carnaval 2013 : cap sur le cap / olivier cheuwa et sa bonne nouvelle

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Carnaval 2013 : Cap sur le Cap / Olivier Cheuwa et sa bonne nouvelle

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Page 1: Carnaval 2013 : Cap sur le Cap / Olivier Cheuwa et sa bonne nouvelle
Page 2: Carnaval 2013 : Cap sur le Cap / Olivier Cheuwa et sa bonne nouvelle

2 10 janvier 2013No 776

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL

RÉDACTEUR EN CHEF

SECRÉTAIRE DE RÉDACTION Marie-Brunette B. MAINSOURGaëlle C. ALEXIS

RÉDACTIONJoël FANFANDimitry Nader ORISMAGilles FRESLET Daphney Valsaint MALANDREMyria CHARLESWinnie Hugot GABRIELTeddy Keser MOMBRUNElisée DÉCEMBREJunior Plésius LOUISPéguy Flore PIERRERaphaël FÉQUIÈREEnock NÉRÉLégupeterson ALEXANDRE

CORRECTIONJean-Philippe Étienne

CRÉATION ARTISTIQUEResponsable graphiqueRéginald GUSTAVEStevenson ESTÈVEPhotographesFrederick C. ALEXISHomère CARDICHONJules Bernard DELVAMoranvil MERCIDIEUYonel LOUIS

Publicité: 2941-4646 [email protected]

Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717

Une publication de Ticket Magazine S.A.

14 230FANS

Jeudi, Mikaben relance ses fans et les attend à Café 36, au 36 de la rue Clervaux. Ce sera un plaisir de chanter son nou-veau tube, « Ayiti se », en chœur. Vous découvrirez par la même occasion ce nouveau coin dans l’air de Pétionville. Dès 8 h p.m.

Si vous êtes en ville, faites un détour par l’Institut français, sur l’avenue Lamartinière. Racine Fierté donne une prestation! Roulements de tambour au rendez-vous. 7 h p.m.

Vendredi, dégustez les délicieux accras de Kay Atizan. Qu’est-ce qui vous empêcherait de prendre leur pina colada aussi ? Rien. Alors faites vous ce plaisir. Et si le rythme troubadour vous manque, vous serez servi. 43, rue Magny, Pétionville. 7 h p.m.

Samedi, L’Atmosphère Restaurant accueille Kayèl pour sa série nouvellement lancée, « Soirée Mecoustic » Une édition spéciale sera organisée en commémoration du 12 janvier. Autres artistes : Joel Akoustik, Simondy, Nikenson et Salah. HTG 500 à l’entrée. Les portes s’ouvrent à 8 h p.m. 38 64 31 32.

Au Coin du chef, à l’entrée El Rancho, un menu à votre goût : ratatouille ; lambi créole ; poulet djon-djon et calalou ; filet de bœuf ; gratiné d’artichaut ; gratiné de macaroni.

Péguy C. F. Pierre

L’agenda de PéguyOn est à quatre jours du 12 janvier. Cette date, qui l’a vécue et ne s’en souvient pas ? En mémoire de nos disparus, commémorons et continuons à vivre. Il le faut bien. Découvrez les nouvelles places où se distraire dans la ville, les nouveaux menus ; recueillez-vous ou faites la fête en levant vos verres en souvenir de vos bien-aimés… mais ne tremblez plus.

super star maker.Concernant ce sujet, Edersse Stanis

est resté injoignable.

Klass en Haïti « soon »Malgré la présence en Haïti de

plusieurs formations musicales de la diaspora pour des tournees de fin d’an-née et du nouvel an, la bande à Richie n’a pas su en profiter pour lier connaissance avec public haïtien qui n’a encore ni vu, ni dansé Klass. Cependant, le batteur annonce que Klass sera en Haïti sous peu. « Nous serons au pays pour les gran-des vacances 2013… et peut-être bien avant », a annoncé Richie.

L’album de Klass « soon »En ce qui a trait au premier album

studio de Klass, Richie a fait savoir que l’opus sera publié dans deux mois. Il n’y a pas encore de titre pour le CD, mais le maestro nous confie qu’il comportera environ onze morceaux. Par ailleurs, c’est Klass et Lolange Eristan de ACP Produc-tions qui coproduiront cet album très attendu.

Gilles Freslet ([email protected])

Richie confirmela présence de Pipo à Klass

Si après son départ de Nu-Look, et malgré toutes les rumeurs, le chanteur Edersse Stanis (Pipo) avait

démenti qu’il n’avait pas intégré Klass,

le mercredi 9 janvier 2013, c’est Jean Hérard Richard, ‘’Professeur Richie’’, qui nous a confirmé la nouvelle. « Oui, Pipo fait partie de Klass », a déclaré à Ticket la

Dix ans après « Mèsi Papa », la grande chorale Teknon Vox a présenté son deuxième album, «Tout se pou ou », au Villate, lors de sa traditionnelle soirée de 2 janvier. Le premier concert de l’année 2013, un filon pour augurer une année fructueuse. Jean Marie Papin, Déborah Henristal, gagnante de « Soleil d’Eté », sont entre autres artistes qui ont contri-bué à faire de cette soirée vente-signa-ture un succès.

C’était la quatorzième édition de ce concert annuel. Une occasion convena-ble pour présenter ce deuxième album qu’animateurs et supporters de Teknon Vox lui réclament depuis près d’une décennie. « Problèmes économiques », pour expliquer ce retard, ou encore cet écart entre le premier et le deuxième album, nous confie le maestro de la chorale, Joseph Pierre. Est-ce pourquoi cette soirée était-elle spéciale ? Le décor,

Teknon Voxenfin un deuxième album

les morceaux choisis, les costumes, tout était spécial…

La fête a débuté sous des notes de jazz avec John Bern et son band. Jean-Marie Papin, rentré spécialement pour l’événement après environ cinq ans d’absence du pays, a interprété ses hits comme « Vire gade m », « Kanpe pou Jezi », « Leve Jezi pi wo »… agrémentés d’un émouvant témoignage sur sa vie. Le chanteur, rappeur et réalisateur a assuré en vraie bête de scène. Mais le clou de la soirée était sans conteste la prodigieuse Déborah. La gagnante de la quatrième édition de Soleil d’Eté a électrisé la salle bondée avec sa voix, mais surtout son charisme d’artiste confirmé. Trois mor-ceaux ont suffi.

Une soirée clôturée par la chorale or-ganisatrice, Teknon Vox (en français, ‘’Voix des enfants de Dieu’’), avec une séance d’interprétation non-stop de titres figu-rant dans leur nouvel album, achevée par un medley fait avec des titres très connus sur leur premier album. Le succès de ce concert était évident. Leur album est à explorer. Un mélange de yanvalou, de jazz et de gospel. Le prochain rendez-vous avec la chorale c’est pour le 14 fé-vrier 2013, pour célébrer l’amour… mais aussi son vingtième anniversaire.

Joël Fanfan

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310 janvier 2013No 776

Avec un thème pas original, trop long et qui semble pensé à la va-vite, le coup d’envoi du carnaval 2013 est officielle-ment donné. Le ministre de la Culture, Jean Mario Dupuy, au cours d’une confé-rence donnée mercredi matin dans la salle de presse du ministère, au Champs de Mars, a présenté le comité qui orga-nisera le carnaval national qui se tiendra cette année au Cap-Haïtien. Le ministre a aussi dévoilé le thème sous lequel se tiendra ces festivités : « An n’ pote kole ; yon Ayisyen, yon pye bwa ».

Le Cap-Haïtien (nord du pays) ac-cueillera le carnaval national 2013. La décision vient du président de la Répu-blique, et elle s’inscrit dans le cadre des activités de décentralisation des biens et richesses tant rêvée par Michel Joseph Martelly, notre président. Port-au-Prince, la capitale économique du pays, devient le berceau du carnaval des Fleurs qui se tient désormais chaque été. Si cette décision a été décriée l’année dernière, elle semble ne pas avoir trop dérangé les Port-au-princiens aujourd’hui.

Les créateurs artistiques et groupes musicaux qui présenteront leurs créa-tions afin de participer les 10, 11 et 12 février prochains au défilé doivent tenir compte du thème principal présenté par le ministre Dupuy. Le responsable des activités culturelles du gouvernement a, avant de dévoiler le thème national, pris le temps d’étaler l’importance de ce choix qui va vers le dynamisme de reboisement et de la protection de l’en-vironnement du pouvoir en place. Toutes

Carnaval 2013 Cap sur le Cap

les productions artistiques se tourneront autour de « An n’ pote kole ; yon Ayisyen, yon pye bwa », thème national ; et « Istwa n’ se idantite n’ », thème régional proposé par le comité du Cap.

Le ministre de la Culture, Jean Mario Dupuy, qui n’a de cesse cité le président Martelly, a fait la présentation officielle du comité créé par arrêté présidentiel du 8 janvier. Chargé de l’organisation des festivités dans la métropole du Nord, ce comité comporte Jean Mario Dupuy, pré-sident d’honneur ; Stéphanie Villedrouin, vice-président d’honneur ; Gilbert Bailly, représentant de la chambre du Com-merce et de l’Industrie d’Haïti, président; Stefan Malebranche, du ministère de la Culture, vice-président ; Josette Dargus-te, du ministère du Tourisme, secrétaire générale ; Claudel Dumas, de la Cham-bre de Commerce et d’Industrie d’Haïti, trésorier ; Jean Karlot Fontin, du minis-tère de la Culture, trésorier ; Elsa Baussan Noël, représentante de la Primature et de la présidence, conseillère spéciale ; Shela Mossanto-Basile, du ministère de la Communication, membre ; Philipe Cinéas, du ministère des Travaux publics, Transports, Energie et Communication, membre ; Fritz Joachim, du ministère de la Justice et de la Sécurité publique, membre ; Marie Lourdes Trott, mairesse de la commune du Cap-Haïtien, membre; Ardouin Zéphyrin, délégué départemen-tal du Nord, membre ; et en fin de liste on retrouve Jessie Alkhal, manager du grou-pe T-Vice ; Lunise Morse, chanteuse du groupe RAM ; et Albert Chancy, directeur

de la radio-télé Superstar, représentants de la présidence à titre de membres.

Les organisateurs ont jugé bon de regrouper des représentants d’insti-tutions publiques et privées du Nord au sein d’un comité régional. Ainsi, on retrouve Nonce Zéphir à titre de prési-dent; Dieudonné L. Etienne, vice-prési-dente ; Jean-Bernard Simonnet, trésorier; Philippe Zéphir, conseiller ; Ardouin Zéphirin, conseiller ; Kesnel Pierre (PNH), conseiller; Rhoddy Attilus, conseiller,

Bernadin Pierre Joseph, conseiller. Les membres du comité sont aussi respon-sables de onze sous-commissions, piliers du succès de l’évènement : marketing et relations publiques, sécurité, logistique, artistique et culturelle, travaux publics, communication, etc.

Le président du comité régional représente une population enchantée, qui compte faire autant, voire mieux que les Cayes l’année dernière. Des travaux d’assainissement, d’agrandissement de certaines artères de la ville permettront de faciliter la circulation sur le parcours qui s’étendra sur 1,8 ou 2 kilomètres selon Nonce Zéphir, qui n’a pas voulu identifier les rues qui seront à l’honneur.

La ville du Cap se prépare à accueillir plus d’un million de personnes durant la période que durera le carnaval toujours selon Nonce Zéphir. Le comité régional fait le recensement des espaces aptes à héberger les visiteurs, et rien ne sera laissé au hasard. La sécurité routière sera renforcée sur la route nationale #2 afin d’éviter tout incident. Le grand Nord compte profiter pleinement de cette oc-casion, il canalisera les visiteurs locaux et internationaux vers les sites touristiques de la région. Déjà, des éloges pleuvent sur les plages de Labadie, le palais Sans-Soucis, la Citadelle Laferrière, l’université de Limonade et le centre industriel de Caracol, entre autres.

Pour le ministre Jean Mario Dupuy, le carnaval national 2013 sera une grande ouverture économique pour le Nord. Il permettra à de préalables investisseurs de voire les possibilités d’investissements dans la zone. Ce processus, qui conti-nuera d’une province à l’autre à chaque année, semble être, pour le gouverne-ment en place, un moyen sûr de canaliser de l’argent dans les projets de dévelop-pement locaux.

Les organisateurs promettent d’autres rencontres avec la presse, d’où sortiront des informations sur le budget, les ban-des à pied et les groupes retenus popur le parcours.

Plésius Junior LOUIS (JPL 109)[email protected]

Gilbert Bailly, Mario Dupuy et Nonce Zéphir

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4 10 janvier 2013No 776

Déjà un an depuis que Yvetot et Isabelle Goin, Gilbert Chrisphonte, Karl Honoré et Jean-Philippe Argant se sont lancés dans l’aventure Garden Studio ! On revient alors à décembre 2011 et l’idée initiale est de mettre sur pied un espace de production spécialisé dans la réalisation de documentaires, publicités, vidéos et autres. Par la suite, le staff de ce qui n’allait pas tarder à devenir un des endroits les plus prisés de Pétion-ville a pensé à intégrer un lounge dans ce même espace en vue de permettre à leurs clients de socialiser.

Garden Studio a longtemps travaillé pour des firmes étrangères, mais depuis un certain temps, la compagnie s’investit un petit peu plus sur le marché local. Toutefois, elle tient à choisir ses clients en fonction de leurs affinités. Comme réali-sations locales, on retiendra entre autres le clip de « Ayiti Chérie » de la chanteuse guadeloupéenne Stevy Mahy et la vidéo à succès de « Ayiti Se » de Mikaben. La compagnie a aussi réalisé des publicités pour Voilà et Tampico.

Parallèlement, au cours de cette année d’existence, le podium de Gar-den Studio a aussi reçu de nombreux artistes dont Tifane, Stevy Mahy, BélO, James Germain, MikaBen, Jean-Bernard Thomas, Yohann Doré, Kephny et Ram. Garden Studio se veut aussi un espace

a 1anoù l’on peut s’arrêter pour se récréer, prendre un verre ou voir des amis en fin d’après-midi. Pendant les périodes d’évè-nements sportifs ou de grande envergu-re, le site est aussi très visité. « On a reçu à peu près cinq cents personnes lors de la finale du Superbowl », raconte Yvetot, encore satisfait de ce succès.

Des activités diverses sont aussi orga-nisées dans l’espace en vue de satisfaire un public de tous genres. Ainsi, les chan-teurs en herbe peuvent enfin avoir leur moment de gloire au cours des soirées Karaoké organisées tous les mardis. Les amateurs de musiques latines sont servis les mercredis soir lors des « Salsa night ». Des soirées acoustiques sont organisées chaque deux jeudis. Pour ce qui est des nostalgiques des salles obscures, Garden Studio leur offre au moins deux diman-ches par mois un movie night.

Situé dans les hauteurs de Pétionville, Garden Studio s’érige en cadre agréable où l’on peut se retrouver en fin d’après-midi. Que ce soit pour regarder un match, assister à la prestation d’un artiste ou tout simplement être entre amis, l’espace ouvert de Garden Studio semble tout indiqué, alors sauf en cas de pluie !

Daphney Valsaint Malandre

GARDEN STUDIO

Olivier Cheuwaet sa bonne nouvelle

Lui aussi, il venait de loin. Il a fait un long voyage depuis la Suisse où il vit pour nous retrouver. Deux jours de vol pour deux concerts. Le chanteur canadien d’origine camerounaise était sur deux affiches. L’une pour le Centre sportif de Carrefour ; l’autre, à Le Villate, respectivement les 22 et 23 décembre dernier, à l’ini-tiative de l’église Famille Tabernacle de Louange (FTL) dirigée par le pasteur Jean Heder Petit-Frère, en collaboration avec Allé-luia Production. C’était sa deuxième visite au pays. La première remonte à 1998, où il accompagnait Maggy Blanchard dans le cadre d’une mission humanitaire. Cette fois, Olivier était venu chanter la gloire de Dieu, partageant la scène avec le groupe Alléluia qui signait son deuxième album studio, « Il est tout pour moi ». Le grand-monde n’était pas au rendez-vous, mais le chan-teur-compositeur-producteur s’est réjoui de son passage éclair en Haïti et, comme il l’a confié à Ticket après le concert au Villate, il est parti avec l’envie de revenir.

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510 janvier 2013No 776

LITTERATURE RencontreAvec Laurent Gaudé, romancier et dramaturge - Prix Gongourt 2004

Né à Paris en 1972, Laurent Gaudé fait des études de lettres avant de se lancer dans l’écriture dramatique. Sa première pièce, Combat de possédés, paraît en 1999 et est jouée en Allemagne et lue au Royal National Theatre de Londres. Il est l’auteur de nombreuses pièces, comme Le Tigre bleu de l’Euphrate ou Pluie de cendres. En 2002, son deuxième roman, La mort du roi Tsongor, lui vaut d’être cité pour le prix Goncourt et est récompensé par le Prix Goncourt des Lycéens et le Prix des Libraires. Deux ans plus tard, Le Soleil des Scorta, véritable saga familiale dans l’Italie du Sud à la fin du XIXe siècle, remporte le Prix Goncourt et sera traduit dans trente quatre pays.

Son dernier roman s’intitule Pour seul cortège. (Actes Sud - 2012)

Lundi 14 janvier - 7h pm - IFH - Entrée libre

PHOTOGRAPHIE Cycle Haïti à l’imageRencontre avec Benjamin Struelens Suvi d’une animation musicale par Abijazz

Benjamin Strulens est un photographe-voyageur belge. En 2011, suite au projet d’échange artistique Haïti : entre images et mots où de jeunes artistes belges et haï-tiens ont pu s’exprimer à travers plusieurs médias mis en commun et à la parution de son livre de photographie Haïti Kenbe, il présentera son travail à l’IFH du mardi 8 au vendredi 25 janvier. Il sera accompagné de l’artiste Abijazz.

Labdias Chéry, alias, Abijazz, est un jeune auteur, compositeur et interprète qui a participé au projet « Haïti : entre images et mots » monté par le photographe belge Benjamin Struelens, en juillet 2011, avec des artistes haïtiens et de la Communauté française de Belgique. Abijazz s’adonne à l’écriture de quelques chansons et prépare la sortie de son premier album.

Exposition photos de Benjamin StruelensDu mardi 8 au vendredi 25 janvier - Entrée libreMardi 15 janvier - 5h pm - IFH - Entrée libre

CINEMA Cycle Haïti à l’imageTwa Timoun réalisé par Jonas d’Adesky Avec Jules Vitaleme, Sima Mickenson et Pierre Jean Mary. Fiction - Belgique, Haïti. 82 min. Créole Projection en présence du réalisateur

Vitaleme, Pierre et Mickenson, douze ans, vivent dans un internat, à Port-au-Prince. Vitaleme, obsédé par ses souvenirs d’enfant en domesticité, cherche à convaincre ses deux amis de quitter l’internat pour vivre libre. Suite au séisme, ils partent tous les trois dans les rues. Vivant de menus larcins, ils organisent peu à peu leur nouvelle vie. Mais un accident survient un jour, séparant Vitaleme de ses deux amis?

Jonas d’Adesky est diplômé en réalisation cinéma à l’Institut des arts de diffusion (IAD) depuis 2010. Il est également sociologue et scénariste. Il a écrit et réalisé plu-sieurs documentaires et courts-métrages dont Nuit Blanche, sélectionné au Festival international du film indépendant de Bruxelles. En 2011, il reçoit le prix de la Fonda-tion belge de la vocation, dans la catégorie cinéma. Twa Timoun, son premier long métrage, a été sélectionné dans la compétition officiel du Festival du film de Toronto, édition 2012.

www.facebook.com/3timoun

Soutiens : du Tax Shelter du gouvernement belge et de FILMIK, du Centre du cinéma et de l’audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de VOO

Mardi 15 janvier - 7h pm - IFH - Entrée libre

CINEMA Cycle Haïti à l’imageDes Pierres Brisées réalisé par Guetty Felin Documentaire, France / Etats-Unis / Haïti, 2011, 61 min, Avant première haïtienne - Projection en présence de la réalisatrice

Guetty Felin, la réalisatrice du documentaire Broken Stones / Des Pierres Brisées, pose sa caméra dans le plus ancien quartier de Port-au-Prince, mais aussi le plus dé-vasté par le tremblement de terre de janvier 2010, le Quartier Cathédrale. Elle filme le quotidien des habitants évoluant parmi le dédale des ruines et vestiges de ce qui fut, autrefois, l’imposante cathédrale devenue, pour l’heure, un amphithéâtre surréaliste, témoin de la condition de vie des Haïtiens du quartier.

Co-produit par Enfin Bref Productions et BelleMoon Productions, Des Pierres bri-sées a reçu le Grand Prix du Meilleur Documentaire du Festival International du Belize en 2012 et le Prix Spécial du Jury au festival Trinidad et Tobago.

Réalisatrice indépendante confirmée, Guetty Felin est née à Port-au-Prince, a passé son enfance à New-York puis s’est installée à Paris. Très attachée à ses origines, elle a initié en 2004 avec Michèle Stephenson le programme culturel « Haïti on screen », qui a permis au public de (re)découvrir les films qui ont marqué l’histoire du cinéma haïtien. Après une inauguration à New-York, il a été présenté à Paris dans le cadre du festival Haïti en Scène puis au FESPACO au Burkina Faso. Guetty Felin a également participé à la création du Festival du Film de Jacmel en 2004 et a co-fondé le Collec-tif 2004Images, une association pour la promotion de la culture haïtienne à travers l’audiovisuel et le cinéma.

Lien vers bande annonce : http://www.youtube.com

Mercredi 16 janvier - 7h pm - IFH - Entrée libre

Agenda de l’Institut Français d’Haïti du 14 au 20 Janvier 2013

Jusqu’à ce qu’il vienne en Haïti récemment, le nom d’Olivier Cheuwa était moins connu du public évangéli-que haïtien que ses chansons. En effet, des titres comme ‘’Dieu tout-puissant’’, ‘’Persévère’’, ‘’Je te donne tout’’, figurant dans « Nouveau départ », le premier album de l’artiste, tournent en boucle dans différentes émissions évangéliques ici en Haïti depuis plus de trois ans. On écoutait Olivier, on chantait ses chan-sons sans le connaître vraiment. Il faut le reconnaitre, sa popularité en Haïti est en construction. Cependant, c’est l’un des artistes francophones les plus prisés actuellement en Europe, au Canada et certains pays de l’Afrique. Olivier fait de la musique urbaine, plus particulièrement un mélange de soul et de R&B. Dans ce même registre on retrouve également Marc Antoine, Gage, des Canadiens d’ori-gine haïtienne, et pourquoi pas Corneille. Mais Olivier, lui, a son style propre.

Né au Cameroun, le chanteur a migré au Canada à l’âge de 16 ans, en 1992, pour poursuivre ses études et réaliser le rêve de ses parents qui voulaient qu’il devienne technicien médical. Mais deux ans après son arrivée au Québec, il a pa-rallèlement découvert sa passion pour la musique. Il a été influencé par des artis-tes comme Steve Wonder, les Boyz2Men, Eric Clapton, mais il a développé son propre style. Après la mort de son père, le jeune artiste avait besoin de repères.

aujourd’hui pour découvrir un peu. Il y a de cela quatorze ans, j’étais venu et je ne connaissais pas vraiment la réalité musi-cale. Je ne faisais même pas la musique. Là je suis venu dans une autre optique. Donc ce sont des choses à considérer pour la prochaine fois.

Tes projets…C’est éventuellement préparer

d’autres chants inspirés de tous ces voya-ges. Je prie Dieu qu’il m’inspire encore d’autres chansons qui parleront et en-courageront les gens. Pour des concerts je serai en Suisse, à l’Ile de La Réunion, au Madagascar, en France, en Belgique...

Un message spécial pour les Haï-tiens, pour les musiciens chrétiens et pour les fans.

Pour Haïti, moi je dirais « Ayiti Tchenbe rèd, pa lage » ; vous connais-sez cette expression-là. Mais aussi de prendre conscience. Il faut vraiment prendre conscience de la valeur qu’on a. Souvent on oublie ses richesses. Il faut se dire ‘’oui’’, il y a des choses possibles. Dieu peut nous permettre de tourner des situations difficiles à notre avan-tage. C’est ce qui va se passer quand les Haïtiens vont changer de mentalité et comprendre qu’une nouvelle Haïti est possible. Pour ceux qui se lancent dans la musique, je sais que c’est un chemin qui n’est pas facile. C’est beaucoup de

travail. Il ne faut pas juste voir le côté « je me mets sur la scène, les gens aiment ma musique » ; il y a aussi « pourquoi on le fait ? quelles sont ses motivations ? ». Il faut vraiment prendre le temps de met-tre les choses en place pour qu’il n’y ait pas de frustration des fois. Pour les fans je dis : continuez d’encourager, venez aux concerts !

Joël Fanfan

Olivier Cheuwaet sa bonne nouvelle

La musique a été un moyen de noyer sa peine. Participant aux premières de Maggie Blanchard en 2004, en Belgique, France, Martinique, Guadeloupe, Olivier a conquis les foules, ce qui donne un autre tournant à sa carrière. Au courant de la même année, il gagne le concours Hip-hop 4ever pour la catégorie R&B et remporte le prix de l’artiste émergent de l’année à la troisième édition du Vibe Awards à Toronto. Et depuis 2005, homme de scène, il donne des concerts en France, en Suisse, Martinique, Gua-deloupe et Tahiti. Olivier Cheuwa a deux albums à son actif : « Nouveau départ », qui a remporté le prix de meilleur album francophone en 2005 au Canadian Gos-pel Music Awards ; et « Mon idéal ».

Après le concert au Villate, entre séance-photos et autographes, Olivier Cheuwa a répondu aux questions de Ticket.

Tu es venu et tu as fait connais-sance avec le milieu chrétien haïtien. Tu envisages un plan plus large de promotion pour Haïti ?

Un plan promo, ça serait de venir sur place un peu beaucoup plus longtemps, rencontrer les radios, faire une grande campagne de promotion, voire faire même un showcase, histoire de me faire découvrir. Ce sont des choses à envisa-ger ; je prends en note. Je suis revenu

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Jeudi 10 janvier 20136

Premier quadruple Ballon d’Or, Leo Messi a réussi là où Cruyff, Platini et van Basten avaient échoué avant lui. Leur troisième sacre fut leur chant du cygne.

Le propre des êtres d’exception, c’est de s’isoler. Après avoir décroché son quatrième Ballon d’Or lundi à Zurich, Lionel Messi

nage désormais dans la solitude la plus absolue. On n’ouvrira pas ici le débat pour savoir s’il est le meilleur joueur de l’histoire ou non. Ce qui est certain, c’est que le lutin argentin du FC Barcelone est à présent le roi de la plus haute distinction footballistique individuelle. Quatre titres, c’est une grande première. Jusqu’ici, les grands seigneurs du Ballon d’Or s’étaient, au mieux, arrêtés à trois couronnes. L’an passé, Messi avait rejoint Johan Cruyff, Michel Platini et Marco van Basten dans ce cercle très fermé. Lundi, il a ouvert son propre club, dont il est l’unique membre, au moins pour un bon petit moment. Il a donc réussi là où les trois mythes pré-cités avaient échoué.

De nombreux commentaires estimaient lundi soir que si la "Pulga de la Pampa" a pu quadrupler la mise au contraire de ses illustres prédéces-seurs, c’est notamment parce qu’elle bénéficie du nouveau règlement. Celui-ci fait moins la part belle au pal-marès de l’année et se focalise davan-tage sur la notion de meilleur joueur. Avec l’ancien système de vote, Messi n’aurait ainsi probablement pas eu le Ballon d’Or en 2010. Mais il convient de relativiser l’impact du règlement sur les votants, qu’il concerne les journalistes, seuls membres du panel jusqu’en 2009, ou les sélectionneurs et les capitaines des sélections, qui forment à présent le corps électoral avec les médias, chacun pesant pour un tiers. Par le passé, il est ainsi fré-quemment arrivé que les titres acquis passent au second plan derrière les performances pures de l’individu. Malgré le règlement. Les exemples sont légions.

L'argument marginal du règlement

Parmi les plus éloquents, deux concernent d’ailleurs directement des triples Ballons d’Or. En 1992, Marco van Basten ne dut qu’à l’impression laissée par son quadruplé face à Goeteborg en Ligue des champions au moins de novembre de coiffer le malheureux Hirsto Stoichkov, lauréat de la C1 avec le Barça au printemps. Allez expliquer au Bulgare que le palmarès était privilégié à l’heure des choix… Plus éloquent encore, l’édi-tion 1974. Vainqueur de la Coupe des champions : le Bayern de Franz

Beckenbauer. Vainqueur de la Coupe du monde : la R.F.A. de Franz Becken-bauer. Ballon d’or ? Franz… pardon, Johan Cruyff. Edifiant, non ? Ceux qui reprochent aujourd’hui à Messi de gagner malgré un palmarès annuel parfois inférieur à ses poursuivants (Sneijder ou Iniesta en 2010, Iniesta et à un degré moindre Cristiano Ronaldo cette année) oublient parfois un peu vite que d’autres grands joueurs ont bénéficié des mêmes circonstances par le passé alors même que, selon les critères d’élection, ils auraient dû être pénalisés.

Par ailleurs, on peut aussi estimer que le mérite de Messi est plus grand que celui de ses prédécesseurs, qui n’avaient qu’à mener une bagarre continentale et non planétaire comme c’est le cas aujourd’hui. La question du règlement est donc, globalement, un faux problème. Messi n’est pas la conséquence d’un ordre de priorités dans un cahier des charges, que beau-coup mettent de côté au moment de voter pour laisser parler leurs convic-tions et leur instinct. Comme avant. Ce serait réducteur que de l’asséner et erroné de le croire. Il est, d’abord, le fruit de son propre talent, unique, et de ses statistiques personnelles, affolantes.

Précoce et durableSi son hégémonie se prolonge plus

loin que celle d’un Cruyff, d’un Platini ou d’un van Basten, c’est aussi parce qu’elle a été beaucoup plus précoce. Marco van Basten a décroché son

troisième Ballon d’or à 28 ans. Cruyff à 27. Michel Platini, lui, avait 28 ans lorsqu’il a inscrit son nom au palma-rès… pour la première fois. Messi en affichait 24 l’an dernier lorsqu’il a coiffé sa troisième couronne. Il avait

Ballon d’or

Messi, briseur de barrièreencore tout l’avenir devant lui. Van Basten, lui, n’a plus jamais été en mesure de briguer un quatrième titre. 1992 fut son chant du cygne. Cheville en vrac, il disparaitrait à moins de 29 ans, disputant son dernier match au plus haut niveau en mai 1993, lors de la finale de Coupe d'Europe perdue par le Milan face à Marseille. Platini, après son triplé de 1983 à 1985, a connu un déclin progressif, dû pour une bonne part à des pépins physi-ques puis à une lassitude mentale. Lors du Mundial mexicain 1986, il était déjà loin de son meilleur niveau. Un an après, il était à la retraite.

Reste Cruyff. Le seul qui aurait po-tentiellement pu étoffer son palmarès. En 1975, le révolutionnaire orange était encore sur le podium du Ballon d’or. Loin, toutefois, d’Oleg Blokhine, qui avait fait l’unanimité (122 points sur 130 possibles). Par la suite, il n’a plus jamais été un véritable candidat, malgré quelques places d’honneur en 1976 (7e) et 1977 (5e). Conclusion, pour passer le cap des trois victoires, il faut à la fois commencer très tôt et savoir durer. Messi est le seul à cumu-ler ces deux atouts. Il a fallu attendre plus d’un demi-siècle pour connaitre un quadruple Ballon d’or. Messi vient de briser une barrière. Désormais, il peut repousser ses propres limites. Après tout, il n’a encore que 25 ans, là où l’âge moyen du vainqueur du ballon d’Or est de quasiment 27 ans. L’Argentin a déjà écrit l’Histoire. Pas sûr qu’il soit à court de quelques cha-pitres supplémentaires.

Page 7: Carnaval 2013 : Cap sur le Cap / Olivier Cheuwa et sa bonne nouvelle

Jeudi 10 janvier 2013 7

Le onze national de l’année 2012selon notre photographe Yonel Louis

Invité par une association de sport militant dans le domaine de l'éducation physique et sportive, Kénol Léveillé séjourne depuis novembre 2012 à Miami (Floride) où il est en train de suivre une formation dans le domaine du cardio-vsculaire.

" Pitit tig ap toujou rete tig ", dit toujours ce vieux dicton dans notre langue vernaculaire. Kénol Léveillé, fils de l'ancien coureur,

puis entraîneur et aujourd'hui actuel président de la Fédération Haïtienne de Cyclisme (FHC), est en train de préparer son avenir comme expert ins-tructeur au niveau de cette discipline.

Après avoir subi un stage d'une durée de deux mois en Suisse en 2011, le Directeur Technique National de la FHC est en train de maintenir le mouvement avec cette fois-ci un

voyage en Amérique du Nord pour participer à une formation des cadres technique.

De passage en Haïti à l'occasion de la course au Soleil où la Fédération avait profité pour délivrer des distinc-tions honneur et mérite aux anciennes gloires du cycliste haïtien, Kénol Léveillé nous a fait part de son projet visant à la restructuration des cadres techniques du cyclisme haïtienn.

Son grand souci et objectif est l'élaboration d'un plan quinquénal pour le développement et et le plein épanouissement de la pratique de cette discipline à l'échelle nationale.

Sitôt terminé avec cette forma-tion, il entend se mettre également à disposition des autres fédérations et associations sportives intéressées justement dans le domaine du cardio-vasculaire.

Quand on sait qu'ils ne sont pas beaucoup ceux ou celles militant dans ce domaine, Kénol Léveillé va se voir dans l'obligation de travailler à l'émer-gence d'une génération d''entraîneurs et moniteurs capables de travailler avec nos athlètes en prévision des grands rendez-vous à honorer sur le plan international.

" Avoir une FHC beaucoup plus dynamique avec bien sur la participa-tion très active du ministère des Sports et le Comité Olympique Haïtien, une parfaite collaboration et ceci sans hypocrisie aucune dans la famille sportive etc... ", tels sont les voeux de Kénol Léveillé pour la nouvelle année où le cyclisme haïtien sera très sollicité sur le plan national et international.

Après avoir couru à une certaine époque au sein du club cycliste Aigle Rouge, Kénol Léveillé a participé à de nombreuses formations comme entraîneur pour finalement être nommé comme Directeur Technique National de la Fédération Haïtienne de Cyclisme

Emmanuel Bellevue/[email protected]

CyClisme /formation

Kénol Leveillé en stage à Miami

Kénol leveillé

C.Ronaldo dépasse Piri

Finalement, la non obtention du Ballon d’Or FIFA n’a pas trop gêné Cristiano Ronaldo. Seule-ment 48 heures après cette céré-monie durant laquelle il a vu son rival Lionel Messi le priver une nouvelle fois du plus prestigieux des trophées individuels, le Portu-gais s’est illustré brillemment sur le terrain. A l’occasion du match re-tour des 8e de finale de la Copa del Rey face au Celta Vigo, il a marqué deux buts. Ses 172 et 173e avec le Real (dont 96 à Bernabeu). Il de-vient désormais le 7e meilleur de l’histoire du club devant un certain Pirri. 13 de ses réalisations ont été réussies en Coupe Nationale, 128 en championnat, 29 en Ligue des Champions et trois en Supercoupe d’Espagne.

sur tous les terrains du football national, notre reporter photographe yonel louis suit de près les performances des sélectionnés haïtiens dans leur club. il nous signe ce montage qui reflèterait selon lui le onze national-type de l’année 2012 (Photo : yonel louis)

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onze national type de l’année 2012

Page 8: Carnaval 2013 : Cap sur le Cap / Olivier Cheuwa et sa bonne nouvelle

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Pour toutes suggestions écrivez-nous à [email protected] Production

JEUX - 54

SOLUTION JEUX - 53

SUDOKU

CARRÉ MYSTÈREA : AGERATUM

B : ASPERGER

C : PRINCIPE

D : ÉCRIVAIN

MOTS CACHÉS

Mannequin

Le jeu consiste à replacer les pastilles octogonales dans les emplacements vides de manière à former des mots en lisant dans le sens des aiguilles d’une montre, en commençant par la première pastille en haut. Le premier mot est déjà en place, il suffit de compléter les autres. Il y a des définitions pour vous aider à identifier chaque mot.

MOZAIC

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A : Se dit d’une personne, d’un groupe qui respecte la liberté d’autrui.B : Poisson vivant dans le lac de Neuchâtel.C : De l’Allemagne.D : Pierre fine gravée en creux.E : Je t’interdis de faire cela envers moi ou de répliquer.

Le jeu consiste à faire des additions pour arriver au résultat donné. On commence par la case supérieure gauche pour se rendre à la case inférieure droite (les cases sont toutes les deux encerclées). Il n’est pas obligatoire d’utiliser toutes les cases pour l’addition. Cependant, il ne faut jamais utiliser deux fois la même case et il faut se déplacer d’une case à l’autre en ligne droite et non en diagonale.

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Une grille de Sudoku se compose de 81 cases regroupées en 9 blocs de 9 cases. Place un chiffre de 1 à 9 dans chaque case vide. Chaque ligne, chaque colonne et chaque boîte 3x3 délimitée par un trait plus épais doivent contenir les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffre apparait donc une seule fois dans une ligne, dans une colonne et dans une boîte 3x3. Quelques chiffres ont été placés pour vous aider.

SUDOKU

MOZAIC

LABYRINTHE DE NOMBRES

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PYRAMIDE

Complétez la pyramide avec les nombres manquants. Chaque brique contient la somme des deux cases situées en dessous de celle-ci.

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CARRÉ MYSTÈRE

Découvrez la valeur de chacun des symboles. Les chriffres correspondent au total de chacune des rangées et des colonnes.

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Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les sept lettres restantes autrement : chronique, journal, revue ou quotidien.

MOTS CACHÉS

ABATIS BIQUETTE IMAGE PARQUETABRASIF BOSSETTE INCUBER POURVOIRABRUTIR CANIN INGÉNU RAISINETACCRUE CÉDER INVENDU REMPLIAGILE COERCITIF ISTHME SABLEAGITÉ CORRIGEUR JOUTER SAISIAIDER COSTARD LAZZI SALUBREALÈNE DIRECT MARIN SAMBAALÈSE ÉCOLE MULETA SÉPIAALLÉGUER EFFETS NAVRE SERINANNAL ÉMACIÉE NEVEU SIROPATLAS ÉMAUX NŒUD SOUPEBARIL ERGOT OCCIRE VICTIMEBICEPS FERME OFFICESBIENNAL GEMME ONCLE

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