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CPREFP ILE DE FRANCE7 OCTOBRE 2014
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ORDRE DU JOUR
• Adoption du Compte rendu de la séance du 4 février 2014• Emploi
• Situation économique• Tableau de bord de l’emploi• Travaux de l’Observatoire paritaire, prospectif et analytique des métiers et qualifications de la
Métallurgie• GPEC : actions du GIM et de l’UIMM 77• Information : projets de licenciements pour motif économique de 10 salariés et + envisagés par les
entreprises
• Formation• CQPM : réalisations 1er semestre 2014 et prévisions 2ème semestre 2014• ADEFIM-IDF : point d’activité au 30 septembre 2014• Présentation des éléments comptables 2013 des ADEFIM-RP et 77 (art 88.2 de l’accord national du
1er juillet 2011• Taxe d’apprentissage:
Clôture de l’exercice 2013 de GIM-TACollecte 2014 ADEFIM IDF
• Questions diverses
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• Adoption du Compte rendu de la séance du 4 février 2014
• Envoi d’un exemplaire papier et d’un CD-ROM le 31 mars 2014
©GIM 18 septembre 2014
Point mensuel de conjonctureIle-de-France
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SOMMAIRE
Point mensuel de conjoncture en Ile de France
I . Synthèse macroéconomiqueII . L’industrie et la métallurgie en FranceIII. La conjoncture en Ile de FranceIV. La situation de la métallurgie en Ile de France
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Point mensuel de conjoncture en Ile-de-FranceI. Synthèse macroéconomique
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a) Climat
L’indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des
principaux secteurs d’activité, se dégrade et perd deux points en août.
En août, la confiance des ménages est stable, l’indicateur qui la synthétise reste au même niveau pour le
troisième mois consécutif : l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future diminue et
celle passée est stable, celle sur leur capacité d’épargne actuelle et future sont quasi stables. L’opinion des
ménages sur leur niveau de vie futur est stable en août, celle sur leur niveau de vie passé est quasi stable, ces
deux soldes demeurent nettement inférieurs à leur moyenne de longue période.
Source : INSEE
Indicateur de climat des affaires France Indicateur synthétique de confiance des ménages
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a) Climat
Source : Banque de France
A fin juin 2014, le cumul sous 12 mois du nombre de défaillances s’est élevé à 63.109, soit une hausse de +2,1% en glissement annuel . Pour les PME, le nombre de défaillances progresse de +2,0% , a contrario pour les ETI et les grandes entreprises, le nombre de défaillances est en baisse de -18,6%.
Dans l’industrie , la hausse annuelle des défaillances constatées sur douze mois glissants augmente, elle atteint +1,2%.
Evolution du nombre de défaillances d’entreprises (Glissement annuel du cumul sur 12 mois déc 1991 à juin 2014 – juillet 2014 provisoire)
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a) Climat
En août 2014, le nombre de créations d’entreprises y compris auto-entrepreneurs (CVS-CJO) recule légèrement par rapport au mois de juillet (-0,3%), mais il progresse au cours des douze derniers mois (+2,1%) . Le nombre de créations hors auto-entrepreneurs augmente légèrement de -+0,2% par rapport à juillet.
Dans l’industrie , le nombre de créations d’entreprises y compris auto-entrepreneurs diminue par rapport à juillet (-0,8%), mais il augmente en glissement annuel (+6,4%).
Créations d’entreprises (CVS-CJO)
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b) Inflation Glissements annuels des indices de prix à la consommation
Source : INSEE
En août 2014, l’indice des prix à la consommation augmente de 0,4% par rapport à juillet et sur un an, la
croissance est également de +0,4% : recul des prix de l’énergie (-0,8%; -1,5% sur un an) du fait d’un
nouveau repli des prix du gaz de ville et d’un recul des produits pétroliers, rebond saisonnier des prix des
services (+0,3%; +1,9% en glissement annuel) du fait des hausses liées aux congés d’été, repli saisonnier
des prix des produits alimentaires (-0,5%; -1,5% sur un an) en raison du repli saisonnier des prix des
produits frais, hausse des prix des produits manufacturés (+1,9%; -0,5%).
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c) Profits, Trésorerie, Investissement
Source : INSEE
Une forte dégradation des comptes des entreprises européennes et françaises depuis 2009 (taux de marge notamment), due à un ajustement plus modéré de l’emploi à la baisse d’activité qu’au cours de la récession de 1992-1993,
Stabilité à un bas niveau du taux de marge en 2013 (29,8%), le plus bas depuis 1985 (28,4%), Des taux d’autofinancement toujours bas (75,7% en 2013) malgré la forte chute des investissements, et très inférieurs à
ceux constatés dans la moyenne de la zone € (>90%). D’après les premiers résultats des comptes nationaux publiés par l’INSEE pour le 2ème trimestre 2014, le PIB en volume est
stable (+0,0%), comme au trimestre précédent . L’investissement des sociétés non financières recule de nouveau (-0,8% au 2ème trimestre 2014 après -0,7% au 1er trimestre 2014), plus fortement celui des ménages (-2,4%, après -2,9%) . Les dépenses de consommation des ménages progressent à nouveau (+0,5% après -0,5% au trimestre précédent) . La formation brute de capital fixe totale (FBCF) poursuit son repli au 2ème trimestre 2014 (-1,1% après -1,0%), au total, la demande intérieure finale (hors stocks) progresse faiblement (+0,2% après -0,4 point début 2014).
Le PIB et ses composantes
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d) Emploi, Chômage
Selon l’Acoss-Urssaf au 2ème trimestre 2014, les effectifs salariés du secteur privé sont stables, sur un an l’emploi augmente de
+0,1% (+10 000 postes).
Le taux de chômage au sens du BIT en France métropolitaine s’élève à 9,7% pour le 2ème trimestre 2014, stable par rapport au 1er
trimestre 2014 et en baisse de -0,2 point sur un an. En moyenne sur le 2ème trimestre 2014, le taux de chômage atteint 10,2% de la
population active en France y.c. Dom. Le nombre de demandeurs d’emploi (catégorie A) augmente +0,8% en juillet par rapport à
fin juin (données CVS-CJO), et de +4,3% en glissement annuel. Pour les moins de 25 ans, hausse de +0,7% en juillet (-1,8% sur un
an), et pour les 50 ans et plus , augmentation de +0,7% (+11,6% sur un an).
Parmi les personnes inactives au sens du BIT, 1,3 million souhaitent un emploi sans être comptées dans la population des
personnes au chômage au sens du BIT : elles constituent le halo autour du chômage. Leur nombre baisse de 40 000 sur le
trimestre et augmente de 60 000 sur un an.
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e) Perspectives COE-RexecodePerspectives France
Les différents instituts de conjoncture ont publié leur prévision de croissance pour l’année 2014 (NATIXIS =
0,5%, COE-Rexecode = +0,4%, Commission européenne = +1,0%, OCDE = +0,9%, FMI = +0,7%), ainsi que le
Gouvernement (+0,4%).
L’INSEE dans sa note de conjoncture du mois de juin 2014, prévoit en moyenne annuelle en 2014 une légère
accélération du PIB de +0,7%, après une croissance annuelle de +0,4% en 2013 . Cette accélération de l’activité
attendue en 2014 serait portée notamment par l’industrie manufacturière (+1,2%, après -0,6% en 2013).
L’emploi serait stable d’ici fin 2014 et le taux de chômage se stabiliserait à 10,2%, l’inflation resterait en
dessous de 1%, le pouvoir d’achat des ménages renouerait avec la croissance (+0,7%), la consommation des
ménages progresserait de +0,3% comme en 2013, et l’investissement des entreprises progresserait à un rythme
modéré (+0,2% en moyenne par trimestre), dans un contexte de demande faible et malgré les effets favorables
du CICE et de l’amélioration des conditions de financement. Pour 2014, les prévisions de croissance des
différents instituts de conjoncture restent faibles (+0,6% à +1,3%).
Conjoncture et perspectives 2014-15 de l'économie française - 17 septembre 2014
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e) Perspectives – Enquête BMO Pôle Emploi 2014. En 2014, la part des établissements recruteurs augmente pour atteindre 19,5% de l'ensemble des établissements contre 18,0% en 2013.
. Le nombre de projets de recrutement augmente de 5,4% par rapport à 2013.
. Les entreprises de 100 salariés et plus concentrent 20% des besoins de main d'œuvre en 2014 comme en 2013.
. Le premier motif de recrutement est le surcroît d'activité dans 42,7% des projets de recrutement.
. Avec 13,3% des intentions d'embauche, l'hôtellerie-restauration constitue le premier pôle de recrutement.
.En 2014, 34,7% des projets de recrutement sont jugés difficiles contre 40,4% en 2013.
.La part des projets de recrutement liés à une activité saisonnière s'établit à 39,2% contre 36% en 2013.
.Pour 78,8% des établissements, les difficultés sont liées au profil inadéquat du candidat
. En 2014, 45,9% des projets seraient proposés en emplois durables.
. L'industrie enregistre une croissance de ses intentions de recrutement pour 2014 (+6,1%) après une dégradation en 2013 (-2,5%).
. Dans l'industrie 45,2% des intentions d'embauche sont jugées difficiles .
. Près des deux tiers (64%) des établissements potentiellement recruteurs envisagent de faire appel à Pôle Emploi.
.Les formations internes (64,3%) et externes (60,2%) constituent les principales solutions pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des employeurs.
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Point mensuel de conjoncture en Ile de FranceII. L’industrie et la métallurgie en France
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a) ClimatIndicateur synthétique du climat des affaires
Source : INSEE, Enquête mensuelle de conjoncture dans l’industrie
Selon les chefs d’entreprise interrogés en août 2014, le climat conjoncturel dans l’industrie se dégrade par rapport
au mois précédent. L’indicateur qui le synthétise perd un point et se situe en dessous de sa moyenne de longue
période.
Le solde sur l’activité passée recule légèrement, quant à celui correspondant aux perspectives personnelles de
production, il se replie fortement et se situe à un niveau très en dessous de sa moyenne de long terme.
Les carnets de commandes globaux et étrangers sont quasi stables, néanmoins une majorité d’industriels les
considèrent toujours inférieurs à la normale. Le solde sur les perspectives générales sur l’activité de l’industrie est
quasi stable, à un niveau inférieur à sa moyenne de long terme, enfin les stocks de produits finis sont stables à un
niveau jugé proche de la normale.
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a) Climat
En juin, le climat de confiance des industriels se dégrade en Europe, notamment en Allemagne et en France. Au
Royaume-Uni, le climat s ’améliore sensiblement, tandis qu’en Espagne et en Italie, la progression est plus
modérée. En France, la confiance des industriels reste dégradée, l’indice est en recul de deux points.
Le climat de confiance des industriels français dans la fabrication d’équipements électriques reste très dégradé,
l’indice est très en dessous de sa moyenne de long terme, dans les pays voisins le climat se dégrade également à
l’exception de l’Espagne où les industriels sont moins pessimistes.
Dans la réparation et installation de machines et d’équipements, le climat reste favorable en France, et
s’améliore en Espagne.
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b) Commandes, Activité, Production
Dans l’industrie manufacturière, le coût horaire de la main d’œuvre au 1er trimestre 2014 s’inscrit à 37,34 euros pour la
France en hausse de 1,8% sur un an, l’Allemagne à 37,34 euros augmente de 0,5% .
En 2013, la France a vu son coût horaire du travail augmenter nettement moins vite que celui de l’Allemagne, grâce à
l’entrée en vigueur du crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice).
Entre 2000 et 2013, le coût salarial horaire dans l’ensemble des secteurs marchands a progressé de 24,9% en Allemagne
et de 46,3% en France. Dans l’industrie manufacturière, le coût salarial horaire en France a rejoint le niveau de
l’Allemagne au 1er trimestre 2014.
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b) Commandes, Activité, Production
Source : INSEE, Natixis, Datastream, Eurostat,Trendeo
Les marges des entreprises de l’industrie manufacturière en 2012-2013 (22,6%) ont atteint leur plus faible
niveau depuis le début des années 1960.
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b) Commandes, Activité, Production
Source : INSEE
Indices de la production industrielle (cvs-cjo) 2010=100
En juillet 2014, la production de l’industrie manufacturière en volume diminue (-0,3%) après un mois de
juin en hausse (+1,6%), celle de l’ensemble de l’industrie progresse légèrement (+0,2%) . En juillet, la
production baisse dans les autres produits industriels (-0,5%) , ainsi que dans les matériels de transport
(-0,4%), en revanche la production augmente dans les équipements électriques, électroniques,
informatiques et machines (+1,1%).
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b) Commandes, Activité, Production
Source : Banque de France
Au cours des trois derniers mois, la production manufacturière diminue (-1,5%) ainsi que dans
l’ensemble de l’industrie (-0,6%) par rapport aux trois mois précédents : la production se replie dans
les équipements électriques, électroniques, informatiques et machines (-1,7%), dans les autres
produits industriels (-1,7%) ainsi que dans les matériels de transport (-0,7%). La production
manufacturière des trois derniers mois est inférieure à celle des mêmes mois de l’année 2013 (-
0,9%).
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b) Commandes, Activité, Production
Augmentation de +0,9% des immatriculations de voitures particulières neuves en août 2014 par rapport au mois de juillet (données cvs-cjo). Au 2ème trimestre 2014, les immatriculations augmentent de +5,4% en glissement trimestriel.
Sur l’ensemble de l’année 2013, les immatriculations sont en baisse de -5,4% par rapport à 2012.
Immatriculations de voitures particulières neuves (CVS-CJO)
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c) Profits, Trésorerie, Investissement
Source : Banque de France
Selon la dernière enquête de la Banque de France pour le 2ème trimestre 2014, la situation de
trésorerie des entreprises industrielles se maintient; les dépenses d’investissement progressent,
et selon les chefs d’entreprise interrogés, elles pourraient augmenter à nouveau au prochain
trimestre. Les marges sont stables, tout comme les résultats bruts d’exploitation .
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c) Profits, Trésorerie, Investissement
Source : INSEE
Interrogés en juillet 2014, les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière déclarent que leur investissement a baissé
de 5% en 2013. Pour 2014, les industriels prévoient une quasi stabilité de leur investissement dans l’ensemble des
secteurs (+1,0%). Les investissements dans les secteurs des équipements électriques, électroniques, informatiques et
machines seraient dynamiques en 2014 (+8,0%), en revanche l’investissement dans les secteurs des autres industries
baisse de nouveau en 2014 (-1,0%) ainsi que celui du secteur des matériels de transport (-5%). En 2014, les motivations
d’investissement resteraient similaires à celles de 2013, renouvellement des équipements (28%), modernisation et
rationalisation (24%), sécurité et conditions de travail (21%), a contrario la part de l’investissement destinée à l’extension
de la capacité productive passerait sous sa moyenne de long terme (15%).
Taux de variation annuels de l’investissement en valeur dans l’industrie manufacturière
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d) Emploi, Chômage
Selon les résultats du 2ème trimestre 2014 de l’emploi salarié, l’emploi dans les secteurs
marchands augmente légèrement (+8.300 emplois, soit +0,1%, après -20.100 emplois au 1er
trimestre 2014, soit -0,1%), sur un an 12.600 postes ont été supprimés (soit -0,1%). Dans
l’industrie, l’emploi baisse de -0,3% (-8.100 postes) au 2ème trimestre, sur un an, l’industrie a
perdu 39.500 postes (soit -1,2%). L’emploi intérimaire a augmenté ce trimestre (+14.000 postes,
soit +2,6%). Sur un an, l’emploi dans l’intérim a évolué de +4,8%.
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d) Emploi, ChômageEvolution de l’emploi dans la métallurgie
Selon l’Acoss-Urssaf, l’emploi salarié dans l’industrie continue de reculer au 2ème trimestre 2014 (-0,3%; -1,1% sur un an), de +
0,2% à -1,5% selon les différents secteurs de la métallurgie.
En glissement annuel, ces évolutions du volume d’emploi dans la métallurgie varient, allant de +1,7% (fabrication d’autres
matériels de transport) à -5,6% (industrie automobile),
Au 2ème trimestre 2014, le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois reste quasiment stable (+0,3% et +1,4% en
glissement annuel). Cette croissance pour ce trimestre est tirée par la hausse des déclarations d’embauche en CDD de plus
d’un mois (+1,6%) et à la baisse des CDI (-1,4%). Au 2ème trimestre 2014, les embauches de plus d’un mois dans l’industrie se
stabilisent (+0,1% et +6,5% en glissement annuel), allant sur un an de +24,5% (fabrication d’équipements électriques) à -
5,8% (fabrication de matériels de transport).
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d) Emploi, Chômage
Selon l’Acoss-Urssaf, au total en moyenne annuelle, l’emploi baisse de -0,6% en 2013 ( soit 100 000 postes de moins). La
mauvaise orientation de l’emploi résulte du recul de -5,6% des effectifs intérimaires, après -7,0% en 2012.
L’industrie (3,2 millions de salariés) perd 42 000 postes en 2013, soit une baisse de l’emploi de -1,3% en moyenne annuelle,
après -0,4% en 2012.
Le repli de l’emploi industriel concerne la plupart des activités mais est particulièrement marqué dans le secteur de la
fabrication d’équipements électriques (-2,5% en 2013, soit moins 3 000 postes) et de la métallurgie (-1,9% soit près de -8 000
postes).
Dans la fabrication de matériels de transport, l’emploi baisse nettement (-1,1% soit une perte de 4000 postes) après une
augmentation de +1,4% en 2012. Ce repli s’explique par le recul net de l’emploi dans le secteur de l’industrie automobile (-
4,4% soit une perte de 10 000 postes). A l’inverse, l’emploi augmente dans la construction aéronautique et spatiale (+5,5%)
et dans la construction des navires (+4,8%).
Evolution de l’emploi dans la métallurgie
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e) Perspectives
Dans la dernière enquête BPI sur la conjoncture des PME en France, publiée en juillet 2014, les dirigeants de
PME prévoient une stabilisation de leur activité en 2014 : les effectifs ont cessé de diminuer pour la première
fois depuis la mi-2012, les trésoreries se sont sensiblement détendues au cours des premiers mois de l’année et
les investissements, après avoir été sensiblement limités en 2013, les PME envisagent une moindre réduction
en 2014. Pour 2015, les toutes premières anticipations des PME sur l’évolution de leur activité sont
significativement positives dans les secteurs amonts, de façon générale, celles qui pratiquent l’innovation et
celles présentes sur les marchés étrangers sont les plus optimistes à court et moyen terme.
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Point mensuel de conjoncture en Ile de FranceIII. La conjoncture en Ile de France
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a) Climat
Au 2ème trimestre 2014, le nombre total de créations d’entreprises en Ile-de-France s’est élevé à 34.062.
Diminution de -5,8% par rapport au trimestre précédent, à contrario en glissement annuel le nombre de
créations s’est redressé (+3,3%) comme celui observé au niveau national (+2,5%). Hors auto-entreprises, les
créations ont augmenté de +1,5% par rapport au trimestre précédent et de +5,8% par rapport au 2ème trimestre
2013.
Créations d’entreprises
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a) Climat2ème trimestre 2014 par départements Evolutions annuelles
Créations d’entreprises (total yc auto-entrepreneurs)
Défaillances d’entreprises (en date du jugement)
Selon l’INSEE, au 2ème trimestre 2014, les défaillances d’entreprises franciliennes (redressements ou
liquidations judiciaires) ont diminué de -0,8% en glissement annuel (-3,6% en France ).
Source : INSEE
© GIM32
b) Emploi, Chômage
Source : ACOSS
Glissement annuel de l’emploi du secteur privé au 1er trimestre 2014
Paris a vu ses effectifs augmenter de façon dynamique au 1er trimestre 2014 (+0,9% sur le trimestre), la Seine-et-Marne
affiche également une solide croissance trimestrielle (+0,7%). Sur un an, les effectifs ont le plus progressé dans l’Essonne
(+1,2%), à l’inverse, les Yvelines (-1,2%) ont perdu des emplois. De nouveaux changements d’établissements ont engendré
des déplacements de personnel à l’intérieur de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle . Le département du Val-d’Oise perd des
effectifs au profit de la Seine-Saint-Denis. En dehors de ces déplacements, le Val-d’Oise perd peu d’effectifs ce trimestre,
alors que les créations sont plutôt dynamiques en Seine-Saint-Denis.
Sur un an, les embauches de plus d’un mois diminuent au 4ème trimestre 2013 en Ile-de-France (-3,5% contre -0,4% pour la
France entière).
© GIM33
b) Emploi, Chômage
Source : INSEE Ile de France
Taux de chômage (données cvs en moyenne trimestrielle en %)
Au 1er trimestre 2014, le taux de chômage francilien s’établit à 8,6% de la population active, stable par
rapport au dernier trimestre 2013, mais en baisse de -0,1 point sur un an.
En glissement annuel à fin juillet 2014, progression de +6,5% des demandeurs d’emploi de catégorie A, B
et C (906.270 au total) en Ile-de-France (+5,0% pour la France métropolitaine en données CVS-CJO).
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 20146
6.5
7
7.5
8
8.5
9
9.5
10
10.5
11
9.7
8.6
France métropolitaine Ile de France
© GIM34
b) Emploi, Chômage
Comme au trimestre précédent, le taux de chômage a très peu varié dans les départements franciliens. Il augmente de
+0,1 point dans les Yvelines, l’Essonne et la Seine-Saint-Denis, et demeure stable dans le reste de la région. Sur un an,
seule la Seine-Saint-Denis voit son taux de chômage augmenter légèrement , de +0,1 point.
Diminution du nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A en Ile-de-France de -0,2% à fin juillet par rapport à fin
juin (données CVS-CJO), hausse de +6,3% en glissement annuel (pour rappel +0,8% sur un mois et +4,3% sur un an
pour la France métropolitaine). Pour les moins de 25 ans, diminution de -0,4% en juillet 2014 (-0,5% sur un an), et
pour les 50 ans et plus augmentation de +0,1% (+13,0% sur un an).
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b) Emploi, Chômage
Le nombre de contrats signés et le nombre d’intérimaires en EETP (équivalent-emploi temps plein) ont diminué
en mai 2014 par rapport au mois précédent. En moyenne, sur les trois derniers mois, le nombre d’intérimaires
est toujours en net repli (-1,5%) par rapport aux trois mois précédents.
L’utilisation de l’intérim dans l’industrie est en baisse : -2,6% ces trois derniers mois par rapport aux trois mois
précédents, en particulier dans la fabrication de matériels de transport (-8,0%), après un début 2014 en légère
hausse.
Evolution du nombre moyen d’intérimaires en EETP (données CVS/CJO base 100 à fin décembre 2011)
© GIM36
c) Perspectives des PME
La dernière enquête BPI sur la conjoncture des PME en Ile-de-France réalisée en juillet 2014 confirme une
reprise de l’activité en 2014 : hausse ténue des effectifs, amélioration des trésoreries au 1er semestre 2014
malgré quelques tensions à court terme, baisse des investissements mais moins fortement qu’en 2013.
Pour 2015, les PME franciliennes espèrent un développement de leur activité, des effectifs en
augmentation.
© GIM37
c) Perspectives – Enquête BMO Pôle Emploi 2014
. En 2014, 17,3% des établissements franciliens envisagent au moins un recrutement, contre 15,9% en 2013.
. Le nombre de projets de recrutement est en hausse de 2,0% par rapport à 2013.
. Les remplacements de départs (34,8%) sont la principale raison mise en avant pour justifier un projet de recrutement.
. Avec près de 77% des intentions d'embauche, l'ensemble des activités de services constitue le premier pôle de recrutement
. En 2014, 38,0% des projets de recrutement sont considérés comme difficiles contre 41,9% en 2013.
. Dans l'industrie manufacturière 46% de projets de recrutement sont jugés difficiles.
. Par ailleurs, 15,5% des projets de recrutement sont liés à une activité saisonnière contre 12,7% en 2013.
. Pour 79 % des employeurs, les difficultés sont liées au profil inadéquat du candidat.
. En 2014, 66,9% des projets seraient proposés en CDI.
. La formation externe (65,5%) constitue la principale solution plébiscitée par les employeurs franciliens pour pallier leur difficultés de recrutement.
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c) Perspectives – Enquête BMO Pôle Emploi 2014
Projets de recrutements par départements Etablissements recruteurs par départements
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c) Perspectives – Enquête BMO Pôle Emploi 2014
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c) Perspectives – Enquête BMO Pôle Emploi 2014
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Point mensuel de conjoncture en Ile de FranceIV. La situation de la métallurgie en Ile de France
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a) Climat
Source : Banque de France
Indicateurs du climat des affaires dans l’industrie
L’indicateur du climat des affaires de l’industrie francilienne progresse de deux
points en août 2014.
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b) Commandes, Activité, Production
Source : Banque de France
Selon la dernière enquête réalisée par la Banque de France en août, l’activité industrielle francilienne progresse
encore, un peu moins fortement que prévu. Les carnets de commandes et les stocks de produits finis s’avèrent,
dans l’ensemble, considérés comme corrects.
Le taux d’utilisation des capacités de production se redresse et approche de sa moyenne de longue période.
Les prévisions, à la baisse, sont affectés pour l’essentiel par la mauvaise orientation de l’industrie automobile,
alors même que les autres secteurs s’attendent à une légère augmentation.
© GIM44
b) Commandes, Activité, Production
Source : Banque de France
Autres produits industriels Biens d’équipement électriques, électroniques et informatiques
Matériels de transport
Pour l’ensemble du secteur des biens d’équipement électriques, électroniques et informatiques, l’orientation positive de l’activité du mois
dernier s’est confirmée en août, la stabilité devrait prévaloir à court terme,
Dans les matériels de transport, la production globale s’est stabilisée, affaiblie notamment par le ralentissement de l’industrie automobile,
Les prévisions à brève échéance se dégradent sensiblement,
Pour la métallurgie et les produits métalliques, les rythmes de fabrication ont progressé sur le mois, en raison de l’amélioration de la
demande étrangère, la faible densité des carnets ne donne guère de visibilité pour le mois prochain,
Dans la réparation et l’installation d’équipements, la faiblesse de la demande intérieure a pesé sur l’activité, une augmentation des
cadences est attendue pour la prochaine période.
Situation des carnets et des stocks de produits finis (en solde d’opinions CVS)
© GIM45
c) Emploi, Chômage
L’année 2013 marque une nouvelle hausse des déclarations d’embauche en Ile-de-France, avec une progression de +2,1% par rapport à
2012. Cette augmentation est due aux contrats d’une durée de moins d’un moins (+5,3%) et à l’intérim (+1,3%), a contrario les CDI affichent
une chute importante (–6,5%) après -4,0% en 2012. La dynamique des embauches n’a pas permis à l’économie francilienne de rattraper son
niveau d’emploi d’avant crise.
En glissement annuel, les niveaux d’embauches en CDI sont en repli dans la majorité des secteurs. Dans l’ensemble de l’industrie
diminution de -7,4%, et dans tous les secteurs de la métallurgie, de la fabrication de matériels de transport (–16,8%) à la réparation et
installations de machines (-9,7%).
© GIM46
c) Emploi, Chômage
La majorité des départements d’Ile-de-France voit son nombre de déclarations d’embauche évoluer en 2013. Le Val-d’Oise affiche la plus
forte progression (+5,1%), cette hausse est le fait d’une augmentation du nombre de déclarations d’embauche en CDD courts dans de
nombreuses entreprises . A l’inverse la Seine-et-Marne (-0,1%) et la Seine-Saint-Denis (-1,9%) ont émis moins de déclarations d’embauche.
Dans tous les départements, l’évolution annuelle des déclarations d’embauche en CDI est en diminution à l’exception de la Seine-Saint-
Denis (+0,5%).
La répartition des déclarations d’embauche au niveau régional évolue peu . Paris concentre 41,4% de l’ensemble des embauches, suivi des
Hauts-de-Seine (16,7%) et de la Seine-Saint-Denis (9,0%).
© GIM47
c) Emploi, Chômage
Source : ACOSS
Au 1er trimestre 2014, l’emploi salarié en Ile-de-France redémarre (+0,3% par rapport au trimestre précédent),
près de 12.900 emplois nets ont été créés, a contrario, l’industrie continue de perdre des emplois à un rythme
croissant (-0,5%). Sur un an, le niveau d’emploi francilien affiche une croissance de 15.200 salariés (+0,3%) tandis
que l’emploi industriel francilien sur la même période se replie (-1,9%). L’évolution de l’emploi dans l’industrie
francilienne baisse pour l’ensemble de la métallurgie (-2,6%) et dans la plupart des secteurs, ce recul s’explique
notamment par la diminution des effectifs dans le secteur francilien industriel le plus pourvoyeur d’emploi, la
fabrication de matériels de transport (-3,4%), repli dans le secteur de la fabrication de produits informatiques,
électroniques et optiques (-2,6%), ainsi que celui de la métallurgie et fabrication de produits métalliques (-2,4%).
© GIM48
c) Emploi, Chômage
L’industrie continue à perdre des emplois à un rythme croissant en 2013 (-1,1% sur un an, après -0,6% entre 2011
et 2012). Sur 5 ans, le déficit d ’emploi atteint 8,4%. La fabrication de produits informatiques, électroniques et
optiques continue, dans un contexte de concurrence internationale accrue, d’être le secteur francilien le plus
touché (-2,2% en 2013, -11,1% sur 5 ans). La fabrication de matériels de transport subit les conséquences d ’un
marché automobile européen déprimé. Après avoir rebondi en 2012 (+1,3% en un an) le secteur replonge en 2013
(-1,6%) suite à l’arrêt de certaines lignes de productions.
© GIM49
d) Perspectives
En 2013, l’activité industrielle a légèrement diminué dans la plupart des secteurs, les effectifs se sont
globalement contractés, les rentabilités d’exploitation se sont effritées, notamment dans les matériels de
transport, les investissements se sont repliés avec un recul notable dans les équipements électriques et
électroniques.
Pour 2014, un retour à la hausse des volumes d’affaires est attendu dans tous les secteurs à l’exception
des matériels de transport où la baisse devrait se poursuivre, aucune évolution annoncée pour l’emploi,
les industriels franciliens anticipent une stabilité des marges d’exploitation avec une progression pour les
équipements électriques et électroniques, les investissements devraient reprendre dans tous les secteurs.
7 octobre 2014
Tableau de bord de l’emploiCommission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la
métallurgie de l’Ile-de France
51© GIM
SOMMAIRE
I. Emploi salarié total p.3
II. Emploi industriel
III. Emploi intérimaire
IV. Emploi et chômage en France p.18
V. Emploi et chômage en Ile-de-France p.24
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
p.6
p.13
VI. Enquête BMO 2014 de Pôle Emploi p.33
52© GIM
Tableau de bord de l’emploiI. Emploi salarié total
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
53© GIM
Emploi salarié total
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
54© GIM
Emploi salarié total
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
55© GIM
Tableau de bord de l’emploiII. Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
56© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
57© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
58© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
59© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
60© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
61© GIM
Emploi industriel
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : DGCIS
62© GIM
Tableau de bord de l’emploiIII. Emploi intérimaire
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
63© GIM
Emploi intérimaire en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
64© GIM
Emploi intérimaire en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
65© GIM
Emploi intérimaire en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
66© GIM
Emploi intérimaire en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
67© GIM
Tableau de bord de l’emploiIV. Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
68© GIM
Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Secteurs d’activité(En fonction du code NAFrév2 de l’établissement)
GT2014 T2
GA2014 T2
CH – Métallurgie et fabrication de produits métalliques -0,5% - 1,2%
CI – Fab. de produits informatiques, électroniques et optiques
-0,8% - 1,7%
CJ – Fab. d’équipements électriques -0,6% - 1,9%
CK – Fab. de machines et équipements - 0,4% - 1,1%
CL – Fab. de matériels de transport - 0,7% - 2,7%
29 – Industrie automobile 30 – Fab. autres matériels de transport
-1,5%0,2%
-5,6%1,7%
CM – Autres industries manuf. ; réparation et installation de machines et d’équipements
0,2% - 0,8%
Métallurgie -0,4% -1,6%
Industrie - 0,3% - 1,1%
Ensemble 0,0% 0,1%Source : Acoss-Urssaf
69© GIM
Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
70© GIM
Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
71© GIM
Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : COE Rexecode
72© GIM
Emploi et chômage en France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : INSEE
73© GIM
Tableau de bord de l’emploiV. Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
74© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Secteurs d’activité(En fonction du code NAFrév2 de l’établissement)
GA2014 T2
CH – Métallurgie et fabrication de produits métalliques - 3,0%
CI – Fab. de produits informatiques, électroniques et optiques
- 2,7%
CJ – Fab. d’équipements électriques - 2,7%
CK – Fab. de machines et équipements - 0,1%
CL – Fab. de matériels de transport - 4,1%
CM – Autres industries manuf. ; réparation et installation de machines et d’équipements
- 2,0%
Métallurgie -3,0%
Industrie - 1,8%
Ensemble 0,4%
Source : Acoss-Urssaf
75© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : INSEE
Taux de chômage (données cvs en moyenne trimestrielle en %)
76© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois en fin de mois catégorie A
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 201445000
50000
55000
60000
65000
70000
75000
80000
350000
400000
450000
500000
550000
600000
650000
700000
Moins de 25 ans (é-chelle de gauche)
Ensemble (échelle de droite)
77© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois en fin de mois catégorie A
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 201460000
80000
100000
120000
140000
160000
180000
300000
400000
500000
600000
700000
800000
900000
50 ans et plus (échelle de gauche)
Ensemble (échelle de droite)
78© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois en fin de mois catégorie A en glissement annuel
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014-20
-10
0
10
20
30
40
50 ans et plus
Moins de 25 ans
79© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois en fin de mois (catégorie ABC)
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014190000
240000
290000
340000
390000
450000
550000
650000
750000
850000
950000
Inscrits depuis + d'un an (échelle de gauche)
Ensemble (échelle de droite)
80© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois à fin août 2014 par département (catégorie A en glissement annuel)
75 77 78 91 92 93 94 95 Ile de France
France Métro
-2
3
8
13
18
4.7
-0.6
2.7 2.9
-0.4
2.61.6
1.01.8
0.7
12.812.0
14.1
11.3
12.6
14.5 14.6
11.7
13.1
11.6
-25 ans 50 ans et +
81© GIM
Emploi et chômage en Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Demandeurs d’emplois à fin août 2014 par département (catégorie A en glissement annuel en %)
75 77 78 91 92 93 94 95 Ile de France
France Métro
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
6.4
5.4
7.6
6.7
5.8
8.17.7
6.46.8
5.2
82© GIM
Tableau de bord de l’emploiVI. Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
83© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
Synthèse
84© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
85© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
86© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
87© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
88© GIM
Enquête BMO 2014 France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
89© GIM
Tableau de bord de l’emploiVII. Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
90© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
. En 2014, 17,3% des établissements franciliens envisagent au moins un recrutement, contre 15,9% en 2013.
. Le nombre de projets de recrutement est en hausse de 2,0% par rapport à 2013.
. Les remplacements de départs (34,8%) sont la principale raison mise en avant pour justifier un projet de recrutement.
. Avec près de 77% des intentions d'embauche, l'ensemble des activités de services constitue le premier pôle de recrutement
. En 2014, 38,0% des projets de recrutement sont considérés comme difficiles contre 41,9% en 2013.
. Dans l'industrie manufacturière 46% de projets de recrutement sont jugés difficiles.
. Par ailleurs, 15,5% des projets de recrutement sont liés à une activité saisonnière contre 12,7% en 2013.
. Pour 79 % des employeurs, les difficultés sont liées au profil inadéquat du candidat.
. En 2014, 66,9% des projets seraient proposés en CDI.
. La formation externe (65,5%) constitue la principale solution plébiscitée par les employeurs franciliens pour pallier leur difficultés de recrutement.
Synthèse
91© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
92© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
93© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
94© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
95© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
96© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
97© GIM
Enquête BMO 2014 Ile-de-France
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Pôle emploi
7 octobre 2014
Observatoire de la métallurgieProspective de l’emploi 2015-2025
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la
métallurgie de l’Ile-de France
99© GIM
SOMMAIRE
I. Impacts du CICE et du Pacte de Responsabilité pour la Métallurgie
p.3
II. Description des scenarii du BIPE
III. Les différents leviers d’utilisation des baisses de charges
IV. Conséquences sur l’emploi et les besoins de recrutement
p.11
V. Bouclage macroéconomique p.14
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
p.6
p.8
100© GIM
Observatoire de la métallurgieI. Impacts du CICE et du Pacte de Responsabilité pour la Métallurgie
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
101© GIM
Impacts du CICE et du Pacte de Responsabilité pour la Métallurgie
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
A la demande du GTP Observatoire, le BIPE a étudié plusieurs scenarii
sur la période 2015-2025 pour mesurer l’impact des récentes mesures
en faveur des entreprises (CICE + Pacte de Responsabilité) sur la
croissance et l’emploi dans la métallurgie,
Ces mesures étalées dans le temps auraient des effets différenciés
selon les secteurs de l’économie française et à l’intérieur de chaque
sous-secteur de la métallurgie,
Au total, les allégements de charges cumulés pour l’ensemble de la
métallurgie s’élèveraient à 4,3 milliards d’€ sur la période 2015-2020.
102© GIM
Impacts du CICE et du Pacte de Responsabilité pour la Métallurgie
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Chiffrage du pacte en terme d’allègements perçus : pour le périmètre UIMM, les dispositifs d’allègements sociaux et fiscaux sont estimés à environ 4 milliards d’euros entre 2014 et 2020 – plus de 90% du flux aura lieu avant 2017 26 BIPE 2014 - Etude Prospective Emploi - Observatoire de la Métallurgie Source : Estimations BIPE Flux annuels d’allègements* (en millions d’€) Total
103© GIM
Observatoire de la métallurgieII. Description des scenarii du BIPE
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
104© GIM
Description des scenarii du BIPE
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Le BIPE a construit 3 scenarii sur la période 2015-2025 pour mesurer
l’impact des récentes mesures en faveur des entreprises (CICE + Pacte de
Responsabilité) sur la croissance et l’emploi dans la métallurgie :
Un 1er scenario dit de base, hors CICE et mesures d’allègement de
charges,
Un 2ème scénario dit central, avec CICE et mise en place du Pacte de
Responsabilité,
Un 3ème scénario dit Pacte + avec allégements de charges
supplémentaires et utilisation principalement en faveur de
l’investissement.
105© GIM
Observatoire de la métallurgieIII. Les différents leviers d’utilisation des baisses de charges
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
106© GIM
Les différents leviers d’utilisation des baisses de charges
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
107© GIM
Les différents leviers d’utilisation des baisses de charges
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
108© GIM
Observatoire de la métallurgieIV. Conséquences sur l’emploi et les besoins de recrutement
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
109© GIM
Conséquences sur l’emploi et les besoins de recrutement
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Acoss-Urssaf
A court terme (2014-2016), les principaux leviers utilisés (amélioration
de la trésorerie et baisse de prix) ont pour conséquences un effet sur
l’emploi et la croissance quasi-nul par rapport au scénario de base,
A moyen terme (2017-2025), compte tenu de l’utilisation combinée de
différents leviers, la croissance est plus élevée et la baisse de l’emploi
est moins accusée dans le scénario Pacte+,
Au total, un écart relativement faible entre les scenarii extrêmes
(+67.000 emplois, soit environ 6%) et une baisse importante de l’emploi
dans la métallurgie.
110© GIM
Conséquences sur l’emploi et les besoins de recrutement
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Acoss-Urssaf
111© GIM
Conséquences sur l’emploi et les besoins de recrutement
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
Source : Acoss-Urssaf
112© GIM
Observatoire de la métallurgieV. Bouclage macroéconomique
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
113© GIM
Bouclage macroéconomique
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de la Formation de la métallurgie de l’Ile-de-France
© GIM
CPREFPTRAVAUX DE L’OBSERVATOIRE PARITAIRE PROSPECTIF ET ANALYTIQUE DES MÉTIERS ET QUALIFICATIONS DE LA MÉTALLURGIE
7 octobre 2014
© GIM
Travaux de l’Observatoire Métallurgie
Étude en cours d’élaboration : Compétences clés dans les filières navale, éolien offshore et énergies renouvelables (groupement CESAAR), recueil de bonnes pratiques dans les relations DO/ST (cabinet GERIS)
Secteur mécanique : une étude est lancée et comportera une dimension métier, en particulier :- l’usinage - la chaudronnerie - la robotique- la mécatronique
Autres études en projet/lancement : secteur ferroviaire, secteur Electro-ménager, étude sur les emplois en contrats courts dans la métallurgie,
Outil territorial : Le GTP a validé la refonte de l’outil pour, d’une part, intégrer des données actualisée, et d’autre part, faire évoluer l’outil vers plus de prospective et de souplesse d’utilisation.
Guide méthodologique sur le transfert de savoirs et de savoir-faire : en cours d’élaboration, Le GTP de décembre validera la version finale et le guide sera diffusé et en ligne sur le site de l’observatoire fin d’année 2014 / début d’année 2015.
Egalité femmes / hommes (suite à l’accord national du 8 avril 2014 relatif à l’égalité professionnelle et à la suppression des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes) : 2 guides sont lancés : - un guide pour faire un état des lieux des actions pertinentes mises en œuvre dans les entreprises - un guide pratique d’aide à la réalisation des accords et plans d’actions pour respecter les obligations
légales.
© GIM
Observatoire de la métallurgieBaromètre national intentions d’embauche
Première vagueRégion Ile de France
Juin 2014
140© GIM
CPREFP du 7 octobre 2014
GPEC : activités du GIM et de l’UIMM Seine et Marne
© GIM
SOMMAIRE
GPEC : activités du GIM et de l’UIMM Seine et Marne
GPEC : accompagnement des PME
Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective (POEC)
Projet RH à temps partagé (Charte automobile)
Participation du GIM au forum « Paris pour l’Emploi » du 2 et 3 Octobre
© GIM
GPEC : démarches d’accompagnement des PME
DIAGNOSTIC EMPLOI COMPÉTENCES / APPUI-CONSEIL CONTRAT DE GÉNÉRATION
Depuis 2011, en région IDF (GIM + UIMM Seine et Marne) :
63 démarches emploi-compétences ou contrat de génération engagées Dont 57 diagnostics emploi-compétences et 6 appui-conseil CG
En 2014, en région IDF (GIM + UIMM Seine et Marne) :
14 démarches engagées Dont 8 diagnostics emploi-compétences et 6 appui-conseil CG
Diagnostic emploi-compétences et appui-conseil contrat de génération
© GIM
GPEC : démarches d’accompagnement des PME
APPUI-CONSEIL CONTRAT DE GÉNÉRATIONTextes
Loi du 1er mars 2013 portant création du contrat de générationAccord du 12 juillet 2013 relatif au contrat de génération dans la métallurgieEDEC « Appui-conseil contrat de génération » signé entre l’Etat et l’OPCAIM le 21 octobre 2013
ObjectifsAide financière de l’Etat aux entreprises de moins de 300 salariés pour financer du conseil permettant d’accompagner l’entreprise dans un diagnostic et la mise en œuvre d’actions relatives à la gestion de l’emploi et répondant aux enjeux du contrat de génération :® recrutement des jeunes, ® Recrutement et maintien dans l’emploi des séniors, ® transmission des savoirs et des compétences
Modalités de la prestation de conseil2 à 8 jours de conseil financés à 100% par l’OPCAIM dans la limite de 1200 €/jour (financement 50% enveloppe diag GPEC et 50% enveloppe EDEC « Appui conseil contrat génération »)
Articulation avec les diagnostics emploi-compétencesL’appui-conseil CG permet d’accompagner une démarche GPEC avec approche gestion des âges
Appui-conseil contrat de génération : principes
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GPEC : POE collectiveLes étapes d’un projet de POE collective
IDENTIFICATION BESOINS ENTREPRISESIdentification de besoins de recrutement difficiles à pourvoir
CHOIX DE L’ORGANISME DE FORMATIONRédaction cahier des charges formationPublication appel d’offres
Sélection et choix de l’OF
Signature convention de formation OF/Adefim
RECHERCHE ET SÉLECTION DES DEMANDEURS D’EMPLOIInformation Pôle emploi régional du lancement de l’opération POEC
1er RV de cadrage avec correspondant Pôle emploi
Identification des demandeurs d’emploi
Présentation du projet aux demandeurs d’emploi
Sélection des demandeurs d’emploi
ACTION DE FORMATIONEvaluation individuelle pré-formative
Début de la formation
Suivi de l’action de formation et des stagiaires
PLACEMENT EMPLOICommunication des profils auprès des entreprises
Suivi d’insertion 3 mois après la POEC
3 mois
3 mois
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GPEC : POE collective
SOUDEUR INDUSTRIEL - AFPI Seine et Marne (77) - octobre-décembre 2013 13 stagiaires inscrits, 1 abandon. 12 stagiaires à la sortie
Placement emploi : 2 personnes en emploi (15%) 1 CUI, 1 interim
Les actions de POE collective réalisées
USINAGE - AFPA Mantes-Magnanville (78) - octobre-décembre 2013 15 stagiaires inscrits, 3 abandons. 12 stagiaires à la sortie dont 2 ont eu de nombreuses absences.
Placement emploi : 5 personnes en emploi (33%) 2 contrats de pro, 1 CDI, 2 interim
USINAGE - GRETA Chelles (77) - octobre-décembre 2013 15 stagiaires inscrits. 15 stagiaires à la sortie
Placement emploi : 14 personnes en emploi (93%) 8 contrats de pro, 2 CDI, 4 CDD
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GPEC : POE collective
Technicien CND - Institut de soudure Villepinte (93) - janvier-mars 2014 15 stagiaires inscrits, 15 stagiaires à la sortie
Placement emploi : 14 personnes en emploi (93%) 11 CDI, 2 CDD, 1 interim
Les actions de POE collective réalisées
Métiers aéronautique - AFPA Paris (75) – avril-juillet 2014 11 stagiaires en situation de handicap inscrits, 1 abandon. 10 stagiaires à la sortie
Placement emploi : 5 personnes en emploi (50%) 5 contrats apprentissage ou professionnalisation
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GPEC : POE collective
Ce qui a facilité la réussite des projets POEC
Ce qui a freiné la réussite des projets POEC
Besoins recrutement concentrés sur une entreprise
Implication forte de l’entreprise recruteuse : contenu de formation attendu, participation à l’information collective candidats, entretiens de pré-recrutement des candidats dans le 1er mois de formation
Travail de qualité de Pôle emploi pour la recherche, la mobilisation et la pré-sélection des candidats demandeurs d’emploi
Implication de l’organisme de formation dans la relation entreprises et le suivi des stagiaires
Anticipation du placement emploi des stagiaires via la recherche de stages entreprises
Besoins recrutement éparpillés dans de nombreuses TPE/PME
Entreprises non suffisamment impliquées en amont : projet élaboré sur la base de besoins généraux identifiés sur un métier (usinage) sans impliquer les entreprises dans le programme de formation, l’information et la sélection des candidats …
Indemnisation très tardive des demandeurs d’emploi
Parcours 400h POEC insuffisant au regard des besoins des employeurs (besoin de profils plus qualifiés) et des profils ciblés à l’entrée
Profils stagiaires éloignés de l’emploi : problèmes d’assiduité et/ou de comportement par rapport à l’emploi qui dépassent la dimension d’adaptation technique à l’emploi
Difficulté de suivi des candidats après la sortie de la POEC
Bilan des POE collectives réalisées
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GPEC : POE collective
Partir de l’emploi dans une ou plusieurs entreprises et les associer étroitement à l’élaboration du projet® Plusieurs postes à pourvoir dans chaque entreprise® Montage du projet avec les employeurs : calendrier, contenu de formation attendu, pré-requis des candidats,
voire choix de l’OF® Participation des employeurs à l’information et à la sélection des candidats ou pré-recrutement dans le 1er
mois de la formation
Pour répondre à des besoins de recrutement isolés, privilégier la POE individuelle
Si les 400 h de POEC ne suffisent pas au regard des besoins des employeurs, prévoir un parcours POE + contrat avec formation pour compléter la professionnalisation des personnes
Anticiper le placement emploi par la mise en relation entreprises au cours de la formation, notamment par le stage entreprise® Pour les stagiaires qui, le cas échéant, ne seraient pas pré-sélectionnés par les employeurs à l’origine du projet
Favoriser les partenariats avec des organismes pour accompagner : ® La sélection des candidats demandeurs d’emploi® L’insertion socio-professionnelle des stagiaires (pour traiter les freins périphériques à l’emploi : sociaux,
financiers ...)
Recommandations : quelques pistes
149© GIM
GPEC : projet RH à temps partagé (charte automobile)
Objectif du projet : étudier l’opportunité de mettre en place sur certains bassins d’emploi une solution de fonction RH à temps partagé / mutualisée pour renforcer et professionnaliser la fonction RH dans les PME et TPE.
Projet mené dans 5 régions pilotes en 2014-2015 : Picardie, Franche-Comté, Lorraine, Haute-Normandie et Ile de France. Un bassin d’emploi sera choisi dans chacune de ces régions.
Appel d’offres lancé par l’UIMM et la DGEFP pour choisir un prestataire pour accompagner ce projet dans les 5 régions. Le cabinet ASPARAGUS a été retenu.
Projet en 2 phases. Une 1ère phase d’étude des besoins des PMI et de l’offre de service RH sur le bassin
d’emploi (juillet à décembre 2014) donnera lieu à une synthèse avec préconisations. Une 2nde phase permettra la mise en place des solutions issues de la phase étude, le cas
échéant (1er semestre 2015). Les solutions mises en place peuvent consister à créer de nouvelles solutions (fonction RH partagée portée par un groupement d’employeurs ou une autre structure, par exemple) ou simplement à faciliter l’accès aux solutions existantes.
Présentation du projet RH à temps partagé
150© GIM
Projet RH à temps partagé en Ile de France
Territoire retenu : Cergy Pontoise / Sud Val-d’Oise / Nord Yvelines.
Sur ce territoire, 45 entreprises cibles (activité automobile, moins de 250 salariés n’appartenant pas à un groupe).
Pour la 1ère phase d’étude des besoins, le prestataire réalise : Entretiens avec une vingtaine de dirigeants d’entreprises Etude de l’offre de services RH, au sens large, sur le territoire
GPEC : projet RH à temps partagé (charte automobile)
151© GIM
Forum Paris pour l’Emploi – 2 et 3 Octobre – Place de la Concorde
Location par le GIM d’un stand de 16 m2 sur l’espace multisectoriel
Présentation des offres d’emploi publiées par les entreprises adhérentes : au jour du forum, environ 1200 offres sur la zone Paris et 70 km autour
Promotion du job board du site www.les-industries-technologiques.fr et des métiers industriels auprès des demandeurs d’emploi
Présence sur le stand de plusieurs entreprises recruteuses, de tailles différentes et issues de secteurs variés
Présence sur le stand d’ Organismes de formation de la branche
De nombreux demandeurs d’emploi et de formation rencontrés : nombre de visiteurs estimé à plus de 50 000
GPEC : participation du GIM au Forum « Paris pour l’Emploi »
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Projets de licenciements pour motif économique de 10 salariés et +
Liste remise sur table
CPREFP du 7 octobre 2014
Certificats de Qualification Paritaire de la Métallurgie
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SOMMAIRE CQPM
Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014CHAPITRE 1
Nombre de Candidats inscrits et taux de réussite 5
Nombre de jurys paritaires de délibération 6
Répartition Homme/Femme 8
Répartition par origines 9
Répartition par domaines d’activités et catégories de qualification 7
Répartition par classes d’âge 10
154
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TITRE PRESENTATION
Prévisions CHAPITRE 2
Nombre de candidats inscrits sur le dispositif de certification 12
Date des futurs jurys paritaires de délibération 13
Evolutions du dispositif de certificationCHAPITRE 3
Synthèses des études des CQPM sur les champs 15
Mise en veille et suppression 16
Création et révision 17
Qualifications inscrites au RNCP 18
155
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CHAPITRE 1Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014
156
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Nombre de Candidats inscrits et taux de réussite
Taux de réussite
2010 2011 2012 2013 2014
86% 93% 94% 93% 84%
2010 2011 2012 2013 20140
100
200
300
400
500
600
700
Candidats admis Candidats Non Admis
Candidats
312
263
522
157
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Nombre de jurys paritaires de délibération
Candidat par jury Jurys en 2013 Jurys en 2014
1 38 14
2 à 5 24 7
6 à 25 34 15
De plus 25 1 2
2010 2011 2012 2013 2014
Nombre de jury 67 82 78 97 38
5
15
25
35
45
55
65
75
85
95Jurys paritaires de dé-
libération
158
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Répartition par domaines d’activités et catégories de qualification
Producti
on
Etude/M
éthodes
Mainten
ance
Informati
que
Admin./Commerc
e
Essai/
Mesure QSE
0.0%
10.0%
20.0%
30.0%
40.0%
50.0%
60.0%
Qualifications
certificats
Domaines Catégories
Les entreprises se positionnent principalement sur des qualifications : des domaines de la production et de la maintenance (16 qualifications sur 22); des catégories de bas niveaux (171 certificats délivrés sur 263).
Cat. A Cat. B Cat. C Cat. C* Cat. D NC0.0%
10.0%
20.0%
30.0%
40.0%
50.0%
60.0%
70.0%
Qualifications
Certificats
159
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Répartition Homme/Femme
82.1%
18.0%
Production
Etude/Méthodes
Maintenance
Informatique
Admin./Commerce
Essai/Mesure
QSE
0.0%10.0%
20.0%30.0%
40.0%50.0%
60.0%70.0%
80.0%90.0%
100.0%
Par domaines
A
B
C
C*
D
NC
0.0% 10.0% 20.0% 30.0% 40.0% 50.0% 60.0% 70.0% 80.0% 90.0%
Par catégoriesHommes
Femmes
160
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Répartition par origines
Candidats Admis Taux de réussite
28 % des candidats admis sont des alternants sont en CP 84 % des candidats obtiennent leurs certificats à l’issue d’un PF ou d’une PP
PF
PP
CP
CIF
DE
DIF
TT
0.0% 10.0% 20.0% 30.0% 40.0% 50.0% 60.0% 70.0% 80.0% 90.0%100.0%
161
PF
PP
CP
CIF
DE
DIF
TT
0.0% 5.0% 10.0% 15.0% 20.0% 25.0% 30.0% 35.0% 40.0%
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Bilan du 1er janvier au 31 aout 2014Répartition par classes d’âge
Age : 16 à 26 ans
Age : 27 à 44 ans
Age : 45 ans et +
82.0%
91.0%
71.0%
19.4%
60.5%
20.2%
CANDIDATS ADMIS
TAUX DE REUSSITE
162
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CHAPITRE 2Prévisions
163
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PrévisionsNombre de candidats inscrits sur le dispositif de certification
Qualifications Nombre de candidats positionnés
1 Technicien(ne) d'atelier en installations automatisées 19 Opérateur régleur sur MOCN 18
19 Agent qualifié de maintenance en ascenseurs 1421 Opérateur (trice) en maintenance industrielle 130 Assistance en gestion administrative 1041 Mécanicien industriel d'entretien 742 Soudeur industriel 159 Chaudronnier d'atelier 177 Assistant(e) de projet informatique 279 Gestionnaire de Flux de Commandes à l'international 180 Opérateur sur machine de production 182 Assembleur(se) Monteur(se) de système mécanisés 189 Attaché de gestion dans une structure de direction 1
101 Technicien de la qualité 1113 Technicien d essai en électronique 1114 Technicien de développement et d intégration en électronique 5121 technicien logistique 4132 Assistant(e) en sécurité et en environnement 3135 Technicien acheteur industriel 2137 Technicien de maintenance de production 2142 Chargé(e) de projets industriels 4166 Correspondant(e) pour les technologies de l'information et de la communication 2173 Technicien de maintenance réseaux 1176 Négociateur en matériels professionnels: agriculture et espaces verts 9183 Responsable d'une unité autonome de production 30186 Agent de contrôle qualité dans l'industrie 10187 Ajusteur monteur de structures aéronefs 12195 Coordinateur QSE 3226 Inspecteur de pièces de rechange (matériels agricoles et espaces verts) 1243 Opérateur polyvalent d'équipe autonome 1265 Technicien de gestion du personnel 1268 Electricien maintenancier process 26272 Animateur de la démarche Lean 4274 Management d'équipe(s) autonome(s) 22276 Rectifieur sur machine cylindrique universelle 3
Total 206
164
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PrévisionsDate des futurs jurys paritaires de délibération
Mardi 23 septembre 2014 (réalisé)Mardi 21 octobre 2014
Mardi 18 novembre 2014Mardi 16 décembre 2014
165
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CHAPITRE 3Evolutions du dispositif de certification
166
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Evolutions du dispositif de certificationSynthèses des études des CQPM sur les champs
de la chaudronnerie
de l'usinage
du repoussage
du Contrôle Non Destructif
de l’informatique
de l’électronique
de l'éolien
de l’aéronautique
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Evolutions du dispositif de certificationMise en veille et suppression
17 : Ajusteur monteur (A) 29 : Tech. BE et de suivi de chantier (B) 50 : Tech. en installation et en développement micro-informatique (C) 122 : Agent de dépannage de cartes électroniques (A) 140 : Agent technique en climatisation individuelle et autonome (B) 151 : Tech. en équipements de télésurveillance, vidéocommunication et
téléphonie privée (B) 166 : Correspondant(e) pour les technologies de l’information et la
communication (C) 174 : Tech. de télécommunication, réseaux informatiques et domotiques (B) 194 : Tech. micro informatique (B) 201 : Chargé de conception en optique (C*) 204 : Monteur câbleur en réseau et télécommunication (A) 249 : Inspecteur(trice) en vérification périodique d’équipements de levage (B) 258 : Développeur (euse) logiciel Temps Réel pour Systèmes Intégrés et/ou
Embarqués (NC)
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Evolutions du dispositif de certificationCréation et révision
Création :
299 : Préparateur Assembleur Aéronautique (B)
Révision :
002 : Dessinateur d’Etudes Industrielles (B) 125 : Polisseur en micromécanique (A) 206 : Intégrateur Câbleur Aéronautique (A) 210 : Charpentier(ère) Coque (A)
169
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Evolutions du dispositif de certificationQualifications inscrites au RNCP
L’inscription au RNCP de certains CQPM est parue le 11 août 2014 au journal officiel : Arrêté du 29 juillet 2014 portant enregistrement au répertoire national des certifications professionnelles
INTITULÉ de la certification professionnelle
Opérateur-régleur sur machine-outil à commande numérique par enlèvement de matière (CQPM) - A
Soudeur industriel (CQPM) – A
Tuyauteur(euse) industriel(le) (CQPM) - A
Pilote de systèmes de production automatisée (CQPM) - B
Technico-commercial industriel (CQPM) - C
Technicien(ne) de la qualité (CQPM) - C
Chargé(e) de projets industriels (CQPM) - C*
170
171
Commission Paritaire Régionale de l’Emploi et de
la Formation Professionnelle Ile de
France Du 7 octobre 2014
172
ADEFIM-IDF du 1er janvier au 30 septembre
Nbre de salariés
Nbre stagiaires
Nbre heures stagiaires
Nbre de salariés
Nbre stagiaires
Nbre heures stagiaires
2014 2013Evolution
en %
Contrat de professionnalisation 526 526 339 194 341 341 226 424 54 2 543 1 636 55
Plan de formation des entreprises de moins de 10 salariés
1 239 1 478 36 819 1 170 1 446 39 650 6 870 860 1
Plan de formation des entreprises de 10 à 49 salariés
1 909 2 411 50 873 2 282 2 926 61 129 -16 1 664 1 955 -15
Plan de formation des entreprises de 50 salariés et plus
10 138 12 704 231 077 8 506 10 374 203 964 19 7 449 5 702 31
Période de Professionnalisation 12 329 15 489 389 196 12 733 15 335 421 960 -3 6 618 7 134 -7
Droit Individuel de Formation 6 566 7 109 163 988 8 478 9 301 192 071 -23 3 336 3 793 -12
Portabilité DIF 354 364 25 075 313 326 24 745 13 267 232 15
FPSPP axe PP/DIF 13 13 1 414 - - - - 15 - -
FPSPP axe chômage partiel 631 810 16 356 236 283 4 952 167 623 153 307
FPSPP CSP 319 393 96 078 340 390 111 887 -6 1 412 1 591 -11
FPSPP Socles et illettrisme 97 101 4 150 7 7 201 1286 172 6 2767
Région IDF : sécurisation des parcours professionnels
404 434 12 781 471 524 15 292 -14 100 135 -26
ADEC Charte automobile 229 349 7 026 117 137 3 830 96 92 41 124
FPSPP Mutations économiques 140 247 5 092 - - - #DIV/0! 212 - #DIV/0!
FNE 144 159 4 471 232 259 5 356 -38 79 45 76
FSE - - - - - - #DIV/0! - 170 -100
POE 50 50 10 749 10 10 2 050 400 110 16 588
TOTAL 35 088 42 637 1 394 339 35 236 41 659 1 313 511 0 - 25 562 23 469 9
Engagements en K€2014 2013 Evolution en % du nbre de salariés
2014/2013
173
ZOOM FINANCEMENTS EXTERIEURS
Accord Régional
Accord avec le Conseil Régional Ile de France sur « des actions concertées pour la mise en place de parcours de continuité professionnelle et la consolidation de l’emploi pour les salariés »
Il concerne :- Les salariés : employés, ouvriers, les femmes et les salariés de 45 ans et plus sans condition de CSP- Des entreprises de moins de 250 salariés n’appartenant pas à un groupe- Pour des actions de lutte contre l’illettrisme, bureautique, travail en équipe, langues étrangères, mécanique ou maîtrise d’atelier- Enveloppe 2014 : 147 K€
174
Amélioration de la performance industrielle dans le secteur aéronautique (sous-traitants de rang 2 et infra)
Opération à l’initiative du GIFAS qui comporte deux volets :
- Un volet conseil accompagnement afin de garantir la pérennité des fournisseurs- un volet formation pour donner les bases de l’amélioration continue (amélioration de la relation donneurs d’ordres/fournisseurs, capitalisation et développement des emplois de la filière, amélioration de la sécurité et des conditions de travail )
Ce dernier volet fait l’objet d’un double financement extérieur :
- ADEC régional pour 30% des coûts pédagogiques- financement du FPSPP mutations économiques pour 70% des coûts pédagogiques et 13€ par heure/stagiaire pour les salaires
4 modules de formation : sensibilisation/initiation de la direction, MRP2, Lean Aéro, conduite de projets d’amélioration50% de salariés âgés de 45 ans et plusEnveloppes :- ADEC : 98 940 € (hors frais de gestion) sur 3 ans- FPSPP : 206 528 € (sur 2 ans)
175
FNE Formation (DIRECCTE IDF)
Objectif : Financer des actions de formation pour maintenir et développer l’employabilité des salariés et favoriser leur adaptation aux mutations économiques et à l’évolution des technologies.
Public : Tous les salariés, en particulier - dont l’emploi est menacé- de faible niveau de qualification ou dont les qualifications risquent
de devenir obsolètes- de niveau V et infra- âgés de 45 ans et plus
des entreprises de moins de 250 salariés n’appartenant pas à un groupe.
Période : du 01/03/2014 au 30/09/2015
Prise en charge : 36% des coûts pédagogiques et salaires
Enveloppe : 300 K€
176
Présentation des comptes de l’ADEFIM-RP
au 31/12/2013(article 88-2 de l’accord du 1/07/2011)
CHARGES
En € En %Personnel 2 740 378 73
Achats 48 514 1
Services extérieurs 837 698 22
Impôts et taxes 52 554 2
Dotations aux amortissements 42 762 1
Dotations aux provisions pour risques
31 969 1
Charges exceptionnelles 358 0
Total 3 754 233 100
177
PRODUITS
En €Couverture frais OPCA 3 771 500
Autres produits et produits exceptionnels 8 136
Produits financiers 2 836
Total 3 782 472
178
RESULTAT
En €
Total des charges 3 754 233
Total des produits 3 782 472
Résultat 28 239
Ces comptes ont été approuvés lors du CA et de l’AG du 24/06/2014.(Le rapport du commissaire aux comptes vous est remis sur table ce jour)
179
180
Présentation des comptes de l’ADEFIM 77
au 31/12/2013(article 88-2 de l’accord du 1/07/2011)
CHARGES
En € En %Personnel 449 275 75
Achats 11 742 2
Services extérieurs 115 283 19
Impôts et taxes 10 731 2
Dotations aux amortissements 12 024 2
Dotations aux provisions pour risques
2 178 0
Charges exceptionnelles 412 0
Total 601 645 100
181
PRODUITS
En €Couverture frais OPCA 553 971
Autres produits et produits exceptionnels 43 373
Produits financiers 2 522
Total 599 866
182
RESULTAT
En €
Total des charges 601 645
Total des produits 599 866
Résultat - 1 779
Comme prévu par le traité de fusion, ces comptes ont été approuvés lors du Bureau de l’UIMM Seine et Marne 16/05/2014.(Le rapport du commissaire aux comptes vous est remis sur table ce jour)
183
CPREFP du 7 octobre 2014
Taxe d’apprentissage
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FORMATIONTaxe d’apprentissage : clôture de l’exercice 2013 de GIM-TA
Collecte réalisée par GIM-TA en 2013 sur salaires 2012
Affectation du disponible
1 FNDMA 15 709 597
2Quota hors FNDMA affecté par les entreprises
16 308 272
3Quota hors FNDMA non affecté par les entreprises (quota "disponible")
1 080 758
4 Frais de collecte 264 806
5 = 1+2+3+4 TOTAL QUOTA 33 363 433
6 Affecté par les entreprises 23 514 771
7Non affecté par les entreprises (Hors Quota "disponible")
879 838
8 Frais de collecte 371 488
9 = 6+7+8 TOTAL HORS QUOTA 24 766 097
10=5+9 TOTAL TAXE D'APPRENTISSAGE 58 129 530
11= 3+7Dont non affecté par les entreprises ("Disponible")
1 960 596
12 = 4+8 Total Frais de collecte 636 294
13 CDA 25 147 813
14 CSA 6 125 367
15=10+13+14TOTAL TRAITE PAR GIM-TA (Taxe + CDA =CSA)
89 402 710
16 = 1+13+14 Montants fiscalisés 46 982 777
QUOTA
HORS QUOTATotal à affecter 1 960 596
CFAI AFORP 1 798 596
CFAI AFTI 40 000
CFAI CEFIPA 50 000
CFAI MECAVENIR 40 000
CFA FORMASUP PARIS 10 000
FACO 7 000
LYCEE JULES RICHARD 15 000
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FORMATIONTaxe d’apprentissage : clôture de l’exercice 2013 de GIM-TA
Compte de résultat GIM-TA Exercice 2013COLLECTE TAXE 89 402 710,00
REPARTITION COLLECTE 88 766 416,00
SOLDE COLLECTE = FRAIS DE GESTION 636 294,00
AUTRES PRODUITS 250,00
CHARGES D'EXPLOITATION -698 530,44
RESULTAT D'EXPLOITATION -61 986,44
PRODUITS FINANCIERS 83 273,08
CHARGES FINANCIERES -2,34
RESULTAT FINANCIER 83 270,74
RESULTAT COURANT 21 284,30
PRODUITS EXCEPTIONNELS 2 593,08
CHARGES EXCEPTIONNELLES -29 573,28
RESULTAT EXCEPTIONNEL -26 980,20
SOLDE INTERMEDIAIRE -5 695,90
ENGAGEMENTS A REALISER SUR RESSOURCES AFFECTEES -259 464,26
REALISATION SUR ENGAGEMENTS REALISES 440 473,16
RESULTAT NET 175 313,00
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FORMATIONCollecte 2014 ADEFIM-IDF
Périmètre GIM Périmètre Seine et Marne TOTAL
1 Quota lié à l'emploi d'aprentis 18 010 439 475 488 18 485 927
2 Quota hors emploi d'apprentis 3 224 237 469 289 3 693 526
3 FNDMA 16 028 290 589 069 16 617 359
4 Catégorie A 10 531 379 433 800 10 965 179
5 Catégorie B 9 970 213 426 492 10 396 705
6 Catégorie C 4 502 552 201 113 4 703 665
7 OSP 400 265 4 564 404 829
8= 1+2+3+4+5+6+7 TOTAL TAXE 62 667 375 2 599 815 65 267 190
0
9 CDA 25 543 738 969 808 26 513 546
10 CSA 5 827 955 309 464 6 137 419
0
11=8+9+10 TOTAL TRAITE PAR ADEFIM IDF 94 039 068 3 879 087 97 918 155
0
12=3+9+10 Montants fiscalisés 47 399 983 1 868 341 49 268 324
TAXE D'APPRENTISSAGE
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FORMATIONCOLLECTE 2014 ADEFIM IDF
Répartition du disponible Périmètre GIM Périmètre Seine et Marne TOTAL
AFORP 2 500 031 20 000 2 520 031
MECAVENIR 88 317 88 317
CEFIPA 102 044 102 044
AFTI 92 294 92 294
LYCEE JULES RICHARD 65 000 65 000
CFA FORMASUP PARIS 10 300 10 300
FACO 7 210 7 210
CFAI MARNE LA VALLEE 534 168 534 168
CFAI YONNE 15 000 15 000
CFA UTEC CCI 77 10 000 10 0002 865 196 579 168 3 444 364
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QUESTIONS DIVERSES
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Impact de la réforme de la taxe d’apprentissage sur le calendrier de la CPREFP Ile de France
Titre
Sur l’affectation du disponible résultant de la collecte effectuée par OPACIM/ADEFIM IDF :
– Articles L6241-3 et D.6241-4 du Code du Travail :» Les OCTA doivent adresser aux Régions avant le 15 mai de chaque
année une proposition de répartition sur leur territoire des fonds du solde du quota et de la CSA non affectée par les entreprises
Sur l’exécution du transfert de branche – Accord de branche « Formation » (projet) :
» Les CPREFP inscrivent chaque année à l’ordre du jour de l’une de leurs réunions, l’examen des modalités d’exécution, au plan régional, de la recommandation établie par le groupe paritaire « Transfert »
Article de du
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Impact de la réforme de la taxe d’apprentissage sur le calendrier de la CPREFP Ile de France
Titre
Sur l’affectation du disponible résultant de la collecte effectuée par OPCAIM/ADEFIM IDF : – Articles L6241-3 et D.6241-4 du Code du Travail :
» Les OCTA doivent adresser aux Régions avant le 15 mai de chaque année une proposition de répartition sur leur territoire des fonds du solde du quota et de la CSA non affectée par les entreprises
Conséquences possibles :– Décalage vers Avril de la réunion de début d’année de la CPREFP
(traditionnellement plutôt calée vers février) ?
– Maintien de la réunion de février, et réunion en Avril dédiée à ce seul sujet ?
– Consultation par mail en avril (si l’accord de branche le permet )?
Article de du
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Impact de la réforme de la taxe d’apprentissage sur le calendrier de la CPREFP Ile de France
Titre
Sur l’exécution du transfert de branche – Accord de branche « Formation » (projet) :
» Les CPREFP inscrivent chaque année à l’ordre du jour de l’une de leurs réunions, l’examen des modalités d’exécution, au plan régional, de la recommandation établie par le groupe paritaire « Transfert »
Conséquence :– Inscription de ce point à l’ordre du jour de la réunion CPREFP du
2ème semestre
Article de du