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Février/Mars 2015 SAcrŒe PlAnŒte n° 68 6 R emarquable, cette petite église l’est tout d’abord parce qu’elle nous révèle les prin- cipes de base de la science des bâtisseurs, qui connut son apogée avec l’édification des cathé- drales gothiques. Ce qui touche lorsqu’on la dé- couvre tout au fond du village, au bord de l’eau, c’est l’impression d’harmonie qui s’en dégage. Elle est bien proportionnée, avec ses pierres ocre et son toit de lauzes ; elle s’insère parfaitement dans son écrin de verdure et se mire depuis des siècles dans la Vézère. L’édifice fut à l’origine un prieuré bénédictin qui dépendait de l’abbaye de Sarlat. Cette ville abrite par ailleurs une remarquable Lanterne des morts élevée en l’honneur de Bernard de Clair- vaux 1 . Peut-être est-il permis de penser que l’influence de Bernard de Clairvaux s’étendit à l‘époque sur toute la région qui bénéficia des connaissances des moines bénédictins ? Des églises romanes pour l’élévation de L’Âme… PARCOURS INITIATIQUE DANS L’ÉGLISE DE SAINT-LÉON-SUR-VÉZÈRE N on loin de Montignac en Dordogne, entre Lascaux et Les Eyzies, un petit village blotti dans un cingle de la Vézère abrite une remar- quable église, modèle d'art roman. Alain Balasse, passionné de géographie et de géométrie sacrée, est tombé sous son charme et lui a consacré une étude complète. Nous vous proposons de découvrir en sa compagnie l'église de Saint-Léon-sur-Vézère. } MARIE-HÉLÈNE COURTAT D’après les travaux d’Alain Balasse 1 - Bernard de Clairvaux : 1090-1153 - En 1112, il entre dans les Ordres à l’abbaye de Cîteaux, dont les fondateurs se sont détachés de l’ordre de Cluny pour vivre la règle de saint Benoît, souhaitant ainsi répondre à un idéal plus rigoureux : retour à la simplicité dans la vie quo- tidienne, dans le culte et dans l’art ; rupture avec le monde, pauvreté, silence, travail ma- nuel. Cela correspond aux souhaits de Bernard, qui veut retourner à l’ascèse monastique. Sa spiritualité est fortement marquée par la pénitence. Son goût pour l’austérité s’ac- corde à merveille avec le dépouillement des églises cisterciennes. Il est aussi porté par un amour fervent pour Dieu et la Vierge. Toutes les églises cisterciennes sont dédiées à la Vierge et Bernard cherche à développer le culte marial dans tout l’Occident. Il prône une religion faite d’élan du cœur plus que de comptabilité des actions bonnes ou mauvaises. L’abbé de Clairvaux rappelle que « Dieu est longueur, largeur, hauteur et profondeur, la re- cherche est réservée à la communauté des moines qui savent, lisent et scrutent les mystères… le bâtiment est un rêve de perfection morale, il est en correspondance avec une certaine vision du monde, il est fondé sur des rapports arithmétiques qui le relient au cosmos ». Bibliographie : « Saint Bernard » de Georges Duby - Éd. Flammarion

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Février/Mars 2015 │ SAcrŒe PlAnŒte n° 686

” Remarquable, cette petite église l’est tout d’abord parce qu’elle nous révèle les prin-cipes de base de la science des bâtisseurs, qui

connut son apogée avec l’édifi cation des cathé-drales gothiques. Ce qui touche lorsqu’on la dé-couvre tout au fond du village, au bord de l’eau, c’est l’impression d’harmonie qui s’en dégage. Elle est bien proportionnée, avec ses pierres ocre et son toit de lauzes ; elle s’insère parfaitement dans son écrin de verdure et se mire depuis des siècles dans la Vézère.

L’édifi ce fut à l’origine un prieuré bénédictin qui dépendait de l’abbaye de Sarlat. Cette ville abrite par ailleurs une remarquable Lanterne des morts élevée en l’honneur de Bernard de Clair-vaux 1. Peut-être est-il permis de penser que l’infl uence de Bernard de Clairvaux s’étendit à l‘époque sur toute la région qui bénéfi cia des connaissances des moines bénédictins ?

Des églises romanes pour l’élévation de L’Âme… PAR COURS INITIATIQUE DANS L’ÉGLISE DE SAINT-LÉON-SUR-VÉZÈRE

Non loin de Montignac en Dordogne, entre Lascaux et Les Eyzies, un petit village blotti dans un cingle de la Vézère abrite une remar-

quable église, modèle d'art roman. Alain Balasse, passionné de géographie et de géométrie sacrée, est tombé sous son charme et lui a consacré une étude complète. Nous vous proposons de découvrir en sa compagnie l'église de Saint-Léon-sur-Vézère.

} MARIE-HÉLÈNE COURTAT

“L’ÉGLISE DE SAINT-LÉON-SUR-VÉZÈRE

D’après les travaux d’Alain Balasse

1 - Bernard de Clairvaux : 1090-1153 - En 1112, il entre dans les Ordres à l’abbaye de Cîteaux, dont les fondateurs se sont détachés de l’ordre de Cluny pour vivre la règle de saint Benoît, souhaitant ainsi répondre à un idéal plus rigoureux : retour à la simplicité dans la vie quo-tidienne, dans le culte et dans l’art ; rupture avec le monde, pauvreté, silence, travail ma-nuel. Cela correspond aux souhaits de Bernard, qui veut retourner à l’ascèse monastique.Sa spiritualité est fortement marquée par la pénitence. Son goût pour l’austérité s’ac-corde à merveille avec le dépouillement des églises cisterciennes. Il est aussi porté par un amour fervent pour Dieu et la Vierge. Toutes les églises cisterciennes sont dédiées à la Vierge et Bernard cherche à développer le culte marial dans tout l’Occident. Il prône une religion faite d’élan du cœur plus que de comptabilité des actions bonnes ou mauvaises.L’abbé de Clairvaux rappelle que « Dieu est longueur, largeur, hauteur et profondeur, la re-cherche est réservée à la communauté des moines qui savent, lisent et scrutent les mystères… le bâtiment est un rêve de perfection morale, il est en correspondance avec une certaine vision du monde, il est fondé sur des rapports arithmétiques qui le relient au cosmos ». Bibliographie : « Saint Bernard » de Georges Duby - Éd. Flammarion

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LIEU SACRÉS

Mais le lieu avait été repéré bien avant le Moyen Âge. Une partie de la construction repose sur les vestiges d’un mur d’époque gallo-romaine, que l’on peut encore observer le long de la rivière, côté ouest de l’édifi ce. Les Romains y avaient édifi é un temple à Mercure.

Depuis les temps les plus reculés, les hommes tentent de se rapprocher de Dieu et construisent des temples dans ce but. Les plus sages d’entre eux étaient en sym-biose avec leur environnement et connaissaient l’in-fl uence des rayonnements cosmiques et telluriques sur la Vie. Ils savaient que pour qu’un lieu soit favorable à la santé, il était nécessaire que ces rayonnements soient équilibrés entre le Ciel et la Terre. Il y avait des lieux pour habiter, d’autres pour prier, et d’autres encore pour le repos de l’âme. Pour les Romains, le Cardo (axe nord-sud) et le Decumanus (est-ouest) déterminaient l’orientation générale de la ville et ce maillage n’était pas dû au hasard.

Quels sont les principes présidant au choix d’implantation d’un lieu de prière ?

La géographie sacréeLes critères de choix d’un lieu de culte n’étaient pas

les mêmes que ceux d’un lieu de vie mais relevaient de la même science. Ils répondaient à la connaissance d’une géographie sacrée et de réseaux qui parcourent la planète. Les points sacrés étaient reliés entre eux par un certain maillage et les constructions, érigées générale-ment sur des croisements.

Ainsi l’église de Saint-Léon-sur-Vézère, placée sur la latitude nord 45.01° et la longitude est de 1.092° est en relation avec la pyramide de Chéops. Ceci ne concerne pas simplement le village de Saint-Léon mais s’étend à tout le Périgord noir qui est un lieu de croisement d’importants réseaux cosmotelluriques. On peut dire que l’on se trouve sur un lieu fortement énergétique, habité depuis les temps les plus reculés. On y trouve les grottes de Lascaux mais aussi des habitats du Magdalé-nien et du Moustérien bien plus anciens. C’est égale-ment ici que sont venus s’installer, dans les années 70, la plupart des écoles de Bouddhisme tibétain. De par sa position géographique, placé sur les franges résiduelles du double réseau d’or reliant Chartres à Toulouse, cet endroit est en relation énergétique avec des hauts lieux tels Bourges, Sens, Reims, le Mont-Saint-Michel, le Puy-en-Velay ; mais aussi avec des lieux d’apparitions mariales tels Lourdes, la Salette…

Les réseaux Les anciens bâtisseurs connaissaient plusieurs types

de réseaux qui quadrillaient la Terre et parlaient de la Vouivre. On mesure aujourd’hui diff érents réseaux en rapport avec l’infl uence des métaux contenus dans le noyau de la terre. (Voir encadré 1)

Les réseaux telluriquesLe premier réseau que les bâtisseurs prenaient en

compte est le réseau Hartmann. Le maître d’œuvre organisait sa construction de façon à le repousser dans les murs. C’est déroutant lorsque l’on pratique la re-cherche avec les baguettes parce que l’on va trouver un réseau « fantôme ». Il ne reste en fait, dans l’édifi ce, qu’une fréquence porteuse, comme en radio, mais sans information, une longueur d’onde « disponible ». On ne va retrouver une information sur la porteuse du réseau Hartmann qu’en deux points, dits de terre : au niveau des fonts baptismaux et à la croisée des transepts où se trouve la « pierre des morts », c’est-à-dire l’endroit où l’on pose le cercueil pour le dernier offi ce… parce que l’on naît de la poussière et que nous y retournerons. La pierre des morts est polarisée de façon à ce que l’éner-gie soit renvoyée vers le haut, comme pour un dolmen. L’âme peut ainsi « monter au ciel ».

Vestiges du mur gallo-romain.

Le chœur orné de fresques et la nef.

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Les réseaux cosmiquesIls considéraient aussi l’infl uence des réseaux cos-

miques, des planètes et notamment du Soleil. Au Moyen Âge, on connaissait sept planètes, sept lumi-naires dont faisaient partie la Terre et la Lune. Elles ont une infl uence sur la Terre. On considérera tout parti-culièrement les réseaux générés par le Soleil. Celui-ci envoie ses rayons, diff ractés par l’atmosphère, sur la Terre. Et résultat, on voit se dessiner un maillage qui sera fonction de la latitude du lieu.

C’est le soleil qui va donner la clé de la construc-tion d’un édifi ce. La mesure de l’ombre portée d’un poteau placé en un point cosmotellurique particulier sera la première mesure du compagnon-bâtisseur. Elle va donner les proportions du temple. Longueurs, lar-geurs, hauteurs ne sont pas déterminées au hasard. Une formule établie par les premiers bâtisseurs initiés va dé-terminer le « module solaire » et par déduction la cou-dée et les autres mesures qui serviront à la construction.

Les différentes étapes de la construction

Le commanditaireC’est souvent l’évêque pour une église paroissiale ou le

père abbé pour une abbaye. Ces derniers étaient des ini-tiés. Les maîtres d’œuvre sont des compagnons aboutis. Ils vont choisir la destination de l’édifi ce (baptême, pèle-rinage, cimetière, monastère) et le lieu où il sera implanté.

Le choix du point énergétiqueLa première opération consistera à déterminer le

point énergétique appelé « point étoile » ou point sacré. C’est un point d’énergie, choisi en fonction des croise-ments des diff érents réseaux telluriques, qui relie le haut et le bas… On va aussi utiliser les failles et les rivières souterraines qui jouent un rôle très important. Si les cours d’eau ne sont pas suffi samment présents, comme à Chartres par exemple, on va les créer artifi ciellement avec des galets ; ils auront le même pouvoir de drainer les fl ux énergétiques que les vrais.

On va également tenir compte des réseaux sacrés dé-terminés par les interconnections des sites entre eux. (Ces réseaux sont devenus sacrés par la pratique de ri-tuels qui les relient entre eux). Le point Étoile sera le point d’autel, (là où se situaient les anciens autels avant la réforme de Vatican II).

Sur ce point Étoile, on va planter un poteau d’une hauteur calculée de façon à relever la longueur et la direction de l’ombre portée au midi solaire du lieu. À Saint-Léon-sur-Vézère, le poteau devait mesurer 9,81 m de hauteur, selon les calculs reconsidérés à l’envers des tracés du Moyen Âge ; c’est la valeur normale de l’accé-lération de la pesanteur ou gravité (la vitesse augmente à chaque seconde de la chute d’un objet de 9,81 m/s). Parfois, le nombre choisi déterminait un poteau trop grand. On utilisait alors une fractale du nombre calculé pour réduire ce témoin.

La dateLa date était choisie en fonction de l’énergie que l’on

voulait manifester. Les Anciens savaient qu’à chaque jour correspond une énergie, symbolisée autrefois par un saint. Certains moments-clés étaient importants pour la réception des forces de l’univers. Construire un lieu tel jour revenait à l’orienter en fonction des forces de la nature, lui donner sa teinte énergétique et son orien-tation spirituelle. Dans notre cas présent, la date choisie est celle de la fête de saint Léonce, (et non saint Léon), actuellement le 18 juin – non loin du solstice d’été. Il y avait un évêque de ce nom à Périgueux mais on a recensé 6 ou 7 saint Léonce alors lequel était-ce ? Si on recalcule la date de dédicace, date à laquelle on a planté le po-teau, on saura de quel saint Léonce il s’agissait. D’après les calculs d’A. Balasse, il s’agirait plutôt d’un saint Léonce, évêque de Bordeaux. Dans les premiers temps, le nom de l’église était souvent celui du propriétaire du terrain ou de l’évêque-commanditaire de l’édifi ce.

Les réseaux sacrés.

Fonts baptismaux.

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LIEU SACRÉS

Le « module solaire »

Le carré solsticial et la triple enceinte harmonique.

Dans un premier temps, on va relever l’azimut du lever de soleil au solstice d’hiver, au solstice d’été et aux équinoxes par rapport au point sacré choisi. En traçant un rectangle sur les diagonales indiquées par ces axes solsticiaux, on ob-tient le rectangle solsticial du lieu. Il s’agit du « quadrilatère matière » qui est horizontal. En le basculant de 90°, on en obtient un rectangle vertical dit esprit car pour évoluer il faut se verticaliser, sur un plan symbolique. On enferme les deux rectangles matière et esprit dans un carré, ce sera le carré solsticial. Toutes les proportions de l’édifi ce y sont contenues. Parfois, on peut prendre en compte les quadrila-tères de Jérusalem et de Rome qui seront contenus dans ce-lui du lieu. Et lorsque l’on pratiquera des rituels, l’informa-tion vibratoire sera transmise aux maisons-mères de Rome et de Jérusalem. Si c’était une abbaye, ce serait transmis à Cîteaux, à Clairvaux ou à Cluny.

À noter que la pierre contenant les reliques, incluse dans la table d’autel et sur laquelle le prêtre va poser le calice, est à la mesure solaire du lieu. De même, le chrisme indique théo-riquement les axes solsticiaux du lieu, s’il est placé au bon endroit, à la bonne latitude, car parfois les objets voyagent !

La pierre d’autel ne peut pas être transposée dans un autre lieu. Il faut que certaines proportions soient respectées pour que les rituels fonctionnent. Aujourd’hui l’autel où offi cie le prêtre n’est plus placé à l’endroit correct, sur le point sacré, on peut dès lors se demander si le rituel conserve la même puissance et la même effi cacité qu’à l’origine.

Les étapes de la constructionL’élaboration de la construction va se faire en sept étapes

que l’on appellera la construction des « Trois Tables ». Le Dit des Compagnons nous apprend que : « Trois tables ont porté le Graal ; l’une est ronde, l’autre carrée et la troisième rectangulaire. Elles sont d’égales surfaces et leur nombre est 21. Une quatrième Table les recouvre, dont le nombre est 6, celle de Salomon… Le Graal est 17 et il est Un ! »

Le centre de la Terre, le noyau, est composé de magma. La vitesse de rotation de la Terre et la force d'inertie du magma en rapport avec sa densité engendrent un retard du noyau qui va provoquer un frottement par rapport à l'écorce terrestre. Ces vibrations vont monter jusqu'à la surface de la terre, traverser les différentes couches du sol et envoyer les infos des métaux contenus dans la terre. Chaque métal a son faisceau de rayonnement que les scientifi ques savent aujourd'hui reconnaître en fonction des longueurs d'onde. Il y a 7 familles de métaux. Certains ont des rayonnements nocifs, d'autres sont neutres et quelques-uns sont particulièrement bé-néfi ques.

LES RÉSEAUX NOCIFS :- Le réseau Hartmann (appelé aussi réseau global) est le réseau du Nickel. Il se présente comme un qua-drillage de � murs � de 21 cm d'épaisseur environ, dont les mailles sont espacées de 2 m dans le sens nord-sud et 2 m 50 dans le sens est-ouest. Il est orienté sur les pôles magnétiques. Mais ce fi let peut être perturbé par un accident géologique (failles, cours d'eau souter-rain) ou une pollution humaine ondes télé, portables, micro-ondes… Les croisements sont les endroits où se concentrent au maximum les radiations.- Le réseau Curry (ou réseau diagonal) est celui du Fer. Il est orienté à 45° par rapport au premier. Son maillage peut varier de 3 à 8 m. Les murs sont épais de 40 cm. Là aussi les lieux les plus nocifs sont les points de croisement. Il arrive qu'un croisement Hartmann se superpose à un croisement Curry et nous avons un point d'énergie très bas.

LES RÉSEAUX NEUTRES :Les deux premiers réseaux sont les plus gênants pour l'homme. Les réseaux de Zinc, Cobalt Manganèse sont beaucoup moins nocifs. Les réseaux de l'Aluminium et du Silicium sont totalement neutres.- Le Platine a 36 méridiens et parallèles et entretient les réseaux sacrés.

LES RÉSEAUX POSITIFS :Ce sont l'Or, l'Argent et le Cuivre.- Le réseau Peyré est le réseau de l’Or. Il émet 72 rayons nord-sud et 72 est-ouest qui déterminent 72 méridiens et autant de parallèles. Ce sont les flux sa-crés fi xes, caractérisés par une énergie positive de forte intensité. La largeur du flux de l’ Or est de 72 cm. Ceci détermine 26 croisements sur la terre. Tous les hauts lieux sacrés sont sur ces croisements.- L’Argent émet lui aussi 72 rayonnements, superposés à ceux de l'Or mais en diagonale. L'Argent est neutre, il sert à activer l'Or. Sa largeur est de 36 cm.- Le Cuivre est abondant et neutre, orienté nord-sud et est-ouest. Son épaisseur et d'environ 30 cm

Les réseaux telluriques

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Les 4 élémentsEn résumé, nous dirons donc que l’on plante le po-

teau, on prend la mesure de l’ombre portée, on trace le rectangle à partir du carré qui déterminera le point de Seuil. Puis, on va avoir le choix entre 4 possibilités selon la fonction que l’on veut donner à l’église : d’eau, de terre, de feu ou d’air.

L’élément Eau représente le baptême, il sera choisi pour les églises paroissiales destinées à baptiser les fidèles. C’est le cas à Saint-Léon-sur-Vézère. Une église d’air sera dé-diée aux pèlerinages. C’est le cas pour les petites chapelles donnant lieu aux processions ainsi que pour les basiliques mariales. Le point de feu est pour la purification, la haute spiritualité. C’est le cas d’abbatiales et de certaines cha-pelles templières qui étaient destinées à des rituels parti-culiers réservés aux moines-soldats. Les églises paroissiales regardent vers l’Orient, le lever du soleil, la lumière. Les églises templières étaient généralement orientées nord-sud.

La particularité de l’église de Saint-Léon-sur-Vézère tient dans l’implantation sud et non ouest de son portail comme de coutume (généralement la porte est orientée à l’ouest vers le royaume des morts, l’Amenti) ; ici la Vé-zère très proche empêchait la configuration classique ; la position des fonts baptismaux est donc aussi particulière ; normalement ils sont sur le côté nord lunaire, dans le narthex. Nous avons ici une église de baptême… mais un peu différente… on ne sera pas sur un point eau mais sur un point air, l’énergie y est plus subtile.

Les polygones

Ensuite, on déterminera le cercle qui va donner la Me-sure. On passe du carré au cercle, c’est-à-dire de la Terre au Ciel. Le but en venant dans ce lieu est de se spirituali-ser, de chercher le divin.

Le cercle va déterminer l’emplacement des 4 piliers de la croisée des transepts. On est bien en équilibre ici entre les énergies du Ciel et de la Terre. La plupart des visiteurs ne le savent pas mais beaucoup le ressentent.

Le quadrilatère du lieu a déterminé la coudée du lieu et les autres mesures qui en découlent, l’empan, le pied… On a tous les éléments de la construction.

On détermine alors les polygones qui servent à dessiner l’architecture du temple en plan et en élévation. On tra-vaille sur les trois dimensions pour finalement aboutir au

point d’autel.La première figure est le triangle qui représente le plan

sacré, le nombre trois est le symbole de la Trinité. C’est la table « cachée », la quatrième table qui dissimule les trois précédentes, son nombre est 6, nombre pyramidal : 1+2+3. Ajoutons à ce nombre le 4, carré de la Terre, nous obtenons la Tétraktys de Pythagore et le symbolisme du nombre 10.

On trace la triple enceinte harmonique 2 dont le but est de déterminer trois zones. La première est le narthex, pour les profanes ; le chevalier y pénétrait parfois avec son cheval, c’est pour cette raison que la porte est si haute. La seconde est pour les baptisés ; au niveau des fonts baptismaux, on baptise le profane qui entre alors dans le monde des croyants. La transition se fait au niveau d’une rivière souterraine que l’on appelle le Jourdain. Puis on aura le Saint des Saints, le naos, où se pratique le rituel de la messe. Le chœur est analogue au plan céleste : on y retrouve les éléments air et feu. Le transept, plan intermé-diaire, est analogue au plan atmosphérique, le domaine de l’homme à la surface de la terre. Au fond, la nef est analogue au plan souterrain, à la terre et à l’eau.

On passe au nombre 5, le pentagramme qui positionne nos piliers par rapport au point sacré. On retrouve la même chose en élévation. On retrouve un autre pen-tagramme prenant le mur du fond et déterminant deux piliers, les deux colonnes du temple, Jakin et Boaz, positif et négatif, les colonnes de la Lune et du Soleil qui sont connectés sur les fonts baptismaux.

Ensuite on passe au 6. Le double triangle involutif, évolutif, le sceau de Salomon qui détermine aussi des en-droits, des passages… La pointe du bas correspond aux deux premières fenêtres.

Orientation et rythmeSi un édifice est parfaitement orienté au nord géogra-

phique (donc le chœur parfaitement à l’est), le dispositif ne fonctionnera pas parce que l’on se trouve en équilibre énergétique ; nous sommes bien mais rien ne bouge. Pour que les énergies soient activées, il faut générer un chaos énergétique par un léger décalage. C’est pour cette raison que vous n’aurez jamais une église parfaitement calée sur un azimut 90 °, il y aura toujours au minimum un degré en avant ou en arrière. Nous obtiendrons ainsi un rythme évolutif ou involutif selon la destination que l’on a choi-sie pour la construction.

La musiqueL’homme peut être considéré comme une corde har-

monique, vibratoire. Chaque chakra correspond à une note de musique et ils sont reliés entre eux par des har-momies musicales. Ces rapports musicaux sont issus des huit modes de chant harmonique ancien ; on utilisait les quatre premiers qui généraient implicitement le hui-

2 - La triple enceinte : on parle dans une église de triple enceinte har-monique et non celtique comme avec les menhirs. Le but de la triple enceinte celtique est la Protection, il y a des gardiens du Seuil. La fonction de la triple enceinte harmonique est d’être un outil pour étager les énergies du temple.

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LIEU SACRÉS

tième, celui des hauts rituels. L’image de l’homme dans ses proportions harmoniques va être incluse dans l’édi-fi ce. En mettant ainsi en relation le temple matériel et le temple de l’homme, il est aisé de faire entrer les deux en résonance et de les mettre à la même vibration, à l’unis-son, comme un violon passif captera la note émise par un autre violon jouant à proximité et pourra fi dèlement la restituer.

Une loi physique dit que : « Le rapport de deux cercles inscrits et circonscrits à un polygone donné est équivalent à un rapport musical de la gamme de Zarlino » 3. Des poly-gones spécifi ques étaient placés dans la construction pour générer une note et un rapport musical. On donne ainsi à la pierre, de par sa forme et son assemblage, la possibilité de vibrer harmoniquement. Les polygones sont inscrits en plan, mais aussi en élévation. Lorsque l’on pratique-ra un rituel, ils se mettront en action vibratoire et ain-si feront « chanter les pierres ». Lorsque l’on pratique ici prière, chant ou méditation, nous nous mettons en com-munication avec l’édifi ce qui va répondre en amplifi ant la demande.

Les rapports de proportions sont essentiels. C’est pour-quoi, outre les nombres Pi et autres caractères propres à la géométrie sacrée on appliquera dans la mesure, le nombre d’or qui assurera le rythme vibratoire harmonique de l’édifi ce.

Église intérieure et extérieure

L'église et le calvaire.

L’église de Saint-Léon-sur-Vézère présente une autre particularité. La longueur de l’église reportée à l’extérieur sur le terre-plein Est détermine le positionnement du cal-vaire. Une église virtuelle est ainsi posée dans l’éthérique. À noter que les deux points sacrés, autel et calvaire sont

interconnectés par un vortex, double spirale énergétique qui tient les deux points à égale vibration. Comme pour la construction principale, il existe un quadrilatère solsti-cial à ce temple virtuel qui pourra être activé de la même façon que « l’original ».

Comment se sert-on de cet édifice ?

La consécrationLorsque la construction est terminée, l’église est consa-

crée. Tous le bois de charpente est récupéré pour être brû-lé. Dans la nef, une croix de saint André est tracée avec les cendres à l’image du quadrilatère solsticial de Rome. Puis seront gravés l’alphabet grec sur une ligne et l’alphabet latin sur une autre. Dans le rituel sont pris en compte les axes solsticiaux. C’est le côté solaire de la consécration. Ensuite l’évêque fait le tour de l’édifi ce afi n de bénir les murs, l’autel et les fonts baptismaux. La porte est fermée et l’évêque va frapper trois coups pour qu’on lui ouvre.

Les carrés magiques Les carrés magiques vont nous permettre d’activer

l’église. Les bâtisseurs, lorsqu’ils ont fait les plans, ont choisi des Nombres pour leur valeur énergétique et symbolique. Les Nombres sont des émanations divines. Nous avons vu que l’orientation de l’église est toujours un peu décalée par rapport aux axes solsticiaux ; ceci défi nit le rythme. À Saint-Léon-sur-Vézère, nous sommes sur un rythme de 19. Il s’agit d’un rythme de purifi cation, il nous confi rme que nous sommes bien dans une église de baptême.

Par les carrés magiques, les bâtisseurs vont nous don-ner la carte d’identité du bâtiment. Au seuil, on va inclure mentalement une grille de dédicace, un carré de 3 sur 3 (parfois 4). Chaque case donne une info dans l’éthérique. Sur la première ligne on va trouver le père, le fi ls et le saint du lieu ou Notre-Dame. Sur la deuxième ligne, des notes de musique et sur la troisième des couleurs ou des éléments. Pour l’église de Saint-Léon-sur-Vézère, il y a le père, le fi ls et saint Léonce, les notes sont ré, mi et la et pour les couleurs orange, jaune et bleu.

L’interrupteur ou SÉSAME

Point d'enclenchement extérieur.

3 - Il reviendra à Zarlino (1573) de caractériser la gamme diatonique se-lon des proportions directement dérivées de la série harmonique : Ra-tios : 1 - 9/8 - 5/4 - 4/3 - 3/2 - 5/3 - 15/8 – 2 et gamme diatonique : do ré mi fa sol la si do. Voir : http://accromath.uqam.ca/2007/02/la-construction-des-gammes-musicales/

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L’interrupteur ou le « Sésame » est basé sur un carré magique de Saturne de 3 cases par 3 qui va inclure les 9 premiers nombres. Le 5 sera toujours central, c’est l’homme vertical, l’homme qui se réalise. On va re-trouver la symbolique des nombres. Le carré Saturne est dit « magique » car il donne la possibilité d’activer les énergies de l’édifi ce. À Saint-Léon-sur-Vézère, nous en trouvons deux : un à l’entrée de l’église et l’autre devant la porte de la sacristie. Le prêtre va pouvoir les actionner juste avant la messe en marchant dessus. On peut les détecter intuitivement au pendule ou les retrouver par les tracés géométriques.

Au portail Ouest (à l’endroit où, autrefois, se tenait le Suisse avec sa hallebarde), il faut visualiser menta-lement le sésame et frapper 3 fois dans les mains. On modifi e ainsi brutalement l’ambiance énergétique en créant un mini chaos vibratoire. Ceci est l’équivalent des trois coups que le brigadier frappe au théâtre pour activer énergétiquement la salle et mettre en harmonie spectateurs et acteurs.

L’activation prend fi n au bout d’un temps, variable selon l’architecture et la masse de maçonnerie. L’éner-gie monte très vite et elle met environ 24 heures, après une messe, pour redescendre à son niveau initial. Les églises oubliées dans la campagne s‘éteignent, entrent en sommeil, mais on peut très bien les réactiver, par la prière, la méditation. Même fermées, comme on l’a vu, on peut travailler énergétiquement de l’extérieur.

Présentation du parcours de Saint-Léon-sur-Vézère

Tout d’abord, il est primordial de prendre le temps de s’harmoniser avec le lieu. Une fois l’interrupteur enclenché, nous pouvons entrer et accomplir un cheminement spécifi que ; le parcours du pèlerin par exemple. Ce parcours va nous permettre d’engran-ger des informations. Un deuxième parcours est pos-sible, celui de l’initié, il se pratique à un niveau de conscience diff érent.

Nous vous proposons le parcours de l’initié dans l’église de Saint-Léon-sur-Vézère : À l’entrée, sur le seuil, nous franchirons la pierre de décharge qui, comme son nom l’indique, absorbe les énergies pol-luantes que l’on traîne avec soi. Th éoriquement, lorsque des paroissiens entrent dans l’église pour la messe, le curé les accueille à la porte, pour les saluer d’une part mais aussi pour qu’ils passent sur ce point de décharge. Un nettoyage est nécessaire avant d’enta-mer le parcours énergétique.

Ici, nous commencerons par passer derrière le « bé-nitier fonts baptismaux », par le narthex. Puis nous allons faire un parcours qui active les chakras. Nous monterons par l’axe central puisque nous avons une église à nef unique. Dans les églises à collatéraux et déambulatoire le parcours sera diff érent, nous y re-viendrons.

Arrivé devant l’autel, nous le contournerons et stationnerons derrière car c’est un point hautement vibratoire. Lors de notre « redescente », nous passerons par une absidiole, puis par l’autre. Nous pouvons vé-rifi er que nous sommes convenablement rechargés en nous plaçant sous la clé de voûte d’une absidiole, les yeux fermés. Si l’on est bien aligné, on part en oscilla-tion. S’il ne se passe rien, recommencez un autre tour.

Lors de ce parcours, nous nous harmonisons et il ne faut pas ressortir par la porte d’entrée mais par la porte Nord, la porte des Initiés. Ceci nous permet d’éviter de repasser sur la pierre de décharge et de garder le plein bénéfi ce de ce que l’on a acquis. Le tracé du par-cours représente parfois la forme du Ankh égyptien, la clé de vie.

Les points d'activation pour l'intérieur.

Point d'enclenchement extérieur.

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SAcrŒe PlAnŒte n° 68 │ Février/Mars 2015 13

LIEU SACRÉS

Une règle nous dit « Deux choses alignées déter-minent à mi-distance d’elles une ligne d’infl uence ; sui-vant son orientation apparaît une ligne de force ». Le plexus solaire de l’intervenant qui se trouve face à l’autel, en haut des marches, est à mi-chemin entre la clé de voûte et la rivière souterraine. Si on a une clé de voûte à 20 m, il y a fort à parier qu’il y a une rivière souterraine à 20 mètres. Le plexus solaire – Tipheret, le point du cœur – se trouve vraiment en bascule entre les deux mondes. Aujourd’hui, dans nos églises, l’autel a changé de place, il n’est plus sur le point sacré, l’offi ciant n’est plus en bascule entre la voûte et la rivière souterraine, le prêtre est tourné vers les fi dèles et la chasuble tissée de fi l d’or et d’argent ne remplit plus son rôle. Le but était de focaliser les énergies venant de l’Est, côté d’où vient la Lumière, et de les renvoyer sur les fi dèles. Le prêtre avait un rôle d’intermédiaire entre les deux mondes…

L’acoustique

Le temple dans l'homme © AB.

Il y a 3 points énergétiques favorables : au milieu de la croisée du transept et dans le chœur. Pour chanter ici, une fois que l’on a monté les deux marches, met-tez-vous côté droit ou côté gauche, en regardant le cul de four, on transmet alors les harmoniques dans la nef. Lors des concerts donnés dans les églises, les choristes sont dans le chœur et les auditeurs dans la nef. Pour bien bénéfi cier de l’acoustique, il faudrait inverser les acteurs, c’est-à-dire mettre les choristes dans la croisée du transept et les auditeurs dans le chœur… mais on ne pourrait pas en accueillir beau-coup !

Par la suite, le son n’étant pas de qualité et l’har-monie absente, des micros sont utilisés pour ampli-fi er la musique. Mais non seulement on amplifi e la mauvaise qualité, mais aussi les pollutions électro-magnétiques qui vont aller s’engrammer sur la por-teuse libre du réseau Hartmann, et briser l’œuf de protection énergétique, créé à l’origine par le refou-lement de ce réseau à l’extérieur. Le rêve est rom-pu ! À cette pollution sonore, il faut ajouter celle du chauff age électrique et des spots qui ont remplacé

les cierges et bougies… Quoi qu’il en soit le charme opère dans cette église qui reçoit chaque été, avec quelques-unes de ses consœurs, le Festival de mu-sique classique du Périgord noir… qui présentait en 2014 sa 32e édition.

En guise de conclusionLes églises romanes sont de véritables creusets al-

chimiques. Par la richesse de leur œuvre, elles nous proposent d’entreprendre un pèlerinage sans cesse renouvelé, à chaque église, à chaque chapelle. Pèleri-nage non pas vers Compostelle, Rome ou Jérusalem, mais pèlerinage dans notre propre temple intérieur, afi n de suivre un parcours initiatique, un voyage alchimique intérieur, une alchimie spirituelle qui nous verticalise et nous fait lever la tête vers d’autres mondes.

Sachons profi ter de ces belles énergies proposées par ces remarquables bâtisses romanes qui nous donnent la possibilité d’accéder à d’autres niveaux de conscience.

MARIE-HÉLÈNE COURTAT

Tous les croquis et les photos sont d’Alain Balasse ©. Merci de ne pas les reproduire sans autorisation 05 53 50 58 53.

BIBLIOGRAPHIE

EN VENTE CHEZ

SACRÉE PLANÈTE P. 56

• Église Romane Chemin de Lumière de Jacques Bonvin & Raymond Montercy (Éd. Mosaïque, 2001).

• L’ombre du poteau et le Carré de la Terre de Jean-Paul Lemonde (Éd. Dervy, 1997).

• Résonances du sacré de G. Prat.

À TROUVER CHEZ

VOTRE LIBRAIRE• Le secret des cathédrales de Pierre-Alexandre Nicolas (Éd. Arcadis).• L’architecture invisible de G. Prat (Éd. Arkana Vox).

Le village de Saint-Léon-sur-Vézère.