Magazine périodique de J&T Autolease - N° 35

DANS CE NUMERO

OCTOBRE 2016

www.jentautolease.be

TESTIMONIALHyundai Tucson : un bestseller qui a de l’allure

AUTOVoiture autonome : la donne change !

RETROMOTIONSToyota Celica : passion pour un chef d’œuvre oriental

DossierQue trouverons-nous

dans les parcs auto de demain ?

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(L/100KM): 4,6 - 7,5 • CO2 (G/KM): 119 - 175* Action sms valable du 01/09/2016 au 30/09/2016. Annonceur : Korean Motor Company S.A. (importateur), Pierstraat 229 à B-2550 Kontich - TVA BE 0404.273.333 RPM Anvers - DEXIA IBAN BE36 5503 3947 0081 - BIC: GKCCBEBB. Information environnementale (A.R. 19/3/2004): hyundai.be

Hyundai Tucson Business EditionChange is good.Le changement est l’élément central du tout nouveau Hyundai Tucson Business Edition. Avec son intérieur confortable et parachevé avec goût, sa connectivité parfaite et de l’espace à profusion, il s’agit tout simplement de la voiture de société idéale. D’autant plus que cette voiture généreusement équipée ne risque pas de faire un trou dans votre budget. Et c’est précisément ce que recherche chaque entrepreneur indépendant.

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Edito

DANS CE NUMÉROAu moment de lire ce numéro particulièrement dense d’Automotions, les vacances ne sont déjà plus qu’un agréable souvenir. J’espère que vous en avez profité. Ces quelques semaines de répit estival nous ont également fait du bien. Mais les activités ont continué à vive allure dans nos bureaux. Vous appréciez manifestement que nous restions à votre service tout au long de l’année, de manière ininterrompue. La croissance de notre flotte le montre : aujourd’hui, le compteur est à 6.800 véhicules, un chiffre que nous comptons bien gonfler encore d’ici la fin de l’année.

Cette envie d’en faire toujours plus est inscrite dans nos gènes et dans ceux de notre société mère, Van Mossel Automotive Groep. Sur un marché du leasing en rapide mutation, nous voulons rester cohérents : les clients, qu’ils nous soient fidèles ou qu’ils soient nouveaux ne sont satisfaits que si l’on poursuit une vision claire. Chez nous, cela se traduit par une offre globale à long terme avec une approche très personnalisée et des innovations au service du client.

Qui dit innovation, dit également avenir. Et c’est, dans les grandes lignes, le thème de ce numéro d’Automotions. À court terme, nous voulons vous épargner l’embarras du choix. Nous vous offrons un aperçu pratique de toutes les nouveautés sur le marché fleet, tant en termes de voitures particulières que d’utilitaires et de pick-up fiscalement intéressants. À un peu plus long terme, vous serez confronté à un choix d’un autre type : dois-je laisser (ou pas) mes collaborateurs monter à bord d’une voiture autonome ? L’avenir promet d’être passionnant. Il ouvre aussi la porte à de nombreuses questions. Nous essayons d’y répondre autant que possible dans les pages qui suivent.

Vous l’aurez compris : nous ne nous sommes pas tourné les pouces cet été, comme en témoigne ce numéro bien étoffé d’Automotions. L’oisiveté est mère de tous les vices, mais on ne nous y prendra pas chez J&T Autolease.

Je vous souhaite une lecture passionnante !

Jan DeknuydtDirecteur général

4 NewsL’actu de J&T Autolease

8 DossierQue trouverons-nous dans les parcs auto de demain ?

18 TestimonialHyundai Tucson : un bestseller qui a de l’allure

22 AutoVoiture autonome : la donne change !

26 Made in Belgium E-Car 333 : l’e-mobilité et sa règle de trois à la Belge

28 InterviewEric Berkhof, patron du Groupe Van Mossel Automotive, sur les 20 ans de J&T Autolease

30 Klant in de kijkerB-Close : d’une multinationale africaine à une entreprise 100% belge

33 RetromotionsToyota Celica : passion pour un chef d’œuvre oriental

35 Trip Excursions originales

EDITEUR RESPONSABLEJ&T Autolease saNoordersingel 19 • B - 2140 Anverstél. +32 (0)3 544 29 00 • fax +32 (0)3 544 29 01info@jentautolease.be • www.jentautolease.be

RESPONSABLE RÉGIEEffective Mediatel. +32 (0)2 467 61 57 • gsm +32 (0)498 12 01 01nancy.gryson@effectivemedia.be

CRÉATIONEffective MediaAnne Claes • Gregory Livis • Philip De Paepe • Kristof Winckelmans • Julien Libioul

www.effectivemedia.be • info@effectivemedia.be

NEWS

L’année dernière, Automotions présentait un nouveau client dans sa rubrique « Client sous la loupe » : Skondras, une entre-prise limbourgeoise à succès spécialisée dans la vente et le marketing. Le service personnalisé et la satisfaction client – des valeurs partagées par les deux entreprises - ont abouti à une collaboration solide qui s’est confirmée cette année par une nouvelle commande de 20 véhicules. Outre Kia et Nissan, le parc automobile de Skondras compte désormais des véhi-cules Hyundai. Avec les i30 1.6 CRDI 5 portes qui serviront sur tout aux vendeurs qui font du porte-à-porte, le gérant Stijn Skondras fait à nouveau un choix peu ordinaire. « Cette entreprise opte pour des marques automobiles qu’elle compte parmi ses propres clients. Maintenant que Hyundai s’est ajoutée à Nissan et à Kia, Skondras a commandé quelques véhicules de cette marque », explique Dirk Dury, Sales & Account Manager chez J&T Autolease. On peut donc parler d’une certaine cohé-rence asiatique chez Skondras. L’année dernière, Stijn Skondras tenait les propos suivants et ceux-ci sont toujours d’actualité : « Afin de réduire au minimum les débats entre les commerciaux, j’applique un principe simple : tous égaux devant la loi. »

Nethys opte pour J&T AutoleaseIl va de soi que J&T Autolease est fier de chaque client, qu’il soit nouveau ou pas. C’est donc avec cette même fierté que J&T Autolease peut annoncer que Nethys fait désormais partie de sa clientèle. Cette société, active dans les secteurs de l’énergie, des

télécommunications et du développement industriel, a un parc automobile de pas moins de 700 voitures. En juillet, elle a passé sa première commande chez J&T Autolease, soit 7 Volkswagen Golf (Variant) dont la livraison est prévue cet automne.

Livraison du premier lot de 20 Hyundai i30 à Skondras

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Initié à l’aube du championnat 2014-2015, le par tenariat automobile entre le club de première division KV Mechelen d’une part et Opel (en collaboration avec le concessionnaire Opel GMAN Mechelen) et la société de leasing J&T Autolease d’autre par t, a été reconduit pour deux saisons en début d’année. Dans ce cadre, 20 nouvelles Opel Astra 1.6 CDTI 110 ch sont aujourd’hui mises à la disposition des joueurs de l’équipe première. Cette flotte est complétée par 2 Opel Insignia pour le staff des entraîneurs.

Le choix de la couleur a eu son importance. Les Sang et Or ont opté pour le rouge et la teinte Absolute Red. Le Managing Director de J&T Autolease, Jan Deknuydt, se réjouit de la prolongation de ce contrat : « Il va de soi que nous sommes ravis de pouvoir continuer à collaborer avec un club ambitieux comme le KV Mechelen. Bénéficiant d’un contrat de leasing full opérationnel, les joueurs et le staff peuvent prendre le volant de leur Opel sans inquiétude. Tous les six mois, les véhicules subissent pour un entretien intermédiaire, histoire de garantir une route sans accroc aux joueurs qui peuvent se concentrer pleinement sur leurs performances sportives. »

L’ensemble du noyau de l’équipe première était présent à Malines pour recevoir les clés de leur nouveau « véhicule de club ». Avec son style athlétique et son comportement dynamique, l’Opel Astra séduira à coup sûr ces sportifs de haut niveau tout en s’inscrivant parfaitement dans l’approche familiale du club. C’est

donc au volant de celle qui a été élue « Voiture de l’Année 2016 » que les joueurs du KV Mechelen effectueront leurs déplacements. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la saison 2016-2017 a démarré sur les « chapeaux de roues » pour eux.

Les joueurs du KV Mechelen reçoivent leur Opel Astra

J&T Autolease embarque avec Autoglass ClinicEn mai 2016, J&T Autolease a conclu un partenariat avec Autoglass Clinic pour les réparations et remplacements de vitrage de son parc automobile. « Nous nous réjouissons de cette nouvelle collaboration », déclare Marcel De Lange, Operations Manager chez J&T Autolease. « Tout comme nous, Autoglass Clinic fait du contact personnalisé avec le client l’une de ses principales priorités. »

Autoglass Clinic est également très satisfait de cette collaboration. « Le partenariat avec J&T Autolease confirme qu’Autoglass Clinic est un véritable professionnel des vitrages automobiles endommagés. Grâce à notre réseau national de spécialistes expérimentés, nous apportons une solution rapide et flexible aux besoins des conducteurs ainsi que des gestionnaires de sinistres et des responsables de flotte. Nous leur offrons ainsi un service personnalisé. Avec cette approche de qualité orientée ‘clients’, nous avons le désir de relever les défis du futur », conclut avec enthousiasme Diederik Vernimmen, Sales & Marketing Executive chez Autoglass Clinic.

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ASX aborde la conges-tion du trafic avec des vélos-cargo électriquesCet été, la chaîne de vélos anversoise iBike a livré le tout pre-mier vélo-cargo électrique au service de messagerie ASX IBECO. C’est en effet le premier vélo-cargo électrique que J&T Autolease propose dans sa formule de leasing. Avec ce vélo-car-go électrique, ASX IBECO veut aborder la problématique crois-sante de la mobilité à Anvers. Ce qui a poussé l’entreprise à se tourner vers cette solution, ce sont les embouteillages, mais aussi l’augmentation du nombre de rues piétonnes. Par ailleurs, ASX IBECO est perpétuellement à la recherche de solutions économiques et écologiques pour optimaliser ses services. « Ce vélo ne nécessite pas de carburant », déclare Johan De Mulder de B2Bike, une entreprise soeur d’iBike qui a livré le vélo. « Les seuls coûts énergétiques de ce vélo sont l’électricité, soit 1 euro pour 1 000 km. »

« Grâce à ce vélo-cargo électrique – qui a une capacité de char-gement de 300 l – nous pourrons desservir quelque 40 clients par jour dans le centre-ville, » explique Jean-Claude Van Den Berghe de ASX IBECO. « Les paquets seront tout d’abord livrés

et les envois seront ensuite récupérés chez les clients pour ren-trer au dépôt à la fin de la journée. La flexibilité des vélos-car-go électriques nous permet de gagner énormément de temps. Nous pouvons éviter les files plus facilement. Quant aux zones dans lesquelles nous ne pouvions livrer qu’à certaines heures, elles sont désormais accessibles toute la journée. »

Pour la société de leasing J&T Autolease, c’est également une primeur. « C’est la première fois que nous louons un vélo-cargo électrique. Nous espérons que cette formule de mobilité va susciter l’intérêt de davantage de clients dans un futur proche », déclare Jo Groven de J&T Autolease.

NEWS

3 Tesla Model S pour les Sector Managers de Strand AssociatesCet été, une livraison très spéciale figurait au programme de J&T Autolease. Spéciale, elle l’était tout autant pour son client Strand Associates, un cabinet de consultants en pleine expansion spécia-lisé dans le recrutement pour des missions permanentes et tem-poraires dans les secteurs des TIC et du pétrole. Cette entreprise accorde énormément d’importance à l’écologie et est pionnière dans le domaine de la technologie. Le choix de la nouvelle voi-ture de société des Sector Managers semblait donc évident. La livraison des 3 Tesla Model S a eu lieu au siège central de Tesla à Aartselaar en présence du client et de Danny Vermylen, de J&T Autolease. « Bien que chaque livraison soit précieuse pour nous, celle-ci est particulièrement spéciale. Ce n’est pas tous les jours qu’on présente une telle voiture. Tout le monde affichait un grand sourire. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous le faisons », déclare le Sales & Account Manager de J&T Autolease.

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LE NOUVEAU FORD Un SUV impressionnant. Différent. Audacieux, exceptionnel, unique. Chacun de vos déplacements sera rehaussé par la présence de technologies de pointe comme le système intelligent All-Wheel Drive, le système Adaptive Steering (direction assistée adaptative), la technologie Active Noise Control (contrôle actif du bruit). Quant aux performances et à l’efficacité, elles sont optimisées par un moteur diesel 2.0 d’avant-garde. Le nouveau Ford Edge est arrivé. Donnez un nouvel élan à vos affaires, surfez sur ford.be

FORD EDGE

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5,8-5,9 L/100 KM. 149-152 G/KM CO2.Les chiffres de consommation et d’émission s’appliquent aux véhicules avec les pneus de série, comme décrit dans les équipements de série. Des pneus optionnels peuvent engendrer d’autres valeurs d’émission de CO2 et de consommation. Pour plus d’informations, renseignez-vous auprès de votre distributeur Ford et rendez-vous sur notre site www.fr.ford.be/FleetLeasing. *Basé sur le Ford Edge Trend 2.0 TDCi - AWD - 180cv - peinture métallisée. Le calcul de l’Avantage net mensuel se fonde sur le taux maximal de précompte professionnel de 53,5%. Ces valeurs sont données à titre purement indicatif et n’engagent pas la responsabilité de Ford Motor Company SA en cas de différence entre l’Avantage indiqué et l’Avantage finalement obtenu. Spécifications du véhicule affiché non représentatives. Donnons la priorité à la sécurité. Informations environnementales [A.R. 19/03/2004]: www.fr.ford.be/environnement.

DOSSIER

L’infernal carrousel des nouveautés automobiles se poursuit. Les réfé-rences établies continuent de composer les parcs mais sont progressive-ment remplacées. Pour être à la page, satisfaire les conducteurs en passe de changer de monture et ne pas se trouver le bec dans l’eau, le fleet manager avisé anticipe, scanne le marché des mois à l’avance pour don-ner forme à ses parcs 2017 et 2018… A quelques semaines des Salons de la fin d’année, alors que bien des informations restent marquées du sceau du secret, J&T Autolease vous propose une sélection des futurs ténors, ceux de l’année prochaine. Le choix est et va être rude…

2017 en un coup d’oeilQue trouverons-nous dans les parcs auto

de demain ?

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1. ALFA ROMEO GIULIALa Giulia est l’une des berlines ayant le plus de chances de car tonner dans les prochains mois. Longuement attendue, marquant le retour d’Alfa Romeo à la transmission aux roues arrière, dotée d’un design exotique et séduisant, son potentiel n’est pas négligeable. Malheureusement, Alfa a réalisé des choix en matière mécanique qui pourraient lui être défavorable. Ainsi le plus petit moteur en diesel est un 2.2. Alfa Romeo a toutefois fait des miracles, pour en proposer une version Super Eco dont les 180 chevaux sont compensés par des émissions de 99 g ! Merci à la boîte robotisée à huit rapports …

2. AUDI Q2La dernière nouveauté au sein de la gamme Audi est … un SUV, compact cette fois. L’Audi Q2 repose sur la plateforme MQB, se situant entre l’A1 et l’A3 3 portes en termes de gabarit. Côté motorisations, on trouve trois blocs essence, deux 1.0 TFSI de 95 et 115 chevaux (3 cylindres), ainsi que le 1.4 TFSI de 150 ch. Les gros rouleurs se tourneront vers les 1.4 TDI 90 ch, 1.6 TDI 115 et 2.0 TDI 150 ch. La transmission intégrale et la boîte auto S Tronic figurent au programme. A l’intérieur, les standards Audi sont de rigueur, enrichis d’un éclairage à LED, de la recharge de smartphone par induction, d’un écran de 8,3 pouces et d’un système multimédia à la pointe ! Et ce n’est pas tout, on attend dans les prochains mois deux grandes berlines, l’A7 découlant de la future A6 et l’A8, que l’on attend plus innovante, plus dyna-mique et plus polyvalente encore … Même combat pour le nouveau Q5 présenté au Mondial de l’Automobile …

3. BMW X2En attendant l’arrivée du nouvel X3, la série X se poursuit chez BMW. Après avoir dessiné un coupé sur base du X5, le X6, après le coupé sur base du X3, le X4, c’est au tour du X1 de voir la chute de son toit rabotée. Une transformation traditionnelle-ment plus stylistique que mécanique, bien que l’on pourrait voir apparaître de nouveaux équipements. L’information est encore rare, l’ultime concept étant programmé pour le mois d’octobre, au Salon de Paris.

4. FORD KUGAPas de nouveau Kuga, mais un facelift qui pourrait se montrer particulièrement attrayant pour le marché des flottes. Non seulement, le SUV moyen de Ford adopte les nouveaux codes esthétiques, le dispositif d’info-divertissement SYNC 3, l’assis-tant au parking avec alerte de trafic transversal, mais en plus il bénéficie d’une nouvelle motorisation d’entrée de gamme : un bloc 1.5 TDCi lui offrant l’attrayant avantage de ne pas consommer plus de 4,7 l / 100 km, pour des émissions de CO2 de 115 g / km. Avec 120 chevaux, la puissance sera transmise aux seules roues avant.

5. HONDA CIVICA l’heure où nous rédigeons ces lignes, Honda vient de révé-ler aux Etats-Unis sa nouvelle génération de Civic. L’engin, uni-quement disponible chez nous en hatchback, et plus tard en break, change presque de catégorie, en gagnant 13 centimètres en longueur. Mais la grande première est surtout que Honda, tout en renforçant encore sa conviction dans le diesel, passe aux moteurs turbo. Le 1.5 de 174 chevaux fait figure de tête de gon-dole, bien qu’un trois cylindres 1.0 soit sur les rails. Le moteur 1.6 Turbo-diesel i-DTEC de 102 chevaux devrait à nouveau être proposé en Europe.

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6. HYUNDAI I30Chez Hyundai, l’attention se focalise sur la nouvelle généra-tion de l’i30, même si l’Ioniq reste l’une des grandes curiosités. L’Ioniq est le premier véhicule sur le marché à être proposé en déclinaison hybride, hybride rechargeable et full-électrique … Une berline compacte dotée d’un moteur électrique et d’un bloc 1.6 essence, combinant 142 chevaux pour des émissions de 79 g / km. Sa déclinaison électrique n’émet pas de particules polluantes et promet une autonomie de 280 km.

7. KIA OPTIMA SWAvec 553 litres de coffre et une ligne particulièrement réussie, c’est la Kia Optima SW qui devrait récolter le gros de l’attention durant les mois à venir. Avec 4,86 mètres de long, elle n’est pas la reine de la catégorie, mais ses nombreux rangements et le 1.7 CRDi de 141 chevaux lui ouvrent les portes d’une clientèle élargie. Il est à noter qu’une Optima hybride fera prochaine-ment ses débuts chez nous. A côté de ce break très attendu, Kia déballe un nouveau crossover, le Niro, initialement proposé avec une unique motorisation hybride, partagée avec la Hyundai Ioniq, comme bien d’autres de ses éléments d’ailleurs …

8. MAZDA 6Il aura fallu longtemps, trop longtemps pour que Mazda consente à offrir à sa Mazda 3 un moteur diesel à la mesure de ses ambitions. La brillante compacte peut désormais être entraînée par un bloc 1.5 de 105 chevaux. Une puissance suffi-sante, permettant avant tout à la japonaise de revendiquer des émissions de CO2 de 99 g / km. Une prestation remarquable qui n’enlève rien son agrément d’utilisation. On notera également que la Mazda 6 est passée sur le billard, pour un petit facelift lui apportant des moteurs plus alertes et plus silencieux, ainsi que le G-Vectoring Control, un dispositif agissant sur le moteur pour rendre la conduite plus sûre, en particulier en conditions difficiles.

9. MINI COUNTRYMANLe prochain modèle à être biffé de la to-do list de Mini sera le Countryman. Le crossover est arrivé à l’âge du renouvel-lement et entrera en plein dans la nouvelle politique de Mini. Les premières photos volées, sous camouflage montrent un véhicule moins typé SUV, tirant vers le break. Il est par ailleurs question d’une version hybride rechargeable, dont l’autonomie électrique atteindrait 50 km et dont la transmission intégrale serait assurée par la combinaison des moteurs thermique et électrique.

10. OPEL ZAFIRALa marque au Blitz se prépare à lâcher deux bombes sur le mar-ché, la seconde génération d’Insignia en tête. La grande berline aura fort à faire pour garder la tête haute face à la concurrence. Prévue pour le deuxième semestre de l’an prochain, on l’attend beaucoup plus légère, plus grande, plus spacieuse (à l’arrière en particulier) et il est question d’une politique de downsizing assez radicale avec, peut-être, le 1.0 turbo de l’Opel Adam en entrée de gamme … Dans l’immédiat, c’est le Zafira qui joue des coudes pour reprendre sa place au milieu des Renault Scénic et Citroën C4 Picasso. Il bénéficie désormais de la lec-ture des panneaux, du régulateur de vitesse adaptatif et d’un écran tactile de 7 pouces en lieu et place de la myriade de boutons de la précédente génération. Son point fort reste l’ha-bitabilité avec les sièges (7 en option) s’escamotant en plancher plat, la deuxième rangée étant coulissante. Opel reste un maître en matière d’offre mécanique, avec le 1.6 CDTi de 136 chevaux et 109 g / km, le 2.0 de 170 chevaux (àpd 129 g) et en essence, le 1.4 Turbo de 120 et 140 ch, le 1.6 turbo de 200 ch, sans oublier le bloc 1.6 carburant au CNG.

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11. PEUGEOT 3008Pour Peugeot, le défi du renouvellement de la 3008 est crucial. Malgré son vieillissement, le crossover en fin de carrière enregis-trait encore de fort beaux scores. Nul doute que cette nouvelle génération, bâtie sur la légère plateforme EMP2 (-100 kg sur la masse totale) lui offre le même potentiel. Plus long de 8 centi-mètres, il gagne 90 litres de volume de coffre. Sa garde au sol de 22 centimètres le place plutôt du côté des SUV que des crosso-ver, ce que confirment les cinq modes de son système de motrici-té avancée. Le 3008 adopte bien entendu la nouvelle déclinaison de l’i-cockpit, et le bloc-compteurs fait place à un écran TFT. Côté motorisations, du turbo à tout va, tant en essence qu’en diesel, avec des puissances débutant à 100 ch et 103 g de CO2 / km.

12. PORSCHE PANAMERALa petite dernière de Porsche est pour tant bien grande. Longtemps critiquée pour son design, cette nouvelle génération de Panamera se calque sur la 911. En attendant sa déclinaison hybride et un moteur diesel un peu moins gourmand, son capot dissimule des V6 et V8 essence, ainsi qu’un V8 diesel de 422 che-vaux et 850 Nm de couple. Dotée des roues arrière directrices, elle est équipée d’une suspension pneumatique et d’une nouvelle gestion du châssis 4D. L’équipement est bien entendu plétho-rique, avec en tête le Porsche Advanced Cockpit à écrans LED …

13. RENAULT SCENICL’agenda est bon pour Renault pour l’instant. Les nouveautés sont abondantes. En 2017, la gamme permettra de faire son petit mar-ché, avec les nouvelles Clio et Clio Grandtour, Mégane et Mégane Grandtour, Talisman et Talisman Grandtour, voire en faisant un petit arrêt du côté de la Renault Scénic. Un monovolume com-pact qui suit la tendance amorcée par l’Espace et joue la carte du crossover. Il aura même droit à une version Grand Scénic, allongé de 24 centimètres, doté d’un rang de sièges supplémentaire et voyant son coffre grimper à 765 litres … Côté motorisation, la gamme au losange se partage les derniers TCe essence de 115, 130, 150 et 200 chevaux, ainsi que les dCi de 110, 130 et 160 ch.

14. SEAT ATECALa marque espagnole ne se prive pas pour faire bonne pioche dans le catalogue technique du groupe VW. Le séduisant SUV Ateca campe sur la plateforme MQB et adopte un panel méca-nique plutôt large, débutant avec le trois cylindres 1.0 suralimen-té en essence (115 ch, 119 g), ainsi qu’avec le quatre cylindres diesel 1.6 TDI (115 ch et 113 g). Bardé d’un attirail d’options similaire à celui que l’on trouve du côté du VW Tiguan, il pro-pose un coffre de 510 litres,.

15. SKODA KODIAQLe Kodiaq doit permettre à Skoda de combler deux lacunes dans sa gamme. Avec le Yeti, la marque tchèque ne disposait que d’un seul SUV (un peu vieillissant) dans son offre, alors qu’elle atten-dait un vrai sept places depuis 120 ans. Dès son lancement (prévu début 2017), le Kodiaq sera disponible avec cinq motorisations, dont deux essence. Dans sa version de base, le petit 1.4 TSI libère 125 ch pour un couple de 200 Nm et une consommation moyenne de 6 litres / 100 km. Dans sa version la plus puissante, ce 1.4 délivre 150 ch, tout en maintenant une consommation rai-sonnable. Tout en haut de la gamme essence, on retrouve un 2.0 TSI de 180 ch. Du côté de l’offre diesel, le 2.0 TDI propose deux versions de puissance, l’une de 150 ch et l’autre de 190 ch. L’entrée de gamme diesel consomme 5 litres / 100 km (131 g de CO2 / km).

16. TESLA MODEL XAu vu des faveurs fiscales concédées aux productions exclusive-ment électriques de Tesla, on pourrait voire la sœur de la Model S trouver preneur chez nous. En laissant de côté ses spectaculaires portes Falcon, on en retiendra qu’elle partage les fondements de la Model S. Même châssis, mêmes moteurs électriques, mêmes batteries … L’engin pèse toutefois 2,5 tonnes, restreignant le rayon d’action de l’entrée de gamme 60D à 335 km. Avec ses 967 Nm, la P90D peut catapulter ses 7 passagers jusqu’à 100 km / h en moins de 3,5 secondes. Côté équipements, plus ou moins gadgets : la pro-tection contre les armes bactériologiques, la conduite autonome, la connectivité, l’énorme tablette de contrôle …

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17. TOYOTA CH-RAu-delà du facelift apporté à la Grand Prius+, se concentrant sur le confort auditif et l’info-divertissement, Toyota a dévoilé un nouveau crossover, le C-HR. Un crossover hybride, rappelant par son positionnement les premières générations de RAV4, un engin polyvalent et ludique. A l’instar de la Grand Prius+ ou de sa petite sœur la Prius, le C-HR pourra être équipé du bloc essence 1.8 combiné aux batteries et au moteur électrique de ses hybrides de sœurs (122 ch et 85 g de CO2 / km) … Toyota évoque également un moteur essence 1.2 de 116 chevaux.

18. VOLKSWAGEN TIGUANSi le nouveau Tiguan trouve peu à peu ses marques sur nos chaussées, il connaîtra une nouvelle déclinaison dans les pro-chains mois. Une version plus familiale, 7 places, dotée d’une rangée de sièges supplémentaire. Toujours au rayon SUV, c’est la succession du concept T-Prime GTE qui est annoncée. Un grand SUV, d’un gabarit comparable au dernier Audi Q7. L’engin tire son suffixe GTE de ses mécaniques essence et électrique développant ensemble 381 ch. De quoi lui permettre d’abattre le 0 à 100 km / h en 6 sec sans consommer plus de 2,7 l / 100 km. L’habitacle fait place à de grands écrans et mise sur la connecti-vité. Reste à voir ce qu’en conservera le futur Touareg …

19. VOLVO V90En attendant l’arrivée du premier représentant de la gamme 40, vraisemblablement le XC40, Volvo mène actuellement cam-pagne autour de ses S90 et V90. Une berline et un break dont les fondations sont partagées avec le SUV XC90 et qui pourrait trouver une belle place chez nous, notamment en raison de la motorisation D3 de 150 chevaux et 116 g de CO2. Un modèle qui, comme le XC90, se distingue par ses nombreux assistants à la conduite, dispositifs de sécurité actifs et la très commode tablette multimédia Sensus.

Renouvellement par la racine1. CITROËN C3La fin de l’année 2016 et le début de l’année 2017 seront mar-qués par le retour au-devant de la scène de piliers du marché automobile. C’est le cas avec la dernière génération de Citroën C3. Liée jusqu’au plus profond de ses gènes à la 208 de la mai-son d’en face, Peugeot, elle réutilisera l’éventail de moteurs PureTech et HDi de sa cousine sochalienne…

2. FORD KA+La copie a été revue et corrigée. La Ford Ka, en devenant Ka+, perd son statut de citadine deux portes et ultra-compacte et glisse doucement du segment A vers le B, un domaine dans lequel Ford excelle déjà avec la Fiesta. La Ka+ demeure plus courte que la Fiesta, mais se veut 29 millimètres plus haute. Une croissance utile à l’espace à la tête. Le volume du coffre atteint la valeur respectable de 270 litres. La nouvelle Ka+ a droit au bloc essence 1.2 Duratec, disponible en version 70 et 85 ch de 110 et 114 g de CO2/km.

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Premium à tout va2017 sera une année importante pour Audi, BMW et Mercedes, une année de lutte acharnée. Si la nouvelle Classe E a déjà poin-té le bout de son nez, on attend avec impatience et curiosité l’arrivée de la Classe E break dans les prochaines semaines, rapi-dement suivie par les Audi A5 et A5 Sportback, ainsi que la nou-velle génération de BMW Série 5 et Série 5 Touring. Si bien des données demeurent floues du côté d’Ingolstadt et de Munich, on sait que le volume du coffre de la E Break perd un peu de volume, tout en proposant un total de 1.850 litres. Mercedes proposera également une version 7 places de ce gros-porteur et la version E200 d motorisée par un 2.0 diesel de 150 ch et 102 g / km est en approche. Prévue pour la seconde moitié 2017, l’A6 s’inspire du concept Prologue et devrait se distinguer par une palette mécanique revisitée et des motorisations plus vertes encore. Du côté de la Série 5, l’inspiration viendra de la Série 7, avec un attention particulière pour la technologie embarquée …

3. NISSAN MICRAOn ne sait encore que très peu de choses de la nouvelle Nissan Micra, à l’exception du fait qu’elle connaîtra sa première au Salon de Bruxelles et que son design sera extrapolé de celui du concept Sway. Reposant sur le châssis de la dernière Clio, elle sera marquée par le retour du diesel et jouera une carte bien moins low cost que par le passé. Fabriquée dans les mêmes usines que sa cousine française, elle fera date dans l’histoire de la compacte japonaise…

4. VOLKSWAGEN POLOLe printemps 2017 nous révèlera la sixième génération de Polo. Une compacte qui, selon nos informations, devrait prendre quelques libertés avec le classicisme adopté depuis 1975… Volkswagen donnerait la priorité aux moteurs 3 cylindres, ferait grimper sa longueur à 4 mètres et réduirait son poids. Une motorisation électrique et une hybride rechargeable seraient au planning. Volkswagen envisagerait même d’en décliner un SUV…

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Utilitaires légers

Beaucoup de nouveautés, encore plus de possibilités

Tout gestionnaire de flotte le confirmera : il n’y a rien de plus compliqué que de choisir le bon véhicule utilitaire. Le choix d’une voiture particulière est généralement déterminé par les performances CO2 et par le goût personnel de l’utilisateur. Dans le cas du choix d’un utilitaire, des dizaines d’autres critères s’y ajoutent, rendant le processus du choix plus com-plexe encore. En tant que gestionnaire de flotte, il vous faut débuter votre recherche avec les bonnes informations, d’autant que, aujourd’hui, le nombre de nouveautés sur le marché des utilitaires et des pick-ups n’a jamais été aussi important…

Charge maximale, capacité de traction, transformations, pos-sibilité d’aménagement et accessoires supplémentaires, voici quelques exemples de ce qui peut vous faire douter éternelle-ment entre un utilitaire et un autre. A moins que vous ne vous orientiez plutôt vers un pick-up à double cabine et benne de chargement, en raison d’un statut fiscalement intéressant et de ses attraits pour l’usager ? L’angoisse du choix… Pour faciliter un peu votre vie de gestionnaire de flotte, nous avons rassemblé dans les pages suivantes les nouveautés récentes et futures sur le marché des utilitaires légers.

Camionnettes1. CITROËN JUMPY, PEUGEOT EXPERT

& TOYOTA PROACEL’union stratégique entre PSA Peugeot Citroën et Toyota a accouché de triplés dans le segment des camionnettes moyennes. Les nouvelles Citroën Jumpy, Peugeot Expert et Toyota ProAce sont disponibles sur le marché en trois lon-gueurs : une version compacte de 4,60 mètres, un configuration moyenne de 4,95 mètres et une version longue de 5,30 mètres. Grâce notamment à ses deux hauteurs disponibles (1,90 m et 2,28 m), le trio a gagné en capacité de charge avec un maximum de 1.400 kg, alors que leurs prédécesseurs devaient se conten-ter de 1.225 kg. Le volume de charge varie entre 4,6 et 6,6 m³, alors que la longueur de charge de 2,58 m peut être étendue à 4 m via une trappe dans la cloison.

2. FIAT TALENTODans le segment moyen, Fiat a récemment mis le Scudo à la retraite, le remplaçant par la Talento, qui partage sa base avec les Renault Trafic, Opel Vivaro et Nissan NV300. En matière de longueur, de charge et de charge utile, le Talento s’installe juste entre les Doblò et Ducato. La petite nouvelle est disponible avec quatre versions du 1.6 MultiJet, dont l’une est équipée de deux turbos à géométrie variable (90 et 115 ch). Les deux autres se contentent du double turbo à géométrie fixe. Ils disposent d’une puissance de 120 et 140 ch. Les possibilités de configura-tion du Talento sont légion : camionnette fermée, minibus, plate-forme cabine et châssis cabine. La caisse fermée peut être com-mandée en deux longueurs et deux hauteurs, respectivement de 2,54 et 2,93 mètres, de quoi garantir un volume de charge de 5,2 et 8,6 m³, ainsi qu’une charge utile jusqu’à 1,2 tonne.

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3. FORD TRANSIT CUSTOMBien que le Ford Transit Custom n’ait pas changé d’un iota, il convient d’isoler une nouveauté importante. Le Transit Custom sera dorénavant motorisé par un bloc 2,0 litres EcoBlue turbo diesel segmenté en trois niveaux de puissance (105, 130 et 170 ch), qui consomme en moyenne 13 % de carburant en moins que le 2,2 l sortant. Les intervalles d’entretien ont également été allongés, jusqu’à deux ans ou 60.000 km.

4. FORD TRANSITHistoire similaire pour le grand Ford Transit qui, comme son petit frère, fait usage du moteur 2,0 l EcoBlue de 105, 130 et 170 ch. Malgré la course réduite, en comparaison avec le 2,2 litres TDCi, la puissance et le couple ont augmenté respecti-vement de 5 ch/50 Nm, 5 ch/35 Nm et 15 ch/20 Nm. Dans le même temps, la consommation de diesel et les émissions ont été réduites de 10 %.

Le Transit dispose de nouveaux assistants à la conduite parmi lesquels l’adaptive cruise control, un système de détection des piétons et la reconnaissance des panneaux. Le contrôle de stabi-lité électronique est doublé par un système de contrôle de sta-bilité par vent latéral et un anti-cisaillement pour les remorques.

5. MERCEDES-BENZ SPRINTERAvec 194.200 véhicules vendus, 2015 fut une année historique pour le Sprinter, ne fut-ce que pour son 20e anniversaire. Cette année, le Sprinter subit un certain nombre d’adaptations, dont l’élargissement de sa MMA à 5,5 tonnes. Grâce à cela, le Sprinter - en configuration camionnette - dispose d’une capacité de charge jusqu’à 2,95 tonnes, alors qu’en châssis cabine, la charge peut atteindre 3,41 tonnes.

6. NISSAN NV300 Contrairement à ses cousins (Renault Trafic et Opel Vivaro), le

Nissan Primastar n’a pas été renouvelé en 2014. Reculer pour mieux sauter, sans doute. Car avec le NV300, Nissan a mainte-nant une succession apte au service. Le NV300 sera bientôt disponible en deux longueurs et deux hauteurs. Pour la motori-sation, Nissan fait appel au 1.6 dCi avec simple et double turbo, qui – selon la version – développe de 90 à 140 ch. Tous les ache-teurs d’utilitaires légers Nissan en Europe profiteront à l’achat d’un NV300 de 5 années de garantie, ou 160.000 km.

7. VOLKSWAGEN TRANSPORTER A peine renouvelé, le Volkswagen Transporter a été honoré du titre d’International Van of the Year. Le modèle culte en est entre-temps arrivé à sa sixième génération, et est livrable en camionnette, châssis cabine, combi et pick-up. Au catalogue, on retrouve deux empattements et trois hauteurs de toit. Grâce à cela, il reste le champion de sa catégorie en matière de volume de charge (jusqu’à 9,3 m³). La gamme de motorisations a été profondément revue, avec dorénavant six variantes : deux moteurs TSI, mais surtout quatre TDI de dernière génération avec 84, 102, 150 et 240 ch (biturbo). Ils sont accouplés à des boîtes manuelles à 5 et 6 rapports, où à la boîte automatique DSG-7 à double embrayage.

8. VOLKSWAGEN CRAFTERL’union utilitaire entre Volkswagen et Mercedes en étant arrivé à son terme, VW écrit (avec sa marque sœur, spécialiste des poids lourds, MAN) une toute nouvelle histoire. Le nouveau Crafter n’est donc plus un Sprinter rebaptisé, mais un produit entière-ment développé en interne et devant être construit dans une nouvelle usine polonaise, à Poznan. Le Volkswagen Crafter va (comme l’identique MAN TGE) arriver sur le marché en trois lon-gueurs différentes, avec autant de hauteurs différentes et quatre motorisations, dont les puissances s’échelonnent de 102 à 177 ch. Enfin, nous ajoutons que le nouveau Crafter – contrairement à son prédécesseur – sera disponible en traction ou propulsion.

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Pick-ups1. FIAT FULLBACKLe Fiat Fullback, sosie italien du Mitsubishi L200, arrive sur le marché en tant que single cab, extended cab et double cab. Tous les modèles disposent du même empattement (3 mètres). Seule la longueur totale les différencient. Avec ses 5,15 mètres, la single cab est la plus courte, la plus longue étant la version double cab comptant 5,28 mètres. Chez nous, le Fullback sera proposé avec le moteur 2,4 litres turbo diesel de 150 ou 180 ch. Toutes les motorisations sont accouplées en série à une boîte manuelle à six rapports, alors qu’en option, les Fullback peuvent également être équipés d’une boîte automatique à cinq rapports. La charge maximale atteint 1.100 kg.

2. FORD RANGERAvec une belle avance, le Ford Ranger est le pick-up qui se vend le mieux en Belgique. Le rapport favorable entre les prestations et les taxes du 3.2 TDCi de 200 ch y est décisif, même si c’est loin d’être tout. La benne de 1,55 mètres de long du Ranger peut sup-porter une charge de 1.260 kg, alors que le crochet d’attelage est encore capable de tracter 3,5 tonnes. Le comportement est par-ticulièrement dynamique pour un pick-up, et l’équipement parti-culièrement luxueux. Un certain nombre d’assistants à la conduite apparaissent également à l’horizon : l’adaptive cruise control avec assistant au freinage, l’assistant au maintien de voie, la reconnais-sance des panneaux de signalisation…

3. NISSAN NAVARALe Nissan Navara est un classique du genre. Le détenteur de l’Inter-national Pick-Up of the Year 2016 élargit son éventail avec une ver-sion King Cab renforçant les rangs de la Double Cab. Le volume de charge de cette star du segment compte 1.788 mm en longueur, en combinaison avec une charge utile de 1.136 kg et un potentiel trac-table de 3,5 tonnes. Sous le capot du Navara King Cab, on retrouve un 2.3 dCi de 160 ou 190 ch accouplé à une boîte manuelle à six rapports, se satisfaisant de 6,3 à 6,4 l/100 km.

4. RENAULT ALASKANRenault a maintenant levé le voile sur son Alaskan, le tout premier pick-up du constructeur français. Pour profiter du succès de ce marché lucratif des pick-ups, Renault est allé frapper à la porte de son partenaire Nissan, toujours une référence en la matière. Vous le sentez venir ? Exactement, cette Renault Alaskan n’est ni plus ni moins qu’un Navara NP300 naturalisé Français. Tout comme son frère japonais, l’Alaskan débarque sur le marché dans différentes exécutions, avec simple ou double cabine. Sous le capot, se cache le bien connu 2,3 l biturbo diesel de 160 ou 190 ch, à accoupler à une boîte manuelle à six rapports ou à une boîte automatique à sept rapports. La charge utile atteint une tonne, alors que l’Alaskan peut tracter jusqu’à 3,5 tonnes.

5. TOYOTA HILUXLors des 48 (!) dernières années, Toyota a déjà écoulé 16 millions d’exemplaires de son légendaire Hilux. Les Japonais veulent pro-longer ce succès avec une nouvelle génération, dévoilée à Genève plutôt dans l’année. Le nouvel Hilux reçoit trois variantes de carros-serie, toutes basées sur un nouveau châssis échelle et une évolution du moteur 2.4D-4D : châssis cabine, simple cabine et Xtra cabine. Le D4-D développe 150 ch et 400 Nm entre 1600 et 2000 t/min. Il peut être accouplé à une boîte manuelle à six rapports ou à une boîte six automatique pour les versions à transmission inté-grale. Le Hilux propulsion peut uniquement être équipé de la boîte manuelle. Toyota introduit par ailleurs un certain nombre d’assis-tants à la conduite jusqu’ici réservés aux véhicules particuliers du constructeur japonais.

6. VOLKSWAGEN AMAROKDepuis peu, le Volkswagen Amarok légèrement rafraîchi dispose d’un V6 3.0 TDI s’ajoutant au 2.0 TDI à quatre cylindres. Le pick-up VW est livrable avec des puissances de 163, 204 et 224 ch, com-binés à 550 Nm de couple. Le V6 est équipé en série d’une boîte manuelle à six rapports et de la boîte automatique à huit rapports figurant parmi les options.

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Hyundai Tucson 1.7 CRDi

Un bestseller TESTIMONIAL

Le Tucson est à la base du succès de Hyundai en Europe. Le qualifier de « challenger » ne rendrait donc pas justice à son statut de bestseller. Notons que ce SUV séduit surtout les particuliers... alors qu’il a tous les atouts requis pour gagner du terrain en fleet. Autant de raisons, pour la rédaction d’Automotions, de soumettre ce modèle à trois personnes test. La question clé : ce Tucson tire-t-il son épingle du jeu par rapport à d’autres modèles populaires du même segment ? Est-ce un bon choix alternatif pour ceux qui veulent sortir des sentiers battus ? Découvrez le verdict de notre panel !

qui a de l’allure

SASKIA BUNTINXVikingCO

Notre première participante au test, Saskia Buntinx, ne dis-pose pas d’une voiture de société. Elle partage le véhicule familial avec son compagnon, qui comme elle, travaille chez VikingCO, société de télécommunications. En tant que res-ponsable du « Creative Lab », Saskia est plus qu’intéressée par les nouveautés technologiques. Notre voiture d’essai répond-elle à ses exigences sur ce point ?

« Bien que cette Hyundai ne soit pas du tout tape-à-l’œil à l’intérieur – ce que j’aurais détesté –, il regorge de gadgets technologiques. Or, la connectivité est essentielle pour moi, tant pour mon travail que dans ma vie privée. Mon téléphone doit être parfaitement compatible avec mon véhicule. Et c’était le cas avec cette voiture d’essai. Il y avait même du WiFi ! », lance-t-elle, ravie.

Et l’enthousiasme de Saskia ne faiblit pas lorsqu’elle évoque d’autres aspects du Tucson. « Cette voiture a l’air robuste, ce qui me plaît. C’est aussi un vrai bonheur d’avoir autant de place. Voyez-vous, notre voiture, une Volvo C30 trois portes, n’est pas très pratique avec un enfant en bas âge. En plus, c’est toujours un casse-tête pour parvenir à ranger toutes les courses. C’était loin d’être le cas avec ce Tucson. »

Nom :

Extérieur 1 2 3 4 5 Intérieur 1 2 3 4 5 Espace 1 2 3 4 5 Position de conduite 1 2 3 4 5 Ergonomie 1 2 3 4 5 Technologie 1 2 3 4 5 Confort de conduite 1 2 3 4 5 Consommation 1 2 3 4 5 Tenue de route 1 2 3 4 5 Boite de vitesses / automatique 1 2 3 4 5 Puissance 1 2 3 4 5

Checklist Testimonials

« Grâce à ce Tucson,

ranger mes sacs à

provisions n’est plus

un casse-tête ! »

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BEN MEESAuto1.com

La personne suivante à avoir testé le Tucson s’appelle Ben Mees. Il est account manager chez auto1.com, une entreprise vendant des véhi-cules d’occasion à d’autres entreprises. Chaque année, Ben parcourt près de 30 000 kilomètres au volant de sa voiture de société : une BMW 325d Touring. Un tout autre calibre que notre voiture d’essai, donc. Mais Ben a volontiers mis de côté son fidèle compagnon pour soumettre le Tucson à un examen approfondi.

« Ma fonction me donne l’occasion de rouler avec plusieurs marques et modèles différents. C’est d’ailleurs devenu une passion. C’est donc avec grand plaisir que j’ai relevé le défi. Si le Tucson a répondu à mes attentes ? Oh que oui ! J’aime beaucoup son look. Surtout sa face avant, qui lui confère un air américain. Je trouve l’intérieur un peu vieillot. Mais la pro-fusion de gadgets technologiques chasse rapidement cette première impression. Par contre, était-ce vraiment nécessaire, par exemple, d’in-tégrer une boussole dans le rétroviseur ? Aux États-Unis, peut-être. Mais en Europe, ce genre de gadget s’avère plutôt inutile. Notez que c’est le seul point négatif auquel je pense spontanément pour ce Tucson. Il est très agréable à conduire, même si bien sûr, un moteur 1.7 l dans une voiture aussi lourde a ses limites. Mais il en va de même pour d’autres modèles appartenant à la même catégorie. Son gros atout : son excel-lente tenue de route. La conception du châssis est idéale et cela se sent tout de suite. La voiture tient très bien la route. Elle offre en outre une suspension de qualité. Bref, ce Tucson n’a rien à envier à ses concurrents. Ce fut un réel plaisir de l’essayer quelques jours. Plus que cela, même ! »

Nom :

Extérieur 1 2 3 4 5 Intérieur 1 2 3 4 5 Espace 1 2 3 4 5 Position de conduite 1 2 3 4 5 Ergonomie 1 2 3 4 5 Technologie 1 2 3 4 5 Confort de conduite 1 2 3 4 5 Consommation 1 2 3 4 5 Tenue de route 1 2 3 4 5 Boite de vitesses / automatique 1 2 3 4 5 Puissance 1 2 3 4 5

Checklist Testimonials

« Ce Tucson n’a

rien à envier à ses

concurrents »

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« Le nouveau Tucson est un parfait exemple de ce qui caractérise Hyundai : un look fédérateur, des technologies modernes et respectueuses de l’environnement, un rap-port qualité-prix-équipement sans précédent et 5 ans de garantie. Chacun trouvera son bonheur grâce à ses nom-breuses configurations et à ses différents types de propul-sion, dont la dernière nouveauté : un diesel 1.7 l associé à une transmission automatique robotisée à sept rapports et double embrayage. Une variante qui allie à merveille plaisir de conduite et facilité d’utilisation, le tout avec 141 ch.

J’ajouterai enfin que le Tucson se distingue par un coût total de propriété (TCO) très favorable et des conditions com-merciales intéressantes en cas d’usage professionnel. Tous ces aspects font du Tucson un modèle très séduisant. Je ne peux que recommander à chacun de planifier rapidement un parcours d’essai chez l’un des concessionnaires Hyundai de notre vaste réseau. Cela ne vous surprendra sûrement pas d’apprendre que le Tucson est le modèle fleet que nous vendons le plus. »

YVAN VLAMINCKX Fast Lines Belgium

Yvan Vlaminckx, General Manager de Fast Lines Belgium, une société anversoise de transport terrestre et maritime, fut le dernier à prendre le volant de notre voiture d’essai. L’espace de quelques jours, il a troqué sa voiture de société, une Lexus RX400h avec laquelle il parcourt environ 7 000 kilomètres par an, contre le Hyundai Tucson et s’est déclaré ravi de sa polyvalence.

« Ce qui frappe tout de suite, c’est l’apparence caractéristique de cette voiture. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a du caractère. Son intérieur est très bien aussi, même si ce n’est rien comparé à la Lexus avec laquelle je roule d’habitude, mais c’est tout à fait normal. À l’intérieur, il y a bien assez de place pour cinq personnes (conducteur y compris) et leurs bagages. C’est donc clairement une voiture spacieuse. »Yvan ne s’est pas risqué à découvrir les gadgets technolo-giques. Il ne peut donc pas s’exprimer sur ce point. Ce qui l’a particulièrement frappé ? Le confort de conduite du véhicule. « Ce Tucson est très polyvalent en termes de style de conduite. Naturellement, je n’ai pas roulé trop vite. Mais j’ai tout de suite pu constater qu’il offre une excellente tenue de route. À vrai dire, j’ai été ravi de mon parcours d’essai. Le seul bémol auquel je pense : le fait que j’étais assis assez bas. Mais bien entendu, c’était peut-être bêtement lié au réglage de mon siège... »

JEAN-MARC VERTROOST – FLEETMANAGER HYUNDAI

TESTIMONIAL

« Ce Tucson est

très polyvalent ! » Nom :

Extérieur 1 2 3 4 5 Intérieur 1 2 3 4 5 Espace 1 2 3 4 5 Position de conduite 1 2 3 4 5 Ergonomie 1 2 3 4 5 Technologie 1 2 3 4 5 Confort de conduite 1 2 3 4 5 Consommation 1 2 3 4 5 Tenue de route 1 2 3 4 5 Boite de vitesses / automatique 1 2 3 4 5 Puissance 1 2 3 4 5

Checklist Testimonials

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AUTO

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Voiture autonome : la donne change !

Nous connaissons tous la Google Car qui, entre-temps, a déjà par-couru des millions de kilomètres en toute autonomie. D’autres technologies semi-autonomes nous sont également familières, comme le régulateur de vitesse (cruise control) assisté par radar, les assistants au trafic de tout poil, les aides au stationnement, le freinage automatique, le contrôle de maintien de voie, sans oublier la Tesla Model S, qui effectue des manœuvres de dépassement automatique. Toutes constituent les pièces d’un puzzle conduisant à une voiture entièrement autonome. A bien analyser le marché, nous pouvons affirmer que de nombreuses marques ont déjà une auto « prête pour l’autonomie ». Actuellement, cette tech-nologie est déjà pleinement effective… aussi longtemps que le chauffeur reste maître à bord. La législation dans tous les pays de l’UE – et à l’extérieur aussi – est claire : le conducteur est respon-sable de son véhicule. Le changement de cette donnée aura un impact colossal sur le secteur.

LA RESPONSABILITÉ GLISSE VERS LE CONSTRUCTEURUne fois la législation adaptée, lorsque le chauffeur sera autorisé à « céder le volant », de nombreux changements touche-ront les constructeurs automobiles. En effet, lorsqu’un problème surviendra, la responsabilité pourra être rejetée non pas sur le conducteur, mais sur le constructeur, le fournisseur du logiciel, voire même sur le gestionnaire de réseau. En effet, on peut postuler qu’à l’avenir, l’in-frastructure routière sera intelligente et connectée aux automobiles. La question de la responsabilité deviendra dès lors un facteur crucial lors de l’introduction à grande échelle de véhicules entière-ment autonomes. Il est très probable qu’il incombe au conducteur de prouver la responsabilité du constructeur en cas de défaillance

technique. Toutes sortes de systèmes de monitoring – provenant de tiers ou non – pourront jouer un rôle

décisif à cet égard.

ATTENTION AUX PIRATES !Au-delà de la problématique du report de responsabilité, de nouveaux risques vont faire leur apparition. Sachant que la voiture communiquera avec l’infrastruc-ture environnante, les connections entre ces systèmes intelligents engendrent des cyber-risques. Les responsables de

l’infrastructure s’exposeront à d’autres risques en cas de transfert d’informations

erronées, dues à une défaillance logicielle ou à un piratage. Les voitures connectées

elles-mêmes sont vulnérables face au « hacking ». Récemment encore, une enquête faisait apparaître que les

clefs de pas moins de 100 millions d’autos étaient facilement « piratables ». Si le logiciel influençant la conduite du véhicule devait

Les voitures en mesure de circuler de manière totalement au-tonome ne sillonnent pas encore nos routes. De nombreuses sont toutefois déjà prêtes à l’autonomie, grâce aux diverses tech-nologies leur permettant de se déplacer de facto (quasiment) seules. L’introduction de la voiture entièrement autonome dans la circulation aura cependant d’importantes conséquences… immanquablement en termes de responsabilité et d’assurance.

La voiture autonome

pose de nouveaux défis

au secteur de l’assurance,

c’est évident !

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tomber entre des mains malveillantes… les réclamations en dom-mages et intérêts pourraient devenir incalculables.

OBLIGATION DE FORMATION POUR LE SECTEUR AUTOMOBILEL’introduction en masse d’équipements de sécurité sur les voi-tures autonomes implique le renforcement de la formation des conducteurs, non seulement de la part du constructeur, mais aussi des concessionnaires. En effet, les conducteurs doivent être suffisamment accoutumés au fonctionnement de ces dispositifs de sécurité capables de prendre le contrôle des fonctions de conduite. Par ailleurs, il se peut que le profil de risques de nos véhi-cules évolue au fil du temps de manière discrète mais très signifi-cative pour l’assureur. C’est le cas lors d’une mise à jour logicielle à distance, destinée à doter le véhicule de nouvelles fonctions d’as-sistance à la conduite. L’exemple le plus récent provient de la Tesla qui, par une simple mise à jour logicielle, a intégré une fonction de dépassement automatique sur sa Model S.L’arrivée de nouveaux équipements de sécurité et de dispositifs technologiques accroît par ailleurs le risque de rappels possibles pour les constructeurs et les sous-traitants. Une petite erreur de production au niveau des logiciels de gestion des radars, cap-teurs ou caméras pourrait en effet entraîner un rappel à l’échelle mondiale.

VERS DE NOUVELLES FORMULES D’ASSURANCELa voiture autonome pose de nouveaux défis au secteur de l’assurance, c’est évident ! Conséquences : de nouvelles formes d’assurance devront voir le jour. En effet, les conducteurs deve-nant passagers, ils doivent donc aussi disposer d’une assurance passagers pour être dédommagés en cas d’accident provoqué par un matériel et/ou logiciel défectueux. Le glissement de la respon-sabilité dans la chaîne de mobilité modifie le profil de risque de diverses entreprises. C’est le cas des entreprises technologiques, dont la responsabilité peut être engagée en cas d’accident, ou pour lesquelles le risque de rappel augmente. Malgré tout, il s’agit surtout d’une bonne nouvelle pour le chauffeur devenu passager. Toutes les enquêtes font apparaître que la voiture autonome fera baisser drastiquement le nombre d’accidents. Moins de morts et de blessés sur les routes donc, et aussi des statistiques de sinistra-lité subitement beaucoup plus réjouissantes pour les flottes d’en-treprise. La technologie au service de l’Homme, comme il se doit...

LE PRINCIPAL OBSTACLE :

L’HOMME

Le principal obstacle à la voiture autonome n’est – assez éton-nement – pas de nature technique, mais se rapporte au facteur humain. Le scénario idéal serait que toutes les autos sur la route roulent de façon autonome, communiquant entre elles, ainsi qu’ avec l’infrastructure routière intelligente. Ce scénario semble toutefois se situer bien au-delà de 2025, voire 10 ans plus tard, car – et c’est ce que nous entendons chez tous les construc-teurs – le conducteur humain se déplaçant dans un flux de voitures autonomes mènerait tout droit au désastre. C’est le facteur imprévisible par excellence qui désoriente les véhicules autonomes. Ces derniers sont bien plus attentifs et logiques que n’importe quel conducteur humain. Ils sont dès lors aussi bien plus sûrs, car ils ne connaissent pas la fatigue et ne se laissent pas distraire. La seule difficulté qu’ils rencontrent réside dans les éléments « irrationnels »… comme l’être humain.

QUAND ?

Les constructeurs automobiles sont déjà très avancés en matière de conduite autonome. Pourtant, les prévisions pour l’introduction sur le marché divergent grandement. Ainsi, Stefan Moser, Head of Product and Technology Communications d’Au-di, annonce que la prochaine génération de l’Audi A8, qui sera introduite en 2017, pourra rouler de façon tout à fait autonome. L’horizon, chez Tesla, est un peu plus éloigné. Le constructeur mise sur 2023, et compte encore deux à trois ans pour une adapta-tion de la législation. Jaguar Land Rover et Mercedes-Benz sont sur la même ligne et misent aussi sur 2024-2025. Ford, de son côté, a encore annoncé récemment qu’il commercialisera un modèle entièrement autonome d’ici cinq ans. Sans volant, nota bene. Ce faisant, la marque semble ne pas miser tellement sur le marché des particuliers, mais sur celui de la mobilité : une sorte de navette roulant de manière autonome. Un choix étonnant, car la plupart des marques empruntent la piste de la voiture autonome, dans laquelle le chauffeur peut encore prendre le volant s’il le souhaite.

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citroen.be

Y F Y

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E-Car 333 L’e-mobilité et sa règle de trois à la Belge

Le père de Xavier Van der Stappen était dingue de technologie automobile. Ingénieur de formation et commandant de bord à la Sabena, il s’amusait à refaire des voitures à partir de carcasses. « Dès mon plus jeune âge, je l’ai aidé dans sa passion », se sou-vient le quinquagénaire originaire de Bruxelles.

Xavier s’oriente vers l’ethnographie qui l’amènera à vivre une vingtaine d’années en Afrique. « J’y ai beaucoup travaillé sur la relation entre l’homme et l’environnement. C’est là que j’ai ouvert les yeux sur notre dépendance à certaines ressources naturelles, notamment le pétrole. Il est stupide de brûler du pétrole comme on le fait. Dans certains pays africains, ils pro-duisent l’électricité à partir de cet or noir. Or, les coupures sont fréquentes. Ils n’ont donc aucun problème à s’équiper et à pen-ser aux énergies alternatives, notamment en termes de mobi-lité. Le problème, c’est qu’aujourd’hui, ils roulent avec des voi-tures de deuxième ou troisième main que nous leur expédions. Et pour nous, il n’y a aucune raison que ça change : leur donner accès aux composants automobiles reviendraient à leur ouvrir la porte à une production bien moins chère… »

VISION « LOCALE »Toujours dans le cadre de son métier, Xavier Van der Stappen monte des expositions sur les changements climatiques et les nouvelles technologies. « De fil en aiguille, pour illustrer ces expositions, je me suis amusé à développer quelques proto-types de véhicules électriques », raconte l’intéressé. « En 2009, j’ai relié Bruxelles à Dakar à l’aide d’un prototype électrique de 60 kilos pour 200 km d’autonomie à 50 km/h. Un an plus tard, je partais de Copenhague, direction Cape Town, avec un proto de 80 kilos affichant une autonomie de 400 km pour une vitesse de pointe de 110 km/h. »

Le Bruxellois aurait pu le passer le reste de sa vie à confec-tionner des prototypes en forme de gros suppositoires. Mais il est plus ambitieux que cela. « J’ai voulu participer davantage à l’avancée du projet d’e-mobilité, en respectant une logique : produire localement un véhicule propre avec des ressources locales, pour un marché local. » C’est le point de départ du projet qui donnera naissance à l’E-Car 333, un modèle 100 % électrique et, surtout, 100 % belge.

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DE L’I-CARE À L’E-CAREn 2010, le célèbre architecte et designer belge, Pierre Lallemand, dessine un premier véhicule urbain, notamment avec des portes-papillons. Séduisant, ce dessin s’est avéré être tech-niquement trop ambitieux. « Nous avons quand même assem-blé un véhicule en 2012. Son nom : I-Care Racing. Il a roulé 40.000 km sur le circuit de Zolder pour valider certains choix techniques. » C’est notamment le même moteur et le même régulateur de batterie qui est utilisé aujourd’hui pour l’E-Car, dont la maquette grandeur nature a été présentée en janvier 2015 au Salon Dream Cars.

A partir de là, tout s’est enchaîné très vite. « Nous avons créé la société ‘ECAR Belgian Green Vehicle’ en mars et trouvé les investisseurs (belges) en mai. Et aujourd’hui, tout le monde se retrousse les manches pour être prêt à présenter trois modèles au Salon de Bruxelles, en janvier prochain. Il s’agira en réalité de trois premières mondiales, sur un châssis unique : l’E-Car 333 dans sa version définitive, une version roadster de luxe avec une autonomie de 300 km et intérieur cuir ainsi qu’une version cargo, puisqu’il s’agit d’un Salon du Véhicule utilitaire. »

DITES « 333 » !On comprend aisément le choix du nom E-Car. « Le véhicule électrique peut être utile à partir du moment où on le considère comme un outil de stockage d’électricité surproduite la nuit et dont on ne fait rien. Les centrales électriques et les éoliennes ne s’arrêtent pas la nuit. Et on ne sait pas revendre cette production. On est sur une logique de 2,5 heures de charge sur n’importe quelle prise conventionnelle pour une autonomie de 100 km. »

Mais pourquoi 333 ? La réponse est simple : jusqu’à 300 km d’autonomie, 3 roues pour plus d’efficacité énergétique et de stabilité et 3 places, même si l’E-Car est désormais déclinable en buggy et roadster 2 places, mais aussi en 4 places pour un usage familial.

La carrosserie de l’E-Car 333 est en partie composée de lin stratifié. Le châssis est en acier recyclé et le tableau de bord technique en plastique de récupération. « Nous avons développé nous-mêmes notre propre circuit électronique, ce qui nous permettra dans un avenir très proche d’envisager des systèmes de sécurité propres (système anti-endormissement, gestion des distances avec le véhicule avant et arrière, etc.). »

Avec ce véhicule, la société cogérée par Xavier Van der Stappen et Thierry Deflandre (bien connu pour avoir dirigé, notamment, le circuit de Zolder) vise en priorité les flottes de collectivités et des entreprises, ainsi que les sociétés de leasing. « Celles-ci sont souvent prudentes par rapport aux batteries. Nous avons la solution : notre fournisseur de batteries dispose d’un plan de deuxième vie pour ces batteries, puisqu’il est aussi actif dans le panneau photovoltaïque notamment. Nous pourrons donc louer les batteries, réduisant ainsi le prix de vente pour arriver au tarif d’une petite citadine. »

En 2017, ECAR Belgian Green Vehicle espère vendre une cin-quantaine d’exemplaires de son modèle. A découvrir, donc, en janvier prochain, à Brussels Expo !

Toute l’équipe d’E-Car se retrousse les manches pour être prêt à présenter trois

modèles au Salon de Bruxelles, en janvier prochain.

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« Croître en comprimant les prix et en garantissant le meilleur service »

Eric Berkhof, patron du Groupe Van Mossel Automotive, sur les 20 ans de J&T Autolease

INTERVIEW

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Merci de nous consacrer quelques minutes, monsieur Berkhof. Commençons par un bref retour en arrière. Qu’est-ce qui a le plus changé pour J&T Autolease pendant ces 20 ans ? « J&T Autolease Belgique a été créée à la demande spéci-fique d’un client qui faisait déjà confiance à J&T Autoloease Nederland pour la gestion de sa flotte qui était exclusivement composée de voitures Opel. Et pour cause, la société de lea-sing a été créée dans les garage Opel Vullings, chers à Joop et Theo Vullings. D’où le nom J&T. Aux débuts de J&T Autolease en Belgique, seules des Opels étaient proposées en leasing. Ce n’est que plus tard que la société s’est orientée vers une offre multimarque. J&T Autolease fait par tie de la holding International Car Lease, dont c’est le fleuron. Si vous analy-sez un peu la branche, vous verrez que les sociétés de leasing jouent de plus en plus un rôle de banquier. Jadis, les banques offraient des solutions globales. On s’adressait à elles pour un crédit hypothécaire, un fonds de roulement professionnel ou le financement d’outils de travail, comme une voiture. Mais ce n’est plus leur cheval de bataille. Quelques banques se sont bien essayées au leasing, mais ont entretemps abandonné cette activité. Ou alors, ils ne l’ont plus qu’en vitrine. Ce n’est pas leur univers. En revanche, les socié-tés qui se sont lancées dans le leasing de façon professionnelle et qui assument en quelque sorte le rôle de la banque ont de belles perspectives devant elles. C’est le cas de J&T Autolease. »

Aviez-vous imaginé une telle croissance à l’époque ? « Non. Avant que J&T Autolease n’intègre la holding International Car Lease, nous avons crû fortement, mais cela s’est fait progressivement. Le véritable essor n’a commencé qu’il y a quelques années, notamment avec notre collègue Ben Mandemakers. J’ai toujours été convaincu qu’il fallait pouvoir proposer une offre totale et rester à la disposition des clients à long terme. Devenir le numéro un, comme nous le sommes actuellement avec plusieurs marques aux Pays-Bas, n’a jamais été notre finalité. Notre objectif, c’est d’être le meilleur pour-voyeur de mobilité aux Pays-Bas, en Belgique et en Allemagne. Aux Pays-Bas, c’est chose faite. Dans les deux autres pays, pas encore. Mais nous y travaillons. »

Vous êtes très clairement le visage du groupe Van Mossel Automotive. Est-ce pour souligner le caractère familial de l’entreprise ?« Nous avons effectivement opté pour une plus grande person-nalisation de l’entreprise. Nous voulions souligner qu’il s’agissait

d’une véritable entreprise familiale. On me demande parfois si ma forte présence ne nous rend pas plus vulnérables. De par notre croissance, nous possédons actuellement huit dépar-tements, avec vingt-huit cadres dirigeants et une équipe de collaborateurs très efficaces répartis dans les différents pays. Ces derniers temps, je joue de plus en plus le rôle de coach et de gardien de la culture d’entreprise. Il importe que nous ayons des personnes compétentes à la barre pour assurer l’ave-nir de l’entreprise. Et il n’est pas impossible que d’ici quelques années, je sois rejoint par un autre Berkhof, mon fils. Il termine ses études. Après quoi, je lui conseille de faire ses classes dans d’autres compagnies. Et s’il est compétent, il aura sa place ici. »

Une dernière question, qui n’a rien à voir avec l’automobile. Vous êtes un passionné d’équitation. Votre agenda profes-sionnel surchargé vous laisse-t-il le temps de vous adonner à cette passion ?

« C’est aussi une véritable entreprise, qui ne cesse de croître. Malheureusement, j’ai de moins en moins

de temps à y consacrer. La société automobile exige beaucoup de moi. Mais pour les che-vaux, c’est la même chose qu’au sein du Groupe Van Mossel Automotive : nous sommes épaulés par des gens formidables qui abattent un excellent travail. Grâce à eux, et malgré la charge professionnelle, je peux parfois m’échapper le dimanche et

m’occuper des chevaux. L’occasion de refaire le plein d’énergie pour la semaine. »

Notre objectif,

c’est d’être le meilleur

pourvoyeur de mobilité

aux Pays-Bas, en Belgique

et en Allemagne.

L’édition précédente d’Automotions était entièrement inscrite sous le signe des 20 ans d’existence de J&T Autolease en Belgique. Dans cette édition, la rédaction d’Automotions évoque l’évolution de la société de leasing avec Eric Berkhof, le patron du groupe Van Mossel Automotive, qui a racheté J&T Autolease il y a quelques années. Depuis cette acquisition, le Groupe Van Mossel Automotive et International Car Lease Holding connaissent un essor impressionnant.

© photos : Joost Duppen

Eric Berkhof: « Ces derniers temps, je joue de plus en plus le rôle de coach et de gardien de la culture d’entreprise. »

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En 1972, une multinationale sud-africaine ayant une succursale dans notre pays sous le nom de Barloworld Handling nv voit le jour. Une bonne quarantaine d’années plus tard (plus précisément en 2013), Eric Maertens prend les rênes en rachetant le siège belge avec quatre autres managers. Afin de se distinguer de leurs origines, ils rebaptisent la société B-Close.

B-CloseD’une multinationale africaine à une entreprise 100% belge

C LIENT SOUS LA LOUPE

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Il ressort vite de notre discussion avec Eric Maertens, Managing Director de B-Close, que ce nom n’est pas le fruit du hasard : « B-Close a plusieurs significations. Tout d’abord, nous vou-lions souligner le fait que nous sommes une entreprise 100% belge. C’est pourquoi nous avons choisi, par analogie avec bpost, le préfixe ‘B’. Ensuite, le mot anglais ‘Close’ a un double sens. D’une part, c’est une abréviation de ‘Customised Logistic Services & Equipment’, qui décrivent parfaitement les activi-tés de notre entreprise. D’autre par t, ce mot fait référence à notre aspiration stratégique à être proche de nos clients. »

Les activités de B-Close se concentrent avant tout sur les chariots élévateurs à fourche. La société est notamment le distributeur exclusif des engins de magasinage, des chariots élévateurs et des porte-conteneurs Hyster en Belgique. Grâce au programme de livraison le plus vaste du marché, un réseau de service et d’assistance à l’échelle nationale, B-Close et ses 165 collaborateurs proposent des solutions permettant de répondre à de nombreux défis dans le domaine du traitement de marchandises. Outre son siège à Bruxelles, elle a une suc-cursale à Harelbeke et à Anvers afin de desservir les quatre coins du pays.

J&T AUTOLEASE FOURNIT 90% DU PARC AUTOMOBILEPour assister chaque client le mieux possible, la majorité des collaborateurs de B-Close dispose d’une voiture de société. « Notre parc automobile est majoritairement composé de camionnettes qui peuvent facilement contenir les outils dont nos techniciens ont besoin pour servir le client », explique Eric Maertens. « Pour ces véhicules, nous avons un contrat direct avec l’importateur belge de Mercedes-Benz. Mais pour le reste de notre flotte, nous faisons appel aux services de J&T Autolease. »

Le début de la collaboration avec J&T Autolease remonte à 2012, alors que l’entreprise faisait toujours partie du groupe Barloworld. « Après la reprise, nous avons bien évidem-ment poursuivi la collaboration avec J&T Autolease. Celle-ci a débuté par quelques véhicules et concerne aujourd’hui la quasi-totalité de notre parc automobile, à l’exception des camionnettes Mercedes-Benz. J&T Autolease le doit bien évi-demment à son excellent service. Et ce que nous apprécions par ticulièrement, c’est le fait que nos entreprises par tagent

de nombreuses similitudes. Nous sommes toutes les deux des prestataires de services spécialisés dans la location de véhicules, mais chacune dans notre secteur. Et pour B-Close comme pour J&T Autolease, une approche personnalisée pour chaque client constitue la principale priorité. »

La part du parc roulant sous le pavillon de J&T Autolease est double. D’une part, il y a toutes les voitures particulières mises à la disposition de certains collaborateurs de B-Close. D’autre par t, la flotte recèle également quelque Mia électriques (cf. encadré). « Pour les voitures par ticulières, nous avons opté pour les marques BMW, Mercedes-Benz, le groupe Volkswagen-Audi et Volvo, bien que nous n’ayons qu’un seul exemplaire de cette dernière. Le choix pour ces constructeurs n’est pas un hasard. Une marque qui propose des chariots élévateurs dans sa gamme est bien entendu exclue par définition. De plus, le choix pour des marques premium est naturellement bien étudié. Nous voulons que notre société dégage une image d’excellence. La fiabilité de nos voitures de société s’avère donc essentielle. Nos commerciaux doivent pouvoir se rendre chez leurs clients sans rencontrer le moindre problème. »

Les employés de B-Close sont libres de choisir le modèle parmi ces marques. Et ce n’est pas sans raison, selon Eric Maertens. « Généralement, nos collaborateurs qui disposent d’une voiture de société passent beaucoup de temps sur la route. Nous souhaitons donc qu’ils s’y sentent bien. Si l’un aime rouler en SUV, nous voulons lui offrir cette possibilité. L’attribution d’un véhicule est uniquement soumise à deux restrictions : un taux d’émission de CO2 de 145 g maximum et un budget déterminé par catégorie. » Heureusement, grâce à l’actuelle politique de downsizing, les cinq marques proposées par B-Close offrent l’embarras du choix aux collaborateurs…

DES MIA ÉLECTRIQUES CHEZ B-CLOSE

Étant donné que B-Close se soucie énormément de la durabilité, l’entreprise a décidé d’intégrer des camionnettes électriques dans son parc. Il s’agit de six Mia électriques. Ce faisant, B-Close confirme ses valeurs écologiques et est jusqu’à présent la seule société de son secteur à intégrer des vans électriques dans sa flotte. Les Mia, 100% électriques et donc zéro émission, correspondent parfaite-ment aux valeurs de l’entreprise. Le modèle « utility » que B-Close utilise, est idéal pour transporter du personnel et du matériel. Les vans Mia sont surtout utilisés aujourd’hui à la Câblerie d’Eupen et au port d’Anvers. Leurs dimensions compactes leur permettent de se déplacer aisément sur de grands sites. Les Mia n’émettant pas de gaz d’échappement et étant silencieux, ils sont très appréciés des collaborateurs.

Eric Maertens : « Avec la lettre B, nous voulons mettre l’accent sur la belgitude de l’entreprise. »

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4,3 - 7,2 L/100 KM I 113 - 165 G CO2/KM Informations environnementales (A.R. 19/03/2004) : www.volvocars.be. Visuel présenté à titre d’illustration. *Estimation de la contribution mensuelle nette que

l’employé devra réellement payer pour l’avantage de toute nature sur base du taux d’imposition maximum de 53,5 % (117,13 € pour une Volvo S90 D3 manuelle Kinetic).

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La passion pour l’automobile coule dans les veines de Koen Daelemans. Mécanicien de pro-fession, il aime se consacrer à ses propres voitures en dehors de son temps de travail. Sa préférence va à des exemplaires des années 60 et 70. Et notamment à une Toyota Celica de 1974 en guise de joyau absolu. Automotions plonge avec Koen dans l’histoire de cet ancêtre.

Pour Toyota, l’arrivée de la Celica a marqué un tournant dans l’histoire. Le modèle a installé le constructeur japonais sur la carte mondiale au début des années 70. En fait, ce fut l’un des premiers coupés abordables de l’histoire, l’un de ceux dont la sportivité et la fiabilité étaient associées à des lignes séduisantes. Le design, un clin d’œil à la concur-rence américaine, a eu tôt fait de conquérir les propriétaires de Celica.

UNE PASSION POUR TOYOTAKoen Daelemans n’a pas pu rester de marbre face à ce modèle. « J’ai roulé toute ma vie en Toyota. Ma première voiture fut une Toyota Corolla de 1986, mais je suis rapidement passé à la Celica. A l’époque, les Celica étaient légion en Belgique. J’ai rapidement été convaincu des charmes de ce modèle. C’est par ailleurs le modèle avec lequel Toyota a débuté sa carrière en rallye. Je suis un grand amateur de rallye, mais c’est une disci-pline très coûteuse. Pour y prendre part, il faut des sponsors pour vous soutenir, ce que je n’aurais jamais eu. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de doter ma Celica d’un équipement rallye. »Il y a 15 ans, Koen est tombé sur une Celica de 1974. « A l’origine, elle était vert foncé avec un intérieur beige, mais le propriétaire de l’époque l’avait fait repeindre en rouge éclatant. Un projet qui – comme très souvent – n’avais jamais été achevé. J’ai donc acheté ma Celica dans des caisses, à la suite de quoi, je me suis mis à ce puzzle compliqué, pour tout réassembler. Mon expérience de mécanicien m’a évidemment beaucoup aidé. » (Rires)

Passion pour un chef d’œuvre oriental

« J’ai roulé toute ma vie

en Toyota. Ma première

voiture fut une Toyota

Corolla de 1986. »

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RETROMOTIONS

TRANSFORMATION « RALLYE »Initialement, Koen a utilisé toutes les pièces d’origine de la Celica, mais n’était pas entiè-rement satisfait du résultat. « Cela ne correspondait pas à ce que j’aimais. C’est alors que m’est venue l’idée de l’équipement rallye, avec des sièges baquets, un arceau et un moteur boosté. Pour cela, il fallait que je trouve une voiture donneuse. J’ai trouvé une Toyota Corolla coupé dont j’ai démonté la mécanique pour l’installer dans ma Celica, désormais équipée d’un moteur 1,6 l à injection de 140 ch qui marche vraiment fort.

UNE PETITE PERLE ! »L’adaptation de la voiture à son nouveau moulin a nécessité un vrai travail de béné-dictin. « Bien sûr, la suspension et les freins devaient y être adaptés, mais le faisceau électrique devait aussi être renouvelé. Pour vous donner une idée : j’ai travaillé au moins 80 heures pour adapter le faisceau électrique au nouveau moteur. L’opération dans son intégralité a duré deux ans. Mais qu’est-ce que je suis heureux du résultat ! »

UNE VRAIE BÊTE DE CONCOURSAvec raison, semble-t-il, car Koen Daelemans a souvent été récompensé avec sa Celica lors de rassemblements. « Ma compagne Lut et moi, sortons souvent la Celica pour des balades touristiques. Cette année, nous comptons déjà 5.000 km au comp-teur. Et il y en a encore au moins autant au planning. Ces balades ne sont pas vraiment des courses, mais plutôt des balades amicales. Vous recevez un roadbook et le but est d’arriver dans les temps au terme du parcours. En cours de route, on doit relever des contrôles de passage et répondre à des questions. Ainsi les organisateurs peuvent vérifier que nous avons suivi le bon tracé. Nous prenons parfois part à des évène-ments statiques durant lesquels les par ticipants exposent leurs véhicules pour les faire juger. Lors de tels évènements, notre Celica attire souvent les regards. »

Bien entendu, Koen Daelemans ne sort pas sa bête de concours pour un usage quoti-dien. Mais pour cela aussi, il a choisi un exemplaire exotique. « Ma voiture ‘normale’ est une Subaru Impreza 2,0 l turbo, tout aussi peu commune. Je peux donc difficilement masquer ma préférence pour les marques asiatiques. Ces marques gardent un carac-tère spécial en comparaison avec les marques européennes. Ma compagne, elle, préfère les Opel. Si nous achetons un autre oldtimer, ce devrait être une Kadett. Mais d’abord, nous devons nous occuper de la Volkswagen Coccinelle qui prend la poussière dans le garage depuis quelques années déjà. Et ça va à nouveau prendre un peu de temps. » (Rires)

Avec sa Toyota Celica modifiée et donc unique, Koen Daelemans a remporté plusieurs prix.

« J’ai acheté ma Celica

dans des caisses.

Ce fut un puzzle compliqué

à réassembler. »

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Après un été surbooké et une rentrée sur les chapeaux de roues, il est toujours bien agréable de s’autoriser un break en automne, le temps d’un week-end chez nous ou chez nos voisins... Vous pouvez bien sûr jouer la carte de la sé-curité, mais chez J&T Autolease nous aimons l’aventure. Automotions vous propose donc quelques alternatives pour sortir des sentiers battus !

Excursions originales

Touriste dans son propre paysPas le temps de partir tout un week-end ? Optez nos contrées ! Il existe de nombreux endroits que vous n’avez pas encore explorés. Voici un recueil de quelques trésors cachés.

1. À VÉLO SUR L’EAU Si vous êtes dans le coin et souhaitez profiter du grand air limbour-geois, enfourchez votre vélo. La région regorge de pistes cyclables et le paysage est agrémenté de nombreux arbres fruitiers en cette période de l’année. Marquez certainement une halte à Bokrijk. Entre les points-nœuds 91 et 98, une piste cyclable a été aménagée à travers l’un des étangs du domaine « De Wijer ». Les cyclotouristes peuvent traverser les étangs par la piste de 212 mètres de long et 3 mètres de large, totalement entourée d’eau. Ils se fondent ainsi dans le décor aquatique… Magique.

bokrijk.be/nl/ontdek-bokrijk/groen/fietsen/fietsen-door-het-water

2. UNE FUITE AU SENS PROPRE COMME AU FIGURÉ C’est la tendance du moment ! Chez nous comme chez nos voisins, les escape games ou escape rooms poussent comme des cham-pignons. Le concept est aussi simple que brillant : vous êtes enfer-més avec quelques amis ou collègues dans une pièce mystérieuse pendant 60 minutes aux termes desquelles vous devez réussir à vous échapper. La clé : une série de puzzles intéressants et diffé-rents. L’entraide et l’inventivité sont essentielles pour vous en sortir. Rassurez-vous : les pièces ne sont pas angoissantes et ne demandent pas d’efforts physiques. Votre esprit d’équipe et votre ingéniosité sont en revanche mis à l’épreuve.

escapegamesbelgium.be

TRIP

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3. C-MINE OU BE-MINE ?Les anciens terrains miniers de Genk et de Berringue ont été transformés en véritables lieux insolites. Il y en a pour tous les goûts ! L’histoire fascinante du site et les animations high-tech qu’on y trouve constituent une combinaison gagnante. A C-mine, vous pourrez par exemple découvrir l’atmosphère de l’exploitation minière souterraine grâce à la réalité vir-tuelle. « Les vibrations du forage, la sueur noire dans les yeux, votre propre voix recouverte de bruits assourdissants, le sol qui tremble sous le coup de violentes explosions, ou encore la réduction du métal sur la pierre pour exploiter le charbon... » Tout cela semble prometteur, n’est-ce pas ? Unique en son genre, be-Mine présente le premier centre de plongée et de snorkeling indoor d’Europe. Là, vous pourrez nager parmi plus de 2 200 poissons tropicaux d’eau douce. Sous la surface de l’eau, quelques carrosseries de Ford Genk et l’entrée d’une mine, références ludiques au patrimoine de la région.

c-mine.bebemine.be

4. RETOUR AUX SOURCESOubliez les grottes de Han, rendez-vous à Remouchamps ! Merveille naturelle sculptée au fil des siècles, la visite commence par une promenade de plus de un km dans un décor féerique. Grâce à la magnificence du nouvel éclairage, la galerie supé-rieure vous fait découvrir la sensation des mystères et des beau-tés souterraines. Au gré des stalagmites et stalactites, vous arri-verez dans la première salle habitée il y a 8 000 ans par les chas-seurs du Paléolithique. La promenade vous emmènera ensuite par les anciens siphons du Rubicon (rivière souterraine) vers la grande salle de la cathédrale. La visite se clôture en barque sur le Rubicon pour la plus longue navigation souterraine du monde accessible au public ! Sous la conduite d’un guide, vous profiterez d’un spectacle fabuleux où chaque merveille natu-relle vous sera expliquée en détail.

lesgrottes.be

5. DOEL : VILLAGE FANTÔME AU DESTIN MYSTÉRIEUX Coincé entre la centrale nucléaire et l’Escaut à Anvers, le village déserté de Doel fait l’objet de plusieurs projets. Différentes ins-tances souhaitent donner un second souffle à ce village fantôme en vue de redévelopper les lieux. Or, ce site a quelque chose de surréaliste que ces grands projets menacent de faire disparaître. Rendez-vous donc dans ce village si vous aimez l’art urbain et êtes à la recherche d’une destination alternative. Coin de para-dis pour les graffeurs, cet endroit ne ressemble à aucun autre...

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Traversez la frontière Vous avez un peu plus de temps ou le courage de faire quelques kilomètres supplémentaires ? Traversez la frontière et avancez sur les sentiers inexplorés que nos pays voisins ont à offrir.

6. PERCHÉ ET SECParfois, nos rêves d’enfants se réalisent. Cer tains endroits offrent la possibilité de passer la nuit dans une véritable cabane. Dormir à l’aventure au-dessus du sol à la lisière d’une forêt. À Rijen (dans le Brabant néerlandais), le concept est légèrement différent. Ici les parents dorment dans une cabane aux dimensions suffisantes et ont « les pieds sur terre » tandis que les enfants quittent le sol et réalisent leurs rêves les plus fous dans une cabane à 2,5 mètres de haut qui est en contact avec celle du dessous via un véritable porte-voix.

mastendol.nl

7. LE VENT POUR GUIDEEn Zélande aux Pays-Bas, c’est la plage qui donne le ton. Vous pouvez bien entendu étendre votre serviette de plage et pro-fiter du soleil, mais si vous êtes à la recherche d’une activité un peu plus active, vous devez frapper à la porte du Beachclub Natural High. Ici vous pourrez pratiquer les sports aquatiques traditionnels comme le kitesurf, le rafting et le blokart. Action et aventure assurées ! Couché, juste au-dessus du sol, vous conduisez le blokart et rasez la plage. Bien que cette forme alternative de karting nécessite une certaine maniabilité et soit capable d’accélérations franches, elle est parfaitement adaptée aux jeunes et moins jeunes qui ne manqueront pas de la maî-triser facilement.

natural-high.nl

8. SENSATIONS FORTES EN FORÊT-NOIRELa Forêt-Noire est synonyme de tranquillité et de séréni-té dans un environnement vert. Mais cette région allemande réserve aussi de bonnes surprises à l’aventurier actif, comme en témoignent les parcours de ziplines. Un bel exemple est la Hirschgrund Zipline Area qui comprend 7 ziplines que vous rejoignez à pied par un sentier. Mais une zipline, c’est quoi au juste ? Le deathride vous dit quelque chose ? Toujours pas ? Il s’agit d’une descente à vive allure sur un câble de 45°. Jetez-vous d’un rocher et glissez vers le bas. Avant votre atterrissage en douceur, profitez du magnifique paysage qui est à vos pieds. Et si vous n’en avez pas eu assez, six autres descentes vous attendent. Amateurs de de sensations fortes, ceci est pour vous !

hirschgrund-zipline.de

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9. POUR CEUX QUI TROUVENT QUE PARIS EST TROP LOIN

Une ville en France par laquelle bon nombre d’entre nous sont passés en se rendant dans le Sud est Metz. Il ne fait aucun doute que rares sont ceux qui ont envisagé de s’y arrêter, sans parler de ceux qui l’ont réellement fait. Pourtant, cette ville vaut la peine d’être visitée. L’année 2010 marque l’inauguration du Centre Pompidou-Metz. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il vaut le détour, et pas seulement parce qu’il s’agit d’un musée satellite du Centre Pompidou parisien. Le bâtiment a été conçu par un architecte japonais et ça se voit. L’intérieur déborde d’énergie et offre pas moins de 10 700 m² d’espace d’exposition. Plutôt fan d’architecture ancienne ? Allez jeter un œil à la Cathédrale Saint-Étienne qui figure à juste titre sur la liste des plus belles cathédrales gothiques de France.

10. OUBLIEZ NOTRE CÔTE BELGEUne alternative magnifique à la Côte belge est la Côte d’Opale en France. Ce domaine sauvage s’étend sur 120 kilomètres de littoral varié avec ses falaises raides, ses villages de pêcheurs pittoresques et ses longues plages de sable. Les stations balnéaires animées comme Le Touquet et Boulogne-sur-Mer constituent une agréable alternative urbaine. La petite ville de Bergues vaut également le détour. C’est en effet le point de départ du tournage du film « Bienvenue chez les Ch’tis ». De longues promenades vous permettront de vous plonger dans l’atmosphère du film. Ainsi, vous passerez par exemple devant le bureau de poste dont Philippe Abrams (Kad Merad) est devenu le directeur.

11. LIBRE COURS À LA FANTAISIEVous avez déjà visité tous les parcs d’attractions en Belgique et êtes à la recherche de nouvelles aventures ? Oubliez Disneyland et rendez-vous à Phantasialand ! Ce parc d’attractions non loin de Cologne (Allemagne) offre des moments de plaisir aux petits et grands. Le parc est subdivisé en 7 quartiers thématiques. Ainsi vous saluerez le dragon Quetzal ou retrouverez l’attraction Talocan à Mexico. En Afrique, vous aurez la tête en bas sur le Black Mamba ou assisterez à un spectacle de danse africaine. Le nouveau domaine de Klugheim compte deux montagnes russes et représente 6 records du monde. Vous êtes à la bonne adresse pour une poussée d’adrénaline instantanée.

phantasialand.de

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Modèle exposé : Nissan QASHQAI Tekna. Annonceur : Nissan Belux s.a. (Importateur), Bist 12, 2630 Aartselaar. N° TVA/BCE de la succursale : BE0838.306.068. Photos non contractuelles. Informations environnementales : A.R. 19/03/2004 : www.nissan.be

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