dÉpartement de l'energie et des mines 2016 · plan solaire : l’allemagne mobilise 400...
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SOMMAIRE
L’AIEA livre son rapport sur le Maroc.
Energies renouvelables : Ce que vaut le Maroc sur le marché mondial.
Energies renouvelables : Engie veut accélérer en Afrique.
L’université de Fès mise sur les énergies renouvelables.
L’Ombudsman chez l’OCP.
Samir : L’audience reportée.
Nucléaire : L’AIEA exhorte le Maroc à accélérer la cadence.
Règlement de conflits : OCP crée un bureau de l’Ombudsman.
Samir : Le 7 mars, date fa dique.
Plan solaire : L’Allemagne mobilise 400 millions d’euros pour Noor Midelt.
Généralisa on du gasoil 10 ppm : Plus qu’un mois pour liquider les derniers stocks 50
ppm.
Conseil arabe de l’eau : Le Maroc annonce au Caire la créa on prochaine du centre
Mohammed VI des études et recherches sur l’eau dans le monde arabe.
Agriculture, entrepreneuriat et électrifica on : Les principaux leviers de développe‐
ment en Afrique.
Electrifica on : La COP 22, une occasion à ne pas rater.
4ème AG du conseil arabe de l’eau au Caire.
Afilal : Créa on du centre Mohammed VI des études sur l’eau.
.ساوند إنيرجي" البريطانية تنقب عن الغاز بالمغرب"
.قرض ألماني جديد إلخراج المحطة الريحية ميدلت
.مياه عادمة صناعية تلوث سيدي بوعثمان
.ساوند إنيرجي" البريطانية تشرع في التنقيب عن النفط بالمغرب"
.بون" تجدد دعمھا التقني والمالي للمغرب في مجال الطاقة الشمسية"
.إلى مدير المكتب الوطني للكھرباء: سرقة التيار الكھربائي
في المائة. 48إنتاج المغرب للصلب يتراجع بنسبة
Info NET
mapexpress.ma
L’AIEA met l’accent sur la conformité du cadre législa f
nucléaire na onal aux standards interna onaux.
medias24.com Le Maroc aura son nucléaire vers 2030 au plus tôt.
maroc.ma Tenue au Caire des travaux de la 4è assemblée générale
du conseil arabe de l'eau.
infomediaire.net COP22 : Le Maroc s’intéresse au vélo.
maghress.com Le complexe "Noor", fournira de l'électricité aux con ‐
nents européen et africain.
infomediaire.net Groupe OCP : La nouvelle (très) bonne idée de Terrab.
yabiladi.com Un fossile découvert au Maroc permet de déterminer la
taille d’un dinosaure carnivore géant.
franceinfo.fr "Le nucléaire coûte 120 euros le MWh contre 80 pour
l'éolien" ?
maghress.com عي اإلطار مطابقة يؤكدون الذرية للطاقة الدولية الوكالة ووي التشري ن ال
الدولية. للمعايير الوطني
akhbarona.com مر ؤت المغرب يضع تزويد إفريقيا بالكھرباء على رأس جدول أعمال م
(صحيفة فرنسية). 22كوب
Eco‐Marché
www.mapexpress.ma
L’AIEA met l’accent sur la conformité du cadre législa f nucléaire na onal aux standards
interna onaux.
Rabat – Les experts de l’Agence interna onale de l’énergie atomique (AIEA) ont mis l’ac‐
cent, lundi à Rabat, sur la conformité du cadre législa f nucléaire na onal aux standards
interna onaux.
www.medias24.com
Le Maroc aura son nucléaire vers 2030 au plus tôt.
L’Agence interna onale de l’énergie atomique (AIEA) a rendu ce lundi son rapport d’éva‐
lua on des capacités nucléaires du Maroc, nécessaires à un programme électronucléaire.
Voici les principales conclusions de l’instance onusienne.
Après le solaire avec le lancement du complexe Noor à Ouarzazate, le Maroc s’a aque dé‐
sormais au nucléaire. Certes, cela prendra du temps, mais le Royaume prépare le terrain
pour le lancement de son programme électronucléaire.
«L’AIEA a réalisé un travail bien structuré qui va nous perme re d’évaluer nos réelles capa‐
cités pour l’u lisa on nucléaire dans tous les aspects. Le rapport est globalement posi f»,
affirme Abdelkader Amara, ministre de l'Energie, en présence des experts de l’Agence in‐
terna onale de l’énergie atomique (AIEA).
Ces derniers ont remis leur rapport final sur les capacités na onales nucléaires néces‐
saires à un programme électronucléaire.
La mission de l’organisa on interna onale qui s’est étalée sur 10 jours lors du mois
d’octobre 2015, a porté sur 19 domaines concernant les aspects à la fois techniques, ré‐
glementaires, de sûreté et sécurité, de ges on des déchets radioac fs, des ressources hu‐
maines ou encore de communica on.
Les principales conclusions
Selon le directeur de la division Energie nucléaire de l’AIEA, Dohee Hahn, «le Maroc dis‐
Info NET
pose d’une expérience et de compétences qui lui perme raient de lancer son programme
électronucléaire. En termes de ressources humaines et de capacités de forma on dans le
domaine nucléaire, nous avons apprécié la prise de conscience précoce du Maroc».
Si le rapport de l’AIEA est encourageant, les condi ons nécessaires pour le développement
d’une infrastructure nucléaire ne sont pas encore totalement réunies. L’instance onu‐
sienne a émis plusieurs recommanda ons au Maroc. Ces dernières sont «proposées lors‐
que les aspects liées à la réalisa on des condi ons de développement de l’infrastructure
nucléaire sont incomplets», indique le rapport.
Voici les principales recommanda ons de l’AIEA :
● Un meilleur engagement et implica on du gouvernement :
‐ Examen des résultats des travaux du CRED (Comité de réflexion sur l’électronucléaire et
le dessalement d'eau de mer par le nucléaire) entre les départements ins tu onnels con‐
cernés ;
‐ Renforcement de la composi on actuelle du CRED par l’implica on d’autres départe‐
ments ;
‐ La nécessité d’élaborer un plan directeur définissant les principaux objec fs et ac ons à
réaliser par les départements clés concernés (actualisa on et achèvement des études
existantes, réalisa on de nouvelles études, etc.) ;
● Développement du cadre législa f et réglementaire :
‐ Le renforcement des engagements du Maroc rela fs à la sûreté nucléaire par l’établisse‐
ment d’une stratégie na onale dédiée et les mécanismes de sa mise en œuvre ;
‐ L’élabora on d’un plan détaillé en vue de développer le cadre réglementaire nucléaire
na onal en applica on de la loi 142‐12 (Décrets, Arrêtés, Règlements techniques, etc.)
● Prépara on des en tés na onales clés pour la mise en œuvre du programme :
‐ Renforcement des capacités na onales en ma ère d’électronucléaire (Ressources hu‐
maines & leadership, Système de ges on intégré, Culture de sûreté et sécurité nucléaires,
etc.).
En outre, le rapport recommande au Royaume «d’iden fier les principales ac vités néces‐
saires pour développer l’infrastructure nucléaire et es mer les coûts appropriés afin de
planifier les besoins budgétaires futurs dans les départements ins tu onnels concer‐
nées », ainsi que « d’iden fier le financement poten el et procéder à la modélisa on fi‐
nancière ».
Quant à l’inves ssement, «à tre d’exemple, un réacteur nucléaire de 1.400 mégawa s
coûte entre 5 et 6 milliards de dollars», nous explique une source autorisée du Centre na‐
onal de l’énergie, des sciences et techniques nucléaires (CNESTEN).
Au jeu des comparaisons, la différence est de taille entre l’énergie nucléaire et l’énergie
solaire. Le complexe Noor, tout récemment inauguré par le Roi Mohammed VI, est d’une
puissance de 160 MW, environ 10 fois moins que la puissance énergé que d’une centrale
nucléaire.
Bref, la volonté du Maroc est bien présente, mais il reste encore beaucoup d’effort à faire
pour espérer voir la première infrastructure nucléaire au Royaume. «Le Maroc aura son
infrastructure nucléaire, mais ce n’est pas pour demain. De la date de prise de décision à
la produc on, il faut entre 12 et 15 ans. Nous ne verrons pas d’infrastructure nucléaire
avant 2030», nous confie notre interlocuteur.
www.maroc.ma
Tenue au Caire des travaux de la 4è assemblée générale du conseil arabe de l'eau.
Mme Afilal annonce la créa on prochaine du Centre Mohammed VI des études et re-
cherches sur l'eau dans le monde arabe.
La ministre déléguée chargée de l'Eau, Mme Charafat Afilal, a annoncé, dimanche au
Caire, la créa on prochaine du "Centre Mohammed VI des études et recherches sur l'eau
dans le monde arabe" au Maroc et ce, en large partenariat avec le Conseil arabe de l'eau.
La ministre a souligné, lors de la séance inaugurale des réunions de la 4è Assemblée géné‐
rale du Conseil arabe de l'eau, que ce Centre sera un espace de recherches, d'échanges et
de partage des compétences scien fiques, de l'exper se technique et d'expériences na‐
onales dans les domaines d'explora on des ressources hydriques et leur évalua on,
outre l'élabora on de plans d'aménagement des installa ons, la mobilisa on des eaux de
surface et souterraines, ainsi que leur ges on et leur préserva on.
Elle a ajouté que ledit Centre s'a èlera aussi à l'élabora on d'études stratégiques, la for‐
mula on de concep ons générales, et la réalisa on d'études prospec ves afin d'aider les
décideurs, les acteurs ins tu onnels et les intervenants dans le secteur de l'eau dans le
monde arabe à définir les poli ques publiques, les exécuter et les évaluer en vue de faire
face aux défis actuels et à venir, et surmonter les contraintes liées à l'eau.
Mme Charafat Afilal a formulé le souhait que ce Centre soit un ou l efficient pour faire
valoir le patrimoine hydrique arabe, son rayonnement et sa valorisa on avec tous les
moyens possibles, ainsi qu'un levier de promo on des secteurs en rela on avec l'eau dans
le monde arabe, en l'occurrence la recherche, le développement et la consulta on.
Et de poursuivre que compte tenu du souci de faire en sorte que ce Centre puisse appor‐
ter des solu ons efficaces et efficientes aux divers aspects de la probléma que de l'eau
dans la région arabe, 'nous entourons d'un grand intérêt les différentes étapes de sa créa‐
on en vue de réunir les condi ons requises de sa réussite''.
Elle a rappelé dans la foulée que l'étape d'élabora on des documents rela fs à sa créa on
a pris le temps nécessaire, affirmant qu'une importance par culière a été accordée à la
prépara on et à la formula on de ses documents de référence, et à l'étude stratégique y
afférente, dont les résultats ont été approuvés récemment.
La ministre délégué a lancé, dans ce sens, un appel à tous afin de booster le sou en au
Centre Mohammed VI des études et des recherches hydriques, et à la mobilisa on pour
accélérer les travaux d'aménagement et d'équipement du Centre, dont les travaux de réa‐
lisa on seront bientôt lancés, notant à cet égard que le Maroc prendra en charge la ma‐
jeure par e des financements.
Selon la ministre, l'Ecole Hassaniya des Travaux Publics (EHTP) de Casablanca qui va ac‐
cueillir ce Centre a consacré une superficie d'environ un hectare pour la construc on de
son siège permanent.
Et d'ajouter que le Centre, qui va fournir des presta ons de haute qualité pourra être opé‐
ra onnel, après l'achèvement des procédures de sa réalisa on, grâce aux bâ ments et
équipements mis provisoirement à sa disposi on par l'EHTP, et ce après leur aménage‐
ment pour les adapter aux exigences des missions qui incombent au Centre.
La ministre a souligné, par ailleurs, la nécessité de conjuguer les efforts en vue de remé‐
dier à la probléma que des ressources hydriques dans les pays arabes, me ant en avant
le devoir de mobilisa on des énergies pour limiter son impact et prévenir le danger immi‐
nent qu'elle représente.
Mme Afilal a rappelé par la même occasion que le Maroc va abriter la prochaine session
du Conseil ministériel de l'eau, et son organisa on, a‐t‐elle dit, est prévue début sep‐
tembre prochain en parallèle avec le 3è Forum arabe de l'Eau.
Elle a plaidé dans ce sens pour une forte présence à cet événement de grande importance
et ce, dans la perspec ve de la par cipa on aux ac vités de la 22è session de la confé‐
rence mondiale sur le climat (COP22) qui aura du 7 au 18 novembre 2016 à Marrakech.
Début au Caire des travaux de la 4è assemblée générale du conseil arabe de l'eau, avec
la par cipa on du Maroc
Les travaux de la quatrième assemblée générale du conseil arabe de l'Eau ont démarré,
dimanche au Caire, avec la par cipa on du Maroc.
Au menu de ce e session, qui se ent sous la présidence de l'Emir Cheikh Khaled Ben Sul‐
tan Ben Abdelaziz, président d'honneur du conseil, les par cipants examineront notam‐
ment les moyens de promouvoir les ressources en eau non tradi onnelles au niveau des
pays arabes, ainsi que les réalisa ons accomplies par le conseil au cours des trois der‐
nières années et son plan d'ac on pour les prochaines années.
Dans une allocu on lors de la séance d'ouverture de ce e réunion, la ministre déléguée
chargée de l'Eau, Chara Afilal a souligné l'adhésion du Maroc à ce e ini a ve de mise en
place de ce conseil, soulignant que ce e instance, toujours a achée aux principes ayant
présidé à sa créa on, cons tue un mécanisme pour la proposi on des solu ons et la mise
en œuvre des programmes sur le terrain en ma ère de ges on globale et intégrée des res‐
sources hydriques dans le monde arabe.
Après avoir souligné que ce e 4è assemblée générale intervient au moment où la Oumma
arabe traverse une conjoncture par culière et décisive et fait face à de nombreux défis, se
rapportant notamment aux effets des changements clima ques sur les réserves en eau et
leur impact sur les chan ers de développement, la ministre a fait savoir que 13 pays
arabes figurent parmi les 20 pays qui souffrent le plus de la pénurie d'eau, alors que le vo‐
lume d'eau annuel disponible par personne ne dépasse pas actuellement 200 m3 dans
huit pays arabes.
Ainsi, a‐t‐elle expliqué, l'efficacité de la poli que adoptée par les pays arabes en la ma‐
ère se mesure par sa contribu on et sa réussite à relever le défi de la consécra on d'une
économie compé ve et solidaire en vue de réaliser un développement équilibrée et du‐
rable.
Mme Afilal a, dans ce sens, mis l'accent sur la nécessité de déployer davantage d'efforts
pour la mise en œuvre des principes du développement durable, de la ges on globale et
intégrée des ressources en eau (souterraines et de surface) et de la nouvelle gouvernance,
outre l'élabora on des solu ons en partenariat entre les secteurs public et privé dans
l'objec f de maîtriser les déséquilibres entre l'offre et la demande de ce e ma ère vitale.
Et de poursuivre que les pays arabes sont appelés à renforcer leur capacité et leur coopé‐
ra on bilatérale en vue de préserver les acquis, me re à profit les exper ses et expé‐
riences acquises pour améliorer la rentabilité des inves ssements dans ce domaine, palier
aux déséquilibres dont souffre le secteur et trouver les solu ons efficaces pour faire face
aux effets des phénomènes clima ques qui menacent la région en ère.
De son côté, le président du conseil, Mahmoud Abou Zayd s'est a ardé sur les grands dé‐
fis qui se dressent devant la ges on efficiente des ressources en eaux à l'échelle de la ré‐
gion arabe, notamment dans les domaines de l'u lisa on et la distribu on d'eau, des con‐
flits et de la dégrada on de l'environnement.
L'inves ssement dans ce domaine ne suffit pas pour relever ces défis, a‐t‐il es mé, souli‐
gnant la nécessité d'adopter des lois appropriées et d'introduire des réformes aux poli‐
ques adoptées dans ce domaine.
La séance d'ouverture a été marquée par la signature de trois mémorandums d'entente
avec des organisa ons arabes, régionales et interna onales, visant le renforcement de la
coopéra on pour faire face aux défis et aux ques ons de l'eau et du climat au niveau la
région arabe et ce, dans le cadre de l'ini a ve de la Ligue arabe rela ve aux menaces du
climat dans leur rela on avec la sécurité alimentaire, la pénurie d'eau et la précarité so‐
ciale.
En marge de ce e réunion de deux jours, qui se ent en collabora on entre le Conseil
arabe de l'eau, l'Organisa on des Na ons unies pour l'Educa ons, la Science et la Culture
(UNESCO) et l'Organisa on des Na ons Unies pour l'alimenta on et l'Agriculture (FAO, bu‐
reau de Caire), "l'ini a ve des eaux arabes non tradi onnelles" devrait également être
lancée.
www.infomediaire.net
COP22 : Le Maroc s’intéresse au vélo.
Il y a eu les Champs‐Elysées en èrement réservés aux vélos un week‐end d'octobre, orga‐
nisa on française de la COP21 oblige, il pourrait y avoir des boulevards sans voitures dans
les principales villes du Maroc, alors que Marrakech accueillera la prochaine conférence
climat, la COP22, au mois de novembre prochain.
"Nous allons promouvoir le cyclisme comme moyen de transport qui protège l'environne‐
ment", explique le Président de la Fédéra on royale marocaine de cyclisme (FRMC) cité
par le site français DirectVelo. L'événement ‘‘Rabat Vélo’’, qui se déroule tous les 6 avril
depuis 2010 et qui ouvre les rues de la capitale marocaine aux cyclistes, pourrait ainsi
s'étoffer et s'étendre à d'autres villes du Royaume.
La promo on du vélo rejoindrait d'autres opéra ons en vue de la COP22, le Maroc s'étant
engagé à réduire de 13% ses gaz à effet de serre d'ici 2030 et à produire 52% d'énergies
renouvelables d'ici 2020.
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Le complexe "Noor", fournira de l'électricité aux con nents européen et africain.
Le complexe solaire de Ouarzazate "Noor" ouvre des perspec ves prome euses pour le
Maroc en ma ère de produc on d'énergie électrique à par r de l'énergie solaire, a décla‐
ré récemment, à Ouarzazate, le ministre fédéral allemand de Coopéra on économique et
du Développement, Gerd Muller.
Il s'est, par la même, félicité de la mise en service de la centrale "Noor I", ainsi que du lan‐
cement des travaux de réalisa on des 2e et 3e centrales de ce mégaprojet, soulignant que
la créa on de ce complexe est de nature à fournir aux con nents européen et africain
l'énergie électrique et contribuer également à réduire les émissions du gaz à effet de
serre.
M. Muller a tenu à rappeler l'excellence des rela ons unissant le Maroc et l'Allemagne,
réitérant l'appui technique et financier de son pays au Royaume pour réaliser des projets
similaires.
De son côté, le président du Directoire de Masen (Moroccan Agency For Solar Energy),
Mustapha Bakkoury s'est félicité de ce e coopéra on fructueuse et construc ve, et de la
confiance commune entre les gouvernements marocain et allemand qui a contribué à la
réalisa on de ce projet ambi eux, relevant que le projet de réalisa on du complexe so‐
laire Noor contribue au développement socio‐économique et culturel de la région, au dé‐
senclavement de plusieurs villages avoisinants et à l'émergence de nouveaux produits tou‐
ris ques, au service du rayonnement à l'interna onal de la province d'Ouarzazate.
A l'occasion de ce e visite, le représentant de l'Agence allemande de la coopéra on inter‐
na onale (GIZ) a remis des équipements et engins u lisés dans l'énergie solaire au profit
de la Faculté polydisciplinaire de Ouarzazate dans le cadre de la coopéra on bilatérale.
Par la suite, le ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Abdelka‐
der Amara, M. Muller et M. Bakkoury ont signé la Déclara on de la rencontre de Ouarza‐
zate visant à me re en relief la coopéra on fructueuse et construc ve liant les gouverne‐
ments allemand et marocain et à instaurer des bases pour la coopéra on dans des projets
d'énergies renouvelables et d'efficacité énergé que au Maroc.
Cet accord vise la poursuite de l'appui technique, technologique et financier pour le gou‐
vernement marocain et la promo on du développement économique et de l'environne‐
ment durable, ainsi que de la coopéra on entre les deux par es dans la lu e contre les
changements clima ques au niveau mondial.
La déléga on allemande était composée de l'ambassadeur d'Allemagne au Maroc, du res‐
ponsable de la Banque allemande pour le développement et la reconstruc on (KFW), des
représentants de la GIZ et d'une importante déléga on média que allemande.
A rappeler que les sources de financement du projet sont la Banque mondiale, la Banque
africaine de développement (BAD), la Banque européenne et la KFW, l'Agence française
de développement (AFD), en plus d'un don de la Commission européenne (30 millions eu‐
ros) et 15 millions d'euros du gouvernement allemand.
Par cipant à la diversifica on du bouquet énergé que na onal, la Centrale Noor I s'inscrit
en droite ligne de la vision Royale d'op miser l'exploita on des ressources naturelles du
Maroc, de préserver son environnement, de pérenniser son développement économique
et social et d'assurer l'avenir des généra ons futures.
La réalisa on de la Centrale Noor I, la plus grande centrale monoturbine au monde à ce
jour avec une capacité de produc on de 160 MW, est une étape importante dans la mise
en œuvre des grands projets d'énergies renouvelables, en ligne avec l'objec f de porter la
part des sources renouvelables dans le mix électrique na onal de 42% en 2020 à 52% en
2030, tel qu'annoncé par SM le Roi Mohammed VI à l'occasion de la COP 21 à Paris.
Le complexe Noor Ouarzazate abritera un parc à thèmes de 16 hectares dont le tracé re‐
produit celui de la carte du Royaume, ainsi que des équipements structurants, dont un bâ‐
ment mul fonc onnel comprenant des espaces dédiés à l'exploita on et au fonc onne‐
ment du site, un auditorium, une médiathèque, une tour belvédère offrant une vue pano‐
ramique.
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Groupe OCP : La nouvelle (très) bonne idée de Terrab.
Le Groupe OCP annonce la créa on du bureau de l’Ombudsman, organe de média on mis
à la disposi on des par es prenantes externes du Groupe, incluant notamment ses clients
et fournisseurs, les ONG et toute autre par e en interac on avec ses en tés. Soucieux de
conserver de bonnes rela ons avec son écosystème, le Groupe OCP lance le bureau de
l’Ombudsman dont la mission essen elle est de recevoir les doléances et de promouvoir
les règlements amiables. L’ac on de l’Ombudsman, conforme aux standards interna o‐
naux en la ma ère, permet d’instruire les dossiers après une écoute approfondie des
différentes par es dans le respect des réalités des faits.
L’Ombudsman organise ensuite une média on et propose aux par es une solu on de rè‐
glement, équitable et objec ve, du désaccord dont il a été saisi.
A noter que le bureau de l’Ombudsman ‐ ins tu on totalement indépendante de la struc‐
ture organisa onnelle du Groupe OCP ‐ est une interface neutre ne représentant ni le
Groupe OCP, ni les par es prenantes impliquées des née à proposer des solu ons
amiables aux différends dans le strict respect des principes de confiden alité et d’impar‐
alité.
Il est également inves de la fonc on de préven on des conflits entre le Groupe OCP et
ses par es prenantes. A ce tre, l’Ombudsman peut s’autosaisir de toute probléma que
qu’il juge sensible et entrant dans le cadre de l’exercice de ses missions.
Par ailleurs, les par es prenantes externes peuvent saisir le bureau de l’Ombudsman du
Groupe et présenter leurs doléances et préoccupa ons en vue d’abou r à des solu ons
amiables et équitables. Ce e saisine doit être réalisée conformément aux modalités pra‐
ques comme s pulées sur le site internet www.ombudsman‐ocp.org. Enfin, l’Ombuds‐
man s’érige en force de proposi on en adressant à la Direc on Générale d’OCP des re‐
commanda ons contribuant à la solu on des probléma ques récurrentes et au renforce‐
ment des rela ons de confiance entre le Groupe OCP et ses par es prenantes externe.
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Un fossile découvert au Maroc permet de déterminer la taille d’un dinosaure carnivore
géant.
Décidément, les fossiles retrouvés au Maroc restent déterminants pour comprendre la vie
des dinosaures. Des chercheurs européens ont mis à jour grâce à un fossile retrouvé au
Maroc sans doute le plus grand abelisaure jamais trouvé jusqu'à présent.
C’est dans le cadre de ses travaux de recherches qu’Alessandro Chiarenza, doctorant à
l'Imperial Collège de Londres, s’est intéressé à un fémur fossilisé retrouvé au Sud du Ma‐
roc, dans la province d’Errachidia, rapporte le site spécialisé Phys. Pour la pe te histoire,
c’est lors d’une visite au Musée de géologie et paléontologie de Palerme en Italie, qu’il
tombe inopinément sur ce fossile oublié dans un roir.
Avec un autre chercheur de l’Université de Bologne, Andrea Cau, ils ob ennent l’autorisa‐
on de mener leur étude et démarrent les travaux. Ils découvrent alors que l’os apparte‐
nait à un abelisaure, une famille de dinosaures théropodes. Ils parcouraient la Terre il y a
environ 95 millions d'années, à la fin du Crétacé. Le nord de l’Afrique en général et le Ma‐
roc en par culier qui était, à l’époque, une savane luxuriante sillonnée par les rivières et
les marécages de mangroves aurait fourni à ce e espèce, ainsi qu'à d'autres dinosaures
un habitat idéal.
Un des plus grands abelisaures jamais trouvé
L’abelisaure auquel appar ent le fémur étudié devait mesurer neuf mètres de long envi‐
ron et peser entre une et deux tonnes, selon les résultats obtenus par les chercheurs. Ce
qui en fait poten ellement l'un des plus grands abelisaures jamais trouvé. Les scien ‐
fiques ont eu ainsi des pistes pour déterminer les tailles maximales qu’ont peut‐être
a eindre ces dinosaures au cours de leur vie. A noter que les fémurs fossilisés sont prisés
par les paléontologues, car leur étude –à par r de leur posi on dans le squele e‐ permet
de déterminer la taille globale du dinosaure.
« De plus pe ts fossiles d’abelisaure ont été précédemment retrouvés par des paléonto‐
logues, mais la présente découverte montre vraiment comment ces prédateurs carnivores
étaient devenus énormes », explique Alessandro Chiarenza. «Leur apparence a pu avoir
l’air un peu bizarre, car ils ont probablement été couverts de plumes avec des membres
antérieurs minuscules, inu les, mais qu'on ne s'y trompe pas ils étaient des tueurs
effrayants à leur époque», a‐t‐il ajouté.
Des richesses scien fiques parfois négligées
Andrea Cau a, pour sa part, tenu à souligner l’improbabilité qui entourait ces travaux de
recherche. « Alors que les paléontologues s’aventurent généralement dans des endroits
éloignés et inaccessibles, comme les déserts de Mongolie ou les Badlands du Montana,
notre étude montre comment les musées jouent encore un rôle important dans la préser‐
va on de spécimens de valeur scien fique primaire, où parfois les surprises les plus
ina endues peuvent être découvertes », a‐t‐il déclaré, avant d’ajouter : « comme Stephen
Gould, un paléontologue et biologiste évolu onniste influent, a dit une fois, parfois les
plus grandes découvertes sont faites dans les roirs du musée ». Ce qui pourrait aussi sou‐
lever la ques on du devenir des fossiles retrouvés au Maroc.
Le royaume est en tout cas devenu un lieu de fouille de prédilec on pour les paléonto‐
logues étrangers comme na onaux. Il y a encore deux semaines, des chercheurs maro‐
cains annonçaient la découverte d’un important gisement de dinosaures à Figuig. Généra‐
lement, ces fossiles sont conservés dans les musées à l'étranger, jusqu’à ce qu'un cher‐
cheur s'y intéresse ou le découvre à tout hasard comme dans le cas présent, dont la date
de trouvaille n'a pas été précisée.
Les dinosaures prédateurs ont-ils coexisté en Afrique du Nord ?
Une étude compara ve avec les différents fossiles de dinosaures prédateurs découverts
dans la région nord-africaine – à savoir le Carcharodontosauridae, le Spinosauridae et Ce-
ratosauria- a poussé les scien fiques à faire des recherches sur leur probable coexistence
dans la région à la fin du Crétacé. Mais Chiarenza et Cau es ment que ces groupes de di-
nosaures prédateurs peuvent ne pas avoir coexisté si étroitement ensemble. Ils pensent
plutôt que les modifica ons géologiques peuvent être à l’origine du rassemblement de ces
fossiles à un seul endroit. Une deuxième étude plus précise devrait être réalisée prochaine-
ment.
www.franceinfo.fr
"Le nucléaire coûte 120 euros le MWh contre 80 pour l'éolien" ?
L'affirma on vient du nouveau secrétaire général d'EELV. D'après David Cormand, l'électri‐
cité produite par le nucléaire serait donc beaucoup plus chère que celle venant de l'éo‐
lien... Très exagéré, pour l'instant.
Le souci dans l'affirma on de David Cormand ne vient pas vraiment de l'éolien. La Com‐
mission de régula on de l'énergie et le Syndicat des énergies renouvelables sont d'ac‐
cord : le coût de produc on de l'éolien terrestre se situe bien entre 80 et 90 euros le mé‐
gawa heure.
C'est plutôt le coût de produc on du nucléaire qui pose problème dans la déclara on du
secrétaire général d'EELV. Un sujet sensible où les chiffres varient beaucoup en fonc on
des sources et des par s pris... Mais il y a un document cité en référence à la fois par EDF
et Greenpeace, publié en mai 2014 par la Cour des comptes.
60 euros le MWh pour le nucléaire
Ce rapport, in tulé sobrement "Le coût de produc on de l'électricité nucléaire", se base
sur le "coût courant économique" en MWh. Concrètement, il prend en compte les dé‐
penses d'exploita on, les inves ssements sur le parc existant, la provision pour ges on
des déchets et du combus ble usé, la provision pour démantèlement et le "loyer écono‐
mique" annuel constant.
Résultat : le coût de produc on de l'électricité nucléaire était de 59,8 euros le MWh en
2013. Soit deux fois moins que ce qu'affirme David Cormand... et une vingtaine d'euros de
moins que le coût es mé de l'éolien terrestre. Ceci dit, le secrétaire général d'EELV pour‐
rait avoir raison trop tôt.
Hausse des inves ssements de maintenance et de sûreté
Toujours d'après la Cour des comptes, le coût de produc on de l'électricité nucléaire a
grimpé d'une dizaine d'euros le MWh entre 2010 et 2013. Et l'augmenta on devrait se
poursuivre dans les années qui viennent, surtout si la durée de vie des centrales est effec‐
vement prolongée.
La Cour des comptes explique par exemple que "les inves ssements de maintenance, en
par culier de sûreté, n’ont pas encore a eint leur maximum ; ils devraient encore sensi‐
blement progresser jusqu’en 2017, avant de commencer à diminuer".
Dans ces inves ssements, la Cour inclut notamment les travaux nécessaire liée aux tra‐
vaux liés à l'après‐Fukushima mais aussi les dépenses liées au prolongement de la durée
d'exploita on des centrales actuelles au‐delà de 40 ans. Des inves ssements qui avaient
déjà plus que doublé et expliquent la moi é de la hausse du coût de produc on entre
2010 et 2013.
La construc on de l'EPR va peser sur le coût du nucléaire
Par ailleurs, les calculs de la Cour de comptes se basent uniquement sur le parc actuel de
centrales nucléaires, car elle n'est pas en capacité de calculer le coût de produc on futur
de l'EPR, le réacteur nouvelle généra on. "Toutefois, au regard de l'importance des coûts
de construc on (...), il est probable que leurs coûts de produc on seront sensiblement su‐
périeurs à ceux du parc actuel", notait le rapport.
Or à l'époque des travaux de la Cour des comptes, la facture du site de Flamanville était
es mée à 8,5 milliards d'euros pour un début de produc on en 2017. Depuis, EDF a an‐
noncé un surcoût supplémentaire de deux milliards d'euros et une mise en service fin
2018.
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الدولية. للمعايير الوطني النووي التشريعي اإلطار مطابقة يؤكدون الذرية للطاقة الدولية الوكالة
ن أمس الذرية، للطاقة الدولية الوكالة خبراء أكد اط، االثني رب ال ة ب ق طاب عي اإلطار م شري ت ووي ال ن وطني ال ال
ا، لبعثة مھمة ختام في صدر تقرير في الوكالة، وأبرزت .الدولية للمعايير ان خبرائھ د ك م ق ه ت شھر في إطالق
درات شامل تقييم إنجاز بھدف ،2015 أكتوبر ق ة لل ووي ن ة ال ي وطن ة ال امج الضروري رن ب اء ل رب ھ ك ة، ال ووي ن ال
.النووي الميدان في والخبرات المعارف مجال في المغرب ومكتسبات مؤھالت
م، عن الوكالة خبراء أعرب البشري، المال رأس وبخصوص رھ دي ق ذا إطار في ت ر ھ ري ق ت ذي ال م ال ل وم س ي ال
مغرب المبكر للوعي االثنين، ر مجال في لل طوي وارد ت م ة ال شري ب درات ال ق ن ول وي ك ت ي في ال دان ي وم م ل ع ال
ة بالوكالة النووية الطاقة قسم مدير سجل المناسبة، وبھذه .النووية والتكنولوجيات ي ة الدول طاق ل ة، ل ذري دوھي ال
ر من الرفع قصد الوكالة، توصيات لتفعيل عمل مخطط وضع على المغرب تشجع الوكالة أن ھاھن، طوي ذا ت ھ
.بالمغرب القطاع
د والبيئة، والماء والمعادن الطاقة وزير ذكر جھته، من ادر عب ق ارة ال أن ،اعم مغرب ب ع ال ن ت ق دور م ال ام ب ھ ال
ات ومكافحة الوطنية، الطاقية التبعية من التقليص أجل من النووية للطاقة اث ع ب ازات ان غ ة ال ب ب س م اس ال ب الحت ل
.البحر مياه تحلية أجل من وكذا المناخية، التغيرات آثار من والحد الحراري،
اء توليد أن الطاقية، استراتيجيتھا إطار في تعتبر، المغربية الدولة" أن اعمارة وأكد ة من الكھرب طاق ة ال ووي ن ال
."البعيد المدى على الوطني الطافي المزيج في االعتبار بعين أخذه يتعين خيارا يمثل
ة الوكالة تقدمه الذي للدعم ارتياحه عن الوزير أعرب أخرى، جھة من ة الدولي طاق ل ة، ل ذري ذ ال ن ود م عدة، عق
ة، التطبيقات خالل من المعنية الوطنية المؤسسات لمختلف ووي ى سواء الن وى عل داد مست جاز إع رامج وإن ب ال
.الوطنية والعلمية التقنية والقدرات الكفاءات وتطوير التكوين صعيد على أو الوطنية،
ة أعضاء مع بشراكة بھا القيام تم خبراء، عشرة حوالي تضم التي البعثة، ھذه أشغال أن إلى اإلشارة وتجدر لجن
ة الكھرباء حول التفكير ووي ن ة ال ي ل ح اء وت حر، م ب تي ال م ال ا ت ة إرساؤھ ة وزارة طرف من 2009 سن طاق ال
ذا والتنظيمية التقنية بالجوانب تتعلق مجاال 20 حوالي على البعثة وانكبت .والبيئة والماء والمعادن ة وك السالم ب
.وغيرھا والتواصل البشرية والموارد اإلشعاعية النفايات وتدبير واألمن
طاعات عن ممثلين تضم التي البحر، ماء وتحلية النووية الكھرباء حول التفكير لجنة وأنجزت ة ق طاق اء ال م وال
اء الوطني والمكتب النووية والتقنيات والعلوم للطاقة الوطني والمركز والبيئة رب ھ ك ل اء ل م ح وال شرب الصال ل ل
ة والجامعات الصحة لوزارة التابع اإلشعاعات من للوقاية الوطني والمركز ي ع ن وجم دسي ن ھ م دسة في ال ن ھ ال
النووية. الوطنية للقدرات الذاتي للتقييم دراسة بالمغرب، النووية
وب ونيجيريا كينيا مثل البلدان من العديد أن يذكر ا وجن ي ق ري ارات إف ة واإلم ي رب ع حدة ال ت م ا واألردن ال ي رك وت
ة المتعلقة الخدمات من استفادت أن لھا سبق وفيتنام وتايالند وبولونيا وبيالروسيا ث ع ة بب ال وك ة ال ي دول ة ال طاق ل ل
.الذرية
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(صحيفة فرنسية). 22المغرب يضع تزويد إفريقيا بالكھرباء على رأس جدول أعمال مؤتمر كوب
ى رأس جدول اء، عل رب ھ ك ال كتبت صحيفة (ليزيكو) الفرنسية اليوم االثنين ان المغرب يضع تزويد إفريقيا ب
) المقرر تنظيمه في نونبر المقبل بمراكش. 22أعمال مؤتمر االمم المتحدة حول المناخ (كوب
مر ؤت ك خالل م ل ذل وي م وأبرزت الصحيفة التزام المغرب في الدفاع عن قضية تزويد افريقيا بالكھرباء، وت
دار 22(كوب ال نصرم ب م وع ال ظم االسب ذي ن ة ال ي م ن )، المعبر عنه في المنتدى الدولي االفريقي الرابع للت
البيضاء، فضال عن المشاريع الكبرى للمملكة في مجال الطاقات المتجددة.
ى 600وقالت الصحيفة ان نحو وج ال ول م ال ھ طاعت مليون افريقي أي أزيد من نصف سكان القارة ليس باست
الكھرباء، مشيرة الى ان المغرب ينتج ربع طاقته من الكھرباء انطالقا من الشمس والرياح والسدود.
ة ة نسب ي طاق واضافت ان ھذه النسبة تفوق نظيرتھا في فرنسا حيث تصل حصة الطاقات المتجددة من باقتھا ال
ة 52في المائة، مشيرة الى ان المغرب الذي يھدف الى تحقيق نسبة 19.3 زة 2030في المائة سن ف حقق ق
تكنولوجية في قطاع الكھرباء.
ان 3) و(نور 2واكدت الصحيفة ان المحطتين المستقبليتين للطاقة الشمسية (نور ادرت ان ق ) بورززات، ستكون
ة سي ة الشم طاق ار ال على تخزين الكھرباء حتى ثماني ساعات بعد غروب الشمس، مضيفة انه إذا كانت اسع
ن 80تصل الى ي 35اورو للميغاوات ساعة في اخر طلبات العروض التي تم اطالقھا بأروبا، فإنھا تتراوح ب
أورو في المغرب حيث اشعة الشمس قوية. 40و
Eco‐Marché
OPEC 30,13 $/baril ‐0,0198
Brent (IPE) 35,97 $/baril 0,0248
GAZ Gaz naturel 1,71 $/MBTU ‐0,045
PETROLE
(Sources : http://www.oil-price.net . http://www.opec.org )
Energie – Mines
Cuivre 4 681 $/T 0,0061 Plomb 1 714 $/T 0,0035
Zinc 1 740 $/T ‐0,012 Or 1 234 $/Once 0,0026
Argent 1 490 Cts/Once 0,0116 Aluminium 1 588 $/T ‐0,0072
Nickel 8 405 $/T ‐0,011 Etain 16 100 $/T ‐0,0062
(Source : http://bourse.lesechos.fr/matieres_premieres.phtml)
Métaux
Euro 10,747 ‐0,0032 10,812 ‐0,0032
Dollar US 9,8755 0,0050 9,9348 0,0050
£ Sterling 13,693 ‐0,0023 13,776 ‐0,0023
(Source : http://www.bkam.ma)
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