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P. 10 Le Bulletin d’informations et d’analyses au service de l’immigration au Canada 48 ème parution Le prix des choses P. 21 Canada P. 19 à 20 Acheter des tablettes et ordinateurs portables au québec vous avez des propositions de prix de quelques tablettes et ordinateurs portables au québec. P. 16 P. 2 à 4 Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) a changé le sens de la notion « d’enfant à charge » telle qu’employée jusqu’alors dans la procédure d’immigration pour le Canada. sondAge mondiAl réAlisé pAr lA firme ernsT And Young Comment le progrès technologique crée aujourd’hui de l’emploi au Canada hAbiTATions Des logements moins chers dans plusieurs villes du Québec procédure d’immigrATion Des Changements apportés à la définition d’enfant à charge récenTe enquêTe sur lA populATion AcTive (epA) 42 000 emplois créés au Canada en juillet 2014 La forte demande de main-d’œuvre rime avec d’excellents salaires au Québec Technologues en élecTronique indusTrielle Le meilleur canal pour réussir son immigration P. 6 à 7 P. 10 P. 13 P. 9 P. 5 secteur de la construction Des régions éloignées du Québec drainent de nombreux travailleurs Au Québec, l’enseignement primaire public contrairement à celui du privé est gratuit pour tous, y compris les enfants d’immigrants (...). Selon la Loi sur l’instruction publique et le Régime pédagogique établi par le gou- vernement québécois en vertu de l’article 447, qu'ils aient fait leur maternelle ou pas, tous les enfants de 6 ans doivent être inscrits à l'école primaire. Au Canada, selon la SCHL (Société canadienne d'hypothèques et de logement), c’est au Québec qu'on trouve les logements les moins chers. Canada Désormais des prêts aux nouveaux arrivants pour la reconnaissance de leurs titres de compétences étrangers P. 8 Québec Les chances d’inser- tion des immigrants dans le secteur de la construction P. 18 P . 10 Les enfants d’immigrants et l’inscription à l’enseignement primaire au Québec AffAire Québec et Montréal parmi les villes les plus accueillantes au monde pour les entreprises economie La formation technique face à la pénurie de main- d’œuvre au Québec

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Page 1: Canada P. 16 Les chances d’inser- Des régions éloignées ... · n esop abl ig r d an s ey tèm cu , cela n’est pas le cas pour l’enseigne - m entp ri . elonaL is ur’ tc

P. 10

Le Bulletin d’informations et d’analyses au service de l’immigration au Canada 48ème parution

Le prix des choses

P. 21

Canada

P. 19 à 20Acheter des tablettes et ordinateurs portables au québec

vous avez des propositions de prix de quelques tablettes et ordinateurs portables au québec.

P. 16

P. 2 à 4

Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) a changé le sens de la notion « d’enfant à charge »

telle qu’employée jusqu’alors dans la procédure d’immigration pour le Canada.

sondAge mondiAl réAlisé pAr lA firmeernsT And Young

Comment le progrès technologique crée aujourd’hui de l’emploi au Canada

hAbiTATions

Des logements moins chers dans plusieurs villes du Québec

procédure d’immigrATion

Des Changements apportés à la définition d’enfant à charge

récenTe enquêTe sur lA populATion AcTive (epA)

42 000 emplois créés au Canada en juillet 2014

La forte demande demain-d’œuvre rimeavec d’excellentssalaires au Québec

Technologues en élecTronique indusTrielle

Le meilleur canal pour réussir son immigration

P. 6 à 7

P. 10

P. 13

P. 9

P. 5

secteur de la construction

Des régions éloignées du Québec drainent de nombreux travailleurs

Au Québec, l’enseignement primaire public

contrairement à celui du privé est gratuit

pour tous, y compris les enfants d’immigrants

(...). Selon la Loi sur l’instruction publique et

le Régime pédagogique établi par le gou-

vernement québécois en vertu de l’article

447, qu'ils aient fait leur maternelle ou

pas, tous les enfants de 6 ans doivent être

inscrits à l'école primaire.

Au Canada, selon la SCHL (Société canadienne d'hypothèques et de logement),c’est au Québec qu'on trouve les logements les moins chers.

Canada

Désormais des prêts aux nouveaux arrivants pour la reconnaissance de leurs titres de compétences étrangers

P. 8

Québec

Les chances d’inser-tion des immigrants

dans le secteur de la construction

P. 18 P. 10

Les enfants d’immigrants et l’inscription à l’enseignement primaire au Québec

AffAire

Québec et Montréal parmi les villes les plusaccueillantes au monde pour les entrepriseseconomie

La formation technique face à la pénurie de main-d’œuvre au Québec

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Acces cANADA News

48ème parution 2

é

Suite à la page 3

EDUCATION

Au Québec, l’enseignement primairepublic contrairement à celui du privé

est gratuit pour tous, y compris lesenfants d’immigrants.

L'enseignement primaire québécoiscomprend 3 cycles de 2 ans pour unedurée de 6 années.

Les élèves ont donc deux ans pour réus-sir les apprentissages du cycle. LeMinistère de l’Education, des Loisirs etSport (MELS) impose aux élèves desixième année un examen de passagedu primaire au secondaire. Bien quel'examen de lasixième année soittrès important, plu-sieurs écoles secon-daires utilisent lesrésultats cumulésde toutes les annéesprécédentes pourévaluer l'apprenant.

Mais bien avant, il y a l’éducation présco-laire constituée de la prématernelle et dela maternelle.

Pour accéder à cette préscolarisation, ilfaudra absolument avoir 4 ans pour laprématernelle et 5 ans pour la mater-nelle.

On comprend alors aisément que pourdémarrer l’enseignement primaire dansla province, l’enfant doit avoir nécessai-rement 6 ans.

L’enseignement pri-maire, une obligationpour tout enfant rési-

dant au Québec

Au Québec, si la préma-ternelle et la maternellene sont pas obligatoiresdans le système actuel,

cela n’est pas le cas pour l’enseigne-ment primaire.

Selon la Loi sur l’instruction publique etle Régime pédagogique établi par le gou-vernement québécois en vertu de l’arti-cle 447, qu'ils aient fait leur maternelleou pas, tous les enfants de 6 ans doiventêtre inscrits à l'école primaire.

Les mêmes textes juridiques indiquentl’âge auquel cette scolarisation peutcesser d’être obligatoire.

Les enfants d’immigrants et l’inscription à l’enseignement primaire au Québec

L'année scoLaire commence à La fin

du mois d’août ou au début du mois

de septembre et se termine habitueL-Lement avant Le 24 juin.

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48ème parution 3

En effet, l’enfant doit fréquenterl'école soit :

• jusqu'à la fin de l'année scolairedurant laquelle il atteint l'âge de16 ans; ou• jusqu'à la fin de l'année scolairedurant laquelle il obtient sondiplôme d'études secondaire s’il amoins de 16 ans.

Le français est la langue officielledu Québec et les enfants d'immi-grants comme tous les autresenfants de la province doivent nor-malement fréquenter un établisse-ment de la commission scolaire franco-phone de leur localitéjusqu’au terme deleurs études secon-daires.

Au Québec, la mixitédes classes (garçons-filles) est une réalité àtous les niveauxd’études.

Le Programme du primaire au Québeccomprend 5 domaines d’apprentissage àsavoir : le domaine des langues ; ledomaine des mathématiques, de lascience et de la technologie ; le domainedes arts et le domaine du développe-ment personnel.

L’inscription à l’enseignement primaire

Pour s’inscrire dans une école primaireau Québec, comme tous les autresenfants de la province, les enfants d’im-migrants doivent s’adresser à la com-mission scolaire de leur région.

Une commission scolaire est dirigée parun commissaire élu ausuffrage universel. Ilconstitue une sorte degouvernement local.

La commission sco-laire organise l’éduca-tion préscolaire, l’en-

seignement primaire et secondaire ainsique la formation professionnelle, tantpour les jeunes que pour les adultes. Elle a également pour mission de partici-per au développement social, culturel etéconomique de la région qu’elle repré-sente. Il existe 72 commissions scolaires auQuébec qui veillent à la réussite desélèves en offrant des services efficaceset essentiels à ses directions d’établisse-ments et à ses enseignants afin qu’ilspuissent se consacrer entièrement àleur mission éducative.

En s’adressant donc à la commissionscolaire de sa région de résidence, leparent d’élève s’offre la possibilité dechoisir l’école qui lui convient.

é

Suite à la page 4

en s’adressant donc à La commissionscoLaire de sa région de résidence,Le parent d’éLève s’offre La possibi-Lité de choisir L’écoLe qui Luiconvient.

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Toutefois, l'exercice de ce droit devrarépondre à des critères d'inscription spé-cifiques déterminés par l'école visée. Parexemple, le nombre d'élèves inscritsdans une école ne doit pas excéder sacapacité d'accueil. L’admission de l’élèvedans l’école doit répondre à la compé-tence de la commission scolaire intime-ment liée à sa région de résidence. Celasignifie que le parent d’élève doit choisirl'école publique de son quartier.Par la suite, certaines conditions sont exigées :

Les personnes autorisées à faire l’ins-cription demeurent les parents ou lestuteurs de l’enfant âgé de 6 ans et plusau 1er octobre de l'année scolaire viséeou encore les parents ou tuteurs d'unenfant âgé de moins de 6 ans au 1er octo-bre de l'année scolaire visée dont

• le report de la scolarisation pourraitêtre préjudiciable en raison de son déve-loppement précoce,

• le report de la scolarisation pourraitêtre préjudiciable en raison d'une situa-tion familiale ou sociale susceptible denuire à son développement (motif excep-tionnel),

• la maternelle a été faite dans uneautre province ou dans un autre pays,conformément aux lois qui y sont envigueur.

Les documents essentiels pour l’inscription de l’enfant

Généralement certains documents sontrequis pour toute nouvelle inscription. Ils’agit de l’original du certificat de nais-sance grand format de l’enfant (compor-tant le nom des parents) et pour garan-tir leur droit à la gratuité scolaire, lesparents d’élève doivent attester leur rési-dence au Québec au moyen d’un desdocuments suivants sur lequel figurent

leur nom et leur adresse :

o Permis de conduire du Québec ;o facture d'électricité ;o avis de paiement de soutien auxenfants de la Régie des rentes duQuébec (RRQ);• compte de taxe municipale;• compte de taxe scolaire;• avis de cotisation de revenu Québec (RQ);• document provenant du gouvernementfédéral (exemple: Revenu Canada).

En ce qui concerne les immigrantsparents d’élèves, il est évident que leCertificat de résident permanent et leCertificat de sélection du Québec sontdes pièces qui seront exigées.

Dans le doute ou lors de situations parti-culières, la commission scolaire est endroit d'exiger la combinaison de plu-sieurs documents afin d'établir la preuvede résidence au Québec.

Il faut préciser que l'année scolaire com-mence à la fin du mois d’août ou audébut du mois de septembre et se ter-mine habituellement avant le 24 juin. Sadurée est d'au moins 180 jours auQuébec.

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L’économie canadienne

En brèves…marché du travail

Plus d’un million de postes à pourvoir au Québec

Les données d’Emploi-Québec indiquentque d’ici 2022, 81% des postes à pour-

voir seront pour combler le départ des tra-vailleurs plus âgés.

Selon le porte-parole d'Emploi Québec,David McKeown, « C'est certain que cesemplois vont devoir être comblés, entreautres par ces personnes qui sont actuel-lement en chômage, mais par des jeunesaussi qui vont entrer sur le marché du tra-vail »

A moyen et long terme, selon les mêmessources d’Emploi-Québec, plus de 1,3 mil-lions de postes seront disponibles auQuébec.

Déjà, d’ici 2017, la province devrait enre-gistrer plus de 700 000 nouveaux postessur le marché de l’emploi.

Dans l’ensemble des régions de la pro-vince québécoise, il est prévu une diminu-tion des taux de chômage jusqu’à 5,7% en2022.

Selon un sondage mondial réalisépar la firme Ernst & Young, les pro-

grès technologiques contribuentaujourd’hui à une croissance remar-quable de l’emploi au Canada.L’enquête précise que 81 % des entre-preneurs consultés par la firme ontindiqué que des investissements dansles technologies leur ont permis d’aug-menter leurs effectifs.L’objectif visé par ces entrepreneursétant d’accroître l’efficacité de leurssociétés afin de les rendre plus concur-rentielles au chapitre des coûts.Ces entrepreneurs reconnaissent éga-lement que la technologie représentele moteur de leurs plans de croissance,

car permettant de procurer un accèsplus rapide à l’information et d’améliorerla productivité, l’efficacité et la qualité.Le sondage a surtout précisé que lestechnologies ont permis à plusieursentreprises de recruter des travailleursde partout dans le monde en vue depallier des pénuries de main-d’œuvrequalifiée sur leur marché local.

Il faut noter que le milieu des technolo-gies est en forte croissance au Canadaet que selon Ernst & Young, les socié-tés de ce secteur ont affiché un taux decroissance de l’emploi de 36 % en2013, contre 25 % pour les sociétés detous les autres secteurs regroupés.

sondage mondial réalisé par la firme ernst and Young

Comment le progrès technologique crée aujourd’hui de l’emploi au Canada

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48ème parution 6

La Technologie de l’électronique indus-trielle implique toute action reliée à

l’automatisation, la calibration et l’instru-mentation de systèmes électriques etélectroniques.

La personne qui exerce donc ce métierest appelé technologue de l’électroniqueindustrielle. Ce dernier installe, entretientet répare des systèmes électriques com-plexes dans des usines.

Le Collège de Valleyfield présenté par lemagazine Jobboom comme une référencequébécoise et spécialisée dans laconnaissance du marché du travail, offreégalement un excellent programmed’études exécuté en alternance travail-études avec la possibilité d’accès à diffé-rentes bourses scolaires.

Généralement, à la fin de leurs forma-tions, les étudiants qui n’obtiennent pasd’emploi sont ceux ayant décidé de pour-suivre leurs études à l’université, entreautres, en Génie électrique, en Génie dela production automatisée ou enRelations industrielles.

« C’est un métier très diversifié. Ça per-met, entre autres, d’être au cœur des

transformations de l’énergie électrique enchaleur, en lumière, en force mécaniqueou encore en signaux électriques porteursd’information. C’est très valorisant desavoir qu’on peut assurer le contrôle et lastabilité de ces transformations, parexemple, pour garantir aux citoyens uneélectricité de qualité ou bien aux travail-leurs des commandes aux réglages fonc-tionnels, optimaux et sécuritaires »,témoigne Jean-Michel Lalonde,Coordonnateur du programme au Collègede Valleyfield .

Bruno Ménard, enseignant et coordonna-teur du programme au Cégep Limoiloureconnait que le taux de placement desdiplômés de Technologie de l’électroniqueindustrielle varie entre 90 et 100 %.

Selon lui, cette bonne performance s’ex-plique par la forte demande sur le planindustriel. «Aujourd’hui, la productivitépasse par l’automatisation», confie-t-il.Les technologues en électronique indus-trielle participent à l’implantation de ceprocessus dans les usines.

Le métier de technologue en électroniqueindustrielle bénéficie aujourd’hui debelles perspectives au Québec. Lademande en main-d’oeuvre est si forteavec d’excellents salaires que les étu-diants en formation dans cette filière sontautomatiquement embauchés à la fin deleurs études.

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

technologues en électroniQue industrielle

La forte demande de main-d’œuvre rime avec d’excellentssalaires au Québec

La forte demande de main-d’œuvre rime avec d’excellents

salaires au Québec

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Un secteur aux excellentes perspectives d’emploi

Le secteur de la Technologie de l’électro-nique industrielle dispose aujourd’huid’excellentes perspectives d’emploi auQuébec.

Selon les sources de Jobboom, le tech-nologue en électronique industriellepeut travailler dans de nombreuxdomaines d’activité.

« Les étudiants pensent souvent, à tort,qu’ils doivent travailler en industrie,explique Bruno Ménard. Ils peuventaussi exercer leur métier dans unefirme de génie-conseil, ou encore fairede l’estimation.»

Selon M. François Lisée, enseignantdepuis 30 ans, « Dans le privé, les pos-sibilités sont presque infinies. Certainsde nos finissants sont aujourd’hui prési-dents de compagnie».

Pour lui, la progression est graduelle. «Ily en a qui suivent une formation supplé-mentaire, en gestion par exemple, pourgrimper les échelons», dit-il.Plusieurs entreprises utilisent les ser-vices des technologues en électroniqueindustrielle comme le reconnaît égale-ment M. Jean-Michel Lalonde.« Tous les secteurs nécessitent noscompétences pour installer, calibrer,dépanner, modifier et programmer descomposants électroniques comme lescapteurs, les moteurs et divers sys-tèmes programmables pour rendreautomatique une suite d’actions ».

Les diplômés en technologie de l’élec-tronique industrielle se retrouvent dansles entreprises de services publicsd’électricité ou de communications,dans des usines de fabrication de maté-riels électriques et électroniques, dansdes sociétés de conseils techniques,dans des organismes gouvernemen-taux et dans une vaste gamme d’indus-tries de fabrication, de traitement et detransport .

Compte tenu de la forte croissance prévuede la demande de produits informatiqueset électroniques dans les entreprises,Emploi-Avenir-Canada note que « le nom-bre de technologues et techniciens engénie électronique et électrique devraitaugmenter de façon notable au cours desprochaines années ».

En effet, la situation sur le marché du tra-vail des diplômés des deux programmesqui forment le plus de candidats à cetteprofession (diplômes d'études collégiales[DEC] en technologie de l'électroniqueindustrielle et en technologie de l'électro-nique) devrait être très bonne au coursdes prochaines années.

Selon Emploi-Avenir-Canada, le revenud'emploi annuel moyen à temps pleinpeut – être estimé à 53 981 dollars cana-diens.Au Québec, le Comité sectoriel de la main-d’œuvre de l’industrie électrique et élec-tronique indique pour sa part que lerevenu annuel moyen de l’ensemble dusous-secteur est estimé à 43 240 dollarscanadiens.

Une forte demande et d’excellents salaires proposés

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48ème parution 8

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Selon le dernier communiqué del’Enquête sur la Population Active

(EPA) paru le 15 août dernier, le Canada aenregistré 42 000 nouveaux emplois enjuillet 2014.

Au cours de ces douze derniers mois, cettecroissance a été de 0,9%, soit 157 000nouveaux emplois pour la période indiquée.En juillet, l’emploi a surtout progresséchez les personnes âgées de 25 à 54 anset chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.Les services d’enseignement ainsi que lesecteur de l’informatique, de la culture etloisirs ont enregistré davantage de travail-leurs que les autres secteurs d’activité au pays.Sur le plan provincial, l’Ontario et Terre-Neuve-Et-Labrador ont le plus profité de

cette vigueur du marché du travail aucours du mois de juillet 2014.

Par exemple d’importantes hausses ontété enregistrées dans les services d’ensei-gnement, principalement dans les écolesprimaires et secondaires de la province del’Ontario au cours du mois indiqué.

Sur le plan national, le taux de chômage adiminué de 0,1 point de pourcentage pours’établir à 7,0 %.

Découvrez à la suite de cet article, les tauxde chômage des différentes provinces duCanada. Ils sont issus du récent communi-qué de l’Enquête sur la Population Active(EPA) pour la période de juin à juillet 2014.

La récente enquête de la firme toron-toise Morneau Shepell (services d'im-

partition et services-conseils en res-sources humaines) a annoncé pour l’an-née prochaine une augmentation dessalaires de 2,8% en 2015.

Cette enquête a été réalisée entre la mi-juin et la fin de juillet 2014 auprès d’orga-nisations employant 800 000 personnesau pays.

Les employeurs qui prévoient être danscette dynamique salariale seraient qua-tre fois plus nombreux que ceux qui pré-voient une réduction, selon la mêmesource.

En effet, cette croissance salariale sera

observée dans plusieurs secteurs àsavoir les secteurs minier, pétrolier etgazier, avec une croissance de 3,4% ; Lesservices professionnels, scientifiques ettechniques (3 %) ; le commerce de groset de détail (2,4 %).

A propos des enjeux en matière de main-d’œuvre et de productivité, la moitié desrépondants ont affirmé en substancequ'en 2015, « ils accorderont la priorité àl'amélioration des communications rela-tives à leurs programmes de rémunéra-tion globale, de leurs programmes de for-mation et de perfectionnement, ainsi quede la santé et du mieux-être au travail. »

Cette année, l'augmentation moyennesera de 2,6 %, selon la même source.

marché du travail

Croissance des salaires de 2,8 % prévue en 2015

récente enQuête sur la population active (epa)

42 000 emplois créés au Canada en juillet 2014

Suite à la page 9

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48ème parution 9

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

sociéTé…

Alberta…………..........................................................…de 4,9% à 4,7 %

Saskatchewan…….............................................…....….. de 3,9 % à 3,2 %

Manitoba ………….........................................................de 5,4 % à 5,3 %

Colombie- Britannique................................................... de 6,2% à 5,9 %

Ontario………....….....................................................…. de 7,5% à 7,5 %

Québec…..........................................................................de 8,1% à 8,1 %

Nouvelle-Ecosse…............................................................ de 8,7 % à 9,4 %

Nouveau-Brunswick….................................................... de 9,6 % à 10,0 %

île-du-Prince-Edouard…................................................ de 9,8% à 9,4 %

Terre-Neuve-et-Labrador .............................................. de 12,5% à 12,4 %

Taux de chômage /mois de juin à juilleT 2014

Provinces canadiennes

Québec et Montréal feraient partie desvilles les plus accueillantes au monde

pour l’installation des entreprises.

100 grandes villes dans 10 paysd’Amérique du Nord, d’Europe, d’Asie etd’Océanie ont fait l’objet de l’étudeannuelle Choix concurrentiels, réaliséepar la firme KPMG.

L’enquête a consisté à comparer certainsfacteurs comme le bassin de main-d’œu-vre qualifiée, les conditions économiques,le degré d’innovation, les infrastructures,la réglementation, le coût de la vie et laqualité de vie.

Les villes de Québec et de Montréal ontrespectivement occupé le sixième et ledixième rang des entreprises offrant lescoûts les moins élevés parmi toutes lesvilles étudiées devant Toronto, Vancouver,Chicago et New York entre autres.

Sept villes canadiennes occupent ainsi demeilleures positions dans le classementde ces métropoles présentant les coûtsles plus faibles à l’échelle mondiale :(Moncton, Charlottetown, Québec,Fredericton, Halifax, Niagara et Montréal).Il faut surtout préciser que dans ledomaine des services numériques, leCanada s’est démarqué particulière-ment avec un avantage de 17,8 % par rap-port aux États-Unis, notamment grâce auxcrédits d’impôt offerts par certaines pro-vinces, dont le Québec, aux sociétés deproduction de médias numériques.

Québec et Montréal parmi les villes les plus accueillantes au monde pour les entreprises

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48ème parution 10

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Le secteur de la construction enregistreaujourd’hui de nombreux travailleurs

dans les régions éloignées du Québec.

Les projets d’infrastructure en cours deréalisation constituent la principale raisondu plein emploi observé par exempledans les régions de la Baie-James, del’Abitibi-Témiscamingue et de la Côte-Nord où d’importants besoins en main-d’œuvre sont particulièrement généréspar le complexe hydroélectrique de laRomaine et le quai en eau profonde auport de Sept-Îles.

« C’est une expérience à vivre. On a l’im-pression d’être dans un autre espace-temps. Le chantier a beau être éloigné,on travaille tellement que l’on n’a pas letemps de s’ennuyer. Durant mes journées

de congé, il m’est même arrivé d’allerpêcher ou de faire du kayak.», confie M.Félix Ferland, un travailleur rencontrédans la région de Portneuf.

Ces travailleurs en zones éloignées duQuébec bénéficient surtout d’un avantagesalarial important à travers un tauxhoraire plus élevé avec des loyers et descoûts de nourriture abordables.

Les métiers les plus demandés par exem-ple sur les chantiers de la Côte-Nord et del’Abitibi-Témiscamingue sont ceux d’ar-penteur, de Boutefeu-foreur, d’électricien,de manœuvre, de mécanicien d’ascen-seur, de mécanicien de chantier, demécanicien de machinerie lourde, de sca-phandrier, de soudeur et de tuyauteur.

secteur de la construction

Des régions éloignées du Québec drainent de nombreux travailleurs

Au Canada, selon la SCHL (Sociétécanadienne d'hypothèques et de loge-

ment), c’est au Québec qu'on trouve leslogements les moins chers.

En effet, le loyer moyen mensuel d'unappartement de deux chambres était de1 241 $ CAN à Toronto, 1 274 $ CAN àVancouver et de 1 267 $ CAN à Calgarytandis le logement de deux pièces estestimé à 730 $ CAN à Montréal en octobre2013.

D’autres villes québécoises seraientencore bien moins onéreuses. Les villesde Trois-Rivières et de Saguenay rempor-

teraient dans ce sens la palme avec deslogements de deux chambres qui revien-nent respectivement en moyenne à 571 $CAN et 562 $ CAN en avril 2014.

A Sherbrooke, un logement semblableétait à 594 $ CAN par mois en avril 2014dans les Cantons de l'est et à 757 $ CANdans la ville de Québec en octobre 2013.

Selon la Corporation des propriétairesimmobiliers du Québec, le Québec est ladeuxième province au pays, après Terre-Neuve dans les Maritimes, à avoir leslogements les moins chers.

habitations

Des logements moins chers dans plusieurs villes du Québec

sociéTé…

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48ème parution 11

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

faites savoir à vos parents et amis qu'en matière d'immigration commedans tout autre domaine, il ne faut jamais envoyer de l'argent à despersonnes qu'ils ne connaissent pas. le nombre de fraudes par internet enmatière d'immigration et autres est très important et, en général, les nomsde firmes existantes sont utilisés par les fraudeurs.

pAr sécuriTé

Encore une preuve que lesrecherches scientifiques et médi-

cales demeurent bien avancées auCanada.

Le pays a désormais l’intention de pro-duire pour le compte de l’Afrique, levaccin contre Ebola, une dangereusemaladie virale qui décime actuelle-ment certaines populations del’Afrique de l’Ouest.

En effet, Le gouvernement canadien

serait actuellement en discussion avecl'Organisation mondiale de la Santé(OMS) et les Etats-Unis pour fournirson propre vaccin expérimental contrele virus Ebola aux pays d'Afrique tou-chés par l'épidémie.

Le Canada disposerait actuellementque de 1 500 doses de ce vaccin alorsqu’il faudrait normalement en fabri-quer quatre ou six fois plus pour enavoir en grande quantité.

santé

Ebola, le Canada a l’intention de fournir le vaccin à l’Afrique

Constat tout de même curieux, maispourtant vrai. Si d’habitude ce sont

des investisseurs canadiens qui ouvrentdes usines en Chine pour approvisionnerle marché occidental, c’est désormais lecontraire qui se produit.

Des investisseurs chinois ont annoncé laconstruction au Québec d’une usinedevant produire du matériel pour prévenirles incendies et destiné au marché chinois.

La compagnie « Maple Armor » pour attein-dre cet objectif, a bénéficié de fondsd'Investissement Québec et deDéveloppement économique Longueuil.Depuis le territoire québécois, précisé-

ment à Saint-Bruno-de-Montarville, enMontérégie, cette compagnie estime pou-voir conquérir le marché nord américain àlong terme sans oublier celui de l’Europe.Le Québec est donc perçu par la compa-gnie « Maple Armor » comme une positionbien stratégique pour l’écoulement de sesproduits.

Il faut surtout noter que la compagnie chi-noise a choisi de s'installer à Saint-Bruno-de-Montarville pour obtenir une certifica-tion ULC du Conseil canadien des normes.Il s'agit d'une certification parmi lesnormes les plus reconnues à l'internatio-nal dans le domaine de la sécurité.

industrie

Une usine chinoise s’installe au Québec en vue d’une exportation vers la Chine

sociéTé…

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48ème parution 12

QuébecQuébecLes nouvelles duLes nouvelles du

Selon Emploi-Québec, d’ici 2017, lemarché de l’emploi sera favorable

pour les jeunes Québécois.

En effet, d’après cette source, près de725 400 emplois seront disponibles et53 % d'entre eux seront pourvus pardes jeunes de moins de 25 ans.

Le taux de chômage devrait doncenregistrer une baisse régulière dansl'ensemble des régions pour atteindre6,2 % en 2017, puis 5,7 % en 2022,

soit le taux le plus bas depuis 1968.

Le ministre québécois de l'Emploi,François Blais, a été formel à ce sujet : « Le nombre d'emplois devrait d'ail-leurs atteindre un sommet inégalé aucours de la prochaine décennie. Deplus, les importants projets créateursde richesse sur lesquels mise le gou-vernement du Québec, tels que laStratégie maritime et la relance duPlan Nord, nous permettent d'espérerque nous dépasserons ces prévisions ».

é

Suite à la page 13

Québec

De belles perspectives pour les jeunes sur le marché de l’emploi d’ici 2017La formation technique demeure un enjeu capital

Le Canada a l’intention d’accueillirdavantage d’immigrants francophonesdans ses différentes provinces.

Selon Citoyenneté et immigrationCanada, d’importants moyens finan-ciers seront investis d'ici 2018 pourfavoriser l'immigration vers les com-munautés de langue officielle en situa-tion minoritaire.

Cette initiative s’inscrit dans le cadred'un programme interministériel inti-tulé Feuille de route pour les languesofficielles du Canada 2013-2018 :éducation, immigration, communautés.Pour Louis Alain, Directeur général du

Conseil de développement écono-mique des municipalités bilingues duManitoba (CDEM), l'arrivée d'immi-grants francophones dans les pro-vinces où la langue est en situationminoritaire permet d'endiguer le phé-nomène d'assimilation linguistique.Dans l’annonce de ce programme, leministre de l'Immigration, ChrisAlexander, envisage de travailler avecles organismes et les employeurs descommunautés francophones duCanada afin d’attirer un nombre plusimportants d’immigrants franco-phones dans les provinces ciblées.

politiQue d’immigration

Immigrants francophones, un besoin affiché sur tout le territoire canadien

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48ème parution 13

Cette croissance devrait être plus remar-quable dans le domaine des soins desanté et d’assistance sociale, le com-merce de détail et les services profes-sionnels, scientifiques et techniques.

Dans le secteur de la production debiens, Emploi-Québec indique que lacréation d'emplois profitera surtout àl'industrie de fabrication de matérielsde transport, la fabrication d'alimentset de boissons ainsi qu'à l'industrieminière.Mais en face de ce boom de l’emploi enperspective, la formation se révèlecomme un enjeu capital. L’étude

d’Emploi-Québec précise que le tiersdes emplois exigera une formationtechnique et que 28 % des postesnécessiteront un diplôme d'étudessecondaires ou une courte formationen entreprise.

Cette idée est confirmée par le minis-tre François Blais : « Il importe quechaque personne ait une formationadéquate à ses ambitions et cohérenteavec les besoins des employeurs. Nouspoursuivrons donc nos efforts afin d'as-surer une meilleure adéquation entreles travailleurs disponibles et les entre-prises »

QuébecQuébecLes nouvelles duLes nouvelles du

Le constat est si criant que plusieursjeunes risquent d’aller sur le marché

du travail et même à l’université pourrevenir ensuite faire une formation tech-nique.

Selon Emploi-Québec, 1,4 million d’em-plois dans les secteurs techniques etprofessionnels seront à pourvoir d’ici2019.

Cela signifie que l’adhésion des jeunesapprenants aux secteurs techniquesdevrait se faire de plus en plus sentirsur le marché de l’emploi ; or « Ça nebouge pas beaucoup », reconnaîtGeneviève Lapointe, directrice des com-munications au Service régional d’ad-mission du Montréal métropolitain(SRAM), qui regroupe 35 cégeps.

Pour les cégeps dans la région deQuébec, les demandes des étudiantssont réparties à 50 % pour le secteurtechnique et 50 % pour le préuniversi-taire, mais au Collège Dawson, le plusimportant cégep anglophone duQuébec, la demande pour la formationpréuniversitaire est toujours plus élevée(65 à 70 %), comparativement à la for-mation technique (30 % à 35 %).

Pourtant, le secteur technique offriraitplus de chances sur le marché du travail.« On a fait une étude auprès des finis-sants du secteur technique et quand onregarde le placement, les performancessont très bonnes et leurs conditionssalariales s’améliorent d’année enannée. », témoigne Mme GenevièveLapointe.

economie

La formation technique face à la pénurie de main-d’œuvre au Québec

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48ème parution 14

Avec un PIB réel en hausse de 3,5 %en 2014 et 3,1 % en 2015 et la

croissance économique certainementla plus forte du pays au cours desmêmes périodes, le Conference Boardannonce un équilibre budgétaire del’Alberta en 2015.

Après avoir fait un portrait de la situa-tion budgétaire de la province, l’orga-nisme constate une situation finan-cière en pleine santé.

L’étude précise que cette forte crois-sance économique continuera à stimu-ler l'emploi et les revenus et augmenteraainsi l'assiette fiscale du gouvernement.« Dans l'ensemble, la situation finan-cière de l'Alberta est en très bonnesanté. Qui plus est, nos prévisions pourcette province sont encore plus opti-mistes que les prévisions budgétairesdu gouvernement lui-même, grâce à lahausse prévue des recettes liées auxressources naturelles. », a confiéMatthew Stewart, Directeur associé,Note de conjoncture canadienne.Avec la Colombie-Britannique et laSaskatchewan, l'Alberta fait donc par-tie des quelques provinces quidevraient afficher un équilibre budgé-taire en 2014-2015.

Elle demeure également la seule pro-vince à enregistrer un excédent net auchapitre de ses actifs financiers.

Par exemple dans son plan budgétaire,les prévisions du Conference Boardconcernant la production pétrolière etles prix du pétrole sont supérieures àcelles du gouvernement provincial. Parconséquent, les recettes tirées des

redevances devraient être plus élevéesque ce que prévoit l'Alberta. D'ici 2016-2017, les redevances devraient rappor-ter à la province d’importants profits deplus que ce qui est prévu dans le bud-get provincial de 2014.

Les nouvelles dans les

Autres Provinces Canadiennes

economie

L’Alberta devrait retrouver son équilibre budgétaire en 2015

• L'Alberta devrait enregistrer la crois-sance économique la plus forte du paysen 2014 et 2015, ce qui stimulera l'em-ploi, les revenus et les recettes provin-ciales.

• La province devrait atteindre l'équilibrebudgétaire en 2014-2015 mais il fautnoter qu'elle s'appuie fortement sur lesrecettes provenant des redevances pourfinancer ses dépenses de programmes.

• Elle se classe au troisième rang desprovinces en ce qui concerne lesdépenses de santé par tête d'habitant.Ses dépenses en matière d'éducation parélève sont également supérieures à lamoyenne provinciale.

Quelques données importantes sur l’Alberta

Les prévisions du Conference Board concernant la production pétrolière et

les prix du pétrole sont supérieures à celles du gouvernement provincial.

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48ème parution 15

Les nouvelles dans les

Autres Provinces Canadiennes

terre-neuve-et-labrador

Le gouvernement du Canada subventionne désormais l’emploipour l’intégration professionnelle des jeunes

habitation

Une table ronde de logements abordables en Colombie-Britannique

Atravers l’appui du gouvernementcanadien au Programme Subvention

canadienne pour l'emploi, les autoritéscompétentes du pays ont décidé de favo-riser l’intégration professionnelle desjeunes de la province de Terre-Neuve-et-Labrador..Ce programme est un partenariat établientre le gouvernement et lesemployeurs. Il permet de favoriser unesouplesse nécessaire pour répondre auxbesoins des entreprises de toute enver-gure, de toutes les industries et de toutesles régions.

« La création d'emplois, la croissanceéconomique et la prospérité à long termesont les grandes priorités de notre gou-

vernement. La Subvention canadiennepour l'emploi aidera les employeurs deTerre-Neuve-et-Labrador à créer la main-d'œuvre compétente dont ils ont besoinet aidera les Terre-Neuviens etLabradoriens à acquérir les compé-tences nécessaires dans l'économied'aujourd'hui. », explique Jason Kenney,ministre de l'Emploi et duDéveloppement social du Canada.

Il faut noter qu’en 2013, plus de 31 000postes ont été affichés à Terre-Neuve-et-Labrador, en raison notamment degrands projets industriels et d'ingénierieet de la nécessité de remplacer les tra-vailleurs qui prennent leur retraite.

Une table ronde a été organisée enColombie-Britannique dans le but

d’étudier les possibilités d’un appui dugouvernement fédéral pour des loge-ments abordables dans la province.Cette importante rencontre a réuni laministre d'État (Développement social),Candice Bergen, le ministre d'État etwhip en chef du gouvernement, JohnDuncan de même que les dirigeantscommunautaires et les dirigeants d'en-treprise de la vallée de Comox.« Notre gouvernement est fier de travail-ler en partenariat avec les provinces etles territoires pour investir dans le loge-ment abordable. Nos ententes bilaté-rales reconnaissent les différentsbesoins en matière de logement des

diverses régions, et offrent la latitudenécessaire pour répartir les investisse-ments considérables selon les prioritéset les besoins locaux… », a confié laministre Candice Bergen.Il faut noter que le 4 mars 2014, lesgouvernements du Canada et de laColombie-Britannique ont annoncé le renou-vellement de l'entente Investissementdans le logement abordable (IDLA) pourla période 2014-2019, laquelle com-prend un investissement conjoint supplé-mentaire de plus de 300 millions de dol-lars. D'avril 2011 au 31 mars 2014, l'en-tente IDLA a permis d'aider plus de 184000 ménages à l'échelle nationale, etprès de 2 600 ménages en Colombie-Britannique.

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48ème parution 16

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

canada

Désormais des prêts aux nouveaux arrivants pour la recon-naissance de leurs titres de compétences étrangers

C’est à cause des difficultésfinancières rencontrées par les

nouveaux arrivants lors du proces-sus de reconnaissance de leurstitres de compétences étrangersque le gouvernement du Canada adécidé de créer un projet pilotedans ce sens.

Selon les autorités compétentes, ils’agit d’un projet de recherche detrois ans qui finance neuf organisa-tions communautaires, y comprisdes organisations non gouvernemen-tales, des organismes sans but lucratif,des institutions financières et des orga-nismes de réglementation.

L’objectif visé devrait permettre derégler les problèmes du sous-emploichez les personnes formées à l’étran-

ger et combler les pénuries de main-d’œuvre dans des secteurs clés dumarché du travail canadien.

Découvrez ci-dessous ces organisa-tions qui participent à ce projet pilotede prêts pour la reconnaissance destitres de compétences étrangers auCanada.

• S.U.C.C.E.S.S. en Colombie-Britannique (disponible en anglais seulement)• Immigrant Access Fund, en Alberta (disponible en anglais seulement)• Immigrant Access Fund, en Saskatchewan (disponible en anglais seule-ment)• SEED Winnipeg Inc. au Manitoba (disponible en anglais seulement) • WIL Employment Connections, à London (Ontario) (disponible en anglaisseulement)• Association communautaire d’emprunt de Montréal (ACEM) au Québec• Conseil multiculturel du Nouveau-Brunswick Inc.• Canada Microcredit Educators Group, à l’Île-du-Prince-Édouard (disponibleen anglais seulement)• Immigrant Settlement and Integration Services, en Nouvelle-Écosse

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48ème parution 17

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

Les nouveaux arrivants de la Colombie-Britannique bénéficient désormais

d’une contribution financière du gou-vernement fédéral pour améliorer lareconnaissance de leurs titres de com-pétence et leur permettre d'obtenir unemploi.

Le ministre de l'Emploi et duDéveloppement social et ministre duMulticulturalisme, l'honorable JasonKenney, a annoncé l'octroi d'un finan-cement de plus de 3,3 millions de dol-lars au gouvernement de la Colombie-Britannique dans ce sens.

« Le financement annoncé aujourd'huiaidera les nouveaux Canadiens à réali-ser leur rêve de trouver un emploi bienrémunéré leur permettant de subveniraux besoins de leur famille, tout enaidant à combler les pénuries de main-d'œuvre dans les domaines à fortedemande au sein de l'économie cana-dienne… », a expliqué le ministre JasonKenney.

Cela devrait leur permettre de trouverdes solutions aux obstacles à la recon-naissance des titres de compétencesétrangers pour les nouveaux arrivantsqualifiés de la province afin de les aiderà obtenir rapidement un emploi dansplusieurs domaines.

Cela concerne surtout certaines profes-sions de la province comme celle degéoscientifique, de charpentier, d’élec-

tricien, de technicien d'équipementlourd, d’opérateur d'équipement lourd,de soudeur, d’audiologiste et orthopho-niste, de sage¬femme, de psychologueet d’avocat.

Il s’agira de combler les besoins destravailleurs qualifiés à travers plusieursprojets comprenant notamment desoutils en ligne visant à mieux rensei-gner les nouveaux Canadiens concer-nant les emplois à forte demande auCanada; des séances d'information etde consultation avec les employeurs etles intervenants afin d'éliminer les obs-tacles auxquels font face les nouveauxCanadiens qui intègrent le marché dutravail ; des activités de collaborationavec les organismes de réglementationafin d'analyser les progrès réalisésquant à l'accélération de la reconnais-sance des titres de compétences étran-gers dans les domaines marqués parune forte demande.

« L'immigration a joué un rôle trèsimportant dans le développement denotre pays et notre province. Nous vou-lons nous assurer de maximiser lesavantages des individus qualifiés quiont choisi la Colombie-Britanniquecomme nouveau lieu de résidence. », aprécisé Shirley Bond, ministre del'Emploi, du Tourisme et de laFormation professionnelle, et ministreresponsable du Travail de la Colombie-Britannique.

intégration professionnelle

Le cas des immigrants de la Colombie-Britannique dans la reconnaissance de leurs titres de compétence

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48ème parution 18

• Au cours des 10 prochaines années,environ 1 million de possibilités d'emploiseront offertes en Colombie-Britannique.D'ici 2020, les nouveaux arrivantsdevraient pourvoir environ le tiers de cesnouveaux postes.

• Aux termes de ce cadre pancanadien,les nouveaux arrivants hautement quali-fiés dans les 14 professions prioritaires,notamment quelque 2 000 pharmaciens,1 200 dentistes et 5 600 ingénieurs,bénéficient déjà des améliorations appor-tées à la reconnaissance des titres decompétences étrangers.

• Le gouvernement du Canada financeégalement un projet pilote de microprêts

pour aider les travailleurs formés à l'étran-ger à assumer les coûts de la reconnais-sance de leurs titres de compétences. À cejour, plus de 1 300 nouveaux arrivantsqualifiés ont profité des microprêts accordés.

SOURCE : Plan d'action économique du Canada

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

Données des nouveaux arrivants sur le marché de l’emploi en Colombie-Britannique

La Commission de la Construction duQuébec (CCQ) reconnait que les

immigrants pourraient s’intégrer faci-lement dans le secteur de la construc-tion s’ils détiennent leur certificat decompétence.

En effet, l’obtention du certificat estdésormais plus rapide pour les nou-veaux arrivants dont l’expérience detravail correspond aux exigences de la CCQ.« Comme des preuves attestant cetteexpérience [relevés de paie, formu-laires d’impôts, etc.] sont exigées, il estconseillé de rassembler tous les docu-ments pertinents avant de quitter sonpays », indique Tristan Cinq-Mars,conseiller pour l’équipe de la diversitéde la main-d’œuvre et du développe-

ment à la CCQ.En dépit de cette première exigence,les candidats non détenteurs dediplôme nécessaire, selon M. TristanCinq-Mars, pourraient être admissiblesen cas de pénurie de main-d’œuvre.

Les personnes désireuses de travaillerdans le domaine de la construction auQuébec devraient surtout détenir l’in-formation par exemple à partir du siteInternet de la CCQ ou auprès des orga-nismes d’aide à l’emploi pour immi-grants, comme la CITIM à Montréal, unorganisme sans but lucratif basé àMontréal qui accueille et accompagneles nouveaux immigrants français etfrancophones dans leur démarched’insertion professionnelle au Québec.

Québec

Les chances d’insertion des immigrants dans le secteur de la construction

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48ème parution 19

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

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Suite à la page 20

Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) a changé le sens de la notion« d’enfant à charge » telle qu’employée jusqu’alors dans la procédure d’immi-gration pour le Canada.

A partir de 19 ans, une personne ne pourra plus être considérée comme« enfant à charge » par Citoyenneté et Immigration Canada (CIC).

Lire plutôt l’avis publié à cet effet par le gouvernement canadien par le biaisdu ministère fédéral de l’immigration.

La définition d’enfant à charge appli-quée par Citoyenneté et Immigration

Canada (CIC) a changé.

L’âge auquel un enfant sera considérécomme personne à charge a étéramené de moins de 22 ans à moinsde 19 ans.

L’exception visant les étudiants àtemps plein a également été suppri-mée. Les enfants des demandeurs,âgés de 19 ans ou plus, mais quidépendent du soutien financier deleurs parents et qui sont inscrits à unprogramme d’études à temps plein, nepeuvent plus être considérés commedes enfants à charge.

Dans tous les cas, un enfant conti-nuera d’être considéré comme per-sonne à charge, peu importe son âge,s’il dépend, pour l’essentiel, du soutienfinancier de ses parents du fait qu’iln’est pas en mesure de subvenir à sesbesoins en raison d’une déficiencementale ou physique, et ce, depuisavant d’avoir atteint l’âge de 19 ans.Les nouvelles trousses de demandesainsi que les nouveaux formulaires etl’information relative aux nouveaux

frais applicables sont accessibles surle site Web de CIC.

Toutes les demandes de résidence per-manente que CIC a reçues avant le 1eraoût 2014 continueront d’être viséespar la définition d’enfant à charge tellequ’elle existait avant la modification.

En réduisant l’âge des personnes àcharge à moins de 19 ans, le Règlementsur l’immigration et la protection desréfugiés s’harmonisera, par cettemesure, aux définitions provinciales del’« âge de la majorité », qui est actuelle-ment réparti de façon égale entre 18 et19 ans dans les provinces et territoires.

Les jeunes adultes qui ont dépassé lalimite d’âge pourront présenter unedemande d’immigration au Canadafondée sur leur propre situation, à titred’étudiant étranger ou dans le cadre dedivers programmes d’immigration éco-nomique.

Des mesures transitoires sont en placepour permettre à certains demandeursparticipant à des programmes d’immi-gration liés à la résidence permanente

procédure d’immigration

Des Changements apportés à la définition d’enfant à charge

Le 1er août 2014 – MISE À JOUR

avis

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48ème parution 20

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

comportant plusieurs étapes, quiavaient déjà amorcé le processus d’im-migration avant le 1er août 2014, maisqui n’avaient pas encore présenté leurdemande de résidence permanente,de voir leur demande traitée en fonc-tion de la définition d’enfant à chargetelle qu’elle existait avant la modification. Ces mesures transitoires s’applique-ront à certains membres des groupessuivants :

• les personnes ayant présenté unedemande dans le cadre du Programmedes candidats des provinces ;• les personnes ayant présenté unedemande dans le cadre d’un des pro-grammes d’immigration économiquedu Québec;• les aides familiaux résidants;• les réfugiés à l’étranger et lesdemandeurs d’asile; • les cas du Québec comportant descirconstances d’ordre humanitaire;• les parents et les grands-parentsdont la demande de parrainage a étéreçue avant le 5 novembre 2011;• les réfugiés parrainés par le secteurprivé dont la demande de parrainage aété reçue avant le 18 octobre 2012.

En outre, à compter du 1er août 2014,afin de s’assurer que les enfants quirépondent à la définition d’enfant àcharge lors de la première étape d’unprogramme d’immigration lié à la rési-dence permanente et comportant plu-sieurs étapes demeurent admissiblestout au long d’un processus qui peutdurer pendant des années, l’âge del’enfant sera fixé lors de la premièreétape du processus d’immigration offi-ciel, sauf pour les enfants auxquelss’appliquent des dispositions transi-toires. Par exemple, l’âge de l’enfantdont le parent présente une demandedans le cadre du Programme des can-didats des provinces sera fixé aumoment où la demande de désignationsera présentée à la province.Les dispositions réglementaires ont étépubliées dans la Partie II de la Gazettedu Canada en date du 18 juin 2014. Ilest possible de les consulter à partir dece site Web.Pour en savoir plus au sujet des chan-gements apportés à la définition d’en-fant à charge, y compris les change-ments connexes et leur incidence,veuillez consulter le site Web de CIC.

Source : Site du gouvernement du Canada

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48ème parution 21

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