caroline quine alice roy 13 ib alice et le talisman d'ivoire 1936

8/13/2019 Caroline Quine Alice Roy 13 IB Alice Et Le Talisman d'Ivoire 1936

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ALICEET LE

TALISMAN DIVOIRE

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CAROLINE QUINE

ALICEET LETALISMAN DIVOIRE

TEXTE FRANAIS D'HLNE COMMIN

ILLUSTRATIONS DE GUY MAYNARD

HACHETTE

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TABLE DES MATIRES

I. La bonne aventure 9II. Charmeurs et devins 16

III. Soya, le petit indien 24I . La visiteuse 34

. Le pi!ue"ni!ue 4#I. $ne %tran&e histoire 49

II. La maison du myst're 55III. Les se(rets 6)I*. +r et tur!uoises )*. -ouvelle %ni&me 2

*I. L in(endie 9#*II. /li(e sur la piste 99

*III. Le (ir!ue 0enner 1#5*I . a 1#9

* . L enl'vement 115* I. La trouvaille d /li(e 124* II. e(her(hes 13#

* III. -ouvelle disparition 136*I*. Le rende "vous 142**. Le petit prin(e 15#

**I. La u&itive 159**II. Le souterrain 164

**III. L %l%phant blan( 1)#

)


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CHAPITRE PREMIER

LA BONNE AVENTURE

S S C0 $* blonds %pandus sur ses %paules, sa taille min(e, miseen valeur par une robe de toile bleue, toute simple, /li(e oy se tournavers ses amies ess et 7arion !ui se tenaient aupr's d elle sur le !uai de

la &are. 8 %(id%ment, voil: un retour de va(an(es !ui man!ue de(harme, dit"elle. ; $ne heure d attente d% r%pli!ua 7arion en soupirant. lle

s(ruta la voie dont les rails se perdaient au loin, %tin(elants sous le soleil,et elle a


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; e re&rette !ue nos va(an(es soient termin%es, ( est (ertain,mais

Les trois illes venaient de s%


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Le d%(har&ement (ommenAait d%


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Il saisit le &arAonnet par le bras et (ommenAa : le rapperviolemment de sa (rava(he au man(he in(rust% de na(re et de tur!uoises.L en ant poussa un (ri de terreur !ui alarma l %l%phant. t l animal(ommenAa : balan(er %brilement sa trompe en aisant entendre unesorte de &ro&nement irrit%. /li(e et ses amies (rurent un instant !u ilallait se


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interlo(utri(e et, s adressant : l en ant ?8 e&arde"moi bien, Soya, dit"il ave( rudesse. e vais te montrer

(omment on m'ne un %l%phant. >Il empoi&na la pi!ue et lanAa : tue"t@te un ordre bre !u il pon(tua

d un (oup violent appli!u% sur l en(olure de l animal. Celui"(i ne bou&ea pas d un pou(e. urieuF, a r%p%ta la manEuvre, mais ave( plus de brutalit% en(ore. L en ant ne put r%primer un (ri d an&oisse, tandis !uel homme s ent@tait. Sa ra&e demeurait impuissante. rus!uement, il

renonAa, et il abandonna la partie, laissant les


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; ah = sans doute est"(e : moi !u il en a >, it /li(e. Commea s appro(hait, ses l'vres %bau(h'rent une sorte de &rima(e, destin%e

de toute %viden(e : passer pour un sourire.8 e ne voudrais pas !u un doute puisse subsister dans votre esprit,

(ommenAa"t"il d une voiF on(tueuse. aime mon petit Soya plus !ue toutau monde. C est mon tr%sor, la perle de mon (Eur,... mais il est si paresseuF !u il ne veut rien aire. > t l homme poursuivit ave( unsoupir? 8 /lors, il aut bien !ue

II y eut un silen(e. Les


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lle allait s %loi&ner, bien d%(id%e : (ouper (ourt auF pr%di(tionsde a , mais ess et 7arion l en emp@(h'rent. L homme n avait pas bou&%.

8 Laisse"le aire, va, dit ess. Gu (omprends, nous tenonsabsolument : savoir (e !ue l avenir te r%serve, : toi aussi = >

C%dant de bonne &rD(e : l insistan(e de ses amies, /li(e s appro(hade a . Celui"(i posa sur la


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CHAPITRE H

CHARMEURS ET DEVINS

/LIC demeurait muette, (omme paralys%e par l %pouvante, tandis!ue le reptile s enroulait lentement autour de son (orps. 7ais, reprenant bientNt ses esprits, elle it un e ort d%sesp%r% pour se lib%rer. Gour%sistan(e %tait vaine, h%las = et l %treinte du monstre se resserraitimpla(ablement.

0orri i%es, ess et 7arion (her(haient des yeuF un ob


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dans la lan&ue de son pays. Il s(andait les mots d une voiF blan(he,en souli&nant le rythme par un balan(ement de tout son (orps.

8 ous erie bien mieuF de venir nous aider = > s %(ria 7arionhors d elle. t, ramassant un bDton !ui traOnait par terre, elle se mit :

rapper le reptile : tour de bras. 7ais l animal parut ne pas s en sou(ier lemoins du monde.

ess appelait au se(ours. Le personnel du (ir!ue, !ui s a airait!uel!ues instants plus tNt sur le !uai, avait disparu (omme paren(hantement. Seul, Soya a((ourut au bruit et,


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0eureusement, (e serpent n est pas en(ore adulte et ( est pour!uoiil n a pu vous aire &rand mal, mais

Le devin se releva ave( lenteur, puis il se diri&ea vers (elui !uil avait interpell%.8 Le reptile tue sa proie d un seul re&ard, murmura"t"il. C est %(rit,

et il en sera tou7al&r% son d%sir de !uitter au plus tNt le lieu de sa d%sa&r%able

aventure, /li(e dressa l oreille. $n talisman = La seule mention de (emot ma&i!ue lui donna une irr%sistible envie d en savoir davanta&e.

a avait entrouvert le (ol de son dolman pour en sortir un min(e(ordon de soie noire pass% : son (ou. $n minus(ule ob


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paroles inintelli&ibles. /pr's !uoi, il le tendit : /li(e d un &estesolennel.

La


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7ais


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; C est entendu, a , < a((epte le talisman et

ess et 7arion (ouraient d%

/li(e


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/ (e moment, survint le (ontrNleur !ui poinAonna les billets desvoya&euses. Kuis il passa dans le (ompartiment voisin. Soudain, des (riss %lev'rent. Les trois illes ouvrirent la porte du (ouloir et virent alors le(ontrNleur !ui tirait par le bras un

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CHAPITRE III

SOYA, LE PETIT INDIEN

L S $- S ILL S (onsid%raient l en ant, %mues, mais perpleFesaussi. Certes, elles souhaitaient l aider de tout leur (Eur, en sedemandant n%anmoins si elles avaient le droit de avoriser sa u&ue. 8+J veuF"tu aller, Soya B !uestionna /li(e.

; e n en sais rien, r%pondit le petit &arAon. +J irais"


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laver la vaisselle. e erai n importe !uoi, mais

/li(e (onsulta rapidement ses amies, et les trois illes tomb'rentd a((ord pour estimer !u il %tait impossible de remettre l en ant : lamer(i de a . Celui"(i %tait une brute, elles l avaient (onstat%. /ussid%(id'rent"elles d emmener Soya : iver City. lles pay'rent son billet, puis elles install'rent leur prot%&% : (Nt% d elles. / vrai dire, ellesn %taient pas sans in!ui%tude sur la suite des %v%nements, sa(hant bien!u il leur serait moralement impossible d abandonner l en ant au termedu voya&e.

8 e vais (onduire le petit : la maison, murmura en in /li(e, et


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d%passer le &i&antes!ue (hDteau d eau !ui dominait les aubour&sau nord de la ville. Les voya&euses se pr%par'rent tandis !ue Soyatransportait lui"m@me les valises : l eFtr%mit% du a&on.

/li(e et ses amies urent les premi'res : des(endre sur le !uai.Soya (ommenAait : passer les ba&a&es : /li(e, !uand (elle"(i s entenditappeler par son nom.

lle se retourna et aperAut la haute silhouette de -ed -i( er"son,son (amarade d en an(e. Le &arAon v@tu du stri(t (ostume &ris on(% de%tudiants de l universit% d merson, s avanAa vers elle.

8 -ed = Hue diable ais"tu i(i B s eF(lama /li(e, ravie. ; ai t%l%phon% (he toi (e matin et !uand < ai su !ue tu rentrais

au


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Sarah, la vieille servante de la amille oy, avait vu arriver lavoiture et, tandis !ue -ed repartait, elle se pr%(ipita : la ren(ontre de la , it /li(e. 7ais Sarah lui(oupa la parole.

8 e parie !ue ( est en(ore une de tes antaisies = s eF(lama"t"elle,indi&n%e. ; (oute"moi >, reprit /li(e. t elle en(haOna, parlant tr's vite ? 8

Ce petit s appelle Soya. Il va simplement passer !uel!ues Sarah re&arda la


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8 7a petite, dit"elle : /li(e,


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; Il t a((usera d avoir enlev% son ils, dit Sarah. -ous verrons (e!ue ton p're pensera de (ette a aire, mais

Cependant, Soya avait (ompris !ue son sort restait in(ertain, et d's!u il eut termin% son repas, il se mit : l ouvra&e a in de montrer (e dont il%tait (apable. Il (ommenAa par le nettoya&e des vitres !u il asti!ua ave(ardeur, puis il s en alla


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d ins(rire sur l enveloppe l adresse du destinataire, il demeura per" pleFe.

8 e me demande (omment en d% initive se nomme le p're de ton prot%&%, dit"il : /li(e. a n est (ertainement pas son nom de amille ? (edoit @tre un pr%nom...

; Gu as raison. e vais interro&er Soya >, dit /li(e.lle revint au bout d un instant ave( le &arAonnet, et (elui"(i o rit

de libeller l adresse lui"m@me. /li(e et son p're (onstat'rent alors,stup% aits, !ue l en ant %(rivait ave( aisan(e et !u il traAait m@me se(ara(t'res ave( une (ertaine %l%&an(e. Kuis il o rit d aller mettre aussitNtla lettre : la poste.

8 C est une bonne id%e, dit /li(e. Il y a une boOte tout pr's d i(i, au

(oin de la rue. >Soya prit l enveloppe et sortit. 7ais d's !u il ut sur le trottoir, ils arr@ta, re&arda autour de lui et, s %tant ainsi assur% !ue personne n pouvait l observer, il (onsid%ra la lettre, h%sita un instant. Kuis il lad%(hira prestement en mille mor(eauF !u il laissa tomber dans le(aniveau.

8 Comme (ela,


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; Il n est pas l:, madame, mais


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le ruban de velours au!uel le bi

lle se leva, it un pas vers /li(e. Sa main osseuse s avanAa brus!uement pour saisir le talisman, mais elle retomba. Son visa&e avait pris une pDleur de (ire et soudain, avant !u /li(e ait pu es!uisser un&este, l %tran&e visiteuse s a aissa sur le tapis, %vanouie.

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CHAPITRE IV

LA VISITEUSE

/LIC se pr%(ipita vers 7lle Ulenn, mais : (e moment, la sonnettede l entr%e retentit de nouveau. La


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; ous arrive : temps ? 7lle Ulenn vient de s %vanouir. >L in(onnu s avanAa rapidement vers la visiteuse, !ui &isait,

%tendue sur le tapis et, au &rand %tonnement d /li(e, il la souleva(omme une plume pour l emporter dans ses bras.

8 e suis d%sol% de (et in(ident, dit"il. 7lle Ulenn est malheu"reusement su


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l avo(at !uand /li(e eut a(hev% son r%(it. 7ais d%(ris"moi a(ider. Cela me donnera peut"@tre !uel!ue id%e. >

/li(e it aussitNt un portrait d%taill% du personna&e.8 -on, (ela ne (orrespond : au(une personne de ma (onnaissan(e,

(on(lut ames oy. e ne (omprends rien : (ette histoire ? tu as vraimenteu a aire : des &ens bi arres, ( est le moins !ue l on puisse dire. e suisd ailleurs en(hant% de ne pas les avoir vus, (ar, n atta(hant pas auF r@vesla m@me importan(e !ue 7lle Ulenn,


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; ah = tu n avais !u : rouler moins vite, dit /li(e, tr's (alme. ; Gu en parles : ton aise ?


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; n supposant !ue lV%nervement du (ondu(teur ait r%sult% del in(ident survenu (he toi, rien ne saurait eF(user la &rossi'ret% de sonattitude, observa -ed.

; Huelle voiture avait"il don( B ; e (rois !ue ( %tait une ord, mais


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soupAons ? elle s %tait d%


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CHAPITRE V

LE PIQUE-NIQUE

/LIC ne se laissa pas abuser par la d%robade de a( ider, (arelle %tait bien (ertaine d avoir a aire : son visiteur de la veille.

-ed, ess et 7arion arrivaient : leur tour, et lors!ue iderre(onnut le


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8 ai des nouvelles pour toi, annonAa"t"il : sa ille. lles(on(ernent 7lle Ulenn.

; Serait"elle venue te voir B demanda /li(e, intri&u%e. ; -on, la visite !ue < ai reAue %tait (elle d un mar(hand de biens

et < en ai pro it% pour me rensei&ner sur la propri%t% de 7lle Ulenn, suson empla(ement, sur sa valeur.

; +J se trouve"t"elle B ; / (Nt% de l an(ienne erme des avis, sur la route de edstone.

Le domaine (omprend plusieurs he(tares de bois, un %tan& et sond%versoir, des terres, !uel!ues (oteauF, un petit ruisseau au ondd un (anon en miniature. re , ( est un ensemble de valeur, et l on ytrouve tout (e !u il aut pour installer une r%serve de (hasse ou bien

am%na&er d eF(ellents terrains de &ol ... ; e (onnais l endroit, dit /li(e, r@veuse, et (e serait un but id%al pour notre pi!ue"ni!ue de demain.

; Giens,


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imp%n%trables. La route sablonneuse semblait abandonn%e, etl herbe verdissait sa sur a(e in%&ale.

8 C est eFtraordinaire, on se (roirait au bout du monde, murmuraess, impressionn%e. e n aurais s eF(lama ess. t ellea


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(ha(un des &estes de la


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; C est vrai >, dit /li(e. lle , r%pondit n%&li&emment7arion.

Les


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hautes pour !u il Mt possible de re&arder : l int%rieur. Lors!ue les se dit"elle ave( %pouvante.t elle se pr%(ipita vers la demeure abandonn%e, appelant : tue"t@te ? 8

/li(e = 7arion = Soya = +J @tes"vous B >Il n y eut pas de r%ponse.8 7on ieu, pourvu !u ils ne soient pas prisonniers = se dit la


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Gremblante, le (Eur battant, ess s %lanAa sur le (hemin !uimenait : la (lairi're oJ /li(e avait ran&% sa voiture. lle (onstata ave(soula&ement !ue son amie avait laiss% la (le de (onta(t. 7ais !uand ellevoulut mettre le moteur en route, (elui"(i toussa, puis s arr@ta. $nese(onde tentative, puis une troisi'me n eurent pas plus de su(('s. essallait renon(er lors!u un brus!ue ron lement r%(ompensa ses e orts.

ans son %nervement, elle appuya : ond sur l a((%l%rateur. La voiture bondit en avant, et la se(ousse pla!ua brutalement la (ondu(tri(e audossier de son si'&e.

ess s en aperAut : peine, tant son an&oisse %tait &rande. Sesouvenant !ue l an(ienne erme des avis %tait voisine de la propri%t%Ulenn, elle d%(ida d aller y demander du se(ours.

8 e ne (onnais pas les nouveauF propri%taires, mais tant pis.esp're !u ils me permettront au moins d utiliser leur t%l%phone = >Le petit (hemin priv% !ui menait : la erme voisine i& a&uait de si

in(royable aAon !ue ess ut obli&%e de rouler pres!ue au pas d's!u elle s y ut en&a&%e. Sur la droite, : une vin&taine de m'tres de laroute, se dressait une sorte d %peron ro(heuF, dernier ressaut des (ollines basses !ui bornaient l hori on.

$n instant, le re&ard de ess se d%tourna vers (ette masse au pro iltourment%. t la


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CHAPITRE VI

UNE TRANGE HISTOIRE

WK+$ /-GW par (e spe(ta(le %tran&e, ess perdit uninstant le (ontrNle d elle"m@me et, sans en avoir (ons(ien(e, elle donnaun (oup de volant !ui lanAa la voiture sur l a((otement, puis dans un

oss% plein d eau oJ elle s immobilisa.Kar bonheur, elle n avait pas vers%, mais ess %tait tellement%tourdie par la se(ousse !u il lui allut un moment pour se rendre (omptede la situation.

Cependant, la porte du ro(her %tait : pr%sent &rande ouverte. essvit sortir un


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8 Soya = > s %(ria ess. t elle se mit : rire, soula&%e. 8 Sais"tu !ue < ai bien ailli te prendre pour un antNme B > L en ant ouvrit des yeue ar%s. 8 C est tout Soya itsimplement un si&ne de t@te, attendant !u on le !uestionne pour en diredavanta&e. 8 7ais voyons, tu %tais bien en train d eFplorer l int%rieurde la maison B reprit ess, stup% aite. +J es"tu pass%, et !ue sontdevenues /li(e et 7arion B

; e n ai vu personne dans le tunnel, dit Soya. ; Comment, tu as d%(ouvert un passa&e souterrain B Sans doute partait"il de la maison B

; +ui >, r%pondit l en ant, et il eFpli!ua, les yeuF brillants ausouvenir de son aventure ? 8 Ce n est pas une maison, l int%rieur n eFiste pas... > ess le re&arda, interlo!u%e. 8 +ui, (ontinua"t"il, il n y a rien... >

Comme il s interrompait, (her(hant ses mots, ess su&&%ra ? 8 GuveuF dire !u il n y a pas de mobilier B

; Il n y a pas de plan(her non plus, dit Soya. ; Kas de plan(her B r%p%ta ess, su o!u%e. ; Il n y a rien du tout ? par terre, Aa n eFiste pas = ; n in, voyons, la maison est bien bDtie sur !uel!ue (hose =

s eF(lama ess, !ui (omprenait de moins en moins. ; -aturellement, mais on ne voit !u un &rand trou ave( des

mar(hes !ui des(endent dans le noir. e suis tomb%,

n d%pit de l ahurissement !ue lui (ausait (ette sin&uli're histoire,ess ne douta pas un instant de la sin(%rit% du


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rien ne pouvait d%tourner /li(e de (her(her la (le d un myst're.Huant : 7arion, elle %tait (oura&euse et si d%vou%e : son amie !u ellel eMt suivie n importe oJ.

8 /li(e et 7arion sont en (e moment dans la &alerie, (ela ne aitau(un doute, d%(lara ess. iens ave( moi, Soya, tu vas me montrer(omment s ouvre (e ro(her. >

o(ile, l en ant revint sur ses pas. Il appuya ermement (ontre le pan de la muraille !ui !uel!ues instants plus tNt lui avait livr% passa&e. Il poussa, puis il s ar("bouta de toutes ses or(es. 7ais la paroi ne bou&ea pas d un pou(e.

8 i arre, murmura"t"il. Gout : l heure, de l autre (Nt%, < ai ouversans la moindre di i(ult%.

; /ttends, , dit ess.nsemble, ils s e or('rent d %branler la porte myst%rieuse. Ce uten vain.

8 Inutile d insister, it ess, d%Aue. Il est bien %vident !ue (e(i nes ouvre !ue de l int%rieur. etournons : la maison abandonn%e, ( est de l:!ue doivent partir nos re(her(hes. >

Ils s en revinrent vers la voiture, rest%e dans le oss%. ess s assitau volant et mit en route. Kuis elle passa la premi're vitesse tandis !ueSoya (ommenAait : pousser l arri're de la (arrosserie. Kar bonheur le

oss% %tait peu pro ond, et l automobile se d%&a&ea brus!uement dans u&rand bruit de moteur. Le


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assuran(e et (ette s%r%nit% !u il mani estait dans des (ir(onstan(esaussi dramati!ues s(andalis'rent ess.

8 oyons, Soya, (e n est pas raisonnable ? (omment un simple bi s %(ria"t"elle.Le (ri se r%p%ta et, (ette ois, la


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(ette maison vide, tellement vide !u en ait l int%rieur n eFiste pas... ; C est bien (ela, approuva /li(e. e n ai


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lle se diri&ea vers le perron, &a&na la terrasse. ess et Soya luiemboOt'rent le pas sans enthousiasme. Comme elle s appro(hait de la

en@tre !ui avait d%/li(e ne put a(hever sa phrase. / l int%rieur de la maison venait de

retentir un ra(as %pouvantable, a((ompa&n% d un bruit de verre se brisant en mille mor(eauF sur une sur a(e m%talli!ue. Kuis (e ut lesilen(e.

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CHAPITRE VII

LA MAISON DU MYSTRE

8 /LIC , n y va pas,

7ais /li(e avait d%, r%pondit une voiFaible.

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Cependant, ses yeuF s a((outumaient : la demi"obs(urit%, et il %taitmaintenant possible : la


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bDtisse, et un spe(ta(le eFtraordinaire apparut auF yeuF d /li(e etde ses (ompa&nes.

/insi !ue l avait dit Soya, l int%rieur de la maison n eFistait pas. Iln y avait plus de pla ond, plus de plan(her. es poutres de la (harpente Gandis !ue Soya s %merveillait devant les a&r's et les &la(es, /li(e

et ess se mirent en devoir de soi&ner 7arion. ess d%(hira sonmou(hoir pour panser le (oude de 7arion dont la blessure sai&naiten(ore.

Livr% : lui"m@me, Soya (ommenAait : &rimper le lon& des (ordes.ess poussa soudain un (ri de rayeur !uand l en ant passa au"dessus

d elle, suspendu par les &enouF : un trap' e lan(% dans l espa(e.8 II va se tuer = s %(ria"t"elle. ; - oublie pas !ue Soya est un en ant de la balle, dit /li(e sans

s %mouvoir. lev% dans un (ir!ue, il a sans doute beau(oup prati!u% lesa&r's. > Kourtant, (rai&nant !ue le &arAonnet ne soit

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trop t%m%raire, elle lui rappela ? 8 /ttention, Soya, tu vois !ue leilet est d%(hir%. t puis, (es (ordes ne me semblent pas en tr's bon %tat ?

sois prudent. ; e vous le promets >, dit l en ant./u"dehors, il pleuvait tou


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; e n ai rien entendu. ; +n aurait dit un &%missement. ; Gu as dM r@ver, riposta /li(e en riant. emar!ue !ue


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; +ui, des do(uments de &rande valeur !ue a m avait (on i%s. ; a = s eF(lama la


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; Il aut demander du se(ours, d%(ida /li(e, (ar il nous estimpossible de transporter (e malheureuF.

; Soya pourrait nous aider, su&&%ra ess. /llons le (her(her. >Les appela /li(e, surprise.Il n y eut pas de r%ponse. L:"haut, devant une en@tre, un moineau

%&ar% battait d%sesp%r%ment des ailes en heurtant les vitres.8 e me demande oJ est pass% (e &amin >, murmura /li(e. t elle

a

Gout : (oup, 7arion prit son amie par le bras, et muette d horreur,d un &este, elle lui d%si&na les a&r's a((ro(h%s auF solives. /lors, /li(evit un (orps !ui pendait inerte, retenu, pris dans l en(hev@trement desappareils et des (ordes (omme une mou(he dans une toile d arai&n%e.C %tait Soya.

$n (ourt instant, les


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(ousine !ui uretait dans la pi'(e oJ se trouvaient les pla(ardsd a(ier.

8 Il n y a rien, murmura ess, d%sesp%r%e. ; Si => (orri&ea 7arion. lle ramassa une vieille lame de s(ie

abandonn%e dans un (oin et se pr%(ipita vers les mar(hes !ui, dusouterrain, menaient : la 8 maison >.

n l absen(e de ses amies, /li(e %tait parvenue : se hisser dans leshauteurs de l %tran&e bDtisse. 0aletante, elle s e orAait : pr%send atteindre (elles des poutres !ui se trouvaient au"dessus de Soya. Sousles yeuF de ess et de 7arion !ui l observaient, le (Eur battant, /li(eempoi&na ermement une (orde dont l empla(ement lui semblait

avorable et s %lanAa dans le vide. Sa tra


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C est alors !ue, la premi're %motion pass%e, une insurmontablerayeur s empara d elle. lle erma les yeuF, prise de verti&e, et se

(ramponna d%sesp%r%ment : la (harpente, tremblant de tous sesmembres. Cette d% aillan(e !ui lui parut interminable ne duraheureusement !ue !uel!ues se(ondes, et /li(e se remit : sa tD(he. lle passa autour de la taille de Soya une (orde !ue lui lanAa 7arion et lanoua solidement. Kuis, ayant d%&a&% l en ant des liens !ui le retenaient la poutre, elle le it des(endre


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oubli% l eFisten(e de Uaspard Ki(ot. /ussi leur surprise ut"elle(ompl'te lors!ue (elui"(i d%bou(ha tout : (oup du souterrain.

Sa d%mar(he %tait (han(elante et son re&ard avait pris uneeFpression %tran&e, pres!ue %&ar%e, !ue les


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8 C est lui = s %(ria"t"il, le doi&t tendu vers l en ant. C est (vaurien"l: !ui m a atta!u% =

; ous ne save pas (e !ue vous dites, s eF(lama 7arion,r%volt%e.

; Soya est notre ami, a it l homme, d%(ontenan(%. Le nom lui %tait ma"

ni estement in(onnu. 8 t pourtant, si, ( %tait bien lui = reprit"il ave( plus de violen(e en(ore. e me le rappelle ? il a dit : l autre de me tomberdessus.

; oyons, Uaspard, vous a irme !ue Soya vous a atta!u%,observa /li(e. t vous nous ave eFpli!u% tout : l heure !ue vousn avie pu voir votre a&resseur. ai l impression !ue vous n ave pa

en(ore repris vos esprits... ; C est (et homme"l:,


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au se(ours de leur amie, et (e ut pendant !uel!ues se(ondes une ba&arre en r'&le. 7ais heureusement Uaspard n avait pas enti'rementre(ouvr% ses or(es et il lui allut bientNt abandonner la partie pourreprendre haleine. Il re(ula

7ais Uaspard avait entendu (es derniers mots et, (royant !ue les , murmura /li(e. t elle

ordonna, d une voiF !ui n %tait !u un sou le ? 8 Gout le monde dans l&alerie. n avant = >

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CHAPITRE VIII

LES SECRETS

/u +$G de !uel!ues minutes, les u&iti s s arr@t'rent. Ils pr@t'rentl oreille ? derri're euF, ( %tait le silen(e. 8 e (rois !ue (ette ois Uaspard

a dM renon(er : nous suivre >, dit /li(e. t elle a


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(e ut pour elle lors!u elle sentit sous ses doi&ts le dis!ue de m%tal!ui tenait lieu de bouton de porte = lle le it tourner, le (Eur battant, etle pan de ro(her s %branla aussitNt, ave( une a(ilit% d%(on(ertante. Il pivota lentement sur ses %normes &onds an(r%s dans le ro(. /li(e se&lissa par l ouverture T puis elle maintint le battant entrebDill% pour permettre : ses (ompa&nons de sortir : leur tour. /pr's !uoi, elle lD(ha prise, et la lourde masse se remit en pla(e sans bruit. lle s a

Soya avait %(out% (es paroles sans bron(her, mais l eFpressionamus%e de son re&ard montrait (lairement le peu d importan(e !u ilatta(hait : (e !ue l on pouvait attendre de la s(ien(e des hommes.

/ peine avait"on repris la route de iver City !ue Soya s endormit(omme une masse. C est tout


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7lle Ulenn et de (es ameuF papiers !u il devait lui remettre, il%tait dans un %tat normal. C est par la suite !ue son (omportement a(han&% et !u il s est mis : ra(onter des (hoses eFtrava&antes.

; Keut"@tre ses id%es vont"elles s %(lair(ir, (e !ui lui permettraitalors de s eFpli!uer, su&&%ra l avo(at.

; C est une possibilit%, (onvint /li(e. e retournerai don( : la propri%t% demain et < essaierai de tirer l a aire au (lair.

; mm'ne !uel!u un ave( toi et sois prudente, dit ames oy.+n ne sait


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t"il. Le pro esseur tient absolument : prendre (onta(t ave( Soyaavant de d%(ider s il a((epte ou non de s o((uper de lui. >

/li(e remer(ia (haleureusement son (amarade, puis elle se hDtad aller annon(er : Soya les pro dit"elle.Consult% sur (e su


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)1


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; e sais, < ai lu des r%(its de voya&eurs !ui donneraient asseenvie de rester (he soi, dit /li(e, et pourtant...

; +ui, il y a autre (hose !ue tout (ela, l art, les traditions, lareli&ion, les superstitions aussi...

; e (rois !ue (ertains Indiens atta(hent une &rande importan(eauF pr%sa&es et auF talismans, n est"(e pas B

; n e et. Ils prati!uent toutes sortes de rites tr's an(iens,v%n'rent et prot'&ent (ertains animauF !u ils tiennent pour des @tressa(r%s, tels la va(he et l %l%phant blan(. eau(oup portent des amuletteset des talismans pour se pr%server de la maladie ou (on


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; e ne soupAonnais pas !ue (et ob


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8 aurai plaisir : m o((uper de (et en ant, eFpli!ua"t"il ave( un bon sourire. Il m int%resse, sinon < aurais d%(lin% votre proposition. Svous n y voye pas d in(onv%nient, nous (ommen(erons nos leAons d'sdemain. >

/li(e remer(ia beau(oup 7. a( son, !ui prit ensuite (on&%.Les


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Les


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CHAPITRE IX

OR ET TURQUOISES

S/-S C0 C0 : dissimuler leur pr%sen(e, les


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temps une op%ration ru(tueuse, (e !ui n est pas : n%&li&er... ; Les si&nes ne sont pas avorables, monsieur, r%pli!ua 7lle

Ulenn. ; Les si&nes B it l autre, d%(on(ert%. Huels si&nes B ; Il me aut un si&ne, un pr%sa&e... ; C est ridi(ule, tran(ha l homme, urieuF. e n ai


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8 L %l%phant, l %l%phant sa(r%... oui, ( est bien de lui !ue nou parlions, a et moi = >

lle tira de son sa( : main un (urieuF ob


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/li(e se souvenait en e et des propos !u avait tenus UaspardKi(ot au su


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CHAPITRE X

NOUVELLE NIGME

SS G 7/ I+- s en %taient all%es lDner dans le bois auFalentours de la maison. /u bout d un instant, 7arion it une proposition ?

8 is"moi, ess, si nous allions aire un tour du (Nt% de (e ro(heroJ se trouve l issue du souterrain B e suis persuad%e !ue la porte doits ouvrir %&alement de l eFt%rieur. n (her(hant bien, nous inirons peut"@tre par d%(ouvrir le se(ret...

; -e vaudrait"il pas mieuF !ue nous attendions /li(e B ob


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Les

/ peine 7arion venait"elle de pronon(er (es mots !u un l%&er bruitla it tressaillir ? on eMt dit !u une sorte de d%(li( venait de se produire :l int%rieur du ro(her.

8 Hu as"tu ait, 7arion B !uestionna ess, surprise. ; ien du tout. e ne tou(hais m@me pas la porte... >Les lleh%sita un peu. 8 Gu sais,


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; t /li(e nous avait dit !ue ( %tait un ami de 7lle Ulenn, repritess. Il ne serait don( pas surprenant de le ren(ontrer i(i, (he elle... >

Les


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4


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ne sais (e !ue 7lle Ulenn a pu penser de (ette al&arade... n in, , (ommenAa ess ave( embarras. lle (her(hait

ses mots, sou(ieuse de ne pas blesser /li(e. 8 L histoire est tellementeFtraordinaire... !ue l on en reste un peu surpris. t pourtant, tuas raison ? il y a un myst're dans le destin de Soya.

; C est (ertain, ren(h%rit 7arion. 7ais


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/li(e se(oua la t@te, et, de la main, elle d%si&na un panneau publi(itaire plant% au bord de la route.

8 e&arde don( (ette a i(he ? il va passer un (ir!ue. ; 7ais il ne viendra pas : iver City, (onstata 7arion, se

tournant vers le pla(ard. +n annon(e seulement !u il sera : aven"portle 2# de (e mois.

; C est":"dire demain, pr%(isa /li(e. Ce n est pas tout ? tu n as pas bien lu...

; 7on ieu, tu as raison, s eF(lama 7arion T il s a&it du (ir!ue0enner, (elui de a = Il aut y aller, nous saurons ainsi si (e devin demalheur appartient tou

/li(e approuva d un si&ne, tandis !ue ess disait, l air ravi ? 8 C est

une bonne id%e. t puis, moi,


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Le pro esseur a( son re&arda la


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; +h = non, il est tou

Ce soir"l:, /li(e annonAa : son p're le retour du (ir!ue 0ennerdans la r%&ion.

8 1l


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CHAPITRE XI

L'INCENDIE

U /- S I $* , !ue se passe"t"il B demanda Sarah, arrivanta ol%e. +n n a pas id%e de pousser des (ris pareils = ; Giens, lis = s %(ria

/li(e en lui mettant le Cependant ames oy entrait dans la salle : man&er : son tour.8 L in(endie, !uel in(endie B it"il surpris.

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; +h = papa, i&ure"toi !ue la maison de 7lle Ulenn a brMl% (ettenuit.

; h bien, tant mieuF >, d%(lara Sarah d un ton erme. t elle poursuivit, tendant le

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/li(e iFa rende "vous : ses amies : trei e heures. Gout se d%roulaselon le pro&ramme iF% et l on se mit en route pour le 8 palais desmira&es >, ainsi !ue ess s obstinait : nommer la propri%t% de 7lleUlenn.

n arrivant sur les lieuF, ames oy et les


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l autre eFtr%mit%, en utilisant l issue du ro(her B > demanda /li(e.7lle Ulenn lui , (on(%da amesoy.

7lle Ulenn, /li(e et son p're des(endirent l es(alier, puis ilss en&a&'rent dans la &alerie. L atmosph're %tait plus p%nible en(ore !uene l avait pr%dit l avo(at. Les deuF emmes toussaient et su o!uaient,mais : mesure !u elles s avanAaient dans le souterrain, l air se puri iait etse ra raO(hissait.

7lle Ulenn se diri&ea sans h%siter vers une &alerie in(onnued /li(e et !ui aboutissait : une petite salle en (ul"de"sa(. L:, elle se mit :eFplorer l une des parois : tDtons. /u bout de !uel!ues instants, elled%(ouvrit (e !u elle (her(hait ? une pierre re(tan&ulaire en(astr%e :hauteur d homme. u bout des doi&ts, elle it


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8 os tr%sors me semblent en s%(urit% i(i, d%(lara ames oy,surpris. Hui pourrait d%(ouvrir une (a(hette aussi par aitementdissimul%e B

; e n ose m y ier, r%pondit 7lle Ulenn. C est pour!uoi < ail intention de d%poser mes (assettes dans une ban!ue.

; Cette solution est %videmment la meilleure, (onvint amesoy. t maintenant, au travail, nous n en avons plus pour bien lon&temps

: d%m%na&er (ela. >oi&nant le &este : la parole, il retira plusieurs (assettes !u il

d%posa sur le sol. Leur poids (onsid%rable l %tonna, mais il n en laissarien voir et s abstint de poser la moindre !uestion : 7lle Ulenn. Comme/li(e allait s emparer d une petite boOte d%pos%e sur l une des (assettes,

7lle Ulenn se baissa vivement pour pr%venir son &este.8 Laisse , , dit"elle./li(e ramassa alors deuF autres (assettes, son p're en prit !uatre,

et la (olonne revint sur ses pas, 7lle Ulenn ermant la mar(he. Gout :(oup, ames oy !ui %tait en t@te s arr@ta. Il pr@ta l oreille, /li(e et sa(ompa&ne attendaient, surprises, (ar elles n avaient ordonna"t"il.Gout le monde resta blotti et l on dut attendre plusieurs minutes,

tandis !u une poussi're su o(ante envahissait le souterrain.8 II s est produit un %boulement, dit ames oy d une voiF tendue.

ite, sortons d i(i avant d @tre ensevelis. 7on ieu, pourvu !ue nousayons en(ore le temps de passer =

; 7es tr%sors = e ne puis les abandonner ainsi = s %(ria 7lleUlenn, (omprenant !ue ames oy avait l intention de laisser ses(assettes sur pla(e. Ils valent une ortune = >

/li(e et son p're estim'rent !ue l %&o sme de 7lle Ulenn d%passaittoutes les bornes, (ar (ette emme ne son&eait !u : ses int%r@ts personnels, sans se sou(ier de leur propre s%(urit%. 7ais ne voulant pas perdre de temps en dis(ussions inutiles, ils reprirent leur mar(he vers lasortie, (har&%s des (assettes.

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Ils ne purent aller tr's loin. /u d%tour de la &alerie, le passa&e %tait bou(h% par une masse de terre, de pierres, et de mat%riauF divers.

8 e m en doutais = s eF(lama 7lle Ulenn. -ous allons mourir i(i,

lle se laissa tomber sur le sol et %(lata en san&lots.8 La situation n est (ertainement pas aussi &rave !ue (ela, dit

l avo(at ave( (alme. n admettant !ue nous ne puissions nous d%&a&erseuls, ess et 7arion vont s aper(evoir de (e !ui s est pass%, et ellesiront (her(her du se(ours =

; e&arde, papa, (et %boulement ne doit pas @tre tr's important ?on aperAoit un peu de lumi're sur le (Nt%, entre (es d%bris de (harpente,s %(ria /li(e. -ous ne sommes pas tr's loin de l entr%e du souterrain =

; Gu as raison, dit ames oy d un ton Le p're et la ille se mirent au travail ave( ardeur. Ils n eurent

au(un mal : a&randir l intersti(e !u /li(e avait d%(ouvert. 7ais au"del:,de lourdes pi'(es de bois en(hev@tr%es les arr@t'rent.

8 -ous sommes blo!u%s, d%(lara ames oy, d%(oura&%. Il ne nousreste plus !u : attendre du se(ours.

; e vais essayer de me au iler l:"dessous, dit /li(e. +n doit pouvoir passer. >

/vant !ue son p're ait eu le temps de l en emp@(her, elle en&a&eala t@te et les %paules par l ouverture et (ommenAa : pro&resser lentement.

lle manEuvrait ave( pruden(e, en se aisant aussi petite !ue possible,dans la (rainte !ue la masse des mat%riauF ne s e ondre sur elle. n in,elle r%ussit : sortir de l autre (Nt%, saine et sauve.

8 a (her(her du se(ours, /li(e, dit ames oy. Le (hemin !ue tuviens de prendre est imprati(able pour 7lle Ulenn et pour moi. >

/li(e (ourut t, (omme ses (ompa&nes la re&ardaient,stup% aites, elle eFpli!ua ? 8 II y a eu un %boulement. >

Les deuF


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d%blo!uer les mat%riauF obstruant le passa&e. 7ais ellestravaillaient : mains nues, et la beso&ne n avanAait &u're. /u bout d unedemi"heure, /li(e (omprit !u elles s %puisaient en vain.

8 II nous audrait au moins des outils, dit"elle. e vais aller(her(her de l aide. >

lle remontait du souterrain, pour retourner : sa voiture,lorsqu'elle dcouvrit Ned Nickerson qui, pouss par la curiosit, %tait

venu (onstater l %tendue du d%sastre.8 Urands dieuF, /li(e, < ai ailli te prendre pour un spe(tre sur&i de(es ruines = s %(ria"t"il. oJ sors"tu don( B

; +h = -ed, < ai besoin de toi, it /li(e. Kapa et 7lle Ulenn ont%t% blo!u%s par un %boulement. Il aut les d%&a&er = >

-ed ne perdit pas de temps : poser des !uestions ? il suivit /li(e et: son tour s atta!ua : l obsta(le !ui obstruait la &alerie. Il r%ussit bientNt :d%pla(er une %norme pi'(e de bois, (e !ui permit : 7lle Ulenn, puis :

ames oy de passer en in.

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8 7es (assettes, mes (assettes, murmura la emme, pDle ettremblante. lles sont rest%es de l autre (Nt%. e ne partirai pas d i(i sanselles...>

Comprenant !ue rien ni personne ne pouvait venir : bout de (etteobstination, /li(e s en onAa de nouveau dans le souterrain, suivie par -ed. t ils ramen'rent au


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CHAPITRE XII

ALICE SUR LA PISTE

- et les


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8 Hu a"t"elle don( B murmura ess ave( in!ui%tude. +n dirait!u elle n entend pas... C est %tran&e...

; ai l impression !u elle r@ve >, it /li(e.ames oy (ontenait mal son impatien(e, (ar le (Nt% th%Dtral de

(ette s('ne lui semblait absolument ridi(ule. Il se tourna vers -ed?8 ene ave( moi, lui dit"il, nous allons transporter (es (assettes :

la ban!ue pendant !u /li(e et ses amies resteront aupr's de (ette emme.Si : notre retour elle est en(ore dans le m@me %tat, nous la ram'nerons :

iver City. >Les deuF hommes ramass'rent les pierreries !ui s %taient %par"

pill%es sur le sol, puis ils re erm'rent la (assette !u ils install'rent ave(les autres dans la voiture de -ed. /pr's !uoi, ils s en revinrent vers 7lle

Ulenn.8 ans !uelle ban!ue devons"nous d%poser votre bien B demandaames oy. /ve "vous une pr% %ren(e B >

La emme ne bron(ha pas. 7ais (omme l avo(at r%p%tait sa!uestion d un ton oJ perAait !uel!ue irritation, elle s arra(ha un instant :sa torpeur, et de ses l'vres tomba (ette r%ponse surprenante ?

8 Laisse "moi, s il vous plaOt. ous me d%ran&e dans mam%ditation. >

ames oy et -ed en demeur'rent pantois, et ils d%(id'rent detransporter les (assettes au Cr%dit (ommer(ial de iver City sans plusattendre.

Seules ave( 7lle Ulenn, /li(e et ses amies irent de leur mieuF pour la tirer de (ette demi"in(ons(ien(e oJ elle %tait plon&%e. 7ais riende (e !u elles lui dirent ne parut l atteindre


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d une voiF oJ ne perAait nulle indul&en(e. Il


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la m%na&erie, (ar l heure du spe(ta(le appro(hait. lles pass'rentaussi rapidement !ue possible devant les ran&%es de (a&es oJ %taienten erm%s les animauF, mais elles s attard'rent un instant : re&arder un&ros serpent !ui semblait dormir, lov% dans sa (aisse.

8 Gu sais, /li(e, , dit /li(e, philosophe.

es (hevauF entraient en piste. Ce ut alors un num%ro de dressa&e par aitement r%&l% !ui provo!ua l enthousiasme de la


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; Huand on parle du loup..., it ames oy, amus%. Giens,re&arde= >

/li(e se pen(ha en avant, les yeuF brillants d impatien(e. C %taitl instant !u elle attendait ? les %l%phants aisaient leur entr%e, imposantset ma&ni i!ues, tout (hamarr%s, (aparaAonn%s et harna(h%s de pourpre etd ar&ent. Kuis leur (orna( se pr%senta, dans ses v@tements de soie, le teint basan% sous le turban de &a e blan(he !ue surmontait une ai&rette.Celle"(i


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CHAPITRE XIII

LE CIRQUE HENNER

L S G +IS %l%phants s arr@t'rent au (entre de la piste tandis !ueleur (orna( saluait le publi( : la ronde. Comme il se tournait vers les&radins oJ /li(e et ses (ompa&nons %taient install%s, la


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8 a est de retour, annonAa"t"il. Il veut reprendre sa pla(e dans latroupe et demande : vous voir personnellement.

; /mene "le"moi >, ordonna le r%&isseur. t, se tournant vers/li(e ? 8 - est"(e pas une (o n(iden(e eFtraordinaire !ue (e retour alors!ue nous %tions en train de parler de lui B > it"il.

La


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mois, et < ai d%(id% de m embar!uer ave( lui pour les tats"$nis. ; Ce n est pas vrai, d%(lara /li(e T et, si vous ne vous

d%(ide pas : me dire eFa(tement (e !u il en est,

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CHAPITRE XIV

RAI

/LIC n eut !ue le temps de se


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L %l%phant s %tait arr@t% net devant la tente du r%&isseur, (ommeavait su !ue son ennemi se trouvait : l int%rieur. a parut soudain sur leseuil, mais en voyant l %norme b@te, il battit en retraite, bl@me de peur, ets es!uiva prestement par une se(onde issue au ond de la tente.

Le vieuF Gom le vit s en uir et il se mit : sa poursuite, barrissant de plus belle. $ne bande d en ants !ui se trouvait sur son (hemin s %parpilla(omme une vol%e de moineauF, : l eF(eption d une petite ille !uidemeura sur pla(e, paralys%e par la rayeur.

8 /ttention, petite = > (lama un (orna(, a((ouru au bruit de la&alopade. Il se pr%(ipita vers la illette, mais /li(e (omprit !u il %taittrop loin pour atteindre : temps la pauvre en ant. /lors, elle bondit vers(elle"(i et d une violente pouss%e, l %(arta du (hemin. Cependant,

emport%e par son %lan, elle perdit elle"m@me l %!uilibre et tomba tout deson lon& sur le sol.8 -e bou&e pas = hurla le (orna(. -e bou&e pas = >

o(ile, /li(e (onserva une immobilit% par aite tandis !uel %l%phant passait en trombe : !uel!ues (entim'tres d elle. Le vieuF Gom%tait d ailleurs si a(harn% : pour(hasser son ennemi !u il ne vit m@me pasla


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terminer et les spe(tateurs !uittaient le (hapiteau. 7ais ames oyet ses (ompa&nons, surpris de l absen(e prolon&%e de la


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$ne (lameur enthousiaste salua (es paroles. $n !uart d heure plustard, la voiture s arr@tait devant un (a %"restaurant dont la devanturerestait brillamment %(lair%e en d%pit de l heure avan(%e.

8 C est i(i >, dit ames oy.Lors!u ils entr'rent dans la salle de l auber&e, l avo(at et ses invit%s

virent !uel!ues personnes debout au bar. $n (ouple tournait le dos, assis: une table du ond. Les nouveauF venus s install'rent, puis (ha(un%tudia le menu. /li(e it son (hoiF, apr's !uoi elle (ommenAa : re&arderautour d elle. Soudain ses amis la virent tressaillir.

8 -e serait"(e pas 7lle Ulenn B murmura"t"elle, les yeuF iF%s surle (ouple de dOneurs.

; 7ais si, dit 7arion, et ( est a( ider !ui est ave( elle =

; e vais lui parler, it /li(e. t lle se leva et, s appro(hant des dOneurs ?

8 onsoir, mademoiselle, veuille m eF(user de vous d%ran&erainsi >, (ommenAa"t"elle.

7lle Ulenn avait sursaut%, et une eFpression d %tonnement poli parut sur son visa&e. Son (ompa&non se leva, l air ran(hement (ontrari%, pour o rir une (haise : la


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8 Cet en ant travaille trop, &rommela ames oy. Il devrait @tre(ou(h% depuis lon&temps. Il audra !ue tu lui eFpli!ues (ela demain,/li(e, n est"(e pas B e veuF !u il soit au lit tous les soirs : diF heures.

; +ui, papa, ( est entendu >, r%pondit la


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(hambre oJ se trouvait l en ant. Il s arr@ta au haut des mar(hes,sortit de sa po(he un mou(hoir, puis il poussa la porte sans bruit. Ce utle (ra!uement d une lame de par!uet !ui donna l alerte : Soya ? il seretourna brus!uement et vit a pr@t : se


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CHAPITRE XV

L'ENLVEMENT

L+ SH$ /li(e et son p're rentr'rent du (in%ma, vers on e heureset demie, ils (onstat'rent !u au(une lumi're ne brillait plus : la en@tre

de leur


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ames oy ait !uitt% la maison, puis elle pria /li(e d aller voir (e!ui se passait.

8 e parie !ue (e &arnement dort en(ore, dit"elle. /ve( (ette manie!u il a de veiller une partie de la nuit, (e n est pas %tonnant =

; Kourtant,


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; Si, viens voir = Il n y a pas : se tromper = >Sarah suivit /li(e en toute hDte

/li(e prit aussitNt sa voiture pour se rendre au bureau de l avo(at.Lors!u elle y parvint, la se(r%taire lui annonAa !ue ames oy venait de

sortir.8 II ne reviendra !ue (et apr's"midi, a


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11


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; C est une tr's bonne id%e, approuva ess. t < ai tout montemps (e matin.

; 7oi aussi, dit 7arion. 7aman ne m attend pas avant l heuredu d% it /li(e.in&t minutes plus tard, les , dit /li(e en s arr@tant devant une %norme

(onstru(tion de bois, partie &ran&e, partie maison. C %tait une bi(o!ued%labr%e, l%preuse. Keinte : l ori&ine en rou&e bri!ue, elle avait une(ouleur rosDtre et d%lav%e, bien di %rente de (ette patine harmonieuse!ue l on voit auF murs des vieilles demeures. $ne v%randa rudimentaireabritait la porte d entr%e, lan!u%e de deuF &randes en@tres per(%es travers, sans le moindre sou(i de sym%trie. Sur la &au(he de la aAade, unvieuF pi&eonnier : demi d%moli, demeurait a((ro(h% (omme par mira(le,tandis !u : droite une (hemin%e de bri!ues lambant neuve semblait pr@te : %(raser de son poids la toiture v%tust%.

8 /ve "vous

Les it l homme. /li(ese(oua la t@te.

8 -on,


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; Si vous y tene ..., mais


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Ghomas observait /li(e de ses petits yeuF rus%s, mais (e ut d unevoiF par aitement indi %rente !u il r%pondit ?

8 Comment voule "vous !ue (ette histoire m int%resse B C est :Uaspard de se d%brouiller.

; Kardon, vous %tie avant lui le &ardien de la propri%t% de 7lleUlenn, et


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lle it &lisser le (aout(hou(, et d%roula rapidement le petit pa!uet,les doi&ts tremblants. Le premier papier !ui lui tomba sous les yeuF portait un s(eau d or =

8 7on ieu, !uelle (han(e ? (e sont sMrement les do(uments de7lle Ulenn = > se dit /li(e.

ite, elle it disparaOtre sa pr%(ieuse trouvaille dans la po(heint%rieure de sa veste de sport. Kuis elle remit la (a eti're en pla(e, apr'savoir &liss% : l int%rieur une vieille lettre !ui traOnait sur l %ta&'reSeulement alors, elle sortit de la maison en (ourant.

ans l intervalle, Ghomas avait mat% son (hien. ess et 7a"rion enavaient pro it% pour aller se mettre : l abri dans la voiture et, (ommel homme %tait en(ore o((up% : en(haOner le molosse sous un appentis,

/li(e s es!uiva.8 n route, les en ants = > s %(ria"t"elle en sautant sur son si'&e.lle mit le (onta(t sans perdre une se(onde, passa une vitesse et d%marra

en un (lin d Eil. 8 Si Ghomas s aperAoit !ue < ai pris ses papiers, l a aitournera mal =

; Huoi, les papiers de 7lle Ulenn B > demanda ess, le (Eur battant.

/li(e eut un &este triomphant, et elle r%pondit, tapotant dis(r'"tement la po(he de sa veste ?

8 Ils sont l:. -ous n avons plus !u : d%ni(her un (oin bientran!uille oJ nous pourrons les d%(hi rer tout : notre aise = >

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CHAPITRE XVI

LA TROUVAILLE D'ALICE

H$ LH$ S ilom'tres plus loin, /li(e s arr@ta en bordure d une prairie, : l ombre d un &rand (h@ne, ave( l intention d eFaminer les papiers d%(ouverts (he Ghomas 7iller. 8 Huel domma&e !ue nousn ayons pas son&% : emporter notre d%


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pas : &rand"(hose, (ar tu n as (ertainement pas le pouvoir de nousapporter tout (ela. Gu n es pas une %e, !ue riposta ess en %(latantde rire. lle se pen(ha vers l arri're de la voiture pour y prendre des pa!uets !u elle et 7arion y avaient d%pos%s. 8 Giens, voi(i un pain(omplet d%bit% en tran(hes, un pot de beurre sal%, des rillettes en terrineet un beau mo a. e venais de les a(heter pour les rapporter : la maison!uand

Laissant : ses amies le soin de pr%parer les sand i(hes ave( lesmoyens de ortune de vrais obinsons, /li(e s assit sur l herbe. Kuis ellesortit de sa po(he le pr%(ieuF rouleau, et elle (ommenAa : eFaminer lesdo(uments !u il ren ermait.

8 ite, ra(onte = s %(ria ess, brMlant d impatien(e. S a&it"ilvraiment des papiers !ue tu (her(hais B

; en suis sMre. Les uns sont r%di&%s en une lan&ue in(onnue,hindoustani ou bien sans(rit, peut"@tre, mais les autres sont en an&lais.

; Z est"il !uestion de Soya B demanda 7arion, s appro(hant pourre&arder par"dessus l %paule de son amie.

; /ttends,


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lle se leva d un bond pour eF%(uter une danse endiabl%e devantses amies !ui la re&ardaient, %bahies.

8 Gu nous ais lan&uir, (e n est pas

e(ouvrant instantan%ment son s%rieuF, /li(e se laissa tomber surl herbe, puis elle %tala le do(ument devant elle ave( le plus , dit"elle.Ses amies se pen(h'rent pour re&arder.8 e n y (omprends rien du tout, d%(lara 7arion au bout d un

moment. L %(riture est trop irr%&uli're. ; 7oi, voi(i (e !ue lle h%sita. 8 -on, ( est inutile,


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Go&ara sur le trNne de l tat : la pla(e de Soya. t (e papier !ue < ai l: prouve !u elle a %&alement enlev% l en ant, ave( la (ompli(it% d

a . Kour les r%(ompenser d avoir ait de lui un ra (on(lut ess, ironi!ue.

Le silen(e %tait tomb%. Les


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; Hue veuF"tu dire B it 7arion. ; a et 7lle Ulenn redoutent l un et l autre !ue Soya

n apprenne un , eFpli!ua/li(e. lle h%sita, puis (ontinua ave( lenteur ? 8 S ils venaient /bsorb%es par leur (onversation, les


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; Il aut : tout priF !ue


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CHAPITRE XVII

RECHERCHES

/LIC s empara prestement des papiers puis revint en (ourant versla (lNture, tandis !ue les animauF la (onsid%raient d un air hostile. 7aisla manEuvre avait %t% si rapide !ue la plus menaAante des b@tes n avaitm@me pas eu le temps de r%a&ir.

8 ous voye , (e n %tait pas si terrible = > dit : /li(e : ses amies!ui l aidaient : passer sous les ils de er barbel%s. lle eut un petit rire, puis mettant les papiers dans sa po(he ? 8 ai tout de m@me eu &rand" peur d avoir perdu mes pr%(ieuF do(uments. Comment diable ai"


130/187

Les

Les


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rNdeur, reprit Uaspard. ; C est (e !ue nous verrons, r%pli!ua l inspe(teur ave(

ermet%. / propos, monsieur, nous d%sirions


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8 Hui @tes"vous, mademoiselle B demanda l un des inspe(teurs. ; e m appelle /li(e oy. Keut"@tre ave "vous entendu parler de

mon p're, l avo(at ames oy B ; Kar aitement, et si vous @tes sa ille, nous n en demandons pas plus. ; e sorte !ue nous pouvons : pr%sent repartir B it /li(e en

souriant. ; ien sMr. Keut"@tre aurons"nous besoin de re(ueillir votre

t%moi&na&e, mais dans (e (as, nous nous rendrons (he vous. ; 7er(i, messieurs >, dit /li(e.Lors!ue les


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Le surlendemain, /li(e se pr%senta (he 7. a( son !u elle savait@tre de retour. 's !ue le pro esseur se trouva en pr%sen(e desdo(uments !ue lui apportait la


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; /u (ontraire, vous r%ussire l: oJ < %(houerais, (ar 7lle Ulennne (onsentirait


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CHAPITRE XVIII

NOUVELLE DISPARITION

L/ $- ILL (ommenAa : (ompter les


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-ed leva les yeuF au (iel, d%sarm%.8 Cela va aire mon siFi'me spe(ta(le de (ir!ue..., it"il d une voiF

lamentable. en ai vraiment asse des (lo ns et des (hiens savants, sans parler des %l%phants et des ti&res =

; 7oi aussi, (onvint /li(e, mais

8 Cette ois,


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; olontiers >, it /li(e.Cependant -ed ne devait pas tarder : re&retter son initiative, (ar :

peine Ga ar se trouva"t"il en pr%sen(e d /li(e !ue son re&ard se posa surle talisman d ivoire, suspendu au (ou de la


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boulevers%, il s ima&ine !u on va venir l arr@ter et il veut partir ? est d%


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devant la porte de l internat, puis il it demi"tour et prit aussitNt laroute de iver City.

Ce ut un retour m%lan(oli!ue et silen(ieuF. /li(e et -ed %taientl un et l autre a((abl%s, d%(oura&%s par les %v%nements.

8 7a pauvre /li(e,


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CHAPITRE XIX

LE RENDEZ-VOUS

L+ SH$ /li(e p%n%tra dans le bureau de 7. a( son, le pro es"seur mar(hait de lon& en lar&e dans la pi'(e, l air nerveuF. Il s avanAavivement vers elle et, lui prenant les mains ?

8 /h = !ue


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Le pro esseur ouvrit une porte au ond de son bureau. lle donnaitsur une sorte de


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; ustement, parle "moi don( de lama Go&ara, si toute ois voussave !uel!ue (hose de lui, su&&%ra 7. a( son, saisissant la balle au bond. I(i, (omme dans tout l +((ident, nous n obtenons !ue desrensei&nements tr's in(omplets sur (e !ui se passe auF Indes.

; e (onnais par aitement Go&ara, r%pondit 7lle Ulenn i'"rement. C est un souverain %(lair%, un &rand prin(e, mais sa v%ritablehistoire n a La visiteuse prit un petitair satis ait !ui (ontrastait de aAon surprenante ave( l %lo!uen(e etles &estes dramati!ues dont elle avait donn% le spe(ta(le !uel!uesminutes auparavant. Kuis elle a,son&eait"elle, r%volt%e.

Cependant, 7lle Ulenn (ontinuait ?8 L anar(hie s emparait du royaume. e savais !u il allait d%si&ner

un nouveau souverain le plus vite possible si l on voulait %viter des(on lits d%sastreuF ave( les tats voisins. /ussi d%(idai"


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; t votre r%(ompense, mademoiselle B !uestionna 7. a( sond un ton neutre. n !uoi (onsista"t"elle B >

7lle Ulenn le re&arda, interlo!u%e, et pour la premi're ois, uneeFpression l%&'rement soupAonneuse passa sur son visa&e.

87ais...


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!ue vous me si&nale ne serait"il pas par hasard un (ertain a B >Cette ois, 7lle Ulenn


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; 7ais s %(ria la visiteuse ave( humeur. lle

s eF%(uta n%anmoins./li(e se (ampa devant une porti're de velours noir, et elle erma

les yeuF. Huel!ues se(ondes s %(oul'rent dans un silen(e et uneimmobilit% par aites, puis la


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8 C est toi la (oupable = (lama"t"elle d une voiF solennelle. C est toi!ui as d%pouill% Soya de sa (ouronne et !ui l as amen% i(i en eFil =/voue"le, avoue ton (rime = >

7lle Ulenn demeura un instant p%tri i%e. Kuis elle tomba : &enouFdevant /li(e et %(lata en san&lots.

8 +ui, oui, ( est moi = s %(ria"t"elle. e me suis servie de a pourenlever l en ant et permettre : Go&ara d usurper son trNne = e l ai a pour l Inde, ma se(onde patrie =

; -on pas = Gu as a&i pour l ar&ent, et par(e !ue l on t avait promis une inestimable r%(ompense = > pr%(isa /li(e, s%v're.

7lle Ulenn n eut pas le temps de protester ? le t%l%phone sonnaitdans la pi'(e voisine. La visiteuse se redressa, la terreur !ui se lisait sur

son visa&e disparut, et elle (ommenAa : reprendre son (alme, tandis !ue7. a( son s %(lipsait pour r%pondre : l appel.7audissant (ette interruption intempestive, /li(e se hDta de

renon(er : (e demi"d%lire au!uel elle avait eint de s abandonner pourarra(her la v%rit% : 7lle Ulenn. Certes, la s('ne avait %t% !uel!ue peu%(ourt%e, mais /li(e avait n%anmoins obtenu le r%sultat !u elle (her(hait,et le pro esseur a( son lui serait un t%moin pr%(ieuF, l heure venue.

8 /lors, mademoiselle, l eFp%rien(e a"t"elle %t% (on(luante B >demanda /li(e. lle se d%barrassa du turban !u elle rendit : sa propri%taire en souriant.

8 +ui...,

7. a( son venait d apparaOtre sur le seuil du bureau, (e !uidispensa /li(e de r%pondre : (ette !uestion embarrassante.

8 otre p're vous demande, mademoiselle >, annonAa le pro"esseur.

/li(e (ourut : l appareil.8 Hu y a"t"il, papa B demanda"t"elle, anFieuse. ; ien de &rave, mon petit. e voulais seulement savoir si tout

allait bien, (ar


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s('ne !u elle d%(ouvrait. Le pro esseur a( son &isait sur le tapis,inanim%. Il portait : la t@te une pro onde blessure !ui r%sultaitvraisemblablement du (oup !u on lui avait donn% ave( un presse"papiersd albDtre abandonn% aupr's de lui. Huant : 7lle Ulenn, elle avaitdisparu.

8 La mis%rable = s %(ria /li(e, se pr%(ipitant vers 7. a( son. lleavait peur !ue (e pauvre homme ne r%v'le (e !u il venait d entendre = >

+n sonna : (et instant : la porte d entr%e et /li(e se mit : appelerau se(ours de toutes ses or(es.

8 arrive = > r%pondit une voiF.$ne se(onde plus tard, -ed -i( erson s %lanAait dans la pi'(e. 11

resta m%dus% devant le spe(ta(le !ui s o rait : lui.

8 Le pro esseur est bless% = s %(ria /li(e, boulevers%e. / son D&e, ilris!ue d en mourir = ite, -ed, il aut le sauver = >

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CHAPITRE XX

LE PETIT PRINCE

L C[$ du bless% battait aiblement, mais d un rythme %&al, (e!ui donna (on ian(e auF deuF


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/li(e s empressa de pr%parer le sa( de &laAons, puis elle retournadans le bureau ave( -ed. Les deuF


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demanda alors : l en ant s il avait revu l %l%phant d ivoire entre les maide a . 7ais Soya se(oua la t@te.

8 e ne sais (e !ue


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transporter dire(tement auF bureauF de la surveillan(e duterritoire. L avo(at it alors le r%(it de toute (ette a aire dont Soya %tait :la ois le h%ros et la vi(time. / leur &rande satis a(tion, 7. 0enry leur promit !ue rien ne serait %par&n% pour retrouver l en ant et sesravisseurs.

8 -ous alerterons en outre les repr%sentants am%ri(ains et britanni!ues en Inde, et si besoin est, nous erons aussi appel : (ertainsd%te(tives priv%s, d%(lara 7. 0enry. ous pouve @tre (ertains !ue siSoya est en(ore vivant, nous le retrouverons. >

$ne heure plus tard, on a i(hait : la porte de tous les(ommissariats de poli(e !ue l on o rait une r%(ompense de (in! milledollars : toute personne (apable de retrouver l en ant ou bien de

provo!uer l arrestation des ravisseurs. e son (Nt%, /li(e donna unsi&nalement (omplet de a et de 7lle Ulenn, (e !ui permit auFsp%(ialistes des servi(es de surveillan(e du territoire d %tablir un portrait"robot des deuF (ompli(es.

8 h bien, mon petit, l issue de (ette a aire ne d%pend plus de nous: pr%sent, dit ames oy : sa ille lors!u ils eurent pris (on&% de 7.0enry. Il ne nous reste !u : attendre.

; oil:


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aussi demander : la poli(e !ue l on envoie un inspe(teur aire le&uet : la ban!ue. >

/li(e et son p're re&a&n'rent iver City le soir m@me. Les


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CHAPITRE XXI

LA FUGITIVE

/LIC s avanAa : pas de loup. Kerdue dans sa (ontemplation, laemme n avait pas bou&%. Le


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8 Il vaut mieuF !ue , se dit"elle. lle italors demi"tour et s es!uiva sans bruit. Kuis elle (ourut


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l eau, nette et droite (omme une lame, et des(endit dans les pro ondeurs de la rivi're. Lors!u elle revint : la sur a(e, un instant plustard, elle re&arda autour d elle et aperAut 7lle Ulenn. Celle"(i sed%battait en(ore aiblement.

/li(e %tait eF(ellente na&euse, et son (ra l puissant l amena en!uel!ues se(ondes : la hauteur de la u&itive. lle s appro(ha de (elle"(i par"derri're et voulut la saisir : l %paule, selon la m%thode (lassi!ue desauveta&e. 7lle Ulenn r%sista et se mit : supplier ?

8 Laisse "moi tran!uille =... Laisse "moi me noyer =... >n &uise de r%ponse, la


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; Soya est (a(h% (he moi, dans les ruines de ma maison, sous In&arde de Uaspard et de a >, avoua 7lle Ulenn.

/li(e n attendit pas d en apprendre davanta&e. Kour elle (ha!ueminute (omptait, (ar elle redoutait !ue l en ant n eMt %t% malmen% par seravisseurs, au!uel (as il allait le se(ourir au plus vite.

s(ort%e par un petit &roupe de poli(iers habituellement (hoisis pour les missions di i(iles, elle se mit tout de suite en route pour hi propri%t% de 7lle Ulenn. n arrivant sur les lieuF, les hommes pro(%d'rent : une ouille minutieuse.

8 Il n y a personne i(i, annon('rent"ils : /li(e rest%e dans l.ivoiture.

; /ve "vous eFplor% le souterrain B

; Il est vide, 7lle Ulenn a (ertainement menti. > oulevers%e,tenaill%e par l an&oisse, /li(e se laissa ramener.(he elle par les poli(iers. ames oy l a((ueillit sur le seuil de l.i

maison. Le r%(it !ue lui it sa ille des %v%nements auF!uels elle venaitd @tre m@l%e le laiss'rent stup% ait.

8 ravo = /li(e, tu t es r%ellement distin&u%e en arr@tant (elleemme. 7ais


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r%pondit /li(e, mais si tu as envie de partir en eFp%dition, attends"moi devant (he toi dans une demi"heure.

; ntendu >, promit 7arion, bien r%veill%e (ette ois.$n peu plus tard, les deuF amies roulaient : &rande allure en

dire(tion de la propri%t%. /li(e ra(onta : sa (ompa&ne (e !ui s %tait pass%la veille.

8 ai en(ore r% l%(hi depuis et


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CHAPITRE XXII

LE SOUTERRAIN

\S !ue la porte ut &rande ouverte, Uaspard


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; Hue veuF"tu aire B demanda son amie ave( in!ui%tude, en lavoyant s avan(er vers le ro(her.

; e vais utiliser le m@me pro(%d% !ue Uaspard pour me aireouvrir. >

/yant trouv% un &ros mor(eau de bois, /li(e s en servit pourassener ermement sur la porte siF (oups rapides. lle attendit, le (Eur battant, mais rien ne bou&ea.

8 Souviens"toi ? Uaspard avait r%p%t% le si&nal deuF ois, dit7arion : voiF basse.

; C est vrai, /li(e rappa de nouveau. +n entendit aussitNt le petit d%(li(

annonAant !ue le bouton de la porte tournait : l int%rieur. Les r%pondit une voiF aible.Les deuF amies se re&ard'rent stup% aites. Ce n %tait pas le petit

Indien !ui venait de lan(er (et appel. Sans doute la voiF ne leursemblait"elle pas (ompl'tement in(onnue, pourtant elles ne parvenaient pas : l identi ier.

8 Hui est l: B demanda /li(e. ; Ghomas, Ghomas 7iller = C est Uaspard !ui m a en erm% i(i, le

monstre = e suis en(haOn% = %livre "moi = ; /ttention, ( est peut"@tre un pi'&e >, dit 7arion, d% iante.7ais /li(e se(oua la t@te. Ses yeuF %taient : pr%sent su isamment

a((outum%s : l obs(urit% du souterrain pour !u elle pMt deviner uneorme humaine !ue des (haOnes retenaient au pied d un solide poteau,

tout pr's de la porte. La


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L homme se(oua ses (haOnes ave( ra&e.8 C est bien le moment de aire tant de dis(ours = nleve "moi

don( plutNt Aa = (ria"t"il. ; Ce sera ave( plaisir, r%pondit /li(e roidement, lors!ue vous

nous aure r%v%l% la (a(hette de Soya. ; Si vous vous ima&ine !ue , &rommela le prisonnier. Il poursuivit d un ton pleinde ran(une ? 8 C est vous !ui m ave vol% mes papiers. /h = vous avie(ru !ue


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Les deuF amies se mirent : la beso&ne, et au bout d une demi"heure d e orts, elles parvinrent : aire sauter le (adenas !ui retenait les(haOnes, en (o&nant dessus ave( une &rosse pierre. Ghomas se traOna p%niblement au"dehors, les membres en&ourdis et (ourbatus par leurimmobilit% prolon&%e.

8 ai des (rampes partout, ron(honna"t"il. /h = si


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Kuis, s emparant d une (orde !ui traOnait sur le sol, il eut tNt ait deles li&oter. Ses vi(times ne le !uittaient pas des yeuF, muettes de terreur,se demandant !uel traitement il allait leur in li&er.

8 Hu ave "vous ait de Soya B demanda soudain /li(e, s e orAantd%sesp%r%ment de retrouver son san&" roid.

; Giens, tiens, ( %tait don( (ela la raison de votre visite B r%pondita en s es(la ant. Soya est mort.

; e ne vous (rois pas, s %(ria /li(e. Il est (a(h% l:"haut dans le&renier : oin. >

/ l instant m@me, les


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CHAPITRE XX111

L'LPHANT BLANC

/ , attende = s %(ria /li(e, boulevers%e. Il aut @tre insens% pourson&er : une (hose pareille = Si vous aites disparaOtre Soya, la L Indien s %tait arr@t%, un pied sur le premier barreau de l %(helle.8 e ne (ours au(un dan&er, dii"il &ravement. Le talisman d ivoire

me prot'&e, et son pouvoir est in aillible. ; C %tait don( bien vous !ui l avie vol% dans ma (hambre :

merson = s %(ria /li(e. en %tais sMre = >ai eut un rire plein de su isan(e, et il se tapota (omplaisamment

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la poitrine pour montrer !u il portait le talisman, dissimul% sous sa(hemise.

8 e ne m en s%parerai plus


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; Si. Gout (e !ue m a ra(ont% le pro esseur a( son me revient enm%moire ? il s a&issait de (e merveilleuF %liFir de vie !ue (ontenaient par ois (ertains talismans tr's an(iens.

; /li(e,

Huel!ues instants plus tard,


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(onnaissait des ruses et des prises !ui lui eussent assur%mentdonn% l avanta&e sur des adversaires ineFp%riment%s.

Cependant, l un des poli(iers s %tait tout de suite pr%(ipit% ause(ours des


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(ontenait peut"@tre B lle savait n%anmoins !u il lui allait (ourir(ette (han(e.

Sous les yeuF des poli(iers stup% aits, elle (assa d%lib%r%ment l unedes d% enses de l %l%phant blan(, et elle ne put retenir un petit (ri detriomphe. Le (orps de l animal dissimulait une (avit% dans la!uellereposait une ampoule minus(ule, oJ tremblait un li!uide transparent,d une belle (ouleur ambr%e. /li(e s en empara, et avisant une toute petite(apsule rou&e !ui semblait obturer l une des deuF eFtr%mit%s, elle la itsauter ave( son on&le. ite, elle se pen(ha sur Soya, et insinua de or(ele (ol de l ampoule entre ses l'vres. Kuis elle attendit, tandis !ue de son(Eur montait une ardente pri're.

Les se(ondes, les minutes pass'rent dans un silen(e pesant.

Soudain, une (ouleur l%&'re apparut sur les s eF(lama"t"elle.Le petit prin(e ouvrit les yeuF et un sourire rapide passa sur ses

l'vres.8 Soya te devra la vie, /li(e, (ette vie mille ois plus pr%(ieuse !ue

sa (ouronne, dit 7arion dou(ement. n d%(ouvrant l %liFir de vie, tu as per(% le se(ret du talisman.

; +ui, mais < ai bien peur d avoir irr%m%diablement &D(h% (e


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de or(es pour !u on pMt le transporter sans dan&er. /li(e d%(ida dele ramener dire(tement (he elle, oJ Sarah l installa d autorit% dans la&rande (hambre d amis.

8 Huand


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La voiF de la servante se it soudain in!ui'te pour demander ?8 Hu est"(e !ue


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8 e voudrais tant ne pas !uitter (e pays ni mes (hers amis = > dit"ilave( tristesse, tandis !ue son re&ard allait d /li(e : ames oy, puisrevenait vers -ed, ess et 7arion. 8 /h = !ue ne puis"

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TABLE DES MATIRES

I. La bonne aventure 9II. Charmeurs et devins 16

III. Soya, le petit indien 24I . La visiteuse 34

. Le pi!ue"ni!ue 4#I. $ne %tran&e histoire 49

II. La maison du myst're 55III. Les se(rets 6)I*. +r et tur!uoises )*. -ouvelle %ni&me 2

*I. L in(endie 9#*II. /li(e sur la piste 99

*III. Le (ir!ue 0enner 1#5*I . a 1#9* . L enl'vement 115

* I. La trouvaille d /li(e 124* II. e(her(hes 13#

* III. -ouvelle disparition 136*I*. Le rende "vous 142**. Le petit prin(e 15#

**I. La u&itive 159**II. Le souterrain 164

**III. L %l%phant blan( 1)#

A !"# R$%/li(e oy est l h%ro ne des livres suivants ?

&$ ( # (# )$ *!# #+ A !./#0

1. /li(e d%te(tive ]Ghe se(ret o old do( ^ 193# 1959

1))


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55. /li(e et le se(ret du par(hemin ]Ghe stran&e messa&e in the par(hment^ 19))56. /li(e elles ma&i(iens ]Ghe triple hoaF^ 19)95). /li(e et le se(ret de la vieille dentelle ]Ghe se(ret in the old la(e^ 19 #5 . /li(e et la sou(oupe volante ]Ghe lyin& sau(er mystery^ 19 #59. /li(e et les 0ardy oys super"d%te(tives ]-an(y re and 0ardy oys super sleuths^19 #6#. /li(e (he le &rand (outurier ]Ghe t in dilemma^ 19 161. /li(e et la ba&ue du &ourou ]Ghe s ami s rin&^ 19 162. /li(e et la poup%e indienne ]Ghe a(hina doll mystery^ 19 163. /li(e et le symbole &re( ]Ghe &ree symbol mystery^ 19 164. /li(e et le t%moin prisonnier ]Ghe (aptive itness^ 19 165. /li(e : enise ]7ystery o the in&ed lion^ 19 266. /li(e et le mauvais pr%sa&e ]Ghe sinister omen^ 19 26). /li(e et le (heval vol% ] a(e a&ainst time^ 19 26 . /li(e et l an(re bris%e ]Ghe bro en an(hor^ 19 369. /li(e au (anyon des brumes ]Ghe mystery o misty (anyon^ 19)#. /li(e et le valet de pi!ue ]Ghe


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aniel vans ` ave vans T ob ddelton ` urt ddelton T ames oy ` Carson re T Sarah erny ` 0annah Uruen T C%(ile oy ` loise re . Commissaire Stevenson Commissaire 7(Uinnis

A !"# R$%/li(e oy est l h%ro ne des livres suivants ?

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1. /li(e : la r%serve des oiseauF ]Ghe double


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7arion Yebb ` Ueor&ia Ueor&e ayne T -ed -i( erson -ed -i( erson T aniel vans ` ave vans T ob ddelton ` urt ddelton T ames oy ` Carson re T Sarah erny ` 0annah Uruen T C%(ile oy ` loise re . Commissaire Stevenson Commissaire 7(Uinnis

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1. 264. /li(e et le dra&on de eu 19642. 2 2. /li(e et les plumes de paon 19653. 2 6. /li(e au Canada 19654. 291. /li(e au bal mas!u% 1965

5. 296. /li(e en (osse 19666. 3#6. /li(e et les (hats persans 1966). 314. /li(e %(uy're 1966

. 323. /li(e et la statue !ui parle 196)9. 32). /li(e au (amp des bi(hes 196)1#.34#. /li(e : Karis 19611.35#. Huand /li(e ren(ontre /li(e 196912.355. /li(e et le (orsaire 196913.365. /li(e et la pierre d onyF 19)#14.35). /li(e et le antNme 19)#15.3)5. /li(e au ran(h 19)116./li(e et le (handelier 19)11)./li(e auF Iles 0a a 19)21 ./li(e et les diamants 19)219./li(e d%te(tive 19)32#./li(e et le m%daillon dVor 19)321./li(e et les (ontrebandiers 19)322./li(e et les (haussons rou&es 19)523./li(e et les trois (le s 19)524./li(e et le pi( po( et 19)625./li(e et le vison 19)626./li(e et le libustier 19))2)./li(e et le manne!uin 19))2 ./li(e et la pantou le dVhermine 19)29./li(e et le (arnet vert 19)3#./li(e et le tiroir se(ret 19)931./li(e dans lVile au tr%sor 19)932./li(e et le pi&eon voya&eur 19 #33./li(e et le talisman d ivoire 19 #34./li(e au manoir hant% 19 1

]liste : (ompl%ter^A !"# R$%

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1. /li(e : Karis no 34# 1962. /li(e au bal mas!u% no 291 19653. /li(e au (amp des bi(hes no 32) 196)4. /li(e au Canada no 2 6 1965

5. /li(e au manoir hant% 19 16. /li(e au ran(h no 3)519)1). /li(e auF Iles 0a a 19)2

. /li(e dans lVile au tr%sor 19)99. /li(e d%te(tive 19)31#./li(e %(uy're no 314 196611./li(e en (osse no 296 196612./li(e et la pantou le dVhermine 19)13./li(e et la pierre d onyF no 365 19)#14./li(e et la statue !ui parle no 323 196)15./li(e et le (arnet vert 19)16./li(e et le (handelier 19)11)./li(e et le (orsaire no 355 19691 ./li(e et le dra&on de eu no 364 196419./li(e et le antNme no 35) 19)#2#./li(e et le libustier 19))21./li(e et le manne!uin 19))22./li(e et le m%daillon dVor 19)323./li(e et le pi( po( et 19)624./li(e et le pi&eon voya&eur 19 #25./li(e et le talisman d ivoire 19 #26./li(e et le tiroir se(ret 19)92)./li(e et le vison 19)62 ./li(e et les (hats persans no 3#6 196629./li(e et les (haussons rou&es 19)53#./li(e et les (ontrebandiers 19)331./li(e et les diamants 19)232./li(e et les plumes de paon no 2 2 196533./li(e et les trois (le s 19)534.Huand /li(e ren(ontre /li(e no 35# 1969

]liste : (ompl%ter

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caroline quine alice roy 13 ib alice et le talisman d'ivoire 1936

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