تهدى هذه الجريدة الى روح المرحومة اسمت بهبهاني والدة صادق بهبهاني . الفاتحة الى روحها Lire Fatiha en la mémoire de la défunte Assamatte Bahbahani

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Janvier / Fevrier2019/1440 Si vous désirez recevoir gratuitement des livres islamique, bien vouloir nous contacter. p12

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Comment ne pas raté son enfance?

La visite surprise du président soudanais à Damas. P12

Les origines de la guerre de Jamal. P4

Qui est Qassim ibn Moussa Al-Khazim. P5

Que retenir de évènements culturels de ce mois? P10

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L’imam Reza (as) disait: « Ô fils de Shabîb, si tu es en train de pleurer pour quelque chose, alors pleure sur mon aïeul al Hussein

fils de Alî fils d’Abû Tâleb (p) car il(p) a été égorgé comme un bélier. Avec lui, ont été tués dix huit membres de sa famille qui n’avaient pas d’égaux sur terre. Les sept cieux

et les terres ont pleuré...

La jeunesse, une étape importante de la vie

Par Ali Bernard CHANGAM بسمه تعالى و الصالة و السالم علي سيدنا محمد و آله اطهار

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N°:

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افتتاحية

La religion de l’islam insiste fortement sur la jeunesse et a or-donné de prendre soin des jeunes et de ne pas négliger leur édu-cation. Car le jour du jugement nous serons interrogés sur ce que nous aurons fait de notre vie et sur ce que nous aurons fait spé-

cialement de notre jeunesse. Ceci est une preuve de l’importance de cette période de la vie. Cette jeunesse est une période très sensible car elle trace ton chemin dans la vie, il est dit que celui qui passe sa jeunesse sur une chose la continuera toute sa vie. Toute communauté tire son énergie et sa vivacité de sa jeunesse. Sans cette jeunesse, toute communauté s’affaiblira et périclitera. La jeunesse est la colonne vertébrale de la communauté et ses armes, ses outils, elle a une énorme influence sur la communauté, soit positive soit négative. Nous ne manquons pas d’exemples en ce sens. Le Coran mentionne l’histoire de Ibrahim as lorsqu’il détruisit les idoles de son peuple alors qu’il était un jeune garçon, comme le mentionne le verset suivant (Certains) di-rent: «Nous avons entendu un jeune homme médire d’elles; il s’appelle Abraham ». Egalement, un jeune homme croyant dans l’entourage de Pharaon qui n’eut pas peur de la force de ce dernier, et lui affirma sa foi clairement en dépit des menaces qui pèse-raient sur lui, comme le cite le verset suivant « Et un homme croyant de la famille de Pharaon, qui dissimulait sa foi, dit : ‹Tueriez-vous un homme parce qu’il dit : ‹Mon Seigneur est Allah› . Ou encore dans l’histoire de Asshab al Qariah, c’était une région où Allah azza wa jalla avait envoyé 3 prophètes, leur peuple les a rejetés, combattus et tués. Tous ceux qui avaient accueilli la foi la dissimulaient par crainte de la mort. Puis un jeune homme est venu et a brisé ce silence : «Ô mes concitoyens, écoutez ce que vous disent les pro-phètes ! Suivez ceux qui ne vous réclament aucun salaire et qui sont sur le droit che-min ! Pourquoi n’adorerais-je pas Celui qui m’a créé et vers qui votre retour est inéluc-table? Enfin, les jeunes de la caverne, qui s’étaient éloignés de leur peuple et de sa perversité en se cachant dans leur caverne, comme le cite la sourate la caverne : « Ce sont des jeunes gens qui croyaient en leur Seigneur; et Nous leurs avons accordé les plus grands moyens de se diriger [dans la bonne voie]. » Ainsi nous avons vu que la jeunesse est la force de toute communauté, sa confiance et son espoir. Toujours lorsque l’incroyance règne et l’injustice menace de jeunes gens savent se lever pour les contrer et cela en de maints endroits dans le Coran. Cher frère, chère sœur, pose toi la quesiton suivante : pourquoi as§tu éé créé ? Pour-quoi ? La réponse est claire : c’est pour réaliser l’adoration pure envers ton Seigneur

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AL-Qur''an (le coran) est un mot arabe qui signifie la lecture ou la récitation parfaite et excellente du texte sacré. C'est la parole de Dieu qui est aussi l'expression matérielle d'un livre supérieure caché dans un monde céleste et invisible (kitab maknoum).Pour le musulmans, le Coran en tant que texte physique révèle à mohammad, est un texte char-gé de signification illimitées de valeurs morales parfaites et de loi adaptées à la nature humaine. Relevé à Mohammad par l'intermédiaire de l'ange Gabriel, le Coran est doté également d'une caractéristique linguistique inimitable, ce qui fait de lui une livre mys-tique supérieur et révélateur du mystère divin, le caractère miraculeux de la révélation, au nouveau de la forme comme au niveau de la substance, garantissait la crédibilité de la prophétie de mohammad et l'authen-ticité du coran. A partir de la croyance qu'il s'agit de la parole de Dieu indépendant de celui qui la reçoit, le concept de supé-riorité de texte coranique imposé le livre comme source incontournable de lois, des mœurs et des valeurs spirituelles. A ce sens ,Henry Corbin apporte l'éclairage suivant :" le phénomène du livre saint, réglé de vie en ce monde et guide au-delà de ce monde.la tâche première et dernière est de comprendre le ses vrai de ce lièvre. Mais le mode de comprendre est conditionné par le mode d''être de celui qui comprend; réciproquement, tout le comportement intérieur du croyant dérive de son mode de comprendre"(1). La fonction normative du Saint coran ,ouvrant la voie vers un ordre juridique ,explique à la fois son style explicite extériorise et sa capacité à concilier le temporel et le spirituel. Ce livre sacré des musulmans est donc la référence centrale autour de laquelle trouve toute la question religieuse.il est dans la tradition mu-

sulmane," un rappel" et un livre descendu du ciel avec des ordres de Dieu, donc une révélation de décisions de Dieu pour l'organisation de vie de communau-té"(2). Le dernier livre que Dieu ait choisi pour transmettre à l'humanité sa nouvelle loi et réglementer la pratique individuelle et collective de la spiritualité. Le Coran se présente aussi comme un texte qui donne sens à la vie et à la mort du musulman et qui trace le sens dans lequel l'ETAT musulman doit avancer son caractère canonique et juridique, si prononcé découlant de son origine et de sa fonction fait de lui la loi révélée( cha-ria) applicable par un pouvoir politique aux membres de la communauté musulmane. "Rappelons que la vie des hommes se déploie dans un espace socio poli-

tique, où "politique" renvoie à la polis, le mot grec qui signifie une "cite (politique) et, par extension, une société politique" en générale "L'Etat" au sens le plus large. Depuis la philosophie grecque, la politique est soutenu par une conception de ce qu'est la vie politique. Dans le sens large, il y a bien sûr aussi du politique dans le discours prophétique en général...on peut considérer que tout le discours coranique, même celui qui est essentiellement spirituel ou rituel, recèle un aspect poli-tique ou encore que le rituel religieux se déploie dans un espace politique.(3). Cette les musulmans s'accordent sur le caractère divin du coran qui établit dans sa pureté le message de Dieu et s'identifie à une sorte de code révèle, mais ils divergent non seulement sur son authenticité, mais aussi sur interprétation. Source: 1)HENRY CORBIN,histoire de la philosophie islamique,collection Folio/essai,édition Gallimard,paris1997. 2)JACQUES JOMIER, DIEU et L'HOMME DANS LE CORAN,édition cerf,Paris 1996. 3)MOHAMMAD ARKOUM,la construction humaine de l'islam,Albin Michel,2012 paris.

Article rédigé par Sayyid abdhoul kaba depuis le Congo

"LA CRISE DE L'INTERPRÉTATION DU SAINT CORAN"

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Selon les paroles de l’Imam Ali (a), on peut citer deux causes pour lesquelles ce combat eut lieu: Talha et Zubayr étaient à la recherche de l’autorité.

D’après l’Imam Ali (a), ils avaient une rancune envers lui pour quatre raisons: Le Prophète (s) l’a préféré au père d’Aiche (Abu bakr). Le Prophète (s) considérait lui et personne d’autre, comme son frère. Le Prophète (a) ferma toutes les portes qui ouvraient sur la mosquée y compris la porte de la maison d'Abu Bakr, seule la porte de la maison de l’Imam Ali (a) resta ouverte sur la mosquée (le récit de Sadd al-Abwâb). Suite à la défaite de certains compagnons comme Abu Bakr et 'Umar, durant la bataille de Khaybar, le Pro-phète (s) décida de confier le drapeau à Ali (a) et ce dernier gagna. Rajoutons également que Talha et Zubayr se voyaient au même niveau que l’Imam Ali (a). Ils pensaient alors avoir un mérite pour le califat comme l’Imam Ali (a) et espéraient que ce dernier les consulte dans des sujets différents. Lorsqu’ils virent qu’ils n’ont rien obtenu, ils décidèrent de combattre l’émir des croyants (a).

La bataille de Jamal, traduit en français "La bataille du Chameau", est la première bataille durant le califat de l’Imam Ali (a). Elle a été organisée par Aïcha, l'épouse du Prophète (s), ainsi que Talha et Zubayr, contre l'Imam Ali et a eu lieu en l’an 36 H/656 aux alentours de Bassora. Prétendant que l’Imam Ali (a) avait participé à l'assassinat de 'Uthman, ils démarrèrent ce combat pour venger sa mort. Le nom de la ba-taille « la bataille de Jamal », revient au fait qu’Aïcha y fut présente, montée sur un chameau rouge. Ce fut le premier combat interne à la communauté musulmane (ou guerre civile). L’Imam Ali (a) gagna cette bataille, Talha et Zubayr furent tués et Aïcha fut ramenée à Médine.

La bataille de Jamal

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Quand ils sont arrivés en ville, ils ont envoyé la jeune fille à sa porte par terre et ont fait une pente et le cheikh marchait derrière elle jusqu'à ce qu'elle atteigne la porte de la maison et y soit entrée, laissant le cheikh et la fille debout derrière la porte ... Bihar anwar 48/282 Son père l’imam Moussa Al-Kadzim (as) l'aimait beau-coup et a parlé de lui dans ses commandements. Sayyid Al-Jaleel, Taher Radha al-Din Ali bin Moussa bin Ta-woos, écrivait dans son livre Mesbah al-Zuhair, faisant mention pour sa visite, fait une relation avec Abi al-Fadl al-Abbas ibn al-Amir al-Mu'minin et Ali Al-akbar tués a kerbala. Il a mentionné que sa tombe se trouve à proximité de la colline estivale des Hashimiyah, un sanctuaire visité par les gens. Les gens sont censés se rendre et demander des bénédictions. La tombe de Qassim ibn Moussa al-kazim a été mentionnée dans le dictionnaire des pays et dans le Baghdadi, un livre des site de Baghdad. L’imam Moussa Al-Kazim (as) faisant mention du nombre de ses enfants en relatant leur mérites, fini a la fin de ses propos en disant que Qassim est le meilleur. L'imam Musa bin Jaafar (que la paix soit sur lui) le rendit Moutawali (le garant) de sa confiance après la mort d'Ali ou d'Ibrahim. Comme les membres de la famille du Prophète (saw), Qassim fut torturé à la Madina au point où il était obligé de fuir pour se refugier dans un village bédouin irakien. Grace à sa piété et sa dévotion pour Allah, il fut adopté comme fils du chef de cette tribu bédouine. Ensuite la charge de conduire les troupeaux lui fut confié. Il le faisait avec amour que le chef ne tarda de lui proposé sa famille en ma-riage. Il épousa la fille du chef et fit un enfant (fille) avec cette dernière.

Il tomba malade et les traits de la mort se senti sous son visage. La maman de son épouse très attristé envoya alla lui demander de quel lignée il était afin qu’après lui, sa fille puisse retourner dans sa fa-

mille. Qassim refusa de dire ses origine jusqu’à vint le chef lui-même sur son chevet pour le même problème. Qassim prit un engagement avec lui de lui dire la vérité a condition qu’il respecte son testament et protège sa fille. Lorsque le chef scella cette engagement par un serment. Alors Qassim lui fit savoir qu'il est Qassim fils de l’imam Mussa fils de Jafar fils Baquer fils de ali fils de hussein fils de Fatima zahara fille de Muhammad sceau des Prophètes et envoyé d’Allah (saw). Le chef tomba au sol et se mit a pleurer et a demander l’inter-cession de Qassim. Qassim demanda au chef, qu’après sa mort, qu’il aille à la Madina avec sa fille lui montré à sa maman. Qassim rendit l’âme le 22 Joumada Oula. Le chef se rendit à la Madina avec sa fille comme promit chez la maman de Qassim veuve de l’imam Musa al-

kazim (as). Et lorsque la maman de Qassim a vu la fillette, elle s’exclama: ça c’est la fille de mon fils Qassim et le chef confirma. La maman de Qassim se mit a pleuré au point où elle rendit l’âme. Paix sur les membres de la famille du prophète!

Qassim ibn Moussa al-kazim

Par le Dr Fadhel al-faraj

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Allah a fait de la jeunesse une pé-riode de la vie, pleine de force et de production, pleine de vitalité et d’activité. Une période qui se situe entre deux périodes de faiblesse : la faiblesse de l’enfance et la faiblesse de la vieillesse. Allah dit : « Allah, c’ est Lui qui vous a créés faibles; puis après la faiblesse, Il vous donne la force; puis après la force, Il vous réduit à la faiblesse et à la vieillesse: Il crée ce qu’ Il veut et c’ est Lui l’ Omniscient, l’ Omnipo-tent. » [Ar-Rum, Les Byzantins, 30 – v.54] Chaque être humain, sera interrogé le jour du jugement sur sa vie et particulièrement sur cette pé-riode de force qu’est la jeunesse particulièrement. Rassoulou Allah (PSL) dit : « Les pieds du serviteur ne feront pas un pas le Jour du Ju-gement avant qu’il ne soit interrogé sur quatre choses : sur sa vie com-ment il l’a passée, sur sa jeunesse à quoi l’a-t-il occupée, sur sa fortune, comment il l’a acquise et où l’a-t-il dépensée et sur sa science, à quoi s’en est-il servi. » A travers cela, la jeunesse musulmane doit profiter de cette période pour renforcer ses actes d’obéissance et ses actes d’adoration, de multiplier les actes de bien et l’acquisition de la science bénéfique et de ne pas dépenser cette énergie de la jeunesse dans le jeu, les loisirs et les passions et aug-menter ainsi le fossé avec l’adora-tion du Créateur. Allah nous a montré dans le Coran, la responsabilité que doit porter la jeunesse musulmane et nous a don-né en cela des exemples de jeunes qui ont connu Allah et qui Lui ont voué leur vie. Les adeptes de Mous-sa (PL) ont été tous jeunes : Allah nous cite : « Personne ne crut (au message) de Moïse, sauf un groupe de jeunes gens de son peuple, par crainte de représailles de Pharaon et de leurs notables.» [Yunus, Yunus, 10 – v.83.] Les gens de la Grotte étaient des jeunes : « Nous allons te raconter

leur récit en toute vérité. Ce sont des jeunes gens qui croyaient en leur Seigneur; et Nous leur avons accordé les plus grands moyens de se diriger (dans la bonne voie). »[Al-Kahf, La Caverne, 18 – v.13] Ibra-him (Abraham) (Paix sur Lui) était aussi jeune quand il décida d’aller détruire les idôles, le Coran cite : « Certains dirent: “Nous avons enten-du un jeune homme médire d’elles; il s’ appelle Abraham » Et Yous-souf (Joseph) était jeune quand il fut confronté à la souffrance de la prison et à l’invitation à commettre la fornication, mais il préféra l’obéissance d’Allah. l’Imam Ali était jeune lorsqu’il embrassa l’islam et mettra sa jeunesse au ser-vice de l’islam. Ce sont des exemples de jeunes qui ont voué leur âme à Dieu et c’est de ces modèles que nos jeunes de-vraient s’inspirer et de se tourner vers les responsabilités qui leur in-combent. Musulmans, jeune frère musulman, et jeune sœur musulmane, n’oublies pas qui tu es, tu es le serviteur de Dieu, tu as été créé pour L’adorer, avec tout le sens global que prend l’adoration, tu es le vicaire de Dieu sur terre, gestionnaire, gardien, juste, protecteur, tu es un musul-man, qui porte une grande religion, une voie, un mode de vie, des va-leurs, une éthique, une civilisation, tu es musulman, tu marches sur les pas du Messager de Dieu, Moha-med, (PSL), tu prends son modèle et tu suis ses enseignements, tu transmets son message, par ta pa-role, ton attitude extérieure et tes principes, tu es un destin pour ton pays, Dieu en a voulu ainsi, pour chacun d’entre nous, alors, sois fier de ce que tu es, ne te sous-estime pas, et ne te compare pas à d’autres, comparaison, qui risque de t’emme-ner loin de la voie de Dieu, mais Dieu t’a choisi, par Sa Grâce et Sa bienveillance pour porter cette reli-gion, et les responsabilités qui en

découlent. Et parmi ces responsabilités : Préserver son identité et sa person-nalité musulmane et de ne pas fondre et perdre tout signe de reli-giosité. Faire sa prière, s’acquitter de l’aumône, jeûner, s’interdisant les interdits, être jaloux pour sa reli-gion, être sain dans sa foi, correct dans sa pratique, d’une éthique so-lide, d’un esprit cultivé, organisé dans ses affaires, préservateur de son temps, capable de gagner sa vie et bénéfique aux autres humains. Bâtir un foyer musulman, bien choisir l’épouse ou l’époux, et ob-server la bienséance musulmane dans tous les aspects de la vie fami-liale, veiller à la bonne éducation des enfants, et de les élever dans le respect des enseignements de l’Islam, de ne pas laisser ses enfants proie à une mauvaise éducation. Allah dit : « Ô vous qui avez cru! Préservez vos personnes et vos fa-milles, d’ un Feu dont le combus-tible sera les gens et les pierres» Chers frères et sœurs, La responsabilité de la jeunesse ne s’arrête pas là, mais notre jeunesse dans ce pays doit sentir la fierté d’appartenir à une grande commu-nauté et à un monde musulman, et qu’ils partagent avec leurs frères et sœurs musulmanes leurs joies et leur souffrance et de sortir de cet égocentrisme et cet individualisme. L’Islam nous apprend à être soli-daires les uns des autres, mais aussi génération avec génération. Nos jeunes doivent apprendre à être ser-viables à la société et à leur com-munauté et que l’Islam soit l’axe de leur vie Rappelez vous ce verset : « Dis mes prières et mes actes d’adoration, ma vie et ma mort sont pour Allah, Seigneur des Mondes. » Alors, soyez les acteurs de votre destin et porter ce bien qui est en vous pour illuminer la vie de ceux qui sont autour de vous !

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يعرض التأريخ لنا شعوبا وأمما كثيرة ، فطائفة اجتازت سلم الرقي بسرعة ، ووصلت طائفة ثانية إلى أسفل

مراحل اإلنحطاط ، وطائفة ثالثة عاشت يوما في تشتت وضياع وتناحر وتفرقة ، ثم قويت في يوم آخر ، وطائفة رابعة على العكس منها إذ سقطت من أعلى مراتب الفخر إلى قعر وديان الذلة والضياع.

والكثير من الناس يمرون مرور الكرام على حوادث التأريخ المختلفة دون أي تفكر فيها ، والكثير منهم بدال من

البحث في العلل أو األسباب الواقعية لحياة الشعوب وموتها يرجعون ذلك إلى أسباب وهمية وخيالية.

ويرجعوها آخرون إلى حركة األفالك ودورانها إيجابا وسلبا.

وأخيرا فإن بعضهم لجأ إلى مسألة القضاء والقدر بمفهومها المحرف ، أو إلى مسائل حسن الطالع والحظ وعدمهما ، وما شابه ذلك ، فيرجعون كل الحوادث الحسنة أو المرة إلى هذه األمور. وكل ذلك بسبب الخوف من

األسباب الحقيقة لتلك األمور.

والقرآن الكريم في اآليات المتقدمة يضع أصبع التحقيق على األصل والمنبع ، ويبين أنواع العالج وأسباب النصر والهزيمة فيقول : ألجل معرفة األسباب األصيلة ال يلزم البحث عنها في السماوات وال في األرضين ، وال وراء األوهام والخيال ، بل ينبغي البحث عنها في وجودكم وفكركم وأرواحكم وأخالقكم ، وفي نظمكم واإلجتماعية ،

فإن كل ذلك كامن فيها.

فالشعوب التي فكرت مليا وحركت عقولها ووحدت جموعها وتآخت فيما بينها ، وكانت قوية العزم واإلرادة ، وقامت بالتضحية والفداء عند لزوم ذلك ، هذه الشعوب منتصرة حتما.

أما إذا حل الضعف والتخاذل والركود مكان العمل والسعي الحثيث ، وحل التراجع مكان الجرأة والنفاق والتفرقة

مكان اإلتحاد ، وحب النفس مكان الفداء ، وحل التظاهر

والرياء محل اإلخالص واإليمان ، فيبدأ عند ذلك

السقوط والبالء. منه أنوار العلم والحرية ، ويبسط ظالله

على أقوام جدد بالثقافة والعلوم ، فكان ذا قدرة

متحركة ومحركة وبناءة معا ، وجاء بمدنية زاهرة لم يشهد التاريخ مثلها ، ولم تمر بضعة قرون حتى أخذ الخمول يعطل

تلك الحركة ، وأخذت الفرقة والتشتت والضعف والخور

والتخلف مكان ذلك الرقي ، حتى بدأ المسلمون يمدون أيديهم إلى اآلخرين طلبا لوسائل الحياة اإلبتدائية ، ويبعثون بأبنائهم إلى ديار األجانب ألخذ الثقافة والعلم ، بينما كانت جامعات المسلمين يومئذ من أرقى جامعات العالم

العلمية والمراكز التي تهوي إليها أفئدة األصدقاء واألعداء ابتغاء المعرفة. لكن األمور بلغت حدا بحيث أنهم لم يصدروا علما وصناعة ، بل استوردوا ما يحتاجونه من خارج بلدانهم.

المؤلف : ناصر مكارم الشيرازي الكتاب أو المصدر : تفسير األمثل

أسباب حياة الشعوب وموتها

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Quand les premiers musulmans avaient cherché refuge en Abyssinie, ils avaient été amenés devant le roi Négus et son peuple. Ja'far bin Abī Tālib, qui était le chef des musulmans, les informa au sujet de la religion que le pro-phète Mohammad sallallāhou 'alayhi wa-ālihi wa-sallam avait apportée et récita ensuite des versets de la Soūrate Maryam. Le roi et quelques-uns de ses courtisans avaient été si affectés par ce qu'ils venaient d’entendre que des larmes coulèrent sur leurs joues. C'était une démonstration silencieuse de la reconnaissance de la vérité qu'ils avaient entendue. Un cœur qui est réceptif est affecté quand il voit l'indéniable vérité. C'est ce à quoi la fitrah de l'être humain aspire secrètement. Quand il la reconnaît et l'accepte, l'émotion est écrasante. Le Coran a donné un autre exemple à tra-vers l'histoire des magiciens dans la cour de Pharaon. Quand ils ont reconnu la vérité apportée par le Prophète Moïse ‘alayhis salām, ils se sont immédiatement prosternés. C'était une réponse involontaire au miracle dont ils avaient été témoins, un signe de l'impact de la vérité sur des cœurs illuminés. (Voir Q 26:45-47) Les larmes révèlent l'intensité et la sincérité ressenties intérieurement. Ce n'est pas un signe de faiblesse, mais plu-tôt la marque d’une conscience et d’une connexion puissantes. Le Saint Prophète (s) dit : Les larmes sont une mi-séricorde qu'Allah a placée dans la nature de ses serviteurs. (Bihārul Anwār, v. 79, p. 91, H 43.). C'est le manque de larmes qui a été condamné par l'Islam - Le Coran demande: “Quoi ! Vous étonnez-vous de ce discours (le Co-ran)? Et vous [en] riez et n'[en] pleurez point ?” (Q 53:59-60) Il y a des bienfaits physiques et émotionnels dans les larmes. Elles humidifient l'œil et l'empêchent de s’assécher. Elles guérissent et apaisent les émotions, en fournissant un exutoire aux émotions puissantes. Une personne se sent plus légère après avoir pleuré. (Voir https://www.independent.co.uk/life-style/health-and-families/features/how-crying-can-make-you-healthier-1009169.html ) L’Imam al-Sādiq ‘alayhis salām parle des bienfaits des pleurs chez l’enfant: Observez les avantages qui découlent des pleurs chez l’enfant. Il y a un liquide dans le cerveau de l'enfant qui, s'il n'est pas évacué, peut provoquer des troubles ou des maladies, voire la perte d'un œil. L'écoulement du liquide de son cerveau le garde en bonne santé et rend ses yeux plus lumineux. L'enfant profite de ses pleurs tandis que ses parents, dans leur ignorance, essaient de les interrompre en répondant à ses désirs, sans en connaître les avantages. (Hadith of Mufaddal - traduit de l’anglais). Une connexion spirituelle avec Allah entraîne nécessairement des larmes. Elles sont de différents types: 1. Les larmes de foi - Et ils tombent sur leur menton, pleurant, et cela augmente leur humilité. (Q 17:109) 2. Les larmes de soumission - Quand les versets du Tout Miséricordieux leur étaient récités, ils tombaient proster-nés en pleurant. (Q 19:58) 3. Les larmes de désir d'Allah. Amīrul Mo’minīn Imam Ali (a) dans le Dou’ā Komail dit: Je pleurerais sur Toi des pleurs de ceux qui pleurent leurs disparus. 4. Les larmes de crainte d’Allah – Le Saint Prophète (s) dit: Heureux est le visage sur lequel Allah pose Son Re-gard alors qu'il pleure pour un péché par crainte d'Allah, l'Exalté, alors que personne d'autre n’a connaissance de ce péché, excepté Lui. (Bihārul Anwār, v.93, p. 331) Laissons ce verset nous nous inciter à valoriser le pouvoir des larmes. Il est plus puissant que tous les mots que nous pourrions prononcer. Utilisons les larmes lorsque nous parlons à Allah, ou même lorsque nous pensons à Lui. Cela élèvera notre relation avec Lui vers de nouveaux sommets. Sources: Agha Muhsin Qarā’atī, Tafsīr Nūr; https://www.al-islam.org/tradition-of-mufaddal-pearls-of-wisdom-from-imam-jafar-as-sadiq;

Le langage des larmes

ا عرفوا من الحق سول ترى أعينهم تفيض من الدمع مم وإذا سمعوا ما أنزل إلى الر

Et quand ils entendent ce qui a été descendu sur le Messager [Muhammad], tu vois leurs yeux déborder de larmes, parce qu'ils ont reconnu la vérité.

(Soūratul Mā’idah, No.5, Āyat 83)

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De l’imam Ali ibn abi talib (as)

L’Emanation divine est illimitée, pour tous, sans exception. Rien n’empêche l’Emanation divine. Dieu donne sans compter. La différence vient au niveau du « récipient » (de celui qui reçoit) : dans sa capacité de recevoir l’Effusion divine, d’un coup ou progressivement, directement ou par intermédiaire. Il n’y a pas de doute que l’Imam al-Mahdî(qa) est l’intermédiaire de l’Emanation divine pour les gens, pour toute la création. Sauf que même avec l’existence d’un intermédiaire (l’Imam al-Mahdî(qa), pour que la transmission ait lieu, il faut que certaines conditions soient réalisées. En effet, la relation entre celui qui transmet l’Effusion et celui qui la reçoit peut être de trois sortes : 1)Les deux ont la capacité de donner et de prendre l’Effusion (divine) d’un coup, comme l’indique la des-cente du noble Coran sur le saint cœur du Prophète de l’Islam, d’un coup, d’une façon totale, durant la nuit bénie d’al-Qader. 2)Les deux n’ont pas la capacité de donner et de prendre l’Effusion d’un coup, de façon totale, comme quand la mère allaite son nourrisson. 3)Celui qui diffuse, peut le faire de façon totale, mais ceux qui doivent recevoir, ne peuvent pas recevoir l’émanation divine d’un coup, comme le professeur qui maîtrise sa matière qu’il enseigne et l’étudiant débu-tant. L’émanation, la réception de l'Effusion (al-fayd) ne peut pas se faire d’un coup à cause des limites, des manques de celui qui est censé recevoir.

Aussi, la tâche de l’Imam al-Mahdî(qa) est de favoriser les conditions pour que les capacités de réception s’élargissent, s’agrandissent, pour que les dispositions totales nécessaires se réalisent. D’où l’importance de l’éducation des gens pour élargir leurs capacités et leurs dispositions et, en premier lieu, la raison. (de Jawâdî al-Amolî, al-Imâm al-Mahdî(qa) al-Mawjûd, al-Ma'ûd pp146-148) in revue lumière spirituelle

L’Imam al-Mahdî(qa) et la raison

《كل يوم ال يعصى هللا فيه فهو عيد 》

٨٢٤نهج البالغة: الحكمة

《 Chaque jour au cours duquel

on ne désobéit pas à Allah

est un jour de fête》

Rubrique traitée par Nsangou Souleman

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5سورة ابراهيم ت ل كل صبار شكور لك لءاي إن فى ذ رهم بأيىم ٱلل وذك

« ...Et rappelle-leur les jours d’Allah». [les évènements]. Dans tout cela il y a des signes pour tout homme plein d’endurance et de reconnaissance. »

Coran 14/5

Cinq Joumada al-Oula Naissance de Zaynab fille de l'Imam Ali (a) et de Fatima Zahra (a), 5 H. La bataille de Moueta, 8 H.()غزوة مؤتة Dix Joumada al-Oula Bataille de Jamel, 36 H. )معركة الجمل( Onze Joumada al-Oula Naissance de Khaja Nassîr-eddine Toussi, 597 H. Douze Joumada al-Oula Décès d'Abdellah b. Abdel Motalib père du Prophète Mohammad (p.s.l). Treize Joumada al-Oula Martyre de Fatima Zahra (a) fille du Prophète Mohammad (p.s.l), 11 H. selon une autre version. Martyre d’Ibrahim b. Malek Ashtar dans le champ de bataille contre les Omeyades, 71 H. Quinze Joumada al-Oula Naissance de l'Imam Sajad Zayn al-'Abidinne (a), 38 H. Dix-huit Joumada al-Oula Naissance de Dou Qarnayne )ذو القرنين( Vingt Joumada al-Oula Naissance de Fakhr Mohaqiqine Hilli, 682 H. Vingt deux joumada al-oula Naissance de Qasim ibn Moussa al-kazim (as) Vingt-trois Joumada al-Oula Conquête de Karman, 24 H. Décès de l’Ayatollah Mohammad Taqi Bahjat, 1430 H. Vingt-quatre Joumada al-Oula Martyre de l'Ayatollah Sayed Mohammad Baqer ES-SADR et sa soeur Bint al-Houda, 24 Jouma-da al-Oula 1400 H. Vingt-cinq Joumada al-Oula Décès de Mu’awiya, 64 H. Vingt-sept Joumada al-Oula Décès de Abdel Motaleb grand-père du Prophète (p.s.l), 8ème année de l’éléphant. Vingt-huit Joumada al-Oula Naissance du guide de la révolution iranienne Sayed ‘Ali Husayni Khâmenei, 1358 H. Vingt-neuf Joumada al-Oula Décès de Mohammad b. Othman b. Saïd ‘Omri, deuxième représentant de l’Imam Mahdi (a) lors de sa première Occultation, 305 H.

Mardi 08 janvier 2019 est Premier Joumada Oula

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Abu Jafar Mohammad Bin Uthman Bin Saeed est le second ambassadeur de l'imam Mahdi alors que ce dernier était dans la petite occultation. Muhammad ibn‘Uthman succéda à son père ‘Uthman ibn Sa‘id en tant que représentant, après le décès de ce dernier en 260 de l’Hégire (874 après J.-C.) Cheikh Al-Toussi, parlant de ces représentants de l’Imam caché fait l’observation suivante: « Ils jouissent de la plus haute estime aux yeux du Maître de l’Époque ». D’après Mamqani, l’impor-tance du rang de Muhammad ibn ‘Uthman est une évidence pour les Chiites. Ils s’accordent à dire, qu’à l’époque de son père, il était le délégué de l’Imam Hasan al-Askari et qu’il est devenu ensuite le délégué du douzième Imam. ‘Uthmanibn Sa‘id a, en fait, ex-plicitement désigné Muhammad ibn‘Uthman comme son succes-seur et comme représentant de l’Imam caché. Ya‘qub ibn Ishaq, un éminent disciple des Imams à Samarra, raconte: « J’ai écrit une lettre à l’Imam de l’Époque, dans laquelle je posais quelques ques-tio ns co ncernant des problèmes religieux, et que j’ai transmi se par l’intermédiaire de Muham-mad ibn‘Uthman. La réponse est venue avec l’écriture même de l’Imam. En plus des réponses à mes questions, il y avait la mention: “Muhammadibn‘Ut hman est digne de confiance. Ses lettres sont les miennes”2.» Cheikh Al-Toussi donne les détails des derniers instants de vie du deuxième Nâïb : « Durant la der-nière maladie de Mohammad ibn ‘Ousmân, les leaders des chiites se ressemblèrent autour de lui... Ils lui demandèrent : "Si quelque chose vous arrivait, qui vous succèdera ?" Il leur dit : "Celui-ci Houssain ibn Rouh Nawbakhti ! Il sera en charge de ma fonction et sera le Safir [l’Ambassadeur] entre vous et le Sâhib alAmr (l’Imam), parce qu’il est son agent et il est honnête et digne de con-fiance. Aussi, consultez-le dans vos affaires et dépendez-vous de lui en cas de besoin, parce que j’ai été ordonné d’annoncer cette proclamation!"3 » 4 D’après l’éminent chiite Mohammad ibn ‘Ali al-

Qoummi, Mohammad ibn ‘Ousmân avait déjà préparé son lieu d’enterrement de son vivant même. Lorsque Mohammad ibn ‘Ali lui en demanda la raison, le deuxième Nâïb lui dit : « J’ai été ordonné par l’Imam de prendre soin de mes affaires à l’avance !» Deux mois plus tard, Mohammad décéda 5! C’était en l’an 917 6 La tombe de Mohammad ibn ‘Ousmân se trouve donc à Baghdâd, dans la partie Est de la ville, près d’une Mos-quée connue sous le nom de « Khoullâni»

le second ambassadeur de l'imam Mahdi (aj)

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{Ils veulent éteindre de leurs bouches la Lumière de Dieu, alors que Dieu veut absolument

parachever Sa Lumière, même si les incroyants détestent cela.} (32/IX

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