L'aventure médiévale des Amis de l'HypocrassL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 31 décembre 2012  

Stéphane Dervin fabrique déjà quelques produits médiévaux.

La nouvelle association Les amis de l’Hypocrass de Charmes souhaite faire découvrir les produits médiévaux et une autre vision du Moyen Age.

Pour les ingrédients, un président passionné de Moyen Age, un entourage prêt à se lancer dans l'aventure et une bonne dose de débrouille. Voici la recette de la nouvelle association « Les amis de l'Hypocrass de Charmes », créée il y a quelques mois dans la commune.Le Moyen Age semble avoir le vent en poupe depuis quelques années. La Mesnie de Lug sur Saint-Gobain n'est ainsi plus seule sur le Laférois, en plus des voisins de Coucy.Stéphane Dervin, responsable de cette nouvelle structure, présente les particularités du groupe de Charmes. « Notre objectif dans un premier temps est de faire découvrir tous les produits médiévaux et les recettes de cette époque. Le public a souvent une mauvaise image du quotidien au Moyen-Âge. Par exemple, ce n'était pas toujours la disette, les habitants pouvaient aussi manger des aliments très riches ».Une production localeC'est d'ailleurs afin de promouvoir un des produits de sa conception qu'il a créé l'association. Sur le marché du terroir organisé en octobre dernier au centre Saint-Exupéry, les visiteurs pouvaient ainsi goûter à sa cuvée d'Hypocrass, un vin médiéval épicé. « Mais la vente d'alcool est encadrée.

Cette opportunité m'a permis de me lancer dans cette aventure associative ».Il embarque alors avec lui des amis et des membres de la famille, qui sont tentés. Depuis, l'association est prête à accueillir de nouveau membres. Ces inscriptions seront alors validées par le bureau.En tout cas, ce marché du terroir a permis de sonder l'intérêt des visiteurs et Stéphane Dervin n'a pas été déçu. « J'ai vendu la quinzaine de bouteilles mises en vente. Les personnes étaient surprises de constater une production locale de ce vin. J'avais également préparé une tarte blanche ». Car ce passionné a développé toute une gamme de produits et se plonge avec plaisir dans les recettes du Moyen-Âge. La fabrication des savons, pâtisseries et autres plats est alors testée dans sa cuisine. Un site Internet de l'association est en cours de création, où les produits seront disponibles.« La difficulté réside alors dans le fait de trouver les épices et ingrédients. Je dois parfois aller à Lille pour en trouver. Mais dans certaines circonstances, on doit adapter les recettes, car par exemple certains légumes ou fruits ont connu des croisements au cours des siècles ». Il doit également s'adapter au palais actuel. De même qu'il souhaite privilégier les circuits courts.Une foire médiévalePour les faire connaître, l'association participera à diverses animations locales mais aussi de son initiative. Ainsi une foire médiévale est déjà en préparation pour le 14 septembre 2013 à Charmes. « Nous espérons organiser lors de cette date un marché du terroir, une foire à bestiaux, des animations médiévales (fauconnier, bouffons) et un concours de déguisements », souligne le président. Il peut d'ailleurs compter sur les autres associations médiévales pour avoir quelques contacts.Quant à un produit spécial Charmes, Stéphane Dervin y réfléchit. « Peut-être un savon. On pourrait le trouver plus facilement en mairie », conclut-il.Renseignements au 06-38-78-73-10 ou stephane. dervin0101@orange.fr--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Quand le comité des fêtes s'y met

En unissant les efforts de chacun, la fête est plus belle encore. C'est ce que s'est dit le comité des fêtes de Charmes cette année en se joignant à la mairie pour recevoir au foyer Charles Catillon l'ensemble des écoliers de la commune, vendredi après midi.D'ordinaire, cette fête communale de Noël rassemble l'ensemble des enfants des écoles publiques autour d'un goûter ponctué comme il se doit par la visite du père Noël mais cette fois, les écoliers ont aussi pu savourer, et même participer, à un spectacle très coloré offert par le comité des fêtes. De quoi exciter l'imagination de nos chères têtes blondes qui du coup, ont offert au père Noël un vrai bain de foule. 

L'Aisne Nouvelle Publié le jeudi 27 décembre 2012 à 14H00 - Vu 1 fois

Les enfants étaient dans le public mais aussi sur scène.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------La hotte chargée de l'Arsenal ABCl'Aisne Nouvelle Publié le mardi 25 décembre 2012  

C'est au foyer Charles Catillon de Charmes que la fête a eu lieu mais le père Noël a choyé les jeunes footballeurs des trois communes fédérées au sein de l'Arsenal, à savoir Charmes, Beautor et Achery, lesquelles avaient d'ailleurs envoyé leurs émissaires municipaux.Il y avait foule du coup, samedi soir, autour du père Noël dont le responsable des jeunes Franck Hageaux s'est dans un premier temps fait le porte-parole.L'Arsenal offrait cette année un sac de sport garni d'un chocolat à chacun de ses 150 jeunes licenciés, ainsi qu'un chocolat pour les enfants des adultes licenciés. Et ce n'est pas tout : les jeunes footballeurs ont rendez-vous mercredi après midi au Casino de Tergnier pour une séance de cinéma à laquelle pourront également prendre part les jeunes non licenciés, pour peu qu'ils s'acquittent du tarif préférentiel de groupe.Passé le cap des fêtes de fin d'année, les adultes se retrouveront quant à eux le 6 janvier en la salle polyvalente de Beautor pour un loto que l'on annonce déjà comme mémorable du point de vue de la dotation.Ils se retrouveront à nouveau au même endroit une semaine plus tard, le 12 janvier à 17h30, pour partager la galette des rois à l'occasion de la cérémonie d'échange des vœux. Les choses sérieuses reprendront alors leur cours.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Noël célébré en musiqueL'Union Publié le vendredi 21 décembre

Les chorales Musico-Choeur et Chrysalide ont séduit le public avec ce concert de Noël.

« Noël, Joyeux Noël, Bons Baisers de Charmes en France », voilà ce que l'on a entendu vendredi soir en l'église de Charmes pour le concert de Noël.Deux chorales étaient réunies, Musico- Chœur de l'Association du Foyer Rural de Travecy et Chrysalide de l'Harmonie Municipale Lafèroise avec Christine Despierre comme chef de chœur.Environ 150 personnes étaient réunies dans l'église, bien chauffée. Bruno Cocu, maire de Charmes et Jacques Delagarde, adjoint, étaient présents ainsi que plusieurs maires des communes avoisinantes.Ce spectacle en deux parties était composé de diverses chansons de Georges Brassens, Serge Gainsbourg, Claude Nougaro, Joe Dassin… et de plusieurs chants de Noël.A la sortie, le public était unanime, le concert avait été très réussi grâce au professionnalisme des choristes.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Les écoliers mobilisésL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 10 décembre 2012

 Sur la place de la mairie, les écoliers de Charmes se sont mobilisés hier sportivement pour le Téléthon. 

La mobilisation pour le Téléthon a démarré vendredi à Charmes et La Fère. Les écoliers ont donné le top départ des animations. À Charmes, les enfants ont participé à des activités sportives en relais, et à un lâcher de ballons. De même pour les petits Laférois, réunis sur la place de l'Artilleur, avec leurs ballons. Des collégiens les ont d'ailleurs rejoint.Les associations laféroises poursuivent la mobilisation ce week-end autour de la salle administrative. À noter l'organisation d'un circuit pédestre en fil rouge.__________________________________________________________________________________________________Une arrivée très attendueL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 26 novembre 2012  

Le couple est fier de présenter son nouveau commerce, rue Pierre Timbaud.

Jordan Dubreuilh, 25 ans, a une passion pour le pain et sa fabrication. Il n'est pas gêné par la dureté du travail et souhaite développer toutes sortes de pain, pâtisseries, traiteur, pizzas, sandwich, … dans une boulangerie où c'est lui qui dirige.

Dans quelques jours, ce sera le cas. Ce jeune homme, originaire de la Thiérache, a commencé à travailler comme apprenti à la boulangerie Fayard à Montcornet, à 14 ans. Il quitte la boulangerie pendant quatre ans pour bosser dans une usine de roues à Condren (Magnetto Wheels) pour mieux vite revenir à ses premières amours.Pour ce faire, il effectue alors un stage de quelques jours pour se reformer au moulin Hoche à

Rozet-Saint-Albin, près de Soissons. Il n'avait rien perdu. « Le pain, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas ! », plaisante Jordan. La chance va lui sourire. Il y a un an, il apprend que la boulangerie de Charmes a besoin d'un nouveau propriétaire ; il monte un projet pour l'acheter. Bingo ! Lui et sa compagne, Carole Laurent, l'acquièrent le 15 octobre ; ils ont investi 20 000 euros.Des détails à réglerVoilà une bonne nouvelle pour les habitants de Charmes qui étaient sans boulanger depuis trois mois, donc forcés d'aller ailleurs (pas très pratique !) Ce commerce de proximité les a attirés par sa situation géographique favorable, un intérieur confortable, un laboratoire convenable sans oublier la maison accolée au magasin. « L'avantage, c'est que l'on habitait déjà à Charmes », ajoute Carole. Le couple a rénové et redécoré leur commerce. Ils comptent l'ouvrir courant décembre car « le plus tôt sera le mieux ».Il leur reste à régler tous les problèmes administratifs, et la porte de la boulangerie pourra enfin s'ouvrir. « Nous avons été encadrés et bien accueillis par le maire qui nous suit dans notre projet et demande régulièrement des nouvelles », précisent-ils, ce qui les encourage à ouvrir rapidement. Le couple a trouvé ses fournisseurs, sait déjà vers qui se tourner et comment il s'organisera : madame sera à la boutique et monsieur s'occupera des fournils. « Si l'affaire se développe, nous embaucherons », prévoient-ils.Jordan et Carole travailleront tous les jours (sauf le mercredi) de 6 h à 20h. « Le premier mois sera sans doute difficile. En plus, ce sera la période des fêtes de fin d'années mais c'est pour nous le prochain défi. Le tout est de se faire connaître et d'apprendre à connaître les habitants », expliquent-ils. Avant d'ajouter : « Nous sommes impatients d'ouvrir mais ressentons quand même un certain stress ». Leur commerce sera inauguré mais quand et de quelle façon …surprise ! « On sent de l'impatience chez les gens, on me demande presque tous les jours pour quand est prévue l'ouverture de la boulangerie ».En effet, les habitants attendent de pouvoir acheter leur pain dans leur village.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Une bourse particulièreL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 12 novembre 2012

Le rendez-vous est animé chaque année depuis plus de vingt ans par un groupe de bénévoles pour l'essentiel extérieurs au CCAS.

 Une petite cinquantaine : c'est le nombre d'exposants qui mercredi, ont pris part à la bourse aux jouets annuelle organisée dans les locaux du foyer Charles Catillon au profit du C.C.A.S.Une bourse très particulière dans le paysage chargé des bourses aux jouets. D'abord parce qu'elle est la pionnière du genre dans la région. Ensuite parce que les exposants ne font que déposer leurs jouets à des bénévoles qui gèrent la vente en leurs noms, à raison de 2€ pour 20 articles déposés.

« La formule permet aux vendeurs de ne pas avoir à passer la journée sur place » explique Christiane Dessy. Des vendeurs qui, du coup, viennent de loin. Cette fois, on en a recensé en provenance de Soissons ou encore d'Urcel.Et les invendus ? « Ils viennent les récupérer, ainsi que leurs recettes respectives, le lendemain » précise Christiane Dessy.-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------La betterave fait son showL'Aisne Nouvelle du 1/11

    

Un stand très prisé des enfants : celui de la dégustation du sucre sous ses diverses formes.

Durant tout le week end, Daniel Pantel a accompagné les visiteurs au fil des stands, recueillant souvenirs et témoignages.

Le grand public a donné raison à Daniel Pantel qui, au sein de l'office de tourisme de Coucy-le-Chateau, était un des plus fervents défenseurs de l'association de Charmes aux festivités du bicentenaire de la filière sucrière dans le Chaunois.Dans le sillage des écoliers en fin de semaine, ce sont les particuliers qui, samedi et dimanche, se sont pressés par petits groupes dans les locaux du centre Saint-Exupéry pour découvrir les expositions réalisées en la circonstance. Avec un intérêt particulier pour tout ce qui avait trait au matériel et par là à la production de l'usine Maguin, véritable poumon industriel de la commune.Au travers de la betterave sucrière érigée au rang de grande cause nationale par le décret Napoléonien de 1812, ce n'est pas seulement le patrimoine historique que les initiateurs de l'opération visent à rendre accessible au plus grand nombre, mais également l'actualité de la filière betteravière et, au delà, ses perspectives d'avenir avec tout ce qu'elles sous-tendent en termes de politiques industrielles, d'innovations et d'emplois.Au travers de ce bicentenaire de la filière sucrière, l'office de tourisme de Coucy et les communautés de communes du val de l'Ailette et des Villes d'Oyse scrutent, en quelque sorte,

l'horizon d'une filière et d'un territoire. Plus qu'un travail de mémoire, c'est de compréhension et d'anticipation de l'actualité dont il s'agit.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Une soirée avec le comitéL'Union Publié le lundi 29 octobre 2012  

Le comité des fêtes, présidé par Cédric Hennequin, proposait samedi, à ses adhérents, une soirée à destination de la guinguette de Saint-Quentin. Une soixantaine de personnes ont répondu présent à l'appel, place de la mairie, et ont, donc, rempli à ras bord le car. Cette animation a remporté un grand succès et a été unanimement appréciée par tous les participants. C'était là, l'une des premières soirées thématiques mensuelles organisée par l'établissement saint-quentinois. Au programme de ce rendez-vous : un duo de transformistes, les Magic's, qui a généré une super ambiance alternant chansons, danses et sketches, tout en faisant participer au maximum le public ; le tout avec une bonne dose d'humour et de dérision.Le comité terminera son année, cette fois, en destination des plus jeunes avec un spectacle, le 2 décembre, réservé aux enfants des écoles.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Consommation et engagements locauxL'Aisne Nouvelle du  23 octobre 

Parmi les produits locaux, certains étaient labellisés bio. Au stand du SIRTOM, la question du tri des déchets apparaît de plus en plus acquise par les enfants.

Les journées de l’environnement se sont clôturées samedi par un marché du terroir. Les circuits courts et les enjeux verts étaient à l’honneur.

Avec une goutte de miel, les enfants découvrent le résultat sucré du travail des abeilles. Durant deux jours, les écoliers de Charmes se sont succédé au stand d'apiculture de Gérard Caura et Charline Pruvost. Les enfants ont alors découvert tous les produits réalisés par les abeilles mais aussi comment elles vivent. Une manière de les sensibiliser au rôle primordial des abeilles dans la nature.Sur tous les stands installés au centre Saint-Exupéry au cours de ces journées de l'environnement, ce jeune public a reçu un message de sensibilisation. Comme avec le SIRTOM sur le tri des déchets.« Pourquoi consommer local ? »Pour toucher les adultes et souvent les plus difficiles à convaincre, la municipalité à travers sa commission environnement, a testé un marché du terroir samedi. Des producteurs locaux de produits alimentaires ou d'artisanat ont proposé à la vente leurs produits. Les acheteurs étaient au rendez-vous, l'affluence était constante tout au long de la journée. « Nous avons axé ce marché du terroir sur les circuits courts et la production locale. Certains étaient bio, d'autres naturels », précise Mureil Murat-Feys, responsable de cette commission.Local et militantisme sont alors indissociables pour ces élus locaux. « Avec cette thématique des circuits courts, on souhaitait également un aspect pédagogique. Et ainsi donner la parole aux associations. Pourquoi on consomme local, quels sont les enjeux derrière ? » Pour partager cette réflexion, les stands du collectif Anti-OGM de Picardie ou l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes (pollution lumineuse).

Sur le stand des anti-OGM, les débats ne manquaient pas. Les visiteurs n'ont pas manqué de s'informer suite à la médiatisation de l'étude Séralini. Elle a révélé un risque accru de tumeurs sur des souris nourries avec un maïs génétiquement modifié. « Depuis, les personnes nous posent plus de questions. Cela les interpelle », remarque Patrick Duflot. D'ailleurs une pétition était disponible à différents endroits du centre Saint-Exupéry en faveur de la protection de l'apiculture et des consommateurs face au lobby des OGM.De nouvelles prises de conscienceAutre combat dans la salle voisine, qui lui en est à ses débuts, celui de la pollution lumineuse. Ici, le débat est tout récent, les prises de consciences plus difficiles, que pour les OGM. Ce nouvel enjeu était mis en avant par Carine Souplet, déléguée pour l'ANPCEN. « La sensibilisation est plus longue, c'est un travail de longue haleine », souligne-t-elle. Et de remarquer qu'on lui présente souvent l'aspect sécuritaire au sujet de l'extinction des lumières publiques la nuit. « Elles mettent en avant une nécessité pour les personnes âgées. Mais il faut aussi voir les économies d'énergie et le bien-fondé pour la biodiversité ». À Charmes, les élus réfléchissent d'ailleurs à cette question.Au terme de ces journées, la formule de ce marché du terroir semble être la bonne. Il pourrait être renouvelé lors d'une prochaine édition.La production locale à l'honneurL'Aisne Nouvelle Publié le vendredi 19 octobre 

Parmi les exposants accueillis cette année par les organisateurs, la fédération départementale de pêche. Elle exposera une cinquantaine de poissons de différentes espèces.

La 4e édition des journées de l’environnement confirme l’engagement de la commune dans le développement durable. Un marché du terroir doit développer l’offre.

Plus de 250 élèves sont attendus aujourd'hui et demain au centre Saint-Exupéry de Charmes. Deux journées pour promouvoir l'environnement et plus globalement le développement durable auprès de la jeunesse. Le grand public profitera samedi d'un marché du terroir et d'un pôle environnement.Mais ce jeune public semble déjà connaisseur sur cette question. Depuis quelques années, cette thématique est intégrée dans leur programme scolaire. De même que la sensibilisation s'avère plus efficace auprès d'eux.Huit à neuf stands proposeront animations et informations. Les élèves de Charmes découvriront alors le collectif anti-OGM, Géodomia, la fédération de pêche avec trois aquariums, un apiculteur, ... « Parmi les nouveautés, nous accueillons cette année le centre information jeunesse de Laon, qui interviendra sur les nuisances sonores et la pollution intérieure. Mais aussi des élèves en BTS du lycée Robert Schumann et Véolia », présente Muriel Merat-Feys, responsable de la commission environnement.Circuit court pour le marché

Autre nouveauté, le grand public découvrira samedi un marché du terroir, installé dans le centre Saint-Exupéry. Le circuit court est alors privilégié avec des producteurs et artisans locaux. Escargots, volaille, maroille, champagne, vin, mosaïque ou cosmétiques pourront remplir les paniers des visiteurs. Des exposants de deux journées précédentes seront en outre encore sur place.Cette initiative doit ainsi permettre d'élargir le panel des visiteurs. « Nous testons cette formule du marché, après des conférences ou des projections. Ce genre d'animations attire souvent et seulement des personnes convaincues ».En tout cas, l'engagement vert de la commune commence à porter ses fruits et développe une vraie culture environnementale. D'ailleurs le tri des déchets a été amélioré à Charmes et dans le Laférois. Tous ont alors rendez-vous samedi pour compléter les connaissances.

A SAVOIRMarché du terroir, samedi de 9 h à 18 h. Centre Saint-Exupéry, rue Séruzier. Entrée Gratuite.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Un verdict fleuriL'Aisne Nouvelle du 16/10/2012 

Quinze participants ont été récompensés pour le concours des maisons fleuries 2012.

  De gros efforts ont été réalisés pour le fleurissement des habitations de la commune.A cet effet, Monsieur Bruno Cocu, le maire et Jacques Delagarde, adjoint aux fêtes, ont tenu à féliciter les participants du concours des maisons fleuries 2012, vendredi soir au foyer rural.Le jury qui est passé cet été, a été établi le classement de 15 maisons.La première est Annie Watremetz, les deuxièmes M. et Mme Hilario Da Cunha et le troisième Roger Vieville.Ont également été classés : Claude Souplet, Michel Carniello, Hervé Alaer, Abeba Allart, Christiane Leroy, Sylvie Chevrin, Martine Dasse, Jocelyne Dufour, Marie-Thérèse Mahu, Clotaire Rohart, Martine Souplet, et Chantal Tabary.Chaque participant a reçu des bons d'achat et une composition florale a été remise aux trois premiers lauréats.  ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ----------------  Vidéoprotection, oui ; vidéosurveillance, non  L'aisne Nouvelle Publié le lundi 01 octobre 2012

   Bruno Cocu : il n'y a pas lieu de consulter les enregistrements en l'absence de problème particulier.

CHARMES - Sans tambour ni trompette, des caméras scrutent depuis quelques semaines l’espace public. Entretien avec le maire Bruno Cocu…

A.N. : En quoi consiste exactement le dispositif mis en œuvre aux abords de la mairie.Bruno Cocu : Il s'agit d'un dispositif de vidéoprotection opérationnel depuis le début du mois de septembre. Il repose sur l'installation, sur la mairie même, de quatre caméras fixes dont les champs balayent les alentours de la mairie en tous sens.Par respect de l'intimité des riverains, les espaces privés sont, sur l'écran de contrôle, occultés, conformément à la législation en vigueur.A.N. : Quel est le montant de cette opération ?Bruno Cocu : Elle représente un investissement de 15 000 € auquel s'ajoute le coût des panneaux de signalisation réglementaires, soit 674 €. Mais nous avons bénéficié d'une subvention de 3889€ de la part de l'agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances, laquelle a supervisé la mise en œuvre de notre projet. Nous le lui avons dans un premier temps soumis ; il a été ensuite examiné puis validé par une commission spécialisée.A.N. : La vidéosurveillance est généralement associée aux discours sécuritaires des politiques plutôt droitières or non seulement ce discours sécuritaire n'est pas le vôtre mais de surcroît, Charmes est une des communes les plus ancrées à gauche du Laférois. Comment en êtes vous venus là ?Bruno Cocu : Ne mélangeons pas tout ! Il ne s'agit nullement de vidéosurveillance mais bien de vidéoprotection ! Rien ne nous autorise à « surveiller » nos concitoyens.Nous avons été confrontés à des problèmes de petite délinquance : cambriolage des ateliers municipaux, vandalisme à l'école maternelle, dégradation des toilettes… De cette petite délinquance qui exaspère. Nous avons dû changer la serrure principale de la mairie à trois reprises or à chaque fois, cela signifie qu'il faut faire une dizaine de clefs ! Problème : on ne réussit jamais à savoir qui a fait quoi ; désormais, il nous suffira de consulter les bandes en cas de problème.

A.N. : Vous voulez dire que la consultation des enregistrements n'est que ponctuelle, voire occasionnelle ?Bruno Cocu : Absolument. je n'ai aucune raison de les consulter chaque jour en l'absence de constat de méfaits dans le champ des caméras. Mon adjoint Jean-Marie Laquit et moi-même avons d'autres choses à faire.A.N. : Vous deux, seuls, pouvez consulter les enregistrements ?Bruno Cocu : Oui, ainsi qu'il est spécifié dans la convention qui nous lie à l'ACSE. Les images sont mémorisées durant une semaine avant d'être compressées et ne sont consultables que par des personnes investies des pouvoirs de police du maire.A.N. : Si la situation venait à se dégrader, réviseriez-vous votre position en faveur d'une gestion régulière et systématique, donc plus lourde, des enregistrements ?Bruno Cocu : J'ai pu visiter, dans le cadre de la mise en œuvre du projet, les installations chaunoises pilotées par des policiers municipaux mais il est hors de question pour nous à Charmes de nous lancer dans une politique policière municipale. La police doit être à mon sens nationale. Nous nous contenterons, nous, de dissuasion envers la délinquance. Nous voulons juste désamorcer les tensions que peuvent générer les actes répétés de petite délinquance.A.N. : Et ces petits délinquants, ne craignez-vous pas qu'ils se soustraient au regard des caméras en allant opérer ailleurs ?Bruno Cocu : C'est effectivement une possibilité. Le cas échéant, nous serions amenés à renforcer notre dispositif de caméras. Notre unité centrale est conçue pour douze caméras. Nous pourrions donc en disséminer de nouvelles qui transmettraient les images par voie hertzienne. Il nous suffirait d'installer une antenne sur le toit de la mairie.

COMPATIBLE AVEC L'OBSCURITELa vidéoprotection est-elle soluble dans la protection de l’environnement ? En d’autres termes, qu’adviendra t-il du dispositif de vidéoprotection lorsque la commune de Charmes lèvera le pied sur l’éclairage nocturne comme les élus en émettent le souhait de longue date ?Sur le sujet, Bruno Cocu est formel : « les caméras sont conçues pour fonctionner dans des conditions de très faible luminosité, voire dans l’obscurité. »Au demeurant, il n’est pas très sûr que la délinquance la plus significative se fonde dans l’obscurité. « Autant que je me souvienne, les cambriolages et dégradations qui nous ont le plus fortement marqué dans la commune ont été commis en pleine journée, dans l’après midi. »Quoi qu’il en soit, le premier magistrat n’envisage pas de réduire l’éclairage nocturne sans consulter ses concitoyens. « Nous sommes prêts ; toutes nos armoires électriques ont été revues en conséquence et je pense pouvoir escompter, en plus de la préservation du cadre de vie nocturne, une économie annuelle de 6 à 8000€. Mais nous n’appliquerons pas une telle stratégie d’autorité sans consulter les Charmois. »Charmes Le maire accueille les enseignantsPublié le dimanche 23 septembre 2012 

Lors de la réception, l'élu a évoqué la baisse des effectifs.

Bruno Cocu, maire de Charmes, entouré de ses adjoints, a accueilli les enseignants des différents établissements public et privé situés sur la commune. Il a souhaité la bienvenue aux nouveaux arrivants, Christelle Bandry qui a pris la direction de l'école maternelle Henri-Morelle et à Bénédicte Gérard qui est responsable du cours Lacordaire depuis la rentrée. Le maire a profité de la présence des enseignants, du conseiller général Frédéric Mathieu et du président de la communauté de communes des villes d'Oyse pour évoquer la baisse des effectifs. « Cette année deux classes comptabilisent 29 élèves, ce qui est important. le nombre de classes étant limité, il nous faudra être vigilant pour la rentrée 2013-2014 » a rappelé le maire suivi dans cette voie par Guy Paquin, qui a attiré l'attention des personnes présentes sur les probables regroupements scolaires qui risquent de se mettre en place à l'avenir, avec une baisse effective de 120 élèves sur le secteur.___________________________________________________________________________________________________Les enseignants reçusl'Aisne Nouvelle Publié le lundi 24 septembre 2012  

Les élus de Charmes et du département ont accueilli les enseignants.

Septembre reste le mois annonciateur du chemin de l'école. Chacun d'entre nous garde le souvenir de ces premières fois, où se conjuguent le plaisir des retrouvailles pour les uns, l'excitation de l'inconnu pour les autres.A cette occasion, Bruno Cocu, maire de Charmes, a reçu en compagnie de Frédéric Mathieu, vice-président du conseil Général, les enseignants. Tout d'abord, il a souhaité la bienvenue à la nouvelle directrice maternelle, Christelle Bandry et à Mme Gérard qui prend la direction du groupe Lacordaire.Pour la rentrée 2012, il a constaté à l'école primaire une augmentation des élèves avec 130 enfants inscrits. A noter que cette année, deux classes comptabilisent 29 élèves, ce qui est important et le nombre de classes étant limité, il faudra être vigilant pour la rentrée 2013 - 2014.Mr Cocu en a profité pour mettre en évidence, la tâche des enseignants et a également salué le personnel périscolaire et de restauration.Pour conclure cette manifestation, chacun a pû prendre ensemble le verre de l'amitié.__________________________________________________________________________________________________Cent trente-sept exposantsL'Aisne NouvellePublié le vendredi 07 septembre 2012

Il y avait du monde rue Aristide-Briand.

Dimanche à la mi-journée, Cédric Hennequin, le président du Comité de fêtes de la commune avait le sourire.La brocante organisée avec les 14 bénévoles du Comité a connu une belle fréquenatation avec cent trente-sept exposants et de nombreux badauds. Les bénéfices de la journée serviront tout au long de l'année à l'achat de matériel.Grâce aux bénéfices passés, un barnum a pu être acheté cette année. Le Comité des fêtes organisera le 7 octobre une sortie à Saint-Quentin au parc d'Isle, à la guinguette. Le 2 décembre, un spectacle pour les enfants sera organisé au Foyer rural cde Charmes._______________________________________________________________________________________________   Fin de vacances joyeuseL'Aisne Nouvelle Publié le mardi 04 septembre 2012  

La structure gonflable et la traditionnelle course en sac ont eu du succès auprès des enfants de l'Accueil loisir sans hébergement.

Musique énergique à fond, structure gonflable, sans oublier les plus classiques, course en sac, chambouletout, pêche à ligne et des jeux inspirés de la célèbre émission d'aventure de France 2 située dans un fort.Vendredi après-midi pour clôturer la fin de l'Accueil loisir sans hébergement (ALSH) de Charmes, les enfants ont eu le droit à une kermesse digne d'une grosse fête.Et comme pour mieux oublier le mauvais temps de juillet et les activités en intérieur, la fête s'est déroulée en extérieur sur les pelouses autour du centre Saint-Exupéry, jusqu'à 20 h 30. Une fête observée derrière les barrières pour quelques jeunes du quartier. Seuls les participants aux ALSH étaient les bienvenus, comme on pouvait le lire avec les petits panneaux « interdit au public ». « Nous n'avons pas les moyens de gérer les gens de l'extérieur et notamment pour la sécurité », a expliqué la directrice Lucie Denizart, aidée de 7 animateurs.En moyenne, une quarantaine d'enfants ont fréquenté l'ALSH au mois d'août, autour du thème des oppositions (noir/blanc, jour/nuit, été/hiver et mini/géant)._________________________________________________________________________________________________Le centre de loisirs, c'est finiL'Union  du 1/9 

Des clowns et un Arlequin encadraient les enfants pour cette dernière journée.

Vendredi, autour de la salle Saint-Exupéry de Charmes, l'accueil de loisirs sans hébergement a clos sa saison estivale. Lucie Denizart, directrice, mettait en avant la réussite de son équipe de huit animateurs durant ce mois d'août, avec une moyenne quotidienne d'une quarantaine d'enfants de 3 à 15 ans reçus.Divers jeux et une structure gonflable étaient installés pour cette dernière journée, les déguisements de clowns et autres arlequins étant de rigueur pour cet au revoir aux vacances._________________________________________________________________________________________________Le comité des fêtes au TouquetL'Aisne Nouvelle du 14/8/2012 

Une soixantaine de Charmois ont pris part à cette sortie libre.

Profitant du retour des beaux jours, le comité des fêtes a conduit dimanche dernier une soixantaine de ses concitoyens sur les plages du Nord. Au Touquet plus exactement, où chacun a pu savourer le sable chaud à son grès puisqu'il s'agissait d'une sortie libre.Une petite récréation en somme avant la rentrée de septembre qui, pour le comité, sera marqué comme chaque année par la brocante. Au regard du succès croissant du rendez-vous, on peut être sûr que le président Hennequin et son équipe sauront tirer le meilleur parti de leur bouffée d'oxygène nordiste.___________________________________________________________________________________________________ Du cinéma malgré la pluieL'Aisne Nouvelle du 7/8/2012

 Avant l'arrivée de la pluie, les spectateurs ont pu se restaurer sur la place de la mairie. 

La soirée avait pourtant bien commencé pour le cinéma en plein air. La commission des fêtes de la commune a organisé vendredi soir pour la quatrième année une manifestation conviviale autour d'une séance de cinéma.Avant d'assister à la projection film « L'élève Ducobu » sur un écran installé par la MJC de l'Aisne, les spectateurs pouvaient profiter des animations prévues sur la place de la mairie.Le soleil était au rendez-vous, petits et grands ont pu s'amuser avec les dix jeux traditionnels picards de la société N'Animation de Nathalie Bethencourt. La restauration était assurée par le comité des fêtes dont les bénéfices contribueront à leurs actions.Mais au cours de la soirée, les nuages se sont montrés de plus en plus menaçants. La pluie a finalement poussé les spectateurs et les organisateurs à se replier vers la salle du foyer rural. Ce lieu avait été envisagé en cas de mauvais temps.Cela n'a pas empêché la projection du film dans une salle bien remplie. Près de 200 personnes ont assisté aux aventures de l'élève Ducobu, dont de nombreuses familles. Le temps capricieux de cet été n'aura pas ainsi empêché les personnes présentes de passer une bonne soirée.__________________________________________________________________________________________________Le ciné en plein air contrarié par la pluiel'Union Publié le lundi 06 août 2012  

Séance à l'abri, finalement, pour le public de Charmes.

Vendredi soir, la 4e édition du cinéma sur grand écran, organisée par la municipalité et le comité des fêtes, a été victime des conditions météorologiques. Prévue en plein air, la séance a dû être déplacée dans la salle Charles-Catillon.Le public n'a pas, pour autant, déserté ce rendez-vous et s'est installé à l'abri pour profiter du film du réalisateur Philippe De Chauveron, retenu pour cette séance dans le Laférois, L'Élève Ducobu.Si les spectateurs n'ont rien perdu des aventures de ce cancre, en revanche, ils n'ont pu profiter des animations prévues sur la place et notamment des jeux traditionnels en bois.La partie restauration a également souffert de ce mauvais coup du ciel.__________________________________________________________________________________________________Cent quatorze cyclos au challenge Catillon  L'Aisne Nouvelle du 31/7/2012 

Quatorze clubs de cyclotourisme de l'Aisne ont répondu présent pour le challenge du Cyclotourisme beautorois.

 Avec le vent, les derniers kilomètres ont été un peu difficiles, mais ils sont allés jusqu'au bout des parcours de 30, 60 et 85 km, à leur rythme. Dimanche matin, 114 cyclos de 14 clubs (soit 6 995 km parcourus) ont participé au traditionnel challenge Catillon organisé par le Cyclotourisme beautorois avec la commune de Charmes.Pour cette édition 2012, le cub de Tergnier a fourni comme à son habitude la délégation la plus nombreuse avec 24 participants. Ensuite, le classement a quelque peu changé par rapport à l'an passé : le club d'Athies-sous-Laon passe devant les Saint-Quentinois de MBK avec respectivement 21 et 12 participants. Viennent ensuite, Guise (9 cyclos) et Montescourt (5 cyclos). Valérie Faviot (Tergnier) était la plus jeune et Corentin Flaviot (Tergnier), le plus jeune. Les moins jeunes étaient Mauricette Lefèvre (Athies), Georges Truy (Vermand) et Valentin Foucounier (Urvillers).__________________________________________________________________________________________________La récolte de miel compromiseL'Aisne Nouvelle du 23/7/2012

 Les cadres de la hausse de la deuxième ruche sont vides. Les abeilles ont produit du miel uniquement pour leurs propres besoins.Dans la première ruche de la commune, les abeilles mâles sont de plus en plus nombreuses. La fin de l'essaim est proche.

CHARMES - Le mauvais temps du printemps et de l’été affecte les humains, mais aussi les abeilles des ruches de la commune. Il faudra attendre 2013 pour récolter du miel.

Les écoliers de la commune devront encore patienter avec de déguster le nectar issu des deux ruches de la commune. Avec les pluies du printemps et de ce début d'été, les fleurs ont perdu beaucoup de pollen.Résultat dans les trois kilomètres de leur zone de récolte, les abeilles n'ont pas trouvé beaucoup de « nourritures » et n'ont produit que le minimum afin de subvenir à leurs propres besoins. Dans la hausse de la deuxième ruche - pour le surplus de miel - les cadres d'alvéoles étaient comme neufs, jeudi lors de la visite de Muriel Meyrat-Feys aux butineuses. « Elles ne montent pas. C'est la catastrophe, il n'y a rien », a constaté la présidente de la commission environnement de la commune.Une prévision de 30 kg annuléeAlors que normalement avec les récoltes de printemps et de fin juillet, « sur les deux ruches, on devrait pouvoir récolter 30 kg. Au printemps, il n'y pas eu de récolte. Il a fait tellement froid qu'on a décidé de ne pas poser les hausses », a-t-elle rappelé. À la fin de ce mois, il n'y aura pas grand-chose. Et pour couronner le tout la première ruche virent ses dernières heures.En s'approchant de l'installation les premières constations de l'apprentie apicultrice n'étaient pas bonnes. « Là on ne va pas voir grand-monde. Il n'y a pas beaucoup d'activité devant. Quand je suis venue la dernière fois il y a 15 jours, ça n'allait pas très bien. Si ça se trouve, on va trouver

beaucoup d'abeilles mortes. La fourmilière sur le dessus est beaucoup plus importante ; ce n'est pas bon signe ».En ouvrant la ruche, de grosses abeilles font leur apparition : des abeilles mâles. La reine de l'essaim est morte. Du coup, c'est une autre abeille qui a pris le relais de la reproductrice, mais en donnant naissance à des mâles. La ruche est donc vouée à disparaître. Des difficultés acceptées avec philosophie par la porteuse du projet et qui vont permettre d'aller plus loin par une meilleure connaissance des environs des ruches.« En installant, les ruches (en avril) on s'était dit : on lance le projet et on verra bien ce qui va se passer. Là on va redémarrer en prenant le temps de voir les agriculteurs pour voir quelques sont leurs cultures, comment ils traitent, sans les juger », a réaffirmé Mme Meyrat-Feys. Et au printemps prochain, les écoliers pourront peut-être goûter au nectar des abeilles de Charmes.___________________________________________________________________________________________________Le jury est passéL'Aisne Nouvelle du 19 juillet 2012 

les élus de Charmes et Danizy ont jugé les vingt-cinq inscrits.

 Les jardinières et massifs devaient être au top de leur floraison vendredi. Car ils ont fait l'objet d'une attention particulière du jury des maisons fleuries.Cette année encore les communes de Danizy et Charmes ont collaboré ensemble pour cette manifestation estivale. Sur candidature, le concours a enregistré la participation de seize personnes à Charmes et neuf à Danizy.L'avantage avancé par les élus de cette co-organisation est le regard impartial sur les candidatures, les Charmois notant les Daniziens, et vice-versa.Les résultats seront connus vers septembre-octobre.__________________________________________________________________________________________________Sortie à GuiseL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 02 juillet 2012  

Une trentaine de personnes ont visité le familistère de Guise.

Le comité des fêtes a proposé dimanche une sortie à destination de Guise. Une trentaine de personnes étaient du voyage et au rendez-vous, tôt le matin, place de la mairie pour prendre le car.Au programme de cette journée, figuraient la visite guidée du célèbre Familistère et celle du château des ducs de Guise. Une sortie très intéressante et riche en histoire qu'ont unanimement appréciée tous les participants.Le prochain rendez-vous donné par le président Cédric Hennequin et toute l'équipe du comité est prévu pour le 8 juillet dans le cadre d'une sortie au parc d'attractions de Saint-Paul dans l'Oise. Le car affrété devrait normalement être complet._________________________________________________________________________________________________Une plaque Henri Morelle inauguréeL'Aisne Nouvelle Publié le vendredi 29 juin 2012  

Quentin Morelle, petits-fils d'Henri Morelle, a dévoilé la plaque apposée sur l'école maternelle.

L’école maternelle de Charmes porte depuis samedi le nom de l’ancien maire, Henri Morelle, plus de vingt années au service de la commune.

Moment d'émotion samedi matin au moment de dévoiler la plaque. Quentin Morelle inaugure la plaque en l'honneur de son grand-père, Henri Morelle. Depuis ce week-end, elle orne la façade de l'école maternelle de la commune, qui portera d'ailleurs son nom.La famille mais aussi d'anciens collaborateurs ont répondu présent à l'invitation du maire, Bruno Cocu. Tous ont rendu hommage à l'ancien maire. Cette plaque participera à maintenir son souvenir. Il rejoint ainsi les autres élus ayant une place ou un bâtiment à leur nom.Cette inauguration a permis de rappeler le parcours d'Henri Morelle et ses actions pour la commune. Il a débuté comme conseiller municipal en mars 1971, sous la mandature de Louis Carpentier, et devient adjoint en 1972. M. Morelle est élu pour la première fois maire en mars 1977, mais ne se représentera pas en 1983. Il cédera sa place à Claude Delmer, mais restera au conseil en tant qu'adjoint aux finances. Il retrouvera le fauteuil de maire en 1985, jusqu'en 1995.Stade, centre Saint-Exupéry, bureau de posteLors de ses mandats, la commune s'est étoffée en équipements et services. Les projets réalisés sont « l'implantation du stade, l'extension de l'école maternelle, la construction du centre Saint-Exupéry, création du bureau de poste, modernisation des écoles primaires, création du lotissement Les Sables avec le SIVOM, mais aussi de la ZAC du Château et divers aménagements

de la voirie », rappelle Bruno Cocu.C'est donc vingt-quatre années bien remplies au service des Charmois. D'autant que M. Morelle était un passionné d'histoire, et plus particulièrement de Charmes. Il a d'ailleurs consacré une partie de sa vie à l'écriture d'un manuscrit. Il a pu terminer ce document avant son décès. Il est consultable sur place, à la mairie.__________________________________________________________________________________________________Football (Accession Excellence) / La montée sans munitionsL'Union Publié le lundi 18 juin 2012

L'instant de la délivrance, en fin d'après-midi samedi, pour les Charmois de Frédéric Rojo Chez les Jaunes, en revanche...

LA FERE (Aisne). Malgré une piètre prestation, Arsenal monte en Excellence. Tout s'est joué aux tirs au but où les nerfs des Charmois ont été plus solides.

JOUER toute une saison en quatre-vingt-dix minutes. Cette seule pression a été trop lourde à supporter pour les vingt-huit acteurs de ce match de barrage entre vice-champions de 1re division.L'enjeu a ainsi pris le pas sur le jeu. Dommage.Il n'a pas fallu attendre bien longtemps pour s'apercevoir que les deux formations étaient tétanisées par l'enjeu.La première période a été des plus soporifiques, Arsenal ayant une mainmise stérile sur le ballon alors qu'Amigny avait opté pour le contre.Frédéric Rojo, l'entraîneur charmois, reconnaissait que son équipe avait joué cette première période avec le frein à main bien serré.« Nous n'avons jamais su nous lâcher, explique-t-il, la peur du contre sans doute. Nous avons abordé cette rencontre avec la peur au ventre. »Une peur qui s'atténuera un peu en seconde mi-temps avec un Ndelo plus présent, et qui provoquera l'expulsion de Frisulli.Deux occasions nettes, une de chaque côté, animeront, légèrement, ces quarante-cinq dernières minutes. La première sur une demi-volée de Richet à l'angle de la surface qui obligea Lalieux à effectuer une magnifique parade à l'horizontale (62e).

Amigny à dix

Dans la foulée, Amigny Rouy aura sa plus nette occasion sur un corner que Bertrand et Lefèvre laisseront passer au beau milieu d'une défense bien statique (66e).Réduit à dix au cours des vingt dernières minutes, Amigny-Rouy a reporté toutes ses chances sur la séance de tirs au but.Si Lalieux a répondu présent en stoppant l'envoi de Krajewski, ses partenaires n'ont pas connu la même réussite.

Valenzisi a expédié le cuir à côté, Wieczorek l'a imité et Bertrand, venu en petite foulée depuis le rond central, a trouvé la barre.Les pieds de Ndelo, Baert et Giamusso n'ont, eux, pas tremblé. Arsenal, promu cette saison en 1re division, reprend ainsi place dans l'ascenseur pour rejoindre l'élite départementale.Pour Amigny-Rouy, il faudra remettre le couvert la saison prochaine._________________________________________________________________________________________________Les joies des kermessesL'Aisne Nouvelle Publié le mardi 12 juin 2012

les élèves de la petite section ont ouvert le spectacle. 

La chanson de Patrick Sébastien, « Tchic et tchac han han » a les faveurs des écoles du Laférois pour leur kermesse.  ce titre a invité vendredi après-midi les enfants à se mouvoir devant leurs parents.Ainsi dans la salle Charles Catillon de Charmes, les 200 élèves de la maternelle et du primaire ont proposé un spectacle devant une salle comble. Au programme : danse, chant, démonstration de body karaté et d'acrosports. Le chant final s'est déroulé par la suite dans la cour de l'école primaire, ainsi que la kermesse avec les stands de jeu.__________________________________________________________________________________________________12/06  Pres se  : L'Aisne Nouvelle du 7/6 (Fête à Charmes 2012)Une belle fête malgré la météoL'Aisne Nouvelle du 7/6/2012

    

Il fallait être bien couvert pour monter sur les manèges.Le public est venu nombreux dimanche pour la prestation de Léa show.

La fête patronale a battu son plein et animé la commune pendant trois jours, le week-end dernier.Une fête qui s'est déroulée selon son schéma classique, autrement dit, avec ses traditionnelles attractions foraines concentrées sur la place de la mairie, son concours de pétanque, son feu d'artifice tiré du stade et son spectacle dominical au foyer rural.Le temps mi-figue, mi-raisin, n'a pas été favorable aux sorties. La fréquentation publique de cette édition a été moindre que les précédentes, beaucoup plus ensoleillées.Cependant, le spectacle au foyer Charles Catillon, dimanche après-midi, a attiré tout de même beaucoup de monde. Il avait pour invité, cette fois-ci, le groupe Léa Show. La formation musicale a proposé un très beau voyage autour du monde en chansons et avec des superbes costumes variés.Un spectacle qui a séduit et ravi unanimement son auditoire. La fête a joué les prolongations le lundi avec les derniers tours de manèges et un concours de tir à la carabine.__________________________________________________________________________________________________Meurtre d'un Axonais à Sète : les bourreaux devant la justiceL'UNION Publié le samedi 02 juin 2012  

Maître Khelfat, du barreau de Saint-Quentin, est chargé des intérêts de la famille de la victime originaire de Charmes.

CHARMES (Aisne). Le procès d'un couple de marginaux commence lundi devant les assises de l'Hérault. La victime, originaire de Charmes, avait péri étranglée et atteinte par… 89 coups de couteau.

IL aimait le soleil et les autres. Il est mort dans des conditions atroces. René Carpentier, âgé de 85 ans, originaire de Charmes, a péri le 14 mars 2008 dans son domicile situé dans le centre-ville de Sète. Il y demeurait depuis sa retraite après une carrière menée à la SNCF.

Un homme généreux« Il pensait tout le temps à rendre service », estime l'avocat de sa famille qui vit toujours dans l'Aisne. Maître Khelfat, du barreau de Saint-Quentin, va plaider devant la cour d'Assises de l'Hérault du lundi 4 au vendredi 8 juin. Un couple de marginaux se trouve dans le box des accusés.La victime était connue pour ses liens avec l'église catholique et la générosité qu'elle manifestait régulièrement au profit des exclus. René Carpentier devait aussi accorder facilement sa confiance. Pour lui, un loup pouvait se transformer en agneau. Il avait ainsi prêté la somme de 2 000 euros à un marginal hébergé chez lui depuis plusieurs semaines.

Mort en priantCelui-ci aurait refusé de signer une reconnaissance de dettes avant de se ruer sur un couteau de cuisine, de le plonger dans le corps du vieil homme à quatre-vingt-neuf reprises. René Carpentier a aussi été étranglé.L'accusé explique que la présence pour la première fois, à ses côtés, de son amie aurait irrité la victime. Ce sont justement des empreintes de la compagne de l'accusé, relevées au domicile de René Carpentier, qui ont mené les policiers sur la piste de cette jeune femme. Elle a été interpellée pour une escroquerie aux chèques.Huit mois après le drame, le SRPJ de Montpellier a arrêté un toxicomane âgé d'une quarantaine d'années. ll a reconnu avoir emprunté régulièrement de l'argent à la victime pour acheter de la drogue.Le couple doit s'expliquer également sur des vols commis chez René Carpentier qui aurait succombé en priant. Un butin dérisoire de quelques dizaines d'euros.__________________________________________________________________________________________________Seconde victoire de Petite-Forêt L'Aisne nouvelle du 31/5

 L'équipe de Petite-Forêt remporte pour la deuxième année le tournoi Gilles-Rojo. Les familles sont venues nombreuses supporter les joueurs.

 « Lève la tête et regarde la balle Alexis », s'exclame un entraîneur sur le bord du terrain. Footballeurs en herbe et leur équipe d'encadrants étaient plus que motivés lors de cette nouvelle édition du tournoi de l'Arsenal ABC.Alors que l'équipe de France va débuter prochainement l'Euro 2012, les plus jeunes ont eu aussi leur compétition dimanche. Près de 170 footballeurs ont participé au tournoi international U10/U11 Gilles Rojo.Une grosse organisation pour le club de l'Arsenal avec de nombreuses équipes à loger. D'autant que cette année, il a encore pu compter sur la participation de deux équipes tchèques. L'équipe anglaise de Colnbrook s'est désistée, alors que sa venue était une première pour les organisateurs. Déçus, ces derniers ont également eu deux autres annulations. Ces contretemps ont demandé une réorganisation des matches.Malgré cela, le tournoi s'est déroulé dans une ambiance sympathique, avec la venue de nombreux parents supporters.A la fin de la journée, c'est finalement l'équipe de Petite-Forêt qui remporte le tournoi pour la deuxième année consécutive. Elle a gagné la finale face aux jeunes de Revin. Le troisième sur le podium est Gauchy. Quant aux équipes de l'Arsenal, elles terminent 11e et 14e. Le vainqueur du challenge et de la coupe du fair-play revient à Marly.Et symbole de cette journée : l'échange amical et impromptu entre deux joueurs de l'US Nogent et de Prague. Ils ne parlaient pas la même langue, mais un simple « check » des mains a suffi pour se comprendre._________________________________________________________________________________________________Au tournoi international Gilles-Rojo à Charmes Onze joueurs pour une 11e place

L'Union Publié le mardi 29 mai 2012

 Les Chaunois.                                                                 Les jeunes de l'Arsenal.

Le tournoi international Gilles-Rojo de l'Arsenal s'est déroulé, dimanche, à Charmes avec dix-sept équipes de U10 et U11, dont deux des Bohemian's de Prague.«PERSONNE ne m'empêche de tirer!» Dimanche après-midi en bordure d'un terrain de football, dans le cadre du 7e tournoi international Gilles-Rojo U10 et U11, organisé par l'Arsenal club à Charmes, Hugo Mahieux, n°9 de l'équipe Arsenal 1, ne parlait pas d'une possible série de tirs au but mais, chaleur oblige, de son pistolet à eau!Au même moment, l'équipe Arsenal 2 entrait sur un terrain pour disputer une demi-finale de groupe contre Saint-Leu avec ,en vue, une finale de groupe contre Richwiller, que les locaux venaient opportunément de battre 3 à 2 aux penaltys. C'était bon psychologiquement!«Il faut tout donner, croyait bon de préciser le papa d'un joueur d'Arsenal. Allez les rouge!» Les quatorzeminutes suivantes furent un enfer pour les locaux, sortis par Saint-Leu.Une place âprement disputéeL'équipe Arsenal 1 prenait le relais sur le terrain voisin pour le match de la 11e place, joué contre l'US Chauny, après avoir été battue 2 à 0 en quart de finale de groupe par Nogent-sur-Oise.Dans un beau match pour l'honneur, les locaux s'imposaient 2 à 0 contre des Chaunois, un peu rageurs d'avoir plus tôt raté la troisième place de leur groupe à un but près, au goal average, au profit de Saint-Maximin, malgré deux victoires contre Saint-Waast (Nord) et l'Arsenal 2 --avec aussi un nul et deux défaites contre Marly-lès-Metz et Harly.François FENEEn plus des équipes citées ci-dessus, étaient en lice Revin, Petite-Forêt (Nord), Ham, Gauchy et Vic-sur-Aisne.__________________________________________________________________________________________________Une pensée pour Charles le téméraireL'Aisne Nouvelle du 22/5

Le nouveau président en a profité pour faire les présentations.Cinquante-huit convives ont partagé le repas précédé de l'apéritif en plein air.

Peu nombreux de bon matin au départ de la randonnée pédestre, les Charmoises et Charmois ont répondu en nombre en revanche, en fin de matinée, à l'invitation du comité des fêtes pour partager dans les locaux le repas de clôture de la randonnée annuelle « Charles le Téméraire ».

Curieux nom de baptême pour une randonnée pédestre placée sous le signe de la convivialité. Son origine renvoie à l'époque pas si lointaine où la randonnée se terminait chaque année par un grand pique nique dans l'un des nombreux sites boisés de la région. C'est dans ce contexte aussi champêtre que festif que le premier magistrat de l'époque Charles Catillon se mit en tête un beau jour de chevaucher la moto du journaliste de service sous les regards ébahis de ses concitoyens. Sous l'effet de la convivialité, lui, d'un naturel si tempéré, s'était brutalement transformé en « chevalier » des temps modernes ; une mutation spectaculaire versée au registre de la mémoire collective.Les années se sont écoulées et son successeur Bruno Cocu ne s'est pas encore avisé de relever le défi mais l'état d'esprit est intact.Etat d'espritC'est enfin dans cet esprit encore qu'il apportera sa pierre au bon déroulement de la soirée cinéma en plein air du 3 août prochain. __________________________________________________________________________________________________Charmes riche de ses ruchesCinquante-huit convives au total ont partagé dimanche l'apéritif servi en plein air avant de passer à table ; l'occasion pour le nouveau président Cédric Hennequin, de se présenter à ceux de ses concitoyens qui ne le connaissaient pas encore puisque cette journée placée sous le signe de la

convivialité vise chaque année à tisser des liens au sein de la commune et, le cas échéant, à y accueillir en bonne et due forme les nouveaux habitants.C'est dans cet esprit que le comité des fêtes proposera également le 24 juin une sortie au Familistère de Guise où l'on pourra également découvrir le château. C'est toujours dans cet esprit qu'il organisera également le 4 septembre prochain la brocante annuelle qui passe pour être l'une des plus belle et chaleureuses de la région. L'Union Publié le mardi 08 mai 2012

Après les ruches, Bruno Cocu, maire de Charmes (en médaillon), envisage d'autres actions concrètes liées à l'environnement. Le conseil planche sur une modification des armoires d'éclairage public afin de supprimer la lumière trois heures par nuit dans les rues : « Ce serait une économie de l'ordre de 800 euros par an et une réduction de la pollution lumineuse nocturne. »

Geste environnemental concret, la commune de Charmes a installé des ruches sur ses terres. De quoi donner aux écoliers miel et leçons de vie.

«LE miel de printemps aura une dominante colza. » À deux pas d'un vaste champ tout jaune, ce n'était pas difficile à pronostiquer. « Les abeilles y vont directement ! » Bruno Cocu, maire de Charmes, visitait, hier, les ruches installées par la municipalité au lieu-dit du Marais, près du bassin d'orage.C'était la première approche qu'effectuait le maire, en tenue intégrale de protection, en compagnie de Patrick Legrand, apiculteur à Servais, de Charline Pruvost, formatrice au rucher école d'Aumont, de Jean-Michel Sandon et de Muriel Mérat-Feys, de la commission développement durable et environnement, à l'origine de cette implantation.

Rush sur les ruches

Trois ruches ont été installées au mois d'avril, deux ayant été offertes par Patrick Legrand.« L'idée de la commission, présidée par Muriel Mérat-Feys, a été de mettre du concret dans la commune en terme environnemental, à côté des informations transmises dans le bulletin municipal et des journées de l'environnement que nous assurons depuis 2008 », rappelait Bruno Cocu en revêtant sa combinaison blanche. Le maire envisage de réserver la production de miel aux enfants des écoles, qui bénéficieront, à terme, d'enrichissantes sessions de découverte de la société des abeilles. Nul doute qu'il y aura, avec toute la prudence nécessaire, rush des gamins curieux sur les ruches de Charmes !« Nous avons acheté deux équipements d'apiculteur », expliquait-il tandis que Patrick Legrand et Muriel Mérat-Feys vérifiaient le vaporisateur de produit anesthésiant en vue de cette inspection. « Démarrer cette activité a représenté pour la commune un investissement de 1 500 à 2 000 €,

tenues, matériel de gestion des ruches, matériel de récolte et cotisation à la fédération des apiculteurs comprise. »Selon Patrick Legrand, du fait d'un très mauvais printemps, il ne faudra pas espérer une première récolte de plus de 40 kg de miel sur les trois ruches (représentant un potentiel de 60 000 abeilles). « On peut en attendre le double les années suivantes. »Les récoltes se font fin mai - début juin et fin juillet pour la récolte d'été. Les abeilles opérant dans un rayon de 3 km autour de leurs ruches, on peut espérer un parfum de colza pour la première récolte et, pour plus tard, des parfums liés à la présence d'acacias, de prunelliers ou de fleurs de sureau sur le territoire de Charmes.« Quand on était gamins, racontait Bruno Cocu au retour du rucher, on creusait des pipes dans les branches de sureau. »Il enlève sa combinaison protectrice : « Pas fâché d'avoir eu ça sur moi ! Il y a un sacré ronronnement dans ces boîtes-là. »_________________________________________________________________________________________________Bouteilles et canettes à l'indexL'Union Publié le vendredi 20 avril 2012  

L'arrêté a été affiché aux abords du terrain d'aventures.

CHARMES (Aisne) Alors que les beaux jours seront bientôt de retour, le maire de Charmes vient de prendre un arrêté interdisant la consommation d'alcool et le dépôt de bouteilles au terrain d'aventures.

C'EST une première mais c'était nécessaire. Depuis quelques années, c'est la même rengaine. Dès que les températures remontent, le soir venu, de petits groupes se forment sur le terrain d'aventures de Charmes et se laissent aller à quelques abus. Des excès qui laissent des traces puisque bouteilles en verre et morceaux de cannettes brisées jonchent le sol.Afin de stopper le phénomène et pour le bien de la population, le maire, Bruno Cocu, a pris un arrêté « temporaire, interdisant la consommation d'alcool et le dépôt de bouteilles en verre au terrain d'aventures ».Pour ceux qui n'auraient pas bien compris, cela signifie qu'il est interdit de consommer de l'alcool sur le terrain d'aventures et que l'accès au dit lieu est interdit à toute personne transportant des bouteilles en verre.L'arrêté a pris effet le 10 avril et va jusqu'au 30 octobre pour une tranche horaire allant de 10 heures à 6 heures du matin. « C'était devenu nécessaire car, régulièrement, nous avons des jeunes qui se retrouvent pour boire souvent de la bière ou du whisky. Le premier souci, c'est qu'ils boivent et le second, c'est qu'ils laissent les bouteilles sur place et parfois ils les cassent. Ce qui

représente un danger pour la population. Chaque lundi, les services techniques passent sur le terrain d'aventures et ramassent les morceaux de verre et c'est fatiguant à la longue », explique le maire.

Limiter les risquesCette décision est pour lui un moyen de tenter de faire baisser la consommation d'alcool mais aussi d'améliorer la sécurité des usagers de l'espace vert.« Il n'est pas question que les enfants risquent de se faire mal avec des morceaux de verre dans le sable. C'est pourquoi il est important que l'arrêté soit appliqué », reprend le premier magistrat.Pour ce qui est de la mise en œuvre, le commissariat de police a reçu un exemplaire du document, il a été affiché en mairie, aux abords du terrain d'aventures et une communication a été faite dans le bulletin municipal. De bons moyens pour qu'un maximum d'habitants soient avertis et que les éventuels contrevenants se retiennent de vider leurs bouteilles sur la voie publique.__________________________________________________________________________________________________L'accueil périscolaire fait le pleinL'Aisne Nouvelle du 5/4 

La fréquentation des écoliers de maternelle a été doublée en un an.

Mis en place en 2008 et 2009, après des débuts difficiles, la cantine scolaire et l’accueil périscolaire surfent sur une bonne dynamique.

Après avoir provoqué quelques grincements de dents, les questions de l'accueil périscolaire et de la cantine provoquent désormais les sourires de satisfaction du côté de la municipalité charmoise.Fort du succès du Cours Lacordaire avec ses services de cantine, de garderie et d'étude, en 2008, la mairie a ouvert son propre service de cantine. Si les prévisions de fréquentation avant la mise place semblaient intéressantes avec 36 enfants en moyenne, la réalité a été tout autre, avec 17 enfants en moyenne et 7 000 euros de déficit. L'ombre d'un nouvel échec semblait alors quasi inévitable, sans un appel à la mobilisation. « Il y a 20 ans en arrière déjà, on avait essayé. On avait entre 5 et 10 enfants », se souvient Bruno Cocu, le maire de Charmes.Difficile dans ces conditions d'afficher de la sérénité lors du lancement du périscolaire à la rentrée 2009. Pour compléter l'emploi du temps des deux personnes recrutées à la cantine, la municipalité avait décidé à l'époque d'ouvrir un accueil des écoliers avant et après la classe.450 euros en 2010, 1 186 euros en 2011« A l'origine, l'accueil était dans l'école primaire, mais avec l'ouverture de la classe, il a déménagé à l'espace Marcelline. A l'ouverture, on avait une dizaine d'enfants ; maintenant nous avons entre 10 et 12 enfants, le matin et jusqu'à 25 enfants l'après-midi », se réjouit le premier magistrat. Les écoliers de maternelle ont doublé par rapport à l'année dernière. Un succès dû selon l'élu à l'arrivée de jeunes couples, voire aussi aux familles monoparentales. Mais aussi certainement à l'augmentation des habitants de d'Andelain (+25) et de Deuillet (+52), depuis 10 ans.

Et pour accueillir au mieux les enfants à l'accueil périscolaire, le conseil municipalité a mis la main au porte-monnaie. « Avec l'accroissement des enfants, il a fallu investir dans les jeux, la vaisselle… En 2010, nous avons consacré 450 euros ; en 2011, 1 186 euros », commente Marisa Batillot, secrétaire générale des services. « C'est un coût pour la municipalité mais on rend un service pour les parents et pour les enfants, qui se socialisent davantage, reconnaît le maire. Et en outre, c'est le périscolaire qui nous a permis d'ouvrir une classe et de maintenir un bon niveau d'effectifs dans les écoles », continue-t-il.Et en complément des objets fabriqués pour Noël, Pâques, les fêtes des pères et des mères, Amandine Ferez propose aussi aux plus grands de faire leurs devoirs avec les documents de la médiathèque, juste à côté.Des petits plus appréciés des parents, comme la possibilité en cas de difficulté de venir chercher les enfants un peu plus tard. De son côté, la cantine scolaire accueille en moyenne 45 enfants.L'accueil périscolaire est ouvert les lundi, mardi, jeudi et vendredi, de 7 h 15 à 8 h 30 et de 16 h 30 à 18 h 30, avec un prix journalier de 1,80 euro. Renseignements en mairie._________________________________________________________________________________________________Soixante personnes évacuées à la suite d'une fuite de gazL'Union Publié le vendredi 06 avril 

L'intervention des sapeurs-pompiers a duré près de trois heures.

CHARMES (Aisne). Hier, soixante personnes ont dû être évacuées à la suite d'une fuite de gaz dans le centre-bourg. Personne n'a été blessé. 180 foyers ont été privés de gaz durant la journée.

IL était un peu plus de 11 heures lorsqu'hier, le personnel de la pharmacie de Charmes (rue Aristide-Briand) et les maisons environnantes ont dû évacuer les lieux. Une très forte concentration de gaz avait été détectée à proximité du commerce et notamment dans la cave d'une maison mitoyenne, appartenant à un particulier.Rapidement les sapeurs-pompiers de La Fère se sont déployés, un périmètre de sécurité a été établi autour de la maison en question et les accès au centre de la commune ont été bloqués. C'est en fait une grande partie de la place de la mairie et des rues adjacentes qui ont fait l'objet d'une évacuation. Au total une soixantaine de personnes ont été priées de rester à l'écart le temps de l'intervention des secours. Si beaucoup sont allés chez des proches, quelques-uns ont attendu, que l'opération se passe. En plus des pompiers qui ont ventilé au mieux la cave, les agents de GrDF étaient sur place pour examiner de près la fuite.Selon les toutes premières constatations, il s'agirait d'un « arrachage ». Un terme qui signifie qu'une conduite a subi des dommages accidentels. En fait, c'est à la suite de l'intervention d'une

entreprise de travaux publics venue poser une couche d'enrobé sur le trottoir que l'incident est survenu.Une petite projection de cet enrobé qui est posé à « chaud » a touché un branchement qui relie le compteur gaz et les canalisations souterraines. Au contact de la chaleur la conduite a fondu et a laissé s'échapper le gaz.Pour le représentant de GrDF contacté hier soir, c'est un incident particulièrement rare. Personne n'a été blessé ou intoxiqué. Toutefois, l'alimentation a été coupée dans tout le quartier, ce qui a touché 180 foyers. À 17 heures, le gaz revenait dans les canalisations et les agents de GrDF ont fait le tour des habitations pour réactiver les installations des habitants.Les forces de police ont quant à elles assuré le bouclage des lieux jusqu'à 14 heures. C'est à partir du début de l'après-midi que les riverains ont pu regagner leurs maisons et que la vie a pu reprendre un cours normal.L'intervention des pompiers aura duré près de trois heures. Un temps relativement long pendant lequel les secours ont ventilé les pièces envahies par le gaz et réalisé des tests d'explosimétrie. Des reconnaissances ont également eu lieu afin de s'assurer que les habitants ne couraient aucun risque à regagner leurs logements._________________________________________________________________________________________________Moins de cœur pour les parcoursL'Aisne Nouvelle Publié le mercredi 04 avril 2012 

Les marcheurs ont pris le départ de la salle Saint-Exupéry.

Samedi, une trentaine de marcheurs ont pris le départ pour les parcours du cœur. Une deuxième édition moins courue.

Le 9 mars c'était le trente-sixième anniversaire. Cela fait 36 ans qu'ont eu lieu les premiers parcours du cœur à Lille et Cambrai.Nées de la redécouverte des effets bénéfiques de la marche pour la rééducation des victimes d'infarctus du myocarde, les marches vont se généraliser à travers toute la France auprès du grand public pour prévenir les maladies cardio-vasculaires. Aujourd'hui, 1 000 villes ou communes participent chaque année aux parcours du cœur.Samedi, pour sa deuxième édition, la commune de Charmes s'est associée à ces journées de la Fédaration française de cardiologie, en organisant trois marches de 4, 8 ou 12 km au départ du Centre Saint-Exupéry, dans charmes, jusqu'à La Fère en passant par Andelain, pour le parcours le plus long. Un ravitaillement était prévu à l'église d'Andelain pour les randonneurs des 8 et 12 km. Des balades qui ont réuni environ 35 personnes, soit la moitié de la première édition. A leur retour, les marcheurs ont pu découvrir une animation du club de tennis de table de Beautor-Charmes.

Deux défibrillateurs« A l'origine, nous avions décidé d'équiper le stade et la salle des fêtes de défibrillateurs et on s'est dit pourquoi ne pas participer aux parcours du cœur », explique Corinne Carpentier, adjoint au maire en charge de l'organisation de la manifestation charmoise.Depuis au moins 6 mois, la commune a reçu ses défibrillateurs et une formation pour les personnes chargées de la gestion des lieux a été mise en place (auto-financement).Avant le passage des marcheurs, l'Association des randonneurs tranquilles a préparé le terrain et a fait de bien tristes découvertes. « Ce qu'ils ont découvert, c'est inimaginable : une télévision, un tambour de machine à laver... Ils ont ramené des brouettes de détritus », confie l'adjoint au maire.Les pollueurs auraient pu faire un peu plus d'exercice - bon pour le cœur - en poussant leur dépôt jusqu'à la déchetterie.__________________________________________________________________________________________________Conférence sur la résistance à la bibliothèqueL'Union  24 mars 2012 

Alain Nice est revenu sur les grandes lignes de notre histoire.Mercredi soir, une conférence sur la résistance dans l'Aisne a été organisée par la municipalité et s'est tenue dans la bibliothèque-médiathèque. Le maire, Bruno Cocu, a accueilli Alain Nice qui a présenté son 2e livre « La Guerre des partisans ».L'auteur a rappelé de nombreux faits notamment ceux qui avaient fait l'objet de son 1er livre Le Massacre de Tavaux en août 1944. L'occupation allemande, la collaboration et la déportation, sans oublier les francs-tireurs et l'histoire de la population française à l'époque…___________________________________________________________________________________________________La clinique du Cèdre intègre l'hôpitalL'Union Publié le vendredi 09 mars  

La clinique du Cèdre de Quessy a été créée en 1967 sous le nom de polyclinique de la Chenevière

Malades du public et patients du privé vont désormais se rendre au centre hospitalier de Chauny pour y être soignés. La clinique du Cèdre continue cependant de fonctionner en libéral.

LE directeur de l'hôpital de Chauny, Philippe Arezki, le réaffirme à l'occasion du transfert de la clinique du Cèdre de Quessy au sein du centre hospitalier : lorsqu'en 2007, l'établissement public a décidé de racheter la clinique privée, c'était une première. Depuis le rachat, la clinique a continué de fonctionner en libéral. Son implantation aujourd'hui au cœur même de l'hôpital public ne remet pas en cause ce mode de fonctionnement ni pour les praticiens ni pour les malades. Philippe Arezki le martèle : « La réforme hospitalière oblige les structures à regrouper les moyens et l'hôpital doit se réorganiser. » La direction du centre hospitalier de Chauny a donc mené une réflexion avec les médecins libéraux de la clinique. Cette « culture public-privé » s'inscrit désormais dans un cadre juridique consigné dans une charte de bloc. Dès mardi, jour d'ouverture de la clinique, médecins libéraux et praticiens hospitaliers vont donc opérer sous le même toit. Les médecins libéraux de la clinique ont pris possession de deux blocs opératoires que le personnel médical de l'hôpital n'utilisait pas.

Bien identifiée

La situation que vont vivre les patients sur le site du centre hospitalier est hors du commun. Ils vont pénétrer dans l'enceinte du centre hospitalier pour gagner la clinique du Cèdre installée dans l'ancien bâtiment de cardiologie. Dans ce bâtiment remis à neuf, ils seront pris en charge de la même manière qu'ils l'étaient sur le site de Quessy. Un bureau d'admission spécifique a été aménagé dans le hall pour la prise en charge administrative des patients. Le personnel paramédical demeure détaché par l'hôpital à la clinique. Depuis 2007, précisent le directeur de l'hôpital et le directeur médical de la clinique, Adel Chaarani, le personnel avait intégré la fonction publique. Ce rachat avait permis de préserver les vingt-huit emplois existants sur le site de Quessy, huit au sein du bloc opératoire, quatorze personnels en unité de chirurgie ambulatoire de la clinique et six au sein des services administratifs. Le docteur Chaarani est confiant en l'avenir du site et espère qu'à court terme le développement de l'activité nécessite d'augmenter les effectifs.__________________________________________________________________________________________________La destruction des archives municipalesl'Aisne Nouvelle Publié le vendredi 09 mars  

Claudie Vinckevleugel, archiviste itinérante (à gauche) devant l'étagère des dossiers à détruire.

Quelques anciennes archives municipales n’ont plus d’intérêt. Une spécialiste du tri fait actuellement du ménage à la mairie pour faire de la place.

A l'étage, dans une pièce fermée à clé, volontairement sombre - pour éviter que la lumière attaque les documents - petit à petit les étagères remplies de boîtes d'archives commencent à se vider.Depuis le 10 janvier, Claudie Vinckevleugel, archiviste itinérante recrutée par le Centre de gestion de l'Aisne, fait du tri dans les archives communales. A chaque changement de mandat, « c'est une obligation légale pour les communes de classer leurs archives », argumente la jeune femme.Le dernier classement a été effectué en 1997, par une société privée. Une raison suffisante qui a poussé le conseil municipal à renouveler l'opération. Après une première prise de contact, puis un état des lieux, jugé satisfaisant, l'archiviste a attaqué son travail.En tout, il lui faudra 60 jours pour effectuer sa mission, pour un coût estimé à 12 000 euros. Pour l'instant, il n'y a pas eu de « grandes découvertes » dans le tri des documents les plus récents. « Mais le classement n'est pas terminé, il reste encore les archives anciennes », souligne Mme Vinckevleugel.Combien de portes et fenêtres ?Des délibérations, des comptes rendus de conseils municipaux, des états de la matrice cadastrale qui remontent au XIXe siècle. « Pour l'état-civil, cela remonte au XVIIIe voire au XVIIe siècle », précise l'archiviste.Dans une pochette souple, un registre de 1886 aux pages jaunies, indique, « matrice générale des contributions foncières personnelles mobilières des portes et fenêtres ». « À l'époque, plus il y avait de portes et de fenêtres, plus les gens payaient d'impôts. Du coup, les gens les faisaient murer », détaille avec enthousiasme l'archiviste. Depuis un peu plus d'un mois, le contenu de 200 boîtes a été supprimé. La plupart du temps, les documents sont incinérés ou broyés. « La mairie a décidé de les faire incinérer ». Une charge dévolue aux services techniques dans un endroit en dehors de la commune.Mais avant toute suppression, il faut le visa du directeur des Archives départementales, qui suit la liste des documents à éliminer selon le Code du patrimoine, mais aussi l'autorisation du maire.Des documents qui n'ont plus d'intérêt administratif et/ou de valeur historique. Et une liste des documents détruits est établie. Pour l'heure, 20 mètres linéaires sont déjà partis en fumée. Créé en avril 2011 au sein du Centre de gestion de l'Aisne, ce poste d'archiviste est unique en l'état actuel des choses. Pour autant, avec les nombreuses collectivités, le carnet d'interventions est bien rempli jusqu'à 2013 (13 états des lieux et 8 missions d'archivage).__________________________________________________________________________________________________A la découverte de l'AssembléeL'Aisne Nouvelle Publié le lundi 05 mars 2012 

Avec quelques élus de leur commune et leurs maîtresses, les écoliers ont découvert l'Assemblée nationale.

Les élèves des classes de CM1 et CM2 de l'école primaire Maurice-Prat de la commune accompagnés de Bruno Cocu, Jacques Delagarde, Jean-Pierre Nogent, élus de la municipalité charmoise, ainsi que Mme Hardy, enseignante des CM2 et M. Thouvenin, enseignante des CM1, ont visité l'Assemblée nationale.Les enseignants avaient préparé un questionnaire aux élèves afin de comprendre le rôle de l'Assemblée nationale.Ensuite, après une visite des principaux monuments de la capitale, tout ce petit monde s'est retrouvé au Palais Bourbon, invité par le député René Dosière pour apprendre et comprendre ce que représente la démocratie républicaine.« J'ai aimé voir le film à l'Assemblée Nationale pour savoir plus de choses sur les députés. Et j'ai préféré aussi les voir voter cela m'a montré comment ils votent une loi. Puis j'ai bien aimé quand le guide nous a expliqué ce que représentent les dessins sur les tableaux. Quand nous avons vu la grande roue, la Tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, l'Opéra, les Invalides, etc… c'était bien aussi ! »., a expliqué Sophie, une écolière._________________________________________________________________________________________________Comité des fêtes Cédric Hennequin présidentL'Union Publié le mardi 07 février 2012

Les adhérents ont pu découvrir le programme 2012.

Samedi soir au centre socio-éducatif Saint-Exupéry, le comité des fêtes a tenu son assemblée générale en présence du maire, Bruno Cocu. La quarantaine d'adhérents présents ont attentivement écouté les lectures des différents rapports, et notamment le passage en revue des différentes activités. Outre le bilan 2011, le bureau a été renouvelé est c'est Cédric Hennequin qui a pris le poste de président, à la place de Jean-Marie canonne qui devient vice-président. Christian Corbet est secrétaire, assisté de Michèle Gayez, la trésorière est Annie Bourson, assistée de Martine Boitelet et un nouveau membre vient étoffer l'équipe, Marie-France Poulain.Pour 2012 de nombreuses activités sont au programme, comme un repas champêtre, une sortie au familistère ou au Touquet, une brocante et le spectacle pour enfants en décembre.__________________________________________________________________________________________________Inquiétudes ou confiance en l'avenir ?L'Aisne Nouvelle  Publié le  23 janvier 2012

 Malgré tous les projets à Charmes en 2012, Bruno Cocu est inquiet.

2012 : année décisive pour les collectivités. Lors de ses vœux, Bruno Cocu a rappelé les enjeux à venir pour ces institutions et la population.En 2010 déjà, Bruno Cocu, le maire de la commune avait fait part de ses inquiétudes quant à la réforme des collectivités territoriales et à ses conséquences financières.Mardi dernier, le premier magistrat, dans un discours énergique, prononcé lors des vœux aux Charmois et aux différents représentants de l'administration et des associations, a redit ses nombreuses inquiétudes pour 2012.D'abord, sur la place des communes, « éléments majeurs de proximité », et cela avec les conséquences de la réforme des collectivités territoriales. Mais aussi par rapport aux déficits des collectivités, alors que « les besoins et attentes de la population augmentent ». Inquiétudes également et de façon plus large sur l'économie, sur le front du chômage et « l'augmentation des demandeurs d'emploi et la situation précaire de nombreux foyers ».Des craintes entendues par les candidats aux législatives pour la première circonscription, René Dosière (député sortant) et Aude Bono-Vandorme (représentant Antoine Lefèvre). Mais aussi par Bernard Bronchain, pour la Région, Frédéric Mathieu, pour le Département, Guy Paquin, des Villes d'Oyse, les représentants des administrations et du monde économique.

Qualité de vie et sécurité

Malgré ces appréhensions, l'élu, citant Jaurès, a incité ses concitoyens « à avoir une confiance inébranlable en l'avenir ». Après tout, les réalisations prévues cette année sont nombreuses. A commencer par la finalisation du PLU, commencé en 2007. La commune va aussi œuvrer pour une meilleure qualité de vie et plus de sécurité pour la rue du Moulin à vent ou rue de Crécy. Un système de « vidéo protection » autour de la mairie devrait voir le jour. L'éclairage du lotissement du Champfleury sera refait.Pour ce dernier sujet, et étant à la pointe en matière d'environnement avec les journées dédiées à cette thématique, la municipalité « envisage de couper la lumière la nuit (l'éclairage public) pour faire des économies budgétaires et pour préserver l'environnement », a annoncé le maire.A la suite du maire, Guy Paquin, le président de Villes d'Oyse, préférant éviter le sujet des poubelles, « très sensible », a souhaité mettre en avant le bilan des actions de la communauté des communes en faveur de l'enfance et de la petite enfance. « Des services qui coûtent chers », dont l'importance est difficile à mesurer. « On pourrait mieux la mesurer s'ils disparaissaient », a ironisé M. Paquin.A titre d'exemple en 2011, la halte-garderie a accueilli 232 enfants (13 de Charmes) de 112 familles différentes pour 15 611 heures de garde, soit 10 enfants par jour en moyenne, pour un

total de dépenses de 137 329 euros (subventionnés à 60 % par la CAF). Toujours l'an passé, le Lieu d'accueil enfants parents, a ouvert ses portes à 34 enfants différents de 21 familles.En 2011, les Accueils loisirs sans hébergement ont eu du succès. A Charmes, 124 enfants ont participé aux séjours proposés, soit un taux de fréquentation de 80 %, « tout à fait honorable », a souligné M. Paquin. En tout, 418 enfants ont séjourné sur les 4 centres de la CCVO.S'appuyant sur le rapport Pébereau, le député René Dosière a rappelé les erreurs de l'Etat sur la fiscalité. « Si on avait maintenu la fiscalité comme en 2007, on aurait 70 milliards d'euros de rentrées en plus ». Et l'élu de citer les 22 millions d'euros empruntés chaque jour pour faire face à l'endettement et l'importance de s'intéresser aux propositions de tous les candidats pour faire face aux déficits._________________________________________________________________________________________________Maguin fait du « Charmes » à l'internationall'Union  Publié le vendredi 20 janvier 2012 

Le préfet Pierre Bayle a pu découvrir que l'entreprise Maguin exporte ses machines dans le monde.CHARMES (Aisne). L'entreprise Maguin, installée à Charmes, devrait encore développer son activité en 2012. Hier, le préfet Pierre Bayle a fait le tour de cette société qui vend ses machines à l'autre bout du mondeDUBAÏ, Thaïlande, Espagne, Russie, Égypte, France, Brésil, Chine… l'entreprise Maguin, spécialisée dans la conception et fabrication d'équipement pour l'agro-industrie, est présente sur tous les continents ou presque. De son point d'ancrage à Charmes, avec ses 200 salariés, la société, qui fait partie du groupe Moret industries, dont le siège est à Saint-Quentin, réalise 100 millions d'euros de chiffre d'affaires et compte bien embaucher de nouveaux collaborateurs, cette année. Hier après-midi, dans le cadre d'une visite dans le Laférois, le préfet Pierre Bayle est venu découvrir cet outil industriel qui peut faire la fierté du territoire.Comme l'a rappelé Jean-Yves Martin, son directeur général, « historiquement, Maguin, c'est l'industrie sucrière ». Toutefois, depuis 1848, les activités se sont étoffées et si aujourd'hui l'industrie du sucre continue de constituer une grosse partie de son activité, la société créée des machines capables de produire du biocarburant, de l'alcool, des engrais et développe des procédés touchant à l'élimination « propre » des résidus de production.Vingt embauchesEn 2012, ce sont une vingtaine d'emplois qui devraient voir le jour, tant chez les ingénieurs que chez les ajusteurs, les chaudronniers ou les chargés de projet. Et pour ceux qui connaissent l'entreprise, chez Maguin, on ne fait pas vraiment dans la dentelle, même si les équipements sont à la pointe de l'innovation. Les machines qui servent à distiller, laver les betteraves ou les couper ont des tailles impressionnantes. Il suffit de mettre les pieds dans l'atelier pour s'en convaincre.En matière d'emplois, les dirigeants de chez Maguin tentent un « coup de poker » en matière de ressources humaines. En effet, confrontés à des problèmes de formation des demandeurs d'emploi et parfois face à des soucis de mobilité ou de motivation, ils vont chercher « des têtes bien faites et bien pleines », même si le profil n'est pas celui de l'industrie. « Nous préférons former quelqu'un qui soit volontaire et motivé, même si son cursus ne correspond pas au départ à notre domaine de compétences. C'est un essai, nous verrons ce que cela donne », indique Jean-Yves Martin, qui tente de donner à son entreprise les moyens de progresser sur le territoire et dans le monde.