Atelier – Registre des terresdes Premières nations
Le 24 février 2016
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Centre de Ressources sur la gestion des terres des Premières nations
Atelier ‐ Registre des terres
Accueilli par la Première nation des Algonquins de Pikwakanagan
Ordre du jour
Le 23 au 25 février 2016
Bureaux des Affaires Autochtones et du Nord Canada Gatineau, QC
Le 23 février 2016 – 9h00 – 17h00
Jour 1 – Groupe 1
10 rue Wellington ‐ 12ième étage Salle 1216 ‐ Gatineau PQ
Registre des terres des Premières nations – Formation – Loretta Roy – AANC
Le 24 février 2016 – 9h00 – 17h00
Jour 2 – Groupe 1 et 2
Auditorium ‐ 15 rue Eddy ‐ 3ième étage ‐ Gatineau PQ
9h00 Prière d'ouvertures Aîné de Pikwakanagan Shirley Kohoko
Souhaits de bienvenue de nos hôtes Pikwakanagan – Conseillère Sherrylyn Sarazin
9h20 Objectifs et allocutions d'ouverture Julie Pellerin – Centre de ressources
9h30 Registre des terres des Premières nations – Règlements et lois foncières
Le register distinct de la Première nation – la réglementation de l'enregistrement des terres
11h00 Travaux d’arpentage interne Tania Big Stone – Centre de ressources
Midi Déjeuner de développement de réseaux
13h15 RNCan Trevor Penney ‐ RNCan
Integration des cartes numérisées et des strates de données
SIG (systèmes d'information géographique)
14h15 SIG – Perspectives de Premières nations
Keith Sayers – PN Mississauga
Colette Isaac – PN Georgina Island
15h45 Ville d’Ottawa Alison Gaiser – Ville d’Ottawa
L'application de cartographie interactive: http://maps.ottawa.ca/geoottawa/
16h45 Remarques de conclusion Julie Pellerin – Centre de ressources
Prière de clôture Aîné de Pikwakanagan Shirley Kohoko
Le 25 février 2016 – 9h00 – 17h00
Jour 3 – Groupe 2
10 rue Wellington ‐ 12ième étage Salle 1216 ‐ Gatineau PQ
Registre des terres des Premières nations – Formation – Loretta Roy – AANC
RNCan – Integration des cartes numérisées et des strates de donnéesPrésentation par: Trevor Penney
Ressources naturelles Canada
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Système d'arpentage des terres du CanadaTravailler avec des cartes et des couches de données
Trevor Penney
Aperçu Introduction Outils - Arpentage des terres du
Canada Jeux de données DAG RNCan – Données SIG Autres sources
The Surveyor General has the legal responsibility, subject to the direction of the Minister of Natural Resources, to manage all surveys on Canada Lands and to maintain all the original plans, journals, field notes and other documents connected with those surveys.
i. Canada’s survey registry SGB issues instructions for surveys, reviews plans of survey and registers these surveys to allow parcels to be created on Canada Lands and on fee simple parcels of land in Yukon, Northwest Territories and Nunavut. In 2012-2013, over 1,000 survey instructions were issued and some 1,400 plans were registered in the Canada Lands Survey Records (CLSR). This public repository – created pursuant to legislation - contains over 103,573 records dating to pre-Confederation Canada.
ii. Canada’s survey program SGB manages boundary surveys on Aboriginal settlement lands to meet Canada’s obligations in land claim settlement agreements and legislation, and administers boundary surveys required by other departments across the Government of Canada (e.g. Aboriginal Affairs and Northern Development Canada).
iii. Canada – United States International Boundary Commission
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Embedded within SGB is the Canadian section of the International Boundary Commission (IBC). The Surveyor General is appointed by Order in Council as the Canadian Commissioner to the IBC with the mandate of maintaining the boundary between Canada and the United States for certainty in jurisdictional extent.2
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Bureaux régionaux Ontario
Cindy [email protected]
Québec / AtlantiqueEric [email protected]
Outils - Arpentage des terres du Canada Recherche de plan d'arpentage Recherche de projet d'arpentage Navigateur cartographique du SATC Les terres du Canada dans Google
Earth
Disponibles à: http://rncan.gc.ca/satc
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Recherche de plan / projet d'arpentage Outil de recherche textuelle pour l'ensemble des archives récentes et
historiques Trouver un plan - à l'aide de descripteurs Télécharger un plan Chercher dans l'historique du plan
d'arpentage Outil de recherche textuelle pour les
projets d'arpentage en cours Vérifier s'il y a des projets d'arpentage actifs
et en déterminer l'état
Navigateur cartographique SATC Voir les parcelles et les droits actifs Voir les parcelles pour lesquelles des
travaux d'arpentage sont en cours Créer des cartes personnalisées en
format PDF Trouver un plan – selon l'emplacement
sur une carte ou par descripteurs Télécharger un plan Chercher l'historique d’un plan d'arpentage
3
Les terres du Canada dans Google Earth Voir les parcelles et les droits actifs Identifier un plan d’arpentage d’après
une parcelle ou un droit Télécharger le jeu de données
cadastrales Mis à jour automatique Vérifier s'il y a des projets d'arpentage
actifs et en déterminer l'état
Jeux de données DAG Services Web (2017) Données cadastrales numériques Produits régionaux GéoBase - Terres autochtones
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Jeux de données du canevas cadastral Divisés par réserve, établissement ou
village Disponibles en format: ESRI Shapefile DWG (CAD)
Les jeux de données sont mis à jour lorsque de nouveaux plans d’arpentage sont enregistrés (~2 sem.)
Jeux de données du canevas cadastral Métadonnées HTML & XML Système de référence Exactitude Exactitude absolue du
positionnement horizontal Exactitude relative du
positionnement horizontal Généalogie des données
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Jeux de données du canevas cadastral Données séparées par thème: parcelles, servitudes, droits
Champs des parcelles (Shapefile) [PIN] = NIP RNCan [REG_PIN] = NIP Registre des terres
Produits régionaux Orthophotographie et cartographie au
Québec Bâtiments en Atlantique Autres ???
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Bureaux régionaux Ontario
Cindy [email protected]
Québec / AtlantiqueEric [email protected]
GéoBase - Terres autochtones Représentent les limites
administratives (l'étendue) Réserves indiennes Terres des Cris et des
Naskapis de catégorie IA et IA-N
Autres terres autochtones
ESRI Shapefile, KML, GML Publication mensuelle
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RNCan – Données SIG GéoGratis - http://geogratis.gc.ca/
Outil de recherche de données de RNCan Recherche par étendue géographique
pour les données thématiques
Données Ouvertes -http://ouvert.canada.ca/fr
Outil de recherche de données du Gouvernement du Canada Gigantesque entrepôt de données et
d’information
Services Web de GéoGratis- Carte de base du Canada (CBC) Excellent service
d’arrière-plan 1:200 000 000 à
1:18 000 en cache, 1:1 000 dynamique
Aires administratives non incluses
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Autres sources Information sur les terres de l’Ontario Données ouvertes (Québec) GeoNB (Service Nouveau-Brunswick) GeoNova (Nouvelle-Écosse) Données SIG - Île-du-Prince-Édouard
Merci
Questions?
Contact: NRCan.canada_lands_survey_system-
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Exemples de logiciels SIG Code source libre QGIS
http://www.qgis.org/fr/site/ uDig
http://udig.refractions.net/ GRASS GIS
https://grass.osgeo.org/
Commercial ArcGIS -ESRI
http://www.esri.com/ Manifold - Manifold Net Ltd
http://www.manifold.net/
Document pertinent Guide des pratiques exemplaires -
Établir et maintenir un programme autochtone de cartographie avec succès (en anglais seulement) Centre for Indigenous Environmental
Resources http://geoscan.ess.nrcan.gc.ca/cgi-
bin/starfinder/0?path=geoscan.fl&id=fastlink&pass=&format=FLFULL&search=R=288859
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Références - 1 Recherche de plan d'arpentage http://clss.nrcan.gc.ca/advancedplansearch-
rechercheplanavance-fra.php Recherche de projet d’arpentage http://clss.nrcan.gc.ca/advancedprojectsearch-
rechercheprojetavance-fra.php Navigateur cartographique du SATC http://clss.nrcan.gc.ca/map-carte-fra.php
Les terres du Canada dans Google Earth http://www.rncan.gc.ca/sciences-
terre/geomatique/arpentage-terres-canada/11093#CLGoogleEarth
Références - 2 Données cadastrales numériques des
terres du Canada ftp://ftp.nrcan.gc.ca/ess/sgb_pub/sgb_d
atasets/ http://www.rncan.gc.ca/sciences-
terre/geomatique/arpentage-terres-canada/11093#CLdata
GéoBase - Terres autochtones http://geobase.ca/
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Références - 3 GéoGratis http://geogratis.gc.ca/
Données ouvertes http://ouvert.canada.ca/fr
Services Web de GéoGratis https://www.rncan.gc.ca/sciences-
terre/geographie/information-topographique/donnees-gratuites-geogratis/services-web-geogratis/17294
Références - 4 Information sur les terres de l’Ontario https://www.ontario.ca/page/land-information-
ontario Données ouvertes (Québec) http://www.donnees.gouv.qc.ca
GeoNB (Service Nouveau-Brunswick) http://www.snb.ca/geonb1/f/index-F.asp
GeoNova (Nouvelle-Écosse) https://geonova.novascotia.ca/
Données SIG - Île-du-Prince-Édouard http://www.gov.pe.ca/gis/
SIG – Perspectives de la Première nation MississaugaPrésentation par: Keith Sayers
Première nation Mississauga
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PRÉAMBULE
La Première nation de Mississauga (PNM) est déterminée à exécuter ses responsabilités inhérentes en s’assurant que les décisions sont prises de manière à protéger la santé des terres au profit des générations futures. Lors de la signature des traités, les dirigeants de la PNM et les aînés n’ont jamais cédé leurs droits et leurs responsabilités relatives à la gestion des terres. Suivant les traces des ancêtres de la PNM en ce qui a trait aux responsabilités foncières au profit des générations futures, la PNM est déterminée à assurer le développement économique tout en veillant à la continuité culturelle.
Il est essentiel de constamment garder à l’esprit que les peuples des Premières nations occupaient les terres depuis des temps immémoriaux, qu’ils possédaient leurs propres systèmes de gouvernement et qu’ils n’ont jamais renoncé à leurs droits ancestraux lors de la signature des traités. La Première nation Mississauga n’a jamais renoncé à son droit de gérer son territoire traditionnel lors de la signature des traités ou des accords. Les droits inhérents de la PNM portent sur les responsabilités des membres de la PNM par rapport aux terres, incluant les compétences de gestion sur ces terres.
L’Accord‐cadre sur la gestion des terres de Premières nations a été conclu entre le
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ministre des Affaires indiennes et du Nord canadien et le chef de la Première nation Mississauga le 31 mars 2003. Cet accord exige que la PNM élabore son propre code foncier qui a été ratifié et adopté en juin 2009. Ce code est intitulé Code foncier de la Première nation de Mississauga (également connue sous les noms de Mississauga River N° 8, et Première nation Mississagi).
Le Code foncier de la Première nation de Mississauga mentionne ce qui suit :« Les enseignements traditionnels de la Première nation Mississauga parlent de l’obligation des membres de la Première nation Mississauga de prendre soin et de respecter la terre et les merveilles de la nature vivant sur la terre. En adoptant le Code foncier, la Première nation de Mississauga reprend en main cette responsabilité spéciale… Le pouvoir de la Première nation de Mississauga d’administrer ses terres et ses ressources a été confié par Créateur à la population de la Première nation de Mississauga, puis par la population au chef et au conseil conformément à la culture, aux traditions, aux coutumes et aux lois de notre Première nation ».
Le Conseil peut, sous réserve des dispositions du Code foncier, adopter des lois concernant tous les aspects de ses terres.
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QU’EST‐CE QU’UN PLAN D’UTILISATION ET D’OCCUPATION DES TERRES (PUOT)
Il s’agit d’un outil pour prendre soin des terres. Prendre soin des terres signifie comprendre et maintenir nos liens avec les terres et toutes leurs composantes. Il faut notamment prendre soin des relations que nous entretenons avec les terres conformément à nos instructions et nos responsabilités originales. Un plan d’utilisation des terres est un document de planification à long terme (habituellement 20 ans) de portée générale qui traite de l’utilisation actuelle et future des terres dans une zone ou un territoire. Il contient des politiques et des cartes pour guider la croissance et le développement en plus d’énoncer la vision de la Première nation pour l’avenir.
L’objectif principal d’un PUOT est de fournir des orientations pour la prise de décisions en matière d’utilisation des terres. La planification de l’utilisation des terres a notamment pour but de prévoir des situations futures pouvant affecter les terres. Au lieu de résoudre les problèmes uniquement au cas par cas et en réaction aux événements, les décideurs seront en mesure de :
‐ planifier l’avenir avec confiance en ayant accès à toute l’information dont ils ont besoin;‐ comprendre l’effet qu’une décision sur des enjeux connexes;
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‐ prendre des décisions en accord avec les aspirations, les besoins et les préoccupations exprimées par les citoyens de la communauté.
Les priorités concurrentes comme le développement économique, la durabilité culturelle et la protection de l’environnement peuvent être conciliées dans le cadre de politiques convenues au sein de la communauté. LE PUOT et ses politiques d’accompagnement offrent de la certitude, et aident à s’assurer que les décisions sont prises de manière impartiale et transparente.
Il est prévu que les décisions concernant l’utilisation des terres seront compatibles avec les dispositions des politiques d’application du plan. Le PUOT et ses politiques d’application devraient être revus périodiquement par la communauté pour assurer qu’ils sont toujours d’actualité et qu’ils expriment bien les intentions et les attentes de la communauté. Si jamais des activités ou des éléments non prévus dans le plan se produisent, il est prévu que le plan doit d’abord être modifié conformément aux dispositions de la section « Mise en œuvre » du plan avant de changer les mécanismes d’utilisation des terres.
Le plan est le document utilisé par la communauté dans le cadre de sa planification à long terme pour concilier les objectifs de développement social, économique et environnemental.
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But du plan d’utilisation et d’occupation des terres« Les membres de la Première nation de Mississauga ont été placés sur Terre par Gzhemnidoo (le Créateur) qui leur a donné accès aux quatre éléments sacrés : le feu, la terre, l’air et l’eau. Avec ces quatre éléments venait le droit de les utiliser de manière responsable en prenant soin d’eux ».Le plan a pour but de protéger les terres en établissant un cadre politique visant à guider le développement physique, social et économique de notre communauté tout en s’assurant que nos comportements ne détruisent pas les terres qui doivent être transmises aux générations futures.Le plan fournit également des orientations pour le développement futur des initiatives de la communauté ou des initiatives privées en ce qui a trait aux désignations des terres et aux principes de développement durable du territoire.Le plan prévoit l’établissement d’un cadre d’approbation des projets de développement selon une approche unifiée de permis de développement. Cela a pour but d’offrir des niveaux de contrôle adéquats tout en maintenant des processus administratifs allégés.
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Principes directeursLes terres doivent rester en bonne santé maintenant et dans l'avenir pour les générations futures, car elles assurent notre subsistance et sont porteuses de notre histoire;La santé et la sécurité des résidents est d'une importance primordiale;Le développement durable permettant de créer des possibilités d'emploi sera encouragé et non entravé par ce plan.
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Objectifs du Plan d'aménagement du territoireRespecter nos droits inhérents en faisant la promotion de l'utilisation et du développement durables des ressources Prévenir et à réduire les différends liés à l'utilisation des terresFournir des orientations afin de guider les décisions relatives à l’utilisation des terresMaintenir nos liens avec les terresAssurer la disponibilité de lots pour les futurs besoins en logements résidentielsPréserver et protéger le territoire de la PNMPréserver les zones d'importance écologique et cultureRespecter les lacs, les terres, les espèces fauniques et les habitats dont elles ont besoin pour survivreAssurer une communication efficace avec les membres de la PNM
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Occupation du territoire par le peuple des MissisagiLe peuple des Mississagi vit au nord du lac Huron en équilibre avec son territoire depuis des temps immémoriaux. Les membres de la première nation Mississauga ont utilisé les terres et les eaux pour leur subsistance, à des fins socio‐économiques et pour maintenir leurs liens étroits avec la terres en pratiquant des activités de cueillette, de chasse, de pêche, de piégeage et de troc à des fins socio‐économiques. Les connaissances traditionnelles du territoire ont été transmises de génération en génération. Comme les peuples originaires du bassin versant du Mississagi, les membres du peuple Mississauga se gouvernaient selon leurs traditions et leur culture de chasse, de pêche et de piégeage de manière à conserver la pureté et la santé du bassin versant du Mississagi avant le contact avec les Européens.
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La Première nation de Mississauga est actuellement située sur la rive nord du lac Huron, à environ 130 km à l'est de Sault Ste‐Marie et à environ 1 km à l'ouest de la ville de Blind River. Les terres du territoire ancestral s’étendent de la rive du lac Huron au nord du Lac Rocky Island, au‐delà du lac Lauzon et à l'ouest vers la zone du lac Ranger (le bassin versant de la rivière Mississagi).
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2/22/2016
1
PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• TERRES DE LA PNM
DESCRIPTION LÉGALE DU SITE
RAPPORT DE DESCRIPTION LÉGALE DES TERRES DE LA PREMIÈRE NATION MISSISSAUGA DANS LE CADRE DE L’INITIATIVE DE GESTION DES TERRES
DES PREMIÈRES NATIONS 90495.TIF
PLAN 90495 CLSR = 0,07 HA ; 0,16 ACRES
ASSISE TERRITORIALE EXISTANTE DE LA PNM
PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• TERRES DE LA PNM
ACCORD DE RÈGLEMENT TERRITORIAL DE 1994
CARTE DE GESTION DES ROUTES ET D’OCCUPATION DES TERRES
Land Tenure Map.pdf
2/22/2016
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PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• DÉFIS/RÉUSSITES
DÉFIS RÉUSSITES
RESSOURCES HUMAINES RESSOURCES HUMAINES LIMITÉES MATÉRIEL INFORMATIQUE ET LOGICIELS MATÉRIEL INFORMATIQUE ET PARTICIPATION DE LA COMMUNAUTÉ LOGICIELS
SOUTIEN FINANCIER PARTICIPATION DE LA COMMUNAUTÉ SOUTIEN FINANCIER
PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• RÉUSSITES ÉTABLISSEMENT D’UNE RELATION DE TRAVAIL AVEC HENDERSON/PADDON (MAINTENANT WSP)
MENTORAT/FORMATION POUR LES MEMBRES DE LA PNM
OUVERTURE DE LA COMMUNAUTÉ À PARTAGER DE L’INFORMATION
CELA A PERMIS DE TRACER LA VOIE POUR D’AUTRES PROJETS D’UTILISATION DES TERRES
P.EX., PROJETS DE GESTION FORESTIÈRE, ÉNERGIE RENOUVELABLE
ÉLABORATION D’UN PLAN D’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE COMMUNAL
RATIFICATION DU CODE FONCIER DE LA PNM
FINANCEMENT PAR LE BIAIS DE LA RATIFICATION COMMUNAUTAIRE POUR ACCÉDER AUX FONDS EN FIDUCIE
2/22/2016
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PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• SITUATION ACTUELLE ÉBAUCHES DE PLANS ET PLANS DÉFINITIFS
PLANS DE GESTION FORRESTIÈRE
PLAN D’UTILISATION DES TERRES
PLAN D’UTILISATION DES TERRES TRADITIONNELLESSCH1_LTP_MFN_r1.pdf
SCH2_SCA_MFNr2.pdf
SCH3_RSP_MFNr1.pdf
SCH4_LUP_MFNr1.pdf
MFN_ForestInventory_RevisedAug2013_comp_opt.pdf
Master_map_Traditional Areas.pdf
PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
• SITUATION ACTUELLE DES RESSOURCES HUMAINES
ÉQUIPE DU PROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
GESTIONNAIRE DU PROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
TECHNICIEN PRINCIPAL DES TERRES ET DES RESSOURCES
TECHNICIEN DES TERRES ET DES RESSOURCES
TECHNICIEN EN ENVIRONNEMENT
COMMIS PRÉPOSÉ AUX TERRES ET AUX RESSOURCES/SERVICES AUX MEMBRES
EXPERT‐CONSEIL EN ENVIRONNEMENT(CONTRACTUEL)
PORTEFEUILLE DU CONSEIL CONCERNANT LES TERRES ET LES RESSOURCES
COMITÉ DES TERRES ET DES RESSOURCES (9 MEMBRES)
2/22/2016
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PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
OBJECTIFS POUR L’AVENIR TECHNICIEN DU SIG À TEMPS PLEIN
MODIFICATIONS EN COURS
• ACHAT DE TERRES/AJOUTS AUX TERRES DE RÉSERVES (ATR),REVENDICATIONS TERRITORIALES
MISE À JOUR DES PLANS DE GESTION FORESTIÈRE
MISE À JOUR DES PLANS D’UTILISATION DES TERRES (INCLUANT LA FLORE ET LA FAUNE)
POURSUITE DU PLAN DES TERRES TRADITIONNELLE
TERRES TRADITIONNELS DE LA PNM_Keymap_r1.pdf
PREMIÈRE NATION DE MISSISSAUGAPROGRAMME DES TERRES ET DES RESSOURCES
MERCI!!!
SIG – Perspectives de la Première nation Georgina Island Présentation par: Colette Isaac
Première nation Georgina Island
2016‐02‐12
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UN SIG À LA PNGIOù en sommes-nous?
24
févrie
r 20
16
SIG
à la
PN
GI
1
APERÇU…
De quelle manière cela s’est-il produit?
À quel moment la PNGI a-t-elle
mis en place un SIG?
Comment nous en servons-nous?
Quelle est l’utilité du SIG?
Leçons apprises
24
févrie
r 20
16
2
SIG
à la P
NG
I
La PN de GI a été l’une des premières à adhérer au régime de GTPN.En 2002, Kerry Ann Charles a été embauchée pour consolider les règlements, puis les projets environnementaux. Elle a plaidé en faveur du système d’information géographique (SIG).Le gouvernement fédéral et le gouvernement provincial ont tous deux réalisé que leurs données spatiales de base devaient être plus facilement accessibles pour le public.Des études réalisées par divers experts‐conseils valant des centaines de milliers de dollars contenaient d’importantes données spatiales concernant la Première nation. Nous souhaitions être capables de les utiliser plus facilement.
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Dans ce contexte, du financement a été obtenu pour mettre en place un SIG maison.Un personne a été embauchée au cours de l’été 2013, et le travail a démarré.
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Je travaille avec la PN de GI depuis les années 90, et je connais bien le travail des Premières nations et de celle‐ci en particulier.Il n'y avait pas d’orientation précise pour le SIG, j’ai donc consulter toutes les personnes qui souhaitaient me parler.Le travail de sensibilisation de la communauté était déjà réalisé, et les décisions concernant l’achat du matériel informatique et des logicielles étaient déjà prises.J’ai poursuivi en consultant les études environnementales et d’infrastructure existantes pour voir quelle information était disponible dans un format que je pouvais utiliser.
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Il existe beaucoup de données ‐ courte liste des principales sources.Données gouvernementales ‐ les données de parcelles cadastrales constituent la base. Je les utilise comme point de comparaison avec toutes les autres données.Il est plus compliqué d’utiliser les données du registre, car il est difficile d'obtenir les principales données de propriété pour les comparer aux autres données de manière significative.Le MRN gère la base de données des terres de l'Ontario. La plupart des données provinciales sont disponibles. Certaines peuvent être accédées directement.Nous avons dû acheter nos photos aériennes pour la somme de 2 200 $Données maison – obtention de données AutoCAD ou ESRI auprès d’experts‐conseils. L’avantage d'utiliser un logiciel de l'industrie est lié au fait qu’il existe beaucoup d'aide disponible.Données créées – Possibilité de géoréférencer des cartes papier pour y ajouter de nouvelles données. Utilisation de petits GPS au début pour les endroits difficiles, mais de meilleurs instruments ont été acquis depuis. Développement de données d'attributs, principalement EXCEL, afin de les intégrer dans nos bases de données.
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Cela est très apprécié par le personnel, tout particulièrement ceux des services fonciers et environnementaux. Également ceux du service de l’habitation.
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Principalement des cartes individuelles ou ponctuelles. Projets amusants.
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Dans la plupart des cas cela implique un niveau d’analyse assez simple – zones tampons, superpositions, etc.
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Ce n’est pas très utile pour le travail au jour le jour, mais cela permet aux gens de réfléchir à la question des relations spatiales.
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‐ Le personnel à l’information au bout des doigts sur demande‐ Il est plus facile de mettre en œuvre les règlements et les protocoles à l’aide de cartes
indiquant les diverses zones et leurs limites. Tout le monde utilise la même information‐ Réponse plus rapide aux demande d’information de la communauté. Les membres
peuvent emporter les cartes avec eux.
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‐ Les cartes peuvent être spécifiquement conçues selon les besoins,‐ Permet d’utiliser notre propre information pour évaluer le travail des experts‐
conseils. P.ex., le site d’enfouissement construit à proximité d'une zone humide importante. Réduction de la durée de vie d'au moins 10 ans.
‐ La fourniture de nos propres fichiers d'utilisation des terres permet de nous assurer que nos priorités sont prises en compte dans la cartographie.
‐ Utilisation de la cartographie de l'inventaire forestier pour préparer des cartes de risques d'incendie en fonction des espèces et de l'âge des arbres
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Le SIG est un outil, et s’il n’est pas intégré concrètement dans l’exécution du travail, il ne sera pas vraiment utile.Une personne doit être assignée à son fonctionnement de manière continue –habituellement un membre du personnel.Si l’utilisation est requise davantage pour un projet spécial, un expert‐conseil en SIG fera l’affaire.
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Des membres du personnels enthousiastes ont sollicité l’appui du Georgian College pour aider à promouvoir l’idée.Des idées concernant l’utilisation des données et des systèmes ont été obtenus auprès d’autres utilisateurs.L’obtention de conseils au sujet des sources de données existantes constitue un point de départ utile.
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La réussite ou l’échec du SIG est lié à la qualité des données.Il est facile de « vendre » des cartes produites à l’aide d’un SIG, car elles peuvent très bien paraître, mais l’utilisateur doit bien connaître ses données.Prenons à titre d’exemple une analyse de zones humides ‐ 2 versions. Une plus approximative et sommaire, mais exacte toutes les zones humides ont été validées sur le terrain par un biologiste. L’autre version semble plus précise, car elle a été exécutée à partir de photos aériennes, mais personne n’a visité les marais, de sorte que l’évaluation des limites et du milieu est basée sur une seule photo aérienne et uniquement sur des suppositions (fondée sur l’expérience) de ce qui est susceptible de se produire sur le terrain.
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Tous les experts‐conseils utiliseront CAD et/ou le SIG pour exécuter leurs travaux. Vous devriez obtenir toutes les données dans le format dont vous avez besoin. Cela est facilement réalisable si vous expliquez tôt dans le processus quels sont vos besoins.Métadonnées, métadonnées, métadonnées – il s’agit de la clé pour savoir à quel point vous pouvez faire confiance à ce que vous voyez. Si vous savez qui a recueilli les données, à quel moment, pourquoi et de quelle manière, cela devrait être suffisant.
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Vous accumulerez très rapidement un grand nombre de fichiers. Il vous faudra probablement un an ou deux pour déterminer de manière précise ce que vous devez conserver.Mettez en place un système de classement que vous utiliserez de manière systématique. Conservez une liste de fichiers afin que vous puissiez les retrouver facilement.
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Ville d’Ottawa - L'application de cartographie interactivePrésentation par: Alison Gaiser
Ville d’Ottawa
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Comment sommes-nous arrivés là où nous sommes?
Que fait l’application?
Mécanismes d’entretien de l’application et mise à jour des données qui l’alimentent.
Quelles sont les prochaines étapes?
Le SIG fait partie du Service de TI de la ville.
Nous possédons en ce moment plus de 1000 installations d’ArcGIS Desktop, mais nous tentons de réduire ce nombre dans le cadre d’une mise à niveau.
Environ une centaine de personnes utilisent habituellement 100 ArcGIS en même temps.
Nous possédons également une application plus ancienne de SIG utilisée dans l’ensemble de la ville.
Les grands utilisateurs du SIG mettent à jour les données dans de multiples bases de données ArcSDE Oracle - ~25
Les données sont reproduites la nuit vers une base de données Oracle en lecture seule nommée Datamart (mini-entrepôt de données)
Les données du mini-entrepôt de données Datamart sont utilisées pour offrir divers services de cartographie Web.
Elles sont utilisées dans de multiples applications en ligne du SIG – geoOttawa, geoOttawaLite, IMN
La géolocalisation des addresses est mise à jour chaque jour afin d’inclure les nouvelles addresses.
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eMAP était l’application antérieure – une application AutoDesk MapGuide basée sur le Web
Utilisation externe approximative – 2 % universitaires, 69 % entreprises/professionnels et 29 % personnel/résidentiel
Le pourcentage d’utilisation le plus élevé provenant des entreprises étaient liés aux services d’architecture, d’ingénierie, d’urbanismes et de services connexes (34 %) , suivi de prêt par le courtage immobilier (26 %).
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L’application MapGuide avait atteint sa fin de vie et devait être remplacée.
Nous avons choisi d’utiliser une solution ESRI puisqu’il s’agissait d’une application déjà utilisée par l’organisation
Les options étaient Flex, Silverlight et Java – Flex a été choisi.
Afin de minimiser le développement, nous avons choisi un modèle d’application existant, et nous avons évité autant que possible toute modification au cadre de base tout en personnalisant au besoin les gadgets du logiciel.
Cela a été réalisé dans le cadre du projet de mise en œuvre du SIG de l’organisation.
Cadre d’application de l’organisation
• source unique pour les données
• source unique pour les services de cartographie
Sondage accessible pour les clients externes pendant 2 semaines. 800+ personnes ont participé au sondage.
Cela a fourni un aperçu des types d’utilisateurs, des données d’intérêt et des fonctions les plus utiles selon eux (dans l’application eMAP existante)
Les parcelles de propriétés constituaient l’ensemble de données le plus populaire, suivi en deuxième par les routes et le zonage.
Le sondage a fourni l’occasion de suggérer des améliorations.
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Téléchargement de mises à jour mensuelles
Reçoit de Teranet des fichiers avec NIP qui sont joints aux fichiers de propriété
Les données sont traitées afin de concorder avec les données en ligne de la ville.
Frais d’abonnement pour les données
L’évaluation vient du SEFM (Société d’évaluation foncière des municipalités)
Adresses maintenues/créées par la ville
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Un seul développeur consacre un partie de son travail quotidien à l’entretien de l’application.
La liste des diverses couches est un fichier de configuration qui doit être mis à jour.
Google Analytics est utilisé pour comprendre notre base d’utilisateurs– analyse par zone géographique et par type d’appareil/SE (iPad, Android, Chrome, etc.)
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Besoin de personnel à l’interne pour personnaliser le système ou posséder la capacité d’en embaucher
Besoin de personnel comprenant le SIG et la conservation des données
Il est nécessaire d’assurer le transfert de connaissances lorsque des experts-conseils sont utilisés pour assurer la mise à jour et l’entretien de l’application
Nous tentons d’être le plus avant-gardiste que possible.
Les navigateurs sont constamment mis à jour, ce qui peut causer certains problèmes de fonctionnement.
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Remarques de conclusionPar: Julie Pellerin
Centre de ressources des terres des Premières nations
Remerciements
Accueilli parLa Première nation des Algonquins de Pikwakanagan
Organisé parCentre de ressources des Premières nations
Subventionné parAffaires autochtones et du Nord Canada
Prière de clôturePrière par: Shirley Kohoko
La Première nation des Algonquins de Pikwakanagan
Atelier – Registre des terres des Premières nations
Le 24 février 2016