dépliant - exposition baronesque

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du magazine Baron L’exposition annuelle du 13 avril au 20 mai 2011 magine Baron? Assoiffé de nouveauté, le magazine Baron s’intéresse à tout ce qui touche la culture, le design, la politique et le voyage. Les sujets qu’il traite sont vastes mais unis par un point commun très fort : la création d’idées. L’art diffuse des idées; la politique défend des idées; le voyage confronte les idées. Baron est donc, d’abord et avant tout, un magazine d’idées qui prône un style de vie axé sur la curiosité et le partage. Baron présente un tour d’horizon de ce qui se fait ici et ailleurs, dans tous les domaines de la création. Faire part de ses découvertes de façon pertinente afin de provoquer des échanges, de porter à la réflexion et d’inciter à l’action... c’est bien là l’essence de Baron. Vernissage 12 avril 17h à 19h Oerture de l’pition: du 13 avril au 21 mai 2011 Du lundi au vendredi De 9h à 17h et le samedi de 12h à 17h MAISON DU CONSEIL DES ARTS DE MONTRÉAL ÉDIFICE GASTON MIRON 1210, rue Sherbrooke Est Metro Sherbrooke www.baronmag.com Qu’est-ce que le rue sherbrooke est rue berri rue st-hubert avenue du parc lafontaine rue montcalm rue st-andré rue cherrier rue amherst rue wolfe rue saint-timothée Forum jeunesse de l’île de Un espace de concertation et d’action pour la jeunesse Montréal

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Dépliant de l'exposition Baronesque!

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Page 1: Dépliant - Exposition Baronesque

du magazine BaronL’exposition annuelle

du 13 avril au20 mai 2011

magazine Baron?Assoiffé de nouveauté, le magazine Baron s’intéresse à tout ce qui touche

la culture, le design, la politique et le voyage. Les sujets qu’il traite sont vastes mais unis par un point commun très fort : la création d’idées. L’art diffuse des idées; la politique défend des idées; le voyage confronte les idées. Baron est donc, d’abord et avant tout, un magazine d’idées qui prône un style de vie axé sur la curiosité et le partage. Baron présente un tour d’horizon de ce qui se fait ici et ailleurs, dans tous les domaines de la création. Faire part de ses découvertes de façon pertinente afin de provoquer des échanges, de porter à la réflexion et d’inciter à l’action...

c’est bien là l’essence de Baron.

Vernissage12 avril 17h à 19h

Ouverture de l’exposition:du 13 avril au 21 mai 2011

Du lundi au vendrediDe 9h à 17h

et le samedi de 12h à 17h

Maison du Conseil des arts de Montréal

Édifice Gaston Miron1210, rue Sherbrooke Est

Metro Sherbrooke

www.baronmag.com

Qu’est-ce que le

rue sherbrooke est

rue berri

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Un espace de concertation et d’action pour la jeunesseMontréal

Page 2: Dépliant - Exposition Baronesque

ous ce titre ludique et empreint de fantaisie, se cache la première exposition annuelle du magazine Baron qui veut recréer l’état d’esprit et l’univers de cette publication branchée sur l’actualité culturelle et politique. Baron met en valeur autant les jeunes créateurs débordant d’imagination que de jeunes entrepreneurs avides de nouveauté et de

créativité. Édité par Extra Caramel, une entreprise de marketing et création fondée en 2007 par Nelson Roberge et Leonardo Calcagno, tous deux cofondateurs également du journal BangBang axé sur la relève musicale, propriété aujourd’hui de VOIR. Baron se veut une source d’inspiration pour les lecteurs à l’affût de paroles alternatives et d’images déroutantes.

Et alors que le magazine Baron ouvre ses pages à la création la plus folle, le Conseil des arts de Montréal a voulu lui ouvrir ses portes et lui prêter les murs de sa Maison pour mettre en scène des œuvres qui en sont le vivant reflet, ou du moins, qui témoignent de l’hybridité dans laquelle aiment s’aventurer le design graphique, les arts visuels, la photographie, l’illustration… et ses excroissances les plus fertiles.

Le Conseil des arts de Montréal ayant fait le vœu d’encourager de façon plus marquée la relève, la diversité culturelle et l’émergence, notre institution a voulu participer à cette démarche en prenant le pouls de la jeune création sur la scène underground de l’art et exhiber les nouvelles formes d’expression d’une culture périphérique aux réseaux établis de l’art contemporain. Le magazine Baron en est la vitrine, un espace de convergence, le règne des mondes alternatifs et des voies parallèles.

Dans la multitude des propositions soumises lors de l’appel de dossiers, certaines se sont immédiatement démarquées par la force visuelle qu’elles dégagent et le sens de la dérision qu’elles véhiculent. Caméléonesques, travestissant les matériaux, pastichant ou mimant le réel, se frottant à un humour pop acidulé, élégantes reliques de notre société de consommation, ces œuvres oscillent entre lo-tech et hi-tech pour parler du plaisir de manipuler, construire et découper la matière, de faire sortir la peinture de son cadre et de faire tomber la sculpture de son socle. Détournant l’objet de sa fonction première, elles nous montrent que l’art s’infiltre partout, autant sur les pages d’un magazine culturel que dans une ancienne bibliothèque portée par le souffle de Gaston Miron.

Kirsten McCrea aborde la question de la mémoire collective en explorant les thèmes de la contradiction qui sous-tend la culture populaire et underground, la communication médiatique et les croyances populaires. Son plus récent travail s’intéresse notamment à la construction mythologique de figures politiques. Originaire d’Edmonton, l’artiste poursuit plusieurs projets qui militent pour la démocratisation et l’accessibilité de l’art.

Marc Dulude est un artiste multidisciplinaire dont le travail prend la forme d’installations, de sculptures, d’œuvres in situ et de photographies qui évoquent l’ambiguïté, le subterfuge ou le rapport intime. Fasciné par l’exploration de la matière et de ses possibilités, l’artiste désire proposer au spectateur une autre manière de voir les choses en lui faisant vivre des sensations suggérant l’imprévisible, l’excitation des sens et l’incitation au plaisir.

La pratique artistique de Guillaume

Brisson-Darveau s’inspire de l’étude

des concepts liés à l’art, à la culture,

au corps et au temps. Ses projets

sont réalisés à l’aide d’objets issus

de la culture populaire auxquels il

donne son propre sens. En explorant

le concept de l’ironie, Guillaume

Brisson-Darveau met en scène un

univers étrange et ambigu, composé

d’œuvres contradictoires et sujettes à

de multiples interprétations.

La photographe nous présente son Touski, un projet artistique basé sur la rencontre et l’échange. Cette série de portraits est un prétexte à la découverte de nouvelles personnalités, une façon d’assouvir le goût de connaître l’autre. Josée Lecompte croque ainsi différents sujets, tous habillés d’un collier confectionné à partir d’aliments, et met en scène pour mieux la révéler, leur attitude singulière et forte.

Elle n’apparaît pas sur les murs de l’exposition, mais présente un défilé de ses nouvelles créations conçues spécialement pour le vernissage de l’exposition Baronesque. Marie-Claude Guay est la créatrice derrière la ligne de vêtements Station 8. Elle s’inspire de l’époque glam et rock garage lorsqu’elle réalise ses confections sur mesure.

Kirsten McCrea

Marc DuludeGuillaume

Josée Lecompte Marie-Claude Guay

Julien Vallée est un designer graphique qui œuvre dans les domaines du design graphique, de la réalisation, du motion design et de la direction artistique. Son travail visuel explore la matérialité et les limites disciplinaires en combinant art manuel et art numérique. Inspiré par les incongruités du quotidien, Julien Vallée transpose, dans chacun de ses projets, un univers narratif dans lequel les objets connus acquièrent de nouveaux rôles.

Alice Jarry interprète son environnement de façon métaphorique. Sa recherche artistique qui porte sur la notion d’espace modulaire et de territoire imaginaire s’incarne dans des sérigraphies sur bois et sur papier, dans lesquelles sont incorporées plusieurs techniques. L’artiste explore la superposition et la recomposition de l’image afin de la sortir de son contexte pour lui insuffler une toute nouvelle trame narrative.

Mike Patten explore le vocabulaire de la sculpture et de la peinture moderne tout en déconstruisant le langage plastique conventionnel. L’artiste étudie la manière à travers laquelle les formes se déploient et se révèlent dans l’espace, afin de proposer un nouvel ordre spatial. Son projet pré-sente une mise en espace du concept de l’inaccessibilité qui joue sur la relation entre l’œuvre et son support.

Karine Fournier œuvre dans la couture artistique en créant des

installations d’art public. Le travail

de l’artiste mise sur l’effet de surprise et la spontanéité. Pour

ce faire, celle-ci utilise la laine et le textile dans des contextes

inattendus afin d’éveiller la curiosité du spectateur. Karine Fournier définit ses installations

aux couleurs chatoyantes comme

des offrandes aux lieux de tous

les jours qui sortent du paysage

tel un anachronisme.

La démarche artistique de Guillaume Simo-neau s’attarde principalement sur la notion de changement. La série d’images propo-sée par le photographe, ressemble à une étude typologique portant sur la complexité et la subtilité des moments de transition. Guillaume Simoneau adopte une esthétique documentaire non conventionnelle qui met l’accent sur la présence simultanée des concepts de puissance et de vulnérabilité, de force et de faiblesse.

Julien Vallée Alice Jarry Mike Patten Karine Fournier Guillaume Simoneau

www.simoneauguillaume.comwww.karinefournier.com

www.mikepatten.cawww.cinqunquatre.comwww.jvallee.com

www.hellokirsten.com

www.marcdulude.com www.guillaumebd.com

www.touskidejosee.comwww.marie-claudeguay.com

S

Brisson-Darveau