deauville - kiwanis · avec arena et le cirque medra- ... les enfants ont donc reçu des friandises...

District France MonacoJuillet - Août - Septembre 2016N° 149S

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AvrilMaiJuin2019

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DeauvilleLes enfants sont rois !

3 Éditorial

4 International Sous la tutelle de la Francopho-

nie, une longue histoire d’amitié avec la France

Cambrai et Husi réalisent une action commune

Jumelage

Une fois par an, mobilisation planétaire contre le fléau des maladies rares

8 Vie du District

Un réel enjeu pour le District

Actifs, réactifs mais pas négatifs !

Green de l’espoir Le golf au service d’une juste cause

Alain Baert : Une vie de combat contre le naevus

Une nouvelle technique de recrutement d’entreprise au service du Kiwanis ?

Naevus : le nouveau partenariat avec ARENA et le cirque MEDRA-NO est déjà efficace

L’indéfectible soutien du District France-Monaco à « Colosse aux pieds d’argile »…

Pour la constitution des archives nationales, Gérald PARANT en ap-pelle à toutes les bonnes volontés !

18 Congrès de Deauville

Histoire de la Normandie Du Duché de Normandie à la Région Normandie

Le succès du Congrès ? Celui d’une équipe et de parte-naires !

Le « Paris Deauville », un nectar pâtissier du chef Eric FRECHON

Inscriptions Congrès 2019

22 Vie des Divisions

Le Centre Provençal de la Muco-viscidose (CPM) reçoit la visite de Marie-Christine VIARD

Une réunion aux fragrances du Bassin d’Arcachon…et du Tyrol !

24 Vie des clubs

Sommaire

27 mars : Réunion de

division Haute Normandie-Eure

30 mars : Réunion de division

Pays de l’Adour

6 avril : Réunion de division Rhône

Loire et Savoie Pays de l’Ain

12 et 13 avril : Congrès Roumanie

4 mai : Réunion de division

Champagne Ardennes

17 et 18 mai : CA et congrès

de Deauville

24 et 25 mai : Congrès Européen

à Reykjavik

Agenda Gouverneur 2018-2019

Marie-Christine Viard

Directrice de la publicationMarie-Christine Viard

Conception et impressionImprimerie la Renaissance10150 Pont-Sainte-MarieTél. 03 25 70 44 70

Rédacteur en chefThierry Bret

Comité de Rédaction et de RelectureJacques Denem,Jean-Marie Hannebicque,Alain Lenta.

Association de Clubs Kiwanis France - Monaco2 rue du clos de la charme 88120 VAGNEYInternet : www.kiwanis.frTous les textes et photos sont à adresser à :[email protected]

édito

Kiwanis Magazine N°165 Avril-Mai-Juin 2019 3

Les lieux choisis appelaient une grande qualité dans l’organisation de l’événement. Elle fut au rendez-vous grâce aux talents conjugués des trois divisions de Normandie et au dévouement sans borne de l’équipe rapprochée de Nadine VERMESSE, valeureuse présidente de mon congrès.

Le conseil d’administration de vendredi fut quelque peu houleux, riche en débats contradictoires. C’est d’ailleurs la vocation d’une telle réunion que de permettre à chacun d’exprimer franchement ses points de vue pour terminer par des compromis constructifs. Voilà la preuve, s’il en fallait, que notre mouvement est bien vivant.

Le lendemain tout naturellement, et grâce au talent de tous, l’assemblée générale respira la sérénité et l’harmonie.

Après les obligations administratives et comptables, nous avons écouté avec intérêt le discours de Philippe JOURNIAC, candidat au gouvernorat 2020/2021, celui de Roger VILLAUME, mon successeur. Nous avons reçu le maire de Deauville, apparemment fort heureux de partager un moment en notre compagnie. Il fut le témoin privilégié de la réalité de notre objet. En sa présence, deux petites filles handicapées reçurent des trois divisions normandes un don abondé par la fondation.

Un moment d’émotion que nous avons retrouvé plus tard avec Margaux et son chien JIMBA qui sont venus sur scène remercier avec simplicité et sincérité le club de Flers et le KIWANIS tout entier. Entre-temps, Eliane TALON a mis à l’honneur tous les référents des actions sociales du district et Jo MATICOT a distribué une pluie de diplômes.

Bref, une douce journée suivie jusqu’à son terme par une nombreuse assistance, elle aussi pleine de talent. A propos de talent, les absents à ce congrès se sont privés d’une soirée de l’amitié d’anthologie perçue par beaucoup comme inoubliable.

Inoubliable fut également pour moi mon déplacement récent au congrès de Roumanie. Je garde un souvenir ému de l’accueil amical et chaleureux que m’ont réservé les Kiwaniennes et Kiwaniens Roumains. J’ai porté une grande attention à l’exposé de leurs réussites, de leurs écueils divers et de leurs souhaits.

J’ai également tenté de leur faire toucher du doigt que, après 18 ans de partenariat étroit, l’état d’esprit des Kiwaniens Français évolue vers un souhait de partage plus équilibré. Un souhait de voir les Kiwaniens Roumains récupérer une certaine autonomie proportionnelle à leurs possibilités bien sûr.

J’ai pu me rendre compte que certains clubs Roumains sont particulièrement dynamiques et mènent des actions intéressantes. Voire porteuses financièrement.

C’est donc une situation prometteuse qui devrait rassurer et revigorer la volonté de parrainage de clubs Français pour apporter ainsi à la Roumanie, la possibilité de devenir à terme un « full district ».

Enfin, selon l’adage populaire « jamais deux sans trois », je me devais d’assister au congrès européen à Reykjavik sur cette île du grand nord à mi-chemin et frontière entre deux continents, symbole de l’universalité du KIWANIS.

Congrès européen, Congrès Roumain, Congrès du District France-Monaco, voilà des moments fédérateurs nécessaires pour mesurer la puissance de notre mouvement, et surtout l’utilité de notre dévouement envers les enfants en souffrance.

Parce que nous pensons qu’il serait honteux de ne rien faire, nous, Kiwaniens, sommes engagés dans ce beau et noble combat contre toute forme d’agression et d’injustice vis-à-vis des enfants du monde.

Puisse le KIWANIS, grâce à votre talent, toujours mieux remplir sa mission !

Un congrès réussi grâce au talent de tous…

Marie-Christine VIARDGouverneur

4 Kiwanis Magazine N°165 Avril-Mai-Juin 2019

Depuis l’an 2000, au mois de mars, tous les clubs KIWANIS roumains marquent la fête de la Francophonie par des actions éducatives et culturelles. Elles sont organisées par et pour les enfants et les jeunes roumains francophones et francophiles. Dans ce cadre est organisé dans les lycées, sous la houlette de Valeria TUDOSA, un concours d’essai en français qui se déroule au mois de février-mars.

Il est important de savoir que l’intérêt des roumains pour la France remonte au XVIIIème siècle, époque où les princes phanariotes administraient le régime ottoman (les phanariotes étaient des aristocrates de confession chrétienne orthodoxe). Dans leurs « académies », l’enseignement était dispensé en grec, à partir de manuels traduits du français. En 1776, suite à la réforme de l’enseignement entreprise en Valachie par le prince Alexandre IPSILANTI, le français devint une matière obligatoire à enseigner au programme de l’Ecole supérieure de Bucarest. Les journaux attestent qu’on lisait en grande majorité des publications en français.

Au XIXème siècle de nombreux voyageurs roumains, notamment les fils des grands boïars, visitent la France et rapportent des éléments de culture et de politique qu’ils implantent en Roumanie à leur retour. Un siècle plus tard, Paul MORAND écrira « de ces navettes entre Paris et Bucarest est née l’indépendance roumaine ». Dès le début du siècle, les cabinets de lecture de Bucarest et Iasi offrent à leurs adhérents de nombreux livres français. Le français devient obligatoire dans les écoles.

Au XXème siècle, la France est intervenue dans le traité de Versailles pour le transfert de la Transylvanie, de la Bessarabie et de la Bucovine à la Roumanie, en vertu du principe de l’autodétermination des peuples. Les années entre 1920 et 1940 furent la grande époque « française » de la Roumanie. Paul MORAND évoquait dans « Bucarest » le petit « Paris » qu’était la capitale roumaine. De nombreux intellectuels roumains avaient fait leurs études à Paris et continuèrent pendant les années difficiles de maintenir des liens privilégiés avec la culture française. On comprend ainsi mieux les liens qui nous unissent à la Roumanie

Le concours d’essai en français, repose sur l’étude d’une vaste bibliographie, en roumain et en français. Il nécessite une parfaite maîtrise de la langue de Molière.

Voici quelques thèmes du concours de la Francophonie au cours des dernières années, à titre d’exemple :

2017 : « la gestion de la terre, village agricole global, est à inventer » sous- titre « La terre, notre jardin planétaire ».

2018 : année importante pour la Roumanie qui a célébré le centenaire de la Grande Union. La Grande Union a été le processus historique par suite duquel toutes les provinces historiques peuplées par des roumains se sont unies en un seul état national : la Roumanie. Le thème des essais inspiré des grands évènements qui se sont déroulés en 2018, s’est intitulé « les français amis de la Roumanie d’il y a cent ans ».

Pour l’année 2019, le thème est le suivant : « Le soutien de la France pour la création de la Roumanie moderne et pour sa confirmation en Europe à l’issue de la première guerre Mondiale ».

Par ce thème historique, l’action « KIWANIS et Francophonie » de cette année pourrait s’inscrire dans la grande action culturelle « Saison France-Roumanie », dédiée par la France à la Roumanie, à l’occasion du centenaire des grands événements vécus par les deux nations en 1918-1919.

La Francophonie, par sa thématique et ses exigences linguistiques, s’avère être une vraie activité éducative et formative pour la jeune génération roumaine dans l’esprit civique national et européen. Le KIWANIS Roumanie se préoccupe, non pas seulement des cas sociaux et des problèmes matériels des enfants, mais plutôt de leur éducation et de leur formation pour qu’ils soient capables de bien forger un avenir meilleur :

« Elever un enfant, signifie penser à son avenir ; planter un arbre, signifie penser à son avenir et à celui de l’enfant ; soigner l’enfant et l’arbre signifie être un Kiwanien qui pense à l’avenir de l’humanité ».

Les trois lauréats de ce concours, en guise de récompense, sont accueillis chaque année par des familles kiwaniennes françaises de façon à stimuler ces jeunes dans l’étude d’une langue étrangère, autre que l’anglais, et de les aider à mieux forger leur avenir. Leur voyage est pris en charge par le District France Monaco, Les frais d’hébergement et de bouche sont à la charge des familles d’accueil.

La durée de ce séjour est d’une dizaine de jours, mais peut être modulée suivant les possibilités des familles d’accueil kiwaniennes. L’expérience des années passées a démontré l’intérêt réciproque trouvé par les familles kiwaniennes qui ont accueilli les promotions précédentes.

Si les échanges avec ces jeunes vous intéressent vous pouvez me contacter au 06 12 39 23 41. Mail : [email protected].

Genevieve DONET MONTEAGUD

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oum

anie Sous la tutelle de la Francophonie,

une longue histoire d’amitié avec la France

Dans le cadre des relations historiques très fortes entre la Roumanie et la France, le club de Cambrai a voulu s’associer à un jumelage avec le club de Husi, acté en septembre 2018, sous la houlette de Stefania PANEA et de Françoise ACHARD.

Pour accompagner les nombreuses actions de nos amies roumaines, à l’occasion des fêtes pascales, il a été décidé d’organiser un concours de dessins réalisés par les écoliers de Husi. Ces dessins ont été exposés lors de la soirée dansante sur le thème des années 70. Les participants à cette soirée ont été invités à voter pour élire le plus beau dessin, en glissant un bulletin dans une urne.

Résultat : trois dessins se détachaient des autres. Mais bien entendu, les dix-sept artistes en herbe furent primés. Pour Pâques, les enfants ont donc reçu des friandises et des kits d’apprenti artiste-peintre.

Cette action commune s’inscrit dans la volonté de valoriser le jumelage conclu entre les deux clubs durant l’été 2018. Le club de Cambrai a été très heureux

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Roum

anie Cambrai et Husi

réalisent une action commune…

de recevoir une délégation de ses amies de Husi, lors de l’anniversaire de ses trente ans. Les participants cambrésiens à la cérémonie de jumelage ont apprécié l’accueil très chaleureux de nos amies roumaines.

Louis CROMBEZ


Nous nous donnons rendez-vous en cette matinée du jeudi 30 mai 2019 à Ebersheim, chez Bertrand et Marie-Rose pour embarquer dans le bus de la compagnie Schneider. C’est un voyage de quatre jours à Maastricht chez nos amis Hollandais du club de Brunssum avec lequel nous allons concrétiser le jumelage préparé de longue date à leur initiative. Nous sommes 18 kiwaniens et trois invités à participer à cette aventure.

Jean-Yves, notre conducteur (on ne dit plus « chauffeur », parait-il, car la profession se féminisant de plus en plus, le terme « chauffeuse » ne serait pas de la plus belle élégance contrairement au mot « conductrice » beaucoup plus approprié. Jean-Yves, disais-je, démarre son bus et nous voici en route pour de nouvelles aventures.

Après un voyage sans histoire (les voyages sont heureusement souvent sans histoire dans ce genre de narration) au cours duquel il convient néanmoins de signaler une pause déjeuner, ravitaillé par les établissements Richard et Jeanine JAEGLI (propriétaires d’une célèbre boucherie sélestadienne), nous retrouvons nos amis hollandais. Ils nous attendaient sur une aire d’autoroute afin de nous conduire à l’hôtel de la Bourse de Maastricht qui sera notre résidence durant le séjour.

Une fois installés dans nos chambres, la soirée étant décrétée « libre » par nos amis organisateurs, nous nous rendons par petits groupes en ville pour découvrir les environs de l’hôtel et y trouver de quoi dîner dans l’un ou l’autre des établissements recommandés par l’organisation.

Il semblerait que ce soit la fête tous les soirs à Maastricht ce qui rend l’endormissement difficile entre les chants, la musique et les cris des autochtones jusque tard dans la nuit…

Nous avons dégusté la véritable gaufre de Liège…

La journée du vendredi est consacrée à la visite de la ville de Liège. Nous embarquons donc à 9h30 dans le bus avec quelques kiwaniens de Brunssum pour découvrir la gare des Guillemins de Calatrava. Nous sommes impressionnés par l’architecture futuriste de ce bâtiment. La visite de Liège se poursuit par la dégustation d’une « véritable gaufre de Liège » qui est effectivement différente de ce que l’on peut trouver chez nous, puis par la visite guidée de la cathédrale et de la ville avant de déjeuner au restaurant typiquement liégeois « As Outhès ».

Le temps libre initialement prévu à Liège est transféré à Maastricht jusqu’à 17h45, heure à laquelle nous partons pour prendre l’apéritif à la brasserie Monte Nova, site d’altitude

(point culminant du pays !) des environs de Maastricht.

Après l’apéritif, nous nous rendons à pieds par un chemin bucolique, champêtre et coquelicoté (si !) au restaurant du club de tennis EPV, situé dans un cadre extraordinaire de verdure, propriété de la cimenterie voisine ENCI, qui nous a servi un excellent buffet. Ce club a pour particularité de disposer d’un court de tennis enchâssé au fond d’un « trou » accessible par 93 marches.

Après le petit déjeuner, nos excellents organisateurs hollandais nous proposent de visiter, à pieds mais avec une guide pittoresque, Maastricht qui s’avère être très belle. La visite s’interrompt par un déjeuner au « Moulin de l’Evèque », datant du moyen-âge et encore en état de fonctionner. Une grande salle de l’étage du moulin nous accueille pour une dégustation de « tartines » accompagnées de jus de fruits de fabrication locale, le tout dans les boiseries et engrenages du moulin. La visite nous emmène ensuite à l’Hôtel de Ville qui nous est ouvert. Cela nous permet d’en admirer les ornements intérieurs : toiles et tapisseries immenses couvrant l’intégralité des murs.

De péripéties en péripéties…

A 13h30, nous reprenons le bus pour nous rendre à Vijlen pour une dégustation des meilleurs vins du pays (c’est ce que prétend, et en allemand, le viticulteur du domaine Saint-Martin) après un parcours ruisselant sous le soleil dans ses vignes et une descente dans l’enfer glacial de ses caves profondes de 80 mètres.

Il était prévu ensuite de nous rendre en bus à l’hôtel afin de nous préparer pour l’apéritif servi dans le domaine de l’un des membres du club de Brunssum

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Bas Sélestat Centre Alsace et Brunssum :

souvenirs inoubliables autour d’un jumelage réussi…

et pour la partie protocolaire du jumelage, lors d’un dîner au siège du club. Mais voilà…

Le bus n’était pas là. L’exiguïté des abords du domaine viticole ne permettait pas son stationnement sur place. Il fallait donc appeler le chauffeur (pardon… le conducteur) du bus pour lui demander de revenir nous chercher. Pour cela, rien de plus pratique qu’un téléphone portable, vous en conviendrez.

Deux membres de notre groupe avaient le numéro de téléphone du conducteur dans la mémoire de leur téléphone. Mais voilà…

Les deux téléphones étaient restés dans le bus. (Par pure charité chrétienne, et par respect de moi-même, je ne dévoilerai pas ici les noms des deux coupables, mais celui d’un seul…)

Nous finîmes par retrouver le bus et son conducteur grâce à l’un de nos amis hollandais disposant d’un véhicule particulier et ayant sillonné la région pendant près d’une heure !

C’est ainsi que, le temps passant, nous n’eûmes plus le temps de passer par l’hôtel pour nous décrasser, nous doucher, nous laver, nous parfumer, nous apprêter, nous retaper, nous reposer un peu, et c’est dégoulinants de sueur, crottés, les pieds enflés dans nos baskets usagées, la coiffure et le maquillage défaits, que nous arrivâmes chez notre hôte qui nous accueille royalement dans son magnifique jardin où nous attendent les membres du club de Brunssum… tirés à quatre épingles, en habits de gala (j’exagère à peine !). Les hommes, par solidarité pour nos malheurs,

avaient discrètement retirés leurs nœuds papillons et leurs cravates, les dames, elles, n’ont bien sûr rien retiré, au grand dam de certains membres de la gent masculine française, mais là encore je ne citerai pas de noms.

Le reste de la soirée n’en fût pas moins très sympathique, le repas et les conversations à table en français, en allemand, en alsacien, voire en néerlandais (l’abondance de vins rendant les commensaux polyglottes) délicieux et animés au son d’un accordéon qui a engendré chez certains des initiatives de poussées lyriques !

Les présidents se sont chacun fendus d’un magnifique discours, avec ou sans traduction simultanée, (l’un des présidents étant désespérément et définitivement monoglotte, mais cependant poli) remerciant les uns et les autres, qui d’être venus, qui d’avoir superbement organisé ce jumelage et espérant de part et d’autre que les retrouvailles programmées en mai 2020 se passeront de manière au moins également sympathique et conviviale, mais regrettant, pour la partie française, que la bannière de notre club, nos cravates, nos belles robes ainsi que le cadeau prévu par le club de Sélestat pour celui de Brunssum soient restés à l’hôtel !

C’est vers minuit, après forces embrassades que, les yeux pleins de larmes, trainant les pieds et les voix nouées par l’émotion, nous nous séparons de nos hôtes et regagnons, épuisés, alcoolisés et repus notre hôtel pour une nuit que nous espérons réparatrice.

Du fait de notre rentrée tardive hier soir, nous repoussons notre départ

prévu à 09h30 devant l’hôtel à 10h15 devant le bus (hum…) pour laisser à notre conducteur les 9 heures d’arrêt règlementaires.

Nous nous saluons avec forces embrassades, et nous traînons nos lourds bagages vers le bus qui stationne non loin de là pour entamer le voyage retour. Rien à signaler pour ce retour si ce n’est qu’il s’est passé sans histoire (les voyages retours sont souvent sans histoires dans ce genre de récit) et c’est heureux, mais tristes (et plein de bicyclettes hollandaises dans les yeux) que nous nous séparons en reprenant nos véhicules chez Bertrand.

Un grand merci à nos sympathiques amis du club de Brunssum, pour leur accueil, leur sens de l’organisation et les efforts qu’ils ont déployés pour nous recevoir royalement, avec gentillesse, bonne humeur et avec (en plus) des conditions météorologiques exceptionnelles.

Christian MAYER

International



Après Deauville et son climat océanique, était-ce les rigueurs du froid qui t’attendaient en Islande ?

En Normandie, le temps fut relativement clément sans être

chaud et, sous le 66èmeparallèle, j’ai finalement bénéficié du même climat à peine un peu plus frais que sous le 49ième.

Comment appréhende-t-on un congrès européen après avoir vécu celui de son District ?

Le congrès de Deauville était mon congrès. Même si une équipe dirigée par Nadine VERMESSE s’est chargée de l’organisation quasi complète de cet événement. J’ai suivi de près les différentes étapes avec parfois quelques réelles angoisses. En revanche, c’est profondément détendue que je me suis rendue

à Reykjavik. Mon rôle était, en l’occurrence, le même que celui de mes collègues européens. Seul, notre hôte le président Islandais de KIEF, avait certainement une pression sur les épaules.

Selon toi, comment se porte le KIWANIS à l’échelle de notre continent ?

KIEF semble être un maillon administrat ivement important mais toutes les responsabilités qui échappent aux districts semblent être principalement concentrées entre les mains de KI.

De retour du Congrès européen qui s’est tenu en Islande, le gouverneur Marie-Christine VIARD nous a livré ses impressions sur ce déplacement…

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lande Un rendez-vous européen

sous le signe de la sérénité…

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L’Europe veut avoir plus d’autonomie par rapport aux Etats-Unis. Qu’en penses-tu à titre personnel ?

Plus d’autonomie pour l’Europe passe par plus de moyens financiers concédés par KI à l’Europe. Je trouve cela positif si, de façon dynamique, l’Europe verse dans la communication. Si l’Europe invite et aide les districts à construire des stratégies de communication. Le recrutement est difficile car nous avons, presque partout, un grand déficit de notoriété.

Les liens entre l’Europe et les districts nationaux sont-ils forts ? Parfois, vu des clubs, on n’a pas vraiment ce sentiment faute d’informations…

Les liens administratifs sont forts. En dehors de cela, les relais restent difficiles à définir précisément.

Existe-t-il une vraie action sociale au niveau européen ?

Il existe une action sociale fondée sur un partenariat avec « SOS village d’enfants » affichée sous le vocable « Happy Child ».

Le problème de la langue est-il une problématique pour suivre les débats ? Ou pour pouvoir nouer des liens avec d’autres Kiwaniens ?

Bien sûr ! C’est un frein à la richesse des débats et à leurs spontanéités, mais il faut bien faire avec…

Quels ont été les temps forts et marquants de ce congrès ?

Pour la majorité d’entre nous l’élection des candidats et l’écoute de leurs professions de foi, et tout

cela en présence du président de la République islandaise.

Quelle est la place du District France Monaco parmi le concert européen des nations kiwaniennes ?

Le district France-Monaco est le deuxième en Europe en nombre d’adhérents mais il régresse un peu plus chaque année. Deux districts semblent en progression : la Suisse (7 350 membres) et la Belgique (4

250 membres). Leur notoriété dans leur pays respectif est réelle et plus forte que dans les autres districts, excepté peut-être en ce qui concerne l’Islande (800 kiwaniens pour 400 000 habitants).

Que conserveras-tu en mémoire de l’organisation de ce rendez-vous ?

Une ambiance sereine et positive. Une journée partagée entre une matinée

consacrée à des ateliers et l’après-midi consacré au congrès lui-même.

As-tu eu le temps de visiter la capitale islandaise et de découvrir le pays ?

Reykjavik non ; juste un petit tour d’une demi-journée pour admirer l’activité volcanique partout présente sur l’île et m’émerveiller devant les geysers d’eau bouillante.

Propos recueillis par Thierry BRET


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International


En France, trois à quatre millions de personnes, soit environ 5 % de la population, sont concernées par une maladie rare. Elles sont près de 30 millions en Europe. 80 % des maladies rares sont d’origine génétique et 85 % ne disposent pas de traitement qui permet d’en guérir…

La Journée internationale des Maladies rares (Rare Disease Day) est organisée chaque année le dernier jour de février, dans près de cinquante pays. L’objectif principal de cette journée est de sensibiliser le grand public et les décideurs sur les maladies rares et leur impact sur la vie des personnes concernées.

Pour cette 12e édition, le thème est « Vivre avec une maladie rare ». La vie avec une maladie rare relève très souvent du parcours du combattant. Aux très nombreuses démarches administratives propres à la vie avec une maladie chronique viennent s’ajouter les déplacements pour consulter des spécialistes, les explications face à l’incompréhension d’une maladie inconnue même de certains médecins, le bouleversement de la vie professionnelle et familiale, l’isolement… Et pour un malade sur deux, il n’existe pas de diagnostic clair, qui met en moyenne cinq ans à être posé après les premiers symptômes.

Cette année, les Filières de Santé Maladies Rares (FSMR) ont pris l’initiative de mener des actions d’envergure à l’occasion de cette journée : en organisant divers événements en régions et à Paris. Un site, journeemaladiesrares.org, a été mis en ligne. Il a permis de mettre en lumière des témoignages de patients, et a présenté les événements organisés à l’occasion de cette journée internationale. Il a informé également ceux qui souhaitaient en

savoir plus via les différents sites internet existants sur le sujet.

Qu’est-ce qu’une maladie rare?

Une maladie est dite « rare » lorsqu’elle touche moins d’une personne sur 2 000 soit, pour la France, moins de 30 000 personnes malades par pathologie. Pourtant, avec 7 000 maladies rares identifiées, les malades sont nombreux. Ce nombre est en permanente évolution car de nouvelles maladies sont constamment découvertes.

Le plus souvent, les maladies rares sont sévères, chroniques, d’évolution progressive et affectent considérablement la qualité de vie des malades. 75 % des malades sont des enfants.

On emploie le terme de « maladie orpheline » pour désigner une pathologie rare ne bénéficiant pas de traitement efficace, ce qui est le cas dans de nombreuses maladies rares.

Certaines maladies sont rares, bien que connues du grand public. C’est par exemple le cas pour la

drépanocytose, la mucoviscidose ou encore le nanisme.

La France joue un rôle pionnier dans le domaine des maladies rares : elle est le premier pays en Europe à avoir élaboré et mis en œuvre des filières et des plans nationaux dédiés.

Les filières de santé maladies rares sont des structures publiques de coordination d’acteurs autour d’un groupe de maladies rares. Il en existe vingt-trois en France.

Elles ont été créées en 2014 à l’initiative du Ministère des solidarités et de la santé, dans le cadre du deuxième Plan national Maladies Rares, pour contribuer à la structuration nationale de l’offre de soins. Onze d’entre elles s’associent pour organiser des actions nationales de sensibilisation.

Cette journée a pour but de sensibiliser le grand public à l’existence de ces pathologies et de l’informer sur les acteurs clés du monde des maladies rares. Rappelons que le KIWANIS France Monaco est un partenaire actif de la Fondation des Maladies rares…

Thierry BRET

Evè

nem

ent Une fois par an,

Mobilisation planétaire contre le fléau des maladies rares

Notre structureSophie BARILLE, coordinatrice de District des relations publiques. Mon rôle consiste à transmettre les informations reçues de la part de KIEF aux membres du staff et de mettre à disposition des clubs des données utiles pour les dossiers et communiqués de presse.

Jean-Marc LEROUTIER, graphiste en charge de la création de plaquettes, de flyers dont les clubs en feraient la demande.

Jean-Yves JAFFRAY, responsable de notre site Internet, vitrine grand public du District.

Arlette RAMAY-CLEMENT, administratrice de la page Facebook du District.

Notre équipe est également renforcée par deux spécialistes de la presse, Thierry BRET, rédacteur en chef du KIWANIS Magazine, et Alain LENTA, membre du comité de rédaction dudit magazine et photographe de presse.

Les moyens mis en œuvreNous faisons partie d’une organisation internationale. Fin novembre, j’ai eu la chance d’assister pendant deux jours à une formation organisée pour la première fois par KIEF.

KIWANIS International a souhaité mettre en place un plan stratégique de communication. A cet effet, des coordinateurs des relations publiques ont été nommés dans chaque District.

L’objectif de ce domaine prioritaire est d’améliorer l’image du KIWANIS dans le monde, et les stratégies comprennent :

• Augmenter la reconnaissance du nom dans le monde entier

• Augmenter la connaissance de notre mission, à la fois interne et externe

• Unifier toutes les marques KIWANIS

• Promouvoir la vision et la description vivante du KIWANIS, telles qu’elles sont soutenues par les objectifs de KIWANIS

• Promouvoir des projets.

Avant ce séjour, chacun d’entre nous avait reçu un questionnaire afin de déterminer quelles étaient nos attentes vis-à-vis de cette réunion. Les principaux items qui en sont ressortis sont apprendre, obtenir des outils, avoir de nouvelles idées et travailler ensemble.

Je vous en livre ici quelques éléments :

La marque Kiwanis

L’accent a été mis sur la prise de conscience de l’importance de la marque KIWANIS. Toutes les grandes marques ont des logos qui parlent à chacun d’entre nous, alors pourquoi ne connaît-on pas la marque KIWANIS ?

Voici une des pistes : diversité de l’utilisation des logos, logos anciens… Il faut donc oublier toutes ces images même si on y est très attaché. Il faut renforcer notre marque.

Pour cela un outil : la charte graphique publiée par KIWANIS International. C’est la référence. Elle indique les couleurs et les polices de caractères à utiliser, comment positionner le nom par rapport au logo.

Je rappelle que si des clubs sont désireux de dessiner ou personnaliser leur logo, Jean-Marc notre graphiste peut vous aider dans cette tâche.

A disposition de tous, les ressources à télécharger sur le site de KI. C’est une mine d’information telles que les logos pour des impressions de bonne qualité (principalement les formats destinés à l’imprimerie), comment utiliser les médias sociaux, comment travailler avec les médias pour raconter l’histoire des clubs. Des photos, des vidéos, des modèles de communiqués de presse sont également à disposition des clubs.

Alors un seul mot d’ordre, surfez sur le site de KIWANIS International.

Le District, nous le savons tous, souffre d’un déficit de communication. Or celle-ci joue un rôle fondamental pour son image et sa notoriété. Nous avons cependant à disposition notre expérience et notre savoir-faire pour véhiculer une image positive de notre club service.Afin d’améliorer la communication externe, la Gouverneure Marie-Christine VIARD a souhaité mettre en place divers outils à disposition des clubs et l’équipe que nous formons est là pour vous aider dans votre tâche.

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Un réel enjeupour le District


Les messages clésLors de cette formation, nous avons également travaillé sur les messages clés dans le but de mieux faire connaître et reconnaître le KIWANIS. Nos messages doivent être bien ciblés afin qu’ils soient pertinents. En effet, dix mille messages concernant les marques sont diffusés chaque jour. Leur nombre est en constante augmentation du fait de l’accroissement du nombre de canaux de diffusion disponibles. Quelques données chiffrées : nous changeons d’écran en moyenne 21 fois par heure, la durée d’attention est de 8 secondes.

L’importance est de bien identifier les barrières aux messages tels que l’accès direct limité, l’intégrité du message, la diversité des publics, le nombre et la fréquence des messages, le nombre de canaux de diffusion ou l’utilisation d’acronymes.

Comment élaborer un message clé ? Il faut définir son sujet principal, mettre l’accent sur les bénéficiaires de l’action, être certain de ses sources, identifier le bon orateur ou le bon rédacteur.

La communication numérique : la diversitéEn premier lieu, le site Internet. Le site du District permet de trouver en permanence l’information détaillée sur notre raison d’être et sur nos activités.

Ensuite viennent les réseaux sociaux. Je voulais simplement vous présenter ce qui se passe sur la toile en une minute.

Commençons par le plus célèbre des réseaux sociaux : Facebook, 243 000 photos téléchargées, 70 000 heures de vidéos visionnées. Sur Twitter, 350 000 tweets, sur Instagram, 65 000 photos chargées, et plus globalement 500 000 applications téléchargées 156 millions d’e-mails envoyés.

Tous ces canaux de communications sont incontournables.

En matière de réseaux sociaux, voici quelques règles simples à appliquer: poster souvent ; avoir au moins deux administrateurs ; publier des articles et des photos du dernier projet de service ; évitez les messages de repas et de réunion ; s’assurer que les informations de contact sont correctes.

Comment réagir aux commentaires ?

En cas de commentaires haineux, satiriques, dénigrants ; ne pas répondre mais survei l ler les informations et les commentaires.

En cas de commentaires négatifs basés sur des faits incorrects ou d’une personne mécontente du KIWANIS, agir avec précaution.

En cas de commentaire positif, liberté dans la réponse.

La couverture médiatique d’un événementOn commence par se poser les bonnes questions : qui, quoi, quand, où, comment et pourquoi ?

On réalise une check-list de ce qu’il faut faire (décrire les acteurs, choisir une bonne accroche, comparer les chiffres avec des images) et de ce qu’il ne faut pas faire (les phrases de plus de vingt mots, le remplissage, les abréviations ou de termes techniques, pas de contradictions…).

Les secrets d’un bon communiqué de presse : il doit avoir une bonne accroche, doit être court, opportun, et contenir un contact.

Pour obtenir une couverture médiatique, contacter un journaliste que l’on connaît, qui a déjà parlé du KIWANIS par le passé ou qui a écrit des articles au profit d’organisations à but non lucratif ou philanthropiques.

Enfin lorsqu’on convie la presse à un événement voici ce qu’il faut garder à l’esprit en permanence :

• Créer un événement attractif

• Travailler avec des partenaires, des sponsors

• Se poser les questions : quelle sera la réaction? L’ensemble des partenaires ont-ils été invités?

• Créer un communiqué de presse

• Le jour de l’événement, déterminer les tâches de chacun, préparer ses interviews

• Garder à l’esprit le but de l’événement.

Enfin dernier sujet que j’aborderai concerne les photos.

Avoir des photos de bonne qualité d’une taille de minimale de 18*13 cm dont la résolution sera au minimum de 300 dpi.

On privilégie l’action en elle même. Petit rappel, avant de publier des photos on s’assure que l’on a bien l’autorisation de les publier.

Tous ces éléments sont disponibles dans le guide édité par KIEF. J’en ai remis un exemplaire par club aux lieutenant-gouverneurs lors du dernier conseil d’administration. Faites-en bon usage et maintenant place à votre plan d’action en matière de communication :

• Quels sont les objectifs du club cette année?

• Quels sont les moyens de communication à votre disposition?

• Quels sont les événements et les opportunités prévues au niveau du district que vous pourriez exploiter?

• Quels sont les obstacles que vous pouvez identifier ?

• Comment allez-vous mesurer votre succès?

Enfin n’oubliez pas que l’équipe est à la disposition des clubs, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse: [email protected].

Sophie BARILLE

Vie du District


Un club KIWANIS est constitué de femmes et d’hommes aux tempéraments divers, noyautés autour d’une cause commune, celle des enfants en détresse. Cette vérité que l’on peut qualifier de « Lapalissade » englobe aussi, si on creuse un peu plus profondément, et je pense que nul ne me contredira, que ces êtres pensants ont tous leurs qualités, leurs défauts dont … leurs susceptibilités.

Je pense ainsi aux démissions, parfois réfléchies, parfois aussi sur un coup de tête, et pour lesquelles me semble-t-il, celles-ci ne font pas partie d’articles dans nos colonnes ce qui me paraît aussi normal.

Si parfois aussi les sentiments de chacun, selon sa sensibilité, s’émeuvent peu ou prou de ces départs, les énergies restantes se remobilisent en fonction bien sûr des commodités et disponibilités de tous. Je pourrais ainsi qualifier celles du club d’Arras Citadelle comme pouvant être définies comme le slogan objet du titre de cet article : « Actifs, réactifs mais pas négatifs » et ce slogan, j’en suis certain pourrait être celui de tous les clubs du District France-Monaco, tout autant que dans les autres pays comptant des kiwaniens.

Cette devise peut résumer la situation dans laquelle se trouvent les membres du club KIWANIS Arras Citadelle lorsqu’ils ont perdu récemment un membre pilier du club qui semblait pourtant … « indéboulonnable ».

Alors … Que fait-on ? On fait semblant de passer au-dessus ? Difficile, les regrets n’effaçant pas toujours tout, quand il y en a, mais et surtout comment remotiver « les troupes ». On pourrait dégager en touche en se disant que c’est le boulot du président. Oui, mais pas que ! Car, la solidarité au KIWANIS, on connaît puisque c’est notre leitmotiv envers les enfants mais au sein du club ça doit aussi fonctionner.

Alors, on entend de la bouche du président, de son bureau et d’autres encore ce genre de phrase : « Bon allez les gars, on y va … ce qui compte avant tout ce sont les enfants et nous devons être toujours sur la brèche car rien n’est acquis dans nos actions sociales ».

Ca bougonne dans les rangs mais sommes-nous dans le bon champ à labourer ?

Car la vraie réalité, celle des chiffres est impressionnante pour peu qu’on

veuille y prendre garde : il y a eu sur 60 millions de vies arrachées au cours de la Seconde Guerre mondiale, dix millions de martyrs-enfants venant des ghettos de Varsovie, des gamins du camp d’Auschwitz, de Treblinka et autres. On ne peut oublier non plus les victimes du bolchevisme, des bombes atomiques, ni les gosses d’Oradour sur Glane, de Buchenwald, Nagasaki, Sarajevo, Kinshasa, ceux d’Arménie, du Cambodge, du Vietnam, sacrifiés à la folie des hommes avant d’avoir su ce que voulait dire « vivre »…… Et il y en a sûrement d’autres.

C’est là que l’on se rend compte que ces lumières de colère qui aveuglent, ces petites brouilles de nos clubs sont dérisoires au regard de ces malheurs…

Jean-Marie HANNEBICQUE

Vie du DistrictO

pin

ion Actifs, réactifs

mais pas négatifs !


Le Green de l’espoir, qu’est-ce que c’est ?Le Green de l’espoir, c’est plus de 90 compétitions de golf organisées par des bénévoles tout au long de l’année, dans toute la France. Chaque année, golfs et golfeurs se mobilisent pour collecter des fonds pour vaincre la mucoviscidose en donnant leur souffle et leur énergie. Leur soutien est indispensable pour faire avancer la recherche sur cette maladie et améliorer la qualité des soins et la qualité de vie des patients.

En 2018, les clubs KIWANIS ont organisé 28 compétitions Green de l’espoir qui ont collecté près de 80 000 euros. Bravo et merci à tous les bénévoles kiwaniens !

Comment participer ?

Rejoignez-nous et organisez un Green de l’espoir ! Contactez dès à présent

Mélanie Grospeaud : 01 40 78 91 72 – [email protected].

Ou participez à une compétition : tous les droits de jeux sont reversés à l’association et vous pouvez vous qualifier à la prochaine finale nationale, qui aura lieu au golf Bluegreen Val Quéven, dans le Morbihan, les 19 et 20 octobre 2019.

La mucoviscidose, en quelques motsLa mucoviscidose est une maladie génétique rare et mortelle qui touche principalement les voies respiratoires et le système digestif. En France, deux millions de personnes sont, sans le savoir, porteuses saines du gène de la mucoviscidose. Tous les trois jours, un enfant naît atteint de mucoviscidose.

En période « normale », un patient suit deux heures de soins quotidiens (kinésithérapie respiratoire, aérosols, antibiothérapie, etc.), qui passent à 6 heures en période de surinfection, et prend plus de vingt médicaments par jour.

Sophie BARILLE

Le Green de l’espoir est une belle opération où sport, convivialité et générosité sont au rendez-vous. Rejoignez cette belle équipe !

Vie du DistrictA

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soci

ales Green de l’espoir

Le golf au service d’une juste cause


Laurence et Alain BAERT. Alain et Laurence. Indissociable couple à l’origine de la création de l’association NAEVUS 2000 qui est destinée à activer la recherche sur le Naevus congénital. Tous deux ont su venir en aide et soutenir les enfants atteints par cette maladie rare.

Suite à la naissance d’un de leurs enfants touché par cette pathologie, méconnue à l’époque, ils se sont lancés dans la bataille pour faire avancer la recherche, obtenir des aides, alerter les pouvoirs publics pour le remboursement des soins se rapportant aux interventions.

C’était le combat de leur vie. Alain, photographe officiel des champs de courses de Vichy suivait toutes les manifestations organisées pour NAEVUS 2000. On le voyait toujours, l’appareil photo à la main, prêt à immortaliser le moindre événement.

Il se faisait une joie de venir à Bordeaux pour ce nouveau partenariat. La maladie l’a emporté quelques

jours avant. Laurence, toujours active, a laissé la présidence à Gaëlle BONTEMPS.

Catherine BARAS

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e Alain BaertUne vie de combat contre le naevus


Nous le savons tous, notre mouvement est régulièrement en déficit de membres, la moyenne d’âge étant élevée dans nos clubs, le risque futur est la chute irréversible du nombre des adhérents. A fin mars, nous étions à - 21 membres pour les six premiers mois de cette année Kiwanienne, avec malheureusement vingt ami(e)s décédé(e)s !

Le Kiwanien par nature est optimiste. Mais, il est urgent de se relever les manches tous ensemble et reconquérir de nouveaux membres. Et si nous mettions en œuvre dans nos clubs, dans nos divisions, de nouvelles pratiques de recrutement ?

Tout d’abord, tous les membres des clubs doivent participer au développement. Chaque membre actif doit se fixer un objectif tel un chasseur de tête impitoyable… Motiver et convaincre au moins deux nouveaux contacts. Un vrai boulot !

Au sein des clubs, une personne doit être chargée de la coordination du Développement. Dressez un bilan final, et surtout ne laissez pas tomber les nouveaux entrants. Leurs intégrations au sein des clubs sont plus que jamais essentielles. Il ne faut pas hésiter à leur donner rapidement des responsabilités.

Soyez convaincus et mettez-y du cœur… Beaucoup d’entre nous n’attendent que ça !

Alors osons, expérimentons.

Voyons cette nouvelle technique mise en œuvre par les entreprises innovantes.

L’Escape Game : quand un jeu devient technique de recrutement !L’Escape Game est un concept de jeu d’évasion grandeur nature où le but est de s’échapper d’une pièce dans un temps imparti (généralement 60 minutes).

L’Escape Game est composée de plusieurs groupes de deux à dix participants.

Le s j o u e u r s m è n e n t u n e enquête et doivent chercher des indices disséminés dans une pièce, répondre aux énigmes pour tenter de sortir de la pièce.

C’est un jeu de groupe très ludique et original.

Bien sûr, l’objectif pour une entreprise sera d’identifier la personne la plus adaptée au poste convoité

par l’intermédiaire de cette escape Game. Pour nous, Kiwaniens, nous pouvons mettre en œuvre ce loisir au profit d’ouverture et de recrutement potentiel de nouveaux membres de qualité. Pour cela, créons un évènement « Escape Game Kiwanis » et invitons des cibles : amis, contacts professionnels, sponsors de nos clubs, membres d’associations que nous aidons, etc…

Lors du jeu, un contact privilégié sera développé avec nos invités et, ainsi, naîtra l’espoir de voir nos effectifs grossir, je nous le souhaite.

En France, c’est un peu plus de 670 lieux d’Escape Game.

Un site Internet dédié les localise. L’ensemble des clubs devraient pouvoir trouver une Espace Game pour organiser un évènement dédié au Développement.

https://www.escapegame.paris/france/

Alors … osons…. Expérimentons !

Frédéric SZEWC

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Une nouvelle techniquede recrutement d’entreprise au service du Kiwanis ?


Un rendez-vous était pris au Bouscat pour le démarrage officiel du nouveau partenariat entre le KIWANIS, ARENA et l’association NAEVUS à Bordeaux. Malgré la pluie, un match de football à l’affiche attrayante, et un climat social houleux dans la capitale girondine, les courageux ont pratiquement rempli le chapiteau. Ils ont pu assister au spectacle du cirque MEDRANO sous le signe des contes des mille et une nuits avec ALADIN.

Beaucoup de numéros de qualité ont enchanté la soirée. En fin de spectacle, devant le public et au milieu des artistes, Stéphan a appelé les Kiwaniens sur la piste.

Ceux-ci, grâce au cirque MEDRANO, ont pu remettre un chèque de 2 200 euros à Haridiétou, représentant la présidente fondatrice de Naevus 2000 Laurence BAERT. Une remise qui s’est déroulée en présence du lieutenant-gouverneur Nord Aquitaine, Ronald ISSELIN.

Cette somme permettra d’aider les familles et leurs enfants atteints de la pathologie dans leurs longs parcours de soins. Cette soirée était dédiée

à Alain BAERT, mari de Laurence, décédé quelques jours plus tôt.

Artistes et Kiwaniens se sont retrouvés ensuite pour le verre de l’amitié. Ils ont pu converser, ou tout au moins essayer, car le nombre de nationalités différentes ne rendait pas toujours les échanges faciles.

Quelques jours plus tard, le cirque MEDRANO a organisé une séance spéciale à l’issue de laquelle, toujours devant les spectateurs, les artistes ont reçu un prix remis par, entre autres, la mairie de Bordeaux, France Bleu Gironde, et une grande école. Un prix a été offert par le KIWANIS aux quatre gymnastes biélorusses pour leur excellent numéro aux barres.

Catherine BARAS

Vie du DistrictA

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soci

ales Naevus : le nouveau partenariat

avec ARENA et le cirque MEDRANO est déjà efficace


Au KIWANIS, nous nous sommes engagés à servir les enfants malades et handicapés sur lesquels s’est abattue une horrible fatalité. Pouvons-nous rester indifférents vis-à-vis des enfants qui subissent des agressions sexuelles ?

C’est révoltant ! On n’est plus dans le domaine de la fatalité, mais dans une cruelle loterie. Le hasard fait que l’enfant malchanceux rencontre la mauvaise personne, le harceleur, le criminel. On pourrait décider de contribuer à pourchasser le criminel ; on pourrait aussi prévenir et armer l’enfant contre ce fléau. On pourrait également entreprendre de l’accompagner et de soulager son traumatisme. C’est ce que fait l’association « Colosse aux pieds d’argile », fondée et dirigée par Sébastien BOUEILH.

Lui-même, lorsqu’il était enfant, fut victime de harcèlement et d’agression sexuelle en milieu sportif, et souffrit de fâcheuses séquelles pendant de longues années. Désormais, son but est de parcourir la France, voire plus, d’aller à la rencontre des clubs sportifs et du milieu scolaire pour sensibiliser et instruire le plus d’adultes possible. Prévenir par des outils pédagogiques adaptés le plus d’enfants possible. Il encourage les enfants victimes de harcèlement à parler, et met en place

les moyens nécessaires pour les secourir.

La pertinence et la noblesse de l’objet de cette association, voisin et complémentaire du nôtre, a conduit le District France-Monaco à signer un partenariat avec « Colosse aux pieds d’argile ».

Les clubs KIWANIS sont invités à adhérer à l’association pour 100 euros par an et éventuellement à lui verser des dons plus conséquents. A ce jour, de nombreux clubs, sensibilisés par le sujet, se sont acquittés de la cotisation. Ils ont versé des dons, et certains appellent même de leurs vœux la visite de Sébastien BOUEILH pour porter la bonne parole dans leur ville.

J’espère de tout cœur que le district continuera ce partenariat. Il serait fort dommage de cesser cette action.

Mais indépendamment, les clubs pourront annuellement renouveler leur adhésion, et certains l’ont déjà fait pour plusieurs années. A l’instar de notre partenariat avec l’UNICEF, la Fondation des Maladies rares, la Jeune Chambre Économique et autres, le partenariat avec « Colosse aux pieds d’argile » est utile à notre notoriété et permet de faire connaître l’existence de notre mouvement auprès de populations nouvelles.

La convergence des objets de nos deux associations, l’intérêt commun que nous avons à communiquer, voilà deux raisons pour que le KIWANIS et « Colosse aux pieds d’argile » fassent route ensemble pour servir les enfants du monde.

Jacques DEMEN

Vie du District

L’indéfectible soutien du District France-Monaco à « Colosse aux pieds d’argile »…


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« J’aimerais que vous m’aidiez dans mon travail de recherche de documents d’archives relatifs au KIWANIS France Monaco. C’est en effet le énième rappel que j’effectue depuis près de dix ans de travail personnel acharné, mais hélas avec peu de résultat, surtout par manque d’investissement des kiwaniens dans ces recherches.

Ce message s’adresse à tous les kiwaniennes et kiwaniens, mais bien entendu plus spécialement aux « anciens » !

Plusieurs articles sont déjà parus dans plusieurs magazines depuis quelques années et notamment le numéro 140 daté d’octobre 2014. Avant toute chose, je me présente : Gérald PARANT, kiwanien depuis février 1984 et membre du club d’ARCIS Val d’Aube, de la Division Champagne Ardennes.

Je recherche les documents et autres objets de toute nature depuis 1965 concernant le KIWANIS France-Monaco, Belgique France Monaco et Belgique France Luxembourg Monaco.

Il s’agit principalement :

• des directories depuis 1965 à 1978 (je possède 1978 à ce jour),

• des KMAG depuis l’origine qui devrait-être « Janvier 1970 avec le N°1 – je possède le N° 3 d’octobre 1970 » - je n’ai rien avant 1984, et ne détiens que mes KMAG personnels depuis 1984,

• les kiwanigrammes des clubs depuis 1965 (1 kiwanigramme intéressant par année kiwanienne pour chaque club depuis leur création), plus ils sont anciens, plus riches seront nos archives !,

• les bannières, cloches et chartes des clubs fermés et dissouts depuis 1965, il y en a plus d’une centaine ! Où sont ces bannières, cloches et chartes ?,

• les comptes rendus de réunions de clubs, de divisions, nationales et internationales (1 par année),

• les fanions des clubs existants et ou fermés depuis 1965, pins et autres objets divers dont vous pensez qu’ils ont une certaine utilité pour la mémoire de KIWANIS France Monaco,

• les documents relatifs à la création du 1er club féminin à BORDEAUX Aliénor (Fabienne KESSIEN), en 1987, même si ce ne sont pas les originaux.

Tout m’intéresse, j’en ferai un tri !Je me permets donc, par l’intermédiaire de notre gouverneur Marie-Christine VIARD et de Michel LAGIER, secrétaire général, de vous solliciter à nouveau.

Aujourd’hui, ces documents sont dispersés dans la nature, disparus, brûlés, ou à la déchetterie !

C ’est vraiment dommage et catastrophique, quand on pense ce que cela peut représenter pour la

mémoire de notre mouvement qui va disparaître au fur et à mesure que les années s’écoulent. Hélas, les Kiwaniens disparaissent et avec eux les archives…

Quelques personnes ont déjà contribué au souvenir du KIWANIS en m’ayant transmis ou devant le faire divers documents très importants, comme par exemple :

• Solange SCHMITT, épouse du premier Kiwanien de France du club de Metz, et kiwanienne elle-même, qui m’a remis des documents datant de 1965, et le KMAG n° 03 d’octobre 1970, la charte du premier club français de Metz datant de 1965, le télégramme d’INDIANAPOLIS de 1965 annonçant la charte à ce club lorrain.

• Et sur tout Raymond de MEULEMEESTER, pour les six grosses caisses d’archives remises à Calais, il y a quelques années déjà !

Vous me les faîtes parvenir par tout moyen à votre convenance à mon adresse figurant ci-dessous.

Un grand merci, pour votre aide précieuse, mais surtout pour KIWANIS France Monaco afin que la mémoire ne s’envole à jamais de notre passé et de nos origines françaises.

Gérald PARANT

Référence adresse :Gérald PARANTKIWANIS CLUB ARCIS VAL d’AUBEResponsable national des archives de KIWANIS France-Monaco3 place des Héros d’Arcis10700 Arcis sur AubeTél. 03 25 37 10 22 / 06 82 86 16 38Mail : [email protected]

Parce qu’il sollicite l’ensemble des clubs du District France Monaco pour faire des recherches et rassembler leurs archives, l’ancien trésorier national et toujours très actif membre du club d’Arcis sur Aube, nous livre une petite requête. Nous la publions avec le plus grand des plaisirs…

Vie du DistrictIn

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tive

s Pour la constitution des archives nationales, Gérald PARANT en appelle à toutes les bonnes volontés !


En dépit d’un riche passé Celtique puis Gallo-Romain, à l’évocation de l’histoire de la Normandie, on voit des hommes venus du « Nor », les Vikings, remonter la Seine sur leurs drakkars pour attaquer et piller, en particulier les monastères, comme Jumièges.

Leurs incursions, devenant de plus en plus menaçantes, le roi Carolingien, Charles le Simple, signe un traité en 911 à Saint-Clair-sur-Epte avec un de leurs chefs Rollon qui, en échange de terres, devient vassal du roi de France et se convertit au christianisme. Les Vikings étendent par la suite leurs conquêtes sur la Basse Normandie jusqu’au Mont St Michel. Le Duché de Normandie est créé.

Pendant les siècles suivants, l’histoire de la Normandie est très souvent liée à l’histoire de l’Angleterre.

En 1066, le roi d’Angleterre Edouard meurt sans héritier, le duc de Normandie Guillaume le Conquérant part envahir ce pays et, après sa victoire à Hastings, se fait couronner roi d’Angleterre dans l’abbaye de Westminster le 25 décembre sous le nom de Guillaume II. Son épopée nous est contée par la tapisserie de Bayeux dite « Tapisserie de la reine Mathilde » épouse de Guillaume le Conquérant. Pour continuer à surveiller le Duché de Normandie, il fait bâtir à Caen un château et deux abbayes; Caen devient donc sa capitale politique et judiciaire, Rouen demeurant la capitale économique et religieuse avec l’archevêché.

Sous ses successeurs, malgré des luttes lors de successions, le Duché

de Normandie est l’un des plus riches et des plus peuplés : on défriche de nouvelles terres, la draperie de laine se développe et l’art roman se diffuse comme dans l’église St Etienne de Caen.

Au 12ème siècle, le Duché de Normandie fait partie du grand royaume Plantagenêt d’Henri II et d’Aliénor d’Aquitaine. Son expansion se poursuit car c’est un important lieu de passage dans ce territoire

qui va de l’Ecosse aux Pyrénées. Dans le royaume de France, le roi Philippe Auguste se sent encerclé et va profiter de la querelle des deux fils d’Henri II : Richard Coeur de

Lion et Jean sans terre pour reprendre

le Duché Normand. En 1204, le Duché de

Normandie est inclus dans le royaume Capétien et Philippe

Auguste fait bâtir à Rouen un château dont il ne reste aujourd’hui que le donjon où fut enfermée Jeanne d’Arc.

Durant la guerre de Cent-ans (1337-1453), de par sa richesse et son passé anglo-normand, le Duché fut souvent envahi, rançonné et ravagé, les troupes anglaises l’occupèrent de 1415 à 1450. L’épisode le plus connu reste le procès de Jeanne d’Arc vendue aux Anglais et brulée vive à Rouen le 30 mai 1431; procès conduit par l’évêque Cauchon et le Duc de Bedford représentant le roi d’Angleterre.

A la suite de cette période meurtrière, la province de Normandie connait à nouveau un essor économique et démographique. En dehors de l’agriculture et du textile, beaucoup

de richesses vont lui venir de la mer avec le commerce et la pêche.

François 1er décide, en 1517, la création d’un nouveau port « le Havre de grâce ». Les Normands vont financer ou participer aux grandes expéditions vers le nouveau monde : Samuel Champlain part d’Honfleur pour fonder la ville de Québec en 1608, le Rouennais Cavelier de la Salle explore les grands lacs américains puis le fleuve Mississipi et découvre la Louisiane.

La pêche est pratiquée dans tous les ports Normands; Dieppe et Fécamp envoient des chalutiers vers Terre Neuve. Cette tradition sera prospère jusqu’au 20ème siècle.

En 1667, Colbert crée une manufacture royale des draperies à Elbeuf près de Rouen.

Au 18ème siècle, des marchands de tous pays viennent s’enrichir en Normandie grâce au commerce triangulaire vers les Antilles et l’Amérique du sud. Le Havre et Honfleur sont des ports négriers. On importe entre autre du coton et des filatures se créent même dans les campagnes. Beaucoup de Normands, surtout les protestants émigrent vers le Canada.

Durant la révolution, en 1790, la Normandie est divisée en cinq départements.

Au 19ème siècle on voit les premiers bateaux à vapeur sur la Seine, en 1843 est inaugurée la ligne de chemin de fer Paris-Rouen puis Paris-Le Havre en 1848. C’est la révolution industrielle, la mécanisation dans le textile. Les villes croissent au dépend des campagnes qui se tournent de plus en plus vers l’élevage bovin pour alimenter en lait et fromages le marché Parisien. En 1761 nait le « Camembert ». Parallèlement, une nouvelle activité dynamise le littoral normand : la naissance des

Congrès Deauville

Histoire de la NormandieDu Duché de Normandie à la Région Normandie


premières stations balnéaires : Dieppe, Cabourg, Trouville-sur-Mer et Deauville.

Grâce à l’influence du Duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, de riches familles aristocratiques se font bâtir des « chalets de villégiature ». Deauville, avec son casino, ses grands hôtels, sa célèbre gare, ses planches, son hippodrome, se veut une ville de plaisirs et le restera.

De nos jours, la Normandie est connue dans le monde entier, car on se souvient du 6 juin 1944 jour du débarquement : plus de 10 000 avions, 4266 navires de transport, 722 navires de guerre, environ 150 000 hommes, Britanniques, Américains,

Canadiens et autres débarquent sur 35 kilomètres de la côte Normande déclenchant l’opération « Overlord » dans le but de créer un nouveau front à l’ouest contre l’armée Allemande.

La Normandie, dès 1940, fut considérée comme une zone stratégique par les Allemands ce qui explique la construction de fortifications, de blockhaus en béton sur nos plages et les hauteurs normandes tels qu’on peut encore en voir sur le Mont Canisy derrière Deauville.

La bataille de Normandie dura jusqu’au 9 septembre 1944 avec la libération du Havre. Beaucoup de villes normandes furent partiellement détruites dont Le Havre, Caen, Lisieux et Saint-Lô.

Aujourd’hui on peut visiter des musées comme le mémorial de Caen ou des cimetières militaires pour se souvenir de cette douloureuse période. La reconstruction fut longue mais la région Normande a su de nouveau se tourner vers l’avenir.

Le 1er janvier 2016, la Haute et la Basse Normandie forment à nouveau une seule et même région avec 3 grands pôles : Rouen, Le Havre et Caen. Elle a approximativement les mêmes contours que le Duché de Normandie.

Catherine GAGNONClub Barentin Agnès Sorel

Congrès Deauville



Congrès Deauville

La Normandie était à l’honneur cette année avec notre congrès annuel à Deauville. Ce furent deux journées denses, conviviales avec de belles rencontres, des remises de dons émouvantes et le témoignage poignant de Margaux LENORMAND. Préparer une telle manifestation requiert une organisation matérielle, logistique et festive importante.

Les Kiwaniens, engagés à mes côtés dans cette belle aventure,

ont relevé le défi en quelques mois avec dynamisme et efficacité nous permettant d’être fins prêts pour accueillir les congressistes avec sourire et bienveillance.

Je leur adresse tous mes remerciements et particulièrement à Jean-François DUFOUR, Chantal BAPAUME, Patrick MARI, François ANTOINE, Dominique PORTIER, Myriam PAUMIER et Colette CARRIER. Mais également à Françoise BROUSSEAU, Françoise LECOUSIN, Marine BANCE, Nathalie MAROQUESNE, Evelyne et Bernard AUGE et Michèle FIEVEZ pour l’œuvre de son compagnon.

Sans oublier Marie-Christine VIARD qui m’a accordé toute sa confiance, Patrick BRETON et Didier COLLET.

Je tiens aussi à remercier certains Kiwaniens et clubs qui ont personnellement sponsorisé cet

évènement ou participé activement à la recherche de sponsors.

Merci à Lily SAUNIER, Michel JACQUELINE, Jacques LAVOLE, Jean DORNOIS, Jean BUNEL, Frédéric COQUELIN, le club de Flers et son président Didier JOSSE, les clubs de Caen et Caen Mémorial, le Neubourg, Louviers, Evreux Joséphine, Le Havre, Dieppe, Rouen Doyen, Barentin Agnès Sorel sans oublier notre lieutenant-gouverneur Arnaud ALEXANDRE.

Cet investissement a été récompensé par une présence nombreuse, des sourires et des propos toujours sympathiques à notre encontre ; soyez-en remerciés.

Nous espérons vous avoir fait passer deux belles journées riches en émotions et en plaisirs partagés.

Nadine VERMESSE

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Le succès du Congrès ? Celui d’une équipe et de partenaires !

L’un des temps mémorables de ce Congrès national de Deauville fut incontestablement la prestigieuse soirée musicale concoctée autour de l’œuvre musicale des « Quatre garçons dans le vent ».

Contrairement à ce qui a été annoncé à maintes reprises au cours de la soirée, ce n’était donc pas les « RABEATS », autre combo honorable dans l’art et la maîtrise de jouer à la perfection le répertoire des quatre instrumentistes de Liverpool qui étaient sur scène mais bel et bien les LOVE BEATLES. Ce groupe à moitié britannique et français s’est prêté à ce jeu fabuleux de ramener les congressistes quelques décades en arrière, au beau milieu des sixties !

De « Can’t buy me love » à « Help ! » en passant par « I want to hold your hand » ou « Twist and shout » : aucun des titres ayant fait la gloire et la renommée du quatuor anglais n’aura manqué dans ce récital dansant, mobilisateur sur l’esplanade réservé à cet effet.

Les congressistes de Deauville n’oub l i e ron t pas de s i tô t l’exceptionnelle ambiance qui régna

durant une soirée en tout point remarquable. Le temps de la pause salvatrice, histoire de se rafraîchir quelque peu, et voilà la parfaite copie des Fab Four qui occupa de nouveau la scène sous le feu nourri des projecteurs.

Un second set qui sera ponctué des standards d’un pop universelle et hyper léchée au plan de la construction mélodique : « Hey Jude » (repris en chœur par des Kiwaniens exaltés !),

« Get Back », « Révolution » ou la ritournelle triste de « Let it be ».

Née de la rencontre de quatre musiciens professionnels (Cyril MONTREAU qui incarne John LENNON, Nick BIRD dans la peau de Paul Mc CARTNEY, Richard PETCH dans le rôle de George HARRISON et Christophe ROUSSEL derrière les fûts de sa batterie tel un sémillant Ringo STARR), LOVE BEATLES ont reproduit dans un souci d’une rare authenticité les mimiques, costumes de scène et matériel à l’appui, la célèbre formation devenue intemporelle depuis leur séparation, survenue le 10 avril 1970.

Thierry BRET

Le District en mode « All you need is love »grâce aux « Love Beatles »


Congrès Deauville

De main de maître. Rendons hommage à la persévérance et la pugnacité de Nadine VERMESSE qui a su trouver les mots justes lors de l’ouverture de cet évènement accueilli en Normandie. Sa chère Normandie qui demeurera dans

les annales puisque c’est la première fois qu’une femme prend la présidence d’un comité d’organisation d’un tel évènement. Chapeau, madame !

Un congrès organisé par une femmeUne première


Congrès Deauville

Pour le gouverneur Jo MATICOT, l’objectif donné par KI était le suivant : il fallait charter dix clubs lors de sa mandature. Six clubs l’auront été sous son gouvernorat ; ce qui est loin d’être négligeable par les temps qui courrent…

Le coût de déplacement des

lieutenant-gouverneurs a été très

bien maîtrisé cette année…

Statistique : le nombre de Kiwaniens

au premier octobre 2018 s’élevait à

4 240 membres. Répartis dans 245

clubs. Combien seront-ils au premier

octobre 2019 ? Attention : une

cinquantaine de clubs ne disposent

que d’une douzaine d’adhérents.

Inquiétant…

Plusieurs clubs ont la ferme intention de valider leur partenariat avec l ’ a s s o c i a t i o n « Colosse aux pieds d’argile ». Rejoignant ainsi ceux qui l’ont déjà fait !

Le 01 octobre, Daniel VIGNERON débutera ses fonctions de président international. Un mandat important pour la vie du mouvement puisque notre ami belge deviendra ainsi le premier président francophone du KIWANIS International.

« Etre francophone, c’est apporter un autre état d’esprit et rendre l’organisation plus globale, devait-il déclarer lors sa prise de parole, c’est

aussi un signe fort dans le cadre du respect entre les différentes cultures. Notre organisation doit se diversifier et respecter toutes ces richesses… ».

P r ô n a n t l ’ o u v e r t u r e d e s communications faites dans toutes les langues internationales, Daniel VIGNERON a insisté sur la politique de recrutement. « C’est un objectif très important, essentiel auquel nous devons répondre. Sinon, dans quelque

temps, l’organisation périclitera. Il nous faut rajeunir les effectifs des clubs, tout en conservant cet état d’esprit dans la camaraderie. Il y a un gros travail à faire à ce niveau-là… ».

Le mot d’ordre de l’année est simple. Daniel VIGNERON l’a parfaitement résumé : faisons des actions et moins de paroles !

Daniel VIGNERONLa verve d’un président international !


Congrès Deauville

Une signalétique efficace : les fameux panneaux aux entrées des villes ! L’initiative lancée par le gouverneur Marie-Christine VIARD pourrait faire des émules car l’objectif de cette campagne de sensibilisation au bord des routes est de gagner en visibilité.

Triste : il n’y aura pas de représentation cet été du cirque MEDRANO, dans le cadre de notre partenariat avec NAEVUS EUROPE 2000 du fait de la situation sociale tendue. Ce qui conduit une centaine de personnes au chômage…

L’espace membre I n t e r n e t e s t en refonte via un prestataire extérieur. Son investissement est lourd. Il sera amorti sur les cinq années à venir, soit une charge de 18 000 euros chaque année…

Après vingt-huit années de vie au KIWANIS, le président-élect européen a été confirmé par ses pairs. Plutôt travailleur qu’orateur, ses premiers mots traduisent une volonté tangible de continuité dans l’action mise en œuvre par ses prédécesseurs.

« Nous devons travailler en tant que grande famille unie dans nos actions

et réunions, expliqua-t-il à la tribune de Deauville, servir les enfants du monde doit nous permettre de bâtir de petites actions sociales pour réaliser de grandes actions ensemble ! ».

Partisan de la réduction du nombre de réunions pour une gestion optimisée du système, Christiaan DECORTE lance un appel aux responsables de

KI et à ses autres collègues européens pour obtenir un accord sans gagnant ni perdant dans la nouvelle configuration du KIWANIS Europe.

Un président-élect européen confortéChristiaan DECORTE


Congrès Deauville

Des nouvelles du jeune roumain Rares : il a été pris en charge par un professeur à Bologne où il suit des séances thérapeutiques très lourdes pour sauver sa jambe. Une collecte auprès des clubs a été organisée pour assumer les frais. Précisons que la Fondation KIEF a offert 8 000 euros.

Jade et Eléa sont deux enfants sympathiques. Présents sur la scène avec leurs fauteuils roulants, ils ont bénéficié d’un don émanant de tous les clubs normands. Soit un chèque à chacun des deux heureux bambins de l’ordre de 4 200 euros ! Ces sommes serviront à financer des thérapies et de matériel….

Entre la fondation KIEF

et la fondation des

Maladies rares, c’est

l’entente cordiale. Le

partenariat fonctionne

de manière admirable.

« Le nombre de membres est prometteur : nous comptons aujourd’hui plus de 200 000 membres. La croissance est à porter au nombre de nouveaux clubs qui se sont créés en 2018 (411). Cette année, je constate que nous sommes en avance sur le programme, avec déjà 221 nouveaux

clubs dont 195 ont rempli leurs obligations légales. En Europe, 18 nouveaux clubs ont été créés dont un en France. L’objectif est d’en créer huit cette année. Il nous reste encore cinq mois pour atteindre cet objectif… ».

Toutefois, le trustee KI n’a pas manqué de faire une analogie avec les arbres.

« S’ils ne grandissent pas, ils meurent ! Mais s’ils continuent à grandir, ils peuvent perdre des branches et des feuilles : il faut donc abandonner les vieilles idées et se développer avec beaucoup d’enthousiasme pour attirer de nouveaux membres… ».

Richard OLMSTEAD (trustee KI)Le KIWANIS et les arbres


Congrès Deauville

Figure emblématique du trésor dans le District, Jean PERLOT a une nouvelle fois salué la qualité du travail d’un tandem de choc : Jean-Luc POZNIAK et Jean-Yves JAFFRAY, deux piliers du pôle numérique de notre mouvement…

Initiée par la gouverneure, la plaquette

institutionnelle de communication s’est déjà

écoulée à quatre mille exemplaires. Mises à la

disposition des clubs et de leurs membres, ces

plaquettes seront bientôt rééditées en petite

série de deux mille exemplaires…

Malgré la candidature du club de Bischwiller pour le projet « KIWA Voice », un concours de chant, c’est le club du Vésinet qui devait s’octroyer le Prix Claude BERR pour la tenue de soirées culturelles sur une trentaine de lieux exceptionnels.

Le partenariat avec la JCE est au beau fixe comme l’a confirmé Max QUEVA. De nombreux projets prennent naissance et devraient voir le jour d’ici quelques semaines. A suivre de près !

« Je suis convaincue que sans l’aide de la France, le district roumain n’existerait pas. Grâce à vous, vous nous permettez d’améliorer notre désir de solidarité. Durant le régime communisme, l’esprit était à l’égoïsme pour survivre. Avec la collaboration du

district France Monaco, les Roumains ont pu voir la solidarité autrement, ainsi que la générosité et le partage… ».

Rappelant qu’il n’était pas facile d’être un bénévole en Roumanie (la crise économique rend la vie

difficile), Juliana PACURAR espère une collaboration entière entre les deux districts à l’avenir.

Le gouverneur de Roumanie Juliana PACURARespère beaucoup de la France


Congrès Deauville

Double élection lors de ce rendez-vous à Deauville ! Le gouverneur-élect Roger VILLAUME n’a connu aucun déboire pour se faire confirmer à son poste au terme d’un scrutin sans enjeu. Quant à Philippe JOURNIAC, il accède au titre de gouverneur élect en obtenant le maximum de suffrages lors d’un vote à main levée et sous les applaudissements nourris du public !

La responsable des actions

sociales, Eliane TALON, déplore

avec véhémence que 73 clubs

n’aient toujours pas retourné

leur RASC au terme de la saison.

En terme clair, les chiffres

énoncés par ces soins sont faux !

Le KIWANIS qui a reçu 831 365

euros de recettes cette saison

pour plus de 55 000 heures de

bénévolat. Auxquelles il manque

celles non comptabilisés des

clubs retardataires !

Parrain de six nouveaux impétrants, Michel NAVARRO, du club d’Arles Camargue, a glané le prix RAVASI qui distingue le club qui intègre le plus de membres.

Satisfaction pour Eliane OTT-SCHEFFER : 94 % des clubs DU DISTRICT France Monaco ont participé à la campagne ELIMINATE ! Les dons les plus récents ont servi à éradiquer le tétanos néo-natal du Tchad. Il reste encore 13 pays à vacciner. Il faut encore trouver 171 000 euros. Rien que pendant la durée du congrès, Eliane est repartie avec plus de 24 000 euros de dons !

Brèves


Congrès Deauville

Le Tour de France des jeunes devrait être encore une belle réussite pour l’édition 2019, d’après Jack DERUCHE et Max CAZAUD. Une vingtaine de clubs accueilleront les valeureux sportifs lors de leur périple…

Le programme européen « Happy Child » existe pour aider 5,8 millions d’enfants en difficulté et en déshérence qui vivent en Syrie. Le projet a besoin du soutien des clubs du district. Chose entendue par le club de Strasbourg Contades qui a offert 600 euros au profit des jeunes réfugiés du camp de TARTOUZ…

Prés ident du c lub de Rouen Doyen, Raymond de MEULEMEESTER a officié dans les hautes instances du KIWANIS en qualité de président européen. Il a reçu une magnifique médaille remise par la gouverneure Marie-Christine VIARD.

Le lieutenant-gouverneur de la Division PICARDIE Thierry BERNIER s ’est dist ingué en remettant un chèque de 4 000 euros au chargé de la communication de l’association des « Colosses aux pieds d’Argile ».

De passage parmi l’assistance, le maire de Deauville, Philippe AUGIER, s’est félicité de la présence du KIWANIS dans sa chère bonne ville par la formule suivante : « La magie de Deauville est belle et bien présente à vos côtés pour contrarier l’injustice qui frappe les malheurs du monde de l’enfance… ».

Autre formule de sémantique à retenir : « Nous sommes là pour vivre en pensant aux autres, malgré la poussée si forte de l’individualisme. Faisant montre de pédagogie et développons l’exemplarité autour de nous ! ». Le maire s’est dit très heureux et honoré que Deauville fut choisie pour ce congrès.

Patrick MAUREL a dévoilé le livre lauréat du 4ème Prix de littérature du KIWANIS. Il s’agit du « Manuel de survie à l’usage des jeunes filles », un ouvrage signé de la plume de Mick KITSON.


Congrès Deauville

Le club de Laval a vu grand : cela lui a été profitable ! D’ordinaire, il propose un Salon du Vin et du Terroir de belle facture. Son président Loïc LUCAS s’est félicité de la bonne tenue de cette vingtième édition. Il est vrai que 80 viticulteurs, venus de toute la France, l’ont fréquenté. Le bénéfice net s’est élevé à 40 000 euros pour 5 000 visiteurs ! Faire connaître le club est la devise de Laval. Avec SMAIN, interprétant son nouveau spectacle (« Pierre et le Loup »), 700 personnes ont pu apprécier le charme et le talent de ce charismatique artiste, qui aime intervenir pour la cause des enfants. SMAIN est devenu le parrain du club.

Frédéric SZWEW a une idée ! Et pourquoi ne pas développer le concept des « Escape Game » pour arriver à nos fins de recrutement. La méthode, déjà pas mal usitée dans le monde professionnel, correspond à un jeu technique qui se décline de plus en plus parmi les entreprises. Une nouvelle piste à creuser ?

124 490 euros de dons : c’est ce qu’a reçu la Fondation KIEF au terme de cette saison. « Votre fondation ! », comme s’est plu à la dire son président Gérard CONTE…

Kiwanigramme : cinq clubs ne remontent jamais via le bulletin de liaison interne leurs informations aux responsables des actions sociales. Ces irréductibles « gaulois » ont tort ! Ils pénalisent ainsi l’ensemble du District France Monaco qui pourrait présenter un meilleur bilan annuel qu’il ne soit…

Pléthore d’Awards pour la saison 2017/2018 : le past-gouverneur Jo MATICOT a ainsi distingué 102 clubs, 12 lieutenant-gouverneurs et six clubs. Félicitations à eux !

Jean-Louis SAEZ, président du futur Congrès de Biarritz (les 08 et 09 mai 2020) a fait miroiter les possibilités offertes par la fameuse station balnéaire de l’Atlantique lors de sa présentation…

« Transmettre mes convictions, l’amitié, la tolérance et la justice, que notre mouvement soit plus connu et reconnu, qu’il soit un beau mouvement qui respire la sérénité : voilà les mots que je dédie au KIWANIS. La tâche est immense mais il faut être utile plus que jamais pour les enfants… » : ce fut le message porteur et de clôture de la gouverneure Marie-Christine VIARD au terme de ces journées de travail à Deauville…

Brèves


Congrès Deauville


Recette pour un nombre de huit personnes.Temps de préparation : 20 minutesTemps de cuisson : 40 minutes

Ingrédients

Gâteau- 1 litre de lait entier- 120 g de farine- 200 g de sucre- 125 g de beurre- 8 œufs

Caramel- 250 g de sucre- 15 cl d’eau

Préparation- Il est important de réaliser cette recette dans un moule à savarin de

24 cm de diamètre.- Préchauffez le four à 180° et préparez une plaque avec 3 centimètres

d’eau pour le bain marie- Dans une casserole, verser le sucre et l’eau froide. - Porter à ébullition jusqu’à l’obtention d’un caramel foncé puis ajouter

petit à petit de l’eau pour obtenir un caramel liquide épais.- Tapisser les moules à savarin du caramel liquide à l’aide d’un pinceau. - Dans une casserole, délayer la farine dans le lait et porter à ébullition. - Laisser cuire pendant cinq minutes à feu doux en remuant de temps

en temps à l’aide d’un fouet puis ajouter 100 g de sucre puis le beurre. - Casser les œufs et séparer les blancs des jaunes. - Hors du feu, ajouter les 8 jaunes d’œufs un à un et réserver de côté. - Dans un grand saladier, monter les blancs en neige avec une pincée

de sel. - Une fois les blancs montés aux ¾, incorporer les 100 grammes de

sucre restant et terminer de monter les blancs. - Ajouter les blancs d’œufs à l’appareil et mélanger délicatement.- Répartir la préparation harmonieusement dans les moules à savarin

et laisser cuire pendant 40 minutes au four au bain marie : les moules doivent être placés dans une grand plat avec 3 centimètres d’eau avant d’enfourner.

- Servir très frais.

Le célèbre chef étoilé aux origines normandes a concocté une délicate pâtisserie à recommander aux épicuriens et gourmets. Le « Paris Deauville » se compose d’une délicieuse crème à base de caramel pourvue d’une remarquable texture en bouche. Une création unique que la Toque a créé lors de l’ouverture de son restaurant « Le Lazare », dans la capitale, près de la gare ferroviaire éponyme. En voici la recette : ce pur produit de l’art culinaire français est à consommer sans modération

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tronom

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Le « Paris Deauville »un nectar pâtissier du chef Eric FRECHON

Congrès Deauville

Lors de sa visite dans la Division Côte d’Azur Ouest-Varois, Marie-Christine VIARD a pu rendre une visite au CPM. En 1987, ce centre destiné aux jeunes atteints de mucoviscidose facilite le travail de ces personnes à proximité de leur univers de soins (hôpital René SABRAN à Hyères). Il a été créé par des kiwaniens de la région PACA pour répondre à la demande du professeur CHAZALETTE.

En effet, grâce aux progrès de la médecine, l’espérance de vie de ces personnes progressait mais en raison de leur handicap, elles ne parvenaient pas à s’intégrer dans le milieu du travail. Après avoir travaillé pendant plusieurs années dans un petit local, en 2017 les pensionnaires du CPM ont déménagé dans des locaux de 240 m2. Aujourd’hui, ceux-ci leur offrent des bonnes conditions de travail.

C’est dans ces nouveaux locaux que Marie-Christine VIARD a rencontré les salariés du CPM. Elle a pu constater l’engagement de ces jeunes très attachés à leur entreprise.

Lors de ce séjour, le président du CPM Ernest REYNE, membre du

club d’Aix-Doyen, a remis un chèque de son club de 5 000 euros. Tous les clubs des trois divisions de la région Sud se mobilisent régulièrement pour soutenir cette structure. Aujourd’hui, le CPM compte neuf salariés dont huit ayant la reconnaissance de travailleurs handicapés.

Il faut savoir qu’en 2018, les aides de l’Etat ont brusquement diminué tant en ce qui concerne l’aide au poste que la subvention spécifique destinée à compenser le surcoût lié à l’emploi de personnes handicapées à efficience réduite. Par ailleurs, le désengagement des collectivités locales est pour cette structure plus que dommageable.

Même à distance, chacun de nous peut donner du travail au CPM. Il peut réaliser flyers, dépliants, cartes de visite, roller up, et beaucoup d’autres documents. Le catalogue a été remis par mail aux lieutenant-gouverneurs, vous pouvez le leur demander.

Je vous invite aussi à aller visiter son site dont voici l’adresse : www.cpm-hyeres.com

Modèle unique en France, ce centre créé par des kiwaniens et dirigé

bénévolement par des kiwaniens, a besoin du Kiwanis aujourd’hui plus que jamais. Ils ont besoin de dons et de travaux pour pallier la baisse des subventions et continuer à exister.

Et ainsi qu’ils l’ont dit à Marie Christine : « A quoi cela servirait de nous garder vivants si nous n’avons pas de travail. Il est primordial pour nous de travailler, d’être insérés dans la vie sociale… ».

Nous les avons fait naître et en tant que parents, nous nous devons de ne pas les abandonner car ils comptent sur nous !

Geneviève DONET MONTEAGUD

Côte

d’A

zur

Oues

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arois

Le Centre Provençal de la Mucoviscidose (CPM)reçoit la visite de Marie-Christine VIARD

Vie des Divisions


Vie des Divisions


Samedi 13 avril, sous l’égide de Ronald ISSELIN, lieutenant-gouverneur de la Division Nord-Aquitaine et Sylvain CLAIRIOT, président du club d’Arcachon Bassin, les Kiwaniens de la Division ont envahi joyeusement le siège social du KIWANIS Arcachon Bassin à l’hôtel Ibis de la Teste de Buch, où se déroulait la réunion.

Un petit déjeuner frugal attendait les invités. Puis le lieutenant-gouverneur a ouvert la réunion avec un programme bien chargé, infos du District, confirmation du LG élect, tour des clubs, rappel des fiches…. Tout cela dans la bonne humeur et la bienveillance.

Après une présentation animée et interactive, le comité du Tyrol, profitant d’un séjour découverte de Bordeaux et de sa région, et désireux de rencontrer d’autres clubs, est venu se joindre au groupe pour un déjeuner

buffet convivial autour des huîtres du Bassin. Des fanions ont été échangés entre les différents clubs, renouvelant ainsi notre appartenance à la grande famille du KIWANIS.

Le club Arcachon Bassin a profité de son statut d’hôte pour faire découvrir la région à tous les membres désireux de percer nos us et coutumes. Une promenade dans la ville d’hiver d’Arcachon, conduite par Christiane MOULS, une notoriété arcachonnaise, et des comédiens en costume d’époque ont donné une dimension intemporelle à cette joviale manifestation.

Nos amis tyroliens ont poussé la curiosité à visiter la Maison de l’Huître de Gujan-Mestras, la ville aux sept ports. Gageons que désormais l’huître n’aura plus de secrets pour eux ! Invités par leur président, Christian PEINTNER, nous ne manquerons pas de nous en assurer quand l’occasion nous en sera donnée.

Et comme il n’existe pas de grande histoire sans petites histoires, celle du jour retiendra que le président du club de Bozen, Christian PEINTNER, privé de sa valise suite à un mauvais aiguillage ou l’envie de cette dernière de prendre l’air, s’est vu remettre, par ses amis kiwaniens compatissants, un joli polo aux couleurs du club d’Arcachon !

C’est un agréable souvenir qui restera gravé dans la mémoire et le cœur des kiwaniens comme un désir de tisser d’autres liens.

Précisons que le club de Bozen, basé en Italie, appartient au District Suisse-Liechtenstein et Tyrol du Sud. Ce club est mixte avec 48 membres à son actif.

Marie TAIEB

Nord

Aquit

aine

Une réunion aux fragrancesdu Bassin d’Arcachon…et du Tyrol !

Vie des Clubs


Angoulême Un salon des vins et des saveurs au profit d’une noble causeSi le salon des vins et des saveurs organisé les 30 et 31 mars à Saint-Michel par le KIWANIS club d’Angoulême a pu en séduire beaucoup, exposants ou visiteurs, par sa qualité et son originalité, c’est aussi par sa finalité qu’il a mérité de retenir l’attention. Le bénéfice de cette manifestation a été attribué pour moitié à la recherche sur les maladies rares concernant les enfants. Plus particulièrement dans le domaine du diagnostic, et pour l’autre moitié au petit Théo de Champniers, dont les parents se sont déplacés, le jeudi 25 avril, au siège social du club pour recevoir un chèque de mille euros. Le petit Théo est atteint d’une maladie rare non diagnostiquée. Il est polyhandicapé et il lui est impossible de manger, boire ou se déplacer seul. Sa présence et celle de son exemplaire famille sur le salon ont pu en sensibiliser beaucoup. Car, cette souffrance ne peut laisser personne indifférent.Par leur présence à cette remise de chèques, Fabienne GODICHAUD, maire de Saint-Michel et sa première adjointe Agnès PREVOST, ont tenu à affirmer à quel point elles étaient sensibles à l’engagement des KIWANIS pour aider l’enfance nécessiteuse.Motivés par la réussite de ce deuxième salon, en nette progression, les kiwaniens d’Angoulême ont la volonté de se donner la possibilité d’œuvrer à sa pérennisation en assurant une nécessaire évolution. La présence d’une œnologue affirmée sur ce salon, permettant de réellement aborder les éléments d’une dégustation, a fait l’unanimité…D’autres initiatives pour la troisième édition, prévue fin mars 2020, complèteront l’attractivité de cette manifestation pour « Servir les enfants du monde ». Il y aura, cette fois la collaboration d’étudiants de l’IUT techniques de commercialisation, motivés par un bel engagement humanitaire. Ils sauront apporter en plus l’enthousiasme et la créativité de la jeunesse.

Jean-Michel GIBAUD

Que la force soit avec Arles Camargue !Au cours de deux soirées exceptionnelles, les 14 et 15 juin 2019, aux Carrières de Lumières des Baux de Provence, seront diffusés trois films de la célèbre saga cinématographique « Star Wars » dans le cadre du « KIWANIS Force Event II ».

Selon le principe même des lieux, les films seront projetés sur toutes les surfaces de la carrière tout en proposant un son de très haute qualité. Des membres des fan-clubs de « Stars Wars », habillés en tenue, viendront animer ces soirées.

Pascal NOIROT

Arras Femmes d’ArtoisEncore une année de succès pour le rendez-vous musical du club Arras Femmes d’Artois, rythmé sur un air d’accordéon !

C’est désormais devenu une tradition depuis cinq ans. Le club organise un après-midi dansant dont le bénéfice est reversé aux enfants en souffrance psychologique.

Dans une ambiance festive et conviviale, les danseurs ont pu se restaurer grâce aux kiwaniennes qui géraient un stand bien achalandé. Elles ont proposé des pâtisseries « maison » et diverses boissons.

Très attendue, la tombola comprenait de nombreux lots à gagner dont une télévision de grand format offerte par Carrefour.

La soirée s’est terminée dans la gaieté, avec l’espoir et l’envie de revenir l’année prochaine.

La présidente Régine QUEVA a remercié les Kiwaniennes qui se sont investies pour que le « kiwadanse » soit une réussite.

Claude CAMEK

Vie des Clubs

Une « Soupe des Chefs » de qualité pour Bayonne Biarritz Côte Basque Proposée en plusieurs endroits, cette manifestation a rencontré un réel succès, grâce à une organisation parfaite et bien synchronisée. Le club remercie la générosité des restaurateurs de Bayonne, Biarritz, Bidart et Saint-Jean-de-Luz pour la qualité de leurs soupes. Celles-ci étaient offertes et ont permis de régaler les acheteurs. Le club est très heureux de pouvoir, prochainement et grâce aux bénéfices réalisés, remettre un joli chèque à l’association « Olagarroa ».Cette dernière offre la possibilité à des jeunes en situation de handicap mental ou psychique de pouvoir faire du sport. Le club l’aide à assurer la formation des bénévoles qui préparent les handicapés à des activités sportives pratiquées selon leurs aptitudes physiques et mentales. Le but étant de leur ouvrir des perspectives d’intégration sociale

Gilles SAUVION

Bayonne Biarritz Côte Basque aide à la réalisation d’un document audiovisuelSuite à l’organisation du concert « Nous, c’est NOUGARO » au casino de Biarritz en novembre, le club Bayonne Biarritz Côte Basque a organisé une réception dans les locaux de la municipalité.Le maire de la cité, Michel VEUNAC, assista le président François HERVÉ pour la remise d’un chèque de mille euros au représentant de la Maison de la Sauvegarde pour l’enfance de Saint-Vincent de Paul. Cette somme apportera une aide précieuse à ce projet novateur, dont les acteurs principaux sont des enfants en grande détresse psychologique. Il consiste à la réalisation d’un document audiovisuel en collaboration avec des professionnels, dans un but d’intégration et de responsabilisation de ces enfants abandonnés par les liens familiaux.

Gilles SAUVION

Bayonne Josette Celhay : l’arthrite juvénile, sujet de préoccupationLe 5 mars, en présence de l’international de rugby Dimitri YACHVILI, président de l’association « Une Ballade pour Justine et Lou » et des représentants du Skatepark de Biarritz qui nous avaient rétrocédé les bénéfices de leur activité d’une journée, le club de Bayonne Josette Celhay a remis un chèque de 1 500 euros à la structure qui soutient la recherche relative à l’arthrite juvénile. Un beau geste réalisé en faveur des enfants malades…

Simone PAUQ

Bayonne Josette CELHAY : des chèques comme s’il en pleuvait !Le « Skate Park » de Biarritz a offert les bénéfices d’une soirée au club de Bayonne Josette CELHAY. Grâce à cette contribution financière, celui-ci a pu remettre 1 500 euros à une association locale. La remise de chèque s’est déroulée en présence de l’international de rugby, Dimitri YACHVILI. C’est l’association « Une balade pour Justine et Lou » qui soutient la recherche sur l’arthrite juvénile qui a bénéficié de cette manne. Quelques jours plus tard, lors de sa réunion statutaire, les membres du club ont offert une somme de mille euros aux associations suivantes : « Dépannage et Distraction », « AFA », « ARSEP » et la Ligue contre le cancer.

Simone PAUQ


Vie des Clubs


Les clubs de Bayeux vendent des fleurs au profit des enfants malades

Les deux clubs bayeusains, Reine Mathilde et Len Lomell, se sont installés dans les galeries de plusieurs supermarchés pour vendre des primevères au profit d’enfants hospitalisés.Depuis 2010, les bénéfices de ces ventes ont permis de répondre aux souhaits du service pédopsychiatrique de l’hôpital. Cette année encore, un don de 1 200 euros a pu être réalisé à l’issue de cette opération caritative.Les dessins que les enfants avaient adressés ont pu être affichés. Pour la première fois, des « blouses blanches » travaillant dans ces services ont été présentes aux cotés des donateurs. Elles ont pu répondre aux différentes questions concernant leurs fonctions. Elles ont donné en outre des informations concernant l’emploi de ces dons utilisés au quotidien en faveur des enfants.

Guy-Gérard HAMON

Bergerac une aide de 15 000 euros en 2018Le club Bergerac Cyrano attribue chaque année le résultat financier de ses actions sociales à des jeunes bergeracois, dont les familles se trouvent momentanément en difficulté.En février son président, Jonathan PRIOLEAUD, ainsi que ses membres, ont remis un chèque de 3 250 euros à la maman de Jade pour le règlement d’une commande oculaire. Cette jeune fille atteinte d’un polyhandicap peut, grâce à cet outil, communiquer. Elle va ainsi pouvoir exprimer ses besoins et ses sentiments, jouer et laisser place à sa créativité.Le KIWANIS Bergerac Cyrano est un club actif sur notre territoire. En 2018, quinze mille euros d’accompagnements financiers ont été accordés à des œuvres caritatives.

Jonathan PRIOLAUD

Vie des Clubs

Bordeaux MontaigneQuarante années au service de l’amitié et de la solidarité« Quarante ans, c’est l’âge où l’on devient ce que l’on est… ». Charles Péguy. Quarante années de solidarité, de moments émouvants, forts, de fraternité mais surtout quarante années de sourires d’enfants !

Quarante années kiwaniennes entre ce 24 juillet 1978, date de la création du KIWANIS Bordeaux Montaigne par l’inoubliable Georges MARS (haute personnalité bordelaise reconnue), et ce 20 décembre 2018, date où fut célébré dans l’établissement de « L’Auberge du

Marais » à Bouliac (forteresse gustative et laborieuse du club depuis 38 ans) notre quarantaine !C’est dans ce cadre réputé de la gastronomie girondine que l’anniversaire a été fêté, et animé par notre actuel président Alexis PELTRIAUX, Francis MARTIN, le « garde des Sous » et par notre élégant, indispensable secrétaire René ALLIER (notre expert en citation de Montaigne). Ils étaient entourés de Ronald ISSELIN, lieutenant-gouverneur de la Division Nord-Aquitaine. Tous les membres du club, accompagnés de leurs épouses ou compagnes, toutes nos indispensables « petites mains » sympathiques telles que notre Infographiste Pascale SEPULLE et notre ami Pierre THUILLAT, notre bénévole actif, ont écouté avec attention l’histoire du club raconté par notre doyen vénéré Christian NOLASQUE. Ce fut la véritable vedette de la soirée car celui-ci a soufflé la bougie du gâteau commandé à l’occasion ! Ce fut aussi l’occasion de rappeler que le club se renouvelle. Ce soir-là, les convives vont découvrir le nouveau fanion du club. Il y eut également l’intronisation de deux nouveaux membres : Laurent TABOUY et Christian GRELIER. L’histoire de Bordeaux Montaigne perdure. Cette relève permet de rappeler à tous que la camaraderie amène à l’amitié, que la solidarité amène aux sourires des enfants ; que tous servent la même cause et même sous leurs airs de quadragénaires, tous restent dynamiques, enthousiastes pour aller vers la cinquantaine ! Je cite alors notre patron Michel de Montaigne pour continuer notre dessein : « Dans la véritable amitié, celui qui donne est l’obligé : tout y est abandon, deux âmes n’en font qu’une… ».Car ce qui compte pour les Kiwaniens Bordelais et Montaignien c’est que : « les plus belles vies sont celles qui se rangent au modèle commun et humain, avec ordre, mais sans miracle et sans extravagance…». Michel de Montaigne.

Lionel DAULY

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Bordeaux Aliénor : la flûte enchantée d’un prodige musicalL’an dernier, le club a décidé de soutenir une jeune fille flûtiste surdouée en lui permettant d’acquérir un instrument professionnel. Une action menée en association avec le Lions de Bordeaux, la société « RocEclerc » de Langon et Philippe HERNANDEZ, diacre dans le but de faire progresser ce jeune talent.

En remerciement, la jeune musicienne, accompagnée de son professeur Josiane LEROY, a offert au club un concert. Il s’est déroulé dans le joli cadre du Musée de la Vigne et du Vin de Gradignan en mars.

Après ce moment musical très agréable pour les oreilles des spectateurs, ce sont leurs papilles qui ont été satisfaites avec deux dégustations de chocolats de nos artisans partenaires attitrés : les « Joyeux Gourmands » et le vin de Sauternes du Château Gravas.

Danielle DUBEE


Vie des Clubs


Dinan Des milliers de balles de tennis pour une action insolite !

Le club de Dinan n’est pas en reste de nouvelles idées originales.C’est ainsi qu’en 2017, les membres ont inventé un projet de lancer de balles de tennis à Dinan.Le dénivelé entre le port et la citadelle étant important, et profitant d’une petite rue en forte pente dite « rue du Jerzual », le club a ainsi organisé cet événement avec sa passion habituelle. Le travail était difficile tant dans la technique de lancer que du côté administratif. Les membres ont profité des nombreuses manifestations de la ville pour vendre ces fameuses balles de tennis, offertes par les associations sportives voisines. Soit environ sept mille pièces, toutes numérotées avec le logo du club. Ce fut donc beaucoup de travail…En septembre, en présence d’un public nombreux et d’un huissier de justice afin de contrôler le bon fonctionnement du jeu, des milliers de balles furent lâchées en haut de cette rue dans la bonne humeur et la participation d’enfants avec les parents.Les dix premières balles arrivées en bas de la rue ont fait gagner à leurs propriétaires des lots de valeurs comme un thermomix, un vélo, une tablette, un téléviseur, des bons d’achat et bien d’autres choses encore !Le résultat financier, net de frais, s’éleva à près de 8 000 euros. Une somme reversée au profit de l’enfance qui souffre. Ce fut une belle opération de communication avec plusieurs motifs de satisfaction pour le club totalement mobilisé avec l’aide des conjoints !

Un mois après, il y eut la remise des prix dans les locaux de l’hôtel de ville en présence du maire, des partenaires et de beaucoup de monde. Cet événement devrait être renouvelé en 2020.

Yann EVEILLARD

Le KIWANIS Dames d’Havré sur le pont pour les Restos du Cœur !Deux tonnes d’aliments et produits d’hygiène pour bébé ont été récoltés lors d’une très belle collecte concoctée sur les communes de Mouvaux et de Villeneuve d’Ascq.Ce sont in fine 182 cartons d’aliments et hygiène qui ont été ainsi manipulés, une centaine de litres de lait croissance récupérée et cent-dix paquets de couches obtenus.Tout cela grâce à la générosité des habitants ! C’est encore mieux qu’en 2018 !

Christine MARTIN-LEMESRE

Vie des Clubs


L’audition et les seniorsCibles prioritaires du club de DouaiMois de mars actif à Douai ! Il y eut d’abord la septième édition de la Journée nationale de l’Audition. Articles dans la presse, portiques d’entrées de ville, banderoles positionnées à des points stratégiques : la préparation avait été au top… et le résultat l’a été aussi. En effet, près de deux cents personnes sont venues faire un test gratuit de leur audition tout au long de la journée du 14 mars. Quatre audioprothésistes ont soutenu l’O.R.L. du club, Bruno MAETZ ! Pa r m i c e s p e r s o n n e s demandeuses de contrôle, beaucoup de quadras, quinquas, sexas, ainsi que de nombreux employés communaux de Douai et peu de jeunes. Ils devraient pourtant se pencher sur cette question de santé primordiale. Eux qui, souvent, ont des écouteurs sur les oreilles à longueur de journée. Un axe d’action pour l’avenir ?En fin de journée, les Kiwaniens firent coup double avec une importante remise de chèques par leur président, Alain OGEZ. Soit 3 700 euros remis au Secours Populaire du Nord et à ses sections locales, à la suite de la vente de décembre. Parmi les autres surprises : 500 euros au Noël de La Voix du Nord ; 500 euros à « L’Oreille enchantée de Merlin », un garçonnet qui doit subir une intervention chirurgicale aux Etats-Unis. C’était une partie de la recette du concert choral organisé en octobre.Les membres du club eurent à peine le temps de souffler puisque, trois jours plus tard, c’était la J.A.A., la Journée annuelle des aînés, organisée depuis les débuts du club voici bientôt quarante ans. Le transport était assuré depuis l’EHPAD jusqu’au parc Charles-Fenain, avec à la clé une soupe au chou à déguster et un bœuf bourguignon, réalisé maison ; des tartes, une tombola (sans perdants), des pas de danses : les seniors furent une bonne vingtaine à profiter de ces quelques heures de détente en compagnie de Kiwaniens et de leurs épouses, maillon indispensable à la réussite de cette journée, tant dans la préparation (cuisine, décoration des tables) que dans la remise en conformité des lieux. Chaque chose devait assurément être à sa place !

Patrice WIBAUT

Gérardmer Perle Hugo : les accros du cabaret ont vécu un grand moment !Une grande soirée cabaret, digne de ce nom, c’est ce qu’a proposé le club « Perle d’Hugo » à son fidèle public, le samedi 16 mars à « l’Espace Lac » de Gérardmer.

Au programme : le dynamisme des jeunes danseurs hip hop géromois, les effeuillages coquins des « Pin Up » d’Alsace, l’émotion avec la chanson des kiwaniennes relatant le rêve d’un enfant, une super tombola qui a ravi l’assistance et l’animation du DJ pour les « accros » du « Dance Floor » ! Il y en avait donc pour tous les goûts.

Les bénéfices de cette belle animation ont permis au club de remettre un don conséquent à l’IME de Saint-Amé pour le financement de son stage de ski alpin qui a eu lieu en janvier dernier.

La présidente, Christiane GRIVEL SALE, a tenu à remercier chaleureusement tous les amis du club venus très nombreux, les sponsors, les donateurs de lots et la municipalité de Gérardmer.

Après cette belle réussite, « Perle d’Hugo » donne rendez-vous l’an prochain pour une nouvelle édition de son « Cabaret Dansant ».

Jacqueline VAISSAIRE

Issoire : un sportif paralympique devient le parrain de la 5ème édition de l’Yssoirienne« L’Yssoirienne » fêtera son cinquième anniversaire le 28 juin prochain. Désormais bien ancrée dans le calendrier, la compétition organisée par le KIWANIS a trouvé son parrain : Alexandre Bento ANASTACIO, membre de l’équipe de France de rugby fauteuil.

Depuis plusieurs années, l’épreuve marque le coup d’envoi de la saison estivale à Issoire. Elle se déroule lors du premier « Vendred’Issoire ». Et pour fêter cette demi-décennie, le club service bénéficiera d’un parrain de choix en la personne de ce sportif, membre de l’équipe de France.

Originaire de Charbonnier-les-Mines, le jeune homme, joueur actif de l’ASM et de l’équipe de France de rugby-fauteuil, a participé en 2016 aux Jeux paralympiques de Rio. C’est un bel ambassadeur pour le sport adapté, qui offrira un joli coup de projecteur à cette course solidaire.

Hervé BATAILLE

Vie des Clubs


Langon GravélandLa soupe des chefs à consommer à profusion !Après un galop d’essai lors de la manifestation « SO GOOD » en novembre à Langon, le club a été encouragé à renouveler l’opération « La soupe de nos chefs ». Cinq d’entre eux ont encore répondu avec enthousiasme à notre sollicitation pour les marchés de Noël. En voici la liste : L’ATELIER, avec un jeune chef aux fourneaux, LA CHAPELLE, au château GUIRAUD, grand cru Sauternes, le COCHON VOLANT, restaurant

reconnu, la MAISON DARROZE que l’on ne présente plus et le restaurant LALIQUE, au château LAFAURIE PEYRAGUEY, grand cru Sauternes.Ap rès des heu res de préparation, d’organisation et de communication, les membres du club se sont installés le 21 décembre dans le « Passage gourmand ». Kakémono, nappes KIWANIS et recettes de soupes plantent le décor. Les chefs ont livré les bouteilles de soupe. Le stand était fin prêt à dix heures.La surprise du stand émana de Josiane. Celle-ci a récupéré une vingtaine d’oursons qui restaient dans notre stock et les a habillés avec des tombées de tissus. Ils étaient ravissants. Tout au long

de la journée, les clients ont répondu présents et à la fin de la journée, 70 % du stock était écoulé. Mais, le clou de l’opération fut organisé le lendemain. En effet, deux chefs la Maison DARROZE et du restaurant LALIQUE nous avaient rejoints sur notre stand pour une dégustation. Ils ont revêtu leur tenue de travail, tablier pour DARROZE et toque pour LALIQUE. Les curieux ont afflué suite aux articles de presse et au passage sur les ondes d’ARL et de France Bleu. Pendant deux heures il régna une certaine effervescence sur le stand. Les chefs proposaient leur nectar et débattaient avec les clients. Des clients venus la veille, sont revenus acheter les soupes après les avoir goutées. C’était un moment très convivial. Le maire et les membres du conseil municipal ont promis de revenir l’an prochain. Nous prenons date…A 13 heures, il n’y avait plus de soupes. Les retardataires déploraient de ne pouvoir les savourer et les acheter. Pour notre club, cette première expérience est encourageante. Elle nous incite à reconduire l’opération l’an prochain d’autant que les chefs ravis de l’engouement pour l’évènement promettent de nous suivre et de faire mieux. Si la soupe fait grandir, dit-on, « La soupe de nos chefs » fait certainement grandir le KIWANIS dans la commune de Langon et ses environs.

Jacqueline MAZELLA

Lyon Monts d’Or et Villefranche : un concert caritatif au profit de l’Association AMPC Le 25 mars, Patrick FRANCILLON, président du club de Lyon Monts d’Or et Cor VERHOEF, président du club de Villefranche, ont remis, lors d’une cérémonie, un chèque de deux mille euros en faveur de l’AMPC (Association d’étudiants en médecine, pharmacie, kinésithérapie) au profit du service d’oncologie pédiatrique du centre Léon Bérard de Lyon. L’AMPC était en outre représentée par sa présidente et son trésorier.

Cette action a été le fruit de l’organisation commune par Villefranche et Lyon Monts d’Or d’un concert donné par le Chœur des Petits Chanteurs de Saint-Marc, brillamment dirigé par Nicolas PORTE, chef de Chœur. Il a a par ailleurs apporté toute son aide à la mise sur pied de la soirée.

Cette représentation a eu lieu le 17 janvier dans la crypte de la Basilique de Fourvière à Lyon. La salle était copieusement remplie et le public a pu apprécier un répertoire de très grande qualité. En outre, les membres des deux clubs étaient présents pour accueillir les nombreux spectateurs.

Le lieutenant-gouverneur de la Division Rhône-Loire, Arlette RAMAY, a marqué de sa présence cette soirée mémorable.

La cérémonie de remise de don a également a été l’occasion pour les deux clubs de rappeler leurs différentes actions sociales en faveur de l’enfance en difficulté ; notamment une soirée théâtre pour Lyon Monts d’Or et le salon du vin pour Villefranche…

La réussite d’une telle action en totale collaboration entre les deux clubs prouve leur capacité à unir leurs efforts pour une cause commune. Nul doute, que face à ce succès, l’opération pourra être reproduite ultérieurement.

Patrick FRANCILLON

Vie des Clubs


Mâcon : les « œufs en meurette » régalent les participants d’un salon gourmand

Les Kiwaniens du club de Mâcon ont participé au Salon du Marché Gourmand à la fin de l’année 2018. Pour la septième année, sur ce salon qui se déroule du vendredi midi au lundi midi, le club a tenu un stand.

Ses membres ont préparé une spécialité locale, les fameux « œufs en meurette ». Il s’est ainsi vendu plus de 1 200 portions, accompagnées d’un cru du Beaujolais, et de tartines de fromage fort.

La fréquentation du salon représente environ 20 000 personnes, ce qui offre une grande visibilité au club mâconnais. La tenue et la préparation du stand ont nécessité 430 heures de bénévolat, pour un retour net de 8 000 euros sur le compte social.

Cette manifestation est très festive. L’ambiance y est très chaleureuse et permet à chaque Kiwanien de prendre beaucoup de plaisir à cuisiner et à œuvrer pour la structure.

Yves NAVASSE

Metz DoyenL’art-thérapie pour s’exprimer en créantLe KIWANIS Metz Doyen de France, fidèle à l’association « Docteur Sourire », l’a soutenue à nouveau pour la création d’un atelier d’art-thérapie. Il s’agit d’aider des enfants et adolescents en situation de mal-être, souffrant de blessures psychiques avec des problèmes d’expression. Il y a des moments où les mots ne suffisent pas pour entrer en contact avec ses émotions profondes, ses sentiments refoulés. L’art-thérapie propose un autre langage. C’est un formidable outil de développement personnel et une excellente méthode de soin non médicale.L’art-thérapie permet de dire ce qui ne peut être dit, par le dessin, la peinture, l’écriture thérapeutique. Il n’y a pas de technique pédagogique. C’est un moment d’expression libre. Libre de s’exprimer, d’apaiser et d’évacuer ses souffrances, ses peurs, ses difficultés. Tout est permis en peinture et sur la toile, ce sont ses émotions qui parlent.Dans notre approche de l’art-thérapie pour les enfants en milieu hospitalier, il s’agit avec les pinceaux et les tubes de couleur, de se laisser aller, de laisser faire sa main sans mobiliser son cerveau. Créer pour se recréer, contourner les résistances, c’est l’art de se libérer de ses blocages.Sans se préoccuper de la qualité ou de l’apparence de l’œuvre finale, la démarche thérapeutique consiste à laisser progressivement surgir ses images intérieures, qui peuvent être autant le reflet d’expériences du passé que de rêves auxquels on aspire. Le geste créateur fait appel au corps qui se met en mouvement pour créer une œuvre concrète. Dans le même élan, il sollicite l’imagination, l’intuition, la pensée et les émotions. Une convention a été signée avec le service de pédiatrie de Marie-Madeleine à Forbach et s’effectue en collaboration avec une éducatrice de jeunes enfants. Ce projet constitue une collaboration entre le personnel de l’hôpital et Céline RACH, artiste peintre et membre de l’association « Docteur Sourire ».Sur le visuel, on voit Céline RACH qui dirige les séances. Elle n’intervient pas sur l’œuvre de l’enfant, elle le guide en cas de difficulté mais l’enfant est le seul maître de sa création.

Sylvie STEINMETZ

Vie des Clubs


Metz Doyen de France croit en l’avenir de la fée CallistaCallista est une petite fille de dix ans. Elle souffre d’un polyhandicap lourd causé par une maladie orpheline des articulations, l’arthrogrypose. Une pathologie dont on ne guérit jamais. Malgré cette fatalité, Callista sourit à la vie et croit en l’avenir.Au fur et à mesure de sa croissance, les besoins en matériels adaptés et en soins se multiplient. Pour y faire face, il faut réunir les fonds nécessaires. Ses parents ont créé l’association « La Fée Callista »». Ils parviennent ainsi à financer les frais énormes en matériels et soins thérapeutiques non remboursés par la Sécurité sociale, mais néanmoins indispensables au développement de la jeune fille.« Les enfants handicapés ou malades sont comme des papillons aux ailes brisées. Ils sont aussi beaux que les autres enfants mais ils ont besoin d’un peu d’aide pour déployer leurs ailes… ». Sensibles à la situation de Callista, le KIWANIS Metz Doyen de France a soutenu ses parents pour l’achat d’une table à langer adaptée à sa croissance. Chaque geste pour soulager les parents et l’entourage permet également à la petite fille de progresser.

Ses premières victoires sur la maladieGrâce à l’attention sans faille de ses parents, Callista a pu déjouer les pronostics négatifs des médecins. La fillette ne devait jamais réussir à pousser son fauteuil roulant seule. Pourtant, avec une volonté infaillible, elle y est arrivée à l’âge de cinq ans. Elle parvient même à manœuvrer un fauteuil roulant électrique. Elle ne devait pas pouvoir aller à l’école. Néanmoins, elle y est allée jusqu’au CP en classe ordinaire. Ensuite, la demoiselle a intégré une classe spéciale « Ulis » qui lui donne l’accès à un programme personnalisé.Pour communiquer avec les autres, Callista utilise son « Ipad ». Elle s’exprime en saisissant ses messages sur Word et fait des recherches sur Google et You Tube. Sa nouvelle école avec ascenseur, à Creutzwald, facil ite sa scolarité épanouie. À chaque récréation, elle monte avec l’ascenseur en salle de motricité pour détendre son dos. Elle se déplace librement en fauteuil roulant dans sa classe, une classe qui compte seulement une dizaine d’élèves.

Sylvie STEINMETZ

Ciboure : au-delà de l’aide, changer le regard sur le handicap

Haize est un enfant que le club de Ciboure soutient depuis quelques années. La principale vocation d’un club service est d’apporter un coup de pouce aux enfants en situation de vulnérabilité afin de les accompagner vers une certaine autonomie. Les membres du KIWANIS Ciboure contribuent par leur engagement à augmenter les chances d’intégration de ces enfants et de faire évoluer le regard de la société sur le handicap. Aujourd’hui, Haize pourra s’amuser avec son ordinateur grâce à la commande oculaire.

Marie-Laure LEVRERO

Ciboure : remise de jouets pour un espace de vie socialeLe KIWANIS de Ciboure a remis au centre Sagardian des jouets pour un espace de vie sociale en présence de M. CLUCHIER. Ce lieu a pour ambition de proposer un espace de rencontres et d’échanges pour les familles. Les objectifs sont de renforcer les liens sociaux et familiaux, les solidarités de voisinage, ainsi que de coordonner et encourager les initiatives favorisant la vie collective.

Maxime CLUCHIER, directeur de l’action sociale et des solidarités et Elisabeth GARRAMENDIA, déléguée à l’action sociale, à la santé, à la famille et aux personnes âgées, ont pu disserter avec Marie-Laure LEVRERO, du KIWANIS Ciboure, en présence d’un bénévole du centre et de Stéphane INGOUF, directeur du centre social Sagardian.

Marie-Laure LEVRERO

Vie des Clubs


Le KIWANIS Montbéliard-Sochaux a organisé sa traditionnelle soirée 2019 le samedi 23 mars au Musée de l’Aventure Peugeot de Sochaux, avec deux cents convives pour une action en faveur de Tom, onze ans, habitant près d’Héricourt.

Le club, fidèle à sa vocation de « Servir les enfants du Pays de Montbéliard » a décidé de dédier sa soirée annuelle, à Tom et à sa maman pour les soutenir financièrement.

« C’est notre particularité qui est certainement la raison de notre succès : lors d’un évènement du KIWANIS Montbéliard-Sochaux, les participants savent exactement où va leur participation, et l’intégralité des bénéfices sont immédiatement remis le soir-même », explique le président Christophe FROPPIER. Ce fut une soirée festive au demeurant, avec à l’animation les « Miss Carioles » d’Etouvans qui ont apporté leur dynamisme, leurs sourires, leur joie, et l’ambiance de fête pour ce moment de générosité.

La présence de Lauralyne DEMESMAY, seconde dauphine Miss France 2019, a été très remarquée. Elle était accompagnée de Sarah GIULIANI, deuxième dauphine Miss Franche-Comté 2018. Les Miss ont permis aux convives de la soirée de passer un moment exceptionnel.

Le bouleversant témoignage de Christelle BLAISE, la maman de Tom…« Tom est né en 2007. J’ai eu mes premières inquiétudes à ses deux ans puisqu’il ne parlait pas et jouait souvent tout seul. Mais aussi du fait qu’il longeait le mur, ne répondait pas à l’appel de son prénom, ne comprenait pas les consignes. Il avait beaucoup de gestes stéréotypés. Tout était source de frustrations et ainsi de crises, il se roulait par terre, jetait les objets… Après de multiples rendez-vous, et sans jamais baisser les bras, mes soupçons se sont révélés justes : Tom est autiste. J’ai eu un diagnostic sans appel de la directrice de l’association AEVE, dont je dépends, alors que j‘étais enceinte de ma fille Lilou.

Ce jour-là, le 3 mai 2011, reste pour moi teinté de détresse et de soulagement : détresse de la confirmation que Tom était autiste, alors que les professionnels qui l’accompagnaient à l’époque ne m’avaient rien dit… détresse de comprendre

Montbéliard-Sochaux consacre sa soirée annuelle à Tom

que ma vie serait alors basée sur des soins, des démarches constantes… mais soulagement de pouvoir enfin l’aider via une méthode de stimulation par le jeu, dite méthode des 3i (intensif, individuel et interactif).

Pour faire court, l’enfant est stimulé par des séances quotidiennes de jeu à domicile à l’aide de bénévoles. J’ai mis en place la méthode à mon domicile le en septembre 2011, Tom avait presque quatre ans. Tom parle de mieux en mieux en français et se débrouille bien mieux que moi en anglais. Tom lit, écrit, compte en français et en anglais. Tom commente et argumente ce qu’il fait, ce qu’il vit, me dit là où il veut aller, s’exprime sur ses émotions et les évènements passés. Tom aime sortir et voir du monde. Tom aime faire le pitre. Il aime chahuter avec moi ou sa sœur. Tom joue avec sa petite sœur, la meilleure des thérapeutes. Tom est provocateur, jette de l’eau par les fenêtres, arrose les bénévoles, Tom devient grossier et attend la réprimande. Je ne passe plus jamais inaperçue aux caisses des magasins ou au parc.

A mes côtés, c’est quarante bénévoles fixes qui se relaient tous les quinze jours. Ce sont des conjoints de bénévoles, qui acceptent que leur moitié parte du foyer et se rendent disponibles pour venir chez moi. C’est une psychologue qui joue avec Tom, coache les bénévoles et réadapte la méthode en fonction de sa progression. C’est une maitresse qui vient une heure par jour, cinq jours par semaine, la moitié des vacances scolaires et les jours fériés. C’est une orthophoniste qui assure deux séances par semaine en libéral. C’est un psychomotricien qui assure une séance par semaine en libéral. Ce sont des amis proches et des membres de ma famille qui sont là pour huiler tout ça, ouvrir leurs portes avec plaisir, m’écouter, me réconforter dans les moments de doutes et de fatigue, garder Tom et Lilou et s’émerveiller des nouvelles prouesses… ».

« Avoir un enfant différent, c’est faire le sacrifice d’une vie normale… »« Aujourd’hui, c’est le KIWANIS Montbéliard-Sochaux, que j’ai rencontré en 2017 pour permettre à Tom d’avoir un super ordinateur, et qui, au vu des progrès constants de Tom, a souhaité réitérer une action en son honneur pour la poursuite de l’école à domicile et des soins non remboursés.

En premier lieu, comme la méthode se passe chez moi, je dois être présente : je travaille donc à mi-temps et embauche aussi une gardienne qui accueille les bénévoles. Je dois le conduire en séance d’orthophonie et de psychomotricité. Je l’ouvre à des nouvelles activités : balades, roller, piscine, trampoline dans un club audincourtois…

Après trois tentatives d’inclusion scolaire, il s’est avéré que Tom était encore trop fragile sensoriellement pour affronter les contraintes de la collectivité. Depuis septembre 2016, j’ai donc fait le choix de le scolariser à la maison

avec une personne exceptionnelle, spécialisée dans le soutien scolaire et qui s’adapte au développement dysharmonique de Tom. Grâce à elle, Tom écrit de mieux en mieux. Il parle avec plus d’aisance, lit des textes de plus en plus longs, fait des additions, des multiplications à quatre chiffres avec retenue. Il recherche des mots dans un dictionnaire, connaît le présent, le futur et le passé composé. Il nomme et situe les continents sur une carte, prend peu à peu une place d’élève et rattrape son retard.

Tout cela à un coût pharaonique, qui dépasse de loin mon salaire à mi-temps. Et comme je refuse une orientation dans les structures spécialisées, parce que je suis convaincue que sa place est parmi ses pairs en milieu ordinaire, je dois donc financer toutes les prises en charge : école, psychologue, gardienne, consultations spécialistes. Le chemin est encore long mais quand le cheminement développemental et cognitif de Tom sera compatible avec un retour à l’école en milieu ordinaire, alors il le fera pour sa plus grande joie et ma plus belle victoire ».

Près de 2500 euros récoltésEn fin de soirée, le président Christophe FROPPIER a pu faire les comptes et annoncer que 2 484 euros seraient versés à Tom pour aider au bon fonctionnement de l’organisation de son épanouissement et de ses progrès. Christelle Blaise, émue, a déclaré : « Je tiens à remercier le club de Montbéliard-Sochaux pour la soirée organisée en l’honneur de mon fils Tom. L’autisme de Tom a fait que j’ai dû réorganiser ma vie familiale, professionnelle et sociale afin de lui apporter le plus d’autonomie possible.

J’ai fait le choix en septembre 2011 de mettre en place une méthode de stimulation intensive par le jeu et au vu des progrès rapides j’ai pu l’ouvrir à d’autres modalités. Cela a évidemment un coût qui dépasse de loin mon salaire à mi-temps. La soirée organisée en l’honneur de mon champion me permettra de financer une grosse partie de ces prises en charge. Je réitère ma plus sincère reconnaissance à la solidarité qui a été témoignée ce soir, ainsi que l’immense générosité de tous qui m’a permis de rencontrer des gens extraordinaires. Il a régné une ambiance féerique grâce à la présence des Miss et à la prestation des Miss Cabrioles d’Etouvans. Soyez assurés que vous serez informés de toutes les nouvelles prouesses de Tom ».

Lauralyne DEMESMAY a été touchée par cette action : « L’autisme est une cause que je défends étant moi-même marraine de l’association « Mon Ecole pour Grandir ». Je suis fière d’avoir participé à cette grande et belle soirée ». Christophe FROPPIER devait résumer cette action par une citation d’Albert Camus : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent… ».

Arnaud MILADINOVIC

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Paris ConcordeL’inconditionnel soutien aux enfants de l’Institut Gustave Roussy

Fidèle à une tradition déjà solidement établie, le club de Paris Concorde Les Gobelins a organisé un goûter pour les enfants hospitalisés à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif. Cette collation fut complétée par la remise de cadeaux (jouets, livres...) et rehaussée par la présence de clowns. Comme il se doit, cette dernière note de gaieté a été très appréciée par les enfants. Les membres du club remercient les différents donateurs qui ont contribué au succès de cette belle action, ainsi que Christine GERICOT, présidente de l’association « Sur un lit de couleurs », le professeur VALTEAU, directrice du service pédiatrique de l’hôpital, la professeure d’arts plastiques, Camille, ainsi que tout le personnel soignant et encadrant pour leur chaleureux accueil.Ce fut encore une fois une action bien réussie. La tristesse de voir ces enfants malades était, si tant est que ce soit possible, tempérée par le fait de constater la joie qui était la leur lorsqu’ils dégustaient les nombreuses friandises ainsi proposées. Quand ils reçurent les cadeaux qui leurs étaient remis, les parents apprécièrent également ce geste.Toujours soucieux de venir en aide à l’enfance

en difficulté, le club Paris Concorde Les Gobelins a l’intention de continuer sur sa lancée. Et projettent d’être toujours présent auprès du service pédiatrique de l’hôpital Gustave Roussy dans les années qui viennent, en améliorant, autant que faire se peut, les services et l’aide apportés.

Audrey FOURNIER

Pau Jeanne d’Albret : un loto qui en appelle un autreUne bonne centaine de personnes s’est déplacée pour prendre part au premier loto de l’année. Organisé par le club du Béarn, il a été concocté au profit des maladies rares de l’enfant.

Une majorité de dames était présente ; ces messieurs ayant sans doute préféré regarder un match du Tournoi des VI Nations de rugby…

Tant pis pour eux ! Ils n’auront pu déguster les crêpes et autres merveilles préparées par les pâtissières du club. Promis : il en sera proposé d’autres dès le prochain loto du 22 septembre !

Marie-Thérèse PERMASSE-LABIE

Pau Jeanne Albret : une nouvelle recrue déjà le pied à l’étrier !Le 15 mars, le club de Pau Jeanne d’Albret a eu le grand plaisir et l’enthousiasme d’accueillir en son sein Jacqueline SASTRE. Pleine d’entrain et de dynamisme, la nouvelle impétrante s’est très vite impliquée. Il faut dire que le club était en préparation de son trentième anniversaire.

Jacqueline a su très vite mettre le pied à l’étrier et démarrer au galop ! Merci à elle pour sa présence et son implication…

Marie-Thérèse PERMASSE


Vie des Clubs

Périgueux Un tournoi de golf à la belle générosité

Une des premières compétitions de l’année au golf de Périgueux a été consacrée au profit des actions sociales du KIWANIS local. Cela se déroulait pour la vingt-cinquième édition de cette manifestation le dimanche 14 avril 2019.Cette année encore, les compétiteurs ont largement répondu présents puisque cent-une personnes se sont inscrites et ont pu profiter de cette journée ensoleillée. Elles y ont disputé les nombreux lots collectés par les membres du club pour récompenser les meilleurs d’entre eux.Comme chaque année, le golf de Périgueux a remis le montant des inscriptions au club service. Il a ainsi bénéficié de la générosité des nombreux participants et de dons pour la somme de 1 472 euros.A la remise des prix, l’action du KIWANIS a été largement exposée par le président Jean DAZINIERE avant qu’un buffet ne clôture la soirée.

Jeany DEPENNE

Périgueux : crêpes et gâteaux pour améliorer le sort des enfantsMalgré un froid de circonstance le samedi 15 décembre, le club de Périgueux a organisé sa traditionnelle confection et vente de crêpes et gâteaux à laquelle chacun a contribué, avec pour certains, l’aide de leur épouses dévouées!

Cette vente a rapporté près de 500 euros qui seront entièrement reversés pour l’amélioration de l’accueil des enfants en milieu hospitalier.

Jeany DEPENNE

Roubaix Barbieux : une agréable soirée au profit des enfantsLe samedi 23 mars, le club KIWANIS Roubaix Barbieux organisait une soirée à l’espace Boucicaut. Il était agréable de constater que tous les âges étaient représentés parmi les personnes ayant répondu à l’invitation.

La première partie de cet événement fut la découverte d’une jeune artiste qui interpréta ses compositions à la guitare. Puis, Christian LEGROS, l’un des fondateurs du club, présenta un projet d’accompagnement dans les écoles maternelles et primaires, de potagers et jardins fleuris.

Enfin, après un gargantuesque buffet, de nombreux danseurs ont pu envahir la piste sur la musique d’un disc-jockey prévu pour l’occasion. Les adultes comme les enfants furent comblés. Une soirée réussie qui avait, semble-t-il, pour ligne conductrice d’être « au service des enfants du monde ».

Christophe DERLY


Vie des Clubs

Pont-à-Mousson quand tous les clubs ne font qu’un au service des autres…Depuis quatorze ans, une entente indéfectible existe entre les quatre clubs service de la cité, à savoir ZONTA, LIONS, ROTARY et bien évidemment KIWANIS. Cette année, ils se sont retrouvés en l’Abbaye des Prémontrés, pour organiser le salon « Vin, pain et fromages », qui est devenu un événement incontournable dans la région Grand-Est.

La spécificité de ce salon est la présence d’une cinquantaine d’exposants, venus des quatre coins de l’hexagone. Ils y présentent leur excellence dans leur domaine. A part égale, vignerons et métiers de bouche se côtoient dans ce lieu majestueux, classé par les monuments historiques.

Ici, pas de concurrence. Chacun représente sa région. Pour y avoir sa place, la plupart étaient là lors du premier salon. Il faut être producteur. Pas de place pour les négociants. Mais laissons-là ces côtés techniques,

pour nous arrêter sur la finalité de cette opération.

Il est vrai que les quatre clubs service auraient pu décider de partager les bénéfices ; mais alors là, quel intérêt ?

Non, en début d’année, chaque club a présenté une idée d’action sociale. Le choix se fait de manière collective. C’est ainsi qu’ils ont participé à l’achat d’un véhicule pour les « Restos du cœur ». D’un autre pour le transport des personnes à mobilité réduite. Ils ont également contribué à l’aménagement d’un jardin thérapeutique de l’EHPAD de la ville. Mais arrêtons-là cette énumération. Sachez simplement, que chaque salon correspond à une action bien spécifique.

Cette année, les enfants de la MECS « La Chaumière » sont les bénéficiaires.

A l’heure du bilan, nous pouvons constater que l’affluence était au rendez-vous. Quelques 2 500 personnes se sont présentées aux caisses. Et si l’on se place du côté des exposants, leur sourire nous indique que les affaires ont été très bonnes, et que nous les retrouverons, sans doute, en 2020 pour les quinze ans de l’animation.

Et pour terminer sur les excellentes relations entre les quatre « clubs service », mentionnons, également, l’organisation conjointe d’un rallye promenade dans la région. L’intérêt de cette collaboration permet à chacun de se faire connaître sans tirer la couverture à lui.

Joël MATHIEU

Du sang neuf à Pont-à-Mousson avec deux nouvelles recrues

Recruter : voilà un mot qui est très simple à écrire. Encore plus simple à expliquer. Mais alors, quand il faut le mettre en pratique, à côté, la campagne d’Égypte de Napoléon était une franche rigolade !

C’est pourquoi, le club est très heureux d’introniser deux nouveaux membres, surtout après le départ de deux membres, pour raisons personnelles et raison de santé.

C’est vrai que l’effectif de Pont-à-Mousson s’élève à huit personnes. Mais, plusieurs pistes intéressantes sont à l’étude.

Malgré cet effectif restreint, le club mène de nombreuses actions et n’a pas à envier des clubs beaucoup plus importants. Par contre, cela réclame l’adhésion quasi permanente de tous les membres.

Lors de la dernière réunion de 2018, le club a eu l’honneur d’accueillir Sylvianne, adjointe de direction fraichement retraitée et Marie-Jeanne aide-soignante également à la retraite. La cérémonie a été menée dans les règles de l’art et conformément aux prescriptions du KIWANIS. Les parrains remettaient alors les insignes de Kiwaniens, et un repas très convivial clôturait cette soirée.

Joël MATHIEU


Vie des Clubs


Saint-Dié-des-Vosgesla relève des sapeurs-pompiers encouragée à hauteur de 500 eurosLe club KIWANIS de Saint-Dié-des-Vosges s’est rendu à la caserne de sapeurs-pompiers pour y rencontrer les 28 jeunes gens en formation. Ils suivent un cursus de trois ans en vue de devenir sapeurs-pompiers volontaires.Agés de 12 à 16 ans, ils conjuguent apprentissage scolaire et apprentissages des gestes qui sauvent et de l’utilisation des outils.Afin d’encourager cette relève, le club a souhaité donner un double coup de pouce avec la remise d’un chèque de 500 euros et le don de baptêmes de l’air à organiser en été.Le club était représenté par son président Didier COUTURIER, par son trésorier Michel MARCHAL et le responsable de la commission des actions locales Guy GOUGENHEIM.Les valeurs du KIWANIS ont pu être, une fois de plus, mises en action sur notre territoire.

Emmanuel GIELEN

Sanary Beau succès pour le salon des artisans d’art

Chaque année, les dames du club Sanary Le Beausset Joséphine Baker organisent un salon de l’artisanat d’art. La mairie met aimablement à disposition la salle de la Guicharde qui leur permet de recevoir 45 exposants.Plusieurs métiers étaient représentés : la fabrication de bijoux, la poterie, la faïence, la création de sacs, de vêtements et de tricots. Ainsi que beaucoup d’autres filières aux œuvres originales.Cette manifestation est connue maintenant des sanaryens. Malgré des conditions météorologiques défavorables, les visiteurs ont tenu à honorer cette rencontre annuelle. Ce fut une nouvelle fois un beau succès avec une ambiance très conviviale qui a plu aux artisans. Pour la plupart, ils nous sont fidèles et ont promis de revenir l’année prochaine.Ainsi pendant trois jours, les kiwaniennes se sont relayées pour assurer l’installation des tables, la tenue du bar et du buffet pour les exposants, les entrées des visiteurs.Dés le premier soir comme chaque année, la présidente Annie MERMET a accueilli pour un cocktail une centaine de personnes dont Ferdinand

BERNAHRD, maire de Sanary accompagné de plusieurs adjoints. Des kiwaniens d’autres clubs de la Division et des responsables des associations aidées par le club ont participé à cette ambiance très chaleureuse.

Geneviève DONET MONTEAGUD

Vie des Clubs

Une tombola pour une bonne cause à Thonon Evian ChablaisLors de la journée organisée autour des jeux de société, « Jouons en famille », le club de Thonon Evian Chablais a proposé une tombola au profit de « EMY un combat pour la vie ».

Emy est née le 5 octobre 2016 à Rouen. Elle a été diagnostiquée de la maladie de Sandhoff. Cette maladie se traduit par une dégénérescence du système nerveux central avec l’apparition de sursauts inépuisables au bruit, une cécité précoce et une détérioration motrice et mentale progressive.

Il n’y a pas de traitement spécifique pour cette maladie. Le pronostic est sombre, car l’espérance de vie dépasse rarement quatre ans.

Après le tirage de la tombola, le club a offert cette somme de 500 euros à l’association EMY un combat pour la vie.

Michel DE CLERCQ

Thonon Evian Chablais succès pour la soirée théâtraleLa troupe théâtrale de Scionzier a présenté sa dernière œuvre, « Stationnement Alterné » pièce de Ray COONEY. Un partenariat qui perdure depuis seize éditions. La présidente du club Mme BOCHATON a pu remettre au nom du KIWANIS Thonon Evian Chablais un chèque de mille euros à l’association « Du soleil dans les yeux de Mathieu » pour l’achat d’un vélo pousseur.

Michel DE CLERCQ

Thonon Evian Chablaisdote un service pédiatrie de véhicules électriquesLa présidente du club de Thonon Evian Chablais, Monique BOCHATON, accompagnée des membres du bureau, ont eu le plaisir de remettre trois voitures électriques télécommandées (deux Mini Cooper et une Porsche) à l’association « Les Pt’Hiboux du Léman » du service pédiatrie de l’hôpital de Thonon-les-Bains.Ces véhicules permettront aux enfants malades de se déplacer au centre de soin. Ils iront au bloc opératoire avec plus d’enthousiasme et moins de stress. Nous avons pu constater déjà la joie et le bonheur de ces enfants malades.Le KIWANIS de Thonon Evian Chablais honore toujours avec succès sa devise « Servir les enfants du monde ». Un sourire sur des visages d’enfants malades, et notre mission est réussie !

Michel de CLERCQ


Vie des Clubs

Thonon Evian Chablais nouvelle intronisation, nouvelle donation…

Le club a eu le plaisir d’introniser un nouveau membre, Cathy THAYALS. La présidente Monique BOCHATON a procédé à son intronisation en présence de Josiane LEI, édile d’Evian, de nombreux amis et de tous les membres. A cette occasion, le club de badminton de Gavot a offert un chèque de mille euros au profit des actions sociales.Cette somme servira à l’acquisition de petites voitures électriques pour le service de pédiatrie de l’hôpital de Thonon-les-Bains. Ces véhicules permettront aux enfants de se rendre au bloc opératoire en toute sérénité.

Michel de CLERCQ

Les « Tulipes de l’espoir » Le merci général aux contributeurs de cette actionLes 15 et 16 mars, le club de Vendôme, aidé par des amis fidèles, a vendu 1 100 bouquets de tulipes au profit de la Ligue contre le cancer. Les femmes et les hommes qui se battent pour vaincre cette pathologie ont toujours besoin de nous. C’est pourquoi chaque année, les membres du club renouvellent cette importante action.

Le club remercie ses « clients » fidèles, et celles et ceux pour qui chaque euro compte mais qui, après quelques secondes de réflexion, fouillent dans leur porte-monnaie pour acheter un bouquet.

Ils apportent cette étincelle d’espoir qui nous permet d’être des kiwaniens heureux.

Dans les jours prochains, le club pourra verser, comme chaque année, le bénéfice de cette vente au représentant de la Ligue contre le cancer.

Jean PAUPIERE


Vie des Clubs

L’association « Prémas Aube » bénéficie du soutien de Troyes Féminin PluriellesLe mercredi 13 mars, dans les locaux de la Maison des Associations, le KIWANIS Troyes Féminin Plurielles a remis un chèque de 1 200 euros à l’association « Prémas Aube », dont Mme RAILLARD était l’une des

représentantes.Le club aubois avait organisé un thé dansant dans les salons de l’hôtel de ville fin janvier. La recette de cette mani festat ion a permis de récolter les fonds nécessaires à l’achat de couvre incubateurs destinés aux prématurés de l’Aube.Mme RAILLARD remercia le club pour

ce partenariat très agréable et son professionnalisme. Celui-ci a pris le temps de se renseigner sur ce que sont les soins de développement. Ces couvre incubateurs sont très légers et très pratiques. Ils sont fortement appréciés par les soignants et les bébés. Ils leur permettent de recevoir leur traitement sans être incommodés par les bruits et la lumière.Des petites layettes tricotées par les mains expertes de Mouna et Rolande ont été remises également à Mme RAILLARD qui se chargera de les remettre ensuite au service des prématurés de l’Aube.

Martine GILLET

Troyes Féminin Plurielles : sensibilisation de collégiens autour de la natureLe club de Troyes Féminin Plurielles a remis un chèque de 2 500 euros à l’association de la Chapelle Saint-Luc. Cette somme est le fruit de la recette d’un concert proposé en novembre 2018. L’objectif était de faire participer une vingtaine de collégiens chapelains à une visite qui visait à les sensibiliser à la protection de la nature.

Mmes NOBLOT et KRAMER ont accompagné ces collégiens à la découverte d’un crapauduc situé à Villechetif, un aménagement permettant de sauver des individus égarés. Les enfants ont participé à la relève et au comptage des crapauds pour leur permettre de rejoindre leur lieu de reproduction.

Une observation aux jumelles dans la forêt et autour du lac de la Forêt d’Orient, et une visite pédagogique de l’observatoire des oiseaux, assurée par la Ligue de l’Enseignement, ont permis aux adolescents de mieux connaître les espèces présentes dans le département de l’Aube.

Martine GILLET


Hommages

Hervé était fidèle, fidèle au club de Laval depuis sa création en 1980. Il avait très vite intégré les valeurs de notre mouvement. Il a exercé toutes les fonctions d’officier de club et celle de lieutenant-gouverneur de la division Pays de Loire en 1984-1985.Il a aussi œuvré aux côtés de ses amis kiwaniens pilotes pour l’organisation des Rallyes aériens Kiwanis, pendant de nombreuses années.Et c’est précisément dans la pratique de sa passion qu’il nous a quittés le samedi 17 novembre aux commandes de son avion, avec un de ses amis.

Il savourait joyeusement sa retraite après avoir exercé la profession d’avocat où il s’était spécialisé dans le droit de la construction.Il montrait aussi un vif intérêt pour la collectivité en tant que troisième adjoint à la mairie de sa commune. Par ailleurs, il présidait un CAT près de Laval.Fidèle en amitié, Hervé était toujours disponible pour rendre service. Jovial, toujours de bonne humeur, Hervé laisse un grand vide dans notre club.Nous avons une pensée de sympathie et de soutien à son fils Mathieu.

Michel LEMEUNIER

Il est parti le 19 mars dernier, dans sa 81e année…Pour nous, membres du club KIWANIS de Vannes, ce sont vingt-cinq années d’amitié et de vie du club avec Jacques qui nous reviennent à l’esprit. Mais cela n’est pas une simple fin car le souvenir de notre ami restera bien sûr dans nos cœurs.Ingénieur TPE à Vannes, Jacques est entré au club en 1993. Tout de suite, nous avons apprécié son sens profond de l’amitié, son assiduité et sa grande disponibilité pour participer aux actions sociales et à l’animation du club dont il fut à plusieurs reprises un trésorier compétent. Il contribua grandement, toujours en qualité de grand argentier, au succès du 4e Congrès du District organisé par le club en 2000.Ingénieur mais aussi ingénieux et toujours prêt à rendre service, il répondait souvent aux

sollicitations des uns et des autres pour régler un de ces multiples problèmes domestiques qui empoisonnent souvent le quotidien… c’est cela aussi l’amitié kiwanienne.Très malade, Jacques se retira du club en 2018 mais fut aussitôt nommé membre d’honneur, distinction qu’il apprécia car il savait qu’elle résumait l’affection de ses amis du club.Ces amis étaient présents le jour de ses obsèques, le 22 mars, auprès de son épouse Madeleine, de ses trois enfants et de ses petits-enfants auxquels vont nos affectueuses pensées kiwaniennes.Nous te remercions, Jacques, pour tout ce que tu as fait, pour nous par ton amitié, pour le club par ta générosité dans tes démarches et pour le KIWANIS que tu as bien servi.

David LAISNEY

Laval a perdu un ami fidèleHervé DELALANDE

VannesJacques DETRAZ s’en est allé


Hommages

Après les décès de Bernard KENTZINGER le 1er avril 2018 et celui d’Alain GISSINGER le 14 novembre dernier, le club de Colmar Hohlandsbourg vient de perdre un autre de ses membres éminents en la personne de Roland HUNSINGER, décédé le 20 février à l’âge de 77 ans.Chef d’entreprise, patron des centres Leclerc de Colmar et de Ribeauvillé, président et mécène pendant plus de dix ans des « Sports Réunis de Colmar », Roland a intégré le KIWANIS

Hohlandsbourg en 2006, pour en prendre la présidence en 2009.Il a toujours participé et soutenu les actions sociales du club. C’était un homme d’une extrême gentillesse et d’une grande générosité, à l’écoute de tous et répondant présent à toutes nos sollicitations.Le KIWANIS Hohlandsbourg assure son épouse Madeleine de toute son affection et présente ses sincères condoléances à sa famille.

Le club

Les membres du club de VANNES-GWENED, attristés, disent adieu à leur ami Louis-Marie JOSSO. Né le 3 mars 1944 à Guérande, il s’est éteint à Muzillac le15 mars 2019. Présent sur tous les fronts, créatif et meneur d’hommes, il a conduit de main de maître son cabinet de géomètre-expert. Grand professionnel de l’aménagement urbain et de l’expertise judiciaire, il était reconnu par ses pairs dans tout l’Hexagone, animant clubs et organisations professionnelles. Notre amitié avec Louis-Marie a été scellée par quatre décennies de parcours kiwanien.Louis-Marie s’est vu remettre en octobre 1983 le collier de président. Chacun au sein du club savait en ce moment solennel que son dynamisme et son grand cœur contribueraient à la réussite d’une belle année kiwanienne.Son sens inné du SERVICE l’avait amené à s’investir avec foi dans l’aide aux plus démunis. C’est ainsi qu’en sa qualité de brancardier, il a

accompagné pendant de nombreuses années des pèlerins handicapés à Notre-Dame de Lourdes.Fidèle à notre objectif « Servir les enfants du monde », il nous a amenés à soutenir une association œuvrant à la scolarisation d’enfants cambodgiens. Ceux d’entre nous qui étaient présents n’oublieront jamais le bonheur qui brillait dans ses yeux lorsqu’ils ont assisté à la distribution du seul repas complet offert chaque jour aux élèves par cette magnifique organisation.La tribu JOSSO, privée de son guide, est aujourd’hui dans le chagrin. Que Malou, son épouse, Gwen, Soizig, Anne, ses filles, ses gendres, ses petits- enfants, ses arrières petits-enfants, soient assurés de notre amical soutien dans cette rude épreuve. Non, Louis-Marie, nous ne t’oublierons pas.

David LAISNEY

Colmar Hohlandsbourg en deuilDécès de l’un des siens

L’adieu du club de Vannes à un amiLouis-Marie JOSSO


Nouvelle

collection

homme

deauville - kiwanis · avec arena et le cirque medra- ... les enfants ont donc reçu des friandises...

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