Download - Febelfin conférence de presse 04.03.2013
Défis pour un secteur financier belge au service de l’homme et de l’économie
Filip Dierckx, Président FebelfinMichel Vermaerke, Administrateur délégué Febelfin
Febelfin 4 mars 2013
2
AGENDADéfis pour le secteur financier belge au service de l’homme et de l’économie
Febelfin 4 mars 2013
I. 3 missions de base II. 3 facteurs de réussiteIII. 4 engagementsIV. Conclusion
3
I. 3 missions de base
Febelfin 4 mars 2013
4
Missions de base fixées par exercices externe et interne
Febelfin 4 mars 2013
Rapport CSR Agenda stratégique
Notre souhait est maintenant que dans le cadre d’une étroite concertation, un Modèle financier durable et
vital puisse être instauré. Cette concertation doit permettre de développer une vision à long terme
pour le secteur. Une vision tenant compte de la capacité du secteur et basée sur les principes
d’égalité des conditions de concurrence et de proportionnalité. Ce n’est qu’à ce prix que nous
pourrons mettre en place un cadre stable qui permettra au secteur de contribuer à la création de
prospérité pour la communauté. Filip Dierckx, Febelfin Luncheon
5
3 missions de base du secteur financier pour la société
Febelfin 4 mars 2013
Financer l’économie
Tendre vers un équilibre dans le traitement de l’épargne et des investissements
Oeuvrer à une infrastructure financière moderne et efficace
QUELLES MISSIONS DE BASE ?
Dans le cadre d’une réglementation équilibrée, d’un contrôle efficace et d’un fonctionnement de marché concurrentiel
6
Missions de base du secteur financier
Febelfin 4 mars 2013
TR
AN
SF
OR
MA
TIO
N INT
ER
ME
DIA
TIO
N
Octroi de crédit bancaire traditionnel
• Octroi de crédit aux -entreprises -ménages -pouvoirs publics
• Taux concurrentiels
• Gestion des risques responsable
Formes alternatives de financement
• Fonds PME à LT
• Obligations de projets / prêt citoyen
• Capital à risque
• …
Financer l’économie
7Febelfin 4 mars 2013
Missions de base du secteur financier
Focalisation sur le marché local
Gestion des risques
Offre équilibrée de produits de
placementMoratoire
Tendre vers un équilibre dans le traitement de l’épargne et des investissements
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Missions de base du secteur financier
Febelfin 4 mars 2013
Sécuri té Innovation Mult icanaux
Stimulat ion des paiements
électroniques et mobi les
Oeuvrer à une infrastructure financière moderne et efficace
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II. 3 facteurs de réussite
Febelfin 4 mars 2013
Mots clés : réalisme, collaboration, rentabilité
Que faut-il pour continuer à remplir les missions de base ?
Febelfin 4 mars 2013
L’exécution des missions de base va de pair avec
RéalismeCollaboration et dialogue avec les pouvoirs publicsRentabilité suffisante
10
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Le réalisme est indispensableEviter les dichotomies insurmontables
Les banques ne peuvent prendre aucun risqueLes banques doivent octroyer des crédits bon marché
Les banques doivent réduire leurs bilans et leurs leviersLes banques doivent octroyer davantage de crédit
Les banques doivent attirer davantage de funding à LTLe funding à LT deviendra plus cher et plus risqué du fait de Bâle III et du bail-in
Les banques ne peuvent pas être complexesLes banques opèrent sur des marchés globalisés complexes
Les banques doivent mieux rémunérer le carnet d’épargneLes banques doivent octroyer des crédits bon marché
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Collaboration et dialogue avec les pouvoirs publics
Febelfin 4 mars 2013
Quelques exemples
Bâle III (financement des exportations, LCR)
Moratoire produits complexes
Covered Bonds
Trajet d’accompagnement Ford Genk & ArcelorMittal
Plan bancaire /Table ronde financement des PME
Source : Présentation Febelfin sur la base de données BNB. Données consolidées, et, à partir de 2006, sur la base des schémas de reporting IAS / IFRS. ROE: return on (average) equity. (Uniquement pour les banques de droit belge).
4,5
0,7
10,5
-2,6
-36,5
13,2
22,4
18,5
15,8
13,6
11,8
13,7
20,4
-40 -30 -20 -10 0 10 20 30
Jan-Sept 2012
2011
2010
2007
2006
2005
2004
2003
2002
2001
2000
ROE
2008
2009
Febelfin 4 mars 2013
Une rentabilité suffisante est essentielle …
13
14
… mais la rentabilité est mise sous forte pression …
RENTABILITE DU SECTEUR
FINANCIER BELGE
Contributions sectorielles
Initiatives prudentielles
Mesures structurelles
Mesures opérationnelles
Exigences en capitaux
Protection des consommateurs
Environnement économique
Coût du capital
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2012(en mio EUR)
2013* (en mio EUR)
Taxe d’abonnement 175 ~210
Contribution annuelle DGS “ordinaire”
258 258
Contribution temporaireDGS spéciale / supplémentaire
580 161
Contribution annuelle au Fonds de Résolution (FSC)
251 251
Nouvelle taxe annuelle sur les établissements de crédit
81 81
Charge de contributions brutes totale pour le secteur
1.345 ~961
Paiement par le Fonds de protection “ordinaire”
580 ~161
Charge de contributions nettes totale pour le secteur
765 ~800
… pour des raisons fiscales …
Contribution bancaire brute : 961 mio EUR (paiement Fonds de protection “ordinaire” non comptabilisé)
* Estimation 2013. Montant dépendant de l’évolution exacte des dépôts d’épargne en 2012. Febelfin 4 mars 2013
… pour des raisons opérationnelles …
Source : Données sur une base consolidée et, à partir de 2006, conformément aux normes IFRS.
Febelfin 4 mars 2013
Evolution du cost – income ratio (en %)
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Les charges opérationnelles croissantes sont sources d’importantes préoccupations, e.a. :
• Plus de réglementation, de contrôle et de compliance
• Dossiers spécifiques de réforme (21% + 4%, réforme carnet d’épargne, …)
• Evolution coûts salariaux
Jan-sept 2012
2011
2010
2009
2008
2007
2006
2005
2004
2003
2002
2001
2000
50 55 60 65 70 75 80 85 90
71.4
67.3
65.9
77.5
85.0
61.1
55.7
72.6
72.0
73.9
74.7
74.1
72.2
… et un manque de rentabilité durable peut avoir un impact dans différents domaines
CLIENT
PERSONNEL ACTIONNAIRE
MODELE FINANCIER DURABLE
Une réduction des fonds propres nuit à la liquidité et à
la solvabilité
Système financier moins solide
17Febelfin 4 mars 2013
18Febelfin 4 mars 2013
L’évolution vers un secteur financier durable et vitalau service de l’homme et de l’économie
passe par :
3 MISSIONS DE BASE
3 FACTEURS DE REUSSITE
4 ENGAGEMENTS
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III. 4 engagements
Febelfin 4 mars 2013
Engagements du secteur financier pour la société
Febelfin 4 mars 2013
A financer l’économie
A maintenir un paysage bancaire diversifié présentant un faible profil de risque
A moderniser l’infrastructure et à innover
A remplir son rôle socio– économique dans la société
Le secteur financier s’engage
20
21Febelfin 4 mars 2013
Le secteur financier s’engage à financer l’économie
1
22
“Pour chaque EUR d’épargne supplémentaire, un EUR de crédit a été octroyé”(fin 2007 – fin 2012)
Evolution volume comptes d’épargne réglementés et crédits depuis 2007(Source : Banque Nationale de Belgique)
Fin 2007 Fin 2010 Fin 2011 Fin décembre 2012
Hausse entre fin 2007 et fin
décembre 2012
Dépôts d’épargne réglementés
EUR 148,8 milliards
EUR 214,8 milliards
EUR 218,7 milliards
EUR 235,8 milliards
+ EUR 87,0 milliards (+ 58,5 %)
Crédits aux entreprises
EUR 97,1 milliards
EUR 112,6 milliards
EUR 115,8 milliards
EUR 116,7 milliards
+ EUR 19,6 milliards
(+ 20,2 %)
Crédit hypothécaire
EUR 139,3 milliards
EUR 165,5 milliards
EUR 175,6 milliards
EUR 183,2 milliards
+ EUR 43,9 milliards(+ 31,5 %)
Crédits aux pouvoirs publics belges
EUR 68,8 milliards
EUR 82,2 milliards
EUR 91,7 milliards
EUR 92,8 milliards
+ EUR 24,0 milliards(+ 34,8%)
+ 87,5 milliards
EURDE PLUS(depuis 2007)
Febelfin 4 mars 2013
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Evolution de l’octroi de crédit aux entreprises
Données Febelfin= BNB + crédits d’engagement + indépendants /professions libérales
Données BNB = volume de crédits utilisés par les sociétés non financières belges
Febelfin 4 mars 2013
128 mia EUR (Décembre)
117 mia EUR (Décembre)
Extrait du Rapport annuel 2012 de la Banque Nationale de Belgique : En Belgique, les établissements de crédit ont poursuivi la restructuration de leur bilan qu’ils avaient entamée dèsl’éclatement de la crise financière. En 2012, ils ont notamment procédé à une réduction de leurs expositions enversles pays périphériques de la zone euro. Dans le même temps, ils se sont recentrés sur leur activité d’intermédiation enBelgique et sur leurs marchés stratégiques : les dépôts collectés auprès de la clientèle de détail se sont accrus, et l’octroide crédits a globalement été maintenu.
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Octroi de crédit aux entreprises à des taux concurrentiels
Febelfin 4 mars 2013
2,92%
Taux d’intérêt moyen pondérédes nouveaux crédits
Septembre2008
Septembre2010
Septembre2011
Septembre 2012
Décembre 2012
5,54% 3,05% 3,43% 2,98% 2,92%(plancher
historique)
25
Octroi de crédit traditionnel sous pression …
Febelfin 4 mars 2013
Baisse de la demande de crédit
Baisse de la production
de crédit
Contexte économique difficile
Impact possible sur la solvabilité et
dégradation de l’indépendance
financière des PME
Rég
lem
enta
tio
nC
on
jon
ctu
re
Bâle IIIOctroi de crédit à
LT/MT plus difficile
26
Source: Données Febelfin. Baromètre trimestriel du crédit aux entreprises.
La conjoncture pèse sur la demande et la production de crédit
Demande de crédit Production de crédit
Febelfin 4 mars 2013
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Conjoncture : fonds propres des PME sous pression
• Ces 2 dernières années (après une progression continue entre 2003 et 2009), le degré d’indépendance financière (rapport entre les fonds propres et les engagements) des PME a diminué
• Ces 10 dernières années, le degré d’indépendance financière a baissé de 12,7 points de pour cent pour les toutes petites entreprises
• En 2011, 17,3% des entreprises avaient des fonds propres négatifs
• Enquête de la BNB auprès d’un échantillon de 242.000 sociétés non financières (226.000 PME et 16.000 grandes entreprises; pour l’année 2011)
Source: BNB – Résultats et situation financière des entreprises en 2011
Le degré d’ndépendance financière est le rapport entre les capitaux propres et le total du passif. Quand le ratioest élevé, l’entreprise est indépendante des fonds de tiers, ce qui a deux conséquences positives : d’une part, lescharges financières sont faibles et pèsent donc peu sur les résultats ; d’autre part, de nouvelles dettes peuvent, sinécessaire, être contractées facilement et dans de bonnes conditions. Le degré d’indépendance financière peutégalement être interprété comme une mesure du risque financier encouru par l’entreprise, la rémunération destiers étant fixe, contrairement aux résultats de l’entreprise, qui fluctuent dans le temps.
Febelfin 4 mars 2013 28
Conjoncture : les dossiers des PME présentent un niveau de risque croissant
Catégorie de risques (1)
Nombre de demandes de crédits de PME
PME dont moyennes entreprises dont petites entreprises
Part dans le total des demandes de crédit
(en %)Evolution
(en %)Part dans le total des demandes de crédit
(en %)Evolution
(en %)Part dans le total des demandes de crédit
(en %)Evolution
(en %)
2011 2012 2012 / 2011 2011 2012 2012 / 2011 2011 2012 2012 / 2011
Risque faible 55,5 50,6 -15,2 56,0 50,6 -14,5 55,3 50,6 -15,6
Risque moyen 27,9 30,7 2,7 31,3 35,4 7,3 25,9 27,9 -0,7
Risque élevé 7,9 10,1 18,6 6,7 8,0 13,2 8,6 11,4 21,0
Risque très élevé 1,4 1,5 0,5 1,1 1,2 -0,9 1,5 1,7 1,0
Pas de résultat 7,3 7,1 -9,7 4,9 4,8 -7,0 8,7 8,5 -10,6
Source : enquête interne Febelfin (1) Les catégories de risques sont réparties sur la base de la Probability of Default (PD) - Faible (de 0% à environ 0,8%)- Moyen (d’environ 0,8% à environ 4%)- Elevé (d’environ 4% à environ 21%) - Très élevé (d’environ 21% à 100%)
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Besoins de financement de l’économie
Octroi de crédit à
LT par les banques
Crédits d’investissement
Crédits à l’exportation
à LT
Octroi de crédit à CT par les
banques
Crédits documentairesStraight loans
Crédits à l’exportation
à CT
Financement à LT de la dette
Fonds PMEObligations de
projetsPrêt citoyen
Capital à risque
Win-winCrowd funding
TRANSFORMATION INTERMEDIATION
Octroi de crédit bancaire traditionnel
Formes alternativesde financement
Febelfin 4 mars 2013
Febelfin 4 mars 2013 30
Dialogue du secteur avec les pouvoirs publics sur le
financement alternatif
Fonds PME Capital à risque
Prêt citoyenObligations de projets
~
Febelfin 4 mars 2013 31
Autres points d’attention
Funding lossConditions et recommandations de crédit
Financement à CT Crowd funding
32Febelfin 4 mars 2013
CONCLUSION FINANCEMENT ECONOMIE
• Maintien octroi de crédit (BNB)• Conjoncture et donc dossiers plus difficiles• Initiatives financement alternatif• Points d’attention particuliers
33Febelfin 4 mars 2013
Le secteur financier s’engage à maintenir un paysage bancaire diversifié présentant un faible profil de risque2
2013 n’est pas 2008Le secteur a travaillé durement à améliorer la solvabilité et la liquidité et à réduire ses bilans
Source: Calculs Febelfin sur la base de données BNB (base consolidée)
34Febelfin 4 mars 2013 34
Bilans et leviers réduits, augmentation des fonds propres
Total des passifs du secteur
bancaire belge
(en milliards EUR)
Total du capital et des réserves
du secteur bancaire belge
(en milliards EUR)
Levier
(en unités)
FinSeptembre 2007
1.567,9 50,7 29,9
Fin Septembre 2012
1.143,0 59,1 18,3
Evolution en % -27,1% +16,6% -38,7%
35Febelfin 4 mars 2013
283 300 304 318
454 362 308 249
102
78 83
68
0
20
40
60
80
100
120
0
100
200
300
400
500
600
700
800
2009 2010 2011 Sep-12
Dépôts retail Total financement wholesale CT Ratio de liquidité réglementaire (en %)
Source : BNB (en mia EUR)
2013 n’est pas 2008Le secteur a travaillé durement à améliorer sa liquidité
* Ratio de liquidité réglementaire : ce ratio traduit le rapport entre d’une part les sorties nettes de moyens dans un scénario de stress (avec un horizon d’un mois) et d’autre part le tampon d’actifs liquides disponibles pour pouvoir faire face aux sorties. Le ratio doit être de 100 % ou moins (c.-à-d. que plus le chiffre est faible, plus la position de liquidité sera solide). Source BNB
*
Les banques belges recourrent davantage aux dépôts qu’au financement via les marchés financiers
36
Evolution des actifs pondérés en fonction des risques(Source : BNB, en milliards EUR)
2007 2008 2009 2010 2011 Sept 2012
Différence (%)
583,5 491,7 407,5 372,5 373,8 368,5 - 36,8%
Febelfin 4 mars 2013
Les banques prennent moins de risques
2013 n’est pas 2008Le secteur a travaillé durement à améliorer sa solvabilité
37Febelfin 4 mars 2013
Réduction :• Des activités internationales et
de l’exposition sur l’étranger• Du financement via les
marchés financiers
Croissance :• Du funding via le marché
national (dépôts d’épargne)• De l’octroi de crédit au marché
national (crédit hypothécaire et crédit aux entreprises)
2013 n’est pas 2008Les activités bancaires belges sont devenues plus belges
09/2007 avant la crise
Sep-12 09/2007 avant la crise
Sep-12
457,8 543,4 568,3 642,1
1.110,1
599,6
999,6
500,9
National (mia EUR)*
International (mia EUR)
Actifs Passifs
09/2012
1.567,9 1.567,9
1.143,0 1.143,0
+18,7% +13,0%
-46,0% -49,9%
-27,1% -27,1%
* Chiffres consolidés, banques de droit belge.
09/2012
38
2013 n’est pas 2008Réglementation plus stricte et contrôle renforcé : niveaux belge, européen et international
Febelfin 4 mars 2013
Bâle III (e.a. exigences en capital et de
liquidités plus strictes, gouvernance)
Loi bancaire 2010/ Twin Peaks I
(e.a. modèle BNB / FSMA, blocage décisions stratégiques)
Twin Peaks II(e.a. diversification plus poussée possibilités de contrôle et de sanction)
G20/UE (SEBC, ABE, ESMA, Union
bancaire)
39
Bruxelles n’est pas Wall StreetLa banque d’affaires en Belgique est essentielle pour une économie de PME ouverte et orientée vers l’exportation
Febelfin 4 mars 2013
Qu’est-ce que la banque d’affaires en Belgique?
Financement des entreprises
Financement spécialisé : Commerce extérieur vital pour l’économie belge
Couverture contre les risques de taux de change, risques de taux, etc.
Les activités pour compte propre ont fortement diminué et ont une importance limitée
40Febelfin 4 mars 2013
CONCLUSION PAYSAGE BANCAIRE DIVERSIFIE
• Paysage radicalement différent• Réglementation plus stricte et durcissement
du contrôle à différents niveaux• Banques d’affaires en Belgique importantes
pour une économie ouverte et pour les PME
41Febelfin 4 mars 2013
Le secteur financier s’engage à moderniser l’infrastructure et à innover
3
42
La prestation de services des banques belges est multicanaux et innovante
Febelfin 4 mars 2013
Réseau d’agenceset d’agents indépendants
Selfbanks
Phone banking Internet banking
Mobile banking
43Febelfin 4 mars 2013
Succès national & international de la vidéo YouTube sur le médium• Visionnée plus de 8 millions de fois• A un moment la plus partagée au
monde• Obtenu différents prix
Communication sur une base régulière de conseils de sécurité à propos de la banque par internet
Prochaine campagne en préparation
Sécurité et approche préventive sont des priorités pour le secteur
Febelfin 4 mars 2013 44
Toujours une marge de croissanceCoût sociétal du cash
Les paiements électroniques sont un atout pour la société
Deux raisons de poursuivre les investissements dans les paiements électroniques
Allem
agne
Italie
Espag
ne
Autric
he
Luxe
mbo
urg
Belgiqu
e
Royau
me-
Uni
Pays-
Bas
Franc
e
Finlan
de
Suède
Danem
ark
020406080
100120140160180200
23 2639 40 48
65
88 95115
148168
183
Nombre moyen de paiements sur une base annuelle par carte de débit dans différents pays européens (2011)
Source : Calculs Febelfin sur la base des données de la Banque centrale européenne (2011)
Promotion des paiements
Campagne “Par carte, évidemment” avec Comeos
Introduction de paiements sans code
…
Développement de nouveaux instruments
Plusieurs formules smartphone / banque
mobile
Miser sur le e-commerce
…
Implication pouvoirs publics
Fonction d’exemple des pouvoirs publics
Incitants fiscaux
Interdire les paiements en cash au-dessus d’un
certain seuil
Febelfin 4 mars 2013
Que peut faire le secteur ?
45
46Febelfin 4 mars 2013
CONCLUSION INFRASTRUCTURE FINANCIERE
• Paysage multicanaux• Elargissement de l’offre de paiement par l’innovation• Sécurité prioritaire, e.a. via des campagnes de
prévention
47Febelfin 4 mars 2013
Le secteur financier s’engage à remplir son rôle socio– économique dans la société
4
48
Les banques assument leur rôle sociétalCode de conduite pour les banques - entreprises
Febelfin 4 mars 2013
Code de conduite signé en mai 2010
Table ronde plan bancaire :toutes les parties confirment l’exécution complète et correcte du code par les banques
49Febelfin 4 mars 2013
Un esprit d’ouverture et clarté de l’information
Le dialogue honnête et ouvert
La discrétion, la confidentialité et protection des données personnelles
La compétence et le savoir-faire
La sécurité et la fiabilité
L’intégrité du système bancaire
Le respect de l’équilibre des intérêts
Les banques assument leur rôle sociétal Nouveau Code de conduite relation grand public
7 pr
inci
pes
de b
ase
pour
un
e bo
nne
rela
tion
banc
aire
50Febelfin 4 mars 2013
Ford GenkArcelorMittal
En cas d’aléas de la vie, parlez-en avec votre banquierRecherchez ensemble des solutions
Les banques assument leur rôle sociétalAssister les clients en difficulté
51
Les banques assument leur rôle sociétalCadre pour une épargne, des investissements et des crédits durables
Febelfin 4 mars 2013
Parties prenantes
Secteur
Experts
Recommandation produits durables
Politique ISR
Transparence
52Febelfin 4 mars 2013
Les banques assument un rôle sociétalMiser sur la formation des collaborateurs
Formation de base des collaborateurs en contact avec le client réglementée par la loi – Intermédiation bancaire : depuis 2007 plus de 13.000 collaborateurs et presque 50.000 examens
Formation intermédiation en assurances réglementée par la loi : depuis 2007 plus de 6.000 intermédiaires / collaborateurs et presque 40.000 examens
Formation auto-régulée :-private banking : plus de 750 banquiers-risk managers : plus de 150 risk officers
Nouvelles initiatives : -intermédiation en crédit -compliance officer
53Febelfin 4 mars 2013
Le paiement L’emprunt L’épargne
L’investissement
La banque
Les banques assument leur rôle sociétalContribuer à soutenir l’éducation financière
Relancement site internet éducatif actualisé en mars 2013
54
En 2012, Febelfin a également été active dans d’autres domaines
Febelfin 4 mars 2013
Bank of the future (KPMG & hazel
heartwood)
Child & Youth Finance
(conjointement avec la FSMA)
Union bancaire francophone
(financement PME - conférence Marrakech)
Women in financial services
Febelfin 4 maart 2013 55
Aperçu initiatives web de Febelfin
56Febelfin 4 mars 2013
CONCLUSION ROLE SOCIETAL
• Actualisation Codes de conduite• Trajets d’accompagnement spécifiques• Créer un cadre pour l’investissement, l’épargne et
l’octroi de crédit responsables• Miser sur la formation• Implication dans des initiatives sociétales
57
V. CONCLUSION
Febelfin 4 mars 2013
MISSIONS DE BASE
FACTEURS DE REUSSITE
ENGAGEMENTS
3
3
4
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