C’est une question de confiancele 24 avril 2013

Aperçu

• Rectifier les faits• Fournir de l’information au public• Présenter notre démarche

Notre dernière entente était de six ans

• Comme tous les autres professionnels de la santé, les médecins ont accepté deux ans à 0 %.

• Ils ont permis au gouvernement d’épargner 30 millions $.

2010 : promesse d’écouter les idées des médecins

Calendrier des négociations

• Le gouvernement retarde les négociations de onze mois.• Les médecins sont frustrés par le processus d’interruption et de

recommencement.• 35 points à discuter; aucune mention des réductions à

l’Assurance-maladie.• Soudainement en février, le ministre nous adresse un ultimatum.• Le budget de mars doit réduire de 20 millions $ le budget de

l’Assurance-maladie.• Les médecins offrent de négocier officiellement, d’annuler toutes

leurs propres propositions et d’accélérer les démarches. Le ministre quitte la réunion en furie.

Décision unanime du gouvernement

• Tout le Cabinet a déjà approuvé la réduction et le plafonnement de l’Assurance-maladie.

• Une fois de plus, nous rappelons au gouvernement que nous avons une entente en place.

Communication continue avec le gouvernement

• Le 4 avril, nous lui avons écrit notre cinquième lettre en huit semaines.

• Le Hansard de la période de questions du 4 avril :« J’ai rencontré le chef de la Société médicale du Nouveau-Brunswick aujourd’hui à midi. Nous avons parlé d’un certain nombre de questions. Nous travaillons ensemble. La réunion a été courtoise et plaisante. Il a présenté sa position, et j’ai présenté la mienne. Je travaille, et ma porte est ouverte. Nous avons eu une discussion pertinente. Il a communiqué certains messages et questions dont il voulait parler et la manière dont il croyait que les choses devaient évoluer à l’avenir. J’ai eu une excellente réunion avec lui. J’étais heureux qu’il soit venu. Je suis ravi qu’il soit venu, et je suis certain que nous travaillerons ensemble à l’avenir. »– Ministre Flemming

Défrayer la manchette ou dire la vérité.

• Il nous a appelés la veille de la publication d’un article d’opinion qui disait que « sa porte est ouverte » et dans lequel il nous demandait de travailler avec lui.

• Nous lui avons demandé de ne pas publier l’article, car il sait que nous communiquons et que nous travaillons déjà avec lui en privé.

• Il a refusé et a dit que l’article serait publié.

Les médecins sont incapables de faire confiance au présent gouvernement

• Nous avons donné à ce gouvernement de multiples occasions d’être fidèle à sa parole.

• Les médecins et les patients s’appuient sur la confiance, mais les médecins ont perdu confiance dans le gouvernement Alward.

• Il est insensé de négocier une autre entente pour la prochaine année, sachant que le gouvernement ne respectera même pas l’entente que nous avons en place.

Une promesse non tenue

• Les médecins devront demander à un juge de forcer le gouvernement à respecter sa promesse

• Nous devons nous adresser à la cour pour conserver une augmentation de 0 %

• Nous sommes unis contre les décisions impulsives et à court terme prises par tous les membres du gouvernement Alward

C’est une question de confiance.Le 24 avril 2013