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Page 1: Interfaces controlesbasededonné

LES INTERFACES /CONTRÔLEDE BASE DE DONNÉE

réalisé par : Guebba SaraFagroud Fatima ZahraNaji ZakariaMoudden Abderazak

Encadré par : Mr Hanoun Mustapha

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Page 2: Interfaces controlesbasededonné

Plan interfaces d’une base de donnée

le langage SQL

Décrire la structure des tables

Utilisation de SQL(manipuler les données …)

SQL*plus et iSQL *Plus

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Le plsql

Page 3: Interfaces controlesbasededonné

Plan Contrôleer une base de donnée

Gérer l’instance oracle

Gérer le processus d’écoute Oracle

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Page 4: Interfaces controlesbasededonné

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Interfaces d’une base de donnée

Page 5: Interfaces controlesbasededonné

Structured Query Language (SQL) ◦ Langage informatique standard et normalisé

destiné à interroger ou manipuler une base de données relationnelle

Langage SQL

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Page 6: Interfaces controlesbasededonné

Il existe plusieurs moyens d'envoyer des commandes SQL à la base de données parmi lesquels:

Outils du langage SQL

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Page 7: Interfaces controlesbasededonné

Oracle SQL*Plus et Oracle iSQL*Plus :◦ une interface graphique et web de ligne de

commande permet d’interagir simplement avec la base de donnée

Oracle Forms : ◦ masque le code SQL et offre un environnement

graphique afin de manipuler les données Oracle Enterprise Manager:

◦ On a pas besoin d'écrire les instructions SQL utilisées pour administrer la base de données mais on peut afficher le code SQL généré

Outils du langage sql

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SQL*Plus est un utilitaire en ligne de commande d'Oracle 

Il est principalement distribué avec le produit Oracle Database.

SQL*Plus

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Page 9: Interfaces controlesbasededonné

1.Ouvrez une fenêtre de terminal. 2 .Entrez connect 3 .Entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe

de l’utilisateur

La procédure de démarrage de SQL*Plus

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sara
sous lequel vous souhaitez vous connecter
Page 10: Interfaces controlesbasededonné

"iSQL*Plus" est une interface graphiqe fournissant un accès via web.

Voici les urls à utiliser :◦ "http://hostname:port/isqlplus"  ◦ "http://hostname:port/isqlplus/dba"

iSQL*Plus

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Page 11: Interfaces controlesbasededonné

Pour pouvoir utiliser l'interface  iSQL*Plus, le processus correspondant côté serveur doit être démarré avec la commande isqlplusctl start

"5560" est le port HTTP de iSQL*Plus. Vérifiez-le dans le fichier

"$ORACLE_HOME/install/portlist.ini"

iSQL*Plus

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Page 12: Interfaces controlesbasededonné

Après l’accés au URL la page login s’affiche

Accéder à iSQL*plus

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Page 13: Interfaces controlesbasededonné

Username :◦ Entrez un nom utilisateur valide pour la connexion

à Oracle Database (obligatoire). Password :

◦ Saisissez un mot de passe valide pour l'utilisateur indiqué (obligatoire).

Accéder à iSQl*Plus

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Page 14: Interfaces controlesbasededonné

Connection Identifier:◦ Pour utiliser la base de données Oracle par

défaut, laissez ce champ vide◦  saisissez l'identificateur de connexion de la base

de données à laquelle vous voulez vous connecter◦ [//]host[:port][/[service_name]]

Cliquez sur Login afin de vous connecter à la base de données.

Accéder à iSQL*Plus

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L'espace de travail iSQL*Plus s'affiche dans le navigateur Web.

Espace de travail iSQL*Plus

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Page 16: Interfaces controlesbasededonné

A partir de cet espace, vous pouvez :Entrer, exécuter et annuler des scriptsCharger et enregistrer des scriptsVisualiser, enregistrer et imprimer une sortieAccéder aux écrans de préférencesObtenir de l'aide et vous déconnecter

Espace de travail iSQL*Plus

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Page 17: Interfaces controlesbasededonné

La commande DESCRIBE est utilisé pour afficher la structure d’un objet de type base de donnée

Cette commande appartient à SQl *plus

Décrire les données:

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Page 18: Interfaces controlesbasededonné

La liste select La clause from La condition where qui est facultative

Interroger les données

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On utilise la clause order by pour trier les données

Les données sont triées par ordre croissant par defaut

Trier les données

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Une jointure sert à extraire des données de plusieurs tables.

SELECT table1.column, table2.column FROM table1, table2WHERE table1.column1 = table2.column2;

Joindre des tables:

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Page 21: Interfaces controlesbasededonné

Select e.ename, d.dname From EMP e, DEPT d Where e.deptno=d.deptno

Joindre des tables:

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sara
par exemple on a ici deux tables emp et dept et on veut afficher les noms des employés qui se trouvent dans la table emp avec le departement o^^^^^u il travaille donc la relationentre les deux
Page 22: Interfaces controlesbasededonné

Manipuler les données

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INSERT INTO table [(column1,[column2…])] VALUES (value1[,value2….]); update table set column= value [where conditions];

delete from table [where conditions];

Ordre Description Insert Ajouter une nouvelle ligne

dans la tableupdate Modifie des lignes dans la

tableDelete Supprimer des lignes d’une

table

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Create TABLE nom_table( colonne1 type1, colonne2 type2 …) ; ALTER TABLE nom_table

ADD colonne1 Type; DROP TABLE nom_table;

Définir des données

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Instruction descriptionCREATE définir des nouveaux Objets

d’une base de donnée ALTER modifier des objets existants

dans la base de donnée DROP supprime les objets de la base

de donnée

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Unité logique de traitement formée d’une suite d’actions limitée par une opération de validation ou d’annulation◦ Début:

Exécution une instruction SQL (exécutable) Fin de la transaction précédente

◦ Fin : Validation (COMMIT) ou Annulation (ROLLBACK sans

clause SAVEPOINT) Ordre LDD Fin de session Panne

Présentation des Transactions

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Page 25: Interfaces controlesbasededonné

COMMIT:◦ met fin à une transaction en validant tous les

changements de données et place la base dans un nouvel état cohérent

ROLLBACK:◦ met fin à une transaction en annulant tous les

changements de données dans la transaction

Instructions de contrôle des transactions

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ROLLBACK TO:◦ annule les instructions jusqu'au point de

sauvegarde SAVEPOINT:

◦ place un marqueur défini par un identifiant permettant une annulation partielle de la transaction

Instructions de contrôle des transactions

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Est un mécanisme qui empêche plusieurs utilisateurs de tenter de mettre à jour les mêmes données simultanément

Verrouiller les données 

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Page 28: Interfaces controlesbasededonné

Instructions de contrôle de session : Deux instructions :ALTER SESSION et SET ROLE Gèrent de manière dynamique les propriétés d'une

session utilisateur Ne valident pas implicitement la transaction en cours Non pris en charge par PLSQL

Instruction de contrôle système : Une seule Instruction : ALTER SYSTEM gère de manière dynamique les propriétés d'une

instance Oracle Ne valide pas implicitement la transaction en cours Non pris en charge par PLSQL

Autres catégories d’instructions :

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Page 29: Interfaces controlesbasededonné

Instructions SQL intégrées : Ces instructions intégrent:

• instructions LDD• instructions LMD • instructions de contrôle des transactions dans un

programme utilisant un langage procéduralLe code SQL intégré :

• pris en charge par les pré compilateurs Oracle• Documenté dans les manuels :

Pro*COBOL Programmer's GuidePro*C/C++ Programmer's GuideSQL* Module for Ada Programmer's Guide

Autres catégories d’instructions :

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un langage structuré à base de blocs ajoute des techniques de programmation

structurée au langage SQL Constitué de:

DECLARE : permet de définir les constantes et les variables (partie facultative )

BEGIN : début du code du bloc. Le code est constitué de commandes SQL et PL/SQL(partie obligatoire)

EXCEPTION : permet de définir des exceptions locales. En général, les exceptions sont générées suite à une condition d'erreur(partie facultative )

END : fin du bloc (partie obligatoire)

Langage PL/SQL

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Peut être utilisé dans les structures:Blocs anonymes Fonctions ProcéduresPackagesDéclencheurs (triggers)Types d'objet

Langage PL/SQL

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Page 32: Interfaces controlesbasededonné

Possibilité d’appeler les procédures stockées Java à partir de n'importe quel bloc, sous-programme ou package PL/SQL

Possibilité d'appel des fonctions et procédures stockées PL/SQL par JDBC

Oracle et langage JAVA

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OCI (Oracle Call Interface ): ◊ API qui permet aux applications écrites en

langage C d'interagir avec un ou plusieurs serveurs de base de données Oracle

JDBC (Java Database Connectivity):◊ API standard permettant d'accéder aux bases de

données relationnelles à partir de programmes écrits en langage Java

Quelques API

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Page 34: Interfaces controlesbasededonné

ODBC (Open Database Connectivity) :◊ offre une interface standard permettant à une

application d'accéder à de nombreuses sources de données différentes

ODP.NET (Oracle Data Provider for .NET) :◊ permet un accès rapide et fiable aux

fonctionnalités de base de données et aux données à partir de n'importe quelle application .NET

Quelques API

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Contrôler une base de donnée

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Le répertoire où est installé Oracle est indiqué par la variable d'environnement :© %ORACLE_HOME% pour le système Microsoft

Windows. Sa valeur est définie dans le registre.© $ORACLE_HOME pour les systèmes UNIX. Sa

valeur est définie dans le fichier .profile.

Gérer l’instance Oracle

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Le démarrage de l'instance et l'ouverture de la base de données se fait grâce à la commande STARTUP. Les étapes:

$ sqlplus /nolog SQL> connect sys/password as sysdba SQL> startupC'est l'instance <SID> par défaut qui sera

démarrée. Le SID est défini dans la variable d'environnement $ORACLE_SID.

Démarrage De La Base de Donnée

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Pour un Startup/Shutdown via Enterprise Manager, vous serez appelés à entrer les informations suivantes :* Informations d'identification de l'hôte (Host Credentials): c'est à dire

un compte du groupe DBA (pour UNIX) ou ORA_DBA (pour Microsoft Windows). Généralement, c'est le compte avec lequel vous avez fait l'installation d'Oracle Database.

* Informations d'identification pour la connexion à la base (Database Credentials): c'est le compte Oracle ayant le privilège SYSDBA. Généralement c'est le compte SYS

Démarrage De La Base de Donnée

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♦ Le processus DBConsole étant démarré, pour accéder à l'interface de gestion, entrez l'url suivante dans votre navigateur Web : http://hostname:1158/em

♦ Si la base de données est arrêtée, une page est affichée sur votre navigateur pour :

Démarrer l'instance Oracle. Démarrer le processus d'écoute (listener) ou pour lancer des opérations de récupération.

♦ Si au contraire, la base de données est déjà démarrée, une page Login est affichée vous demandant votre "nom utilisateur" et "mot de passe" autorisé à accéder à Database Control.. Connectez-vous en tant que SYSDBA ou SYSOPER pour vous doter de privilèges d'administration spécials.

Accès à Database Control

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Définition :Le processus d’écoute Oracle listener est le principal composant Oracle coté serveur qui permet d'établir la connexion entre les ordinateurs clients et une base de données Oracle. Le listener peut être considéré comme une grande oreille qui écoute les demandes de connexion aux services Oracle.

démarrer et arrêter le processus d’écoute oracle

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La méthode de ligne de commande pour le démarrage, l'arrêt et l'affichage du statut du processus d'écoute est la suivante :

lsnrctl START [listener_name] lsnrctl STOP [listener_name] lsnrctl STATUS [listener_name]

où listener_name est le nom du processus d'écoute défini dans le fichier listener.ora.

démarrer et arrêter le processus d’écoute oracle

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démarrer oracle Database 10gil existe 3 type de démarrage: ouverture mount ouverture nomount ouverture open

démarrer et arrêter oracle Database 10g

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Le démarrage d'une instance inclut les opérations suivante:§ Lecture du fichier d'initialisation à partir du répertoire

$ORACLE_HOME/dbs, dans l'ordre suivant :• D'abord spfileSID.ora• S'il n'est pas trouvé, alors spfile.ora• S'il n'est pas trouvé, alors initSID.ora par défaut.

§ Allocation de la mémoire SGA§ Démarrage des processus en arrière-plan§ Ouverture du fichier alertSID.log et des fichiers trace§ STARTUP NOMOUNT[nom_BD]

Ouverture en Etat NOMOUNT

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L’instance ouvre le fichier de contrôle.§ Les chemins des fichiers de données et journaux sont lus,

mais pas ouverts§ État MOUNT : seuls SYSDBA et SYSPOER peuvent

interroger la BD§ La vue V$DATABASE est interrogeable, mais pas les vues

statiques, puisque la base n’est pas ouverte§ Exemple de tâches : restauration, activation du mode

ARCHIVELOG, déplacement des fichiers de données et journaux

STARTUP MOUNT [nom_BD]

Ouverture en Etat MOUNT

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© Ouverture des fichiers de données et journaux.

© État OPEN : tous les utilisateurs peuvent accéder à la BD.

© Toutes les vues du DD sont accessibles.© STARTUP OPEN [nom_BD]

Ouverture en Etat OPEN

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Arrêt normal Oracle ne permet plus l’ouverture des nouvelles sessions Oracle attend que le dernier utilisateur soit déconnecté pour

arrêter l’instance Il s’agit d’un arrêt propre (checkpoint avant fermeture)

SHUTDOWN NORMALArrêt Transactionnel

Oracle ne permet plus le lancement de nouvelles transactions Oracle attend que la validation/annulation des transactions

courantes Il s’agit d’un arrêt propre (checkpoint avant fermeture)

SHUTDOWN TRANSACTIONAL

Arrêter la base de données

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Arrêt immédiat Oracle annule toutes les transactions courantes et ferme

la BD Il s’agit d’un arrêt propre (checkpoint avant fermeture)

SHUTDOWN IMMEDIATEArrêt d’abandon

Oracle ferme la BD sans faire de checkpoint. C’est l’arrêt le plus brutal.

Au prochain démarrage, une récupération p g , p des données, par le SMON, est effectuée

SHUTDOWN ABORT

Arrêter la base de données

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