charroux robert - le livre des secrets trahis

7/22/2019 Charroux Robert - Le Livre Des Secrets Trahis

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JAI Laventure mystrieuse LU

Le Livre des

Secrets TrahisDaprs des documents antrieurs la Bile

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Le 'a(uar anthropomorphe) terrile divinitde $havin) au *rou +,,, ans avant les Incas-

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Laventure mystrieuse

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Le Livre des

Secrets Trahis

.ditions J/ai Lu A 012 3333

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Le livre des

Secrets TrahisDaprs les documents antrieurs la Bile-

Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, leprcdent livre de Robert Charroux constituait un recensementde linsolite plantaire et concluait que les anctres de lhommene sont pas dorigine terrestre.

ci, Robert Charroux va plus loin ! il dcouvre les "cle#sdor, de notre histoire secr$te dans le plus ancien texte dumonde % &e &ivre '(noch.

(noch, patriarche biblique, qui parle dtre venu dailleurs,danges gants sunissant aux terriennes. (noch, lui)mmeenlev vivant dans le ciel*

(xplorant ainsi les m+thologies de la "primhistoire,)gographiquement tr$s loignes) lauteur rel$ve de troublantesconcordances ! ainsi sclaire lnigme du dsert de obi, ainsise dvoilent le lieu exact du -ardin des Hesprides, dautresm+st$res encore.

Rvlations initiatiques, -uges dangereuses tant par la

science o##icielle que par les religions tablies* mais quil taittemps de #aire.


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UVRES

/R0R '3 45'( J'ai Lu 6 17899

H/R( 5C553( '( H44('(:3 C(5/ 4&&( 65 J'ai Lu 6 ;29999

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Ce livre est ddi Jean Cocteau

5 4(4R64

Je remercie Yvette CHARROUX pour sa collaboration attentive de chaue !our"Catherine #R$#OR$A% ui me rvla le secret de la primhistoire de l'Armnie" et mescompa&nons de la able ronde ui ont apport le soutien de leur pense et de leursconnaissances laboration du L$(R) *)+ +)CR)+ RAH$+,

Je dois aussi toute ma &ratitude -ichel +$-#$%)" ma.tre en dialectiue" au/savants pro0esseurs )u&1ne 2AL$%+#$" Louis JACO" au biolo&iste 3eltran 4ARC$A" mescon0r1res et amis 5hilippe 3)R%)R" 2ran6ois COU)%, +, de *A(R$CH)7Y" Ro&er

*)LOR-)" Jean8Albert 2O)X" Jacotte de 4RA9$A" Chris8liane L) CO++)C" Jean ROY"Lola RO2OCAL) et Hl1ne ()8)R" pour la documentation u'ils m'ont donne,

)t aussi l'ni&matiue -, %, Y," dl&u occidental de la Centrale !aune du +ecret,

E


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TABL# D#S 4ATI5!#S

:r#ace ;

*!I4%IST"I!#

1. &es cits englouties. &a terre dtruite 7:, &e monde est n aux 3. . 6 22. &nigme du dsert de obi ED. &Fge de la :ierre. nvention des prhistoriens D1E. &univers et larche)#use E

*!"T"%IST"I!#

A. &es anges et le &ivre d(noch AE;. &e secret nG 1 du monde et le mot dangereux prononcer ;E=.


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*!#9A$#

L'humanit risue de dispara.tre sans savoir d'o; elle vient" si son destin 0ut diri&

par des ma.tres inconnus et 0auss dans son cours naturel,

)lle i&nore si des anc

;


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&e plus beau sentiment que lon puisse prouver, crit)il, cest le sens du m+st$re. Cestla source de tout art vritable, de toute vraie science. Celui qui na -amais connu cettemotion, qui ne poss$de pas le don dmerveillement et de ravissement, autant vaudrait quil#Mt mort % ses +eux sont #erms.

*ans cet tat d'esprit" Jean Cocteau avait eu l'audace d'encoura&er notre dernier

livre Histoire inconnue des Hommes depuis 188 888 ans N1O, o; pourtant nous avancions desh=poth1ses 0ortement aventureuses,

(1) d. J'ai Lu, n A 372****.

Le &rand po1te" cro=ant de 0oi comme )instein" nous avait honors d'une lon&ue lettreui se terminait par ces li&nes >


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*!I4%IST"I!# :;i$4a4?een R%odsie du Sud, !ou" "a$ene" 'o" n/essai"e a /ons"u/ion du @e$!e. ais onsai -ue e "ende$en u asse d/ean 5 B2; aens d'o" in !ou" une de /es e!diions,soi 1B $iions de doa"s 1CB1. En "ai, Sao$on ai un "oi !au"e -ui du s'asso/ie"

ae/ Di"a$ !ou" /ons"ui"e e @e$!e. L'asse"ion de . de :oone n'es don/ !asd!ou"ue de oi-ue.

&ancienne Copae, en r$ce, #ut dtruite -adis par Hercule, conte la tradition, ce qui,bien entendu, cache une vrit dun genre plus rationnel.

6u #ond du lac Copas Nlac &ividia actuellementO, on distinguait encore au si$cledernier les vestiges dune ville qui, il + a E 888 ans, devait se trouver surhausse dune bonnecinquantaine de m$tres.

(n e##et, les archologues ont dcouvert avec tonnement un rseau dgouts destins diriger vers la mer les eaux dvacuation, mais la cit stant en#once au creux de la valle,les canaux montent en partant de Copae, au lieu de descendre S

l sest donc produit cet endroit un grand catacl+sme dont les recs ont perdu lesouvenir puisquils lattribuent la col$re dHercule.

:ourtant, Copae tait une puissante cit, car on retrouve encore, partant de cinquantegouts collecteurs, des puits pro#onds taills dans le roc, #aisant #onction de bouches dair,lensemble constituant un travail si titanesque que ni la r$ce de :ricl$s ni la r$ce modernenauraient pu lentreprendre et le mener bonne #in.

Les initis sauvs des eau8

(n (g+pte, des temples ensevelis sont mis au -our plusieurs #ois par si$cle, et il est

hors de doute que le dsert recouvre encore dimmenses cits inconnues.n a partiellement dgag les monuments de /h$bes aux cent portes avec ses grottes

s+ringes, ses palais souterrains plusieurs tages, et ceux de KarnaZ avec lalle ro+ale oYseiJe cents sphinx aligns, de dimensions colossales, montaient une garde hiratique.

n a dsenseveli le phinx, dgag le bas des :+ramides, mais l(g+pte antique,antrieure aux pharaons et au dluge, dort sous des millions de m$tres cubes de sable dont onaimerait bien expliquer lamoncellement.

&e baron d(spiard de Colonge, qui consacra sa vie tudier ce probl$me et recueillir les traditions d6#rique du 5ord, a #ait ce su-et de curieuses rvlations %

$l a t dit dans des temps tr1s anciens" crit)il dans son livre &(g+pte et lcanieN:aris 1==2O, u'au midi des &randes 5=ramides et l'ouest des pro0ondes ruines de

-emphis" e/istent un srapum Itemple et les vesti&es d'un vieu/ portiue plus ou moinsen0ouis et di00iciles retrouver dans le ddale du dsert, Ce lieu" a!oute la l&ende" ren0erme

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les bouches de lon&ues &aleries par lesuelles on peut aller des lab=rinthes et d'antiueset e/traordinaires habitations dont les 5=ramides ne sont ue les paisses" massives etlourdes 0l1ches tudies,

*e vastes rameau/ communiuant les uns avec les autres donnaient cesconstructions les apparences d'une cit souterraine enveloppe dans un ab.me de substances

s1ches" au lieu d'


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l devient alors probable que les constructeurs aient voulu leur donner desmensurations, une masse, une architecture extrieure et intrieure rvlatrices de hautesconnaissances en mathmatiques et en astronomie.

&es monuments g+ptiens sont de colossales pierres parlantes que trop de non)initisont soumis la torture, pourtant, un #ait extrmement curieux est noter, cest quen dpit de

mille sollicitations scienti#iques, parascienti#iques, occultes, etc., les :+ramides de iJehnont pas livr leur secret S

Les *yramides

&a date de leur construction est encore un m+st$re, car si Bonaparte a avanc le chi##rede D 888 ans, Hrodote dit A 888 annes N1O.

(1) :assi-ue$en, es


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m+strieux #oisonnent sur notre globe, mais larchitecture intrieure des :+ramides d(g+pteest tr$s particuli$rement sans analogie Q avec ce que lon connaIt L.

Constructions extraplantairesX6lors, se pose linterrogation % et si leur sens, leur raison dtre appartenaient des

conceptions trang$res au gnie terrestreX

Cette con-ecture #ut avance un soir, une runion de Q la /able Ronde L autour delaquelle les membres dune socit secr$te de :aris N1O tudient les probl$mes du #antastiqueet du m+strieux inconnu.

(1) :ee so/i se/"+e se "uni !"iodi-ue$en dans 'a""i+"esae d'un"esau"an de on$a""e, "ue Rodie". Auou" d'une a4e "onde, /ai"e !a" une a$!e

!"oe, %ui !e"sonnes K -ua"e %o$$es, -ua"e e$$es K !"o!osen oue ni$e dese!i/aions i4"es des do$es s/ienii-ues e "eiieu, ain de /e"ne" es "isdi"enes dans un es!a/e e un e$!s (ou un es!a/ee$!s) -ue ne sau"aien ad$e"e deses!"is a/-uis au "aionais$e /assi-ue.

'ans lh+poth$se de la venue sur /erre dhommes dune autre plan$te, ces anctressuprieurs, apr$s des si$cles ou des millnaires dexistence terrestre, auraient calculexactement la date du catacl+sme de #in de monde.

u(es

(st)il permis de suggrer que la cit dcr$te de iJeh T si elle existe T a pu servir

plusieurs #ois de re#uge aux hommes, au cours deplusieurs dlu&es" et quelle aurait peut)trela mme destination lors du prochain catacl+sme terrestreX Cette suggestion, accrdite cheJles initis, donne penser que des archives antdiluviennes seraient encore caches sous les

5=ramides,&es traditions de lnde, de l6sie 4ineure et des deux 6mriques, en concordance

trange, a##irment que sur tous les continents les initis surent trouver un re#uge de hautescurit.

ssendoVsZi dans 3


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&gende, pensereJ)vousX 5on pas S l est bien certain que les cits souterrainesamricaines ne sont plus habites par le Q peuple qui disparut sous terre L, mais elles le #urentil + a quelques millnaires, et le naturaliste Charles drbign+, au si$cle dernier, vit dans lesruines de /iahuanaco, en Bolivie, les entres de galeries menant la cit secr$te.

l est mme probable que les tumuli ouverts et que les galeries couvertes de Bretagne

et drlande durent aussi servir dabri Q contre la chute des pierres du ciel L au temps du grandcatacl+sme cosmique N1O.

(1)


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Certes, cette thorie est #antastique, mais on ne peut lcarter dlibrment car chacunsait ) les prhistoriens excepts ) que notre globe a subi de considrables bombardementsmtoritiques qui ont submerg certaines rgions et ananti des populations enti$res.

&es hommes ont la mmoire courte S ls ont oubli les pluies meurtri$res de pierres, deterre, de #eu, les inondations NdlugesO qui priodiquement, et hier encore )1E88 av. P.)C. ) ont

ravag notre plan$te.Cest tout #ait par miracle que depuis quelques millnaires nous vivons dans unetranquillit cosmique)un miracle qui ne saurait sterniser S

'ans cette pense, 4. de Colonge annonce que les )uropens modernes et tous lesautres peuples n'ont ue uelues si1cles d'attente pour s'or&aniser et se prparer sur laerre soutenir de nombreu/ assauts venant de l'espace !amais m=strieu/,,, preuve uine sera encore u'un nouvel acte de pro&r1s ou de trans0ormations clestes,

$l n'est plus uestion de 0in du monde" a-oute)t)il, maisd'volution universelle" n'endplaise ces petites &ens ui" en tous propos" hors des banalits admises" se hMtent dta/erd'impit ou de rait ouli ? la >in du dernier monde

^uel que soit le bien)#ond des thories de 4. de Colonge, il nen demeure pas moinsque le #ait, cest))dire lexistence de catacl+smes universels a+ant dans le pass prouv notre

plan$te, paraIt irr#utable.'epuis 18 11 888 ans, le globe terrestre a t plusieurs #ois boulevers, dchir,

ventr, par des catastrophes analogues en proportion aux ravages que causerait lclatementde milliers de bombes atomiques de cent mgatonnes.

&es ocans ont t prcipits sur les montagnes et dans les valles, les pWles ont drapde leurs bases, des continents ont t submergs, dautres sont sortis tout neu#s des ab+ssesmarins, et lhumanit, chaque #ois, a pri dans sa quasi)totalit.

Ces sortes de #in de monde ne sont pas tr$s anciennes et nos aeux rchappesmiraculeusement en ont t tmoins et en ont transmis le souvenir et les pripties par lestraditions et les crits sacrs.

4ais #ollement insouciants, ou obissant on ne sait quelles consignes surprenantes,les dmiurges de notre socit de nos institutions, de notre science #eignent dignorer cesvnements primordiaux ou les r#utent.

&6tlantide engloutieX 3ne #able de :laton S&a /erre de 4M... les civilisations disparues... les villes enterres, ensevelies %

divagations dempiriques, dcr$tent les bien)pensants avec un sourire de commisration S6u vrai, toute notre civilisation a t di#ie sur une immense imposture avec desbases arbitraires, des postulats insenss et des crits, dits sacrs, interpols, tronques,tra#iqus.

'noncer la supercherie, reconsidrer le probl$me serait une _uvre titanesque, unervolution lchelle de la plan$te, que les meneurs de -eu ne peuvent plus se permettredentreprendre.

6lors, bon gr mal gr, il #aut continuer la partie avec les ds pips, sourire aux Q#ables L de la tradition, #aire naItre 6dam du limon de umer ou de la semence dun singed6sie ou d6#rique.

:ourtant, quelles vrits di##rentes surgiraient du pass pour qui voudrait le remonter

hors du talVeg de lhistoire o##icielle S

1;


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i lhumanit a pri il + a D 888 ans... si des continents ont t engloutis... si ) qui saitX) des plan$tes sont venues #rWler la /erre, aspirer ses ocans ou dverser sur elle leursmontagnes et peut)tre leurs cits, ne devrions)nous pas rviser en partie nos connaissances etles talonner aux param$tres de lhistoire reconstitueX

Cest ce que nous allons entreprendre en nous r#rant aux seules sources demeurant

encore accessibles % les traditions orales et crites.

Dlu(e ? le inonde commence en Armnie

&a ralit du dluge universel ) dailleurs scienti#iquement admise T est atteste partous les anciens peuples de la /erre, avec les mmes traits essentiels % destruction de la racehumaine et sauvetage en bateau dun seul couple qui ensuite repeuple la /erre.

'ans la Bible, le dluge, bien que reconstitu partir de #ragments de traditions, estcont avec une certaine cohrence.

'ieu dit % Q Pexterminerai de dessus la /erre lhomme que -ai cr! -exterminerai tout,depuis lhomme -usquaux animaux, depuis tout ce qui rampe sur la terre -usquaux oiseaux duciel! car -e me repens de les avoir #aits L Nen$se


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Ces perturbations postdiluviennes intriguent les historiens. agirait)il, par la #autedune interpolation, du grand dluge universel ou)bien, en acceptant la datation biblique etg+ptienne, dun catacl+sme tr$s localisX

&es catacl+smes universels sont reprsents dans la m+thologie grecque par la rvoltedes /itans, la guerre des gants et le combat de /+phoeus avec [eus.

La mer et la terre retentissent d'un bruit a00reu/ et le ciel branl &mit,,, la terre0conde brle en 0rmissant" les vastes 0or


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(n 6mrique, en Colombie, le dluge de Bochica et celui du 4exicain Coxcox sontanalogues au dluge de 5o avec un nombre de survivants que lon pourrait compter sur lesdoigts.

&es ndiens de la 5ouvelle)Cali#ornie et de la rgion des &acs, au temps oY leurstribus existaient, se souvenaient dune #in de monde qui est aussi relate par les anciens

4exicains dans le :opol)


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+-

L# 4"7D# #ST 7. AU& U-S-A-

RegardeJ un instant une mappemonde, avec l_il et lesprit neu#s dun extraterrestre#raIchement dbarqu de


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La lumire est l/"uest

Cest par arbitraire que les historiens situent gnralement en rient la source de toutpanouissement % la tradition et ltude historique prouvent au contraire que l'aube del'humanit s'est leve l'Ouest,

Cest traditionnellement vers luest que marchaient les hommes de la prhistoire!cest vers luest quils cherchaient l6utre 4onde oY des millions de soleils irradiaient dansun -our ternel! cest vers luest, pa+s de convoitise, que converg$rent toutes les grandesinvasions et toutes les migrations de peuples.


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/o$!"end"aien 'in/onsisane aeu" des enseine$ens e$!i"i-ues e /on/e"aien eu"en+se e eu" desin ae/ une $eieu"e u/idi.

Cette gIte rv$le nen pas douter que notre globe a t -adis prouv par un terriblebouleversement cosmique dont toutes les plan$tes du s+st$me solaire ont aussi subi le

contrecoup des degrs variables.(t voil qui nous introduit immdiatement au c_ur du probl$me % nous ne sommespas, nous les /erriens, des cratures privilgies, uniques, con#ines dans un univers #erm!nous appartenons un s+st$me in#ini et toute notre histoire humaine n'a de sens ue si nousl'int&rons l'volution universelle,

'onc, quand se produisit le catacl+sme, la /erre oscilla, chavira, les pWles drap$rentcomme des luges sur les continents et dans les mers. 'rivant sur les #lots en #urie, des

banquises aux dimensions de la Corse ou de la icile sentrechoquaient dans un bruitd6pocal+pse. &es montagnes trembl$rent sur leurs bases, les villages et les villes avec leurgrouillement dhommes horri#is #urent entraIns dans un maelstrm, pendant que les ocanshapps par la #orce centri#uge se ruaient sur les continents et escaladaient les plus hautes

montagnes.(n un instant, la population terrestre ) des millions ou des milliards dhommes Nle

saura)t)on -amaisXO )tait no+e, crase, et avec elle toute une civilisation inconnue setrouvait malaxe en un magma oY rien ntait plus identi#iable.

^uelques tres survcurent)ilsXn le pense a priori" mais il nest pas interdit de croire que toute la gent humaine se

trouva dtruite et que notre race actuelle est dorigine extraterrestre./oute#ois, la premi$re supposition est la plus vraisemblable.


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$e @ue dit le *opol Cuh

'autres relations apportent des dtails prcis sur le catacl+sme qui anantit lesanctres des 4exicains et #ut sans doute lorigine de leur migration.

$l = a de tr1s nombreuses lunes de cela" les peuples du Q eM&e Iles hommes de bois N1O

0urent condamns mort par les dieu/,Un &rand dlu&e de 0eu et des torrents de rsine Ide 0lamme descendirent du ciel,

)n0in" de violents oura&ans N2O achev1rent de dtruire les cratures de bois dont les=eu/ 0urent arrachs des t


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$l ne reste des hommes du QeM&e ue les sin&es des 0or


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Le Dieu e8traterrestre

&e souvenir du dieu volant, depuis cette poque, est perptu par les trangescrmonies des Q roues dhommes volants L, par les Q


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au/ socits !adis tablies dans cette r&ion, )n considrant ces tristes restes" ils sont saisisdun religieux e##roi, mais ils ne savent rien touchant leur histoire...

Les ADt1ues ue 2ernand Cartes trouva au -e/iue prtendaient


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Ce #ait implique quelles sont originairement parties de ce centre des poques sansdoute di##rentes Nthories de &ouis PacotO et quelles suivent N4ercure et


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$TA C ;,+

Cette h+poth$se, quali#ie -adis de dlirante par les bien)pensants de lordre tabli, apris en quelque sorte ses lettres de crance le 1 avril 17AE, quand les astronomes russesrvl$rent que, de concert avec les 6mricains, ils tudiaient des signaux moduls provenant

du cosmos et pouvant tre mis par des tres Q super)civiliss L.mmdiatement, les incrdules ragirent.&astronome 'avies de Podrell BanZ dclara % ? Ces si&nau/ ressemblent ceu/

nomms quasars ue nous captons dans nos radiotlescopes,,, 5oint n'est besoin d'avoirrecours une civilisation loi&ne pour e/pliuer les phases r&uli1res de leur mission, $l

pourrait s'a&ir d'une oscillation naturelle comme le c=cle des taches solaires,,, @Ce #ut aussi lavis du pro#esseur belge Ra+mond CoutreJ et de sir Bernard &oVell

directeur de lbservatoire de Podrell BanZ! toute#ois, la ma-orit des astronomes opta pourune relle possibilit dexistence de cratures tr$s civilises, habitant des Jones inconnues delespace.

C/6)182 a t repr aux 3..6. en 17A8, en mme temps que de nombreux autrespoints metteurs % C/6 21, C DDD, C DEE. dont les missions se propagent dans la bandedes 8 centim$tres de longueur dondes, avec une con#ormation spectrales tr$s particuli$re N1O.

(1) Fans Disoi"e Gn/onnue des Do$$es de!uis 1;;;;; ans !a"u en 1CH3, nousaions annon/ a !"o4a4ii du !%no$+ne, en s!/iian -u'i se !"odui"ai # su" uneonueu" d'onde oisine de 21 /eni$+"es &.

&e pro#esseur russe ?ossi# ChZlovsZ+, mondialement connu par ses travaux enastronomie, a dit le 12 avril 17AE lnstitut ternberg de 4oscou %

? L'observatoire amricain de mont 5alomar a tabli ue" l'endroit d'o; CA K:

met ses ondes" se trouve une tr1s petite toile dont la ma&nitude de K"Q est celle des pluspetites toiles connues, Cette toile a une ner&ie considrable" c'est tout ce ue l'on peut endire !usu'alors,

L'tude de ces tran&ets a dbut sur une ide tr1s srieusement base du !eune *r#ardachev > si l'on admet l'e/istence possible de civilisations in0iniment suprieures cellede la erre" ces civilisations devraient possder le pouvoir de modi0ier enti1rement tout leur

s=st1me plantaire et" par e/emple" d'mettre des si&nau/ aussi puissants ue ceu/ re6us deCA8K:" si&nau/ ui seraient des diDaines de milliards de 0ois plus puissants ue l'ensemblede l'ner&ie produite actuellement dans notre monde, Ces si&nau/ devraient


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semblent diriges vers notre globe une priode que les astronomes -ugent particuli$rement#avorable un change et une coute.

^uant lloignement actuel de ltoile ) E millions dannes)lumi$re ) elle neconstitue quun obstacle apparent, la notion de temps et despace des /erriens tantvraisemblablement di##rente des notions en vigueur cheJ les habitants de C/6)182.


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Cette m+thologie doit donc sinscrire dans le contexte de lvolution humaine telle quenous la concevons, depuis que nous avons t nourris avec la pomme.

Le destin des hommes&es biologistes estiment que nous sommes au bout de notre aventure.Cest notamment le point de vue de 4. Pean Rostand.r, cette ventualit, dont on voudrait #aire retomber la responsabilit sur le libre

arbitre et le non #ormul par lhomme libr, aux lois de la nature, pourrait #ort bien, aucontraire, sinscrire dans le cadre de lvolution prvue.

5otre volution semble bien nous avoir mens -usquaux bornes extrmes permises notre orgueilleuse connaissance. 3n saut encore et &uci#er sidenti#ierait 'ieu et lhommemaItre de la /erre tendrait sa domination au cosmos.

Ce nest quune h+poth$se, mais logiquement, on peut penser que le c+cle est pr$s de

se terminer et notre conditionnement biologique plaide en ce sens.&es hommes veulent asservir latome et conqurir le ciel, ressuscitant en quelque sorte

la guerre des /itans contre les 'ieux, mais les /itans ) apprentis sorciers )risquent #ort deprcipiter leur chute si lirradiation dtriore en premier lieu leur pouvoir de procration.

elon les savants de lnstitut de la -Disoi"e in/onnue des Do$$es de!uis 1;; ;;; ans. L/Institut de la ie)@ui depuis ;K+ (roupe les plus minents iolo(istes mondiau8) a pour ut dclar ? lad>ense de 'Do$o sa!iens.

erait)ce la #in du mondeX:as #orcment. Q &a science a tou-ours donn mieux que ce que lon attendait delle L,

assure Pean Rostaud ce qui pourrait signi#ier que, mme sans engendrer, les hommestrouveraient le mo+en de perptuer leur esp$ce.

&humanit, strile, impuissante, reviendrait alors aux caractristiques originelles de lacration % lesp$ce asexue, comme dans les organismes monocellulaires.

&a reproduction pourrait tre arti#icielle, ou bien les hommes, poursuivant leurs e##ortsvers la suppression de la mort ph+sique, accderaient limmortalit et revivraient un Fge dorque les traditions assurent avoir exist.

5otre r$gne, alors, se diluerait)il dans le sublime -usqu lidenti#ication 'ieu,

comme le voudrait le p$re /eilhard de ChardinXu bien son ternit ntant quillusoire, reviendrait)il dans le plasma)mati$re avant derecommencer 3n nouveau c+cle ascendantX

&es lois de lvolution ne nous renseignent gu$re sur ce destin, car au vrai, lvolutionne prsente aucune rigueur scienti#ique et ne peut mme pas tre prouve.

(n particulier, de nombreuses esp$ces % annlides Nvers de terreO, bactries, algues,etc., sans compter le cl$bre c_lacanthe, vivent depuis des poques tr$s recules sans avoirsubi de modi#ications notables, cest))dire sans avoir volu.

DE


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AO & homme prhistorique ntait pas cet tre obtus, born, grossier que lon voudraitaccrditer. l tait peintre, potier, dessinateur de gnie Ngrottes de &as)eaux, d6ltamira,loJelO. &es cavernes ntaient que les ateliers des Q minus L de la socit. 'es contemporains

plus volus connaissaient le verre, le charbon et tr$s vraisemblablement les mtaux etlindustrie du #er.

(1) Jean Se"ie", L'Do$$e e 'Gnisi4e, d. Ro4e" Laon. 72

(2) 9n ne $on"e -ue es "au"es anodines. :ees -ui !"ouen a /iiisaionaan/e des %o$$es du $adanien son /o$$e !a" %asa"d # in/onnues, in"oua4es ou"anes -ue-ue !a"... & ais on ne sai oM. Le 6ou"naise :onsanin "ie de ]'Auo

Jou"na ouu "iie" a!"+s a !a"uion d'Disoi"e in/onnue des Do$$es de!uis 1;; ;;;ans si 'aueu" $enai en ai"$an 'eisen/e de /es daes "aes. G du "an/%i"d'insidieu 4a""aes, d6oue" de na^es d"o4ades, $ais a/-ui a /e"iude -ue es daesaien 4ien ees -ue d/"ies e "e!"oduisaien des %o$$es !"%iso"i-ues %a4is 5/%a!eau, ese, /uoe, /%aussu"es.

:e $oinae dans _AuoJou"na du I aoQ 1CH3 "a i$ide$en es$a/%inaions d"esses !ou" /on"a"ie" 'en-ue, $ais :onsanin "ie n'osa !as ou ne

!u !as di"e, /o$$e i aai o"$ee$en /onenu en"e ui e Ro4e" :%a""ou, -ui$enai en /ee aai"eO

Il y a 0, ,,, ans ? >er et (alvanoplastie

4ais, se rcrieront les prhistoriens, lusinage du #er ntait pourtant pas connu au

palolithique S:as connu le #erX Comment expliquer que dans les dpartements particuli$rementriches en minerai #erreux ) 6lsace)&orraine, notamment ) on ne trouve pas trace dunecivilisation de la pierre tailleX

:ourtant le pa+s tait riche et le silex que lon exportait ailleurs pouvait tout aussi bienparvenir dans lest du pa+s.

Ces dpartements taient certainement habits par les hommes prhistoriques,principalement E888 A888 ans avant notre $re, mais on n+ trouve pas de silex taills parcequil tait plus commode, plus rationnel, mme pour les plus basses classes, de #abriquer etdutiliser des articles en #er S (n e##et, il est probable que des civilisations de lacier, delaviation et de la science atomique spanouissaient sur tous les continents, il + a des milliers

et des milliers dannes.6u xixesi$cle d-, des savants avaient cette certitude sans oser lexprimer, ce qui #utle cas de lg+ptologue 4ariette, dcouvreur du erapeum de 4emphis et des tombeaux des6pis.

Uouillant sous le sphinx de iJeh, 4. 4ariette mit au -our, une soixantaine de piedsde pro#ondeur, sous un terrain dur et compact ml de pierres, des constructions c+clopennesoY il trouva des ob-ets dart dun travail merveilleux.

r, la date drection du phinx se perd dans la nuit des temps. Ces constructions,sous une terre compacte et dure amasse par les millnaires, taient donc encore beaucoupplus anciennes S

4ais ce nest pas tout. :armi les ob-ets en#ouis si pro#ondment dans cette terre

primhistorique, on dcouvrit) nous citons des documents de 1=E8 ) Q des bi-oux en or qui, par

D;


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la tnuit de leur poids, pourraient #aire croire lemploi de la galvanoplastie en ronde)bosse,science industrielle qui date de deux trois ans peine cheJ nous N1O L.

0videmment, cette dcouverte est tr$s gnante pour ceux qui veulent tout prix #airecommencer la civilisation umer, il + a A 888 ans tout au plus S

(n dautres endroits, on #it des dcouvertes analogues. n remarque en e##et sur un

grand nombre dob-ets provenant de 4emphis et de /h$bes % vases, coupes, pointes de lance,etc., une mince couche de mtal oY il est impossible de trouver trace de soudure ou de travailmanuel. Cette couche est si uni#orme, sa #ormation cristalline est tellement semblable celledes produits obtenus par galvanoplastie que des savants nont pas hsit admettre que cettescience tait connue des

(1) "and Fi/ionnai"e Unie"se du Gesi+/e. Tome I) pa(e +2-

0g+ptiens N4. CrMger.5ol=technisches Journal de *in&ler KVTK,8^uant lutilisation du #er, elle remonte = 888 ans cheJ les Haddades d6#rique et

beaucoup plus loin encore dans le temps.

&es mines de #er de lIle d(lbe en talie, d apr$s les calculs e##ectus avec le plusgrand soin par les ingnieurs de lexploitation, taient en exercice une poque Q dix #ois aumoins plus ancienne que celle qui nous est connue L.

r, considrant que les recs du temps Hom$re connaissaient d- cette Ile quilsappelaient (thalie, en raison de la suie et des #umes de #orges quon + vo+ait, on arrive cette conclusion quil #aut #aire remonter aplus de Q annes lexploitation active de cesmines.

^uon nous parle, apr$s cela, de lpoque de la pierre taille, du palolithique et dunolithique S

Le palolithi@ue et le nolithi@ue ?inventions des prhistoriens

&e palolithique, le nolithique % voil la cl de voMte rigide, inbranlable de laprhistoire prime S

Ces deux mots, tout #id$le bien pensant doit les prononcer avec componction enarrondissant les l$vres comme pour apprhender la divinit par le truchement de la saintehostie. ,

r, nous osons a##irmer que le palolithiue et le nolithiue n'ont !amais e/ist uedans l'ima&ination des prhistoriens,

(ntendons)nous% des hommes prhistoriques ont certes utilis un outillage en silex,mais dans une proportion si in#ime que lon peut la considrer comme nulle. (n bre#, ilsutilisaient loutillage en silex comme les hommes du xxesi$cle mangent du caviar ou mFchentdu cheVing)gum, cest))dire dans la proportion de 1 pour 1 888 ou 1 pour 18888.

5ous avons d- prsent cette th$se des spcialistes et les ractions ont t de deuxordres %

8 prhistoriens classiques % ils haussent les paules, esquivent toute discussion, maissont dans lincapacit absolue de r#uter le moindre terme.

) prhistoriens non classiques % ils -ugent la th$se mathmatiquement exacte.


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n peut aboutir 18 millions dhabitants pour la Urance, ou bien 188 millions, 18888 habitants pour le ahara ou =88 888, mais on obtiendra un ordre de valeur quinexcdera pas en approximation le double ou le quintuple de la solution exacte.

i nous pouvions connaItre le nombre de couteaux a+ant exist au 4o+en 6ge, nousaurions une ide de la population cette poque, mais les couteaux ont t perdus, dvors

par la rouille, anantis.i le palolithique et le nolithique ne connaissaient que le silex taill ou poli ) et pasdu tout le mtal )comme le prtendent les prhistoriens, il doit tre possible de retrouver les Qcouteaux L de ces temps, si loigns soient)ils, car le silex ne se dsa&r1&e pas,Z peutaisment traverser sans la moindre dtrioration dcelable l_il nu % cent mille, cinq centmille, un million dannes.

3n million dannes, cest -ustement le laps de temps vcu par lhomme sur la /erreNdit)onO S

'ans notre h+poth$se, lhomme prhistorique utilisait ncessairement un outil qui luiservait couper, tailler, se d#endre.

&es hommes de toutes les poques et de tous les temps ont eu, et ont encore besoin, de

ces ustensiles ncessaires % couteau ou lame, hache, lime et ciseau.Rangeons dans la catgorie Q ob-ets ncessaires L pour lhomme prhistorique tout ce

qui a une #orme ou une utilisation pratique dans le genre du couteau % hache, bi#ace, racloir,burin, nuclus, etc., soit % la quasi totalit du matriel silex, de grosseur acceptable, que leshommes utilisaient. 3n homme normal, mme de nos temps, a besoin dun certain nombredoutils au cours de sa vie % hache, scie, ciseaux divers, tenailles, pic, pioche, etc., le toutreprsentant environ une centaine dob-ets.

&homme prhistorique, qui taillait une hache en dix minutes environ N1O et quitrouvait le silex en abondance sur les sites que nous connaissons, devait donc #abriquer etutiliser au moins 188 outils dans sa vie N2O, car ces outils susaient, se brisaient ou taient

perdus. 4ais de toute #a]on, ils nont pas disparu et nont pas t dsagrgs. l est reconnuquen terrain meuble ordinaire, les cailloux et par consquent les silex sont re-ets par lesconvulsions terrestres auxquelles sadditionne la #orce centri#uge. Ce qui explique que dansles -ardins on enl$ve des pierres chaque anne, toutes les annes, ternellement et sans

pouvoir en purger le sol. 'e mme dans les anciens champs de bataille de la guerre 171D)171=, les obus et clats dobus remontent inluctablement. Chaque anne encore, des en#antstrouvent des obus dans les -ardins, les bois et les champs cultivs et sont victimes daccidents.

(1) :'es e e$!s a!!"oi$ai $is !a" . o"de de o"deau !ou" aie""ossi+"e$en une %a/%e.

(2) La $ai+"e !"e$i+"e ne ui a !as $an-u. Su" ous es sies, au "and


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bord de la Charente et proximit NA ZmO de la cl$bre grotte du Cha##aud. 'autre part, ilexiste D7 grottes sur le territoire de la commune, mais aucune ne semble avoir t habiteO.

(1) La "and 'Roue


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L/univers ? un plasma plein--- de vide

a bien #allu pourtant, a#in de satis#aire sa curiosit luci#rienne, que lhommeimaginFt le pourquoi et le comment des choses.

l croit que lin#iniment petit est limage de lin#iniment grand et que les galaxies, les

nbuleuses, les amas dtoiles appartiennent en propre cet in#iniment grand.

Au *oint Oro oH es e"$in l/univers en contraction) et oH va /o$$en/e"l/univers en e8pansion) se situe thori@uement un univers nantiel oH tout e8iste dansl/incr- Il y aurait donc coe8istence du nant et du plein) du temps et de l/antitemps- $eserait le P respir et l/e8pir Q de Brahma-

(t partant de cette cro+ance, il a #org un univers Q total L! son mcanisme, ses lois,son principe.

(n somme, connaissant le point qui commence le -ambage du 6 de notre alphabet, il aimagin les 2E lettres S

r, il est probable que notre univers perceptible )amas dtoiles, nbuleuses, plan$tes,etc. ) est comparable en ordre de grandeur une parcelle de plasma prleve sur un trehumain pour tre tudie au microscope.

n distingue des bactries, des virus, on voit des globules rouges, la l+mphe... tout cetin#iniment petit errant dans un ocan de vide. (t apr$sX

&e biologiste, partant de ce prl$vement, pourra)t)il dceler quil sagit dun plasmaX ioui, danimal, dhommeX 'e puce, de poisson, dours, dlphantX u bien dun ivrogne oudun minus habitant une caverneX u dun (instein, dun BergsonX

aura)t)il si ce plasma provient du bras harmonieux dune -olie #emme, de sa -ambe, deson pied cisel, de son sein dlicatX

(t mme sil parvenait identi#ier, anal+ser lindividu, aurait)il pour autant un aper]usur luniversX


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intrieur de ce composant avec le mcanisme utile de lob-et lui)mme. 5ous avons, certes,une ide de la mati$re, mais peine un clair de comprhension sur son intelligence.

l convient donc, notre point de vue, de ne considrer la recherche scienti#ique quecomme une qute chevaleresque, sportive et, en ce sens, quand nous parlerons dunivers, il est

bien entendu quil sagira de notre univers.

Les univers invisiles

'autre part, nos mo+ens dinvestigation pour identi#ier notre sublime contenant, notreraal universel, ne comprennent quun armement drisoire % peu pr$s ce quavait don^uichotte pour redresser les torts de lhumanit S

^uelles que puissent devenir la puissance de nos tlescopes et la prcision de nosmachines lectroniques, notre recherche nvolue que dans un cadre tridimensionnel tr$sinsu##isant.

? a)t)il des univers ou un universX5otre certitude de linanit de notre qute est telle que nous trichons d$s le dpart %

nous avons nich une multitude de no+aux et de particules dans latome Nla plus petite partiepossibleO et avons partag la totalit )univers ) en di##rentes petites totalits, si bien que nousavons des atomes, des mondes, des cosmos, des univers que nous expliquons par des loischancelantes, cales tant bien que mal avec dautres lois commodes et arbitraires, ce qui ne#ait pas un di#ice bien convaincant S

Ces lois et la recherche, au point oY elles en sont, laissent supposer lexistence dedimensions nouvelles % quatri$me, cinqui$me, sixi$me, septi$me, etc., sans compter le4+strieux nconnu, lnvisible, qui sollicite notre pense.

&univers, dans son nouveau sens, pourrait donc tre compos de milliards duniversgalactiques auxquels sa-outeraient les univers parall$les % mondes de la pense, monde del6u)del et de l(n de], mondes invisibles, mondes multidimensionnels, mondes sansdimensions peut)tre S

5ous navons pas lambition danal+ser ) mme en extrme condens ) les principalescosmogn$ses! toute#ois il paraIt indispensable de prsenter celles qui cristallisent lespritnouveau en saventurant dans la voie de la rvolution.

L/univers >antasti@ue de Louis Jacot

:our le pro#esseur suisse &ouis Pacot, rien nest immobile, rien nest permanent, et leJro absolu est une invention gratuite, donc lunivers na pas t cr % il a tou-ours exist. la vitesse dloignement des nbuleuses est proportionnelle ladistance considre NE88 188 888 Zms dans un univers en expansion constanteO. Loi de

3ode > dans notre s+st$me, les distances des plan$tes au oleil correspondent uneprogression gomtrique de raison 2, soit % 1)2)D)=) 1A)2 )AD ) ! du moins -usqu 3ranus N1O.

(1) GG 0 a deu e/e!ions /ee oi -ui se "!+e se! ois de suie 5 a !"e$i+"e au

d4u, en /e sens -ue a !"o"ession ne !a" !as du Soei $ais /o$$en/e e"/u"e ase/onde au de d'U"anus oM 'oine$en /esse de dou4e" !ou" deeni" /onsan.

EA


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Li"e de Louis Ja/o, au diions du S/o"!ion 5 $ens de


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(1) :e ou"ae a /"i en 1CHW.

&a ph+sique volutive de &ouis Pacot suscite aussi, dans le domaine interplantaire,des extrapolations qui ne sont pas dnues d intrt.

i des hommes de lespace ont atterri -adis sur notre globe, doY venaient)ilsX l serait

tonnant que des visiteurs extraterrestres aient pu venir de 4ercure ou de


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&volution continue lchelle individuelle et lchelle supra)individuelle,larrangement produisant tou-ours plus de conscience.

&humanit sur le plan biologique monte vers son uni#ication et sa concentrationspirituelle au sein dun supra)centre divin Nou Centre des CentresO.

&a consommation idale Ntat terminal ou eschatologiqueO du monde se produit dans

un point idal % le point mga N j O, centre Q suprapersonnel L de personnalisation./oute lvolution se #ait autour dun axe ultra)ph+sique prexistant au monde.

L/intelli(ence de la matire

(n h+poth$se di##rente, bien que partant de la cellule m$re classique, lvolution de lamati$re admet les lments dun #antastique qui largit lhoriJon con-ectural en tablissant unes+nth$se % des thories scienti#iques admises, de quelques autres plus empiriques et desdonnes de la tradition, ignores ou cartes in-ustement par les rationalistes.

&volution est #aite de s+st$mes obli&atoirement instables qui, travers la naissance,la vie et la mort, tendent vers une complexit et une spiritualit sans cesse plus grandes.&es athes pensent que cette mcanique est aveugle et dpourvue dintelligence

directrice.:our les non)athes, si lunivers a un but Nunivers #iniO, le dernier r$gne de lhomme

sidenti#iera lintelligence directrice que les cro+ants nomment % 'ieu.Cette intelligence est donc dans tout et lhomme en est une parcelle.


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Les "u!ions o/ani-ues, es "e$4e$ens de e""e e su"ou /ee o"/e ianed'un 0s"ieu Gn/onnu, -ue 'on a!!ee es # /ou"ans eu"i-ues &, ne se"aienis !asa d$ons"aion de 'ineien/e du o4e... de no"e $+"e a @e""e, don nous, %o$$esineiens, so$$es issusO


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i un chne se mettait un -our parler, rsoudre des quations mathmatiques, ne#audrait)il pas le classer dans le r$gne animal suprieurX 4me avec ses ramures, ses glands,ses nids de pies ou de corbeauxX

Hlas, mani#estement, le chne ne parle pas, du moins au sens d#ini par les hommes...mais comme disait N peu pr$s SO 6ristote il + a vingt)trois si$cles, Q il nen pense pas moins L.

n demeure souvent perplexe devant le comportement de certains animaux et decertaines plantes.3n passereau commun en 5ouvelle)uine, l'ambl=ornis mFle ou oiseau -ardinier,

dans un visible souci artistique, rassemble autour du nid de sa #emelle, des #euilles et des#leurs coupes, #aisant une sorte de tapis ou de parterre richement color S

L/astucieuse cardre

/outes les h+poth$ses de tropismes % gotropisme, hliotropisme, h+drotropisme,n+ctotropisme, etc., nexpliquent pas pourquoi le liseron se dirige quatre #ois sur dix vers untuteur quelle que soit son orientation.

&a card$re ou chardon #oulon a une intelligence particuli$rement dveloppe.6 lintersection de ses #euilles et de sa tige, se #orme une petite vasque oY samassent

leau et la rose.ntelligenceX :as encore peut)tre. 4ais il se trouve que leur rgime, raisonnablement

appliqu, est une saine raction contre labus de la nourriture carne! mais ils sont dans lerreursils pensent que le vgtarisme abolit le Q crime L contre lesp$ce animale. Ce #aisant, ilscon#ondent sensiblerie et raison, et #ont une entorse dlibre aux lois de la nature, quelquecruelles quelles paraissent lesprit simpliste.

l est curieux de noter que les animaux les plus intelligents sont carnivores Nchiens,

chats, renards, etc.O alors que les animaux vgtariens sont particuli$rement stupides Nb_u#s,rennes, antilopes, moutons, etc.O. que cette petite vasque attire de nombreux insectes, dont lesmoustiques qui #inissent par tomber leau cl se no+er.

&e liquide mac$re cette proie quelque temps puis la card$re darde des poilsprotoplasmiques in#iniment #ins qui vont dguster le repas N1O.

(1) Les sens de a !ane, !a" R. "an/e. d. Ad0a".

5ombre danimaux nont pas cette astuce... cette imagination a)t)on envie de dire S&es bactries, gourmandes comme &ucullus, se prcipitent en parcourant des distances

considrables, eu gard leur petitesse, vers les solutions de sels de potassium, mme dilues

au milliardi$me de milligramme, ngligeant au passage les solutions de gl+crine qui,pourtant, les nourriraient de mani$re excellente. 4ais les bactries pr#$rent le goMt dupotassium.

6insi, dun bout lautre de la basse chaIne volutive, se dessinent les vestiges duneFme, dune sensibilit, dune volont que nous commen]ons tout -uste percevoir.

A1


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Tout vient des autres plantes&volution est un phnom$ne universel, irrversible N2O, encore que mal prouv et peu

contrWlable! pour la commodit dexpression, on parle souvent de Q chaInons L entre deuxr$gnes, mais dans la ralit, ces chaInons nexistent pas.

:ar ailleurs, il #aut avouer que cette volution Q universelle L comporte dans le dtail

de nombreuses esp$ces qui nont pas volu depuis les poques les plus recules de lacrationS

(2)


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Certes, les prhistoriens, par)del les volets de leurs _ill$res, voient l'homo sapiens ?ancestral L sarracher au r$gne de lanthropode, tailler le silex puis gravir pniblement leschelons de la connaissance, mais en tous temps et en tous lieux, les hommes ont dit un nonnergique ces thories.

&es hommes en e##et % rouges d6mrique, bruns de :ol+nsie, noirs d6#rique, -aunes

d6sie et blancs d(urope, ont tou-ours assur que notre civilisation tait venue dailleurs...u'elle n'tait pas terrestre [5ous pouvons mme prciser que selon le plus ancien document connu % le &ivre

d(noch, la science de la #usion des mtaux, la #abrication des armes T boucliers, poignards,pes ) la pharmacope antique, lart de #arder le visage des #emmes, dpiler ou de soulignerles sourcils sont des connaissances qui nous #urent donnes lorsque des tres extraplantairesvinrent sur notre globe, attirs par la beaut et le sex)appeal de nos pouses S

$arr lanc pour la =ense

est videmment peu reluisant pour les nobles cratures de 'ieu davouer que leurcivilisation eut comme point de dpart une vulgaire et asseJ sordide a##aire de commandocosmique avec, comme hros, des paillards dont la seule excuse tait davoir le sang tropchaud S

3ne telle aventure, mme dcoupe en squences censures, ne pourrait passer latlvision que #lanque du Q carr blanc L bien connu, et lon comprend la lgitime pudeur descopistes bibliques quand ils durent rapporter lhistoire S

ls sen tir$rent habilement, en neu# lignes ) en$se, Chap.


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Une arche nomme nus

5otre origine et notre civilisation, dans cette h+poth$se, seraient donc directementlies 4ars, et plus avant dans le temps, toutes les autres plan$tes.

:ourtant, nous avons de bonnes raisons de penser, avec le docteur amricain .


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2G 'es vnements, dont on ne nous dit rien, se produisent et dterminent le courrouxde 'ieu.

G 'ieu Q se repent L et anantit sa cration.^ue pourrait)il exister de plus important pour les hommes que la destruction du

mondeX /out nest)il pas vtille au regard dune telle catastropheX

r, cela qui devrait constituer la vraie gen$se est compl$tement pass sous silencedans la Bible % en douJe lignes, on annonce la venue de m+strieux personnagesextraterrestres, et dix)neu# lignes plus loin, cest lanantissement de lhumanit, le dlugeuniversel S ans autre explication S


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6 en croire les exg$tes autoriss de la Bible, des anges seraient descendus du ciel de'ieu pour #aire lamour avec les #emmes et les engrosser S ^uels vulgaires soudards, cesanges S

Honntement, nous ne pouvons, sans penser que le ciel est un repaire de brigands,accepter cette explication sacril$ge, dautant quil est di##icile de concevoir des anges, non

seulement Q ports sur la bagatelle L, mais en mesure ph+sique de satis#aire leur dsir.&es anges seraient)ils des tres matrielsX exus comme nous et dvors plus quenous par le dmon de la concupiscenceX

'es textes apocr+phes, tel Q&e Combat d6dam et d(ve L traduit de lthiopien,sinsurgent contre une explication aussi draisonnable %

)t d'anciens sa&es ont crit sur eu/ et ont dit ue les an&es taient descendus du cielet u'ils s'taient allis avec les 0illes de Can et ue d'elles ils avaient eu des&ants,

-ais ils se trompent dans cette opinion" et il n'est pas vrai ue les an&es" ui sont desesprits" se m


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Continuons lanal+se des autres versets %. )Alors +am=aDa leur che0 leur dit > !e crains bien ue vous ne puissieD accomplir

votre dessein,S, P )t ue !e supporte seul la peine de votre crime,

T, 8 -ais ils lui rpondirent > nous le !urons [A. ))t nous nous lions tous par de mutuelles e/crationsF nous ne chan&erons rien notre dessein" nous e/cuterons ce ue nous avons rsolu,

, 8 )n e00et" ils !ur1rent et se li1rent entre eu/ par de mutuelles e/crations" ilstaient au nombre de deu/" cents ui descendirent sur Aradis" Heu situ pr1s le mont ArmonN1O.

(1) :e no$ n'es !as dans '/"iu"e.

l #aut remarquer que la conspiration des deux cents extraterrestres ) car ils sont bienextraterrestres ntant pas originaires de la /erre ) suscite certains scrupules dans la

conscience de am+aJa. ^uant aux hommes du commando, ils sexpriment comme pourraientle #aire des cosmonautes aventureux, des risque)tout, peut)tre sevrs depuis longtemps dun

plaisir charnel dont ils paraissent connaItre #ort bien les dlices. Ces Q anges L ne sontcertainement pas des collgiens en la mati$re S

=. T (oici le nom de leurs che0s > +am=aDa" leur che0" (raEabarameel" AEibeel"amiel" Ramuel" *anel" ADEeel" +araEam=al" Asael" Armers" 3atraal" Anane" 9avebe" +am8

saveel" )rtael" urel" Yom=ael" AraDeal, els 0urent les che0s de ces deu/ cents an&esF et lereste tait avec eu/ N2O.

(2) Ra!!"o/%e" 5 A"aea e A"useaT, no$s a"$niens de a !an+e Vnus.

7. T )t ils se choisirent chacun une 0emme" et ils s'en approch1rent" et ilscohabit1rent avec ellesF et ils leur ensei&n1rent la sorcellerie" les enchantements et les pro8

prits des racines et des arbres,18. T)t ces 0emmes con6urent et elles en0ant1rent des &ants,,,Comment admettre que des Q anges L vivant habituellement dans le ro+aume de 'ieu

aux #licits... angliques puissent, dune part, pro#esser de tels sentiments dignes de lasoldatesque, et dautre part, avoir la connaissance de ce qui tait naturellement inconnu auciel% la sorcellerie, les enchantements et les proprits mdicinales ou alimentaires desvgtauxX

$%A*IT!#III1. ) ADaD=el ensei&na encore au/ hommes 0aire des pes" des couteau/" des

boucliers" des cuirasses et des miroirsF il leur apprit la 0abrication des bracelets et desornements" l'usa&e de la peinture" l'art de se peindre les sourcils" d'emplo=er les pierres

prcieuses et toute esp1ce de teintures" de sorte ue le monde 0ut corrompu N1O.

(1) Ainsi, e $i"oi", es a"$es, es a"ds e a"ii/es $inins ne se"aien !asd'o"iine e d'inenion e""es"es. Su" une au"e !an+e, des %o$$es aaien en !a"ie a$$e /iiisaion -ue nous e des e$$es uiisaien des !"oduis de 4eau ideni-ues ouanaoues /eu endus dans nos $aasins.

Fans a "adu/ion de "an8ois a"in, i es di !"o!os du $a-uiae 5 # 'a" de!eind"e e ou" des 0eu 'ani$oine, e d'e$4ei" es !au!i+"es... &.

;8


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'ans la tradition nordique et celtique, H+perbore est situe vers le roenland I4reenland \ la terre verteO, soit tr$s exactement entre le septentrion et louest.

r, (noch va prciser en cette direction, le point oY le quartier gnral desextraplantaires a tabli sa base.

l visite diverses rgions occidentales de la errepuis la demeure du Roi ternel, du

cNt du septentrion" sur la erre,

$%A*IT!#L&I&:S#$TI"7;+ 0rNlement de la erre par (nus" pluiesde pierres" de 0eu" de terre" etc, 5eut8


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Cette Q opration 5o L #ut le chant du c+gne des H+perborens % leur continent taitenglouti, leurs initis dcims, dissmins, rduits au rWle de tmoins, leur civilisation d-e##rite par une absurde guerre atomique avait sombr avec leurs laboratoires, leurs machinesspatiales, leurs inventions techniques.

&e peu qui subsista apr$s le dluge tait insu##isant pour permettre aux anciens 4aItres

du 4onde de -ouer un rWle de premier plan, pourtant, on peut con-ecturer quavec leursderniers engins spatiaux utilisables, ils essa+$rent, de leurs retraites souterraines, de contrWleret de diriger quelques vnements ma-eurs.


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L# DI#U JAL"U& DU *#U*L# .LU

ChaInon du r$gne animal ou cr spontanment, lhomme a dM #orcment tre dit plusieurs exemplaires, en plusieurs protot+pes #ort di##rents et qui nvolu$rent pas tous selonles mmes normes.

'e plus, notre globe, au cours de son existence, subit vraisemblablement desbombardements radioacti#s naturels ou provoqus, gnrateurs de mutations acclres N1O.

(1) Les naions dies # ao$i-ues &, !ou" se d4a""asse" de eu"s d/%es "adioa/is,es 6een /andesine$en au ond des o/ans. G es !eu !"+s inia4e -ue des $ons"esnaissen dans es ones ineses. La "adioa/ii e""es"e de"$ine ee aussi des$uaions a//"es e es enans $ons"ueu naissen en "and no$4"e, $ais 4ien

enendu, e ai es enu se/"e.

'es esp$ces disparurent dans certains points du globe T par exemple le cheval en6mrique ) dautres prirent un caract$re anarchique, monstrueux.

3ne esp$ce irradie put subir un dveloppement soudain et extraordinaire de ses#acults intellectuelles % lhomme serait)il le produit dune de ces heureuses mutationsX

3ne raison milite en #aveur de cette th$se % la procration lente, hasardeuse delhumanit, contrairement ce qui se passa pour les autres animaux. r, on sait quune des

premi$res consquences de lirradiation est prcisment de dtriorer lengendrement.il + eut un premier homme T 6dam T ou une premi$re #emme ) (ve ) exemplaire

unique et spontan, lun ou lautre, pour assurer sa continuit N1O, dut avoir des rapportssexuels, soit avec les animaux dont il tait issu, soit avec des animaux dune esp$ce di##rente.

(1) 9n !eu ad$e"e -ue e !"e$ie" "e %u$ain u %e"$a!%"odie. :ee %+se esd'aieu"s !"es-ue /assi-ue.

il + eut plusieurs protot+pes humains, ce qui est tr$s probable, ils #urent tousobligatoirement dissemblables. 'e toute #a]on, de lexemplaire unique ou des di##rents

protot+pes dcoul$rent naturellement des monstres, et il est intressant dtudier si, en cettecon-ecture, ces monstres eurent un rapport direct avec ceux de la m+thologie et, parconsquent, avec les hros et demi)dieux qui -ou$rent un rWle nigmatique dans la

protohistoire de lhumanit.:our les biologistes, laccouplement entre animaux de di##rentes esp$ces, sil est

possible en #ait, est obligatoirement strile quant au rsultat.:ourtant, certains mettent en doute cette thorie, dautant quelle ne rpond aucun

crit$re scienti#ique N2O.

(2) En 1CHW, e


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l est certain que de nombreuses expriences ont t tentes entre des animauxin#rieurs % souris, chats, coba+es, etc., mais -amais, semble)t)il, entre des animaux et des treshumains.

l nest pas du tout exclu quune #emme puisse avoir des en#ants partir dun animal

mFle, et laventure de /hr$se @.


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'ans la grotte magdalnienne de &ussac)les)ChFteaux N


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Chaque matin, il sortait de la mer pour venir parmi les humains enseigner les sciences,les arts, les lettres et lagriculture.

(n s+riaque, ann$s signi#ie tran&er" ce qui renseigne bien impar#aitement surlorigine de ce dieu grand initi.

0tait)ce les vtements dann$s qui lui donnaient une ressemblance avec les poissons,

ou bien tait)il, par quelque miracle incro+able, le rsultat dun croisement monstrueux N1OX

(1) Le 1e" noe$4"e 1CHB, une /%ienne de :ou"%eon (Vau/use) a $is 4as se!/%ios, don si "esse$4en "ane$en des !oissons 5 $useau aon, !as d'o"eies,

!aes !a$es, /o"!s a$in/i en useau e se e"$inan en # -ueue de !oisson &. La !eauee$$e a 'a!!a"en/e uisane des /aies. Se"ai/e une !"eue de /"oise$en$ons"ueu ou de $uaion anasi-ueO Fe oue a8on e ai eise, $$e s'i esine!i/a4e.

5otre logique nous inclinerait plutWt voir en cet tre extraordinaire, sil a exist, lereprsentant dune race extraterrestre venu sur /erre dans un engin spatial, analogue un

sous)marin, ou pouvant se comporter apr$s atterrissage comme une sorte dhabitation sous)marine.

(n tout cas, il reste que les hommes constitution ph+sique anormale ntaient pas#aits pour e##ra+er les peuples anciens, comme si la monstruosit avait t non pas lexception,mais un phnom$ne asseJ commun.

'e si loin quelles surgissent, ces traditions, ces lgendes, souvent, #orment lasubstance essentielle la comprhension de lhistoire inconnue des hommes, mme si elles

paraissent sopposer aux lois scienti#iques dune volution universelle beaucoup plusaventureuse quon le croit S

Car en#in, si le monde a t dtruit plusieurs #ois, si des dluges ont no+ lhumanit,comment lvolution aurait)elle pu se poursuivre sans altrations pro#ondesX

6ltrations que dailleurs on trouve pro#usion dans tous les r$gnes S&es monstres, les btes #antastiques, les hommes ph+siquement extraordinaires ne

pourraient)ils trouver une place logique, rationnelle dans lacheminement de la mati$re, delintellect et du ps+chisme vers le dernier maillon actuel de la chaIne % lhomme S

(st)il insens de croire que lors de la cration des premiers hommes, certains mutantsdous dintelligence et peut)tre de perversion engag$rent avec l'homo sapiens une lutteimplacable dont len-eu tait la suprmatie terrestreX

La BFte 9antasti@ue&es traditions de tous les pa+s rapportent que des gants ou que des btes

monstrueuses, par#ois semi)humaines, par#ois enti$rement animales, exigeaient des ran]onsde -eunes gar]ons ou de -eunes vierges, ou dcimaient les populations.

n peut se demander -usqu quel point ces monstres % 4inotaure, phinx,


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ous le voile de la #able et de la lgende, se cache une vrit que nous craignonsdidenti#ier.

&a mmoire des hommes na le pouvoir de conserver exact un souvenir que durant unequarantaine dannes! plus loin dans le temps, les #aits commencent se d#ormer et entrent

peu peu dans la lgende.

&es guerres napoloniennes seraient depuis longtemps devenues des chansons degeste, si les chroniqueurs ne les avaient consignes par crit.&e souvenir des monstres semi)humains est donc entr dans un merveilleux oY il sied

de discerner la parcelle de vrit initiale.&a #ormidable Bte de vaudan ntait mme pas un loup ordinaire, mais un gros

chat ou loup)cervier S&a bataille titanesque qui opposa Roland aux arrasins dans le d#il de Roncevaux #ut

tout au plus une escarmouche S(n gnral, les petits #aits anciens sont dmesurment grossis, mais sils ont t

dmesurment importants, il arrive, au contraire, quils soient relativement minimiss.:ar exemple, la guerre des /itans contre [eus, qui branla ll+mpe et #it trembler les

dieux, #ut vraisemblablement un catacl+sme universel oY sombra une grande partie delhumanit S

(ntre ces extrmes, quelle valeur doit)on donner aux monstres antiquesX (tnotamment aux C+clopes, 4inotaures, /itans, orgones, Uaunes, 6nges, gres, H+dres, au&viathan et au Bhmoth des m+thologies et des traditionsX

&e docteur amricain .


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Certes, ils trouvent des /erriens et essaient, soit de les coloniser, soit de sintgrer eux, mais non sans risques, sans pa+er la dIme du sang, car ces cosmonautes ne sont pas

biologiquement identiques nous.&eur union avec les #emmes des hommes produira donc des en#ants plus grands que la

normale terrestre, soit, avec le grossissement du temps % des gants.

&existence de ces gants avant le dluge dit universel est atteste par tous les peuplesanciens N1O.

(1) 9n a "ou dans une "oe d'Aue/a, !"+s de aniss (GG.R.S.S.) dess-ueees d'%o$$es $esu"an 2,I; $ 3 $+"es ('ouies du :au/ase 1CHB).

'apr$s une tradition des ndiens Cholula, consigne dans un manuscrit du antasti@ues (ants de 7icolas %enrion

3n numismate et historien du @


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H+perborens selon les traditions celtiques et candinaves #ournirent la race des hommessuprieurs qui sombra avec leur continent, quand se produisit le catacl+sme atomiqueamricain et asiatique.

&es gants h+perborens auraient actuellement une descendance avec les Q sumotori LNlutteurs de sumoO qui, au Papon, sont des personnages de haute popularit se situant, dans la

hirarchie, immdiatement apr$s les dieux et lempereur.&eur #orce est prodigieux, leur poids peut atteindre 288 Zg et leur taille 2,D8 m.Au dbut" crit lhistorien :ierre 'arcourt, les sumotori se recrutaient cheD les &ants

Anous la peau claire N1O.

(1) Le onde e a Vie, N 1B1, "ie" 1CHW.

Les Anous sont des 3lancs" des proto8Caucasiens" ui auraient mi&r travers la+ibrie, Leur dieu ? #amu @ en&lobait le soleil" le vent" l'ocan et l'ours,

Ces monta&nards de l'HoEEado" velus" lourds et puissants" buveurs d'alcool chaud"taient de 0ormidables lutteurs,,,

&es autres Paponais, de teinte cuivre, seraient originaires des Iles pol+nsiennes, de la4alaisie et de la Chine. ls avaient, grFce leur science et leurs armes per#ectionnes,vaincu les gants.

Les vainueurs" poursuit :ierre 'arcourt, avaient emport en croupe" vers le sud" lesbelles 0emmes blanches Ide leurs adversaires et de leurs accouplements taient ns des

&ants asiates ui devinrent les premiers &ardes du corps de l'empereur,elon cette th$se, le Papon du 5ord pourrait donc tre considr comme tant

l(xtrme)ccident du globe avec ses autochtones h+perborens, ou peut)tre encore commeun Ilot prserv de lantique terre de 4M dont les habitants taient de mme race extraterrestreque ceux dH+perbore.

l ne sagit l que dun indice, mais qui sa-oute une #oule dautres et milite dans lesens de notre h+poth$se danctres suprieurs venus de


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(n premier lieu, ces Q en#ants de 'ieu L venus sur /erre pour voler les #illes deshommes ou violer leurs pouses ne #orniqu$rent)ils pas avec certaines btesX

'e nos -ours encore, ces pratiques anormales sont courantes cheJ les obsds sexuelset plus #orte raison le #urent)elles cheJ des tres sans doute sevrs damour depuis #ortlongtemps S

&es cosmonautes purent #ort bien engendrer des en#ants monstrueux, mi)hommes mi)chevaux ou mi)hommes mi)vaches...:ar ailleurs, le cheptel animal quils lFch$rent dans la nature terrestre dut avant de

disparaItre ou de sacclimater, et la suite de croisements naturels perturbs oudaccouplements extraordinaires, passer par des stades doY la monstruosit ph+sique dcoulaitobligatoirement.

(t voil peut)tre expliqu la #ois ces humains gants, ces hommes)chevaux NlescentauresO, ces hommes)taureaux Nle minotaureO, ces #aunes -ambes de bouc, ces sphinx tte de #emme, ces gorgones, ces sir$nes, etc*

Les monstres contre les hommes

6 corps monstrueux, esprit tortueux, dit la sagesse populaire SCes tres d#orms par la lgende, car le 4inotaure, par exemple, ntait sans doute

quun gant mu#le de taureau, ou bien ces mutants, pour reprendre aussi la th$se delirradiation, voulurent)ils -ouer un rWle dans la socitX

Cest probable, et ils trouv$rent alors, dans les tres normaux,) des adversaires dcids prserver leurs prrogatives et leur race.

'oY une guerre quasi #ratricide qui, durant de longues annes, endeuilla lhumanit.&es monstres avaient pour eux la #orce, la brutalit, au service dune intelligence

borne...&es hommes avaient moins de #orce ph+sique, mais une intelligence plus subtile, et ilstaient le nombre.

&es Q Btes m+thologiques L #irent de la -eunesse humaine un carnage rappel par lessacri#ices, les tributs de sang #rais, mais #inalement, les hros" entendeJ par l les Q ants L,#ils des extraplantaires et des #illes des hommes, eurent raison de la t+rannie des tresanormaux.

:eut)tre aussi pouvons)nous penser quen souvenir imprissable de la grande batailledes temps antiques, les hommes vainqueurs rig$rent les seiJe cents monstres nigmatiquesdu /emple de KarnaZ, et louest des :+ramides de leurs connaissances, la statue colossale delennemi hrditaire vaincu % le phinx de ui)

^uelle magni#ique pope pour les bardes antiques et comme on comprendlenthousiaste mtamorphose quils #irent des vnements S&es hros victorieux #urent certainement promus demi)dieux, mais la vrit nichait au

#ond de la##abulation S

#8hortation du Dieu 'alou8

&a Bible nous apporte ce su-et des prcisions du plus haut intrt.'ans (xode Nchap. @@@


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2D. ) Car lorsue !'aurai chass les nations de devant votre 0ace" et ue !'aurai tendules limites de votre pa=s,,,

l sagit, bien entendu, de montrer lalliance du eigneur avec les tribus dsra`l, maisun peu plus loin, dans &vitique Nchap. @


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AYhnaton) pharaon monothiste

&e dpart du m+st$re se situe en (g+pte, treiJe si$cles et demi avant notre $re, la #inde la @


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7>ertiti et 4oWse

n prsume que 4ose vivait la cour du pharaon )peut)tre tait)il de la #amillero+ale ) et quil se convertit la religion d6ton.

6Zhenaton, outre son dieu unique, avait une adoration T tr$s lgitime T pour sa belle

pouse 5#ertiti N&a Belle qui est venueO, que lon croit originaire de +rie.5#ertiti apporta)t)elle le germe de la religion monothisteX &crivain et g+ptologue

Pean)&ouis Bernard N1O le pense mais note cependant que le p$re d6Zhenaton, le pharaon6mnophis , avait une certaine inclination pour le dieu 6ton, puisquil avait appel Qplendeur d6ton L la barque de plaisance dans laquelle il emmenait sur le lac son pouse /i+.

%0ertiti ne ra=onne pas" elle 0ascine" crit P.)&. Bernard. )lle est 0ine" alti1re"intelli&ente" mais or&ueilleuse et bute, +a 0minit a uelue chose d'e/cessi0" d'implacable"d'aberrant,

(1) L'E0!e e a en+se du Su"%o$$e, d. La :oo$4e.

6 la base du culte d6ton, on trouve donc trois personnages principaux % 5#ertitilgrie, 6Zhnaton le prince in#ortun, et 4ose le ralisateur, qui va devenir le librateur etle lgislateur du peuple -ui# en lui apportant toute prte une nouvelle religion.

4ose rva)t)il de succder 6Zhnaton, ou bien #ut)il son propagandiste pourrpandre le culte du 'ieu uniqueX

(n tout cas, il dut comprendre tr$s vite que sa mission ne pourrait se dvelopper cheJles cito+ens d(g+pte, et comme tous les r#ormateurs, il choisit le bas peuple, le plusmalheureux, le plus opprim, pour accueillir son enseignement.

&es Hbreux, pressurs, mpriss par les nobles g+ptiens, lui o##raient un champ

daction idal dont il pro#ita! il se #it tout de suite leur che# et les entraIna ) sans quils #ussentinquits le moins du monde, semble)t)il ) vers une terre plus hospitali$re que la valle du 5il.

Une reli(ion et un che> (yptiens

Cet exode qui, selon la Bible, entraIna environ un mil)ion dtres N1O dans le dsert, sesituerait, dapr$s les aeuls de Ureud, autour de 1E8, apr$s la mort d6Zhnaton et un si$cleenviron avant les dates avances par lglise.

(1) :e /%i"e es 4ien enendu dnu de ou onde$en. Un $iion d'D4"eun'eussen !as su su4sise" dans e dse", ni "an/%i" a # $e" Roue & en"e deu $a"es ]9n n'a au/un "e!+"e d'esi$aion su" e no$4"e des $i"s. Gs aien !eu"e -ue-ues/enaines, au !us -ue-ues $iie"s =

Cest au prix dnormes di##icults, avec sa horde barbare, que 4ose parvint remplacer le dieu 6dona par Pahv. &vnement se produisit sans doute dans la riche oasisde 4eribat)^uad$s et non sur le ina.


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Hrodote, en parlant deux, crivait % Q ls pratiquaient la circoncision quils #urent lespremiers adopter pour des raisons dh+gi$ne. ls avaient aussi horreur des porcs pour laraison que et, sous la #orme de cet animal, avait bless Horus... :ar orgueil, ils seconsidraient comme le peuple le plus haut, le plus pur et le plus pr$s de 'ieu. L

/outes ces constatations nenl$vent rien au gnie des Hbreux, mais il est bien vident

quils doivent leurs bases religieuses et mme leurs lois au peuple d(g+pte, qui ilsemprunt$rent, en outre, des r$gles dh+gi$ne et des superstitions.sra`l devint un vritable peuple quand sopra la #usion de la tribu d(g+pte et des

tribus du dsert! la religion mosaque prit sa #orme d#initive vers EE8 av. P.)C., quand lesrabbins rdig$rent la Bible.

4ose tait mort depuis huit si$cles, assassin par les Hbreux, avancent nombredhistoriens, quand #urent crites ses paroles et son histoire S n devine avec quelleapproximation S

Certes, cette exg$se suscite en nous un sentiment trouble de gne et de sacril$ge,puisquelle tend dtruire une lgende qui #it les dlices de notre en#ance et laquelle noussommes attachs par une sinc$re a##ection. 4ais lhistoire nest pas #aite de concessions

sentimentales et nous devons exprimer ce que nous cro+ons tre une vrit.


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...)n m


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ls crurent peut)tre quils ntaient que des coba+es amliors par croisement et nonune race pure, et pour sapproprier la gloire de linitiation premi$re, ils dcid$rent de rendre le

pass impntrable.6lors, le 4aasseh merZabad de la Kabbale devint un secret d0tat, qui ne #ut plus

transmis que de bouche oreille aux rabbins initis de haut grade. &e plan et l_uvre des

extraplantaires sombr$rent dans loubli, les -ui#s semplo+ant e##acer les traces en annexant leur souche raciale les initiateurs et patriarches trangers des temps de la en$se et del(xode.

'e cette immense con-uration, devait dcouler une nuit redoutable oY sombra lhistoireauthentique de lhumanit.

112


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;; -

A*"$!6*%#S

#T%IST"I!#S 9A7TASTIU#S

nest pas sans relation avec notre su-et de puiser dans les 6pocr+phes et dans lescrits anciens des anecdotes dont certains dtails, mme sils appartiennent la lgende,

peuvent apporter un indice aux exg$tes.

Le *aradis est au nordCouest

'ans un 6pocr+phe traduit de lthiopien Le Combat d'Adam et d')ve" lauteurrapporte que les descendants d6dam staient diviss en deux branches % les Canites et lesethites.

&es premiers, issus de Can, staient consacrs atan, aux plaisirs de la chair et limmoralit! ils vivaient dans un pa+s #ertile, mais loign de l(den.

:ar contre, les ethites, descendants de eth, taient demeurs #id$les la loi ethabitaient les montagnes, pr$s du :aradis, mais ils ne tard$rent pas se mlanger avec lesen#ants de Can, Q se souill$rent de leurs impurets et engendr$rent avec eux des en#ants quitaient appels &ariMni" cest))dire &ants" car tant des hommes tr$s #orts et dune taillecolossale, ils navaient pas leurs pareils L.

Cette relation ne nous donne pas dindication sur lemplacement gographique del(den, mais les chroniques anciennes ) H+mnes de aint)0phrem sur le


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Le trsor d/Adam

&e Combat d6dam conte ensuite une trange histoire dans laquelle le eigneurordonne 6dam de demeurer dans une caverne souvrant dans le rocher, au)dessous du -ardin.

:ourquoi une caverneX :arce que notre anctre doit + apporter son trsor, cest))direles ob-ets prcieux venus de l(den que les anges lui avaient o##erts avant quil ait pch.

'e nombreux crits orientaux lattestent, cest dans cette caverne que #ut enterr 6dam,car il ne #ut pas maudit par 'ieu, et de tous les patriarches, il demeura le plus vnrable et le

plus grand en saintet S^uand 5o eut construit l6rche, il + porta le corps de notre premier anctre %

-athusalem dit %o,,, mon 0ils" lorsue tu mourras" recommande ton premier8n"+em" de prendre avec lui -elchisdech" le 0ils de Canan et le petit80ils d'Arpachsad" car il estle pr


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ans doute Peanne allait)elle #aire ses dvotions paennes larbre aux #es deBourlemont quand elle entendit Q ses voix L S

(lle tait Q de par 'ieu L, reconnut magiquement le roi Charles


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(1) Eus+4e, -ue de :sa"e, aueu" d'une /+4"e e !"/ieuse # Disoi"eE//siasi-ue & oM i "a/one ae/ o"d"e e ea/iude 'a4isse$en e es !"e$ie"s!"o"+s de 'ise (2H73B;). La e"e de Jsus iu"e dans son i"e, /%a!. 131 G e aussidans Ni/!%o"e 5 # Disoi"e E//siasi-ue &, 1 GG /%a!. 7. -oi" Jsus8Christ" 2ils de *ieu vivant et ternel" Ab&ar" roi dans la ville d'desse,

5ai/ avec toi P Je te le dis > tu es heureu/ et bienheureuse est ta ville ui s'appelle desse"de ce ue" ne m'a=ant pas vu" tu as cru en moi,

u es !amais heureu/" ainsi ue ton peupleF la pai/ et la charit se multiplieront enta cit et une 0oi sinc1re en moi = brillera" et la science sera dans ses places,

-oi" Jsus8Christ" roi du Ciel" !e suis venu sur la terre a0in de sauver Adam et )ve etleur race,

(t il lui envo+a sept sentences en grec %

1G ) Je me soumets volontairement au/ sou00rances de la passion et la croi/,:_ ) Je ne suis pas simplement un homme" mais un *ieu par0ait et un homme par0ait,G )J'ai t enlev vers les +raphins,DG )Je suis ternel et il n'= a pas d'autre *ieu ue moi,EG )Je suis devenu le +auveur des Hommes,AG )A cause de mon amour pour l'homme,;G )Je vis en tout temps" tou!ours et ternellement,

Le +ei&neur Npoursuit le scribe du manuscrit de &e+deO envo=a cette lettre et ill'envo=a en disant >

J'ai ordonn ue tu 0usses &uri et dlivr de tes maladies et de tes sou00rances" et detes in0irmits" et ue te^ pchs te soient remis, )t en tout lieu ue tu placera^ cette lettre" la

11A


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puissance des armes ennemies ne pourraprvaloir ni te renverser" et ta ville sera !amaisbnie cause de toi,

Ce sont les sept sentences ue %Ntre8+ei&neur Jsus8Christ envo=a Ab&ar" roid')desse" au su!et de sa divinit et de son humanit" et comment il est *ieu par0ait et homme

par0ait, A lui soit !amais la louan&e,

&orthographe du nom ro+al est d- modi#ie et il semble bien que deux ou troisautres retranscriptions ne laisseraient plus subsister grand)chose du texte primiti# Ndans lemme ordre dide, signalons que la Bible nous est connue par 1 288 1 =88 copies, loriginaltant bien entendu perdu ou squestrO.

&a lettre de Psus 6bgar ne #ut trouve quau


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Ctait la premi$re #ois que lon dcouvrait en /erre sainte un message grav sur mtalet lon crut, de ce #ait, son exceptionnelle importance.

:eut)tre ltait)il, car sa teneur ne #ut pas divulgue, sau# par ce court #ragment %*ans la citerne ui se trouve au bas de la muraille" du cNt de l'Orient" un

emplacement est creus dans le rocher, $l contient W barres d'ar&ent, out pr1s de l"

l'an&le sud du portiue" devant la tombe de `ado et sous le pilier de l'e/1dre > un co00retd'encens en bois de c1dre et un co00ret d'encens en bois de cassia Icassier, *ans la 0osse"tout pr1s de l" pr1s de la tombe" dans une caverne ui s'ouvre vers le nord" se trouve unecopie de ce rouleau" avec e/plications" mesures et indications prcises,

l sagissait donc dun trsor, vraisemblablement celui du /emple, que lon sait avoirt pill par les Romains de /itus en lan ;8.

:our cette raison, et peut)tre pour dautres qui ne devraient pas tre connues, il #utdcrt que le texte des plaques de cuivre tait l_uvre dun #antaisiste ou bien le rituel dunesecte, sans valeur positivement rattache au sens littral des mots.

n sut, un peu plus tard, mais sans grandes prcisions, que les plaques rvlaientlemplacement de A8 trsors en or et en argent reprsentant en 288 tonnes de mtal prcieux

une #ortune de 188 millions de dollars.Y tait le mensongeX'ans les textes prsums essniens, ou dans la traduction que lon en avait donneX &e

m+st$re demeure entier.

11=


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;+-

L/AUT!#4"7D#DU=!AAL

6u cours de sa lente rsurrection, apr$s les a##res du dluge 1 humanit dsempare,en plein chaos, oscilla entre di##rents s+st$mes sociaux. &a population, qui tait -adis dequelques diJaines de millions d Fmes, tomba un chi##re inconnu, mais tr$s peu lev, et on

peut con-ecturer que trois ou quatre gnrations #urent ncessaires pour repeupler valablementle globe.

6utour de lpicentre de l6tlantide, particuli$rement prouv par le catacl+sme, rares#urent les survivants et des esp$ces animales #urent compl$tement ananties. :risonniers deleur isolement continental, privs de contacts avec le reste du monde, les 6mrindiens ) lesanciens 6tlantes ) volu$rent comme en vase clos.

&a terre de 4M, aux antipodes, #ut en grande partie engloutie, mais larchipel de obi

N1O se trouva surhauss, et un continent nouveau et vierge mergea de 1 ocan % l6ustralie.

(1) F'a!"+s es "adiions, e dse" de o4i au"ai , une !o-ue "+s "e/ue,une $e" !a"se$e d'es.

6u septentrion, les Celtes et les 5ordiques #urent moins touchs que les autrespeuples, mais leur civilisation tait peu avance et leur panouissement se trouva #rein pourdeux raisons naturelles % ils nhabitaient pas sur une ligne de #racture de lcorce terrestre,#avorable lvolution! ils recommen]aient un Fge dor stagnant sur leurs terres trop riches.

:ourtant, et par la cause mme de leur stagnation, na+ant pas dambitions vers undestin grandiose, ils conserv$rent aussi intactes que possible, les vritables traditionsdH+perbore.

Cest en ccident et dans le :roche)rient, que le gnie des hommes devait semani#ester avec un clat particulier dont il #aut rendre le premier hommage aux recs,champions du rationalisme, et aux Hbreux, hritiers de la magie g+ptienne.

(ntre ces deux tendances, le monde des 6nciens opta pour un compromis et ce #utsans doute la meilleure solution.

l est important de noter que les recs, les Hindous, les Celtes, les ncas, les 4a+asimmis]aient tout le cosmos leur gen$se et, de ce #ait, cultivaient un esprit dvolutionuniverselle.

:ar contre, les Hbreux et plus tard les ccidentaux chrtiens contract$rent lunivers

aux dimensions du :roche)rient, rpudiant le oleil,


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#aute des -ui#s, qui apparemment #aillirent leur mission en sen#ermant dans un gostepr-ug de race.

'e ce #ait, la route menant aux anctres suprieurs se trouva coupe, sra`l demeurantle seul dtenteur du secret! pourtant, cheJ les &atins, les Celtes et les candinaves, persista, dela vrit originelle, une petite lueur, quasi indiscernable mais tenace, qui devait, au 4o+en

6ge, exalter le #lamboiement du christianisme./andis que linvolution -uive sen#ermait dans le :roche)rient, le d+namismechrtien, magiquement sollicit, cherchait un continuum vers lccident m+strieux et encoreinconnu des hommes.

La mission des %yperorensCette excentration, hors de notre petit univers europen, des initis lavaient d-

prvue et tente par le canal des socits secr$tes, au cours des $res hbraque et grecque,mais seuls les chrtiens lui donn$rent un sens et un idal. Ce #ut la mission secr$te des ordresde Chevalerie, dont lembl$me, comme son nom lindique, tait le cheval.

'ans les steppes amricaines oY il galopait il + a 18 888 ans ltat sauvage, le chevalavait acquis une haute valeur s+mbolique puisquil tait le totem des 6tlantes sous la #orme de:osidon, le dieu)cheval marin.

6pr$s le catacl+sme universel, le s+mbole parut sombrer avec les connaissancesatlantennes, pourtant, les initis des Centrales du ecret ne lavaient pas oubli et le #irentresurgir avec les ordres de Chevalerie N1O.

(1) @"+s i$!o"an 5 e /%ea, de nos 6ou"s, /o$$e i 0 a 1;;;; ans, es!a"i/ui+"e$en en %onneu" dans es !a0s oM ae""i"en es /o$$andos d'e"ae""es"es 5'A$"i-ue, e dse" de o4i, a "ion A"$nie:au/ase (e /%ea a"$nien ou"ni a

$eieu"e "a/e d'Asie o//idenae, a $eieu"e "a/e d'Asie o"ienae an !"oduie en onoie).

r, lordre le plus cl$bre, le plus sotrique aussi % celui des chevaliers de la /ableronde et de la queste du raal nous donne la cle# merveilleuse dun monde disparu qui, bienavant Christophe Colomb, eMt dM mener les hommes dans les deux 6mriques N2O.

(2) L'A$"i-ue u isie !a" des Eu"o!ens e des Asiai-ues 4ien aan 1BC3.Nous enendons i/i !a" d/oue"e de 'A$"i-ue une "e/onnaissan/e '/%ee $ondiae.

&a queste du raal, tant controverse, tant anal+se, tra#ique, ne pouvait en d#initive

tre comprise qu la lumi$re du pass primhistorique.'es communauts religieuses avaient intrt #ausser la recherche, laccaparer pourmieux la contrWler! pourtant, le m+strieux appel atavique #ut si puissant que le sens pro#ond,imprim dans le subconscient, subsista et surpassa tou-ours les interpolations.

'ans lombre, des initis dirigeaient la queste, dont le but tait la sauvegarde etlexhaussement de la race des anctres suprieurs.

Le =raal l(endaire&e raal, dans la cro+ance du 4o+en 6ge, tait la #ois le vase oY Psus avait mang

la pFque avec ses disciples et la coupe dmeraude dans laquelle Poseph d6rimathie auraitrecueilli le sang du cruci#i. &es auteurs, selon leurs cro+ances, lui prtent bien dautressigni#ications % m+the littraire oriental transpos en ccident, pierre philosophale, archt+pe

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de la connaissance supranormale, s+mbole de la chevalerie universelle, grFce ou vertu de'ieu, prsence divine, vivante et immortelle, chaudron magique des Celtes et du roi 6rthur,etc...

&e raal entre dans la littrature arthurienne d$s le @esi$cle au :a+s de alles, etvers 11E en Urance avec5erceval ou Conte du 4raal de Chrestien de /ro+es.

&crivain allemand fol#ram d(schenbach, vers 1288, int$gre le raal dans sesromans5arDival" 7illehalm" iturel" en empruntant sa documentation au po$te angevin u+otqui lui)mme la tenait, disait)il, dun 6rabe ncromancien de /ol$de.

3ne tradition plus secr$te rattache le m+the lpope arabe et une ide dhgmoniepaci#ique sur lrient et lccident, par le truchement des ordres de chevalerie.

'ans l_uvre d(schenbach, les /empliers sont les hros de la merveilleuse queste, dumoins au dire de lermite /revriJent dans5arDival >

*e vaillants chevaliers ont leur demeure -ontsalva&e o; l'on &arde le 4raal,Ce sont les empliers Ndie selben /empleiseO! ils vont chevauchant au 0oin en u


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Cette corrlation est rvlatrice de la mission secr$te des chevaliers de la /able rondeet des /empliers, que nous pouvons considrer comme tant les tenants du ecret gard etllite missionne pour puiser #orce, puissance et savoir, au pa+s des anctres suprieurs.

'ans la lgende populaire, la question des chevaliers de la /able ronde tait une suitede prouesses dont les hros #urent &ancelot du &ac, alaad son #ils, :erceval, 6rtus, auvain,

etc. /ous avaient lambition daller chercher dans le chFteau du Roi :cheur, le raal, dontla place vide la /able ronde du roi 6rthur o##ensait le regard et le c_ur des preux chevaliers.

&e chFteau du Roi :cheur, bless mauvaisement, se situait dans un Q 6utre 4onde L, la #ois rel et irrel, mais Q avec voie ouverte L, que lon pouvait trouver (t louest, au delde lcan.

L/autre inonde du =raal

utre le raal, les Chevaliers de la /able ronde devaient rapporter de leur queste desob-ets merveilleux dont le nombre, sans cesse grandissant, #init par embrouiller leschroniqueurs.

&e pa+s de l6utre 4onde, dans la tradition la plus exotrique, se situe sous terre ou au#lanc de #alaises abruptes dominant les #leuves.

n + acc$de par des couloirs souterrains creuss sous les tertres hants, apr$s avoirsatis#ait aux rites initiatiques.

Cette version dexpression populaire #ut, bien entendu, imagine par les trouv$res etadapte aux naves cro+ances de lpoque.

(n elle se diluent, peine perceptibles, certaines vrits dont on retrouve une trameplus visible dans les anciennes traditions celtiques.

'ans la version irlandaise, l6utre 4onde est situ Q au del des mers et des IlesUortunes, plus loin que les pais brouillards L qui d#endent son acc$s.Comme 6ntillas, BraJil et an Brandan, il sloigne au #ur et mesure que veut sen

approcher le dcouvreur indigne, et disparaIt mme sa vue! pourtant, il existe, avec sonChFteau 6ventureux, oY s-ournent le roi Bran N1aO et la reine)desse Riannon.

(1a) Le "oi "an, a!"

charroux robert - le livre des secrets trahis

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