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Tourisme

L’image que vous vous faisiezde l’attractivité de Genève surle plan touristique est-elle lamême avant et après votre entréeen fonction?J’ai toujours été surpris par lemanque de visibilité de l’office dutourisme genevois. Quand j’étaisdirecteur commercial chez easyJet, jesavais combien la présence de liai-sons aériennes influençait positive-ment la croissance du tourisme dansles villes. Les offices du tourismenous accueillaient à bras ouverts.Mais alors que Genève était la basede 30 de nos lignes, il ne m’a étédonné de collaborer avec l’office dutourisme qu’à deux reprises.

Qu’avez-vous découvert qui vousa surpris, étonné? Comme tout bon Genevois, je grom-melais: «dire que ce sont nos impôtsqui paient le feu d’artifice».Désormais, je sais que c’est fauxpuisque les Fêtes de Genève sont

intégralement autofinancées. Je mesuis également rendu compte que jesous-estimais l’importance descongrès, responsables d’un quart desnuitées annuelles. Et j’ai découvertdes lieux insoupçonnés: des cata-combes ou des jardins suspendus àCarouge, par exemple.

Quel type de touristes Genèveaccueille-t-elle?La ville compte 120 hôtels, dont ungrand nombre dans les catégoriessupérieures, pour un total de 9200chambres. Ils enregistrent chaqueannée 2.8 millions de nuitées, avecune durée moyenne de séjour de 2.1jours. La moitié de ces nuitées pro-vient du tourisme d’affaires, lié à laforte présence de multinationales etd’organisations internationales gou-vernementales et non gouvernemen-tales. Genève Tourisme & Congrès apeu d’influence sur cette clientèle,très profitable à la région. Enrevanche, elle peut agir sur l’autre

Des Tourist Angels vêtus de T-shirts orange dans les rues de la ville. C’est l’une des créations de Philippe Vignon, arrivé en avril2010 à la tête de Genève Tourisme & Congrès, l’office du tourisme genevois. Quel est le poids économique du tourisme dansnotre canton? Les défis qui l’attendent? Le point avec un directeur énergique qui veut dynamiser le secteur.

Quelle attractivité touristiqueoffre aujourd’hui la «destinationGenève»?

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DU COPIEUR À LA GEDBulletin d’information de laChambre de commerce, d’industrieet des services de Genève

Septembre 2012 No7

MENSUEL

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infoSPONSORCommerce internationalBDO, leader dans le domaine de l’audit et des presta-tions fiduciaires auprès des PME et des administrationspubliques, renforce sa présence à Genève.

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loisirs. Grâce au tourisme d’affaires etdes congrès, les hôtels affichent untaux d’occupation élevé en semaine.Ce n’est pas le cas le week-end, alorsque notre ville possède de nombreuxatouts. Notre priorité est donc d’aug-menter la notoriété de ceux-ci, dansle domaine des loisirs, de la détente,du bien-être et de l’offre culturellepar exemple, en développant un mar-keting touristique efficace.

Comment développerce marketing touristique?Pour promouvoir Genève en tant quedestination de loisirs, nous allonsdans des salons, nous rencontronsdes tour-opérateurs. Nous avons éla-boré un «Positioning paper» pourdéfinir nos priorités, nos thématiques,nos cibles. Pour cela, il a fallu rencon-trer l’ensemble des partenaires dutourisme genevois, et ce n’est pasune mince affaire. Et comme toutestratégie de marketing passe mainte-nant par les réseaux sociaux et leweb, nos canaux digitaux vont êtretotalement remodelés. Il nous fautaussi améliorer nos supports de com-munication, grâce à un travail sur lecontenu et les visuels.

Sur quels autres outils misez-vous?Nous avons comme mission d’ac-cueillir et renseigner les visiteurs deGenève, que cela soit à notre agencede la rue du Mont-Blanc, au Visitor’sCenter à Genève Aéroport ou à tra-vers les Tourist Angels. Et nous met-tons en place des événements,comme les Fêtes de Genève, qui,

infoPOLITIQUEL’entrée de la Russie dans l’OMC ouvre de nouvellesperspectives de développement et d’opportunités pourles PME suisses. Un séminaire propose d’en faire le tour.

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Afin d’éviter le blocage de la ville, la CCIG recommandele «non» à la votation municipale du 23 septembresur la fermeture à l’essai de 50 rues.

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Les Tourist Angels renseignent les visiteurs pendant les périodes de forte affluence touristique.

moitié des nuitées, celle qui estengendrée, d’une part, par le tou-risme des congrès, peu visible maisqui génère des retombées écono-miques importantes, et, d’autre part,par le tourisme de loisirs, qui recèleun fort potentiel de développement.

Quelles sont vos priorités?C’est de continuer à maintenirGenève dans le top 30 des villes decongrès dans le monde et de posi-tionner Genève dans le tourisme de

suite page 2

1-2 Quelle attractivité touristique offre aujourd’hui la «destina-tion Genève»?

2 ÉDITORIALGenève doit se doter d’une vision d’avenir

3 infoPOLITIQUE- Votation municipale

du 23 septembre- Votation cantonale

du 14 octobre

4 infoCOMMERCEINTERNATIONAL

- A Genève, les multinatio-nales ont créé deux tiers des nouveaux emplois entre 2000 et 2010

- Concrétisons le Développement Durable

- Entrée de la Russiedans l’OMC

5 infoCHAMBRE- Nouveaux membres- Midi du 30 août 2012

6 infoCHAMBRERelever les défis dela «comm»infoSPONSORComment concurrencerl’attractivité desmultinationales?infoPARTENAIRELa très riche histoiredes transports à Genève

7 infoSPONSORS- Un souffle nouveau pour la

succursale BDO de Genève- Augmentez vos revenus en

maximisant l’adhésion des utilisateurs de vos solutions!

- Les pieds dans le PAV -Le Comptoir Immobilier apporte sa pierre à l’édifice

8 infoAGENDA- Prochain Midi de la Chambre- Petit déjeuner des PME et

start-up du 28 septembre- Gagnez en efficience grâce à

la gestion électronique de documents (GED)

- Quels risques puis-je couvrir au moyen des produitsd’assurance SERV?

- De GVACUBE à GVA 2030

Philippe Vignon, énergique directeur deGenève Tourisme & Congrès.

2Septembre2012 No7

JEAN-BERNARDRONDEAUPrésident

ÉDITORIAL

Défendre des conditions cadre favorables à l’économie estune responsabilité du président de la Chambre de commerce,d’industrie et des services de Genève (CCIG). Nouvellementélu à ce poste, je mettrai tout en œuvre pour que perdure lacroissance, car c’est d’elle que dépendent la qualité de vie desGenevois et le financement de l’Etat social. Le canton setrouve à une période charnière de son évolution. Or, certainsvoudraient apparemment que Genève redevienne un village!Face à ces velléités de repli sur soi, je me dois d’exprimer mesinquiétudes.

Force est de constater que la diversification du tissu éco-nomique qui a fait notre succès est aujourd’hui battue enbrèche. Le cas des multinationales illustre parfaitement cepropos. Toutefois, celles et ceux qui tirent à boulets rougessur ces sociétés se trompent de cible. Si le logement et la circulation sont des épines dans le pied des Genevois, c’estpar manque d’anticipation. Il manque à Genève tout simple-ment une vision, un projet.

Pour dire ce qui est, les autorités doivent prendre desrisques. Et surtout, voir plus loin que les prochaines élections.Genève se trouve à un tournant de son histoire ; il est plusque jamais vital d’y maintenir des conditions cadre favorablesaux entreprises, créatrices d’emplois et de richesse. C’est dansce sens que la CCIG poursuivra son activité de lobbying.

Ma tâche ne sera pas aisée, j’en conviens. C’est pourquoi,au lendemain de mon arrivée à la tête de la CCIG, j’ai étofféle Bureau de la Chambre de nouvelles compétences. Je seraiépaulé dans ma mission par deux vice-présidents issus respec-tivement du fleuron de l’horlogerie genevoise et du com-merce local. Viennent compléter ce Bureau le directeur de laCCIG, un représentant de la banque, domaine en pleinemutation s’il en est, et un de l’imprimerie, secteur qui a surmonté de nombreuses crises. Avec en outre le directeurgénéral de Palexpo, qui apportera son expertise en matièred’événements, la CCIG est parée pour affronter l’avenir avecdétermination. La Chambre sera un acteur incontournable del’économie genevoise ou ne sera pas.

Genève doit sedoter d’une visiond’avenir

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311 janvier 209-1Les enjeux et défis:

31vril ou 5-7 juin 209 a7-12, 1obre 2024-26 oct

ondamentaux: Les f

e@crpm.ch

rappelons-le, ont été créées pour atti-rer des touristes de loisirs à unepériode où la clientèle d’affaires estmoins fréquente. Notons aussi queces Fêtes génèrent 125 millions defrancs de retombées économiqueschaque année, ce qui en fait la plusgrosse manifestation touristique deSuisse. Cette dernière édition a drainéprès de deux millions de personnes,dont plus de 500 000 pour le GrandFeu pyromélodique de clôture.

Quels sont les marchés visés?Pour le tourisme de congrès, les ciblessont liées à des segments. Dans ledomaine associatif par exemple, nousvenons d’accueillir le congrèsEuropean Academy of Allergy andClinical Immunology (EAACI) qui aamené près de 6000 participants àGenève sur trois jours et généré desretombées économiques directes deprès de 20 millions de francs. Pour letourisme de loisirs, nous visons enpriorité les marchés BRIC (Brésil,Russie, Inde, Chine), que nous démar-chons avec l’antenne nationale dutourisme, Suisse Tourisme. Un exem-ple concret: le Brésil a désormais uneclasse moyenne de 50 millions depersonnes. Ces dernières commen-cent à voyager et c’est aujourd’huiqu’il faut les séduire pour qu’ellesviennent à Genève demain. Les paysde l’Union européenne sont égale-ment importants, même si la force dufranc suisse nous pénalise. Quant à laclientèle du Golfe, contrairement auxapparences, elle est venue massive-ment entre janvier et juin, avec unecroissance de 84% à fin juin par rap-port à l’année dernière!

Quels sont les atouts et les pointsfaibles de l’attractivité de Genève?Notre principal atout, c’est la situa-tion géographique exceptionnelle deGenève et sa qualité de vie. Une villeau centre de l’Europe, au pied desmontagnes, au bord d’un lac, traver-sée par deux cours d’eau, le Rhôneet l’Arve, et avec une rade splendide.Sans oublier l’infrastructure: un aéro-port international, Palexpo et le

CICG*. Et la présence des organisa-tions internationales et des nom-breuses multinationales, qui partici-pent au rayonnement de Genève dansle monde. Sa vie culturelle est aussi unatout; elle est foisonnante par rapportà notre nombre d’habitants, qui estéquivalent à celui de Clermont-Ferrand! Quant aux points faibles, jedirais que le principal est aujourd’huil’insécurité. Rappelons que Genève estune destination haut de gamme,donc une cible tentante pour lesvoleurs. Il convient de les dissuaderefficacement de nous rendre visite.Lorsque des touristes se font agresser,ils rapportent dans leurs valises uneimage de Genève bien éloignée decelle d’îlot de paix et de prospéritéqui était véhiculée jusqu’à présent etqui a grandement contribué à fairede Genève une destination prisée.

Genève saura-t-elle conserver etrenforcer son attractivité?Nous avons un peu tendance à surfersur une prospérité que nous perce-

suite de la page 1

Une nouvelle gouvernance pourune meilleure efficacité

Le 1er janvier 2013

entrera en vigueur

une nouvelle loi,

votée le 29 juin

dernier par le

Grand Conseil et

destinée à rationa-

liser la gouver-

nance du tourisme genevois. Jusqu’à

présent, les deux taxes cantonales

obligatoires perçues par l’Etat pour

financer le tourisme étaient reversées

à la Fondation pour le tourisme.

Qui, elle-même, redistribuait une par-

tie de ces fonds à l’Association

Genève Tourisme & Congrès.

«Dorénavant, nous éviterons cette

dilution de responsabilités dans la ges-

tion des fonds. La Fondation absor-

bera l’Association et tout sera géré

par un nouveau Conseil de fondation

de onze membres. Ce changement

était réclamé depuis quelques années

par les milieux politiques et écono-

miques, dont la CCIG», explique

Jean-Pierre Jobin, président de l’asso-

ciation actuelle. Seuls trois membres

sur onze du nouveau Conseil seront

des représentants des collectivités

publiques. «On ne peut donc vrai-

ment pas parler d’étatisation du tou-

risme», relève M. Jobin. D’ailleurs, le

président ne sera plus un magistrat,

comme c’est le cas actuellement.

L’association devrait être dissoute lors

d’une Assemblée générale extraordi-

naire le 7 novembre prochain.

«En fait, avec la naissance de la

Fondation Genève Tourisme &Congrès en 2013, rien ne change ni

pour l’extérieur, ni pour le personnel,

c’est juste une modification du fonc-

tionnement de nos organes internes»,

conclut Jean-Pierre Jobin.� CA

vons comme normale et sommes dèslors peu habitués à nous remettre enquestion. Des villes comme Liverpoolou Bilbao, frappées par des criseséconomiques et industrielles, ont,elles, dû se réinventer. Bilbao a suutiliser intelligemment le tourisme,qui a un énorme impact sur d’autressecteurs économiques. Son muséeGuggenheim est aujourd’hui associéau nom de la ville dans l’inconscientcollectif. Ici, regardez les blocagesautour du Musée d’Art et d’Histoirequi pourrait, revisité par Jean Nouvel,incarner notre ville sur le plan cultu-rel. J’ai le sentiment qu’à Genève, il ya d’avantage de guerres de positionsque de véritables dialogues permet-tant de forger la Genève de demain.A Zurich, qui est notre grandeconcurrente au niveau touristique, lamaire de gauche travaille avec lespolitiques de droite et des investis-seurs privés autour d’une vision par-tagée pour faire avancer sa ville. Unexemple à suivre!�

Propos recueillis par Cécile Aubert

Jean-Pierre Jobin

*Centre International de Conférences de Genève

VOTATIONS

3No7 Septembre2012

infoPOLITIQUE

Votation municipale du 23 septembre 2012

En 2010, le Conseil municipal de laVille de Genève acceptait une initia-tive demandant la fermeture totaleou partielle de 200 rues, en quatreétapes. Quelques mois plus tard, leConseil administratif proposait uncrédit de plus de 5 millions, en vuede la mise en œuvre à l’essai de lapremière étape de l’initiative, concer-nant un lot de 50 rues. Ce crédit,également accepté par le Conseilmunicipal, a été combattu par réfé-rendum, par le GTE (GroupementTransports et Economie).

Le projet à l’essai ne vise pas à trans-former le centre-ville en zone pié-

tonne. Les 50 rues qui seront ferméessont en effet situées dans onze quar-tiers. Si cette dispersion a pour but demieux faire passer la pilule auprès dela population, elle ne permet enaucun cas de se rendre compte de ceque donnera le projet, une fois réalisédans son entier. En effet, les 150autres rues qui seront fermées àterme n’ont pas été dévoilées.

Effet secondaire non négligeable duprojet : la suppression d’environ 900places de stationnement pour voi-tures et de près de 540 pour lesdeux-roues. Les places suppriméesdevraient en principe être compen-sées ailleurs, mais seulement en par-tie. Seuls 250000 francs ont étéaffectés à cet effet, autant dire riendu tout. La difficulté accrue à segarer touchera les habitants, maiségalement les commerces, restau-rants, hôtels et entreprises des quar-tiers visés. Il faut savoir que ces der-niers n’ont pour ainsi dire pas étéconsultés par les autorités. Or, ilssont directement concernés puisqueleurs clients doivent pouvoir accéderfacilement à leur établissement etleurs fournisseurs les livrer sans tropde contraintes.

Enfin, la fermeture des 50 rues provo-quera un report de la circulation surles rues adjacentes, ce qui augmen-tera les nuisances pour leurs habi-tants. Les riverains subiront de pleinfouet une augmentation du bruit etde la pollution due au trafic des véhi-cules détournés ou à la recherched’une place pour stationner.

Pour la CCIG, le cœur du problèmeest que le projet a été conçu sansprendre du tout en compte sesconséquences sur la mobilité et le sta-tionnement en ville de Genève. Celle-ci va une nouvelle fois gaspiller l’ar-gent de ses contribuables pourmettre en place des entraves à la cir-culation, qui n’apporteront d’amélio-ration ni au confort des habitants, nià la dynamisation de la ville.�

Non au blocagedes rues de Genève

Genève souffre d’embouteillages chroniques.La faute à une absence de vision globale entermes de mobilité. Avec la fermeture de 50rues au trafic, la ville gagnera un chaos accruet une augmentation des bouchons plutôtque des zones piétonnes agréables et ani-mées. C’est pourquoi la CCIG prend position

contre le crédit de 5136000 francs destiné à la réalisation desmesures à l’essai, durant une année, de la première tranche del’initiative populaire intitulée «200 rues sont à vous – pour desrues ouvertes à la vie et aux mobilités douces».

Votation cantonale du 14 octobre 2012

Oui à la nouvelle constitution de laRépublique et Canton de Genève

Le 14 octobre prochain, Genève devra décider d’accepter sonnouveau texte fondateur ou de conserver la constitution de1847. Résultat de quatre années de travail consensuel, lanouvelle mouture devrait rallier une large majorité de suf-frages en sa faveur. Pourtant, des voix dissonantes s’élèventet appellent à son rejet. Quelques points de repère pour com-prendre les enjeux.

Dans le cadre de sa mission dedéfense des conditions cadre écono-miques de Genève, la CCIG s’estdès le départ investie dans ce dos-sier, tout d’abord en présentant –conjointement avec d’autres asso-ciations économiques – la listeG[e]’avance lors des élections del’Assemblée constituante, puis enprenant part aux différentes phasesde consultation. La Chambre avaitprincipalement mis en avant lanécessité de maintenir un environ-nement favorable à l’activité entre-preneuriale et, parmi les évolutions

souhaitables, s’était prononcé enfaveur d’une réforme institutionnelleafin de clarifier les rôles des diversacteurs politiques genevois.

Au terme des travaux de rédaction,l’heure du bilan a sonné, avec soncortège de satisfactions et de frus-trations. Lister l’ensemble de celles-ci serait fastidieux et seule une lec-ture à la lumière des intérêts etsensibilités de chacun a un sens.De même, qualifier l’exercice de«réussite» se révèle particulière-ment subjectif. D’aucuns regrettentle manque d’audace là où d’autress’offusquent de l’évolution initiée.

A la CCIG, le texte soumis ne sou-lève pas l’enthousiasme et paraît unpeu frileux en regard des objectifsde départ. Peu d’améliorationsdirectes pour les entreprises, destâches de l’Etat plus étendues etdonc potentiellement coûteuses et,

surtout, un important écart par rap-port aux ambitions de départ. Cesconstats suffisent-ils à rejeter cettenouvelle constitution? Assurémentnon, si l’on quitte le domaine desattentes – déçues – pour celui del’analyse.

Le nouveau texte se révèle structuré,épuré de nombreux articles deniveau législatif et plus moderne. Ilest évolutif et ne comprend aucunedisposition qui se révèlerait inaccep-table à la suite des nombreux com-promis qui ont conduit à son adop-tion. La CCIG prône par conséquentun vote positif sur cette nouvelleconstitution genevoise.�

ConférenceLa CCIG met sur pied une conférence-débat intitulée«Nouvelle constitution: un enjeu pour les entreprises?»,le lundi 24 septembre de 18 à 20h, en présence de trois constituants.Un cocktail permettant le dialogue direct avec les orateurs estprévu au terme de la partie officielle.

Programme et inscriptions: www.ccig.ch (Agenda des événements)

Vous souhaitez en savoir plus?

Cette nouvelleédition duSymposiumEconomiqueEuro-Méditer -ranée, organisépar la FondationSuisse Maroc

pour le Développement Durable(FSMD), aura pour thèmes l’écono-mie verte, l’économie sociale et lesinvestissements socialement respon-sables. Evénement de grande enver-gure, il bénéficie de l’attentiontoute particulière de Sa Majestéle Roi Mohammed VI, qui a bienvoulu le placer pour la cinquièmefois consécutive sous sonHaut Patronage.

Les participants conviés à ce sympo-sium économique sont les décideurs

et les managers de tous les secteursd’activité confondus. De nombreusespersonnalités sont également atten-dues, dont Son Excellence AndréAzoulay, Conseiller de Sa Majesté leRoi Mohammed VI, et FathallahOualalou, Maire de la ville de Rabat.

Cette manifestation permettra auxentrepreneurs suisses de mieuxconnaître les diverses opportunitésd’investissements qu’offre leMaghreb et de créer des partena-riats socio-économiques.

La participation à cet événement estgratuite. Les places étant limitées,l’inscription est obligatoire.�

4Septembre2012 No7

Selon l’étude ducabinet interna-tional de conseilen stratégieBostonConsultingGroup (BCG),

publiée en début d’été et à laquelles’est associée la CCIG, la concurrencemondiale, ainsi que les initiatives fis-cales socialistes, pourraient à termefaire fuir les multinationales implan-tées dans le canton. La présenceimportante de groupes transnationauxà Genève s’explique par son hautniveau d’attractivité, dû notamment àla stabilité politique et fiscale du pays,ainsi que par ses capacités en termesd’innovation. Mais d’après BCG, cettedynamique est mise en danger par la

concurrence mondiale, en particuliercelle de Singapour, qui effectue desdémarches à Genève pour essayer defaire déménager les entreprises dansla cité-état. Aussi, les initiatives fiscalessocialistes de suppression des allège-ments fiscaux aux entreprises met-traient en danger la présence desgrands groupes dans le canton endéstabilisant la compétitivité. Le rap-port propose plusieurs mesures afinque Genève conserve sa compétitivitéen matière d’accueil de multinatio-nales et assure sa prospérité:

• Établir des groupes de travail et ren-forcer la coopération entre les cantonsde Vaud et Genève afin de maintenirl’attractivité pour les multinationales(la CCIG et la CVCI y travaillent déjà).

• Promouvoir des pôles d’excellencesectoriels• Attirer les groupes asiatiques, quisont l’avenir de l’économie mondiale.

Aujourd’hui, les multinationales repré-sentent 43% du PIB genevois. Plusencore, elles ont contribué à hauteurde 67% de la croissance pendant ladécennie écoulée. Véritables moteursde l’économie, ces sociétés ont crééles deux tiers des nouveaux emploissur la même période.�

Cette étude est disponible gratuite-ment à la CCIG.

infoCOMMERCE INTERNATIONAL

Concrétisons leDéveloppement Durable

A Genève, les multinationales ont créé deuxtiers des nouveaux emplois entre 2000 et 2010

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5e édition du Symposium ÉconomiqueEuro-Méditerranée sous le Haut Patronagede Sa Majesté le Roi Mohammed VI

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Vendredi 2 novembre 2012 toute la journéePalais des Nations Unies, Genève

Le 22 août dernier, la Russie estdevenue le 156e membre del’Organisation mondiale du commerce (OMC). Dès lors,elle est soumise aux mêmesnormes que les autres Etatsmembres de l’OMC.

Pour l’import-export, cette soumissionaux normes permettra d’assurer laqualité de nombreux produits indus-triels et prouvera leur conformité auxexigences internationales de santé etde sécurité. Elle favorisera égalementla libre circulation des marchandiseset des personnes. En ce qui concernela Suisse, le démantèlement desentraves au commerce qu’induit cetteadhésion promet aux entrepreneursun accès facilité au marché russe.

Cette accession au statut de mem-bre de l’OMC sera également profi-table à la Russie. En effet, elledevrait lui permettre de conclure

près de 100 accords bilatéraux visantà faciliter l’accès au marché pourles services et les marchandises. Cequi entraînera des baisses de droit àl’importation pour certaines catégo-ries de produits (agricole, industriels,laitiers, chimiques, machines, boiset papier, etc.).

Lors de ce séminaire organisé par laCCIG et le Bureau Russe de Gestionet Développement Commercial SA,Boris Paykin, Directeur Général deGazprom Invest, présentera auxentrepreneurs suisses les derniersdéveloppements de l’économie de laRussie et les opportunités d’affairesque ce pays recèle.

Un petit-déjeuner sera offert à l’issuede la manifestation, permettant leréseautage en toute convivialité.�

Entrée de la Russie dansl’OMC: nouvelles perspec-tives de développement etd’opportunités pourles PME suisses

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS

ww.ccig.ch (Agenda des événements)

Séminaire

Vendredi 5 octobre 2012 de 8h à 10h30CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

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5No7 Septembre2012

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Midi de la Chambredu 30 août 2012

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La très riche histoiredes transportsà Genève

Alexandra Rys, nouvelle responsable Com -munication et membre de la Direction.

L’importance de la communication dans la vie économique n’est plus à démontrer et la CCIGa intégré cette donne il y a quelques années déjà. L’engagement d’Alexandra Rys pour rem-placer Pascale Roch-Gigandet (voir CCIGinfo no 6) à la tête du Service communication permetde continuer sur la lancée. Car son expérience personnelle et son parcours professionnel leprouvent, Mme Rys a tous les atouts en mains pour relever les défis qui attendent son équipe :le développement des rencontres de chefs d’entreprise et des réseaux sociaux.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’évolution desmodes de transports et son impact sur les plans politique,social et économique figure dans le volume 2 de l’Histoire destransports publics dans le canton de Genève.

Diplômée en sciences politiques etrelations internationales de l’Institutdes Hautes Etudes Internationales,à Genève, Alexandra Rys est également titulaire d’un MA dela London School of Economics.

Conseillère en communicationdepuis plus de vingt ans, elle s’estspécialisée dans les relationspubliques : «Les relations publiquesne cherchent pas à imposer unpoint de vue, mais à analyser lesopinions émises par les parties prenantes, afin d’intégrer leursattentes au comportement et auxdécisions de l’organisation, afind’aboutir à une situation satisfai-sante pour le plus grand nombre»,dit-elle.

Mme Rys a acquis son expérience ausein d’agences réputées avant de

Signé par GilbertPlojoux avec la col-laboration deBernard Calame,Gilbert Elmiger,Cédric Noir et

l’Association genevoise du muséedes tramways, cet ouvrage retrace,sur plus de 400 pages, une tranche

importante de la vie genevoise.Deux autres volumes sont en pré-paration.�

créer sa propre agence, EssentielCommunications, en janvier 2006.Son credo: «Une communicationefficace doit s’en tenir à l’essentiel :le contenu du message. Ce qu’onveut dire, à qui, pourquoi. La formedu message, c’est comme l’inten-dance : ça suit».

Avant cela, elle avait été partenairechez Rochat & Partners, où elleétait entrée après huit ans chezCIPR Communication, qui l’avaitvue successivement chef de man-dats, puis directrice adjointe.

Au fil de sa carrière, Alexandra Rysa conseillé des clients dans diffé-rents secteurs d’activité. Elle a ainsimené plusieurs campagnes de vota-tions. Elle a été en charge desinvestor relations de l’un des troisleaders mondiaux de l’intermédia-tion de produits financiers et nonfinanciers.

Pendant plusieurs années, elle agéré les activités romandes de l’as-

sociation «Jeunesse et Economie»,qui visait à développer les connais-sances économiques des ensei-gnants romands.

Elle a également accompagné dessociétés actives dans la productionet la distribution de boissons, cequi lui vaut une solide expériencedu secteur alimentaire et de la com-munication produit. Enfin, elle agéré la communication liée à laréouverture après rénovation deplusieurs 5 étoiles de la place.

Grâce à son «hobby», la politique,Alexandra Rys est une figureconnue de la place genevoise. Elueau Conseil municipal de la Ville deGenève en 1999, elle l’a en effetprésidé de juin 2011à juin 2012.

On l’aura deviné: les nombreusescordes que compte A. Rys à son arcn’ont pas été étrangères au choixopéré par la CCIG pour compléterson équipe de Direction!�

Jacques Jeannerat

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Mardi 9 octobre 2012, de 8h à 10h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Comment concurrencerl’attractivité des multinationales?

Benchmark bénéfices

la CCIG et Unirisc Group, présen-tera les options proposées aux entre prises locales pour concurren-cer l’attractivité des multinatio-nales.�

Les conditions offertes par les multinationales sont très appréciéesdes collaborateurs et représententune forte concurrence pour lesentreprises suisses sur le marchéde l’emploi.

Prévoyance, salaires et frais médi-caux, ce séminaire, organisé par

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7No7 Septembre2012

Un souffle nouveau pourla succursale BDO de Genève

Le 3 mai 2012, l’inauguration des nouveaux locaux de BDO à Genève a permisà la fiduciaire et à son responsable de succursale, Eric Wavre, de marquer sym-

boliquement le développement soutenu de la fiduciaire à Genève et dans tout le pays.

Vous êtes éditeur de logiciels,société de services ou cabinet deconseils et vous souhaitez vousdémarquer sur un marché trèsconcurrentiel?

Comment répondez-vousaujourd’hui au problème d’adhé-sion des utilisateurs de vos solu-tions, quand celle-ci est identi-fiée par tous vos clients commele meilleur facteur de succès deleurs projets?

La CCIG et Nexavis, sociétéromande, spécialiste de l’adhésiondes utilisateurs d’applications d’en-

treprises, organisent un séminairelors duquel vous sera présentée uneréponse à la problématique citée ci-dessus au travers d’une offre parte-naire attractive, éprouvée et trèsrémunératrice. De nombreux parte-naires y ont déjà trouvé un réel dif-férentiateur, pourquoi ne seriez-vouspas les prochains?

L’événement se poursuivraautour d’un petit-déjeuner permet-tant le réseautage en toute convivialité.�

Les nouveaux locaux genevoisvous offrent-ils une meilleurevisibilité?Au 1er janvier 2011, nous avonsrepris la fiduciaire Penonne &Partners. Cette opération nous apermis de renforcer considérable-ment notre présence genevoise.Aujourd’hui, notre succursaleoccupe plus de quarante collabora-teurs, ce qui la place dans le top 10des fiduciaires à Genève.

L’inauguration des nouveaux locauxest un geste emblématique quiindique notre potentiel de crois-sance, puisque nous pouvons yaccueillir soixante collaborateurs.

Que représentez-vous en Suisseromande?Actuellement, nous occupons 960personnes en Suisse, dont 125 enSuisse romande, où nous sommesimplantés dans tous les cantons, àl’exception de Neuchâtel.

Nous sommes leaders dans ledomaine de l’audit et des presta-tions fiduciaires auprès des PME et

des administra-tions publiques.Sur les 2400communes quecompte la Suisse,plus de 800 fontappel à nos ser-vices.

Comment expli-quez-vous cetteposition?

Notre plus grande force est notremodèle unique. Notre réseau de 31succursales nous permet d’êtreproches de nos clients, aussi bienpar notre présence géographiqueque par notre connaissance ducontexte local.

Nos collaborateurs bénéficient decompétences de généralistes afin decomprendre l’ensemble des besoinsde nos clients, qui sont d’abord des

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Séminaire

Séminaire (rappel)

Vendredi 12 octobre 2012, de 8h à 10hCCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Le Comptoir Immobilier organiseun grand débat public sur le PAV(Praille-Acacias-Vernets) lorsduquel les dernières mises à jourdu projet, les prochains caps àfranchir et des ébauches de solutions seront abordés. �

Les pieds dans le PAV -Le Comptoir Immobilierapporte sa pierre à l’édificeJeudi 27 septembre 2012 de 8h à 10hHôtel Ramada Encore Genève, route des Jeunes 10-12, Genève

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© Comptoir Immobilier

Inauguration des nouveaux locaux de BDO à Genève. Accueil des clients par Eric Wavre (devantau centre), responsable de la succursale BDO de Genève

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avant le 21 septembre 2012

besoins relatifs à la gestion de leurentreprise ou de leur commune.Pour les questions spécifiques, nouspouvons compter sur les compé-tences de nos spécialistes.

Nous avons alors recours à notreréseau, régional, suisse et interna-tional. Nous proposons donc un service complet, adapté aux PMEqui, si elles ne sont pas multi -nationales, ont souvent des activitésinternationales. Cette structurenous donne une grande flexibilitéet nous permet d’être très réactifs.�

BDO SARoute de Meyrin 1231219 Genève-Châtelaine022 322 24 24geneve@bdo.chwww.bdo.ch

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Prochain Midi de la ChambreJeudi 11 octobre 2012 dès 12h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Mardi 2 octobre 2012 de 8h15 à 10h30CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Venez assister aux présentations des entreprises suivantes :

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8Septembre2012 No7

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Bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires

Responsable d’édition:Alexandra RysRédaction:Sonam Bernhard, Fabienne Delachaux,Nathalie Hardyn, Charles Lassauce, PascaleRoch-Gigandet, Géraldine Siegenthaler

Publicité:Promoguide SA - Tél. 022 809 94 92Concept et Graphisme:ROSS graphic design - RolleImpression:SRO-KUNDIG SA - Genève

Informations:publications@ccig.ch

infoAGENDA

4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Adresse postaleCase postale 5039 - 1211 Genève 11Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

Manufacture Horlogère, Genève, depuis 1755.

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1839, Vacheron Constantin crée de nombreuses machines dont le célèbre pantographe, un outil mécanique permettant pour la première fois de reproduire d’une façon parfaitement fidèle les principaux composants horlogers, augmentant encore le niveau de qualité de ses gardes-temps. Cette invention propulse la marque dans l’avenir et révolutionnera l’horlogerie suisse.

Fidèle à l’histoire qui a fait sa renommée, Vacheron Constantin s’engage à entretenir, réparer et restaurer toutes les montres produites depuis sa fondation, un gage d’excellence, et de confiance qui fait encore aujourd’hui la réputation de la manufacture.

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Petit déjeuner des PMEet start-upVendredi 28 septembre 2012 de 8h30 à 10h30FER Genève, rue de Saint Jean 98, Genève

Sur le thème: Le financement d’entreprise.

Gagnez en efficience grâceà la gestion électroniquede documents (GED)

Séminaire d’entreprise

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De la PME à la multinationale,chaque entreprise consacre une partimportante de ses ressources à traitermanuellement les gros volumes d’in-formation à destination et en prove-nance de ses clients, fournisseurs oucollaborateurs (courriers, e-mails,fax). Accroissement du risque d’er-reur dû à la manipulation, augmen-tation des coûts de traitement del’information et du stockage, diminu-tion de la productivité, telles sont lesdifficultés auxquelles l’entreprise doitfaire face pour être compétitive etaméliorer son service à la clientèle.

Devillard s’engage à apporter desréponses concrètes à vos problèmesde gestion documentaire et à simpli-

Mardi 2 octobre 2012 de 14h à 17h - CVCI, av. d’Ouchy 47, Lausanne

Quels risques puis-je couvrirau moyen des produits d’assurance SERV?

Exportation

SERV en rapport avec les risquesprincipaux encourus lors d’une opé-ration d’exportation.�

Cette séance d’informations’adresse tant aux chefs de PMEqu’aux responsables export de plusgrandes entités. Elle permettra entreautres de découvrir l’utilisation adé-quate des produits d’assurance de la

Du 20 septembre au 9 octobre 2012Uni-Dufour, rue Général-Dufour 24, Genève

De GVACUBE à GVA 2030Exposition

nouveau présentée dans le halld’Uni-Dufour durant trois semaines,dans le cadre d’une exposition ini-tiée par l’Université de Genève etintitulée GVA 2030.

Environnement, mobilité et Genèveinternationale sont les trois axesspécifiques retenus et débattus,notamment, lors de tables rondes.�

En avril 2010, la CCIG présentait, autravers d’une exposition au Parc desBastions, l’étude réalisée par l’EPFLsur les options d’aménagement duterritoire genevois au cours desdeux prochaines décennies.

Cette «constitution urbaine pourGenève», illustrée par unemaquette de près de 10m2, sera à

De plus amples informations suivront dans la newsletter et sur le site de la CCIG