décomposition par aéroport · 2 dta – sde – sde1– 1617f préambule depuis quelques années,...

Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie

www.developpement-durable.gouv.fr

Chiffres-clés

Décompositionpar aéroport

Les émissions gazeusesliées au trafic aérien en France en 2012

Direction du Transport aérien

Sous-direction des études,des statistiqueset de la prospective

1 DTA – SDE – SDE1– 1617f

Les émissions gazeuses liées au trafic aérien en France en 2012 -

Sommaire

Préambule ...................................................................................................................................... 2

II. Transport aérien et émissions de CO2 : les chiffres-clés ................................................... 4

III. Emissions gazeuses des avions par plate-forme aéroportuaire...................................... 6

Aéroport de Paris-Charles de Gaulle .................................................................................... 7

Aéroport de Paris-Orly ............................................................................................................. 9

Aéroport de Nice-Côte d’Azur ............................................................................................... 11

Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry .......................................................................................... 13

Aéroport de Marseille-Provence ........................................................................................... 15

Aéroport de Toulouse-Blagnac ............................................................................................. 17

Aéroport de Bordeaux-Mérignac .......................................................................................... 19

Aéroport de Nantes-Atlantique ............................................................................................. 21

Aéroport de Strasbourg-Entzheim ....................................................................................... 23

Aéroport de Beauvais-Tillé .................................................................................................... 25

Aéroport de Montpellier-Méditerranée ................................................................................ 27

Aéroport de Lille-Lesquin ...................................................................................................... 29

Aéroport de Bâle-Mulhouse (F) ............................................................................................ 31


Préambule

Depuis quelques années, la DGAC, Direction générale de l’aviation civile (DTA/SDE)1 réalise le calcul

des émissions de CO2 imputables à l’activité de l’aviation commerciale en France notamment pour la partie liée aux mouvements des avions. La méthode utilisée concilie l’utilisation maximale des données désagrégées (type avion, trafic en nombre de passagers par mouvement…) et la recherche d’une cohérence globale, notamment avec les inventaires nationaux d’émissions de gaz à effet de serre. Ce travail permet de mesurer les émissions globales, mettant en évidence les progrès continus du secteur aérien en matière d’efficience énergétique (les émissions de CO2 ont diminué de 32% entre 1990 et 2012 par passager/fret-kilomètre-transporté), et de fournir un outil de calcul des émissions par vol (calculateur DGAC : http://www.developpement-durable.gouv.fr/aviation/eco-calculateur/index.php ).

Avec la présente publication, la DGAC met à la disposition des acteurs intéressés un ensemble de fiches qui présentent les émissions gazeuses des avions au départ et à l’arrivée des treize aéroports les plus importants en passagers, pour la métropole, avec l’objectif d’aider ceux-ci à constituer les bilans des émissions carbonées liées aux mouvements d’avions, et de fournir plus généralement une information sur le sujet au public intéressé par cette question.

La définition des émissions localisables à un aéroport est conventionnelle. Selon l’usage, nous avons retenu le cycle « décollage-atterrissage » (« Landing and take off » ou « LTO » dans la terminologie OACI) qui comprend les opérations au sol (roulage notamment), la montée et la descente sous une hauteur de 1000 mètres. Pour chaque aéroport, un indicateur des émissions « totales » est fourni. Il est obtenu en répartissant par moitié entre l’aéroport de départ et celui d’arrivée d’un avion, les émissions « en croisière », de sorte que les émissions totales soient bien égales à la somme des émissions totales par aéroport. Il convient cependant de noter que cette valeur dépasse largement les émissions locales, mieux reflétées par le cycle LTO.

Outre le calcul du CO2, cette note comprend également une évaluation d’autres types d’émissions contribuant à l’effet de serre (méthane, protoxyde d’azote,…) ou à la pollution locale (Nox, particules,…) sur le cycle LTO. Ce travail prend cette année un relief particulier, avec la mise en place du groupe de travail « Qualité de l’air » de l’ACNUSA, où le calcul des émissions locales selon TARMAAC par la DGAC a été identifié comme la source de référence pour l’estimation des émissions provenant des avions.

L’information est mise en perspective sur les 20 dernières années : évolution des émissions, mais également confrontation de celles-ci avec celle du trafic en mouvements, passagers et passagers-km-transportés, permettant de faire dans l’analyse la part de l’évolution du volume général de trafic, de sa structure (avec des déplacements moyens de plus en plus longs) et de l’efficacité énergétique qui ne cesse de progresser.

L’édition 2014 de ce document (données 2012) prend en compte dans l’algorithme de calcul les paramètres locaux observés en matière de temps de roulage, durée de montée et descente etc., de nature à compléter le calcul conventionnel du « cycle LTO ».

Philippe Ayoun

Sous-directeur des Etudes, des Statistiques et de la Prospective Direction du Transport aérien

_____________________ 1 Direction du transport aérien, sous-direction des Etudes, des Statistiques et de la Prospective

http://www.developpement-durable.gouv.fr/aviation/eco-calculateur/index.php

http://www.developpement-durable.gouv.fr/aviation/eco-calculateur/index.php


I. Calculateur TARMAAC : méthodologie

TARMAAC (Traitements et Analyses des Rejets éMis dans l’Atmosphère par l’Aviation Civile) est le calculateur d’émissions gazeuses de la DGAC. Il fait intervenir d’une part, les méthodologies préconisées au niveau international pour les inventaires d’émissions (Corinair et Meet - Methodologies for Estimating air pollutant Emissions for Transport) et d’autre part, les coefficients d’émissions de la base certifiée des émissions moteurs de l’OACI pour la phase LTO décrite par la suite. Il est notamment utilisé pour l’inventaire des émissions du trafic aérien de la France établi dans le cadre des engagements pris lors du protocole de Kyoto (niveau national), mais également pour quantifier les émissions moyennes par passager pour les principales lignes aériennes commerciales en France, fournies par le calculateur en ligne (lien fourni en préambule) ou par aéroport. Méthodologie globale : TARMAAC permet, à partir des bases statistiques détaillées de trafic de la DGAC, de quantifier les émissions gazeuses (CO2, NOx …) par mouvement selon le type avion, le type moteur, selon la liaison (Origine/Destination) voire par exploitant, en distinguant le LTO (phase de vol < à 1000m) de la croisière (phase de vol > à 1000m), le nombre de passagers et la quantité de fret transportés étant connus pour chaque mouvement. Pour cela, le calculateur estime, pour chaque mouvement, la distance orthodromique entre chaque plate-forme à partir de ses coordonnées géographiques et applique différents coefficients d’émissions (fonction du type avion et du type moteur – bases certifiées OACI) sur chaque phase du vol modélisé dans l’espace (opérations au sol, montée, descente, croisière). Un recalibrage du modèle est effectué chaque année en fonction des ventes réelles de carburant sur le sol national. Pour mémoire, TARMAAC respecte une méthode détaillée de type « bottom-up » respectant les « bonnes pratiques » GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) (IPCC : intergovernmental panel on climate change) pour les inventaires des gaz à effet de serre. Cet outil résulte d’un partenariat de près d’une décennie entre la DGAC et le Citepa (Centre Interprofessionnel Technique d’Études de la Pollution Atmosphérique), et est régulièrement réévalué grâce à un dialogue avec les professionnels du secteur. Les émissions de 2012 ont été estimées à partir d’une version améliorée de l’outil TARMAAC exploitant notamment les consommations réelles de carburant fournies par les compagnies aériennes. Ce changement de méthode est indiqué dans les tableaux des pages présentant le bilan par aéroport. Pour l’année 2011, deux chiffres sont fournis, l’un issu de la méthode de calcul antérieure, le deuxième prend en compte la nouvelle version de l’outil TARMAAC. Pour les années 1990-2011, les résultats sont issus de la méthode de calcul antérieure. Par ailleurs, l’efficacité énergétique est calculée en divisant les émissions par passager (ou PKT) sans tenir compte du fret transporté. Dans la prochaine édition (relative à 2013), ces deux conventions seront modifiées pour améliorer la cohérence des évolutions sur longue période. Au niveau aéroportuaire : En termes de transport aérien, les émissions de chaque vol sont décomposées en « Landing and take-off » (LTO) et en « Croisière ». Pour établir le bilan des émissions gazeuses d’un aéroport, liées au trafic aérien, il est convenu de prendre en compte le cycle LTO de l’ensemble des vols. Ainsi, pour un aéroport, les émissions sont calculées pour chaque mouvement commercial (à l’arrivée et au départ), puis agrégées. Les émissions gazeuses liées à la «Croisière » sont données à titre d’information. Dans ce cas, il s’agit de 50% des émissions « Croisière » de l’ensemble des vols au départ et à l’arrivée de la plate-forme.


Dans les tableaux présentant les résultats pour les gaz autres que le CO2, les gaz sont séparés selon qu’ils soient de type GES (contribuant au réchauffement par effet de serre) ou de type pollution locale sans pouvoir radiatif.

II. Transport aérien et émissions de CO2 : les chiffres-clés

Le transport aérien intérieur et le secteur des transports sont respectivement à l’origine de 1,4% et 36% des émissions de CO2 de la France (2012 - Citepa).

Le transport aérien intérieur a émis 5,1 millions de tonnes (Mt) de CO2 en 2012, dont une part importante (49%) est liée à la desserte de l’Outre-mer. Il représente 3,9% du secteur des transports.

Pour mémoire, ces données sont publiées dans le cadre de l’inventaire national des émissions au format UNFCCC

2.

Dans une vision plus large, les émissions totales de CO2 du transport aérien de France comprennent en plus celles liées au trafic international (au départ). En les intégrant, les émissions globales s’élèvent à 21,4 Mt en 2012, en diminution de 1,8% par rapport à l’année précédente.

En incluant le trafic international, la part du transport aérien atteint 5,9% des émissions de CO2.

Depuis 1990, les émissions totales de CO2 de l’aviation ont progressé de +62% passant de 13,3 millions de tonnes à 21,4 millions de tonnes en 2012, pour un nombre de passagers-kilomètres-transportés (PKT) en croissance de 159% sur la période équivalente.

- Depuis 2000, les émissions de CO2 liées au trafic intérieur sont en nette diminution (-23%) : 5,1 millions de tonnes de CO2 en 2012 contre 6,2 en 2000. Au-delà des gains d’efficacité énergétique, le report modal au bénéfice du TGV a participé à ces résultats.

Ces émissions ont toutefois progressé en 2012 (+2%/2011) en raison de l’ouverture de nouvelles dessertes province-province et de l’augmentation du trafic entre la métropole et l’Outre-mer (+0,7%/2011 en termes de passagers-kilomètres-transportés).

- Les émissions de transport aérien international (16,3 millions de tonnes de CO2) représentent 76% des émissions totales du transport aérien en France et sont quant à elles, en progression de 12,4% par rapport à 2000 (14,5 millions de tonnes), pour un trafic en croissance de 53% en termes de passagers-kilomètres-transportés.

Millions de tonnes de CO2 1990 2000 2008 2009 2010 2011 2012

Transport aérien intérieur 4,3 6,2 4,8 4,7 4,7 5,0 5,1

Transport aérien international 9,0 14,5 17,6 16,2 16,2 16,8 16,3

Total aérien (France) 13,3 20,7 22,4 20,9 20,9 21,8 21,4

___________________________________

2 UNFCCC : United Nations Framework Convention on Climate Change


0

5 000

10 000

15 000

20 000

25 000

Mil

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de t

on

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O2

Evolution des émissions de CO2 (milliers de tonnes)

Domestique International Réseau total

Le développement du trafic aérien s’est accompagné d’une amélioration continue de l’efficacité énergétique : ainsi depuis 1990, les émissions de CO2 par passager/fret-kilomètre-transporté

3 ont diminué de 32%.

0,05

0,07

0,09

0,11

0,13

0,15

0,17

Evolution de l'efficacité énergétique par faisceau *

intérieur international total

kg/PKT+TKT

* L’évolution de l’efficacité énergétique est analysée au travers des émissions de CO2 par passager- kilomètre-transporté. Fret et passagers sont additionnés selon l’équivalence proposée par la directive de l’EU-ETS (1 passager = 100 kg de fret).

Evolution des émissions de CO2 par passager/fret-kilomètre-transporté entre 1990 et 2012

Emissions de CO2 par

passager/fret-kilomètre-

transporté

Transport aérien intérieur -29%

Transport aérien international -33%

Total aérien -32%

Source : CITEPA, DGAC

___________________________________

3 Les émissions considérées comprennent les émissions liées au transport de passagers et de fret, le

trafic doit donc être analysé sous le même périmètre.


III. Emissions gazeuses des avions par plate-forme aéroportuaire

Les aéroports retenus sont ceux qui ont un trafic 2012 supérieur à 1 million de passagers en France métropolitaine (hors Ajaccio, Biarritz, Bastia et Brest).

• Paris-CDG • Paris-Orly • Nice-Côte d’Azur • Lyon-Saint Exupéry • Marseille-Provence • Toulouse-Blagnac • Bordeaux-Mérignac • Nantes-Atlantique • Strasbourg-Entzheim • Beauvais-Tillé • Montpellier-Méditerranée • Lille-Lesquin • Bâle-Mulhouse Il est rappelé que les indications du nombre de mouvements ne portent que sur les seuls mouvements commerciaux sur les aéroports concernés.


Bilan des émissions gazeuses liées au trafic aérien

Aéroport de Paris-Charles de Gaulle

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2

Emissions LTO (milliers de tonnes)

837,0834,3 850,6853,8828,8463,7 795,1 881,6 895,5 Source : DGAC- SDE1 – TARMAAC et données DGAC - * : Données QlikView

Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 61,51 millions de passagers, en hausse de 1,2% par rapport à 2011, pour 491 751 mouvements, en baisse de 3,1% par rapport à 2011.

Le montant des émissions CO2 pour le LTO1 est de 837 000 tonnes en 2012 et les émissions totales de

CO2 (LTO+Croisière) de 12 403 400 tonnes, en baisse respectivement de 1,6% et de 2,0% par rapport à 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 5,3%, alors que le nombre de mouvements baissait de 3,2% et que celui de passagers augmentait de 28,0%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols long-courriers a augmenté de 42,4%, celui sur les vols court/moyen-courriers de 20,2%. En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers représente 36,7% du trafic de l’aéroport contre 32,9% en 2000. L’emport moyen est passé de 95 passagers par vol en 2000 à 125 passagers en 2012. La baisse récente des émissions en phase de LTO (-1,6% 2012/2011) est inférieure à celle du nombre de mouvements (-3,1%), mais le nombre de passagers-kilomètres transportés a augmenté de 2,5% entre 2011 et 2012.

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 13,9% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 40,5%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Paris-Charles de Gaulle et au renouvellement de la flotte avion. L’évolution à court terme (2012/2011) reflète une stabilisation vis-à-vis de cette tendance : baisse de 2,0% des émissions totales (LTO+Croisière) et augmentation de 2,5% en termes de nombre de passagers-kilomètres-transportés.

Les émissions totales au passager-kilomètre-transporté ont ainsi diminué de 18,9% depuis 2000.

Base 100 = 1990 Base 100 = 1990

0

50

100

150

200

250

300

CO2 LTO CO2 total CO2 intérieur CO2 international

40

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100

110

CO2/passager CO2/pkt CO2 LTO/Mouvement

Pour information 1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Emissions croisière (au départ) (milliers de tonnes) 4 947,3 10 096,3 11 584,7 11 491,2 10 349,5 10 564,6 11 041,5 11 811,0 11 566,4

Emissions totales (milliers de tonnes) 5 411,0 10 891,4 12 466,4 12 386,7 11 183,8 11 393,4 11 895,2 12 661,6 12 403,4

Passagers (millions) (au départ) 11,05 24,07 29,78 30,25 28,64 28,98 30,37 30,44 30,82

Distance moyenne (km) 2 790 3 141 3 327 3 304 3 311 3 426 3 427 3 404 3 447

Passagers-kilomètres-transportés (milliards) (au départ) 30,82 75,60 99,05 99,93 94,85 99,27 104,08 103,59 106,22

Emissions moyennes par passager (en kg) 489,8 452,5 418,7 409,5 390,5 393,2 391,7 416,0 402,5

Emissions moyennes (kg) par 100 PKT 17,6 14,4 12,6 12,4 11,8 11,5 11,4 12,2 11,7

PKT : Passagers-Kilomètres-Transportés - * : Données QlikView

1 Cf Méthodologie (au verso)


1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 120,78 59,94 47,64 46,34 43,52 43,50 43,29 34,8 34,0

N2O - Protoxyde d’Azote 18,17 31,16 34,57 35,11 32,71 32,49 33,46 32,7 32,2

CO - Monoxyde de Carbone 3 254,05 3 432,21 3 221,72 3 243,49 3 031,77 2 986,21 3 078,05 3 001,5 2 996,8

COV - Composés Organiques Volatils 1 207,78 599,44 476,44 463,41 435,23 435,08 433,01 348,0 340,4

COVNM- Composés Organiques Volatils Non Méthanique 1 087,00 539,50 428,79 417,06 391,71 391,57 389,71 313,2 306,3

NOx - Oxyde d’Azote 1 996,74 3 381,44 4 227,87 4 337,43 4 099,20 4 166,13 4 298,20 4 092,7 4 095,4

SO2 - Dioxyde de Soufre 147,21 252,43 279,88 284,28 264,86 263,10 271,04 270,0 265,7

TSP - Particules 73,60 126,21 139,94 142,14 132,43 131,55 135,52 135,0 132,9

Bilan "Autres gaz" LTO (tonnes)G

ES

**P

ollu

tio

n lo

cale

* : Données QlikView - ** GES : Gaz à Effet de Serre

Base 100 = 1990

0

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120

CH4/cycle LTO CO/cycle LTO COV/cycle LTO

COVNM/cycle LTO Nox/cycle LTO SO2/cycle LTO

TSP/cycle LTO N2O/cycle LTO

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0


CO - Monoxyde de Carbone 1442,73 2436,40 2814,56 2815,85 2574,83 2626,02 2804,98 3002,8 2983,2

COV - Composés Organiques Volatils 429,44 965,76 1200,81 1218,64 1139,14 1160,67 1274,22 1464,9 1479,8

COVNM- Composés Organiques Volatils Non Méthanique 429,44 965,76 1200,81 1218,64 1139,14 1160,67 1274,22 1464,9 1479,8

NOx - Oxyde d’Azote 11943,15 24144,87 27837,45 27543,46 24744,31 25335,97 26307,11 26844,8 26056,6


TSP - Particules 785,29 1602,59 1838,84 1824,00 1642,78 1676,92 1752,61 1874,8 1835,9

GE

S**

Po

llu

tio

n lo

cale

Pour information : bilan "autres gaz" croisière (tonnes)


Méthodologie

Cette estimation, calculée à l’aide des méthodes internationales utilisées pour les inventaires d’émissions (Corinair et Meet- Methodologies for Estimating air pollutant Emissions for Transport-) et de la base des émissions moteurs de l’OACI, est en totale cohérence avec le calcul des émissions de la France, et notamment celles relatives au transport aérien. En termes de transport aérien, les émissions de chaque vol sont décomposées en « Landing and take-off » (LTO) et en « Croisière ». Pour établir le bilan des émissions gazeuses d’un aéroport, liées au trafic aérien, il est convenu de prendre en

compte le cycle LTO de l’ensemble des vols. Pour un aéroport, les émissions LTO sont calculées pour chaque mouvement (à l’arrivée et au départ), puis agrégées. L’emport moyen est calculé en divisant le nombre de passagers par le nombre de mouvements commerciaux (y compris cargo et poste). Les émissions gazeuses liées à la «Croisière » sont données à titre d’information. Dans ce cas, il s’agit de 50%

des émissions « Croisière » de l’ensemble des vols au départ et à l’arrivée de la plate-forme. Dans les tableaux présentant les résultats pour les gaz autres que le CO2, les gaz sont séparés selon qu’ils soient de type gaz à effet de serre (GES), contribuant au réchauffement par effet de serre, ou de type pollution locale sans pouvoir radiatif.



Aéroport de Paris-Orly

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


274,9323,6 298,2 284,6 282,0 268,0 279,7 274,9266,1

Source : DGAC- SDE1 – TARMAAC et données DGAC - * : Données QlikView

Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 27,20 millions de passagers pour 230 627 mouvements, en légère hausse respectivement de 0,4% et 0,9% par rapport à 2011.

Le montant des émissions CO2 pour le LTO2 est de 274 900 tonnes en 2012, équivalent à celui de

2011, et les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) sont de 2 444 300 tonnes, en baisse de 1,2% par rapport à 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont diminué de 7,8%, alors que le nombre de mouvements diminuait de 3,5% et celui de passagers augmentait de 7,2%. Durant cette période, la structure du trafic a évolué. Le nombre de passagers sur les vols court/moyen-courriers et long-courriers a augmenté, respectivement de 7,5% et 5,1%. En 2012 comme en 2000, le nombre de passagers des vols long-courriers représente 14% du trafic de l’aéroport. L’emport moyen est passé de 106 passagers par vol en 2000 à 118 passagers en 2012. Les émissions de la phase de LTO sont les mêmes en 2011 et 2012, alors que le nombre de mouvements a augmenté de 0,9% entre 2011 et 2012.

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 8,7% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 13,1%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Paris-Orly. L’évolution à court terme (2012/2011) confirme cette tendance : -1,2%, en émissions totales (LTO+Croisière) et légère hausse du trafic de passagers-kilomètres-transportés (+0,7%).


Base 100 = 1990 Base 100 = 1990

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130



Emissions croisière (au départ) (milliers de tonnes) 2 345,5 2 379,8 2 092,1 2 135,5 1 993,3 1 976,0 2 142,0 2 200,1 2 169,4

Emissions totales (milliers de tonnes) 2 669,1 2 678,0 2 376,7 2 417,5 2 259,4 2 244,0 2 421,7 2 475,0 2 444,3


Distance moyenne (km) 1 462 1 768 1 819 1 864 1 840 1 868 1 886 1 874 1 865





2 Cf. Méthodologie (au verso)

10 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 67,85 23,51 14,00 13,51 12,75 12,63 12,87 10,3 9,8





NOx - Oxyde d’Azote 1431,69 1242,39 1246,71 1256,14 1194,42 1229,47 1283,63 1163,2 1153,6


TSP - Particules 51,36 47,33 45,17 44,76 42,23 42,54 44,39 43,6 43,6


ES

**P

oll

uti

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Base 100 = 1990

0

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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 5552,14 5954,65 4714,74 4784,74 4525,10 4480,01 4911,51 4728,4 4645,2


TSP - Particules 372,31 377,75 332,08 338,97 316,40 313,65 340,00 349,2 344,3

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Méthodologie




11 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Nice-Côte d’Azur

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


115,2112,0 153,4 150,4 146,5 128,9 141,6 108,2132,1


Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 11,19 millions de passagers pour 161 779 mouvements, en hausse respectivement de 7,4% et 3,4% par rapport à 2011.


CO2 (LTO+Croisière) de 689 200 tonnes, en hausse respectivement de 6,5% et de 5,7% par rapport à 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont diminué de 24,9%, celui du nombre de mouvements a diminué de 21,2% alors que le nombre de passagers augmentait de 19,6%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols long-courriers a fortement augmenté (+110%), le nombre de passagers sur les vols court/moyen-courriers a lui aussi augmenté (+18%). En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers représente 2,8% du trafic de l’aéroport, sensiblement le même qu’en 2000 (2,9%). L’emport moyen est passé de 46 passagers par vol en 2000 à 69 passagers en 2012. Les émissions de la phase de LTO ont augmenté entre 2011 et 2012 (+6,5%), un peu moins que le nombre de passagers (+7,4%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 2,9% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 43,0%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Nice. L’évolution à court terme (2012/2011) reproduit à un degré moindre cette tendance : +5,7% en émissions totales (LTO+Croisière), +6,8% en termes de passagers-kilomètres-transportés.

Les émissions totales au passager-kilomètre-transporté ont ainsi diminué de 32% depuis 2000.

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Emissions croisière (au départ) (milliers de tonnes) 411,2 556,4 564,5 564,9 526,6 507,7 551,4 543,7 574,1

Emissions totales (milliers de tonnes) 523,2 709,7 714,9 711,4 658,7 636,6 693,0 651,9 689,2


Distance moyenne (km) 843 816 916 939 957 983 983 980 976






12 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 17,82 13,49 11,08 10,58 9,46 9,51 10,30 6,1 6,3





NOx - Oxyde d’Azote 383,26 457,24 565,33 565,91 512,84 507,00 576,44 405,9 429,8


TSP - Particules 17,78 24,34 23,88 23,26 20,97 20,45 22,46 17,2 18,3


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 961,36 1094,14 1110,13 1134,67 1078,32 1040,95 1139,03 994,8 1061,5


TSP - Particules 65,27 88,32 89,60 89,66 83,59 80,58 87,52 86,3 91,1

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Méthodologie




13 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Lyon-Saint-Exupéry

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


89,299,8103,655,6 89,5 112,5 114,9 90,2107,9


Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 8,45 millions de passagers, en faible hausse de 0,12% par rapport à 2011, pour 116 714 mouvements, en baisse de 1,1% par rapport à 2011.


CO2 (LTO+Croisière) de 507 100 tonnes, en baisse respectivement de 1,1% et de 4,2% par rapport à 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, sont quasi-stables (-0,3%), le nombre de mouvements diminuant de 6,1% et celui de passagers progressant de 43,8%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers est en forte hausse sur les vols court/moyen-courriers (+43,9%). En revanche, le nombre de passagers sur les vols long-courriers a diminué de 40,4%. Le nombre de passagers des vols long-courriers a sensiblement diminué en 2012 : il représente 1,4% du trafic de l’aéroport contre 3,4% en 2000. L’emport moyen est passé de 47 passagers par vol en 2000 à 72 passagers en 2012. L’évolution récente des émissions en phase de LTO (-1,1% 2012/2011) est à la baisse, tout comme celle du nombre de mouvements (-1,1%), dans les mêmes proportions.

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 5,9% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 42,1%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Lyon Saint-Exupéry. L’évolution à court terme (2012/2011) présente une particularité : -4,2% en émissions totales (LTO+Croisière) et -4,2% pour le trafic passagers-kilomètres-transportés.


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14 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 6,46 6,20 6,37 6,16 5,69 5,18 5,69 3,7 3,5





NOx - Oxyde d’Azote 183,98 292,73 458,70 464,33 434,52 418,45 397,47 331,6 328,8


TSP - Particules 8,82 14,21 17,86 18,25 17,13 16,45 15,83 14,3 14,2


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 510,09 877,55 883,21 998,79 1013,28 993,63 917,27 789,0 730,0


TSP - Particules 42,44 71,33 70,92 78,43 77,70 76,90 72,06 69,7 66,3

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Méthodologie




15 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Marseille-Provence

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


91,872,5 85,9 90,8 91,4 93,7 89,4 83,492,0





Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 6,9%, le nombre de mouvements restait quasi-stable (+1%) et celui de passagers augmentait de 32,7%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers est en forte hausse sur les vols long-courriers (67%), plus du double par rapport à l’augmentation sur les vols court/moyen-courriers (28%). En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers est en très légère augmentation : il représente 2% du trafic de l’aéroport contre 1,6% en 2000. L’emport moyen est passé de 62 passagers par vol en 2000 à 82 passagers en 2012. Entre 2011 et 2012, la hausse des émissions de la phase de LTO (+10,1% 2012/2011) est supérieure à celle du nombre de mouvements (+5,3%), mais reste inférieure à celle du nombre de passagers (+13%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 16,7% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 72,7%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Marseille-Provence. L’évolution à court terme (2012/2011) s’inscrit dans cette tendance : +8,8% en émissions totales (LTO+Croisière) et +9,3% en termes de trafic de passagers-kilomètres-transportés.


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CO2 LTO CO2 total

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16 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 9,88 6,24 4,63 4,67 4,45 4,36 4,21 3,2 3,4





NOx - Oxyde d’Azote 285,88 305,79 371,91 374,92 387,52 409,42 386,94 329,1 363,8


TSP - Particules 11,51 13,63 14,42 14,51 14,61 14,87 14,18 13,2 14,6


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 902,35 819,24 850,51 868,91 864,67 923,75 859,50 754,2 837,4


TSP - Particules 63,54 62,69 68,19 70,08 70,19 73,94 68,97 68,6 74,5

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Méthodologie




17 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Toulouse-Blagnac

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


79,939,9 71,9 77,3 79,5 80,5 86,5 76,676,2 Source : DGAC- SDE1 – TARMAAC et données DGAC - * : Données QlikView




Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 11,1%, le nombre de mouvements a augmenté de 2,8% et celui de passagers augmentant de 46,0%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols court/moyen-courriers a fortement augmenté (+43,8%), celui sur les vols long-courriers a augmenté plus faiblement (+3,6%). En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers est du même ordre que celui de 2000 : il représente respectivement 1% et 1,4% du trafic de l’aéroport. L’emport moyen est passé de 59 passagers par vol en 2000 à 84 passagers en 2012. A court terme, entre 2011 et 2012, les émissions de la phase de LTO et le nombre de mouvements ont augmenté quasiment au même rythme, respectivement +4,3% et +3,6%.

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 10,8% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 45,8%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Toulouse-Blagnac. L’évolution à court terme (2012/2011) reproduit cette tendance : +3,8% en émissions totales (LTO+Croisière) et +7,6% en termes de trafic de passagers-kilomètres-transportés.


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18 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 3,91 5,00 3,73 3,81 3,52 3,90 4,27 2,6 2,8





NOx - Oxyde d’Azote 157,16 252,96 324,95 332,26 317,58 354,59 380,24 299,9 306,1


TSP - Particules 6,33 11,42 12,27 12,62 12,10 12,78 13,73 12,2 12,7


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 364,56 706,07 654,60 683,99 648,97 653,91 718,10 650,8 691,1


TSP - Particules 25,08 52,00 49,77 51,73 48,61 49,08 53,76 55,5 57,6

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Méthodologie




19 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Bordeaux-Mérignac

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


45,641,9 43,349,345,134,8 39,7 46,3 46,4 Source : DGAC- SDE1 – TARMAAC et données DGAC - * : Données QlikView

Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 4,42 millions de passagers, en hausse de 8,6% par rapport à 2011, pour 49 268 mouvements, en baisse de 2,8% par rapport à 2011.

Le montant des émissions CO2 pour le LTO7 est de 45 600 tonnes en 2012 (hausse de 5,3% par

rapport à 2011) et les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) sont de 237 600 tonnes (baisse de 0,5% par rapport à 2011).

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 14,9%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué : l’augmentation du nombre de passagers a été plus forte sur les vols long-courriers (72%) que sur les vols court/moyen-courriers (45%) et l’emport moyen est passé de 60 passagers par vol en 2000 à 90 passagers en 2012. A court terme (période 2011-2012), les émissions de la phase de LTO sont en hausse de 5,3%, alors que le nombre de mouvements est en baisse de 2,8%. Le trafic passagers est en hausse de 8,6%.

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 23,3% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 66,3%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux et des flottes d’avions au départ de Bordeaux-Mérignac. A court terme (2012/2011), les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 0,5%, alors que les passagers-kilomètres-transportés ont crû de 3,8%.


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20 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 4,37 2,61 2,27 2,41 2,15 2,28 2,44 1,7 1,6





NOx - Oxyde d’Azote 127,17 136,52 190,44 190,53 175,96 198,38 221,59 171,1 182,8


TSP - Particules 5,52 6,30 7,34 7,36 6,65 7,16 7,82 6,9 7,2


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 396,49 299,74 317,05 325,06 283,25 303,09 361,31 338,5 318,5


TSP - Particules 26,82 24,30 26,37 26,25 22,55 24,09 28,39 31,0 30,5

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Méthodologie




21 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Nantes-Atlantique

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


39,736,9 36,341,639,816,0 28,5 35,8 37,9





Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 39,3%, le nombre de mouvements de 10,2% et celui des passagers a pratiquement doublé (+97,8%). Durant cette période, la structure du trafic a beaucoup évolué : le nombre de passagers sur les vols court/moyen-courriers a considérablement augmenté (+93%) ; il a un peu baissé sur les vols long-courriers (-2%). En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers représente 2,2% du trafic de l’aéroport, contre 4,2% en 2000. L’emport moyen est passé de 42 passagers par vol en 2000 à 76 passagers en 2012. Entre 2011 et 2012, les émissions de la phase de LTO ont augmenté (+9,4% 2012/2011), tout comme le nombre de mouvements (+5,6%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 24,9% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés a fortement progressé de 82,2%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Nantes-Atlantique.


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22 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 1,89 2,89 1,87 1,98 1,92 2,01 2,26 1,6 1,5





NOx - Oxyde d’Azote 51,18 87,02 144,44 156,33 152,40 170,54 179,47 133,4 149,1


TSP - Particules 2,53 4,53 5,68 6,01 5,85 6,31 6,60 5,8 6,3


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1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 144,73 337,19 349,00 371,73 381,35 436,85 420,58 336,2 330,2


TSP - Particules 11,97 26,02 27,56 28,69 29,49 33,99 33,78 30,3 31,8

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Méthodologie




23 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Strasbourg-Entzheim

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


14,121,0 24,7 29,7 24,6 16,618,4 13,421,0


Le trafic de l’aéroport en 2012 est de 1,16 million de passagers, en hausse de 7,4% par rapport à 2011, pour 24 230 mouvements, chiffre stable par rapport à 2011.



Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont diminué de 42,9%, le nombre de mouvements a diminué de 35,5% et celui des passagers de 41,3%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols court/moyen et long-courriers a baissé (respectivement -42% et -85%). Le nombre de passagers des vols long-courrier est aussi faible en 2012 (0,01% du trafic de l’aéroport) qu’en 2000 (0,06% du trafic de l’aéroport). L’emport moyen est passé de 53 passagers par vol en 2000 à 48 passagers en 2012. A court terme, les émissions de la phase de LTO ont augmenté entre 2011 et 2012 (+5,2%), alors que le nombre de mouvements est resté stable (+0,04%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 28,7% sur la période 2000-2012 à un rythme comparable à celui du nombre de passagers-kilomètres-transportés (-23,5%). L’évolution à court terme (2012/2011) est différente : +10,7% en émissions totales (LTO+Croisière) et +8,3% en termes de trafic de passagers-kilomètres-transportés.


Base 100 = 1990 Base 100 = 1990

0

20

40

60

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100

120

140

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100

110

120

130

140












24 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 1,58 1,55 1,59 1,36 1,13 0,92 0,76 0,5 0,5





NOx - Oxyde d’Azote 78,84 87,01 111,63 88,53 75,42 66,51 61,02 43,6 48,0


TSP - Particules 3,33 3,92 4,71 3,91 3,34 2,92 2,63 2,1 2,2


ES

**P

ollu

tio

n lo

cale


Base 100 = 1990

0

50

100

150

200

250

300




1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 144,52 135,45 157,25 128,20 105,30 90,83 90,35 73,4 82,3


TSP - Particules 10,42 12,01 14,00 11,73 9,57 8,42 8,26 8,1 9,1

GE

S**

Po

llu

tio

n lo

cale



Méthodologie




25 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Beauvais-Tillé

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


26,225,720,81,6 4,4 15,0 17,7 25,318,6 Source : DGAC- SDE1 - TARMAAC et données DGAC - * : Données QlikView


Le montant des émissions CO2 pour le LTO10

est de 26 200 tonnes en 2012 et les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) de 192 900 tonnes, en hausse respectivement de 3,6% et de 2,5% par rapport à 2011.

Au cours de la période 2000-2012, les émissions liées au LTO ont été multipliées par 6, tout comme le nombre de mouvements

11, le nombre de passagers a été multiplié par 10. Durant cette période, le trafic

de l’aéroport s’est considérablement développé : le nombre de vols court-courriers a été multiplié par 293 et celui des vols moyen-courriers par pratiquement 10. Cet aéroport ne propose pas de vols long-courriers. L’emport moyen est passé de 90 passagers par vol en 2000 à 146 passagers en 2012. L’évolution récente des émissions en phase de LTO (+3,6% 2012/2011) est équivalente à celle du nombre de mouvements (+3,8%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont été multipliées par presque 7 sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés a été multiplié par 14, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution de la structure de la flotte exploitée au départ de Beauvais et à l’allongement de la distance moyenne parcourue. L’amélioration de l’efficacité énergétique s’est poursuivie entre 2011 et 2012 : +2,5% en émissions totales (LTO+Croisière) et +4,1% en termes de trafic de passagers-kilomètres-transportés.


Base 100 = 1997 Base 100 = 1990

0

200

400

600

800

1000

1200

1400

1600

1800

CO2 LTO CO2 total CO2 international

40

90

140

190

240

290











10 Cf. Méthodologie (au verso) 11 L’activité de l’aéroport de Beauvais-Tillé s’est beaucoup développée depuis 1997. De ce fait, les comparaisons avec l’an 2000

montrent des évolutions très élevées.

26 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,24 0,20 0,27 0,31 0,32 0,37 0,45 0,4 0,4





NOx - Oxyde d’Azote 6,69 14,48 74,71 88,66 92,12 105,95 131,32 117,8 121,5


TSP - Particules 0,26 0,69 2,38 2,81 2,95 3,30 4,08 4,0 4,2


ES

**P

oll

uti

on

lo

ca

le


Base 100 = 1990

0

50

100

150

200

250




1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 8,05 39,48 149,42 174,53 193,28 229,21 297,91 217,4 221,2


TSP - Particules 0,75 3,80 15,03 17,62 18,91 22,28 29,29 25,8 26,5

GE

S**

Po

llu

tio

n l

oc

ale



Méthodologie




27 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Montpellier-Méditerranée

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


13,212,9 20,1 13,7 14,1 15,013,2 13,413,5


Le trafic de l’aéroport en 2012 est de 1,29 million de passagers, en baisse de 1,5% par rapport à 2011, pour 16 080 mouvements, en baisse de 1,8% par rapport à 2011.


est de 13 200 tonnes en 2012, en baisse de 1,5% par rapport à 2011. Les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) sont de 66 800 tonnes en 2012, équivalentes à celles de 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, sont en baisse (-34,3%), tout comme le taux d’évolution du trafic passagers (-25,7%) ainsi que le nombre de mouvements (-39,1%). Entre 1999 et 2012, la structure du trafic a beaucoup évolué. Le nombre de passagers sur les vols court-courriers a baissé de 41,2%, tout comme celui sur les vols moyen-courrier (-20,9%). L’emport moyen est passé de 66 passagers par vol en 2000 à 80 passagers en 2012. Entre 2011 et 2012, les émissions de la phase de LTO ont baissé (-1,5% 2012/2011), le nombre de mouvements baissant dans les mêmes proportions (-1,8%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont baissé de 24,2% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés diminuait de 11,5%, traduisant une amélioration de l’efficacité énergétique. Entre 2011 et 2012, les émissions totales (LTO+Croisière) sont stables, le nombre de passagers-kilomètres-transportés a baissé de 2,1%.


Base 100 = 1990 Base 100 = 1990

0

20

40

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80

100

120

140

160

180

200


40

50

60

70

80

90

100

110











12

Cf. Méthodologie (au verso)

28 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 1,24 1,38 0,72 0,72 0,70 0,70 0,78 0,6 0,5





NOx - Oxyde d’Azote 52,10 73,62 54,03 56,91 55,86 54,95 61,78 51,8 52,3


TSP - Particules 2,04 3,19 2,17 2,24 2,15 2,10 2,37 2,1 2,1


ES

**P

ollu

tio

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cale


Base 100 = 1990

0

20

40

60

80

100

120

140

160

180




1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 120,82 130,50 94,59 93,66 91,86 89,75 107,62 92,5 90,8


TSP - Particules 7,57 10,80 7,55 7,43 7,27 7,12 8,47 8,5 8,5

GE

S**

Po

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tio

n l

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Méthodologie




29 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Lille-Lesquin

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

Bilan CO2


14,212,2 13,3 14,4 14,1 12,613,1 12,614,0


Le trafic de l’aéroport est, en 2012, de 1,39 million de passagers, en hausse de 19,8% par rapport à 2011, pour 17 357 mouvements, en baisse de 2,9% par rapport à 2011.


est de 14 200 tonnes en 2012 et les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) de 92 400 tonnes, en hausse respectivement de 12,7% et de 10,3% par rapport à 2011.

Les émissions liées au LTO, au cours de la période 2000-2012, ont augmenté de 6,8%, le nombre de mouvements a diminué de 29,2% et celui de passagers a augmenté de 41,5%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols long-courriers a fortement diminué (-84%) au profit des vols court/moyen-courriers (+39%). En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers a diminué : il représente 0,04% du trafic de l’aéroport contre 0,4% en 2000. L’emport moyen est passé de 40 passagers par vol en 2000 à 80 passagers en 2012. L’évolution récente des émissions en phase de LTO est à la hausse (+12,7% 2012/2011), celle du nombre de mouvements est à la baisse (-2,9%).

Les émissions totales (LTO+Croisière) ont augmenté de 4,2% sur la période 2000-2012 alors que le nombre de passagers-kilomètres-transportés progressait de 58,8%, traduisant une amélioration significative de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Lille-Lesquin. L’évolution à court terme (2012/2011) s’inscrit dans cette tendance, mais de façon moins marquée : augmentation de 10,3% en émissions totales (LTO+Croisière) ; augmentation de 12,5% pour le trafic de passagers-kilomètres-transportés.


Base 100 = 1990 Base 100 = 1990

0

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60

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120

130











13


30 DTA – SDE – SDE1– 1617f

1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 1,68 1,07 0,70 0,67 0,60 0,47 0,40 0,4 0,4





NOx - Oxyde d’Azote 41,21 39,61 47,56 48,30 51,07 50,00 48,27 45,8 52,4


TSP - Particules 1,93 2,12 2,29 2,23 2,22 2,07 2,01 2,0 2,2


ES

**P

ollu

tio

n lo

cale


Base 100 = 1990

0

50

100

150

200

250

300




1990 2000 2007 2008 2009 2010 2011 2011* 2012*

CH4 - Méthane 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,0 0,0





NOx - Oxyde d’Azote 137,19 135,19 134,05 127,73 114,25 119,79 112,69 103,0 120,9


TSP - Particules 10,49 11,97 12,20 11,61 10,91 10,90 10,48 11,3 12,4

GE

S**

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Méthodologie




31 DTA – SDE – SDE1– 1617f


Aéroport de Bâle-Mulhouse (F)

Bilan CO2 émissions LTO -

2011 2012

55,4 55.0

Source : DGAC- SDE1 - Données QlikView



est de 55 000 tonnes en 2012, en baisse de 0,7% par rapport à 2011, et les émissions totales de CO2 (LTO+Croisière) de 331 800 tonnes, en hausse de 1,3% par rapport à 2011.

Au cours de la période 2000-2012, le nombre de mouvements commerciaux a baissé de 33,4% et celui des passagers a augmenté de 44,3%. Durant cette période, la structure du trafic a considérablement évolué. Le nombre de passagers sur les vols court/moyen-courriers a augmenté de 48,5%, celui sur les vols long-courriers a fortement baissé de 74,8%. En 2012, le nombre de passagers des vols long-courriers représente 0,6% du trafic de l’aéroport, contre 3,5% en 2000. L’emport moyen est passé de 36 passagers par vol en 2000 à 79 passagers en 2012. A court terme, entre 2011 et 2012, les émissions de la phase de LTO ont baissé de 0,7% et le nombre de mouvements a augmenté de 3,3%.

Entre 2011 et 2012, on note une augmentation de 1,3% en émissions totales (LTO+Croisière) et 10,8% en termes de trafic de passagers-kilomètres-transportés. Cette évolution traduit une amélioration de l’efficacité énergétique liée à l’évolution des réseaux exploités au départ de Bâle-Mulhouse.

Les émissions totales au passager-kilomètre-transporté ont ainsi diminué de 9% entre 2011 et 2012.

Pour information 2011 2012

Emissions croisière (au départ) (milliers de tonnes) 272,1 276,7

Emissions totales (milliers de tonnes) 327,6 331,8

Passagers (millions) (au départ) 2,53 2,68

Distance moyenne (km) 1060 1111

Passagers-kilomètres-transportés (milliards) (au départ) 2,69 2,98

Emissions moyennes par passager (en kg) 129,3 123,6

Emissions moyennes (kg) par 100 PKT 12,2 11,1

Données QlikView - PKT : Passagers-Kilomètres-Transportés

14


32 DTA – SDE – SDE1– 1617f

2011 2012

CH4 - Méthane 2,6 2,6

N2O - Protoxyde d’Azote 2,1 2,1

CO - Monoxyde de Carbone 184,1 181,9

COV - Composés Organiques Volatils 26,2 26,0

COVNM- Composés Organiques Volatils Non Méthanique 23,6 23,4

NOx - Oxyde d’Azote 198,1 198,3

SO2 - Dioxyde de Soufre 17,6 17,5

TSP - Particules 8,8 8,7


ES

*P

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on

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ca

le

Données QlikView - *GES : Gaz à Effet de Serre

2011 2012

CH4 - Méthane 0,0 0,0

N2O - Protoxyde d’Azote 8,5 8,6

CO - Monoxyde de Carbone 62,3 65,5

COV - Composés Organiques Volatils 32,4 35,5

COVNM- Composés Organiques Volatils Non Méthanique 32,4 35,5

NOx - Oxyde d’Azote 521,4 526,8

SO2 - Dioxyde de Soufre 86,4 87,9

TSP - Particules 43,2 43,9

GE

S*

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Données QlikView - *GES : Gaz à Effet de Serre

Méthodologie




www.developpement-durable.gouv.fr

Direction générale de l’Aviation civileDirection du Transport aérien (DTA)

Sous-direction des études, des statistiques et de la prospective50 rue Henry Farman - 75015 Paris

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