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2016

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Verviers - Dison

Resistance

ExpositionCafé politique

AnimationsThéatreConférences

Débats

Projections

facebook.com/CepagVervietois

Prés

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n8 festival de résistanceDepuis 2009, le Cépag verviétois et la FGTB de Verviers et Communauté germanophone organisent, en partenariat avec d’autres acteurs culturels et sociaux, un Festival de Résistance pour rendre hommage à ceux qui ont lutté et à ceux qui se battent encore contre les inégalités ou les injustices, pour défendre des libertés collectives et maintenir la perspective d’un monde meilleur.

Depuis 2 ans, d’autres régionales ont décidé de la rejoindre, tel est le cas d’AFICO à Namur et de la CCB à Bruxelles.

2016 sera un déploiement du Festival vers la majorité des régionales du CEPAG.

De Mons à Verviers, en passant par Namur, Bruxelles, Charleroi, Arlon, Beaumont, des activités seront organisées autour du Festival de Résistance.

De son fil rouge - l’appel des résistants - fleuriront des conférences, des formations, des activités culturelles sur le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles et durant la période de mai à juin.

Un programme détaillé de toutes ces activités pourra être consulté et téléchargé sur le site du CEPAG.

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édit

oEn 2016, décliner la résistance au présent, encore et toujours !Le verbe « résister » doit toujours se conjuguer au présent. L’injonction de Lucie Aubrac, résis-tante française, se révèle d’une rare modernité.Il s’agit aujourd’hui de mesurer les contours d’un fascisme qui vient, qui revient. Un Ministre de l’Intérieur envisage le port d’un signe distinctif pour les réfugiés. Remonte à la surface de la mémoire collective l’image de l’étoile jaune ou du triangle rouge. Un gouverneur de Province invite ses administrés à ne plus les nourrir et les voilà réduits à une condition animale. Des forces de l’ordre les numérotent au marqueur indélébile à la manière de tatouages concen-trationnaires. Un bourgmestre envisage la création d’un « camp », moins « façon Guantanamo » que sur un modèle sans doute démocratique type Drancy, Barcarès ou Argeles… dans la France des années noires.Ces expressions indignes d’autorités reconnues ouvrent une boîte de Pandore et libèrent en les légitimant une parole raciste, xénophobe et hostile… Elles désignent un coupable de nos maux, un bouc émissaire pour distraire le citoyen du conflit fondamental, celui de la lutte des classes, dont le milliardaire américain Warren Buffet disait qu’elle existait vraiment et que c’est la sienne qui était occupée à la gagner…Le fascisme surgit dans un contexte économique précis. Nous y sommes. L’accumulation du ca-pital atteint des proportions critiques. Les salaires sont bloqués. L’index sauté. Le modèle social construit dans l’après-guerre est attaqué. S’il est défait, nous retournerons à celui de la guerre. La ponction actionnariale dans nos entreprises a rarement été aussi massive qu’aujourd’hui en Wallonie, en Belgique, dans le monde.Selon Oxfam, la moitié de la richesse produite par les travailleurs dans le monde est captée par 1% de la population.La 8e édition du Festival de Résistance se donne pour objectif de réfléchir aux voies et moyens pour transformer les logiques qui conduisent à cette société irrespirable.Résistance. Résistance. Résistance !

Daniel Richard 3

Expositions

Spec

tacl

eUn Deano presque parfait

C'est en 2007 que le rappeur belge James Deano s'est fait brillamment remarquer pour son titre «Les Blancs ne savent pas danser». On découvre à la sortie de son album «Le Fils du commissaire» un homme plein d'humour. Et c'est tout naturel-lement qu'il s'est tourné vers une carrière d'humoriste, notamment avec l'équipe du Kings of Comedy (Bruxelles).

Il se voit par la suite proposer une place de chroniqueur dans la célèbre émission radio dominicale Les Enfants de Coeur sur Vivacité !

James Deano, artiste aux multiples facettes, allie depuis quelques années maintenant ses carrières musicale et hu-moristique avec un équilibre certain.

Dans son premier one-man-show, «Un Deano presque parfait», l'artiste belge démontre à quel point il maîtrise l'humour et la langue française qu'il utilise avec brio pour raconter son quo-tidien et son parcours.Une soirée mémorable en compagnie d'un maître des mots mordants !

Passage exceptionnel à ne pas manquer !

PAF : 12€Prévente : 10 €

Réservation : Cc de Dison087/33.41.81.

sa. 16/04 à 20h

Tremplin - Salle Stotzemrue du moulin 30a - Dison

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Café

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Le capitalisme 3.0 est à nos portes. Après l’âge de la vapeur, puis celui de l’électricité, une nouvelle révolution industrielle est en marche. Google, Uber, Amazon, Apple, Facebook, Wikipedia sont les éléments avancés d’une vague qui va em-porter l’économie et la société toute entière.

Entreprises, administrations et salariés sont menacés. À moyen terme, nous disent Philippe Escande et Sandrine Cassini, journalistes au Monde et aux Echos, un emploi sur trois pourrait disparaître. Avocat, médecin, banquier, profes-seur, journaliste… toutes les professions sont concernées.

Fin du salariat, fin des petits chefs et des grandes organisa-tions, le monde du travail construit au début du XXe siècle est en train de se recomposer. Fin de l’intimité aussi ! Etats et en-treprises peuvent désormais tout savoir de nos besoins, de nos désirs, de nos vies. Mais il est aussi plus facile qu’hier d’entreprendre, de travailler, de se faire connaître... Le numé-rique rend plus libre, plus informé, plus créatif. Moins seul.

Sommes-nous à l’aube d’un hyper capitalisme marchand où tout sera à vendre ? Ou inversement la société va-t-elle se convertir à l’échange et au partage ? Enfer ou paradis ?

Brasserie «C POPULAIRE»,Crapaurue 7 - 4800 VERVIERS

Entrée libre

lu. 18/04 à 20h

La fin du contrat de travail ?

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tCapitaine Thomas Sankara

Ce documentaire captivant dépeint avec humour la révolution conduite par Thomas Sankara, ancien président du Burkina Faso.

De 1983 à 1987, Sankara se bat en faveur de l'indépendance politique du pays, de son désendettement, mais aussi de l'éducation des jeunes, de l'émancipation des femmes et de l'éradication de la corruption. Cette politique intransigeante et les frasques de ce jeune, beau et brillant dirigeant font trembler le monde des puissants et s'achèvent en 1987, année de son assassinat.

Depuis plus de 25 ans, Christophe Cupelin collecte inlassablement les archives écrites, sonores et audio- visuelles et réussit à travers un montage méticuleux à brosser un portrait exceptionnel de cette icône révolutionnaire.

Centre Culturel de DisonRue des écoles, 2 - 4820 DISONEntrée libre

La projection sera suivie d’un débat

je. 28/04 à 20h7

Con

fére

nce

Économie et éthiqueQu’est-ce qu’un entreprise sociale ? Une entreprise qui fait rimer activité économique et utilité sociale, une entreprise où le pouvoir est partagé équitablement. L’Economie Sociale propose donc un modèle économique crédible, productif et viable basé sur des principes et des valeurs. Concrétisés dans la législation belge, les fondements de l’Economie Sociale sont : la finalité sociale et non celle de profit, la gestion démocratique de l’entreprise, l’autonomie et l’indépendance, la primauté du travail sur le capital dans la redistribution des richesses. C’est l’union de ces quatre principes fondateurs qui font la force des entreprises sociales car l’économie sociale n’est pas une économie à la carte…

Centre Culturel de DisonRue des écoles 2 - 4820 DISON

Entrée libre

Intervenants :Violaine WATHELET (SAW-B)Xavier ROBERTI (ASBL TERRE)

je. 12/05 à 20h8

Café

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Les mots du pouvoir, le pouvoir des motsA longueur de journées, on nous déverse une pensée unique. On nous assène de prétendues évidences. On nous dit qu’il n’y a pas d’alternatives aux politiques d’austérité. Beaucoup de ces affirmations sont (très) discutables.

Pour Pascal Durand, professeur à la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université de Liège les nouveaux mots du pouvoirs sont ceux par lesquels le pouvoir (politique, médiatique, financier) intervient dans l’espace public, se légitime et impose son idéologie. Des mots qui, « à force de revenir à répétition dans le discours politique et dans le discours de presse, se font largement oublier comme formes idéologiquement marquées » (p. 9). C’est ce marquage idéologique que cet « abécédaire critique » entend élucider, voire révéler, en dévoilant les connotations, gauchissements ou dévoiements de mots et expressions devenus insignifiants à force d’être quotidiens.Brasserie «C POPULAIRE»,

Crapaurue 7 - 4800 VERVIERS

Entrée libre

lu. 23/05 à 20h9

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tLa loi du marché

Après quinze mois de chômage, Thierry, quinquagénaire, cherche toujours un emploi et va de déceptions en déceptions. Avec son épouse, il doit gérer un budget de plus en plus serré au fur et à mesure que leur épargne s'épuise. Ils essaient à tout prix de sauvegarder l'essentiel : leur appartement et les aides nécessaires pour les études de leur fils Matthieu, un adolescent infirme moteur cérébral.

Thierry finit par retrouver un emploi d'agent de sécurité dans un supermarché. On lui demande alors d'espionner ses collègues pour que le patron puisse licencier du personnel et accroître les bénéfices. Il se retrouve face à un dilemme moral.

Centre Culturel de DisonRue des écoles 2 - 4820 DISON

Entrée libre

Débat animé par ATTAC Liège

me. 25/05 à 20h10

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Autour du spectacleQuelle qu'en soit l'issue !

Ateliers «pains»Partager les pains du monde Foire aux savoirs

Balade dans VerviersSur les traces des 250 ans de résistances

Spectacles Animations

Expositions

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Week

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CONCERTS

BBQ solidaire

Le Tremplin - Salle Stotzem - rue du moulin 30a - 4820 Dison

Expositions

Ven. 3 juin - Sa. 4 juinCONFÉRENCE - DÉBATAvec Michel Husson

«Quelle qu’en soit l’issue»THÉÂTRE

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esAvec le soutien de :

Solidaris, la mutuelle des militants syndicauxde la FGTB Verviers et Communauté germanophone

Expositions

Récapitulatif des activitésAvril

Mai

Juin

sa.lu.je.

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20h20h20h

p. 5p. 6p. 7

SpectacleCafé politiqueCiné-débat

Un Deano presque parfaitCapitalisme 3.0, ...Capitaine Thomas Sankara

je.lu.

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20h20h

p. 8p. 9

ConférenceCafé politique

Entre économie et éthique

ve. 03 p. 11Week-end de clôturesa. 04 p. 12

Les mots du pouvoir, ...me. 25 20h p. 10Ciné-débat La loi du marché