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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. SAINT-VALENTIN HORS DES SENTIERS BATTUS PAGES 2 ET 3 SHUTTERSTOCK L’HUMEUR DE JEAN-LOUP Ah, la Saint-Valentin approche. Chaque année, c’est la même rengaine. Les commerçants se frottent les mains car depuis les soldes, qui furent de surcroît exé- crables à cause d’une météo trop clémente, la clientèle se serre la ceinture. Mais heureusement, les fêtes commerciales sont là pour leur redonner le sourire. Moi, perso, ça me le ferait plutôt perdre. J’ai tout essayé. Un parfum ? Je n’ai même pas eu droit à un merci, mais bien à une remarque sous-en- tendant que j’estimais que ma chère et tendre avait une mauvaise odeur corporelle. Une sortie au resto ? Sympa, mais une fois en- core je n’ai pas fait mouche. La Demoiselle préfère quelque chose de moins éphémère. Un bouquet de roses ? Parfait, mais c’est comme un amuse-gueule, c’est un bon début mais je n’aurais pas dû m’arrêter en si bon chemin. Encore un coup dans l’eau. Et je ne vous parle pas de la raclée qui m’atten- dait l’année où j’ai prétexté que la Saint-Valentin était une fête com- merciale et que je n’avais pas besoin d’attendre le 14 février pour clamer mon amour à la compagne. Bref, la Saint-Valentin m’a ruiné bien des soirées. Alors cette année-ci, je boy- cotte. Vendredi, heureu- sement, il y a football. Quitte à me faire engueuler, autant que je passe une bonne soirée. Au secours, il est de retour ! Lundi 10 Février 2014

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Consomaction du 10 février 2014

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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

SAINT-VALENTINHORS DES SENTIERS BATT

USPAGES 2 ET 3

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L’HUMEUR DE JEAN-LOUP

Ah, la Saint-Valentin approche.Chaque année, c’est la mêmerengaine. Les commerçants sefrottent les mains car depuis lessoldes, qui furent de surcroît exé-crables à cause d’une météo tropclémente, la clientèle se serre laceinture. Mais heureusement, lesfêtes commerciales sont là pourleur redonner le sourire. Moi, perso,ça me le ferait plutôt perdre. J’aitout essayé. Un parfum ? Je n’aimême pas eu droit à un merci,mais bien à une remarque sous-en-tendant que j’estimais que machère et tendre avait une mauvaiseodeur corporelle. Une sortie auresto ? Sympa, mais une fois en-core je n’ai pas fait mouche. LaDemoiselle préfère quelque chosede moins éphémère. Un bouquet deroses ? Parfait, mais c’est commeun amuse-gueule, c’est un bondébut mais je n’aurais pas dûm’arrêter en si bon chemin. Encoreun coup dans l’eau. Et je ne vousparle pas de la raclée qui m’atten-dait l’année où j’ai prétexté que laSaint-Valentin était une fête com-merciale et que je n’avais pasbesoin d’attendre le 14 février pourclamer mon amour à la compagne.Bref, la Saint-Valentin m’a ruiné

bien des soirées. Alorscette année-ci, je boy-cotte. Vendredi, heureu-sement, il y a football.

Quitte à me faireengueuler, autantque je passe unebonne soirée.

Au secours, ilest de retour !

Lundi 10 Février 2014

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

02 OBJECTIFS THUNES 03OBJECTIFS THUNES

www.dhPbe I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

Soirée romantiqueAU STANHOPE8 Les charmes

de la capitale et plus si affinités

A Niché en face du siège du PPE (Parti po-pulaire européen), l’hôtel Stanhope voitdéfiler du beau monde tout au long del’année. Mais en dehors des hommesd’affaires et politiciens qui aiment yprendre leurs quartiers, l’établissementappartenant au groupe Thon ne manquepas d’attrait pour la clientèle touristi-que. À deux pas de l’avenue Louise et deses boutiques, non loin de l’avenue de laToison d’Or elle aussi propice au shop-ping ou à une toile à l’UGC, le Stanhopejouit d’une position centrale pour partirà l’assaut de la ville.

Authentique boutique-hôtel occupantun bâtiment prestigieux et centenaire, leStanhope n’est pas devenu par hasard lepremier 5 étoiles du centre de Bruxelles.Depuis son magnifique lounge, avec sonbar Library et son restaurant Brighton

jusqu’au jardin intérieur avec ses murscouverts de lierre, tout dans l’hôtel res-pire le charme et l’élégance. Après 12 ans,une intensive rénovation et un agrandis-sement de l’hôtel ont été réalisés; celui-cicompte actuellement 125 chambres Stan-dard ou Classic ainsi que des chambresSupérieur, des Suites et des Apartments.

LE STANHOPE DISPOSE également d’unrestaurant, le Brighton, où l’on sert unecuisine naturellement raffinée. Une esca-pade gourmande empreinte d’histoirepuisque la salle de restaurant est ornéed’un portrait du roi George IV, le monar-que britannique qui a transformé le Bri-ghton pavilion en un merveilleux palaceoriental au début du XIXe. Les murs durestaurant sont décorés de fresques destyle chinois, de la même manière queles originaux dans le palace du roiGeorge.

À l’occasion de la St-Valentin, le Stan-hope vous a concocté deux packagespour découvrir à la fois la cuisine du Bri-

ghton et le luxe des chambres de l’hôtel.PACKAGE LOVERS

339 €K 1 nuit surclassée en Chambre Exécutivepour 2 personnesK 2 petits déjeunersK 1 bouteille de champagneK Un kit pour amoureux dans la cham-bre The Pleasure GameK Menu 3 services pour 2 au Brighton Res-taurant (hors boissons)K 1 boîte de chocolats belges dans votrechambreK Accès au sauna et au centre de fitnessK Accès internet gratuitK 1 plan de la villeK Départ tardif jusqu’à 15 h

FORFAIT BED AND BREAKFAST 149 €K 1 nuit en chambre standard classiquepour 2 personnesK 2 petits déjeunersK Accès au sauna et au centre de fitnessK Accès internet gratuitK 1 plan de la villeK Départ tardif jusqu’à 15 h

Idées cadeaux pour la St-ValentinPAR ISABELLE MONNART ET VINCENT SCHMIDT

Quand la roseEST ÉTERNELLE8 Rosa Più, symbole d’un amour qui ne fane pas au bout de quelques jours

A Quoi de plus classique qued’offrir des roses à l’être aimélors de la Saint-Valentin. Mais sila fleur la plus symbolique del’amour reste incontournable,vous pouvez néanmoins fairepreuve d’un peu de créativité enoffrant des roses qui ne fanentpas au bout de quelques jours.D’authentiques roses, bien sûr,pas de vulgaires produits syn-thétiques n’ayant aucune âme.

ROSA PIÙ (più pour plus que desroses) est née de l’imaginationde Concetta Spitaleri, une jeunefemme d’affaires italienne. Toutest parti d’un voyage à Dubaïqu’elle avait fait avec ses en-fants. L’eau et la chaleur décom-posaient les bouquets de fleursopulentes des palaces jusqu’àrendre leur odeur incommo-dante. Pourquoi ne pas rempla-cer les fleurs fraîches par des ro-ses stabilisées ? Elles ne nécessi-tent pas d’eau, offrent peu decontraintes et ont une durée devie de minimum 3 ans. De re-tour en Europe, Concetta peau-fine le concept et démarre sonbusiness au Moyen-Orient. Elley a développé en quelques mois

une clientèle exclusive, faite deriches émirs et d’hôtels haut degamme. Les compositions lesplus somptueuses, à base de ro-ses d’Équateur, de feuillages duKenya et de pierres précieuses,sont réalisées sur commande enBelgique, par Stijn Simaeys etDamien Overputte.

La stabilisation est un pro-cédé 100 % naturel mis au point,après 5 ans de recherche, pardes ingénieurs botanistes etagronomes d’Amérique du Sud.Les roses poussent dans des ser-res immenses, à perte de vue,près de Quito, en Équateur. Lespentes du volcan Cayambe sontexceptionnellement fertiles etoffrent une altitude et un enso-leillement idéal 12 heures parjour. C’est l’environnement et leclimat rêvés pour produire lesplus belles roses au monde… Lediamètre des corolles atteintjusqu’à 10 cm, les pétales à latexture velours sont particuliè-rement épais.

Ici tout est fait artisanale-ment, de la cueillette au pro-cédé de stabilisation. Chaquerose est cueillie à la main. Lafleur est immergée dans un sé-

rum écologique non toxiquequi préserve son éclat pour 3ans. À l’inverse des fleurs lyo-philisées, friables et cassantes,les roses stabilisées gardentl’apparence de fleurs fraîche-ment coupées en préservanttoute leur souplesse et leur ve-louté. Elles ne demandentaucun entretien. Il faut juste lestenir à l’écart de l’eau, du pleinsoleil et d’un environnementpoussiéreux.

OUTRE SES COMPOSITIONS flora-les et bouquets de mariée surmesure, Rosa Più a développéun concept unique, la Rose3 (ourose cube), décliné à son lance-ment en 5 couleurs (jaune,orange, rouge, crème et fuch-sia). Chaque cube contient unetête de rose stabilisée à collec-tionner et à assembler à saguise, à la manière d’un Légofloral. Les cubes peuvent êtredéposés verticalement ou hori-zontalement pour s’accrocherau mur comme un tableau entrois dimensions pour formerun dessin ou un mot. ls existenten deux formats, normal et XXL(entre 13 et 25 €).

Laissez donc parler votre pro-pre créativité pour surprendrevotre partenaire lors de la Saint-Valentin.

: Stabilisées, les roses ont une durée de vie de 3 ans en moyenne. © ROSA PIÙ

BRUXELLES Ce n’est pas un, ni deux,ni trois mais carrément quatre petitslivres, messieurs dames – oui, on secroirait un peu sur le marché, par unbeau lundi – que Marabout Poche sort,fort opportunément, à quelques joursde la Saint-Valentin. Il y en a pour tousles goûts, tous les jeux et pour les deuxsexes, évidemment.

Mais attention, c’est du sérieux. Te-nez, prenezMassages érotiques, parexemple : si on vous donne des conseilssur le comment, on vous explique aussile pourquoi, les zones particulièrement

sensibles, les huiles qui font du bienet… les gestes tendres. Visage,pieds, fesses, bras : aucune zone devotre corps n’est oubliée. Pas plusque ce précieux conseil : prenez vo-tre temps !

Plus directement destiné auxfilles (encore que…), 302 techni-ques avancées pour rendre fou unhomme plonge au cœur de l’action,avec des conseils qui pourraientfaire monter le rouge aux joues decertaines (on vous recommandechaudement la technique 141 ditede la papillote, sic !), quandd’autres (une graine de cardamo-me sous la langue, lors d’un baiser,

pour vous lier à jamais, la 44) sontplutôt gentillettes…

Enfin, dans la même collection,Ian Kerner décline la même idée,mais de deux points de vue : Elled’abord, lui ensuite et Elle d’abordsont de petitsGuide à l’intentiondes hommes pour faire plaisir auxfemmes etGuide à l’intention desfemmes pour faire plaisir auxhommes. Pour faire court, c’estbeaucoup de bla-bla pour parlerde sexe sans en avoir l’air, défini-tions et croquis à l’appui, pourcelles et ceux qui brossaient unpeu trop souvent le cours d’édu-cation de choses…

La foireaux bons conseils

LE PLUS

50 manières de dire l love youDepuis le succès de 50 nuances de Grey, on trouve sur le marché des 50 nuances d’à peu près tout. Pour le coup, ce sont 50 manières de dire Je t’aime qui sont rassemblées dans une petite boîte, ou plutôt un distributeur pop-up debonne humeur. L’idée ? Vous appuyez sur le couvercle et vous vous servez d’un petit rouleau qui contient les mots doux. Attention, n’appuyez pas trop vigoureusement, sous peine de voir les Je t’aime vous sauter à la figure. Allez, on fait le test, et sans tricher… (et sans rire, mais ça, c’est une autre histoire) : “Je déclare solennellement mon amour autemps qui passe, parce qu’il nous rend toujours plus forts,plus riches, plus tournés vers l’avenir.” Un autre (mais faudrait pas abuser) : “Je déclare solennellement monamour au coin de tes lèvres. Quand tu souris d’un impercep-tible sourire que moi seul reconnais.”

LE PLUS

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Gages sexy et bons coquinsVous n’allez pas le croire : cette petite boîte à malice(s) con-tient… 50 bons coquins. Cinquante, oui, vous avez bien lu. Comme dans Cinquante… Bref. Vous plongez la main (que vous avez intérêt à avoir menue, vu la taille du dispositif) pour en sortir un petit gage censé vous faire rougir et/ou vous donner des idées pour pimenter votre soirée. Bien entendu, vous pourriez parfaitement imaginer tout ça vous-même et, armé d’un feutre rose, de quelques petites fiches et de votre imagination, vous passer de cet objet siglé Hachette Livres. Mais bon, cédons à la facilité (pour une fois) et, soyons fous, piochons. “Voyez grand et rejouez la scène d’amour de votre filmpréféré” (ceci ne marche pas s’il s’agit de Freddy, les griffes dela nuit ou Apocalypse Now). Un autre ? “Organisez un dîner aurestaurant et jouez au chat et à la souris sous la table.” Là, on passe notre tour…

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

03OBJECTIFS THUNES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

Quand la roseEST ÉTERNELLE8 Rosa Più, symbole d’un amour qui ne fane pas au bout de quelques jours

A Quoi de plus classique qued’offrir des roses à l’être aimélors de la Saint-Valentin. Mais sila fleur la plus symbolique del’amour reste incontournable,vous pouvez néanmoins fairepreuve d’un peu de créativité enoffrant des roses qui ne fanentpas au bout de quelques jours.D’authentiques roses, bien sûr,pas de vulgaires produits syn-thétiques n’ayant aucune âme.

ROSA PIÙ (più pour plus que desroses) est née de l’imaginationde Concetta Spitaleri, une jeunefemme d’affaires italienne. Toutest parti d’un voyage à Dubaïqu’elle avait fait avec ses en-fants. L’eau et la chaleur décom-posaient les bouquets de fleursopulentes des palaces jusqu’àrendre leur odeur incommo-dante. Pourquoi ne pas rempla-cer les fleurs fraîches par des ro-ses stabilisées ? Elles ne nécessi-tent pas d’eau, offrent peu decontraintes et ont une durée devie de minimum 3 ans. De re-tour en Europe, Concetta peau-fine le concept et démarre sonbusiness au Moyen-Orient. Elley a développé en quelques mois

une clientèle exclusive, faite deriches émirs et d’hôtels haut degamme. Les compositions lesplus somptueuses, à base de ro-ses d’Équateur, de feuillages duKenya et de pierres précieuses,sont réalisées sur commande enBelgique, par Stijn Simaeys etDamien Overputte.

La stabilisation est un pro-cédé 100 % naturel mis au point,après 5 ans de recherche, pardes ingénieurs botanistes etagronomes d’Amérique du Sud.Les roses poussent dans des ser-res immenses, à perte de vue,près de Quito, en Équateur. Lespentes du volcan Cayambe sontexceptionnellement fertiles etoffrent une altitude et un enso-leillement idéal 12 heures parjour. C’est l’environnement et leclimat rêvés pour produire lesplus belles roses au monde… Lediamètre des corolles atteintjusqu’à 10 cm, les pétales à latexture velours sont particuliè-rement épais.

Ici tout est fait artisanale-ment, de la cueillette au pro-cédé de stabilisation. Chaquerose est cueillie à la main. Lafleur est immergée dans un sé-

rum écologique non toxiquequi préserve son éclat pour 3ans. À l’inverse des fleurs lyo-philisées, friables et cassantes,les roses stabilisées gardentl’apparence de fleurs fraîche-ment coupées en préservanttoute leur souplesse et leur ve-louté. Elles ne demandentaucun entretien. Il faut juste lestenir à l’écart de l’eau, du pleinsoleil et d’un environnementpoussiéreux.

OUTRE SES COMPOSITIONS flora-les et bouquets de mariée surmesure, Rosa Più a développéun concept unique, la Rose3 (ourose cube), décliné à son lance-ment en 5 couleurs (jaune,orange, rouge, crème et fuch-sia). Chaque cube contient unetête de rose stabilisée à collec-tionner et à assembler à saguise, à la manière d’un Légofloral. Les cubes peuvent êtredéposés verticalement ou hori-zontalement pour s’accrocherau mur comme un tableau entrois dimensions pour formerun dessin ou un mot. ls existenten deux formats, normal et XXL(entre 13 et 25 €).

Laissez donc parler votre pro-pre créativité pour surprendrevotre partenaire lors de la Saint-Valentin.

: Stabilisées, les roses ont une durée de vie de 3 ans en moyenne. © ROSA PIÙ

sensibles, les huiles qui font du bienet… les gestes tendres. Visage,pieds, fesses, bras : aucune zone devotre corps n’est oubliée. Pas plusque ce précieux conseil : prenez vo-tre temps !

Plus directement destiné auxfilles (encore que…), 302 techni-ques avancées pour rendre fou unhomme plonge au cœur de l’action,avec des conseils qui pourraientfaire monter le rouge aux joues decertaines (on vous recommandechaudement la technique 141 ditede la papillote, sic !), quandd’autres (une graine de cardamo-me sous la langue, lors d’un baiser,

pour vous lier à jamais, la 44) sontplutôt gentillettes…

Enfin, dans la même collection,Ian Kerner décline la même idée,mais de deux points de vue : Elled’abord, lui ensuite et Elle d’abordsont de petitsGuide à l’intentiondes hommes pour faire plaisir auxfemmes etGuide à l’intention desfemmes pour faire plaisir auxhommes. Pour faire court, c’estbeaucoup de bla-bla pour parlerde sexe sans en avoir l’air, défini-tions et croquis à l’appui, pourcelles et ceux qui brossaient unpeu trop souvent le cours d’édu-cation de choses…

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04 TEST-ACHATS 05TEST-ACHATS

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L’œil de l’expertPAR JEAN-PHILIPPE DUCART

Peu de fruits et légumes

ÉQUITABLES8 Enquête sur l’engagement social des

grandes chaînes de supermarchés en matière de commerce équitable

A Si notre enquête précédente(2010) avait révélé que beau-coup de chaînes de supermar-chés avaient pris des engage-ments sur le plan éthique, forceest de constater que leur miseen œuvre laisse à désirer.

Quatre ans plus tard, les ini-tiatives existantes restent timi-des. Toutes les chaînes se sontdotées d’une politique de colla-boration avec les producteursdes pays du Sud, mais pour cequi est de concrétiser, c’estautre chose.

Les supermarchés ont eu qua-

tre ans pour faire des progrès :ils devaient donc pouvoir satis-faire à nos attentes plus strictes.Malheureusement, c’était fairepreuve d’un optimisme déme-suré et Aldi reste le cancre de laclasse…

Les supermarchés continuentde mettre davantage l’accentsur les initiatives écologiquesque sur les mesures sociales.

La bonne nouvelle, c’est queles chaînes sont de plus en plusnombreuses à créer des fonc-tions spécifiques pour mieuxcontrôler la durabilité de leurs

produits, comme par exempleAlbert Heijn, Colruyt et Del-haize. Par ailleurs, la quasi-tota-lité des grandes chaînes, à l’ex-ception de Carrefour, ont ad-héré au code de conduite de laBusiness Social Compliance Ini-tiative (BSCI), mais elles n’effec-tuent que depuis récemmentdes contrôles auprès des pro-ducteurs de fruits et légumesfrais.

Carrefour souscrit à uneautre initiative, l’InitiativeClause Sociale (ICS), au but pro-che de la BSCI. Une évolutiontangible, même s’il reste diffi-cile de contrôler la portée detels engagements. En effet, lessupermarchés restent bouchecousue quant au respect de ces

codes de conduite par les four-nisseurs dans les pays en déve-loppement, au motif qu’il s’agi-rait là d’informations sensiblesdont la concurrence ne pourraitpas prendre connaissance.

La transparence a donc duplomb dans l’aile : aucunechaîne n’indique publiquementsi ses fournisseurs respectentaussi les codes de conduite envigueur, et bien que les contrô-les sur place fassent l’objet derapports, leurs résultats ne sontpas mis à la disposition des con-sommateurs.

MALGRÉ CES INITIATIVES, nousne pouvons pas distribuer beau-coup de bons points. Seul AlbertHeijn peut être cité en exemple,

preuve s’il en est que vouloir,c’est pouvoir…

La chaîne n’est présente sur lemarché belge (en Flandre) quedepuis 2011, mais elle a tout desuite montré à ses concurrentsla voie à suivre. Ahold, le hol-ding propriétaire d’AlbertHeijn, s’emploie à améliorer dediverses manières les condi-tions de travail chez ses fournis-seurs dans les pays en dévelop-pement.

Carrefour fait également desefforts manifestes. Ses fournis-seurs doivent observer unecharte sociale et éthique, baséenotamment sur les droits del’homme. Les mêmes exigencess’appliquent à tous les produits,et donc aussi aux fruits et légu-

mes frais, ce que nous ne pou-vons qu’applaudir.

Bien que Colruyt, Delhaize etLidl aient adopté les principesdes Nations unies sur les entre-prises et les droits de l’homme,ils n’ont pas enquêté sur les ris-ques dans leurs propres chaînesde production. Si Colruyt et Del-haize demandent à leurs four-nisseurs de garantir un salaireminimum à leurs travailleurs,celui-ci n’équivaut pas forcé-ment à un salaire vital.

La relation commerciale n’estéthique que lorsque l’acheteuret le vendeur retirent tous deuxun avantage de la transaction.Pour le supermarché, cela impli-que de payer un prix qui soit su-périeur aux seuls coûts de pro-duction. Et c’est précisément làque le bât blesse, parce que tousles supermarchés subissent lapression du marché : mieux etplus pour moins d’argent. Ilsimposent des exigences qualita-tives et quantitatives élevées etpratiquent des délais de livrai-son et de paiement qui mettentles fournisseurs sous pression.

LES SUPERMARCHÉS AIMENT seprévaloir de leurs certificats,qui ont chacun une portée diffé-

rente, comme Global GAP, FairTrade et Rainforest Alliance.Mais ils ne peuvent en tirer pré-texte pour ne pas aller plus loindans leurs relations avec les pro-ducteurs et les fournisseurs despays du Sud.

Le consommateur ne pourrajamais acheter comme produits

éthiques que ce qu’il trouveradans son supermarché. C’estprécisément pour cette raisonque nous devons maintenir lapression sur les supermarchéspour les amener à acheter (etvendre) des produits non seule-ment plus durables, mais aussiplus équitables.

: Connaître le chemin parcouru et les modes de culture d’un fruit acheté en grande surface n’est pas un jeu d’enfant. © REPORTERS

4%C’est, en moyenne,ce que perçoivent

les travailleurssur le prix de vente

final.

Application Bon nombre de su-permarchés se sont dotés d’unepolitique officielle. Mais est-ellesuivie d’effet ?Conditions de travail Sur pla-ce, chez le producteur, et nondans la chaîne de supermar-chés.Politique d’achats Dans quellemesure la durabilité des pro-duits alimentaires issus de paysà risques (hors Europe et OCDE,comme le Maroc, le Costa Ricaou l’Indonésie) est-elle prise encompte avant l’achat ? La prio-

rité est-elle donnée aux pro-duits équitables ?Collaboration Nous n’avonspas récompensé ou sanctionnéle fait que la chaîne était prête ànous fournir des informationssur ses initiatives. Parfois, nousn’avions pas besoin de ces ren-seignements parce que les en-treprises sont déjà suffisam-ment transparentes. Ainsi, Car-refour communiquerégulièrement sur ses efforts etces informations sont accessi-bles à tout un chacun.

COMMENT LIRE LE TABLEAU

Bien que presque tous les su-permarchés examinés se soiententre-temps dotés d’une politi-que sociale et éthique, en géné-ral sous la forme de chartes etde codes de conduite, il est sou-vent impossible de retrouvercette politique appliquée dansles conditions de travail en vi-gueur chez le producteur.

Un salaire minimum n’estpas forcément synonyme de sa-laire juste. Les travailleurs ontdroit à un salaire qui leur per-mette non seulement de survi-vre, mais aussi de vivre. Avec unsalaire juste, ils doivent nonseulement subvenir à leurs be-soins, mais aussi être en mesu-

re d’épargner un peu. Une ins-tance indépendante doit effec-tuer systématiquement descontrôles sur le respect des rè-gles éthiques dans l’ensemblede la chaîne d’approvisionne-ment.

Nous souhaitons en outreque les supermarchés publientun rapport annuel faisant étatdes résultats de leurs efforts.

Actuellement, le consomma-teur n’a pas accès à ces infor-mations qualifiées de “sensi-bles”.

Et pourtant, il a le droit à l’in-formation pour pouvoir faire unchoix éclairé quand il fait sesachats.

Salaires décents et transparence L’ananas du Costa Rica8 Pays d’origine de 84 % des ananas vendus enEurope. Les ouvriers exploités et peu de place pour les initiatives durables et équitables

A Certaines variétés de fruits etlégumes ne peuvent être récol-tées toute l’année. L’ananas con-naît ainsi des pics de produc-tion, qui privent les cultivateursde revenus annuels stables. Lesecteur est donc très vulnérable.

La culture de ce fruit exige untravail physique lourd et répéti-tif, qui expose les ouvriers à defortes doses de produits chimi-ques. Les plantations emploientsurtout des immigrés, et mêmedes enfants. On relève de nom-breuses discriminations sur lelieu de travail, par exemple àl’encontre des femmes encein-tes. Les salaires sont aussi trèsbas. Juste de quoi survivre. Lecoût de subsistance mensueld’une famille moyenne s’élève à224 €, alors que le salaire journa-lier moyen est inférieur à 13 €,quel que soit le type de travail.

Beaucoup d’ouvriers tombentgravement malades, probable-ment à cause d’une expositionprolongée aux produits chimi-ques agricoles. De plus, les possi-bilités de négociation ou d’asso-ciation, par exemple via les syn-dicats, sont limitées.

Dans l’une de ces plantations,il se dit même que les ouvriers y“travaillent 365 jours par an” : “ilscommencent à six heures du matinet ne savent jamais quand ilsauront fini”. La sécurité socialen’existe pas et les nombreusesheures supplémentaires ne sontpas payées.

Si du matériel de sécurité estdisponible, les travailleurs doi-vent souvent l’acquérir ou le

remplacer à leurs frais.De nombreuses marques s’as-

treignent à respecter certainesnormes en matière de qualité etde production, mais n’accor-dent que peu d’attention auxconditions sociales, si péniblessoient-elles.

Chez Dole, on a ainsi le choixentre des produits bio ou por-tant la certification Fairtrade ouRainforest Alliance. Del Monteparticipe à l’Ethical Trading Ini-tiative, tandis que Banacol estnotamment certifié par la Rain-forest Alliance. Chiquita, leaderdu marché, est également affiliéà la Rainforest Alliance.

QUOIQUE CES MARQUES aimentse parer de toutes sortes de certi-ficats sur leurs sites web et qu’el-les se targuent d’être régulière-ment contrôlées, on ne sait pastrès bien quels pays, plantationset produits sont concernés.

Les efforts des marques et dessupermarchés pour proposerdes produits durables ne doi-vent donc pas se cantonner àdes initiatives écologiques et àdes certificats lacunaires. La cul-ture de l’ananas pèse au moinsautant sur les travailleurs quesur les sols, qui s’appauvrissentà cause des cultures intensives.

Et ce n’est pas un problèmeisolé : une mauvaise image colleégalement à d’autres fruits exo-tiques, comme la mangue ou labanane. Il est donc nécessaire derenforcer la transparence etd’adopter des mesures pousséesaussi sur le plan social.

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

05TEST-ACHATS

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

mes frais, ce que nous ne pou-vons qu’applaudir.

Bien que Colruyt, Delhaize etLidl aient adopté les principesdes Nations unies sur les entre-prises et les droits de l’homme,ils n’ont pas enquêté sur les ris-ques dans leurs propres chaînesde production. Si Colruyt et Del-haize demandent à leurs four-nisseurs de garantir un salaireminimum à leurs travailleurs,celui-ci n’équivaut pas forcé-ment à un salaire vital.

La relation commerciale n’estéthique que lorsque l’acheteuret le vendeur retirent tous deuxun avantage de la transaction.Pour le supermarché, cela impli-que de payer un prix qui soit su-périeur aux seuls coûts de pro-duction. Et c’est précisément làque le bât blesse, parce que tousles supermarchés subissent lapression du marché : mieux etplus pour moins d’argent. Ilsimposent des exigences qualita-tives et quantitatives élevées etpratiquent des délais de livrai-son et de paiement qui mettentles fournisseurs sous pression.

LES SUPERMARCHÉS AIMENT seprévaloir de leurs certificats,qui ont chacun une portée diffé-

rente, comme Global GAP, FairTrade et Rainforest Alliance.Mais ils ne peuvent en tirer pré-texte pour ne pas aller plus loindans leurs relations avec les pro-ducteurs et les fournisseurs despays du Sud.

Le consommateur ne pourrajamais acheter comme produits

éthiques que ce qu’il trouveradans son supermarché. C’estprécisément pour cette raisonque nous devons maintenir lapression sur les supermarchéspour les amener à acheter (etvendre) des produits non seule-ment plus durables, mais aussiplus équitables.

4 %C’est, en moyenne,ce que perçoivent

les travailleurssur le prix de vente

final.

Application Bon nombre de su-permarchés se sont dotés d’unepolitique officielle. Mais est-ellesuivie d’effet ?Conditions de travail Sur pla-ce, chez le producteur, et nondans la chaîne de supermar-chés.Politique d’achats Dans quellemesure la durabilité des pro-duits alimentaires issus de paysà risques (hors Europe et OCDE,comme le Maroc, le Costa Ricaou l’Indonésie) est-elle prise encompte avant l’achat ? La prio-

rité est-elle donnée aux pro-duits équitables ?Collaboration Nous n’avonspas récompensé ou sanctionnéle fait que la chaîne était prête ànous fournir des informationssur ses initiatives. Parfois, nousn’avions pas besoin de ces ren-seignements parce que les en-treprises sont déjà suffisam-ment transparentes. Ainsi, Car-refour communiquerégulièrement sur ses efforts etces informations sont accessi-bles à tout un chacun.

COMMENT LIRE LE TABLEAU

Bien que presque tous les su-permarchés examinés se soiententre-temps dotés d’une politi-que sociale et éthique, en géné-ral sous la forme de chartes etde codes de conduite, il est sou-vent impossible de retrouvercette politique appliquée dansles conditions de travail en vi-gueur chez le producteur.

Un salaire minimum n’estpas forcément synonyme de sa-laire juste. Les travailleurs ontdroit à un salaire qui leur per-mette non seulement de survi-vre, mais aussi de vivre. Avec unsalaire juste, ils doivent nonseulement subvenir à leurs be-soins, mais aussi être en mesu-

re d’épargner un peu. Une ins-tance indépendante doit effec-tuer systématiquement descontrôles sur le respect des rè-gles éthiques dans l’ensemblede la chaîne d’approvisionne-ment.

Nous souhaitons en outreque les supermarchés publientun rapport annuel faisant étatdes résultats de leurs efforts.

Actuellement, le consomma-teur n’a pas accès à ces infor-mations qualifiées de “sensi-bles”.

Et pourtant, il a le droit à l’in-formation pour pouvoir faire unchoix éclairé quand il fait sesachats.

Salaires décents et transparence L’ananas du Costa Rica8 Pays d’origine de 84 % des ananas vendus enEurope. Les ouvriers exploités et peu de place pour les initiatives durables et équitables

A Certaines variétés de fruits etlégumes ne peuvent être récol-tées toute l’année. L’ananas con-naît ainsi des pics de produc-tion, qui privent les cultivateursde revenus annuels stables. Lesecteur est donc très vulnérable.

La culture de ce fruit exige untravail physique lourd et répéti-tif, qui expose les ouvriers à defortes doses de produits chimi-ques. Les plantations emploientsurtout des immigrés, et mêmedes enfants. On relève de nom-breuses discriminations sur lelieu de travail, par exemple àl’encontre des femmes encein-tes. Les salaires sont aussi trèsbas. Juste de quoi survivre. Lecoût de subsistance mensueld’une famille moyenne s’élève à224 €, alors que le salaire journa-lier moyen est inférieur à 13 €,quel que soit le type de travail.

Beaucoup d’ouvriers tombentgravement malades, probable-ment à cause d’une expositionprolongée aux produits chimi-ques agricoles. De plus, les possi-bilités de négociation ou d’asso-ciation, par exemple via les syn-dicats, sont limitées.

Dans l’une de ces plantations,il se dit même que les ouvriers y“travaillent 365 jours par an” : “ilscommencent à six heures du matinet ne savent jamais quand ilsauront fini”. La sécurité socialen’existe pas et les nombreusesheures supplémentaires ne sontpas payées.

Si du matériel de sécurité estdisponible, les travailleurs doi-vent souvent l’acquérir ou le

remplacer à leurs frais.De nombreuses marques s’as-

treignent à respecter certainesnormes en matière de qualité etde production, mais n’accor-dent que peu d’attention auxconditions sociales, si péniblessoient-elles.

Chez Dole, on a ainsi le choixentre des produits bio ou por-tant la certification Fairtrade ouRainforest Alliance. Del Monteparticipe à l’Ethical Trading Ini-tiative, tandis que Banacol estnotamment certifié par la Rain-forest Alliance. Chiquita, leaderdu marché, est également affiliéà la Rainforest Alliance.

QUOIQUE CES MARQUES aimentse parer de toutes sortes de certi-ficats sur leurs sites web et qu’el-les se targuent d’être régulière-ment contrôlées, on ne sait pastrès bien quels pays, plantationset produits sont concernés.

Les efforts des marques et dessupermarchés pour proposerdes produits durables ne doi-vent donc pas se cantonner àdes initiatives écologiques et àdes certificats lacunaires. La cul-ture de l’ananas pèse au moinsautant sur les travailleurs quesur les sols, qui s’appauvrissentà cause des cultures intensives.

Et ce n’est pas un problèmeisolé : une mauvaise image colleégalement à d’autres fruits exo-tiques, comme la mangue ou labanane. Il est donc nécessaire derenforcer la transparence etd’adopter des mesures pousséesaussi sur le plan social.

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

06 ESCAPADE 07ESCAPADE

www.dhPbe I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

Prix variable pour la réserva-tion d’une sphère/bulle selonle diamètre de la sphère, lesaccommodations particuliè-res,… Packs disponibles à en-viron 179 euros (pour deuxpersonnes). Le prix changeaussi en fonction d’une réser-vation pour une nuitée du-rant la semaine ou le week-end.

Le prix du petit déjeuner(très copieux) est fixé à20 euros (pour 2 personnes).

Ch. V.

EN SAVOIR PLUS

http://eyeshotels.com/fr/ac-cueil

Comment onorganise cettelune de miel

Gagnez votre week-end de l’Ascensionen Provence à Orange. Au menu : troisnuits avec petits déjeuners compris,pour 2 personnes du jeudi 29 mai audimanche 1er juin 2014, à l’hôtel ArèneBest Western (*).

Des entrées gratuites vous atten-dent aussi pour le spectacle des Éques-triades.

Pour remporter ce prix, rien de plussimple, envoyez-nous un mail à l’adres-se suivante : [email protected]

Une simple question. Combien demails allons-nous recevoir ? Le lecteurqui trouve le bon chiffre ou qui se rap-proche le plus de la bonne réponseremportera ce prix.

(*) www.hotel-arene.fr,hôtel 3 étoiles en plein cœur de la villed’Orange + 2 entrées pour Les Éques-triades le samedi 31 mai 2014.

Concours :découvrez Orange

EscapadePAR CHARLOTTE VANBEVER

À DEUX, seuls au monde8 Être dans une bulle : pas qu’une formule.

Aussi un concept de nuitée qui réjouira lescouples, amoureux de grands espaces

A Quelle meilleure date quecelle de la Saint-Valentin pourtester le concept de ce Belge,Laurent Kefer, qui réunit roman-tisme, solitude (mais à deux) etgrands espaces dans unesphère ?

L’idée (queLaurent a ra-menée de sesnombreuxvoyages) : vivreune nuitauthentique aumilieu d’unpaysage rêvé,improbable etinaccessibled’ordinaire. Unenuit la tête dansles étoiles et lespieds bien auchaud dans unecouette, sous une bulle chaufféeaux parois évidemment trans-parentes. De quoi laisser entrerune petite luminosité lunaire lesoir venu (parfait pour siroter lacoupe de champagne proposée)et apprécier le paysage brut, na-turel, au lever du jour.

Une escapade en amoureuxqui se prépare afin de surpren-dre l’être aimé. C’est aussi unepartie du concept. Au moment

de la réservation, vous pouvezpersonnaliser cette nuit dansune bulle. D’abord en choisis-sant l’ambiance souhaitée : ro-mantique, intime, décalée, fête,cérémonie, zen. Ensuite, en

optant pour l’environnementdans lequel vous vous sentirezau milieu de nulle part, loin devotre quotidien. Le choix, intri-gant, vous est laissé entre : ciel,eau, panoramique, nature et ur-bain.

UNE FOIS le menu visuel de lasoirée et de la nuit confec-tionné, reste à prévoir à remplirles estomacs. Jusqu’au bout duromantisme, Laurent vous pro-pose quelques restaurants aux

alentours de votrelogement atypi-que d’un soir etvous y rejoin-dra, avant de

vous emmener découvrir votrelit et son environnement. À tâ-tons dans le noir, vous verrezs’illuminer une bulle…

On vous rassure, l’intérieurest chauffé. Spacieux (très spa-cieux selon la formule choisie).Et aménagé (télé, radio,…). Si lesnuits hivernales peuvent êtretrès fraîches, ce n’est qu’au petitmatin, le nez très refroidi, quevous découvrirez de la buée for-mée sur les parois de la bulle.

UN SPECTACLE grandiose s’of-frira à vous : enfin vous décou-vrirez l’environnement calme etserein dans lequel vous avezpassé une nuit. Paisible (seuls le

chant des oiseaux et le souffledu vent devraient se faire enten-dre) normalement. À moins queles bruits de la ville n’aient déjàmanqué à certains…

Enfin, pour repartir du bonpied, un (copieux) petit déjeu-ner vous aura été déposé, àl’aube, devant votre habitationéphémère…

Ch. V.

: Le paysage tel qu’il vous attend au moment d’intégrer votre bulle, le soir venu, au milieu de nulle part. © DR

: Différentes décorations, au gré de l’atmosphère demandée par le client voulant faire plaisir à sa moitié.© DR

La bulleest

évidemmentchauffée. Et bienaménagée

Un balletÉQUESTRE8 Une grande première à Orange,

la rencontre entre Pégase et Icare

A Orange, superbe cité du Vaucluse, dansla régionProvince-Alpes-Côte d’Azur, estune destination naturelle pour de mil-liers de Belges à la recherche du soleil dusud, de la gastronomie française et de cefabuleux patrimoine culturel et histori-que que peuvent offrir les villes antiques.

Un passé somptueux, qui lui a permisd’être un centre nerveux dès l’époque ro-maine et qui permet aujourd’hui auxtouristes de passage d’aller à la rencon-tre de grands moments d’histoire touten étant abreuvé de multiples rendez-vous culturels.

Ce mois de mai, Orange a décidéd‘ouvrir les gradins de son grand théâtreaux Équestriades, un spectacle annoncécomme féerique, qui réunira le mondeéquestre et ce qui se fait de mieux dansles spectacles “aériens”.

Ces premières Équestriades (les 30 et31 mai), proposées par le Cirque nationalAlexis Gruss, seront l’événement cultureldu printemps en Provence.

Ces Équestriades, qui se déroulerontdans le magnifique écrin du Théâtre an-tique d’Orange, sont le fruit de la rencon-tre de deux metteurs en scène : StéphanGruss et Stéphane Ricordel.

Les écuyers virtuoses du Cirque natio-nal Alexis Gruss se produiront en compa-gnie d’artistes aériens de renommée in-ternationale qui s’illustreront dans lesdisciplines de la bascule, du fil à grandehauteur, du trapèze et autres agrès sus-pendus.

ACCOMPAGNÉE des musiques vivantes del’orchestre du Cirque national AlexisGruss composé de 12 musiciens, cettecréation sera spécialement conçue etchorégraphiée pour se développer sur

les trois niveaux : la piste de l’orchestre,la scène du théâtre antique et les agrèsplacés sous le toit de la scène.

Un premier rendez-vous qui doit enappeler d’autres. En effet, les Équestria-des d’Orange ont vocation à se pérenni-ser.

Au fil des ans, Orange compte présen-ter ce qui se fait de mieux en termesd’équitation. Des contacts sont d’ores etdéjà pris avec les cavaleries les plus pres-tigieuses d’Europe, notamment celles del’École nationale d’équitation françaiseavec le Cadre Noir de Saumur; de l’Écoleespagnole de Vienne (Autriche); de l’Aca-démie royale d’Andalousie de Jerez de laFrontera (Espagne); de l’École portugaised’art équestre de Lisbonne; des écolesitalienne, hollandaise, flamande… tour àtour associées aux nouveaux artistes aé-riens les plus créatifs du cirque contem-porain.

Un programme alléchant qui viendraencore gonfler un programme cultureldéjà plus que consistant.

: Un spectacle féerique vous attend, à la fin de ce mois de mai, dans le Théâtre d’Orange. © DR

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07ESCAPADE

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

Gagnez votre week-end de l’Ascensionen Provence à Orange. Au menu : troisnuits avec petits déjeuners compris,pour 2 personnes du jeudi 29 mai audimanche 1er juin 2014, à l’hôtel ArèneBest Western (*).

Des entrées gratuites vous atten-dent aussi pour le spectacle des Éques-triades.

Pour remporter ce prix, rien de plussimple, envoyez-nous un mail à l’adres-se suivante : [email protected]

Une simple question. Combien demails allons-nous recevoir ? Le lecteurqui trouve le bon chiffre ou qui se rap-proche le plus de la bonne réponseremportera ce prix.

(*) www.hotel-arene.fr,hôtel 3 étoiles en plein cœur de la villed’Orange + 2 entrées pour Les Éques-triades le samedi 31 mai 2014.

Concours :découvrez Orange

Un balletÉQUESTRE8 Une grande première à Orange,

la rencontre entre Pégase et Icare

A Orange, superbe cité du Vaucluse, dansla régionProvince-Alpes-Côte d’Azur, estune destination naturelle pour de mil-liers de Belges à la recherche du soleil dusud, de la gastronomie française et de cefabuleux patrimoine culturel et histori-que que peuvent offrir les villes antiques.

Un passé somptueux, qui lui a permisd’être un centre nerveux dès l’époque ro-maine et qui permet aujourd’hui auxtouristes de passage d’aller à la rencon-tre de grands moments d’histoire touten étant abreuvé de multiples rendez-vous culturels.

Ce mois de mai, Orange a décidéd‘ouvrir les gradins de son grand théâtreaux Équestriades, un spectacle annoncécomme féerique, qui réunira le mondeéquestre et ce qui se fait de mieux dansles spectacles “aériens”.

Ces premières Équestriades (les 30 et31 mai), proposées par le Cirque nationalAlexis Gruss, seront l’événement cultureldu printemps en Provence.

Ces Équestriades, qui se déroulerontdans le magnifique écrin du Théâtre an-tique d’Orange, sont le fruit de la rencon-tre de deux metteurs en scène : StéphanGruss et Stéphane Ricordel.

Les écuyers virtuoses du Cirque natio-nal Alexis Gruss se produiront en compa-gnie d’artistes aériens de renommée in-ternationale qui s’illustreront dans lesdisciplines de la bascule, du fil à grandehauteur, du trapèze et autres agrès sus-pendus.

ACCOMPAGNÉE des musiques vivantes del’orchestre du Cirque national AlexisGruss composé de 12 musiciens, cettecréation sera spécialement conçue etchorégraphiée pour se développer sur

les trois niveaux : la piste de l’orchestre,la scène du théâtre antique et les agrèsplacés sous le toit de la scène.

Un premier rendez-vous qui doit enappeler d’autres. En effet, les Équestria-des d’Orange ont vocation à se pérenni-ser.

Au fil des ans, Orange compte présen-ter ce qui se fait de mieux en termesd’équitation. Des contacts sont d’ores etdéjà pris avec les cavaleries les plus pres-tigieuses d’Europe, notamment celles del’École nationale d’équitation françaiseavec le Cadre Noir de Saumur; de l’Écoleespagnole de Vienne (Autriche); de l’Aca-démie royale d’Andalousie de Jerez de laFrontera (Espagne); de l’École portugaised’art équestre de Lisbonne; des écolesitalienne, hollandaise, flamande… tour àtour associées aux nouveaux artistes aé-riens les plus créatifs du cirque contem-porain.

Un programme alléchant qui viendraencore gonfler un programme cultureldéjà plus que consistant.

: Un spectacle féerique vous attend, à la fin de ce mois de mai, dans le Théâtre d’Orange. © DR

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

08 HIGH-TECH 09HIGH-TECH

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: La nouvelleSoundLink III, icienrobée dans soncache optionnel(35 €) bleu.Autonomie,enveloppe sonore et

robustesserenforcées. © BOSE

SNAPCHAT,la mèche rebelle des apps8 Qu’a donc de si particulier cette appli pour laquelle

Facebook vendrait père, mère et bien des amis ? Séance de rattrapage

A C’est le lieu prisé des migrants sociaux.Ceux qui trouvent Facebook trop figé oudéjà vieux, Twitter déjà trop peuplé et pasassez image-minded. Snapchat, c’est le ré-seau social de la supra-immédiateté.Pourquoi donc ? Simple. La base du sys-tème, c’est l’envoi de documents (photoou vidéo, serties ou non de texte ou des-sins) éphémères. C’est-à-dire que le desti-nataire, lorsqu’il ouvre le fichier reçu surl’appli Snapchat de son smartphone, n’aque 10 secondes maximum (c’est l’émet-

teur qui détermine la durée du snap)pour en profiter.

COMME UN PIED de nez aux serveurs de Fa-cebook qui retiennent tout de nous,même après désinscription, Snapchatn’est pas dans la persistance. Il balance,puis autodétruit, façon Inspecteur Gad-get. Le risque du vieux dossier compro-mettant y est bienmoins grand, la libertés’en trouve donc accrue, et les Snappeursse lâchent. Il y aurait, déjà, dans lemonde, par jour, plus de snaps (400 mil-lions) échangés que de photos Facebook(350 millions) uploadées ! Ses usages deprédilection ? Prolongateur de délires, té-moin de simples moments de vie ou pi-geon coquin du XIe siècle. Fun, fugace,plus bref que Kyan Khojandi. Forcément,les jeunes surkiffent.

DÉRAPAGES COQUINSAvec, parfois, quelques dérapages à la clé.De par sa nature qui se veut privée et nonpersistante, bien des jeunes utilisent leservice à des fins coqui-nes. Une part non né-gligeable des400millions de snapséchangés au quoti-dien par les plus de350 millions d’utili-sateurs du service se-raient en réalité des

sextos.Sauf qu’une simple capture d’écran,

voire quelques apps underground spécia-lisées dans la recherche de messagesSnapchats périmés, permettent toujours,de manière détournée, de conserver oudéterrer un Snap. C’est ce qui s’appelle lescreening, et si certains groupes Snap-chat le vouent au rang de compétition,cela a causé bien des soucis à plusieursjeunes dont le petit ami n’était pas le pluscharmant des princes… Les nombreusespages Facebook centrées sur les Snap Failssont là pour le rappeler aux plus hési-tants…LA START-UP QUI DIT NON À FACEBOOKSymbole de l’ère de l’éphémère, du pasimportant, du couillu et de l’immédiatetéabsolue, Snapchat, fondée par deux étu-diants de Princeton alors qu’ils n’avaientque 23 et 25 ans, pèse de plus en pluslourd sur l’échiquier techno. La firmes’est d’ailleurs permis le luxe (ou l’intelli-gence, l’avenir nous le dira) de refuserune offre de Facebook, qui, après avoirproposé 1 milliard (la somme débourséepar le réseau social pour acquérir Insta-gram) serait monté jusqu’à 3 milliards…Ce qui démontre par ailleurs, une nou-velle fois, le fait que Mark Zuckerberg est

plus que jamais conscient del’exode juvénile qui frappe sonservice…Quant à Evan Speigel et son as-

socié Bobby Murphy, jeunes papasde Snapchat, ils considèrent que lavalorisation de leur bébé peut en-core grimper.

PAS DE BUSINESS-MODELPourtant, celui-ci, à l’heure d’écrire ces li-gnes, dégage… zéro revenu. Entièrementgratuit, le service ne propose aucune op-tion payante (modèle freemium), estpour l’heure épargné par la pub et l’appliSnapchat est toujours gratuite. Est-ce cequi lui garantit cette coolitude que Face-book (mais aussi Google et Tencent, pa-raît-il) sont prêts à payer très chèrement ?Peut-être. Mais ça ne durera pas. Le petitjeu du petit du Web qui monte et veutgarder samèche rebelle n’est simplementpas tenable.

Mais d’ici à sa revente, Snapchat serapeut-être devenu encore plus hypequ’aujourd’hui. Même si, et il est bienplacé pour le savoir, le risque d’un suc-cès… éphémère est bien réel.

A. Ca.

: Evan Spiegel, cofondateur de Snapchat, pose devant son petit fantôme devenu béni. Le Zuckerberg d’aujourd’hui, c’est lui. © DR

Tech-NowPAR ALEXIS CARANTONIS

L’ANECDOTE

Plusieurs centaines de millions de dollars. Voilà ce que débourse le tout-puissant Samsung pour accoler son logo, en tant que sponsor officiel, aux Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, en Russie. Du coup, forcément, ça ne le ferait pas des masses de voir une pomme par-ci, un iPhone par-là traînailler sur des images diffusées en mondiovision… Il paraîtrait donc que le coréen, non content d’offrir une phablette Galaxy Note 3 (le terminal mobile le plus puissant et onéreux que l’entreprise ait à son catalogue) à chaque athlète, aurait poussé la délégation

helvétique à masquer toutepomme susceptible d’appa-raître dans les images

télévisées… Une rumeurlancée par un journalsuisse germanophone,que Samsung s’estempressé de démentir.

Ceci dit, y a comme undoute qui persiste… Et un

soupçon de déception,aussi : qu’Apple et Sam-sung gardent leurs autis-

tes discordes pour lestribunaux…

Sochi ? Pommesinterdites !

BOSE SOUNDLINK,jamais deux sans trois8 Et une nouvelleenceinte nomade, une !

A L’une des stars du très courusecteur des enceintes nomadespasse en cabine d’essayage, et serelooke façon printemps-été.

La SoundLink III vient effecti-vement de sortir du chapeau del’américain Bose. Au menu, quedu logique, mais de l’efficace :un design légèrement revu, uneenveloppe sonore promisecomme encore plus efficace,une autonomie accrue et denouveaux accessoires.

LA PROMESSE INITIALE reste évi-demment la même : la Soun-dLink permet de jouer la musi-que stockée (ou streamée, c’estselon) sur votre ordi, iPod,smartphone ou tablette, en enextrayant un rendu acoustiqueincomparable avec celui des baf-fles montés de série dans votrePC ou vos devices mobiles. Letout avec la simplicité d’un pai-rage Bluetooth (A2DP), l’appa-reil gardant en mémoire les sixderniers couplages en

date.Côté technique, l’appareil, de

nature plutôt basseuse (Bose aune signature sonore plutôt…démonstrative) embarque, der-rière la grille frontale, quatretransducteurs en néodyme etdes radiateurs passifs. Le toutobéissant à la baguette d’un al-gorithme de traitement numé-rique, spécialement développépour la SoundLink III dixit Bose.Comme d’hab, Bose se garde decommuniquer quelque puis-sance nominale.

Retenons encore que le de-sign évolue vers quelque chosede toujours aussi bien fini, maisde plus arrondi. Le côté sobre del’ensemble peut être brisé parquatre nouveaux caches de cou-leurs, qui protégeront l’engin,qui peut tant être branché sursecteur que fonctionner sur bat-terie (14 heures d’autonomie an-noncé), donc être emmené àl’extérieur. Pour rappel, une so-lution plus nomade encoreexiste : la Soundlink Mini, dévoi-lée l’an dernier.k Bose Soundlink Mini III : 299,95 €.

Caches optionnels :34,95 €.

A. Ca.

: Une situation de la vie banale, rendue amusante par un petit texte (ici, “Que s’est-il passé la nuit dernière”), c’est aussi cela la philosophie Snapchat. © DR

: L’humour et le jeu photo/dessin sont érigés au rang de sport national auprès de la communauté des Snappeurs. © DR

: Les détournements de snaps coquins rendus publics sont très fréquents… © DR

: L’app Snapchat, dispo sur iOS et Android. © DR

Voici pourquoiLA SURFACE 2vaut presque l’iPad8 Test d’une tablette trop snobée, à injuste

titre

A En matière de tablettes, si laSurface 2 pouvait, demain, deve-nir un réflexe d’achat à moitiéaussi automatique que l’estl’iPad d’Apple, Microsoft signe-rait des deux mains, voiremême des pieds, les yeux fer-més et en faisant la danse duventre sur Times Square. Lesventes tristounettes dela première incur-sion du géant deRedmond avec laSurface 1 et uneréputation bienmoins glamourrelèguent la ta-blette de Microsoftau rang d’outsider, li-mite, de faire-valoir. Lors-qu’on est un géant du software,il ne suffit pas de paraître avecdu hardware pour convaincre…

Pourtant, si elle s’entête à cu-muler quelques défauts, la Sur-face 2 est, selon nous, l’une desmeilleures tablettes du marché.Voici pourquoi.

1Une finition irréprochableVous trouviez l’iPad exem-

plaire en termes de finition, dequalité perçue, de look ? Onvous l’assure : la Surface 2 fait,au moins, aussi bien. Chirurgi-calement biseautée, drapée dematières nobles et résistantes,la Surface 2 est magnifique. Sabéquille arrière double-posi-tion, qui permet de la poseridéalement en mode vision-nage de vidéos ou de diapo-rama, est aussi pratique qu’elleinspire solidité. Même le blocde rechargement secteur estclasse. La Surface RT premièredu nom était loin de jouer dansle jardin cheap, sa petite sœurfait encore mieux.

2Des upgrades bienvenusSi la Surface 1 accumulait

quelques tares, la petitedeuxième se fait fort de mettreun terme à la majoritéd’entre elles. Rele-

vons ainsi, entre autres, l’auto-nomie grandement corrigée(12 heures sans problème, pournous); le passage de l’écran720p à une véritable résolutionFull HD 1920x1080; le proces-seur, désormais un Tegra 4 qua-tre cœurs (avec 72 cœurs gra-phiques), contre un Tegra 3

(avec 12 cœurs graphi-ques) l’an dernier, cequi garantit une flui-dité à touteépreuve. Mais aussile port USB, désor-mais estampillé3.0, les caméras

améliorées (même sion se fiche pas mal de

prendre une photo avecune tablette), la minceur del’ensemble (- 2 mm d’épaisseur)et le gain de 40 petits grammes.

Mais c’est sur le plan logicielque la métamorphose est laplus franche, et ce, grâce à Win-dows 8.1. Une mise à jour salva-trice qui rend les apps nativesMail, Vidéos et Musique,brouillonnes en 2012, enfin ma-tures.

3Une ouverture appréciableLa Surface 2 est livrée avec

Windows Office RT 2013, qui in-tègre désormais Outlook. Il vasans dire que c’est l’un de sesgrands atouts. Ajoutons-y leport USB, le slot SD, le port jacket la sortie HDMI,et le compte estbon : on est surun système

littéralement ouvert aux be-soins d’aujourd’hui.

4Des accessoires au topDeux claviers accompa-

gnent toujours (en option) laSurface : le Touch Cover et leType Cover, à clipser chacunma-gnétiquement. Le Touch com-porte des touches tactiles, noncliquables, tandis que le Type ala frappe classique d’un clavier.Les deux font également officede housse de protection de la ta-blette. Et, nouveauté sur la Sur-face 2, ils sont désormais rétroé-clairés. Pour nous ? C’est toutsimplement l’accessoire-ta-blette le mieux fichu qu’on aitpu tester. Le hic est tarifaire :119 € (Type) et 129 € (Touch)…

MAIS ALORS, QU’EST-CE QUICLOCHE ?

Pour nous, la Surface n’a quetrois défauts. Le premier, le plusgênant, est en lent processus deguérison : le Windows Store ac-cuse un déficit d’apps assezmarquant pour qui est familieravec la richesse de l’App Storede l’IPad. Le second, c’est sonpoids. La Surface 2 fait robuste,mais pèse également son quin-tal… L’iPad Air l’éclate sur ceplan. Le troisième, c’est son po-sitionnement. Est-ce une ta-blette pour ceux qui ont besoind’Office, un PC de transport ouune vraie tablette multi-usa-ges ? Le doute persiste. Maiscela reste, assurément, un pro-duit qui doit être considéré sivous voulez une tablette de qua-lité.k 429 € (32 Go), 529 € (64 Go)

Alexis Carantonis

: La Surface 2 annihile bien des défauts de sa devancière. Au point de rivaliser avec l’iPad Air. © MICROSOFT

Unefinition, uneautonomie etune puissanceirréprochables

Facebook a déposé 3 milliards sur la table pour acquérir Snapchat. Pas assez, pour ses jeunes

concepteurs…3

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09HIGH-TECH

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

: La nouvelleSoundLink III, icienrobée dans soncache optionnel(35 €) bleu.Autonomie,enveloppe sonore et

robustesserenforcées. © BOSE

L’ANECDOTE

Plusieurs centaines de millions de dollars. Voilà ce que débourse le tout-puissant Samsung pour accoler son logo, en tant que sponsor officiel, aux Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, en Russie. Du coup, forcément, ça ne le ferait pas des masses de voir une pomme par-ci, un iPhone par-là traînailler sur des images diffusées en mondiovision… Il paraîtrait donc que le coréen, non content d’offrir une phablette Galaxy Note 3 (le terminal mobile le plus puissant et onéreux que l’entreprise ait à son catalogue) à chaque athlète, aurait poussé la délégation

helvétique à masquer toutepomme susceptible d’appa-raître dans les images

télévisées… Une rumeurlancée par un journalsuisse germanophone,que Samsung s’estempressé de démentir.

Ceci dit, y a comme undoute qui persiste… Et un

soupçon de déception,aussi : qu’Apple et Sam-sung gardent leurs autis-

tes discordes pour lestribunaux…

Sochi ? Pommesinterdites !

BOSE SOUNDLINK,jamais deux sans trois8 Et une nouvelleenceinte nomade, une !

A L’une des stars du très courusecteur des enceintes nomadespasse en cabine d’essayage, et serelooke façon printemps-été.

La SoundLink III vient effecti-vement de sortir du chapeau del’américain Bose. Au menu, quedu logique, mais de l’efficace :un design légèrement revu, uneenveloppe sonore promisecomme encore plus efficace,une autonomie accrue et denouveaux accessoires.

LA PROMESSE INITIALE reste évi-demment la même : la Soun-dLink permet de jouer la musi-que stockée (ou streamée, c’estselon) sur votre ordi, iPod,smartphone ou tablette, en enextrayant un rendu acoustiqueincomparable avec celui des baf-fles montés de série dans votrePC ou vos devices mobiles. Letout avec la simplicité d’un pai-rage Bluetooth (A2DP), l’appa-reil gardant en mémoire les sixderniers couplages en

date.Côté technique, l’appareil, de

nature plutôt basseuse (Bose aune signature sonore plutôt…démonstrative) embarque, der-rière la grille frontale, quatretransducteurs en néodyme etdes radiateurs passifs. Le toutobéissant à la baguette d’un al-gorithme de traitement numé-rique, spécialement développépour la SoundLink III dixit Bose.Comme d’hab, Bose se garde decommuniquer quelque puis-sance nominale.

Retenons encore que le de-sign évolue vers quelque chosede toujours aussi bien fini, maisde plus arrondi. Le côté sobre del’ensemble peut être brisé parquatre nouveaux caches de cou-leurs, qui protégeront l’engin,qui peut tant être branché sursecteur que fonctionner sur bat-terie (14 heures d’autonomie an-noncé), donc être emmené àl’extérieur. Pour rappel, une so-lution plus nomade encoreexiste : la Soundlink Mini, dévoi-lée l’an dernier.k Bose Soundlink Mini III : 299,95 €.

Caches optionnels :34,95 €.

A. Ca.

Voici pourquoiLA SURFACE 2vaut presque l’iPad8 Test d’une tablette trop snobée, à injuste

titre

A En matière de tablettes, si laSurface 2 pouvait, demain, deve-nir un réflexe d’achat à moitiéaussi automatique que l’estl’iPad d’Apple, Microsoft signe-rait des deux mains, voiremême des pieds, les yeux fer-més et en faisant la danse duventre sur Times Square. Lesventes tristounettes dela première incur-sion du géant deRedmond avec laSurface 1 et uneréputation bienmoins glamourrelèguent la ta-blette de Microsoftau rang d’outsider, li-mite, de faire-valoir. Lors-qu’on est un géant du software,il ne suffit pas de paraître avecdu hardware pour convaincre…

Pourtant, si elle s’entête à cu-muler quelques défauts, la Sur-face 2 est, selon nous, l’une desmeilleures tablettes du marché.Voici pourquoi.

1Une finition irréprochableVous trouviez l’iPad exem-

plaire en termes de finition, dequalité perçue, de look ? Onvous l’assure : la Surface 2 fait,au moins, aussi bien. Chirurgi-calement biseautée, drapée dematières nobles et résistantes,la Surface 2 est magnifique. Sabéquille arrière double-posi-tion, qui permet de la poseridéalement en mode vision-nage de vidéos ou de diapo-rama, est aussi pratique qu’elleinspire solidité. Même le blocde rechargement secteur estclasse. La Surface RT premièredu nom était loin de jouer dansle jardin cheap, sa petite sœurfait encore mieux.

2Des upgrades bienvenusSi la Surface 1 accumulait

quelques tares, la petitedeuxième se fait fort de mettreun terme à la majoritéd’entre elles. Rele-

vons ainsi, entre autres, l’auto-nomie grandement corrigée(12 heures sans problème, pournous); le passage de l’écran720p à une véritable résolutionFull HD 1920x1080; le proces-seur, désormais un Tegra 4 qua-tre cœurs (avec 72 cœurs gra-phiques), contre un Tegra 3

(avec 12 cœurs graphi-ques) l’an dernier, cequi garantit une flui-dité à touteépreuve. Mais aussile port USB, désor-mais estampillé3.0, les caméras

améliorées (même sion se fiche pas mal de

prendre une photo avecune tablette), la minceur del’ensemble (- 2 mm d’épaisseur)et le gain de 40 petits grammes.

Mais c’est sur le plan logicielque la métamorphose est laplus franche, et ce, grâce à Win-dows 8.1. Une mise à jour salva-trice qui rend les apps nativesMail, Vidéos et Musique,brouillonnes en 2012, enfin ma-tures.

3Une ouverture appréciableLa Surface 2 est livrée avec

Windows Office RT 2013, qui in-tègre désormais Outlook. Il vasans dire que c’est l’un de sesgrands atouts. Ajoutons-y leport USB, le slot SD, le port jacket la sortie HDMI,et le compte estbon : on est surun système

littéralement ouvert aux be-soins d’aujourd’hui.

4Des accessoires au topDeux claviers accompa-

gnent toujours (en option) laSurface : le Touch Cover et leType Cover, à clipser chacunma-gnétiquement. Le Touch com-porte des touches tactiles, noncliquables, tandis que le Type ala frappe classique d’un clavier.Les deux font également officede housse de protection de la ta-blette. Et, nouveauté sur la Sur-face 2, ils sont désormais rétroé-clairés. Pour nous ? C’est toutsimplement l’accessoire-ta-blette le mieux fichu qu’on aitpu tester. Le hic est tarifaire :119 € (Type) et 129 € (Touch)…

MAIS ALORS, QU’EST-CE QUICLOCHE ?

Pour nous, la Surface n’a quetrois défauts. Le premier, le plusgênant, est en lent processus deguérison : le Windows Store ac-cuse un déficit d’apps assezmarquant pour qui est familieravec la richesse de l’App Storede l’IPad. Le second, c’est sonpoids. La Surface 2 fait robuste,mais pèse également son quin-tal… L’iPad Air l’éclate sur ceplan. Le troisième, c’est son po-sitionnement. Est-ce une ta-blette pour ceux qui ont besoind’Office, un PC de transport ouune vraie tablette multi-usa-ges ? Le doute persiste. Maiscela reste, assurément, un pro-duit qui doit être considéré sivous voulez une tablette de qua-lité.k 429 € (32 Go), 529 € (64 Go)

Alexis Carantonis

: La Surface 2 annihile bien des défauts de sa devancière. Au point de rivaliser avec l’iPad Air. © MICROSOFT

Unefinition, uneautonomie etune puissanceirréprochables

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10 RECETTES 11RECETTES

www.dhPbe I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

INGRÉDIENTS POUR 4 PERSON-NES

K 1 poulardeK 200 g de riz de veauK 200 g de girollesK pâte feuilletéeK carottesK oignonsK céleriK poireauK clou de girofleK thym et laurierK 1 échaloteK 40 cl de bouillon de volailleK 30 g de farineK 10 cl de crème fraîche épaisseK 50 g de beurreK citronK sel et poivre.

PRÉPARATION

K Blanchir la poularde.K Ajouter carottes, oignons, poireau, clou de girofle, thym et laurier puis lais-ser frémir pendant 35 min.K Plonger les ris de veau dans une casserole d’eau à ébullition (3 min). Leségoutter et les peler.K Décortiquer la volaille.K Dans une sauteuse, faire blondir une échalote émincée dans 10 grammesde beurre.K Ajouter les ris de veau et le blanc de volaille et laisser frémir 20 minutes.K Nettoyer les girolles et les émincer. 5 minutes avant la fin de la cuisson desris de veau et de la volaille, ajouter les girolles, filtrer et réserver le bouillon.K Faire fondre le reste du beurre dans une petite casserole; lorsqu’il mousse,ajouter la farine puis le bouillon.K Fouetter, ajouter la crème et poursuivre la cuisson 10 minutes pour obte-nir une sauce onctueuse. Poivrer.K Couper les ris de veau et le blanc de volaille en morceaux, puis les mélan-ger avec les champignons et la sauce.K Terminer avec un petit jus de citron.K Garnir les feuilletés dorés au four.K Napper d’une cuillerée de sabayon au lambic.

DID

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BA

UW

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S

PLAT

Vol au vent aux ris de veau, poularde et girolles

PLAT

Zenne pot

INGRÉDIENTSPOUR 4 PERSONNES

K 400 g de chou cuit à la gueuze de CantillonK 4 saucisses sèches artisanalesK 4 tranches de boudin noirK 12 bulotsK 2 dl de crème

PRÉPARATION

K Préparez le chou fermentéavec un oignon coupé en fineslamelles que vous faites suerdans une cuillerée de saindouxavec un clou de girofle et quel-ques baies de genévrier.K Mouillez le chou avec 2dl degueuze Cantillon.K Laissez frémir pendant 15min sur feu doux.K Ôtez le boyau de la saucissesèche et émiettez celle-ci aucouteau (ou à la moulinette).K Mélangez cette chair au chou,ainsi que les bulots cuits au

DID

IER

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ERT

S

LES BRIGITTINES“AUX MARCHESDE LA CHAPELLE”

K Cadre : dans un cadre inci-tant d’emblée à la halte gour-mande, Dirk Myny n’a pas sonpareil pour conjuguer gastro-nomie de haut vol et spéciali-tés bruxelloises. La carte seconcentre sur les produits desaison, et le Chef ne cesse deréinventer sa cuisine, tout enproposant bien entendu quel-ques incontournables que luiréclament ses nombreuxclients fidèles.K Adresse :Place de la Chapelle, 5à 1000 BruxellesK Téléphone : 02/512.68.91K Site internet :www.LesBrigittines.comK Email :[email protected] Fermeturehebdomadaire : samedi midi,dimanche et jours fériés

avec Le chef Dirk Myny des Brigittines

DE 11 H À MIDI DANS ON N’VA PAS S’PRIVER

court-bouillon.K Ajoutez la crème.K Faites chauffer le boudin noirà la vapeur (ou dans le mêmecourt-bouillon).

DRESSAGE

K Sur une assiette creuse, apla-tissez et répartissez le boudinnoir dans un cercle.K Ajoutez par-dessus le mélan-ge de chou et tassez ferme-ment.K Servez.

LIDL SE LANCEdans la parfumerie8 Le hard discounter a créé sa propre

collection en édition limitée

A Lidl a entamé il y a quelquesmois un repositionnement quine passe pas inaperçu. Aprèsavoir fait appel aux services deGaëtan Colin, chef de renom,pour concocter ses menus de fê-tes, le hard discounter a cettefois confié à un nez la missionde mettre au point deux fra-grances à l’occasion de la St-Va-lentin.

Sous l’intitulé Suddenly, lachaîne de supermarchés a crééun parfum ultra-féminin, Ma-dame Glamour. “Nous entendonsprouver au travers de ce parfumqu’un feeling glamour n’est pasforcément onéreux.” Il est vraiqu’à 3,99 € les 50 ml, le clientn’est pas ruiné. Lidl propose sonpropre parfum pour hommes

également. Baptisé G. Bellini X-Bolt, il est sur le point d’êtrelancé en Belgique, il remportedéjà un franc succès en Espa-gne, en Irlande ainsiqu’au Royaume-Uni.

Des tests indé-pendants ont dé-montré que Ma-dame Glamouravait été élu deuxfois parfum “le pluspopulaire”.

LORS D’UN RÉCENTtour d’horizon, 89 % des 50 fem-mes présentes ont préféré leparfum Lidl à la marque desi-gner. Lors d’un second tour,90 % de 100 femmes ont à nou-veau désigné Madame Glamour

comme leur parfum préféré.Avec son étonnante fragrancemasculine empreinte de fraî-cheur, G. Bellini X-Bolt a égale-ment fait fort face à de grandesmarques telles que DiorHomme (5), D&G The One (5.6)

et Hugo Boss Bottled (5.6). Lelabel Lidl a réalisé un

score moyen de 6.2.Lorsque nous

avons présenté cesdeux parfums ànos collègues de larédaction, les apriori n’ont pas

manqué. Il est vraiqu’on ne pense pas à

un hard discounter lors-qu’on se décide à acheter pareilproduit. Plus encore, c’est leprix qui a surpris. Quant à lasenteur, elle n’a pas fait l’unani-mité, mais à chacun son par-fum…

: Suddenly Madame Glamour, la fragrance signée Lidl, proposée à un prix hard discount, forcément. © D. R.

3,99€les 50 ml : unprix plancherpour un parfum!

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11RECETTES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

LIDL SE LANCEdans la parfumerie8 Le hard discounter a créé sa propre

collection en édition limitée

A Lidl a entamé il y a quelquesmois un repositionnement quine passe pas inaperçu. Aprèsavoir fait appel aux services deGaëtan Colin, chef de renom,pour concocter ses menus de fê-tes, le hard discounter a cettefois confié à un nez la missionde mettre au point deux fra-grances à l’occasion de la St-Va-lentin.

Sous l’intitulé Suddenly, lachaîne de supermarchés a crééun parfum ultra-féminin, Ma-dame Glamour. “Nous entendonsprouver au travers de ce parfumqu’un feeling glamour n’est pasforcément onéreux.” Il est vraiqu’à 3,99 € les 50 ml, le clientn’est pas ruiné. Lidl propose sonpropre parfum pour hommes

également. Baptisé G. Bellini X-Bolt, il est sur le point d’êtrelancé en Belgique, il remportedéjà un franc succès en Espa-gne, en Irlande ainsiqu’au Royaume-Uni.

Des tests indé-pendants ont dé-montré que Ma-dame Glamouravait été élu deuxfois parfum “le pluspopulaire”.

LORS D’UN RÉCENTtour d’horizon, 89 % des 50 fem-mes présentes ont préféré leparfum Lidl à la marque desi-gner. Lors d’un second tour,90 % de 100 femmes ont à nou-veau désigné Madame Glamour

comme leur parfum préféré.Avec son étonnante fragrancemasculine empreinte de fraî-cheur, G. Bellini X-Bolt a égale-ment fait fort face à de grandesmarques telles que DiorHomme (5), D&G The One (5.6)

et Hugo Boss Bottled (5.6). Lelabel Lidl a réalisé un

score moyen de 6.2.Lorsque nous

avons présenté cesdeux parfums ànos collègues de larédaction, les apriori n’ont pas

manqué. Il est vraiqu’on ne pense pas à

un hard discounter lors-qu’on se décide à acheter pareilproduit. Plus encore, c’est leprix qui a surpris. Quant à lasenteur, elle n’a pas fait l’unani-mité, mais à chacun son par-fum…

: Suddenly Madame Glamour, la fragrance signée Lidl, proposée à un prix hard discount, forcément. © D. R.

3,99€les 50 ml : unprix plancherpour un parfum!

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12 BD

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LES VIEUX FOURNEAUX - TOME 1 CAUUET + LUPANO © DARGAUD BENELUX 2014

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13JEUX

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

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14 COURRIER

www.dhPbe I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS

NÉCROLOGIE

Comment faire paraître un avis nécrologique?L Le plus simple est de vous adresser à un entrepreneur de

pompes funèbres, il connaît la procédure à suivre et les tarifs, ilpeut vous proposer des modèles de textes et vous assister envous conseillant et en agissant concrètement.

L Adressez-vous directement au journal : ) 02/211 31 88š [email protected]

COURRIER DES LECTEURS

K “Il serait bon queles différents partis sepositionnent sur le sujet”DOTATIONSÀ LA FAMILLE ROYALE “Il sem-blerait que des membres de la fa-mille royale – Albert, Laurent, Fa-biola – se plaignent de la réductiondes dotations qui leur sont oc-troyées. Celles-ci restent cependantencore très élevées pour des per-sonnes qui n’ont jamais exercéd’activité professionnelle et viventessentiellement grâce à la généro-sité populaire. Il est à craindre queces mouvements d’humeur trou-vent un écho favorable auprès dequelques politiciens avides de ré-ceptions mondaines et qu’après lesélections demai 2014, il ne soit dé-cidé d’augmenter les dotations, soitdirectement (suppression de l’IPPet/ou de la TVA), soit indirectement(rétributions financières supplé-mentaires pour des présences auxjournées inaugurales de foires auboudin ou de salons quelconques).Il serait bon que les différents par-tis se positionnent clairement sur lesujet avant de se présenter devantles électeurs.”

Claude H., par courriel

K “Sommes-nousobligés d’élirede tels opportunistes ?”POLITICIENS “Il y a plus de cin-quante ans, mon grand-père quiavait été bourgmestre pendant laguerre, son prédécesseur ayant étéempêché pour cause de fuite de-vant les hordes nazies, aimait par-ler dumétier de politicien. En com-pagnie demon papa et demon on-cle, ils discutaient sans cesse dudevoir d’un homme politique. Reve-naient les mots tels qu’honnêteté,compétence, programmes du parti.Aujourd’hui, à l’aube de nouvellesélections, il n’est plus question deces trois mots. Un seul suffit à résu-mer celui qui touchera le bingopour de nombreuses années : popu-liste. C’est-à-dire celui qui ramène-ra unmaximum de voix non paspar ses compétences ou son pro-gramme électoral (?), mais parcequ’il est connu. Syndicaliste ayantflairé la bonne affaire possible,sportifs en fin de carrière qui veu-lent garder leur train de vie et leurspetites combines au noir, parentsd’enfants assassinés jouant sur lesentimentalisme, journalistes quis’ennuient ou sentent la fin certai-ne de leurs passages sur antenne;tout est bon pour tenter le win-for-live de la politique. Et nous, élec-teurs obligés, face à ce bingo coû-teux, que sommes-nous ? Sommes-nous obligés d’élire de telsopportunistes qui vont décider denotre vie et de celle de nos enfantspendant des générations s’ils fontdes enfants qui seront des fils depoliticiens professionnels ? CommelesWathelet, Lutgen et des dizainesd’autres, ou inamovibles commedes Onkelinx, Milquet, Reynders. Laréponse est non à cette confisca-tion du pouvoir électoral, au droitde renouvellement des représen-tants du peuple. À quand une loi

qui limiterait à deux les mandats ?Pas pour demain. Parce que lesparlementaires votent les lois pourleur seul intérêt et la continuité decelui-ci !”

Jean-Marie C., de Hachy

K “Certainsne vont pas rigoler”TAXE URBAINE “Cela peut sejustifier pour désengorger certai-nes grandes villes, surtout Bruxel-les. Mais je ne vois pas de problè-mesmajeurs de circulation dansd’autres villes de moindre impor-tance. De plus, 100 km sur auto-route, au vu de nos infrastructuresautoroutières, reviendraient à5 euros ! Et les autres routes pour-raient coûter plus cher. Conclusion :moins de déplacement, moins d’uti-lisation de la voiture et doncmoinsde recettes de carburant et d’entre-tien. Certains ne vont pas rigoler.”

Patrick V., d’Ollignies

K “Sans Parti socialiste”DE WEVER “Ce qui lui convien-drait bien, ce serait un petit pays àlui, sans Parti socialiste…, et même,fondamentalement, sans aucuneopposition. Quand on ne pense pascomme lui, ça dérangeMonsieur…Il en fait même une psychose, puis-qu’il a fait remarquer lors de soncongrès, à un de ses colistiers, quesa cravate était rouge. Sans faire icide politique, l’historien fera remar-quer que de petits tyrans qui ont

persécuté les socialistes, il y en a euaux heures sombres, et même, il n’ya pas si longtemps, un soi-disantmalade en amassacré sur une îlede Norvège, passant de ses idéessalutaires pour la société… aux ac-tes !”

Jean-Pierre M., d’Aywaille

K “Qui d’autreaurait pu le faire ?”RADIATION “Il y a peu, je vous in-formais de la réception d’un P-Vpour excès de vitesse en Hollandeavec une plaque radiée depuis plusd’un an. Le P-V était en néerlandais,mais pour les réclamations tous leséléments étaient en français (pasmal pour un pays unilingue néer-landais. Les autorités néerlandaisesont été prévenues du faux avec ac-compagnement de l’avis de radia-tion. Ils ont répondu qu’il n’y auraitpas de poursuite. Par contre, la DIVa estimé qu’elle avait droit à com-muniquer ce genre de renseigne-ments. Quant à la plainte déposée àla Commission de la vie privée, ilfaut leur faire la preuve que c’est laDIV qui a communiqué les rensei-gnements. Ils se moquent de nous.Qui d’autre aurait pu le faire ?”

Jean-Luc L., par courriel

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Envoyez votre courrierpar e-mail : [email protected] et MMS : 4500

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15ANNONCES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I LUNDI 10 FÉVRIER 2014 I www.dhPbe

MASSAGES

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21-105523562-62

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21-106419001-01

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21-100606442-42

21-105222216-16

21-106453402-02

21-106373001-01

21-106208201-01

21-105872006-06

21-105859603-03

21-106421302-02

21-105859602-02

RENCONTRESparticuliers

21-106371108-08

21-106371107-07

21-106371106-06

21-106371105-05

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21-105324406-06

AUTOSde 10.000 à 15.000 €

21-106274602-02

CHERCHEà louer

entre 400 et 600€

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LOCATIONSVACANCESESPAGNE

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16 MOTEURS

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ple maximum évolue tout demême encore légèrement pourculminer à 700 Nm.

Chez Mercedes aussi, la tra-que aux émissions polluantesincite à baisser drastiquementla cylindrée de son moteur 63AMG qui passe de 6,3 l précé-demment à 5,5 l. Dans l’opéra-tion, le moteur V8 s’offre toute-fois deux turbos et voit sa puis-sance culminer à 560 ch, voire à585 ch si l’on opte pour la ver-sion S encore plus musclée. Et lecouple développe jusqu’à 800Nm ! Ouf, ça risque de déména-ger !

DE SÉRIE, LA RS7 SPORTBACK hé-rite de la transmission intégraleQuattro contrairement à la CLS63 AMG, dans sa variante breakde chasse Shooting Brake, qui secontente de ses roues postérieu-res pour communiquer sa fou-gue mécanique au sol. Maissi on le souhaite, on peutégalement opter pour latransmission intégrale,nettement plus rassurante,en option (4.000 euros)comme sur notre modèled’essai.

Sans le petit coup de gazau démarrage, assez évoca-teur, le toucher de route dessuspensions pneumatiques denos deux concurrentes ne per-met pas de déceler directementtout leur potentiel sportif.Mieux : le confort de marches’avère même assez moelleux. À

lèle. Les performances devien-nent dignes de missiles sol-solet l’habitacle s’inonde d’une so-norité rauque étourdissante !

L’ancien V8 6,3 l atmosphéri-que des modèles 63 AMG semontrait plus progressif danssa poussée et plus rageur dansles tours. Ici, avec le nouveau5,5 l biturbo, peu importe le ré-gime, dès qu’on touche la pé-dale, c’est directement la grosseartillerie !

Seul regret : en mode ma-nuel, la boîte à sept rapports im-pose un gros temps mort entrela consigne de changement viales palettes et le changement ef-fectif du rapport. Autant, dèslors, rester dans le mode auto-matique qui gère mieux cetemps de latence.

L’accord moteur/boîte estbien meilleur sur l’Audi. Enmode manuel, les rapports cla-

quent avec la célérité d’uneboîte de compétition.

Dans les deux cas tou-tefois, les accéléra-tions sont réelle-ment étourdis-santes !

Et quelle sta-bilité à hautesvitesses ! Sur lesAutobahns alle-mandes, on secroirait à bordde TGV… Mais, fi-nalement, c’est

plus sur les petitesroutes que ces deux

engins d’un autremonde s’avèrent éton-

nants. Long de 5 mètres etpesant 2 tonnes, difficilede les imaginer agiles. Et

AUDI RS7 SPORTBACK

N LES PLUS1 PERFORMANCES INOUÏES2 SUPER-SPORTIVE UTILISA-BLE AU QUOTIDIEN3 BOÎTE AUTOMATIQUE 8 RAPPORTS EXCELLENTE

O LES MOINS1 RENDU DE LA DIRECTION2 POIDS CONSÉQUENT3 ENDURANCE DES FREINS EN CONDUITE SPORTIVE

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 5,012 mLargeur 1,911 mHauteur 1,419 mCoffre 535 lPoids 1.995 kgConsommation moyenne 9,8 lCylindrée 3.993 ccPuissance560 ch à 5.700-6.600 tr/minCouple 700 Nm à 1.750-5.500 tr/minVitesse max. 250 km/hAccélérations (de 0 à 100) 3,9 sÉmissions CO2 229 g/kmPrix 116.000 €

MERCEDES CLS 63 AMG SHOOTING BRAKE

N LES PLUS1 PERFORMANCES INOUÏES2 SUPER-SPORTIVE UTILISA-BLE AU QUOTIDIEN

O LES MOINS1 BOÎTE AUTOMATIQUE LENTE EN MODE MANUEL2 POIDS IMPORTANT3 ENDURANCE DES FREINS EN CONDUITE SPORTIVE

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 4,956 mLargeur 1,881 mHauteur 1,416 mCoffre 590 lPoids 1.955 kgConsommation moyenne 10,1 lCylindrée 5.461 ccPuissance560 ch à 5.250-5.750 tr/minCouple 800 Nm à 2.000-4.500 tr/minVitesse max. 250 km/hAccélérations (de 0 à 100) 4,3 sÉmissions CO2 235 g/kmPrix 124.509 €

D.R

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D.R

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Verdict !L’Audi prend un petit avantage

grâce à son accord moteur/boîte plus

convaincant et sa plus grande agilité. Mais,

dans les deux cas, on se retrouve au volant de

super-sportives qui peuvent tant jouer la carte

de la bestialité, avec des performances inouïes,

que celle du confort pour un usage quotidien sans

contrainte. Et tout ça à un prix nettement plus

abordable que la plupart des super-sportives… Au

final, il y a de quoi se laisser tenter, non ? Mais

attention : sans s’en rendre compte, on arrive

vraiment très vite sur le virage suivant !

D.R

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D.R

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8 Sous leurs dessous relativement discrets, les Audi RS7 et MercedesCLS 63 AMG cachent des moteurs diaboliques de pas moins de…

560 ch ! Frissons garantis !

A Après avoir admiré la muscu-lature impressionnante de nosdeux concurrentes, il est tempsd’entrer dans le vif du sujet etde détailler les bijoux qui se ca-chent sous les capots.

À l’instar du break RS6 Avantdont il est dérivé, le coupé RS7Sportback hérite d’un V8 4.0 l bi-turbo. Par rapport à la précé-dente génération de RS6 animéepar un V10 de 5.0 l, on perd doncdans l’opération deux cylindreset 1.0 l de cylindrée. Mais le cou-

des années-lumière d’une Lam-borghini ou d’une autre super-sportive de plus de 500 ch entous les cas…

AU VU DU COUPLE disponiblesous la pédale, on évolue tou-jours sur un filet de gaz, en lais-sant les transmissions automa-tiques (à huit rapports surl’Audi et à sept rapports sur laMercedes) travailler discrète-ment. À ce rythme, la RS7 Sport-back consomme un peu moinsque la CLS 63 AMG (9,5 l/100kmcontre environ 10,5 l/100km). Àla moindre pression plus fran-che sur l’accélérateur, on se voitpropulsé dans un monde paral-

pourtant…C’est encore plus sensible

avec la RS7 Sportback qui seplace étonnamment au freinageet qui profite de son différentielSport Quattro optionnel (il en-voie plus de couple vers la rouearrière extérieure en virage)pour sortir efficacement des vi-rages serrés. Par contre, dans lesdeux cas, il n’y a pas demiracle :les freins, même si l’on retientles disques en carbone-cérami-que optionnels, sont rapide-ment mis à mal. Et puis, enoutre, à ce rythme, la consom-mation devient vraiment ahu-rissante… comptez au moins30l/100km.

L’actu automobilePAR JEAN-FRANÇOIS CHRISTIAENS