait l’objectif d’informer le publique), présente un monologue
introductif qui met en connaissance des spectateurs la situation et tout ce qui est passé
en Mycènes depuis le retourne d’Agamemnon à la maison après la guerre de Troie
jusqu’à son mariage avec Électre pour obligation de Clytemnestre. Après cette
introduction explicative ce sera Electre qui, en faisant des lamentations sur l’assassiné
d’Agamemnon commencera un dialogue avec son mari jusqu’au moment où,
parallèlement aux autres pièces, Oreste arrivera là où sa sœur est, après tous ces
années d’exile. En ce cas là, l’intervention du choir c’est nul pendant les premières
dialogues et ce sont les mêmes protagonistes de l’histoire qui doivent informer au
publique de la situation, donc grâce à l’évolution des dialogues et de l’importance des
personnages l’auteur n’a pas besoin d’un élément explicatif si importante que le choir
que n’apparais que pour dialoguer avec des autres personnages en actif comme
Électre.
Malgré se développer en des espaces différents toutes finissent avec un même
objectif : l’assassiné des assassins. Un assassiné réalisé pour Oreste dans toutes les
trois œuvres. C’est a lui toujours d’assassiné à Egisthe et Clytemnestre ; mais dans la
troisième pièce, celle à Euripide, il a revécu l’aide à sa sœur Électre. Mais bien si les
personnages assassinés sont toujours les mêmes, l’ordre et la manière dont ils murent
sont différentes. Eschyle fait mourir en premier lieu à Egisthe dans le palais ; et ce sera
quand Clytemnestre écoutera ses cris qu’elle ira voir qu’est-ce qu’il passait et sera
aussi assassiné pour son fil. Tous les deux muriront poignardés. Quand Sophocle
écrira sa version, ce sera à Clytemnestre de mourir premier et, après voir le corps mort
à sa femme Egisthe murira aussi assassiné. En ce cas là, l’auteur n’spécifique pas la
manière comme ils murent. Le troisième dramaturge suive le modèle à Eschyle en
assassinant avant Egisthe que Clytemnestre ; mais c’est la version la plus différente
des trois, parce que dans les autres deux tous les deux murent à l’intérieur du palais, le
premier à cause d’un mensonge d‘Oreste et le seconde à cause des cris qui s’écoutent
dedans. Entre les deux morts, il n’y à qu’une intervention du choir et des petits
dialogues entre l’assassin et la victime ou petits mots d’Électre qui se dirigent à son
frère. Euripide, par contre, fait mourir à Egisthe pendant la célébration d’un banquet à
cause d’un cop au neck, action raconté plus tard donc elle ne se voit pas, et à
Clytemnestre à la maison de l’agriculteur où vi Électre. Entre les assassinés, il y à une
long conversation dont les protagonistes seront Électre et sa mère ; et où la fille parlera
sur l’amour et la trahison.
Un autre point où intervienne l’idée de la mort, c’est au moment de l’assassiné
d’Agamemnon, qui se produise avant le début de l’histoire mais qui est raconte par le
choir où certains personnages. Selon Eschyle il sera assassiné dans la salle de bain
décapité ; mais Sophocle parle d’une mort à cause d’un cop avec un axe et finalement
Euripide mentionnera qu’il a été assassiné par Egisthe, fils de Thyeste, et
Clytemnestre après une piège. Toutes les versions sont d’accord qu’il est mort juste
après son retour de la guerre de Troie.
Un autre moment important de l’argument où il peut y avoir différences c’est le retrouve
entre Oreste et Électre, la situation où ils se reconnaissent et commencent à planifier
l’assassiné à sa mère et son nouveau mari. Les deux premiers écrivains situent le
grand moment à l’entrance du palais, mais il en y aura un cas qui sera au début de
l’histoire et un autre qui sera plus en avant. Eschyle sera ce qui fera le retrouve au
début, juste après qu’il sera arrivé à Mycènes ; de l’autre coté Sophocle voudrait faire
l’histoire un peux plus compliqué en cachant Oreste sous une autre identité, celle d’un
étranger qui doit aller à Mycènes pour communiquer la mort d’Oreste. Il parlera avec la
même Électre sans le savoir ; jusqu’elle fera un monologue en parlant sur son père.
Alors Oreste révélera son identité à sa sœur. Entre l’arrivé au pays d’Oreste et son
retrouve avec Électre, il y à beaucoup d’événements comme une discussion entre
Chrysothemis, sœur à Électre, et Électre où se montrent les deux opinions sur la
revanche pour l’assassiné à Agamemnon ; une conversation entre Électre et sa mère
où se justifient certains des décisions de la mère qui ne sont pas acceptés par la fille,
une comparaison entre Egisthe et Agamemnon comme personnes, maris à
Clytemnestre et rois de Mycènes et un monologue de la protagoniste où elle montre
l’amour qu’elle sent pour son père. Pourtant on peut noter un approfondissement
majeur sur Électre et tout ce qui concerne à sa vie et sa famille dans l’œuvre de
Sophocle que celle à Eschyle ; dont la deuxième forme partie d’une trilogie où Électre
ce n’est pas le personnage le plus important et où son histoire c’est secondaire. La
troisième œuvre c’est plus pareille à celle d’Eschyle qu’à celle de Sophocle parce que
les protagonistes se retrouvent au début de l’histoire. Mais cette histoire c’est différente
parce le retrouve ne se situe pas à coté de la tombe à Agamemnon, sino qu’il sera
devant la maison d’un agriculteur, dans le champ où Électre vise et travaille. Oreste
passera par là quand il arrivera au pays après l’exile où sa sœur se lamente pour la
mort de son père. Ce sera quand Oreste écoutera ses pleurs qu’il sevra qu’était elle.
Respecte au final de l’argument, à la conclusion et la résolution de l’action, les versions
ne se ressemblent non plus, donc ça dépend d’où est le point central de l’histoire. Par
exemple dans le cas d’Eschyle, il est en train d’expliquer tout le mythe d’Agamemnon
avant et après son assassiné en une trilogie, et ce sera pour ça qu’il introduira des
éléments externes à la fin de la pièce pour la développer plus. Ces éléments dont on
parle seront les Érines, des déesses infernales qui devaient punir ces qui avaient fait
mal aux gens débiles, surtout ces qui avaient maltraité sa mère, qui s’introduiront aux
pansements d’Oreste, l’assassin, et le tortureront jusqu’à la folie qui le portera à l’exile
d’où il avait retourné. Par contre l’œuvre à Sophocle finisse juste après la mort
d’Egisthe, sans aucune intervention postérieure. Euripide coïncidera une autre fois
avec le premier écrivain et fera apparaitre des personnages qui parleront avec Électre
et son frère pour les aider en ce qu’ils doivent faire, donc ils sont les assassins à sa
mère et son mari, les rois de Mycènes et en conséquence ils ne pouvaient pas rester là
va.
En ce qui concerne aux personnages qui apparaissent dans les pièces, il y à d’un coté
celles principales et d’un autre les secondaires. Le premier group est composé pour
Oreste, Électre, Egisthe et Clytemnestre et ce sont les personnages qui forment partie
des trois œuvres. Tous les quatre sont les protagonistes et pourtant ces que ses
auteurs décrivent et développent le plus. Mais apparaitre aux trois pièces ne veux dire
pas d’être pareils ; chaque écrivain dote ces protagonistes avec les caractéristiques
qu’il croit que sont les essentiales pour le développement de l’histoire. De l’autre coté
chaque auteur ajoute une série de personnages qui feront des rôles moins importants.
Il en y à un qui est pareil dans les trois pièces mais seulement actif en Sophocle et
Eschyle : Pylade. Il est le meilleur ami à Oreste et l’accompagne en son voyage à
Mycènes. Tous les autres personnages secondaires sont différents dans chaque
pièce ; mais il en y à un dans chaque œuvre qui font la même fonction. C’est le cas au
Précepteur, selon Sophocle, le serviteur et l’infirmière ou nourrice, selon Eschyle, et le
messager et un homme vieux, selon Euripide. Ces trois, alors, sont les responsables à
communiquer les nouvelles aux autres personnages et d’informer en des situations.
Les derniers personnages sont celles qui fournissent des opinions contraires aux celles
des principales et qui les aident à réaliser l’action principale. Un personnage qui n’a été
pas encore mentionner ce sont les Dioscures, personnage qui incarne le « deus ex
machina », une ressource seulement utilisé par Euripide qui consiste en faire
apparaitre, à la fin de la tragédie, un dieu qui dise à tous les autres personnages ce
qu’ils doivent faire à partir de ce moment. Dans le cas d’Électre, ces dieux sont deux
frères fils à Zeus.
Ce dernier personnage c’est une représentation fisique des dieux qui veulent aider les
protagonistes pour faire justice ; et c’est la unique visualisation de la divinité dans les
trois œuvres. Les dieux dans les tragédies classiques étaient très importantes, donc
c’était à lui de marquer le destin et le future des personnages ; mais jamais se
représentaient en forme fisique parce que personne les avait vue et étaient des êtres
supérieurs. Pendant le développement de la histoire les dieux apparaissent cités pour
les personnages dans les lamentations, les invocations, les libations et parfois aussi
dans les chants du choir.
XVIIIème SIÈCLE
La France du XVIIIème siècle a été historiquement marquée pour la Monarchie de la
Vielle France, période aussi appelée Premier Empire Colonial Français. Cette
monarchie commença en 1605, avec l’accès au pouvoir du roi Louis XIV, événement
qui fera du pays le symbole du centralisme absolutiste, et s’acheva en 1789, moment
où la Révolution Française, suivie de la Première République, surviendra. Ces presque
deux siècles d’Empire seront une époque prospère, la France tenant le premier rôle
dans la colonisation de l’Amérique et l’Afrique, commercialisant ainsi des produits
innovateurs et exotiques tout en transmettant ses habitudes, sa culture et sa langue
aux autres régions du monde, à des nouveaux horizons. Mais la colonisation du monde
était très ambitieuse, donc elle n’était pas la seule à combattre pour gouverner les
autres continents. Son adversaire principal était l’Angleterre avec qui elle eut certains
conflits, armés et dialogués dont un provoqua son déclin. C’est ainsi que le pays a
commencé à perdre des territoires et l’instabilité a déclenché l’explosion de la
révolution.
En ce qui concerne la littérature, le XVIIIème siècle a connu l’Illustration ou
Néoclassicisme ; un mouvement qui provenait du Classicisme de la seconde moitie du
XVIIème siècle. Ce dernier courant littéraire apparait après le Baroque et se base sur
des principes radicalement opposés. Le Classicisme s’inspire en des thèmes, du style
et des préceptes gréco-latins, en créant une littérature brillante. En France la
caractéristique principale a été la soumission des écrivains à des règles strictes et
dérivées des philosophes grecs. Un des plus importants principes c’est l’usage de la
Raison comme un guide de la pensée universelle, les idées vraisemblables contre
celles fantastiques, l’équivalent aux humains sans ses exceptions ou intérêts
personnels. Le Classicisme est doté d’un style naturel, simple, sans éléments trop
artificiels ou exagérés, caractéristiques communes dans les pièces du Baroque, avec
l’objectif d’arriver à la plus extrême élégance. Les auteurs traçaient avec
approfondissement le caractère des hommes, en faisaient une étude complète pour
apporter une valeur morale aux pièces qu’ils composaient ; donc la finalité des œuvres
n’était qu’éducative. Le Classicisme Français a été un mouvement destiné seulement
aux courtisans, aux gens avec un bon niveau culturel et intellectuel ; on n’y mentionnait
jamais les traditions du peuple.
En ce qui concerne le théâtre tragique, le dramaturge le plus reconnu du moment est
Jean Racine. Il a traduit de la meilleure manière les pièces classiques, en les faisant
connaitre partout. Ses œuvres cherchaient la puissance des passions de l’âme
humaine pour arriver au réalisme psychologique ; donc elles étaient considérablement
plus profondes que celles gréco-latines et à la fois montraient une douceur poétique.
Après Racine dans le monde littéraire et théâtrale, une grande partie des dramaturges
tragiques des XVIIème et XVIIIème siècles, pendant la fin du Classicisme et de
l’Illustration, ont suivi l’style de Racine en le prenant comme influence pour écrire leurs
propres versions des tragédies classiques. Malgré la présente importance de l’auteur
français, l’arrivé du XVIIIème siècle a apporté des courants littéraires nouveaux qui ont
changé la mentalité du peuple, des écrivains, des acteurs. Il est apparu un désir de
reformes et progrès, une obsession pour la perfection formelle et le langage travaillé
qui a conduit la France à devenir le centre culturel et littéraire de l’Europe du moment.
Un premier courant littéraire du XVIIIème siècle est apparu en continuité au
Classicisme : le Néoclassicisme ; un style froid, basé en des règles et l’imitation des
grands écrivains françaises, sans spontanéité, sans vie. En même temps l’Illustration
est devenue intéressante. Elle voulait amplifier le mouvement d’investigation, la critique
sociale et politique, remarquer l’égalité et donner une vision philosophique. Les
écrivains adoptaient une attitude rebelle et sceptique, un esprit tolérant qui avait pour
point central les problèmes scientifiques toujours aveuglément confiant dans les
progrès de l’homme. Cette attitude rebelle dont on a parlé deviendrait, à la fin du
XVIIIème siècle, le principe par excellence du Romanticisme.
Dans cette période historique et littéraire comprise entre deux siècles, ont vécu des
écrivains très importants, aussi dramaturges, que poètes ; et d’autres moins connus.
Entre tous ces gens du monde de la culture, il faut en remarquer trois : Hilaire-Bernard
de Longepierre, Prosper Jolyot de Crébillon et Nicolas-François Guillard. Tous les trois
sont dramaturges et ont écrit une œuvre inspirée du mythe d’Électre, en ce cas tous
les trois on fait une traduction influencés par une pièce classique à partir d’un point de
vue propre et personnel, pendant le siècle XVIII.
·Hilaire-Bernard de Longepierre
Etude de l’auteur
Hilaire-Bernard de Longepierre a vécu pendant les
siècles XVII et XVIII entre Dijon et Paris. Né en 1659, il
a résulté un enfant prodige qui a commencé en
traduisant les textes gréco-latines des écrivains les
plus célèbres accompagnes de notes pour souligner
certains questions, des caractéristiques surprenants ou
quelques erreurs. Peu à peu il est devenu plus
expérimenté sur le sujet et ses pièces ont pris un tour
personnel qui l’a amené à recevoir critiques et
commentaires des autres auteurs de l’époque en se moquant ; ils croyaient que les
traductions faites par Longepierre étaient trop infidèles aux originaux, qu’il en prenait le
style et non des auteurs classiques. De l’autre coté, c’était un moment où les tragédies
de Jean Racine étaient devenues très connues et les autres dramaturges, Longepierre
inclus, suivaient ses directives et s’en inspiraient pour rédiger leurs propres pièces. Et
dépit de tout, il était un personnage avec une grande fortune, de bonnes relations avec
les courtisans et avait obtenu beaucoup de considération en devenant un gentilhomme
ordinaire.
Le genre qu’il a le plus traduit au large de sa vie, a été la tragédie. Toutes ses
tragédies visent à retrouver l’idéal de pureté du théâtre grec, en leur donnant toujours
une profondeur psychologique plus que graphique, c’est-à-dire, l’écrivain ne cherche
pas le côté dramatique des situations de la même façon qu’il veut arriver faire une
analyse intérieure de la psychologie de la pièce et des personnages, il veut trouver les
causes des actions, veut mettre face à face les caractères contradictoires.
« Électre »
La pièce Électre de monsieur Longepierre, a été composée en 1702, après d’autres
devenues aussi connues représentées plusieurs fois ; la tragédie d’Électre n’a été mise
en scène qu’en des occasions précises. Comme les tragédies classiques les plus
connues dans l’historie, mais pas comme dans celles qui traitent du mythe d’Électre,
elle est composée de cinq actes, chacun divisé en scènes. C’est une pièce plus
élaborée que les pièces antiques du siècle V aC aussi pour les réflexions que font les
personnages que pour les descriptions des mêmes. En plus toutes les situations sont
plus détaillées, donc il n’y a pas d’annotations qui aident à visualiser la scène ou la
Longepierre
situation générale. Comme dans les tragédies grecques, l’action principale au tour de
laquelle se développe l’argument c’est la vengeance pour l’assassinat d’Agamemnon.
Un autre des éléments qui la faut être élaboré, c’est la petite description des
personnages au début pour les imaginer et situer dans l’histoire et la famille, appelée
didascalie. L’influence principale qu’a utilisé Longepierre pour écrire cette pièce c’est à
l’œuvre composée par Sophocle. On peut voir la ressemblance dans les étapes que
suit l’argumentation pour se développer et quelques rendez-vous des protagonistes ;
mais il y à aussi une claire influence d’Eschyle, à la fin de la pièce avec l’apparition des
Euménides et des détails qui appartiennent à Euripide comme le lieu où meurent les
rois de Mycènes.
·Prosper Jolyot de Crébillon
Etude de l’auteur
Aussi appelé Crébillon père, il a été un écrivain reconnu du
XVIIIème siècle, né à Dijon en 1674. Il est fils d'un notaire
prodigieux et a reçu une bonne scolarisation pendant son
enfance; car après il s'est marié à la campagne et a eu
deux enfants. Ce sera grâce à un ami qu'il s'intéressera
par le théâtre et commencera à écrire des tragédies, la
première desquelles sera refusée par le public et n'aura
pas de succès. Cet échec le découragera, mais dépit il
commencera la rédaction d'une deuxième pièce qui
remportait une grande importance dans le monde littéraire du moment. Ce sera alors
qu'il deviendra le dramaturge du moment, entre le règne de Racine et celui de Voltaire.
Après l'œuvre qui lui a fait entrer dans le théâtre tragique professionnel, il écrirait
beaucoup de drames inspirés, la plus part, dans des mythes classiques, thème très
habituel en ce moment-là par l'influence du Classicisme et l'arrivée du nouveau
Néoclassicisme qui suivait l'antérieur mouvement. Parmi ces compositions poétiques, il
créera Électre en 1708 et quelques ans plus tard il souffrira un profond découragement
et renoncera au théâtre jusqu’à dix ans plus tard, quand il retourne avec sa nouvelle
tragédie Pyrrhus. Il entre dans l’Académie Française, en innovant avec ses textes, et
plus tard obtiendra une place à la bibliothèque du roi grâce à sa protectrice : Madame
Pompadour, car il avait un rival considérable : Voltaire avait apparu dans le monde de
la littérature avec ses poèmes brillants et il était déjà devenu le nouveau favorite du
publique lecteur. La compétition entre les deux auteurs restera vivante jusqu’à la mort
du dramaturge à Paris, où ses adeptes réaliseront un service funèbre en son honneur.
L’œuvre de Crébillon tient une place importante dans l’historie de la littérature, à la fois
par sa propre valeur et par les discussions dont il a été l’objet. Ses pièces renferment
des vers bien frappés, énergiques mais parfois avec incorrections, il n’existe personne
avec aucun défait. D’autres problèmes qu’on peut rencontrer dans ses pièces sont les
scènes intrigantes trop compliquées et difficiles à suivre et en plus un style dur, obscur.
D’un autre côté, il avait une facilité incroyable pour écrire, parce qu’il écrivait trop
rapide, sans élégance et avec des erreurs en ce qui concerne le contexte historique ou
mythologique. En fait, il montrait la perversité humaine d’une manière un peu
exagérée, en abusant de la terreur d’une façon que tous ses écrits avaient une couleur
sombre, tous ressemblaient aussi par les moyens théâtraux dont il faisait usage
Crébillon
comme les reconnaissances entre des personnages. Ses personnages n’avaient assez
de place pour vivre, mais ils avaient une énergie pénétrante qui se surmontait à la
lecture dure et aux vers peu fidèles aux originels.
Électre
La version écrite par Crébillon est devenue l’une des plus connues de ses œuvres. Elle
a été composé en 1708, après celle de Longepierre, dans le même moment historique
mais avec beaucoup de différences en contenu ; car il donne plus d’importance aux
situations vraiment tragiques, avec des scènes d’horreur, des reconnaissances et
autres coups qui annoncent le mélodrame du XIXème siècle plus que de faire référence
aux mouvements de l’époque. C’est une tragédie en cinq actes divisés par scènes
versifiés. Les vers ont une rime marquée (AA BB CC DD) et sont pleins de figures
rhétoriques, d’exclamations et de questions typiques de la poésie qui normalement
étaient destinées aux dieux et aux Oracles. On peut trouver beaucoup plus de
personnages que dans les pièces antérieures, car il y a des moments où on trouve sur
la scène huit acteurs, en dépit ils ne parlent pas tous dans le même dialogue. Les
dieux n’étaient pas des personnages pressenties, mais tout le monde en parlait parce
que en ce moment de l’antiquité classique les gens étaient totalement croyants, les
dieux annonçaient le destin, tout ce qu’il faut faire et tout le monde agissait en
conséquence. C’est une œuvre avec un grand nombre de discussions entre familiers
qui avaient des opinions différentes, se justifiant d’une façon cohérente. C’est pour ça
qu’elle a un argument plus complexe que les antérieures et elle est plus profonde
malgré qu’il n’y a aucune scène avec plus de trois acteurs dialoguant, y prédominent
les dialogues entre deux et les monologues longs des caractères principales. En
général c’est une pièce bien décrite, avec une indication des lieux où se produira le
développement de l’argument et presque aucune annotation.
Crébillon dit ne rien avoir emprunté de la pièce à Sophocle, mais des trois œuvres
grecques c’est la plus similaire pour la reconnaissance des frères, les mensonges et
l’ordre de certains événements comme les assassinats des assassins. Il donne une
importance extraordinaire au personnage d’Egisthe, plus qu’à celui de Clytemnestre, et
il s’aide de sa puissance pour conditionner l’existence des autres. D’autres éléments
qui ne suivent pas le model classique sont les contemporains, comme l’style de
reconnaissance entre Oreste et Électre qui est considéré la meilleure scène de la
pièce.
·Nicolas-François Guillard
Etude de l’auteur
Nicolas-François Guillard a été un librettiste français du
XVIIIème et XIXème siècle qui est né à Chartres en 1752,
moment où la France était dominée par la Illustration rebelle
et perfectionniste par l’influence du récent Néoclassicisme. Il
a participé dans des concours littéraires et un qu’un autre
recueil avec des comtes de la région, il avait de bonnes
relations avec les plus hautes classes sociales. Monsieur
Guillard, pendant sa vie a écrit une grande variété de livrets
d’opéra qui ont été mis en musique par des connus
compositeurs de l’époque comme Gluck, Sacchini et Lesueur. Il été le côté opposé de
monsieur de Crébillon, car il avait soin de ses pièces, il les écrivait avec amour en
rendant compte de tous les petits détails qui pouvaient améliorer les textes. Et ce soin
l’a porté à devenir l’un des plus connus écrivains de livrets d’opéra du XVIIème siècle.
Une de ses premiers pièces a été Iphigénie en Tauride, constitue aujourd’hui un des
plus importants et connus poèmes d’opéra du siècle. Et tout grâce à la force
dramatique qu’avaient ses vers, qui étaient malgré tout finalement retouches par
l’écrivain de musique Gluck. Les livrets de Guillard étaient, la plupart des fois, des
adaptations des pièces antérieures à son époque, à exception des productions
propres. Pendant 1790, il a altéré son style à cause des changements révolutionnaires
qui se développaient dans toute la France. En ce moment là, il écrira certains
nouveaux livres d’opéra avec des thèmes précédents de la Bible au lieu de la
mythologie classique comme la plupart des antérieure.
Électre
Le livret crée par monsieur Guillard sur le thème d’Électre, est une de ces pièces
adaptés des autres plus anciennes. Il l’a présentée en 1782, pour la première fois, à
l’Académie royale de la musique avec l’aide d’un compositeur connu du siècle appelé
Jean Baptiste Moyne. C’était à lui de composer tout ce qui concernait la musique de
l’opéra. C’est une opéra en trois actes, forme qui suit le model d’Eschyle et de
Sophocle, différente donc de la pièce d’Euripide qui se compose de quatre actes. Mais
par contre, il apparaît une autre fois le chœur, tant en groupe comme individuellement,
comme un personnage qui prend partie des dialogues. Le chœur est un élément
toujours présent dans les tragédies grecques mais, qui avec le temps, il était disparu et
les auteurs français précédents à lui n’en faisaient pas usage. Il s’aide aussi de
Guillard
certaines annotations pour montrer la distribution du scénario au début de chaque
scène ou quand elles sont nécessaires pour l’apparition des acteurs. En plus, il parle le
chœur ou le Coryphée comme un représentant avec les caractères principaux ; dans
certaines scènes il y a aussi des acteurs qui parlent au même temps et les vers se
répètent à cause du style de l’œuvre : elle est chanté, avec présence musicale raison
pour laquelle les dialogues sont presque tous brefs et dynamiques. D’autres caractères
toujours importants sont les Dieux qui interviennent dans l’existence des humains
comme si c’étaient leur propre âme.
Cette version-ci c’est une adaptation des classiques avec des caractéristiques qui
appartiennent à la tragédie de Sophocle, l’écrivain le plus utilisé pour traduire ou
adapter pièces de théâtre, et celle d’Eschyle. Comme avec le premier dramaturge,
Guillard fait usage de la reconnaissance entre frère et sœur après un mensonge pour
découvrir l’identité d’Électre ; mais en influence du second ils apparaissent les Furies
qui tourmenteront Oreste et qui l’accompagneront en son voyage de retour à
Mycènes ; et il laisse en plus signales en confirmant à Électre son arrivé.
XIXème SIÈCLE
L’arrivée du XIXème siècle va occasionner certaines modifications à la société française,
du point de vue politique, ça sera donc des années agitées pour les différents
gouvernements, les révoltes des gens contre ceux qui avaient le pouvoir, contre les
impositions qui ne prenaient le peuple en considération. La France en 1801 était sous
un gouvernement républicain, c’était la Première République mais elle finirait un an
plus tard, en 1802 devant la puissance incontestable d’un autre système politique qui
s’imposerait définitivement en 1804 : le Premier Empire. Il serait dirigé par Napoléon
Bonaparte, qui réalisera la conquête des états prochains en les apportant l’idéalisme
libéral. La société française changera sa mentalité complètement pour s’adapter à la
nouvelle situation politique et puis culturelle, c’est donc en ce moment-là qui est apparu
le mouvement romantique ; c’est-à-dire le Romanticisme. En fait il était déjà apparu à
la fin du XVIIIème siècle, mais il s’est surtout développé pendant le XIXème. Les
protagonistes étaient des gens rebelles, qui voulaient transgresser les dures règles
imposées pendant l’Illustration. Le Romanticisme n’a pas été seulement un
mouvement littéraire, il est devenu un phénomène culturel très important qui voulait
exprimer les sentiments les plus profonds, qui s’échappait de la réalité et qui avait un
désir irrépressible de liberté. L’individualisme de l’homme romantique portait au culte
lui-même, ils cherchaient la liberté du peuple, la passion et l’instinct comme unique loi
de vie, les émotions les plus fortes. Son esprit idéaliste les conduisait aux rêves, dont
la conséquence était un fort choc avec la réalité qui deviendrait la désillusion devant
laquelle ils se révéleront en s’échappant du monde pour devenir des gens nocturnes,
obscures, qui vivaient des souvenirs de l’enfance, des époques antérieures comme à
la Moyenne Âge. Les thèmes les plus développés par les romantiques étaient la
découverte du paysage, les éléments exotiques, l’exaltation des caractères nationaux
et populaires et les grandes inquiétudes philosophiques et politiques. Alors, le
Romanticisme laissait à part tout ce qui provenait des temps anciens et qui suivait des
règles. Ils créaient sa propre littérature sans suivre personne, ils n’étaient pas
intéressés dans les pièces classiques, ils ne voulaient pas les renforcer et non plus en
faire ses propres versions. C’est pour cette raison que pendant les années où le
Romanticisme prédominait en France il n’y a aucune eu création littéraire qui parlait à
Électre.
Le Romanticisme reste pendant toute la première moitié du XIXème siècle, il a vécu
donc avec tout le développement du Premier Empire et puis la Restauration entre 1814
et 1830, où il avait débuté la monarchie de Juillet. Depuis ce moment et jusqu’à 1851,
ils se sont produites des améliorations considérables dans la société : l’abolition de
l’esclavage, la loi contre le travail des enfants, certains procès-verbaux sur les
conditions de vie des ouvriers et des autres questions sociales qui étaient vraiment
inhumaines. En 1848 la Deuxième République française a débouté, juste après la
Révolution de février et elle perdurera jusqu'en 1852, quand le général Napoléon III
arrivera au pouvoir avec un coup d’état et proclamera le Second Empire. Avec la
nouvelle imposition et le changement des pouvoirs, il apparaîtra aussi une nouvelle
courante littéraire : le Réalisme. Au contraire du Romanticisme, le Réalisme cherche
les bases de sa littérature dans la réalité, ils observent tout et font des descriptions
détaillées en centrant les thèmes sur les relations matrimoniales et les problèmes
économiques. Ce sera un mouvement dont les protagonistes seront des bourgeois,
une classe avec beaucoup de succès en ce moment-là. Le Réalisme veut être, donc,
un reflet exact du monde et toutes les œuvres présenteront ces caractéristiques du
détail et de la description, ainsi que celles qui étaient inspirées dans les pièces gréco-
latines.
Du point de vue littéraire, les dernières années du XIXème siècle, qui avait été un siècle
changeant, ont aussi souffert des variations tant au niveau littéraire comme politique.
Littérairement il a commencé le développement du nouveau Naturalisme et puis du
Symbolisme, des mouvements différents entre eux, mais provenants du Réalisme. Un
serait l’exagération de l’antérieur et l’autre la cherche d’une société plus moderne. En
ce qui concerne la politique, il est devenu la Guerre franco-allemande la même année
où s’es proclamé la Troisième République Française, 1870. Postérieurement, les
événements politiques n’ont pas plus changé le gouvernement ; mais ils ont seulement
amélioré des aspects sociaux.
·Marie-Joseph Chénier
Etude de l’auteur
Marie-Joseph Chénier est né en 1764 à Constantinople, mais
il ne restera pas longtemps, car ils iront vivre à Paris où
l’enfant recevra une éducation si précoce et si rapide que
quand elle a été finie, il avait besoin de continuer étudier.
C’était un homme avec une forte raison, une vive et brillante
imagination, une mémoire immense qui a reçu les
contributions des quelques artistes distingués par le
développement de leurs talents.
Il était militaire, une profession compatible avec celle des lettres, et quand il a quitté le
service il est revenu à Paris pour débuter le plus tôt possible dans le monde de la
littérature. Depuis son adolescence, il n’avait pas cessé d’ébaucher des scènes
théâtrales, d’imaginer des canevas dramatiques qui montraient, surtout au début, un
de ses talents : la satire ; mais aussi quelques mouvements et l’apparition de certains
beaux vers annonçaient un poète tragique. Il a toujours pensé que l’intérêt devait naître
de la nature même du sujet du caractère pathétique ou terrible des situations, que l’art
consistait à représenter les personnages, à les animer, à exprimer leurs pensées, leurs
passions, leurs vertus, leurs vices ; autant attirer pour exciter la curiosité du spectateur
et de les tenir en suspens que pour l’émouvoir, le charmer ou l’attendrir.
Alors en 1789 il y a eu l’éclat de son succès, l’appelé début de Chénier, avec la
publication de Charles IX. Après cette tragédie mémorable, dont le principal ressort est
la terreur, et dont l’énergie est le plus sensible caractère, en 1791 Chénier a écrit deux
tragédies qu’on peut considérer parmi les plus pathétiques écrites pour le théâtre. Des
années plus tard on a publié le théâtre posthume qui ajoute des imitations des
tragédies gréco-latines entre lesquelles on trouve une partie de l’Électre de Sophocle.
Chénier ne concevait pas que l’on puisse mettre sérieusement en parallèle le théâtre
classique des Grecs et des Françaises, un prétendu genre romantique, un symptôme
de la décrépitude de l’art théâtrale. Il lui semblait impossible que l’esprit humain puisse
renoncer à une philosophie pour la remplacer par une autre après deux siècles de
lumières pour retourner aux plus épaisses ténèbres du Moyen Âge.
Chénier
« Électre »
On ne sait pas le moment précis où l’œuvre a été écrite ; mais il se peut qu’elle ait
appartenu à l’époque débutant du Romanticisme français, quand l’auteur avait encore
une mentalité néoclassique. C’est clairement une brève version de la pièce de
Sophocle. Elle est versifiée et ils y apparaissent seulement les personnages les plus
importantes. L’importance du chœur qui se présentait dans les pièces classiques
apparait aussi dans cette nouvelle version. Chénier fait de la intervention du chœur
une opinion du peuple et une approximation à la voix des dieux qui tout contrôlaient.
On ne conserve qu’un seul acte formé par diverses scènes, dans aucune desquelles
on peut retrouvé des annotations. Alors la tragédie avait un dialogue détaillé et
descriptif qui avait aidé les lecteurs à visualiser les actions des personnages.
L’influence principale qu’il a reçue a été de Sophocle, donc il se proposait de
reproduire ainsi tout ce qui nous reste de ce tragique grec, qu’il préférait à tous les
autres poètes dramatiques de l’antiquité ; malgré qu’il n’est jamais arrivé finir la pièce.
·Charles Baudelaire
Etude de l’auteur
Charles-Pierre Baudelaire a été un poète français né en
1821 et mort 46 ans plus tard, en 1867. Il est vécu dans une
France changeante, victime de la Restauration, la Seconde
République et même le Second Empire au niveau politique ;
romantique, réaliste et pré-symboliste du point de vue
littéraire et culturel. L’enfance de Baudelaire s’est vue
affectée par la mort de son père, un homme lettré et
amateur de la peinture, quand Charles n’avait que sept ans.
Un an plus tard, sa mère se remariera avec un chef de
bataillon, un homme qui a enlevé à l’enfant tout ce qu’il aimait. Il devra s’habituer
constamment aux nouvelles écoles où parfois il sera interne et où toujours il
démontrera son talent pour la poésie en gagnant les plus importants concours.
En 1842 il commencera à composer certains poèmes qui formeront Les Fleurs du Mal,
et au même temps, comme le critique d’art et littérature qu’il était devenu, il défendra
Delacroix, représentant romantique, mais aussi Balzac, ce du réalisme. Il est devenu
un chantre de la modernité du moment, raison pour laquelle il s’est nourri de
romantisme, tourné vers le classicisme et plus tard il s’est trouvé à la croisée entre le
Parnasse et le symbolisme. Il a résulté un excellent poète qui, grâce à la publication de
ses œuvres, a occupé une place considérable parmi les poètes français. La poésie de
Baudelaire cherche la vérité essentielle entre le positivisme et le réalisme, en le
rapprochant du platonisme. Il considère que la première affaire d’un artiste est celle de
remplacer l’homme à la nature et de protester contre elle, au même temps qu’il dit que
l’artiste ne doit peindre que selon ce qu’il voit et ce qu’il sent. Il annonce aussi les
principes de la sensibilité moderne « le beau est toujours bizarre ». C’est pourquoi
l’imagination est pour lui la reine des facultés. Il présente dans sa principale œuvre les
sentiments les plus douloureuses en ce qui concerne l’inquiétude et l’angoisse,
provoquées par l’attraction de la perversité et le désir de pureté se trouvent exprimés
avec des images originelles qui révèlent une sensibilité presque morbide ;
caractéristiques qui font considérer sa poésie comme une littérature pré-symboliste.
En 1857 il a publié Les Fleurs du Mal, le seul recueil poétique de Baudelaire, considéré
l’une des œuvres majeures de la poésie moderne. Mais cette grande pièce qui
deviendra universelle sera, deux ans après sa publication, poursuivie à cause de son
Baudelaire
« offense à la morale religieuse et outrage à la morale publique ». La censure sera
payé pas seulement par l’écrivain, mais aussi par l’éditeur, le premier sera forcé a
publié une nouvelle version en 1861 en ajoutant 32 poèmes. Cette censure endettera
le poète en l’obligeant à partir en Belgique afin d'y entreprendre une tournée de
conférences. Ce sera là-bas où il rencontrera l’illustrateur de l’œuvre sanctionner et où,
peu de temps après il perdra la connaissance. Il sera retourné à Paris où il mourira en
1867 à cause de la syphilis.
Les Fleurs du Mal –Le voyage
Le recueil poétique que Baudelaire a composé a été publié en 1857 en devenant une
littérature pré-symboliste et représentative du XIXème siècle. C’est un échantillon de la
nouvelle conception de l’esthétique où le langage poétique fait surgir la beauté et le
sublime d’une réalité souvent crue. Elle est composée de plusieurs parties appelées :
Spleen et Idéal, Tableaux parisiens, Le Vin, Fleurs du Mal, Révolte et La Mort.
Chacune ajoute des poèmes excellents qui traitent des thèmes divers et modernes ; et
concrètement dans la dernière partie, La Mort qui est une conclusion logique, Charles
présente le personnage d’Électre classique pour y faire référence. Elle apparaît dans le
poème Le voyage, le dernier, et sa place devient la principale caractéristique. C’est
donc le lieu où Baudelaire voulait conduire le lecteur, à la mort comme élément
indispensable. On a abordé en relation avec le temps qui passe. Ici, la mort se voit
matérialisée à travers la métaphore du voyage. C’est le point d’aboutissement du
recueil, là où se trouvent les secrets cachés de l’œuvre.
Le voyage a huit parties qui se transforment en trois : l’avant départ, la rentrée dans le
voyage et le départ véritable. C’est dans la seconde où se trouve la référence à
Électre, quand présente la décision par une sorte d’aspiration. C’est un appel au
voyage rapporté au style direct : l’appel de la mort. La mort nous invite à retrouver le
paradis artificiel qui permet l’ouverture d’une nouvelle dimension. Alors l’auteur veut
introduire une ressource littéraire : la référence aux morts, à ceux qui sont déjà partis.
Ce sont des voix d’outre-tombe dont la mort se sert pour pouvoir nous parler « Nos
Pylades là-bas tendent leurs bras vers nous ». Il y a tout de même une certaine
familiarité qui montre que le poète a déjà avancé un pied vers ce voyage. Il semble
s’assimiler à Oreste qui est déjà mort : « Pour rafraîchir ton cœur nage vers ton
Electre ! » Il doit rejoindre les gens qui l’attendent comme Pylade ou Electre qui pourra
peut-être lui apporter un apaisement car il a voulu l’aider en acceptant sa demande de
tuer sa mère.
En conclusion, Baudelaire veut convaincre le lecteur que la mort est quelque chose
d’attirant, de séduisant et qui est le seul moyen de découvrir l’inconnu. C’est alors une
vision sinistre et positive de la dernière expérience de la vie, du dernier voyage de
lumière et feu.
XXème SIÈCLE
Pendant le XXème siècle le monde s’est accéléré considérablement tant au niveau
politique comme sociale, en produisant des grands progrès scientifiques et
technologiques d’un côté, et de l’autre l’éclat démographique de la population
mondiale. En ce moment-là la Révolution Industriel était finie laissant passer celle de la
Communication et la Connaissance, la globalisation économique et politique débute et
les États Unis deviendront la première puissance. Malgré tous les avances et
améliorations, qui comprennent la promulgation des Droits de l’Homme et la
constitution de l’ONU, le XXème siècle a été important, et même aujourd’hui on le
connait pour cette raison, comme une période pleine de guerres et conflits.
Au niveau de la France, elle s’est vue soumise, comme tout le monde, aux différentes
guerres ; mais du point de vue interne et gouvernemental ça a été une époque pas trop
agitée. Le siècle a débuté avec la 3ème République, en cours depuis 1870, qui finirait en
1940, avec l’éclat de la Seconde Guerre Mondiale. En fait cette République était si
forte et si bien établie qu’elle avait survécu à la Première Guerre Mondiale (1914 –
1918), dont le pays avait fait partie. Entre 1939 et 1945, s’est déroulée la Seconde
Guerre Mondiale en provocant une catastrophe avec des dimensions inimaginables.
En ce qui concerne la littérature et l’idéologie culturelle, le XXème siècle a marqué la fin
du symbolisme qui deviendra l’existentialisme où colonialisme ; mais ils n’ont pas été
les seuls courants littéraires qu’il y a eu en ce moment-là, durant ces années on
connaît une grande variété de styles et formes dont l’Existentialisme est le premier, un
mouvement français philosophico-littéraire que s’est étendu par tout le continent.
Représenté par des auteurs comme Albert Camus et Jean Paul Sartre, on parle d’une
prose mélancolique, réflexive et allégorique. Mais au même temps, l’Afrique était en
train de développer la littérature coloniale et postcoloniale, avec des écrivains qui
mélangeaient la tradition française avec l’oralité de ses pays originels. Alors, les sujets
se développaient entre la guerre, la liberté et l’identité sociale.
Après les guerres, mais aussi après la période de la littérature d’entre guerres, le
mouvement Nouveau Roman s’est étendu au tour du monde. Dans cette nouvelle
manifestation idéologique on rassemble l’avant-garde avec tous ces jeux complexes,
entre les mots et la réalité, des structures peu habituelles et modernes. Et, presque
parallèlement à ce mouvement, la littérature contemporaine est devenue si forte qu’elle
a soumis résistance à la classification des courants et est devenu un style concret et
indépendant.
·Jean Giraudoux
Etude de l’auteur
Hippolyte Jean Giraudoux est un écrivain et diplomate
français connu surtout par son théâtre. Il est né en 1882 à
Bellac et seulement dix années plus tard il avait déjà obtenu
son premier certificat d’études. À partir de ce moment-là il
commencera au lycée et deviendra un bachelier en
philosophie avec des études brillantes qui lui permettront
faire des classes préparatoires au Lycée Lakanal pour se
présenter au concours littéraire de l’École Normale
Supérieure, d’où il aura le premier prix de version grecque
en 1902. Etudiant et soldat, Giraudoux accomplira son service miliaire dont il en sortira
en 1903 avec le degré de caporal pour commencer à étudier à la Sorbonne une licence
ès lettres motivée par sa passion par la culture allemande. Pendant sa jeunesse il
obtiendra certaines bourses d’études et il pourra étudier dans les plus prestigieuses
universités du monde (Munich, Harvard,..). À son retour en France il entre dans la
rédaction du Matin et en 1909 il publiera son premier livre. Il est faisait des fonctions
diplomatiques et administratives tout en écrivant des romans et puis de théâtre, après
sa rencontre avec le comédien Louis Jouvert qui mettra en scène et interprétera ses
pièces principales. En 1921 il se marrie avec Suzanne Boland qui lui avait donné un fils
deux ans avant. En 1943 sa santé se dégrade et au début de 1944 il meure à cause
d’un empoisonnement alimentaire.
Jean Giraudoux, comme d’autres dramaturges des années 1930-1940, participe à la
réécriture des mythes anciens éclaires par les mentalités modernes. Il a su allier la
fantaisie poétique et le goût par les images insolites et au même temps associer le
tragique et le léger dans une langue élégante et fine, parfois même poétique. Ses
œuvres ont eu tellement succès qu’elles ont été adaptées au cinéma. Il utilise un
intelligent jeu ironique qui révèle un profond respect pour la condition humaine. Il a
souvent exprimé son aversion pour le réalisme, a choisi de placer son œuvre dans
l’éclairage du mythe. C’est le théâtre de la surprise. Partant d’un sujet connu, parlant
des thèmes familiers, il parle sur des itinéraires balisés une suite d’étonnements : Il
parle de la surprise dans le retournement du texte initial, de la surprise dans
l’agrandissement de la scène où l’aventure humaine s’entoure de toute une foule de
comparses, venus du ciel, de tous règnes de l’univers ; la surprise dans la manière de
développer un langage et de lui retirer ses pouvoirs de compréhension, de raison, pour
Giraudoux
en faire une mélodie, un décor musical. C’est aussi un théâtre de la liberté. Celle que
l’auteur a voulu se donner à lui-même, et donner à ses personnages. Une liberté
consciente d’être contenue dans les limites d’une représentation théâtrale de deux
heures, jeu aux règles précises et souvent rappelées.
Électre
La création de Giraudoux d’Électre a été critiqué par certains défauts : le théâtre
littéraire, le texte trop abondant, la tendance à la préciosité, l’abondance des jeux
d’esprit et même la frivolité. Mais, comme bon représentant du siècle qui est devenu, il
les a repris avec plus de force : l’évolution de la création théâtrale. Electre possède
une force tragique surprenante, sans jamais perdre cet esprit étincelant, cet humour
qui ont fait de Jean Giraudoux l'un des plus importants dramaturges du XXème siècle.
C’est une pièce à deux actes considérée comme la réécriture de la réécriture du mythe
d’Électre, écrite après les versions des dramaturges grecs. Avec de nombreuses
modifications anachroniques, notamment le rôle du couple bourgeois comme un
mirage burlesque du couple tragique, Électre est l’une des nombreuses preuves de
l'intemporalité de la tragédie. Écrite en 1937, il s'agirait, en effet, d'une « tragédie
bourgeoise », selon Jean Giraudoux. C’est une œuvre très différente des antérieures,
qui ne suit exactement aucun des modèles faits par les auteurs ni grecques ni
française du XVIIIème ou XIXème siècle. Il présente des personnages élaborés
psychologiquement en ajoutant aussi des éléments qui font référence au physique ;
toujours confrontés au divin. Il a tenté de repousser avec optimisme toute fatalité
inexorable.
Après la tragique mort d'Agamemnon, Électre, fille de celui-ci et de la reine
Clytemnestre, cherche le coupable tout en ressentant une haine inexplicable pour sa
mère. L'arrivée d'Oreste, son frère, exilé depuis le mystérieux assassinat, et
les confessions d'adultère faites par la femme du président du sénat à celui-ci, aideront
Électre dans sa quête qui la mènera finalement à être l'objet de la malédiction qui pèse
sur sa famille. On nous montre un Oreste à qui sa mère en manque beaucoup et qui
ne pensait, avant de savoir la vérité, à la tuer ; c'est-à-dire, un personnage humain,
doté de douleur et de sentiments d’amour et désolation contrairement à Électre qui est
toujours la femme qui soufre, qui n’aimait que son père et qui cherche une vengeance
pour la quelle a besoin de son frère exilé. Au même temps le personnage Pylade prend
présence au XXème siècle en faisan réfléchir les autres, en devenant un point au milieu
de la famille et la malheureuse Électre.
·Jean-Paul Sartre
Etude de l’auteur
Jean-Paul Sartre est un auteur prolifique qui laisse derrière
lui une œuvre considérable sous forme de romans, d’essais,
de pièces de théâtre, d’écrits philosophiques ou de
biographies. Il est né en 1905 à Paris et sa vie est séparée
en deux par la Seconde Guerre Mondiale. On distingue
alors deux grandes périodes dans l’œuvre sarterienne : une
approche philosophique théorique et puis une période plus
pratique où l’auteur cherche à appliquer sa méthode. Il est
fils unique d’une famille bourgeoise élevé par son grand-
père et sa mère, car il ne connaîtra pas son père qui meurt
de la fièvre jaune quinze mois après sa naissance. En vivant dans une grande maison
pendant dix ans, pendant lesquels il n’est pas aller à l’école, il a commencé à découvrir
très tôt la littérature universelle. Mais cette époque heureuse finira quand sa mère se
remariera et il passera du climat familial à la réalité des lycées qui lui paraît violent et
cruel. À 16 ans Sartre commence au lycée Henri IV, où il retrouve Paul Nizan avec qui
il aura une belle amitié qui l’aidera à construire sa personnalité. En 1927 on va le
rencontrer en luttant contre la loi sur l’organisation générale de la nation en temps de
guerre qui ne permet aucune indépendance intellectuelle ni liberté d’opinion. Il avait
déjà le goût par la provocation et le combat contre l’autorité, même si au début il ne
paraît pas s’intéresser à la politique. Après avoir sa licence il deviendra professeur, en
séduisant cinq générations d’élèves grâce à son excellence. En 1940 il est fait
prisonnier, une expérience qui lui enseigne la solidarité avec les hommes. Cette
nouvelle volonté d’engagement l’amène dès son retour à Paris après la prison, à âgir
en fondant un mouvement résistant et toujours sincère avec certains de ses amis. Il
meurt à Paris en 1980.
Depuis qu’il était tout petit il pensait obtenir la gloire, une gloire qui arrivera en 1938,
avec la publication de son premier livre en racontant ses tourments existentiels. Il
connaît un succès et une notoriété importante qui l’aidera à régner sur les lettres
françaises. La diffusion de ses idées existentialistes se fera notamment à travers la
revue qu’il a fondée en 1945, Les temps modernes où il introduit le principe de la
responsabilité de l’intellectuel et d’une littérature engagée dans son temps. Il dominera
tous les débats intellectuels et les plus prestigieuses revues françaises au niveau
international. Sartre met fin à la tradition philosophique de la neutralité de l’écrivain
Sartre
pendant le nazisme. Il veut se rapprocher des marxistes qui rejettent une philosophie
de la liberté radicale, susceptible d’affaiblir les certitudes indispensables au militant ; il
expose que l’homme ne peut pas refuser sa liberté, la liberté tends vers le futur, tout
acte de liberté est un projet, la réalisation d’un projet individuel modifie la réalisation
d’autres projets, chaque individu est responsable de son projet et de ceux des autres,
la liberté est le fondement de toutes les valeurs humaines, l’engagement dans les
choix des sociétés rend l’homme, un homme à part entière.
L’œuvre de Sartre est multiforme et permet à chacun de trouver son niveau de lecture,
ensuite l’existentialisme, qui calme la liberté totale, ainsi que la responsabilité totale
des actes de l’homme devant les autres et devant de lui-même, se prête parfaitement à
ce climat étrange d’après-guerre où se mêlent fête et mémoire des atrocités.
L’existentialisme devient donc un véritable phénomène de mode plus ou moins fidèle
aux idées sartriennes, et par l’ampleur de laquelle l’auteur semble un peu dépassé. Il
refuse le prix Nobel de littérature parce qu’il dit qu’aucun homme ne mérite d’être
consacré de son vivant.
Les Mouches
Il l’a fait jouer en 1943 en reprenant le mythe d’Électre et c’est un appel symbolique à
résister à l’oppresseur. La pièce n’a pas le succès: salles vides, représentations
interrompues plus tôt que prévu… c’est un drame en trois actes qui veut développer
une conception philosophique de la tragédie mettant fin aux sanglants combats des fils
d’Atrée. L’œuvre commence avec l’arrivé d’Oreste à sa ville natale qui est envahie par
les mouches depuis l’assassinat d’Agamemnon. Elle se développe au tour de la
vengeance, entre les rencontres avec la famille, les regrets des actions passées et des
dialogues complexes qui montrent des personnages élaborés, qui réfléchissent d’une
façon humaine, avec une étude complète. Le titre, l’élément des mouches, est toujours
présent, tout se développe au tour d’elles : elles ont fait devenir la ville en un lieu
horrible, où la terreur est le protagoniste et où le bonheur n’a pas de place ; donc les
habitant veulent les faire disparaître comme le joueur de flute a fait disparaître les rats
d’Hamelin. Sartre montre son attitude dominée par l’angoisse, son esprit régît par le
vide et par l’obsession avec la liberté individuelle devant laquelle les dieux ne peuvent
rien faire. La critique des dieux est constante mais dans ce cas-là, donc le personnage
de Jupiter se fait présent et en fait obstacle, il parle en défendant la justice, en donnant
des conseils et en informant aux personnages des événements d’un destin fatale, qui
s’accomplit à la fin de la tragédie.
·Marguerite Cleenewerck de Crayencour
Etude de l’auteure
Elle est née à Bruxelles en 1903 et elle est connue
comme Margarite Yourcenar, son pseudonyme, qui
deviendrait son nom officiel. Elle est fille d’une
famille aristocrate et sa mère est morte quinze jours
après de sa naissance donc la petite fille a été
éduquée par son père qui à 12 ans lui a enseigné le
latin et le grec classique. Yourcenar lisait Racine et
Aristophane avec seulement 8 ans et elle a publié
son premier roman en 1929. Elle était bisexuel et
avait une relation curieuse avec sa meilleure amie, la fille qui l’a invitée vivre aux États-
Unis quand la guerre a commencé. En 1947 elle obtient la nationalité américaine. En
1980 elle deviendra la première femme membre de l’Académie française et l’une des
plus respectées écrivaines en langue française. Elle a gagné le prix à la femme et
l’Erasmus la même année.
La chute des masques
Écrite en 1944 en partant d’une héroïne mariée avec un paysan avec qui elle partage
une maison misérable. C’est une pièce avec une claire influence d’Euripide, le
dramaturge grec, mais avec certaines différences et ampliations, donc les
personnages, malgré ne pas être beaucoup, ont une claire étude, une mentalité
humaine qui raisonne avec cohérence et qui veut justifier tout ce qu’elle fait en
argumentant. La pièce présente seulement les personnages les plus importants, avec
un chœur formé par un seul personnage, Teodoro, et cherche la réflexion du lecteur.
En ce qui concerne le titre choisi par l’auteure, elle fait référence aux dernières phrases
d’Egisthe, quand il laisse partir Oreste et Électre après l’essai d’assassinat. C'est-à-
dire, il les pardonne après tout, il ne veut pas les culpabiliser de rien parce qu’il peut
comprendre ses motifs, il est très humain, beaucoup plus que dans toutes les versions
antérieures à elle.
Yourcenar
·Jean Anouilh
Examen de l’auteur
C’est un écrivain et dramaturge français né en 1910 à
Bordeaux et mort en 1987 à Lausanne à cause d’une crise
cardiaque. Sa première manifestation comme écrivain
français c’est en 1923 au lycée Chaptal et quelques années
plus tard il découvre la littérature de Giraudoux qu’il aimera
toujours. Anouilh travaillera dans le monde du théâtre en
dirigeant la comédie des Champs Élysées et il est chargé
de rédiger des notes sur les manuscrits reçus et de
composer la salle pour y représenter les générales. Puis, en
1931, il fera son service militaire et en revenant il se marie
avec la comédienne Monelle Valentin avec qui il aura une
fille née en 1934. Plus tard, en 1953 Anouilh épouse Nicole Lançon, une autre
comédienne qui deviendra sa principale collaboratrice et avec laquelle il aura trois
enfants.
Sa première pièce apparaît en 1932 et on en fera une adaptation cinématographique.
En général, la critique des œuvres d’Anouilh est très favorable et il deviendra très
connu dans la France après peu temps de publier ses œuvres et les représenter au
théâtre mais il y aura aussi quelques accusations qui resteront en marquant son nom
pendant très longtemps.
Auteur de nombreuses comédies et d’œuvres de tonalité dramatique ou tragique qu’il
fait alterner, tout le long de sa vie, des pièces noires et des pièces roses. Les
premières montrent la gravité des affrontements des héros entourés des gens
ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes ; et les dernières sont des
comédies marquées par la fantaisie. Après la guerre apparaissent les pièces brillantes
qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre, puis les pièces grinçantes,
comédies satiriques et aussi les pièces costumées à des figures lumineuses qui se
sacrifient au nom du devoir.
Tu étais si gentil quand tu étais petit
La pièce de théâtre écrite par Anouilh en 1972 présente le mythe d’Électre sous un titre
différent aux antérieures, mais en développant l’argument comme les auteurs
classiques. Il est très fidèle aux premières versions, celles des grecques, en ce qui
Anouilh
concerne les événements : l’arrivé d’Oreste à Mycènes en cachant son identité, la
tristesse et la solitude d’Électre devant la situation, la vengeance comme finalité
principale des protagonistes, les assassinés… mais il y a aussi certains dialogues qui
font référence à des pièces composés pendant le XXème siècle, des dialogues qui
montrent la profondeur des personnages, son évolution et ses caractéristiques
intérieures. La pièce se caractérise par un langage actuel et littéraire, avec lequel
l’auteur veut montrer la personnalité. Elle a seulement un acte, donc l’action ne s’arrête
jamais, et présente des personnages jamais vus, des personnages qui pourraient faire
partie du chœur. Ce sont les instruments, qui font partie de la scène et qui expriment
son opinion et ses doutes pour aider le publique à résoudre les siens. Les instruments
parlent seulement entre eux, par les autres personnages ne sont pas visibles et ses
mouvements sont presque nuls.
CONCLUSIONS
De l’étude précédente des pièces qui parlent d’Électre au niveau individuel, on va
conclure enjambant tous les aspects de forme et d’argument même si ils sont pareils
en différentes œuvres comme si ils ont évolué à cause du pas du temps. Dans cette
dernière partie du travail on fera référence à l’individualité des pièces, mais on les
étudiera aussi tout ensemble avec la finalité de trouver la survie du mythe d’Électre au
niveau de contenu et au niveau de profondeur.
Forme
La plupart des écrivains qui ont raconté l’histoire d’Électre l’ont fait en forme de théâtre
par influence des dramaturges grecs (Eschyle, Sophocle et Euripide). Les trois auteurs
suivants, Longepierre, Crébillon et Chénier, l’ont écrite en vers parce que, d’un côté,
c’était plus facile pour les acteurs qui devaient mémoriser les dialogues, et de l’autre,
c’était la façon la plus commune de composer le théâtre pendant le XVIIIème et le
XIXème siècle ; tandis que les auteurs du XXème siècle ont écrit ses pièces comme on le
ferait à l’actualité, car la langue et les styles littéraires étaient plus développés et
chaque auteur avait sa propre façon de rédiger, sans suivre obligatoirement un model
antérieur. Mais toutes les pièces ne sont pas de compositions théâtrales : Guillard, en
1782, fait un opéra, une création qui avait besoin de chanteurs pour être interprétée,
alors que Baudelaire, au XIXème siècle fait référence au mythe dans un poème. Ainsi on
peut voir que la survie du mythe n’est pas toujours une simple adaptation ou réécriture
des premières versions, sinon qu’il y a des auteurs qui se sont inspiré en la profondeur
du personnage protagoniste et sa situation, pour écrire une œuvre qui voulait montrer
la personnalité de l’écrivain et, parfois, des aspects de sa vie personnelle. Par
exemple, dans la pièce du philosophe Sartre, on peut rencontrer une relation avec son
enfance, car son père est mort quand il était très petit et il a vécu avec sa mère jusqu’à
l’âge de dix ans, moment où il a commencé à aller à l’école parce qu’elle s’est
remariée en commençant une nouvelle vie. Aussi Yourcenar a vécu une situation
semblable qui l’a influée beaucoup et qui l’a portée à s’identifier avec l’Électre triste et
manquée d’une figure, en se cas maternelle, depuis qu’elle était très petite. Des autres
raisons qui ont porté dramaturges comme Giraudoux et Anouilh à composer une
version d’Électre, ce sont l’amour vers les mythes classiques, même si c’est individuel
ou marqué par le mouvement littéraire du moment ; c’est pour ça que pendant le
Romanticisme on ne trouve aucune pièce sur Électre et, cependant, quand le
Classicisme était en cours, il y a trois auteurs qui traitent le sujet en suivant à la lettre
les tragédies grecques.
Titre
Dès que la première pièce, celle de Sophocle, s’est appelée Électre, en faisant
référence au nom de la protagoniste, toutes les œuvres jusqu’à Baudelaire se sont
appelées comme ça, car c’était le plus facile et les œuvres ont été écrites dans un
période où le modèle classique était le suivi ; mais avec l’arrivée du XIXème siècle et le
Romanticisme tout change. Baudelaire parlera du mythe dans Les Fleurs du Mal et à
partir de Sartre chaque auteur choisira le titre de la pièce selon l’approche qu’il veut
présenter : Sartre l’intitulera Les Mouches, Yourcenar l’appellera La chute des
masques et Anouilh innovera avec le titre Tu étais si gentil quand tu étais petit. En fait
les titres des œuvres ne sont pas seulement des mots qui veulent séduire le publique,
ils montrent aussi l’essence et la profondeur qui voulait remarquer l’écrivain. C’est pour
ça que les titres évoluent et que pendant le XXème siècle ils sont beaucoup plus
complexes, parce qu’ils ont un message interne qui se découvre au moment de lire la
pièce, normalement à la fin du livre.
Division des pièces
Par rapport aux tragédies, elles sont toutes divisées en actes, ou épisodes dans le cas
des pièces classiques. À propos des classiques, il y a Eschyle et Sophocle qui divisent
l’œuvre en trois épisodes, une structure suivie par Guillard dans son opéra et puis par
Giraudoux pendant le XXème siècle. En fait il s’est toujours considéré la division la plus
logique, puis qu’en le faisant en trois parties on divise l’argument en introduction,
développement et conclusion, parties clairement vues dans les œuvres. L’autre
division commune et connue dans l’histoire de la littérature c’est celle qui fait cinq
parties du texte, comme en Longepierre et Crébillon. C’est un modèle antique, qui s’est
commencé à utiliser pendant l’époque classique mais qui a été rebuté à cause de
l’influence de la logique des trois actes. Les structures les moins connues sont celles
composées par un seul acte, comme dans le cas d’Anouilh, deux actes, comme le fera
Yourcenar en les appelant parties au lieu d’actes, et quatre actes ou épisodes, modèle
appliqué par Euripide ; il s’agît de structures utilisées à cause de la commodité de
l’auteur. Une dernière pièce s’est trouvé sans finir, celle de Chénier, donc on en
conserve seulement le premier acte. La division par actes est faite parfois pour
délimiter la structure de l’argument, mais il y a des œuvres où le changement d’acte
est aussi le moment où change la scène, le lieu où l’action se passe. C’est alors une
stratégie pour situer nouvellement l’histoire et pour présenter une situation différente.
Lieux où se développe l’action
On vient de mentionner la situation de l’argument sur la scène, en des lieux différents
selon l’auteur et l’époque. En ce cas-là, on peut rencontrer sites très différents, certains
des quels deviendront fixes pendant toute la pièce et des autres seront présents
seulement pendant un acte. Il y a aussi deux pièces qui ne décrient pas l’espace où
l’action se passe parce que ses écrivains n’ont pas considéré que ce fût quelque chose
d’importance. En ce cas-là c’est aux directeurs des mises en scène de situer l’histoire
quelque part selon ses intentions ; on est en train de parler de la pièce de Chénier,
auteur du XIXème siècle, et de celle de Giraudoux, du XXème siècle. Ils n’appartiennent
pas au même mouvement littéraire, c’est pourquoi les raisons pour lesquelles ils ont
pris la même décision n’est pas évidente et c’est seulement une question d’style. Dans
le groupe qui cite la scène où se reproduise l’action il y a une claire division : d’un côté
il y a les auteurs qui ont développé l’argument dans trois lieux différents, un pour ac te.
Ils sont Sartre et Guillard qui, comme dans le cas antérieur, appartiennent à des
époques très différentes. Guillard initie la scène à l’entrée de la ville de Mycènes, avec
une vision générale de la cité, et à mesure que l’histoire avance, l’action rentre dans le
palais de la famille, en finissant au côté de la tombe d’Agamemnon. C’est alors une
gradation à chaque fois plus concrète, qui va du général au particulier et qui présente
des descriptions précises et détaillées. Le détail c’est aussi une qualité de Sartre, qui
situe le premier acte dans une place de Mycènes, le deuxième sur une plateforme à la
montagne et le dernier dans le temple d’Apollon, en la pénombre. Ici l’auteur ne
présente pas des scénarios qui se complémentent, il change complètement la scène à
cause de l’évolution de l’argument, car la situation a besoin des endroits concrets. De
l’autre côté, on a les trois pièces grecques et quatre écrites par des auteurs français
(deux du XXème siècle et deux du XVIIIème siècle). Ils situent l’histoire dans un seul
scénario qui ne change jamais, même si il peut y avoir plusieurs éléments dans la
scène qui représentent des lieux un peu différents. En tout cas, le décor ne change
pas. Ainsi, entre ces sept dramaturges on peut faire une division : la cité et la
campagne. Ceux qui situent l’action à la cité, à la civilisation, ce sont Eschyle,
Sophocle, par influence d’Eschyle, Longepierre, Crébillon et Anouilh. Sophocle et
Eschyle montrent un paysage plus général, la vision d’une partie de la ville avec
l’entrée au palais au milieu de la scène. Alors la scène se développe entre la rue,
l’entrée et parfois l’intérieur du palais, malgré que ces derniers moments ne se voient
pas, et tout simplement se racontent. Longepierre, Crébillon et Anouilh présentent un
espace plus concret : une salle à l’intérieur du palais. Tous les trois, peut-être par
influence les uns des autres, montrent un espace fermé et simple, sans beaucoup
d’éléments autour de l’scénario, malgré qu’on ne peut pas le savoir vraiment ;
seulement dans l’œuvre d’Anouilh il y a une description détaillée de la situation au
début de l’acte, comme le faisaient Sartre et Guillard dans ses œuvres. Les deux
écrivains qui restent, Yourcenar et Euripide, présentent un scénario situé à la
campagne. Euripide présente un champ vert et une petite maison où Électre vit avec
son mari, un paysan, et Yourcenar, par influence de l’auteur grec, montre aussi cette
petite maison mais dès l’intérieur, c'est-à-dire qu’elle montre, comme certains des
autres auteurs français, une scène fermée ; mais en ce cas-là avec toute une
décoration et les plus petits détails d’une maison pauvre, car l’auteure veut faire
attention à la situation sociale d’Électre.
Présence des annotations
En faisant la comparaison entre les différentes scènes où se développe l’action, on a
parlé sur les annotations qui apparaissent au long de toutes les pièces pour ajouter
information, autant des personnages que des mouvements ou des situations
temporelles et d’espace. Les annotations sont un ressource très utilisé par les
dramaturges pendant toute l’histoire du théâtre, puis que c’est la façon la plus facile
d’indiquer certaines nuances à propos de l’attitude que les personnages doivent
acquérir à l’heure de mettre en scène les pièces. Ce sont alors des indications de
l’auteur destinées aux chefs d’œuvre qui ont son début à l’époque classique. Les
dramaturges Eschyle, Sophocle et Euripide, comme on a déjà commenté, ils ont utilisé
ce ressource dans ses œuvres et puis la plupart des écrivains français n’ont fait aussi
usage. Mais il y a des exceptions : quelques auteurs du XVIIIème siècle comme
Longepierre et Chénier n’ont pas ajouté d’annotations et pour les suppléer ils ont
rédigé les dialogues d’une façon plus détaillée, en présentant plus d’information que
dans les autres œuvres. Yourcenar, elle refuse faire aussi usage des annotations dans
la forme habituelle et elle raconte toute cette information en forme de monologue ;
c’est-à-dire, les propres personnages commentent ce qu’ils vont faire avec détail,
comme si ils racontaient une histoire aux petits enfants. Ce style personnel nous
montre une Yourcenar experte en l’art du langage et qui connaît bien le monde du
théâtre ; une Yourcenar méticuleuse, qui transmet sentiments avec ses dialogues.
En fait, la plupart des écrivains utilisent les annotations dans ses pièces, d’entre
lesquels il y en a certains qui obtiennent des résultats impressionnants et qui
provoquent en le spectateur une vision parfaite de ce qu’ils veulent transmettre, et des
autres qui simplement présentent l’information qu’ils trouvent opportune. Les premiers
ce sont des écrivains comme Sartre, un écrivain prolifique, Anouilh, avec sa maîtrise
du langage ou Giraudoux ; les trois appartiennent au XXème siècle, moment où le
théâtre était déjà développé et où ses bases avaient été étudiées par les plus célèbres
dramaturges. Par contre, auteurs comme Guillard ou Crébillon ils représentent
modèles du deuxième style.
Temporalité
Un autre aspecte qu’il faut considérer c’est la temporalité de l’action, c’est-à-dire, le
temps réel pendant lequel se développe l’histoire. Depuis l’antiquité celui-ci a été un
aspect fondamental au moment d’écrire une pièce et forme partie des trois règles
aristotéliques dont les classiques se basaient pour composer des œuvres théâtrales. À
l’époque classique il se considérait que le temps pendant lequel se représentait la
pièce devait être le même que le temps nécessaire, à la vie réelle, pour développer
l’action. Dans le cas du mythe d’Électre, le développement de la temporalité devient
chronologique. Les trois dramaturges classiques emploient la règle comme il faut, en
distribuant le temps selon la durée de la représentation ; pour cette raison ses
personnages racontent ses histoires et les raisons pour lesquelles se trouvent dans
une situation ou une autre à travers des retours au passé, car c’est la façon la plus
facile d’informer le publique sans avoir besoin d’un temps narratif trop long. Quand on
arrive à la littérature française il faut diviser les auteurs en trois groups, division
presque équivalente à la division par siècles : le premier group, formé par Longepierre,
Crébillon, Guillard et Anouilh, c’est-à-dire, ceux du XVIIIème siècle et Anouilh, du XXème
siècle (il présente une pièce avec une influence directe très notable des dramaturges
grecs), suivent apparemment le modèle des classiques, car ils ne mentionnent pas
directement le cours du temps, mais ils développent les actions d’une façon très
semblable à celle des grecs. D’autre part on s’aperçoit que le groupe d’auteurs du
XXème siècle, qui ne suivent pas cette règle, parlent clairement du sujet aussi à travers
des annotations que des dialogues entre les personnages. Yourcenar développe
l’action autour d’un jour complet, en faisant référence au matin et à l’après-midi ; Sartre
parle de deux matins différents et de la soirée d’après le premier et finalement
Giraudoux distribue le temps narratif entre deux jours complets. De cette façon les
auteurs du XXème siècle montrent le besoin d’un temps plus long pour analyser plus
profondément au niveau psychologique les événements. Le troisième group dont on
parle c’est celui du XIXème siècle : Baudelaire et Chénier. Aucun des deux ne parle pas
de la temporalité : autant que le premier est l’auteur d’un poème qui mentionne Électre
en faisant référence à l’étude psychologique et à la présence de la Mort, du deuxième
on ne conserve que le premier acte de sa tragédie, c’est pourquoi on ne peut pas
parler d’une temporalité complète.
Le Chœur
Dans ce dernier sujet, on a parlé de l’information que les écrivains donnent aux
spectateurs pour les aider à comprendre le sens de l’histoire, car parfois les dialogues
deviennent peu explicatifs. Ce n’est seulement aux annotations ou aux dialogues de
donner d’information, sinon que dans le monde du théâtre il apparait un élément avec
la seule fonction d’apporter d’information et faire réfléchir le publique : on parle du
chœur. Le chœur est apparu à l’époque classique comme un group de gens qui
récitaient une partie de l’œuvre, lequel a été adopté plus tard par des auteurs
modernes, ce qu’on peut voir dans la littérature française. Dans la comparaison des
œuvres classiques on a déjà parlé sur la présence du chœur et on a constaté que
c’était importante, à chaque œuvre inférieure mais quoique bien constante. Cette
présence est visible dans les pièces de Guillard, Chénier, Giraudoux et Anouilh.
Chénier et Giraudoux forment le chœur avec des membres du peuple de Mycènes,
mais l’importance qu’il a en Chénier est inférieure à celle de Giraudoux, qui présente
ce group comme une intervention constante mais invisible aux personnages de
l’œuvre ; c’est-à-dire, ils font réflexions et discutent sur les actions des personnages et
ses attitudes, mais ils ne sont jamais entendus par les personnages, de manière qu’ils
ne sont pas influencés par ses opinions. Parfois, c’est un chœur qui sait tout des
protagonistes mais qui veut provoquer l’incertitude du publique pour les faire obtenir
ses propres conclusions. Le cas de Guillard c’est différent, parce que le chœur,
malgré qu’on ne sache pas qui le forme, intervient directement dans la scène en
donnant son opinion et en opposant les idées, habituellement fermes, des
personnages. Ils n’ont pas seulement une fonction informative, sinon qu’ils veulent
réveiller la partie la plus philosophique et étique même du publique que des
personnages. Plus tard, pendant le XXème siècle, Anouilh présentera un chœur formé,
curieusement, par un orchestre dont les composants sont les différents instruments
qu’on peut trouver. Comme en plusieurs aspects, Anouilh présente une caractéristique
vraiment classique dans un contexte et une forme modernes. Ce chœur est toujours
sur la scène, en intervenant autant avec les personnages comme au niveau individuel,
pour le publique. Mais il y a aussi quelques écrivains qui ont rejeté l’idée du chœur
dans ses pièces et qui l’ont éliminé. Crébillon et Longepierre au XVIIIème siècle sont les
premiers qui présentent les pièces sans la présence informative, car ils n ’en ont pas
besoin. Tous les deux rédigent les dialogues de ces personnages avec un langage
prolifique qui leur permet raconter d’une façon concise tout ce que le publique pourrait
avoir besoin de savoir. Deux auteurs au XXème siècle ont suivit la procédure des
écrivains du XVIIIème siècle qu’on vient de mentionner : Sartre et Yourcenar. Sartre
n’utilise pas le chœur pour expliquer et non plus pour faire réfléchir, puis qu’il fait
usage d’un personnage différent aux autres : il présente un dieu en forme humaine qui
informe les autres personnages de certains événements et qui fait penser ; un
personnage toujours sur la scène aussi, mais qui n’intervient qu’en quelques moments
ponctuels. Yourcenar, au lieu de faire usage du chœur comme un group marqué,
donne l’habilité à ses personnages de dire à haute voix ce qu’ils vont faire ou ce qu’ils
voudraient. En fait, tous les deux ce sont auteurs que ne suivent pas, comme on a
avant commenté, la temporalité des classiques, et c’est pour ça qu’ils n’ont pas besoin
de quelqu’un qui raconte le passé d’une façon rapide.
Le chœur a un élément interne qui apparait habituellement lors de sa présence : c’est
le Coryphée, le représentant du chœur qui parle avec les personnages tout seul,
comme un personnage plus. Il apparait dans toutes les pièces classiques, malgré qu’il
n’est pas important dans la pièce d’Euripide. Dans la littérature française le Coryphée
apparait seulement dans les pièces de Chénier, avec la fonction la plus commune
d’informer les personnages et de se diriger à eux personnellement, et dans les pièces
de Guillard, qui présente deux Coryphées qui se complémentent et qui parfois ont des
opinions contraires pour pouvoir les contraster ; comme ça, ils vont faire réfléchir au
même temps le publique et les personnages. Les auteurs Giraudoux et Anouilh, qui
présentent le chœur mais pas le Coryphée, ont une caractéristique en commun : tous
les deux présentent un chœur dont ses membres ne parlent pas comme un ensemble,
sinon que chaque un des membres à sa propre opinion et la dise toujours. C’est alors
un style qui renforce l’individualité à travers les monologues d’argumentation et
justification.
Deus-ex-machina
On vient de mentionner, concrètement avec l’exemple de Sartre, la présence des dieux
sur la scène. Ce n’est pas habituel trouver représenté sur la scène un dieu en forme
humaine pendant toute l’œuvre, c’est pourquoi il n’apparait que dans la pièce de
Sartre. Il présente un Jupiter avec une attitude propre d’un humain ; c’est un
personnage qui pose des questions, qui veut faire réfléchir aux autres personnages sur
leur comportement, mais c’est aussi quelqu’un qui sache tout ce qui se passe et que
informe les autres personnages des événements les plus importants. Il ne le fait pas,
tout à fait, directement, sinon qu’il utilise l’incertitude en donnant seulement un peu
d’aide. Il ferait la fonction des Oracles, aussi présents dans l’œuvre de Longepierre. Il
présente des personnages secondaires qui connaissent les verdicts donnés par les
dieux dans les Oracles et il parle toujours des dieux comme des éléments supérieurs
aux humains. Longepierre, et aussi Euripide, présentent le deus ex machina,
l’apparition, à la fin de la tragédie, d’un dieu qui dise à tous les autres personnages ce
qu’ils doivent faire à partir de ce moment. On avait déjà parlé de l’apparition de cet
élément dans l’œuvre d’Euripide, et maintenant il faut parler de l’influence partiale qui a
eu en Longepierre. Longepierre présente les Euménides dans la dernière scène de
son œuvre de théâtre. Elles apparaissent comme des humaines et elles vont torturer
Oreste pour avoir assassiné sa mère. Elles ne font exactement la fonction du deus ex
machina mais son apparition n’est pas seulement imaginaire, sinon qu’elles sont des
personnages réels. Il y a des auteurs comme Anouilh, Guillard et Crébillon, qui parlent
de ces personnages divins, mais ils n’apparaissent pas sur la scène. Anouilh, il
présente les Erynnies dans la tête d’Oreste. Elles le torturent, toujours pour la même
raison, et la pièce finisse avec cette scène. De l’autre côté il y a Guillard et Crébillon
qui parlent des Furies, et Guillard il parle aussi des Euménides par influence
d’Euripide. Tous les deux en parlent d’une façon abstraite, sans les faire apparaître sur
la scène, mais tous les personnages savent qui sont-elles. Le dernier group d’auteurs
est formé par ceux qui parlent des dieux parce qu’ils sont fondamentales pour les gens
de la Grèce classique, mais toujours à travers des invocations, libations et demandes.
Ils ne font pas référence à des dieux concrets, sinon qu’ils en parlent dès la globalité.
Ces auteurs sont Giraudoux, Yourcenar et Chénier, du côté des français et puis
Sophocle et Euripide. Probablement ces trois auteurs de la littérature française ont été
influencés par les classiques pour ce sujet, parce qu’ils étaient plus d’accord avec ce
qu’ils pensaient. Il y a un dernier élément qui fait référence aux dieux : la justice. Il
apparait toujours le sujet de la justice dans les dialogues des personnages en discutant
si les dieux sont justes avec tout le monde, car selon les grecs c’était à eux de marquer
le destin des humains sans les rendre l’option de le modifier. Tous les auteurs y font
référence d’une façon ou d’une autre selon son idéologie et selon l’influence qu’ils ont
eue. Comme plus actuels ce sont les écrivains, plus d’importance a le sujet de la
justice dans l’œuvre, puis qu’ils sont intéressés en l’étude humain des personnages et
en ses réactions devant certaines situations, et cela n’était pas une question abordée à
l’époque classique.
Personnages
Un des aspects plus complexes c’est la présence de personnages sur la scène, car
chaque auteur décrit les siens selon l’importance qu’ils ont dans la pièce. Il y a certains
personnages qui apparaissent toujours, comme Électre, Oreste, Clytemnestre et
Egisthe, mais ils présentent caractéristiques très différentes au niveau intérieur et
d’attitude. Egisthe n’est pas toujours quelqu’un sans cœur, Électre montre parfois un
respect pour sa mère et Oreste montre des préoccupations et des sentiments humains
qui ne le permettent pas tuer sa propre mère par vengeance. Après ces protagonistes,
il y a les personnages secondaires qui ont une relation forte avec les protagonistes et
qui, même s’ils ne sont pas tous dans toutes les versions, ils font la même fonction : ils
donnent son opinion et discutent avec les protagonistes. Ce sont aussi ceux qui les
aident avec ses problèmes et ses plans. Il s’agît des suivants personnages : Pylade,
meilleur ami d’Oreste, Théodore, mari d’Électre, Palamède, gouvernante d’Oreste, et
Arcas, homme vieux ami d’Agamemnon. Des autres personnages, moins importants,
avec une relation familiale font cette même fonction, parfois pour Électre et parfois
pour Egisthe et sa femme, mais certaines fois ils ne sont pas sincères à cause de la
peur et du respect ; entre ces personnages il y a Chrysotemis, sœur d’Électre et
Oreste, Ismene (une demi-sœur d’Électre selon Longepierre), Itys, Iphinasse ou la
sœur d’Agamemnon, Anaxobie. Il y a aussi un troisième group de personnages,
lesquels deviennent les confidents des protagonistes : Dymas, le confident d’Egisthe,
Antenor, celui d’Oreste, et Melite, celle d’Iphanasse. Habituellement, quand ces
personnages sont présents sur la scène, le publique découvre les secrets des
protagonistes, parce que ce sont les moments où ils racontent la vérité. Il y a aussi les
messagers qui portent information de l’extérieur de la scène à ceux qui sont dedans.
Ce sont ceux qui annoncent la mort, l’arrivée de quelqu’un à la ville… et ils n’ont pas
un prénom, car ils ne sont importants que pour sa fonction. Alors ils sont appelés
comme serviteur, la nourrice et le pédagogue. Un autre ensemble de caractères ce
sont ceux les gens du peuple, les personnages les moins importantes : il s’agît des
esclaves, des gardes, d’un sacerdotal, des antigènes et des propres gens du peuple.
Sa fonction est seulement de rester sur la scène en intervenant seulement quand il est
nécessaire. Finalement, le dernier group de personnages sont ceux qui font référence
aux dieux : Jupiter, les Furies et les Erynnies. Le premier est la représentation d’un
dieu sous une forme humaine et les autres deux représentent la torture vers Oreste
pour l’assassiné de sa propre mère. Ils sont alors les représentants de la justice et le
tourment éternel.
La plupart à ces personnages avaient été utilisés par les auteurs grecs avec déjà des
différences considérables, mais les auteurs français ont introduit nouvelles différences,
quelques unes innovatrices et d’autres qui montrent une étude plus profonde et
complet des personnages. Une des grandes similitudes entre les auteurs grecs et les
auteurs français ce sont les fonctions des personnages (le messager, les protagonistes
qui apparaissent toujours et les gens du peuple qui ont interventions concrètes), mais,
par contre, une des grandes différences c’est la caractérisation. En ce qui concerne
aux auteurs français, en général ils suivent le même modèle, mais avec quelques
différences entre eux.
·Personnages : Électre – Longepierre
Longepierre n’utilise que des personnages avec prénom et avec personnalité. Il montre
les caractères avec attitudes extrémistes, c’est-à-dire, secoures d’eux-mêmes et dures
devant le monde cruel. Électre est possédée par l’haine contre sa mère et Egisthe agît
en conséquence. Elle discute avec Clytemnestre sans l’écouter, elle ne veut rien savoir
de sa mère parce qu’elle a tué son père, la seule personne qu’elle aimait dans sa
famille. Électre devient tragique, elle est toujours en se lamentant, c’est pourquoi tout
le monde considère qu’elle a une vie malheureuse. Ses discussions deviennent
affrontements contre un Egisthe sans cœur, qui veut tuer Électre pour éviter la
vengeance. Au contraire de ces deux personnages, dominés par l’haine et amants de
la vengeance, il y a Clytemnestre, la mère d’Électre, qui a toujours des cauchemars et
qui ne peut vivre avec la mort de son mari sur sa conscience. C’est pourquoi elle est
toujours en faisant libations aux dieux et essayant d’avoir le pardon d’Électre. Elle a
peur de la vengeance et ne fait jamais confiance à personne. Autrement, le
personnage d’Oreste, toujours avec un Pylade sans beaucoup de présence et
influence dans l’historie, il apparait sous la forme d’un homme déjà formé, avec les
idées claires et un plan parfait pour se venger. Il arrive à Mycènes avec les idées
claires et avec l’intention de tuer Égisthe et Clytemnestre, comme dans les œuvres
classiques, et il ne montre jamais aucun regret. Le dernier personnage avec une
présence importante c’est Chrysotemis, la sœur à Électre, qui vit avec sa mère parce
qu’elle n’a pas la valeur de partir. Elle est le contraire d’Électre, elle satisfait les désirs
des rois sans se plaindre ; mais en fait elle pense comme sa sœur et elle a besoin
aussi de vengeance. Elle et sa sœur ont plusieurs discussions et conversations tout au
long de l’histoire où il se montre cette attitude peureuse. Tous les autres caractères
n’ont pas une présence essentielle et font seulement fonctions qui aident l’écrivain à
raconter des passages antérieurs aux événements.
·Personnages : Électre – Crébillon
Le seconde dramaturge, Crébillon, joue avec la double personnalité d’Oreste pour le
cacher du monde, mais en ce cas-ci il ne sait non plus qui est-il. Quand il le découvre,
il ne sera pas contre la vengeance, sinon qu’il aidera comme si rien n’était passé. Il est
frivole, il ne montre jamais sa tristesse et il suit les traces de son gouvernant,
Palamède. Ce dernier c’est seulement un personnage secondaire, mais il a une
importance considérable en comparaison aux œuvres antérieures. Par rapport à
Clytemnestre elle a les mêmes caractéristiques que dans la pièce de Longepierre,
mais sans avoir opinion. Toutes les décisions importantes sont prises par son mari et
elle ne doit rien faire. Le personnage d’Électre se montre aussi dominé par l’haine,
mais en ce cas elle est amoureuse d’Itys, le fils d’Egisthe et elle n’y veut pas renoncer.
Elle est tout à fait une esclave de la reine contre sa volonté. Itys prend aussi présence
à cause de cet amour, qui veut être imposé en forme de mariage par Clytemnestre,
mais il seulement intervient en parlant avec Électre. Cette pièce a une profondeur
supérieure aux autres et les personnages montrent et justifient son opinion pour
devenir importants dans la scène. Crébillon provoque plusieurs affrontements familials,
entre Egisthe et Électre surtout, mais aussi entre d’autres personnages, pour montrer
toujours les deux faces du conflit. C’est une manière de réveiller l’intérêt du publique et
de le faire prendre partie des arguments qui donnent tous les deux.
·Personnages : Électre – Guillard
L’Électre esclave est aussi présente dans l’opéra de Guillard, où les personnages
parlent tous à la même fois et où prédomine le dynamisme entre les dialogues. Elle
devient un personnage conflictuel par Clytemnestre, qui a nouvellement une présence
constante. Elles se fâchent quand elles discutent comme dans les pièces d’Eschyle et
de Sophocle. Guillard prend le modèle de Sophocle en plusieurs aspects, comme
l’attitude d’Oreste à l’arrivée : il revient à Mycènes pour se venger avec un plan déjà
formé et avec l’aide de Pylade et Arcas, un ami à son père mort. Arcas prend le rôle
d’un messager qui porte les nouvelles à la ville, mais en autres occasions il est
seulement un personnage secondaire sans présence directe, c’est-à-dire, qu’il ne
donne pas son opinion. En allant en arrière, on revient sur le caractère d’Oreste pour
parler de son attitude : il se montre sûr de lui-même et il ne cherche pas l’aide de
personne pour se venger. C’est pour ça qu’il ne montrera vraiment son amour pour sa
sœur et la laissera seule pour aller tuer sa mère et Egisthe. Mais après la mort, quand
il reçoit la visite des Eumenides qui le poursuivent et le tourmentent il désirera mourir
avant de souffrir pendant toute l’éternité. Le dernier personnage que Guillard présente
c’est Chrysotemis, qui aura la même attitude que dans la version antérieure et elle
montre aussi une tristesse très grande quand elle pense que son frère Oreste est mort.
Elle est donc une fille débile, sans personnalité et à qui la peur la supère. On peut dire
que Guillard présente seulement sur la scène les caractères les plus importants, les
essentiels pour développer l’opéra et il les travaille beaucoup, à exception des
personnages secondaires sans intervention comme les gardes du palais.
·Personnages : Électre – Chénier
Chénier utilisera la même technique que Guillard en montrant seulement les
personnages principaux et il présente une Électre seule, qui se fâche toujours avec sa
sœur et avec sa mère et qui cherche la façon de venger son père en vivant avec ses
assassins. Elle reçoit des lettres de son frère qui est exilé et elle le considère sa
salvation pour partir de l’enfer. Aussi avec l’influence d’Eschyle, Chénier fait apparaître
quelques discussions autant entre Clytemnestre et Électre comme entre Chrysotemis
et Électre, toujours en traitant les mêmes sujets et en enlevant les mêmes solutions.
Chrysotemis a, une autre fois, le rôle de donner information à Électre sur ce qu’elle voit
au palais et elle l’aide à rencontrer Oreste grâce à ses déductions.
·Personnages : Les Fleurs du Mal – Baudelaire
L’écrivain qui suit c’est Baudelaire, le plus différent de tous, parce qu’il écrit un poème
qui parle de Pylade et Électre, comme des exemples des personnages qui attendent
Oreste pour se sauver des assassins. Il veut montrer les caractères des personnages
qui ont la mort très présente dans ses vies et il veut convaincre le publique que la mort
est quelque chose d’attirant et séduisant.
·Personnages : Électre – Giraudoux
Quand on rentre dans le XXème siècle, on retrouve que les caractères ont une évolution
très considérable : ils sont beaucoup plus humains avec ses attitudes et ses réactions ;
ils montrent sentiments cohérents et pensent beaucoup avant de continuer. Mais,
toutefois, ils présentent des modèles très différents autant d’importance dans la scène
comme des qualités des personnages. Giraudoux décri, d’une façon précédente, les
caractères qui apparaissent dans l’œuvre pour situer la scène. C’est une pièce très
innovatrice en ce qui concerne aux fonctions des personnages. La première différence
c’est le rôle que Pylade a. Pylade ne se montre pas comme l’ami et copain d’Oreste,
sinon qu’il devient un personnage essentiel pour le développement de l’histoire. Ce
sera lui qui aidera, pour la première fois, à Électre, et il aura une relation forte avec les
gens du palais, parmis lesquels Egisthe et Clytemnestre. En fait il est en train de vivre
dans le palais de Mycènes avec sa mère Anaxobie qui ne savait pas qu’il existait avant
de son arrivée. Pylade aura tout au long de la pièce plusieurs disputes avec Egisthe et
il aidera Clytemnestre à se réconcilier avec Egisthe car ils avaient une bonne relation.
Pylade est amoureux d’Électre, une Électre obsessive qui pense seulement avec le
retour de son frère pour venger son père. Mais Oreste arrivera à Mycènes sans savoir
rien de son passé. C’est pourquoi il ne voudra rien savoir d’Électre et il sera plus
intéressé en aller voir sa mère. À cause de cette attitude, il aura plusieurs discussions
avec sa sœur, qui veut le convaincre qu’il faut tuer les assassins de son père et qui se
fâchera plusieurs fois à cause de son attitude. À la fin Électre aura ce qu’elle voulait et
à la fin elle se mariera avec Pylade, élément qui est présent dans des autres pièces,
comme celle d’Euripide et celle de Yourcenar. Un autre élément différent des autres
pièces, c’est la relation entre Clytemnestre et Egisthe, une relation froide et qui ne
marche pas bien, car Egisthe est toujours occupé et Clytemnestre a besoin d’attention.
·Personnages : Les Mouches – Sartre
Contrairement, la pièce de Sartre montre une situation avec plus de rôles et aussi plus
complexe. Ici, Oreste arrive à Mycènes sans savoir qu’est-ce qu’il doit y faire et il veut
partir à cause de ça ; mais il découvre son identité et s’affronte à Egisthe devant tout le
peuple. Ce sera à lui de proposer tuer les assassins de son père. Il est présenté
comme un homme sûr, responsable et avec les idées très claires. Il se considère libre
et c’est pour ça qu’il connait bien qu’est-ce qu’il faut faire devant certaines situations. Il
sait que les dieux ne peuvent pas lui rien faire, parce qu’il connaît la liberté et il sait
aussi comment obtenir l’appui du peuple quand il tue Egisthe. En ce cas Électre se
montre rebelle mais sans pouvoir. Elle aime Agamemnon mais elle ne sait pas quoi
faire pour le venger. C’est pour ça qu’elle ne sera vraiment contente avec l’idée
d’Oreste, et quand tout sera passé elle se fâchera avec lui, mais comme elle ne se
sent pas libre, les Erynies vont la tourmenter jusqu’à la mort. Il ne voudra rien savoir
d’Oreste, c’est pourquoi elle décide partir de Mycènes à la fin de la pièce. En ce qui
concerne aux autres personnages, ils deviennent presque tous secondaires. Même
Egisthe et Clytemnestre perdent présence dans cette version et ils ont un rôle très
clair : essayer de gouverner le peuple. Celle-ci sera la raison pour laquelle Egisthe ne
fera aucune résistance quand Oreste le tuera, action qui se répète dans la pièce de
Yourcenar.
·Personnages : La chute des masques – Yourcenar
Cette pièce prend une perspective très différente à celles de Sartre et Giraudoux, très
influencées par l’œuvre d’Euripide. Donc, elle présente de nouveau le personnage de
Théodore, un paysan marié avec Électre. Ici c’est une autre fois Électre qui a un plan
parfait pour se venger, mais, contrairement à la pièce d’Euripide, Yourcenar donne un
rôle important à Pylade, aussi amoureux d’Électre, qui arrive à la petite maison où elle
habite et l’aide à planifier l’assassinat. Ce sera aussi à lui de convaincre et de contrôler
l’attitude d’Oreste qui se montre avec peur et sans savoir vraiment qu’est-ce qu’il faut
faire. Électre, par contre, elle est très dure, elle ne montre jamais compassion par
personne, et c’est pour ça qu’elle tue sa propre mère après la mentir et après avoir eu
une discussion directe avec elle. En ce qui concerne à Égisthe, il essaye de se montrer
désolé pour avoir le pardon d’Oreste, mais ça ne réussira pas et il, en comprenant les
raisons pour lesquelles il mérite mourir, il laissera partir Pylade, Oreste et Électre sans
les accuser de rien.
·Personnages : Tu étais si gentil quand tu étais petit – Anouilh
Finalement Anouilh présente les personnages avec plusieurs similitudes qu’aux pièces
antérieures au XXème siècle, mais avec u étude propre de son époque. Électre est la
fille dominée par l’haine qui regrette tout à sa mère sans l’écouter jamais, mais au
même temps elle a ses propres désirs de liberté et cherche le bonheur à n’importe quel
prix. Les rois se montrent intelligents, ils ne sont pas si neufs pour se croire l’historie de
l’étranger curieux qui veut rester au palais quand Oreste arrive et ils essayent d’arrêter
la vengeance en dialoguant avec les deux frères, en les faisant réfléchir et en essayant
de paraître sincères ; mais ils ne réussiront pas et ils seront les victimes d’un
assassinat. Dans cette pièce apparaissent une autre fois les Erynnies en tourmentant
Oreste, comme dans les œuvres antérieures à celle de Sartre, et en produisant une
scène ténébreuse avec laquelle Électre voudra finir.
Argument
Un autre sujet qu’il faut mettre en évidence c’est l’argument du mythe d’Électre. Si on
l’analyse du point de vue générale, on pourrait dire que c’est divisé en trois parties :
l’introduction, où se présentent les personnages et qui fini quand Oreste arrive de
l’exile ; le développement, où se trouvent la plupart des conflits familials et où se
développe le plan de la vengeance ; et la conclusion, où se produit l’assassinat et
conclut l’histoire. Toutes les étapes montrent un développement très différent selon
l’auteur, et on a pu constater qu’il y a certains moments essentiels qui changent toute
l’évolution. Le premier c’est le début de l’œuvre. Plusieurs pièces débutent le mythe
avec un monologue récité par un des personnages, structure utilisée par tous les
auteurs grecs, qui raconte l’histoire de la famille royale, ou la sienne dans le cas
d’Oreste à la version d’Eschyle et après aussi à la version de Sartre. Par contre,
pendant que le premier situe Oreste à côté de la tombe de son père en se lamentant
pour sa mort, jusqu’au moment qu’il doit se cacher parce qu’il écoute quelqu’un qui
arrive, le second se trouve à la campagne en train de chercher la façon d’arriver au
palais de Mycènes, quand il connaît un homme, qui sera Jupiter, avec qui il aura une
conversation philosophique. Un autre des monologues débutants fréquents est celui
protagonisé par le chœur ou quelqu’un qui a relation avec lui en ce qui concerne au
rôle, c’est-à-dire, quelqu’un qui n’est pas protagoniste et qui est extérieur à la famille.
C’est le cas de l’œuvre de Guillard, qui commence l’acte avec la présence des Furies
au tour de la tombe d’Agamemnon. Ce sera alors qu’Oreste arrivera avec Pylade et
Arcas pour venger son père. Mais en ce cas-ci les Furies ne font pas un vrai
monologue en racontant rien d’importance, sinon qu’elles sont seulement figurantes
qui parlent de la justice et la vengeance. Sophocle utilise aussi un personnage
secondaire pour débuter : le précepteur qui accompagne Oreste. Il le présente au
publique et raconté ses origines et sa personnalité, et après ce sera à Oreste qui
parlera et racontera ses objectifs juste avant de l’apparition d’Électre qui se lamente.
Le troisième dramaturge grec, Euripide, a fait usage aussi de cette technique en
présentant le paysan, mari d’Électre, pour raconter sa propre situation et celle
d’Électre. Après sa intervention il y aura aussi celle d’Électre qui se lamentera, comme
toujours, comme dans la dernière pièce qu’on a commenté.
D’un autre côté il y a deux pièces qui commencent avec le chœur sur la scène, mais il
ne présente pas les personnages ni la situation à travers d’un monologue, sinon que
les membres du chœur font un dialogue en montrant ses opinions contraires et en les
argumentant, pour donner au publique une vision générale de la situation en les
obligeant à penser pour eux-mêmes quel est le point de vue le plus étique. Dans le cas
d’Anouilh, les membres qui dialoguent ce sont les différents instruments de l’orchestre
et ils le font vraiment pour débuter la scène, car après apparaissent Egisthe et Électre
en parlant et en attendant Oreste depuis très longtemps. C’est pour ça que le chœur
était nécessaire, parce que l’acte ne s’introduise pas tout seul et il fallait quelqu’un pour
le faire. L’autre dramaturge qui utilise ce style c’est Giraudoux, lequel présente un
chœur formé par le peuple de Mycènes, où chaque personne préfère un des
components de la famille royale et le justifie avec des raisons d’attitude, personnalité
ou beauté. En ce cas-ci, il y aurait eu le même problème sans la présence du chœur,
car l’acte continue avec un dialogue entre Pylade et Egisthe à propos d’Électre et son
mariage. Le dialogue au début du premier acte c’est très habituel dans le théâtre, car
la plupart d’une pièce théâtrale c’est un dialogue, et c’est pour ça qu’il y a deux autres
auteurs qui l’utilisent : Longepierre et Yourcenar. Avec Longepierre l’acte débute avec
une discussion entre Électre et Chrysotemis où Électre montre l’amour pour son père,
où se mentionnent constamment les dieux comme des éléments supérieurs aux
humains et où se racontent les problèmes de Clytemnestre et Egisthe à cause de la
peur et de la mauvaise conscience de la femme. Avec Yourcenar le début c’est un
dialogue à la petite maison de Théodore et Électre à propos de son historie et les
cauchemars du protagoniste. Cette scène sera interrompue par l’arrivé de Pylade à la
maison deux jours avant le prévu, mais au même temps comme Électre elle-même
l’avait prévu. Et en revenant sur le monologue d’un personnage comme début d’une
pièce théâtrale, il y a Chénier et Crébillon, qui présentent ses pièces avec la présence
d’Électre sur la scène. Tous les deux montrent une Électre triste, qui se lamente et qui
raconte tout ce qui s’est passé dans sa vie depuis la mort de son père. Elle introduit la
situation pour le publique et après, tandis qu’à l’œuvre de Chénier le chœur entre sur
la scène en représentant les voix des dieux, dans l’œuvre de Crébillon c’est Arcas qui
dira à Électre qu’Oreste viendra venger Agamemnon. En les deux cas le publique a été
déjà informé de la situation.
Le deuxième moment qui devient essentiel pour le développement de la scène c’est
l’arrivée d’Oreste, une situation aussi diverse et qui dépend de l’écrivain. Avec
l’arrivée d’Oreste, on a aussi le moment où il se rencontre avec sa sœur, le moment où
tous les deux commencent à préparer la vengeance. L’arrivée d’Oreste à Mycènes est
toujours au début de l’histoire, mais dans la plupart des versions, quand il arrive
personne ne sait pas qui est-il. Habituellement il se fait passé par un étranger ou un
messager qui porte une nouvelle importante au palais. Cette nouvelle c’est toujours la
mort d’Oreste, un message faux mais qui serve au protagoniste pour n’être pas
découvert. Les auteurs qui utilisent cet élément dans ses pièces sont Sophocle, Sartre,
Guillard, Longepierre et Crébillon. D’entre eux tous moins Guillard cachent le propre
Oreste sous une autre identité pour lui faire annoncer lui-même la propre mort ; mais si
on parle de Crébillon on ne peut pas dire que c’est lui-même qui se cache sous une
identité fausse, car il ne savait non plus qu’il était le fils d’Agamemnon : son père
d’adoption, Palamède, lui avait caché cette information et il croyait qu’il été son fils,
Tydée. Il connaitra sa vraie identité à cause d’une discussion avec Palamède quand
l’action sera plus développée. Dans le cas de Guillard c’est différent parce que, malgré
qu’Oreste est présent dans la scène, ce n’est pas à lui d’annoncer la nouvelle, sinon
que c’est à Arcas pendant une fête qui se produit dans le palais. Deux dernières
œuvres utilisent cette technique de la double identité, mais ils le font d’une manière
différente. Ses auteurs sont Anouilh et Eschyle, lesquels montrent ce changement
d’identité après le rencontre d’Oreste et Électre, c’est-à-dire, seulement comme une
partie plus du plan pour tuer Egisthe et Clytemnestre. Les trois œuvres qui restent ne
font pas usage de la technique générale, sino qu’ils montrent Oreste directement.
Yourcenar et Euripide le font à la campagne, de sorte qu’il n’est vu que par Électre et
Pylade. En fait Yourcenar présente une relation antérieure entre Oreste et Électre. Le
dernier auteur, Giraudoux, montre un Oreste qui retourne à la maison par propre
volonté et qui veut aller voir sa mère. C’est la pièce où le personnage d’Oreste n’arrive
pas avec l’intention de venger son père, car il est humain et sa mère lui a manqué
depuis trop d’ans, donc il ne veut pas la perdre. A exception de ces dernières œuvres,
toutes les autres présentent une situation où les frères se rencontrent. C’est une scène
émouvante et qui se produit en des moments différents : il y a un group d’auteurs
formé par Anouilh, Eschyle et Euripide qui situent le rencontre au début de l’historie.
Anouilh situe l’action dans le palais, dans une conversation entre les frères ; Eschyle
devant le palais comme une confession à cause de la tristesse qu’Électre montre ; et
Euripide à la campagne pour la même raison qu’Eschyle. Les autres auteurs laissent
avancer un peu l’histoire avant de présenter le rencontre des deux frères, parfois à
cause du besoin d’Oreste pour le faire, et il y a toujours plusieurs conversations entre
Électre et les rois et entre Oreste et certains gens du palais avant du rencontre. De
cette façon Sartre met cette scène finalement à la montagne, après un affrontement
entre Oreste et Egisthe et même après qu’Egisthe quitte Électre de la ville. Dans cette
version Oreste voulait parler, depuis le début du mythe, avec sa sœur avec sincérité,
mais l’oracle ne lui laissait pas le faire. Toutes les autres versions du mythe, ces à
Guillard, Longepierre, Crébillon et Sophocle, situent le moment essentiel de l’œuvre
dans une salle ou devant le palais où se retrouvent les deux frères pour parler. C’est
alors aussi le moment où ils commencent à préparer la vengeance qui se produira
parfois juste après la réconciliation et parfois après quelques heures. Les versions les
plus différentes à cette dynamique, ce sont celles de Sartre et de Giraudoux, car ce
sont les deux où les frères ne sont pas vraiment d’accord avec la vengeance. Dans
l’œuvre de Sartre c’est Électre qui n’est pas sûr de le faire, et par contre, dans celle de
Giraudoux c’est Oreste qui ne veut pas le faire. Dans toutes les autres, malgré
qu’après il sera plus ou moins facile, ils sont d’accord et ils ont, habituellement, un plan
précédent au rencontre.
La troisième situation qui est très différente dans les plusieurs œuvres c’est quand
Oreste et Électre réalisent sa vengeance. Ils tuent deux personnes, mais selon la
version, aussi le lieu que l’ordre des morts sont différents. De même les sentiments
des assassins, après l’assassinat, sont changeants. Parfois ils sont fiers de ce qu’ils on
fait et parfois l’un des deux ou les deux se lamentent et se regrettent. Par rapport à
l’ordre des morts, on aperçoit trois modèles : le premier, formé par la plupart des
auteurs, où le premier en mourir c’est Egisthe, qui est assassiné toujours par Oreste, et
la deuxième c’est Clytemnestre, qui rentre dans la scène quand elle écoute les cris
d’Egisthe. Dans ces versions tous les deux sont tués par Oreste, qui est convaincu
d’avoir choisi la vengeance parfaite malgré les conséquences. Ce sont les versions
d’Eschyle, Crébillon, Longepierre, Sartre et Anouilh et tous situent Oreste seul avec
ses victimes, sans la présence d’Électre, laquelle parfois, a été obligée de rester
dehors la scène du crime et parfois était en train de distraire la seconde victime de
l’assassinat. Électre se montre habituellement contente après les assassinats, mais
par contre, Oreste, comme il est l’assassin réel, commence à être torturé par les
Erynnies ou les Euménides pour avoir tué sa propre mère. Le deuxième group c’est
celui qui change l’ordre des morts ; il y a seulement trois pièces qui le représentent : la
pièce de Sophocle, celle de Yourcenar et celle d’Euripide, dont Yourcenar s’est inspiré
pour écrire sa version. À exception de Sophocle, en cette occasion Électre est aussi
coupable, car elle tue sa mère sans avoir remords, devant la négation d’Oreste
argumentée par son respect à sa mère. Un respect qu’Électre n’a plus, donc elle a été
maltraité pendant plusieurs ans pour défendre son père. Les deux auteurs qui
manquent forment un dernier group innovateur et sans influence des grecs. Ils
présentent une scène avec Egisthe et Clytemnestre dedans le palais à l’arrivée
d’Oreste, qui les tue à la même fois ; dans la version de Giraudoux, par erreur, car il
n’avait pas l’intention de tuer sa mère, et dans la version de Guillard parce que
Clytemnestre se pose devant Egisthe pour essayer de le sauver, mais elle et meurt au
même temps que lui. Ces deux pièces développent une réaction désespérée en Oreste
qui se sent malheureux pour avoir tué sa propre mère.
Par rapport à la fin des pièces, la plupart sont plus complexes que les classiques, car il
y a seulement Eschyle qui ajoute une dernière scène après l’assassinat des assassins,
et entre les versions françaises il n’y en a qu’une, celle de Crébillon, qui finisse avec la
mort sans y ajouter rien. La plupart des autres ont choisi l’influence d’Eschyle et ont
développé la fin du mythe avec l’apparition des Euménides, qui vont torturer Oreste
pour être un assassin ; et il y en a deux qui, comme en plusieurs sujets, ont modernisé
les versions. Sartre situe la mort dans le second acte et réserve le troisième pour le
tourment des Erynnies, en ce cas sur Électre, et le rencontre d’Oreste avec le peuple
qu’il doit gouverner. Mais le peuple se montre fâché avec lui et il fait un monologue en
racontant les raisons pour lesquelles il est devenu un assassin. Finalement, Oreste
part de Mycènes seul, car Électre ne veut rien savoir du personnage qui a tué sa mère.
Finalement, Giraudoux fait apparaître Anaxobie, la sœur d’Agamemnon, après
l’assassinat, en racontant la vraie histoire de la mort de son frère avanr de se quitter sa
propre vie : c’est elle la responsable de l’assassinat parce qu’elle l’aimait trop.
Finalité
Pour fermer les conclusions, il faut parler d’un dernier sujet : la finalité des pièces.
Toutes les pièces de théâtre ont une finalité, un objectif qui doit être réalisé à la fin de
l’œuvre. Dans le cas du mythe d’Électre, comme toutes les versions proviennent d’un
mythe grec, la finalité c’est la vengeance et toutes les versions, n’importe quel auteur,
cherchent la vengeance partout jusqu’à y arriver, à la fin ou au milieu de l’histoire.
Parfois elle est seulement cherchée par un personnage, et parfois c’est quelque chose
commune dans plusieurs personnages, mais elle s’accomplit toujours. Cette
vengeance arrive sous la forme de la mort, le sujet principal du poème de Baudelaire,
un poème dont on n’a presque parlé dans la comparaison, car il est trop différent des
autres œuvres et le poète seulement fait référence à Électre pour la lier avec
l’importance de la mort dans sa vie : Électre est suivie par la mort et en cherche une
autre. Baudelaire, peut-être il devient l’essence du mythe, puis qu’il exprime la partie la
plus profonde et celle qui lie toutes les pièces entre elles.
ATTACHÉS
·Fiches d’œuvres
·Titre : Tragédias completas – Las Coéforas
·Auteur : Eschyle
·Traducteur : José Alsina Clota
·Editorial : Catedra
·Collection : Letras Universales
·Lieu et année d’édition : Madrid 1982, 2e édition
·Langue originel : Grec antique
·Langue : Castillan
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Tragèdies – Electra
·Auteur : Sophocle
·Traducteur : Carles Riba
·Editorial : Curial
·Collection : Clàssics Curial
·Lieu et année d’édition : Barcelone 1982, 2e édition
·Langue originel : Grec antique
·Langue : Catalan
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Tragèdies – Electra
·Auteur : Euripide
·Traducteur : Carles Riba
·Editorial : Curial
·Collection : Clàssics Curial
·Lieu et année d’édition : Barcelone 1982, 2e édition
·Langue originel : Grec antique
·Langue : Catalan
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Électre
·Auteur : Hilaire-Bernard de Longepierre
·Editorial : -
·Collection : Bibliothèque des théâtres
·Lieu et année d’édition : Paris 1702
·Langue originel : Français
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Électre
·Auteur : Prosper Jolyot de Crébillon
·Editorial : Thomas Masi et Compagnie
·Collection : -
·Lieu et année d’édition : Paris 1708
·Langue originel : Français
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Électre
·Auteur : Nicolas-François Guillard
·Editorial : -
·Collection : -
·Lieu et année d’édition : Paris 1782
·Langue originel : Français
·Genre : Opéra
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Électre
·Auteur : Marie-Joseph Chénier
·Editorial : -
·Collection : Œuvres Posthumes
·Lieu et année d’édition : Paris 1824
·Langue originel : Français
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Les Fleurs du Mal – Le voyage
·Auteur : Charles Pierre Baudelaire
·Editorial : -
·Collection : -
·Lieu et année d’édition : Paris 1857
·Langue originel : Français
·Genre : Poésie
·Titre : Électre
·Auteur : Jean Giradoux
·Editorial : Grasset et Fasquelle
·Collection : Gallimard
·Lieu et année d’édition : Strasbourg 1937
·Langue originel : Français
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Las Moscas
·Auteur : Jean-Paul Sartre
·Traducteur Aurora Bernández
·Editorial : Losada
·Collection : Clásicos Losada
·Lieu et année d’édition : Paris, 1943
·Langue originel : Français
·Langue : Castillan
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : La caída de las máscaras
·Auteur : Margarite Yourcenar
·Traducteur : -
·Editorial : -
·Collection : -
·Lieu et année d’édition : Bruxelles 1954
·Langue originel : Français
·Langue Castillan
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·Titre : Tu étais si gentil quand tu étais petit
·Auteur : Jean Anouilh
·Editorial : Les Belles Lettres
·Collection : Universités de France
·Lieu et année d’édition : Paris, 1972
·Langue originel : Français
·Genre : Théâtre
·Sous-genre : Tragédie
·CD avec les œuvres des auteurs français en version PDF
-Hilaire-Bernard de Longepierre (1659 -1721) – Électre (1702, théâtre XVIII)
-Prosper Jolyot de Crébillon (1674 -1762) – Électre (1708, théâtre XVIII)
-Nicolas-François Guillard (1752 -1814) – Électre (1782, opéra XVIII)
-Marie-Joseph Chénier (1764 -1811) – Électre (1824, théâtre XIX)
-Charles Baudelaire (1821 -1867) – Fleurs du mal (1857, poésie XIX)
-Jean Giraudou (1882 -1944) – Électre (1937, théâtre XX)
-Jean-Paul Sartre (1905 -1980) – Les mouches (1943, théâtre XX)
-Marguerite Yourcenar (1903 -1987) – La chute des masques (1954, théâtre XX)
-Jean Anouilh (1910 -1987) –Tu étais si gentil quand tu étais petit (1972, théâtre XX)
BIBLIOGRAPHIE
-ALBERICH MARINÉ, J. Delos 1. Barcelone: Vicens Vives, 2012
-ANOUILH, Jean. Tu étais si gentil quand tu étais petit. Paris: Les Belles Lettres, 1972
-BAUDELAIRE, Charles Pierre. Les Fleurs du Mal –Le voyage. Paris: 1857
-CHÉNIER, Marie-Joseph. Électre. Paris: 1824
-CRÉBILLON, Prosper Jolyot. Électre. Paris: Thomas Masi et Compagnie, 1708
-Eschyle. Las Coéforas. Madrid: Catedra, 1982
-Euripide. Electra. Barcelone: Curial. 1982
-GARCÍA LÓPEZ, José. Historia de la Literatura. Barcelone: Teide, 1958
-GIRAUDOUX, Jean. Électre. Strasbourg: Grasset et Fasquelle, 1937
-GUILLARD, Nicolas-François. Électre. Paris: 1782
-LONGEPIERRE, Hilaire-Bernard. Électre. Paris: 1702
-SARTRE, Jean-Paul. Las Moscas. Paris: Losada, 1943
-Sophocle. Electra. Barcelone: Curial, 1982
-YOURCENAR, Margarite. La caída de las máscaras. Bruxelles: 1954
-http://ca.wikipedia.org/wiki/Charles_Pierre_Baudelaire
-http://ca.wikipedia.org/wiki/Literatura_francesa
-http://cesar.org.uk/cesar2/titles/titles.php?fct=edit&script_UOID=154457
-http://es.wikipedia.org/wiki/Electra
-http://es.wikipedia.org/wiki/Marguerite_Yourcenar
-http://fleursdumal.org/poem/231
-http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lectre_(Cr%C3%A9billon)
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-http://fr.wikipedia.org/wiki/Eschyle
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-http://fr.wikipedia.org/wiki/Hilaire_de_Longepierre
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-http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Sartre
-http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Orestie
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Fleurs_du_mal
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Mouches
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas-Fran%C3%A7ois_Guillard
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Prosper_Jolyot_de_Cr%C3%A9billon
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Sophocle
-http://sobregrecia.com/2009/01/13/el-mito-de-la-venganza-de-electra/