ARTS ET SPECTACLES

À L’AFFICHE DÈS LE JEUDI 17 AOÛT À 22HDANS LES CINÉMAS ET CINÉ-PARCS!

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V.F.Q. deSNAKES

ON A PLANE

SAMUEL L.JACKSON

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134A

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092A

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997

COMÉDIE deFRED CARMICHAEL

ADAPTATION :MICHEL FORGET ETVINCENT BILODEAU

MISE EN SCÈNE :VINCENT BILODEAU

NICOGAGNON

ALAINZOUVI

FRANCEPARENT

BRIGITTEPAqUETTE

ANDRÉLACOSTE

DIANEGARNEAU

RÉSERVATIONS‑: (450) 227‑8466 (514) 990‑4343www.theat res t sauveur. com sortie 60, 15 nord

THÉÂTRE SA INTE ‑ADÈ L E

RÉSERVATIONS‑: (450) 227‑1389 (514) 990‑7272www.theatresteadele.ca sortie 67, 15 nord

ANNETTEGARANT

BENOITLANGLAIS

AGATHELANCTÔT

JEAN‑PIERRECHARTRAND

CLAUDELAROCHE

COMÉDIEde SAM BOBRICK

ADAPTATION :MICHEL FORGET

MISE EN SCÈNE :YVON BILODEAU

MARIEMICHAUD

MARIEMICHAUD

FA I T E S V O U S P L A I S I R E N P R O F I TA N T D E N O T R E E X C E L L E N T S O U P E R S U R P L A C E

THÉÂTRE SAINT‑SAUVEUR

3420

909

SupplémentaireSSamedis 2 et 9 septembre, 19h

SupplémentaireSVendredi 1 septembre, 20h30Samedi 2 septembre, 19h

Une comédie subtile qui plaira sûrement auxfemmes. Il y a de quoi, vous verrez bien.Excellent jeu de Chartrand et Laroche et belleprestation d'Annette Garant.

Jean Beaunoyer, La Presse

Une remarquable performanced'Alain Zouvi. Excellentecomédie. Des acteurs solidesqui ont l'expérience du théâtreet qui défendent magnifique-ment leurs personnages.

Jean Beaunoyer, La Presse

HUGO DUMAS

Après avoir été évincée de Flashau printemps, Patricia Paquin ade nouveau expérimenté la bru-talité du milieu de la radio et dela télé, a appris La Presse. Cet été,elle devait tenir le gouvernail duShowbiz chaud pendant six semai-nes, afin de couvrir les vacancesd’Érick Rémy.

Mais quand ses patrons du 98,5FM ont reçu la confirmation offi-cielle qu’elle traversait à Rythme-FM, zip, ils ont décidé de la retirerdes ondes, après seulement quatresemaines au microphone. Et c’estMarc-André Coallier qui a étérappelé à la rescousse pour com-pléter le reste du contrat estival.

Le directeur de la programma-tion du 98,5 FM, Yves Bombar-dier, affirme avoir «déployé tousles efforts pour conserver Patriciaà l’antenne le plus longtempspossible».

Il note toutefois que sur un«plan philosophique, c’est tou-jours plus sage de prendre unepause entre deux contrats de façonà ce que les gens n’associent pasPatricia Paquin à un média tropprécisément». Entre les lignes, oncomprend que le 98,5 FM ne vou-lait pas que l’animatrice amèneson public au 105,7 de la bandeFM. Oui, ça joue dur.

Jointe hier par La Presse, PatriciaPaquin confirme que son contratau Showbiz Chaud a été écourté enraison de sa désertion pour unestation concurrente. Toutefois,elle a pris la chose avec un grainde sel. «Ça m’a permis de passerdeux semaines de vacances avecmon fils», explique-t-elle.

Du lundi au jeudi, PatriciaPaquin partage maintenant lemicro avec Sébastien Benoitau Bonheur est à quatre heures, àRythme-FM. Elle participera au

Match des étoiles cet automne ettournera une émission de La PetiteSéduction pour l’été prochain.

Et si Patrica Paquin ne se plaîtpas à Rythme-FM , « les por-tes sont ouvertes au 98,5 FM»,affirme Yves Bombardier.

Sonia revient à TQSTQS fête ses 20 ans à l’automne

et a confié l’animation d’une émis-sion spéciale de deux heures àSonia Benezra, qui a longtemps étéune tête d’affiche du réseau. Vouspourrez voir le tout le 4 septembreà 20h. Au menu : des extraits desémissions qui ont marqué Télé-vision Quatre Saisons, dont Sortiravec Julie Snyder, Coup de foudre,Caméra 86, La Guerre des clans et Gar-den Party. Le tout sera entrecoupéde témoignages d’artistes qui onttransité au Mouton noir.

Contrat écourtépour Patricia Paquinau 98,5 FM

LOUISE COUSINEAU

TÉLÉVISION

Je suppose qu’il n’y a pasun seul homme sur terrequi n’a pas rêvé d’être poly-game. Ils ne l’avoueront

jamais, mais c’est vrai. Pour eux,la série dramatique Big Love, quicommence demain soir à SuperÉcran à 21h, sera une réalisationde leurs fantasmes.

Pour vous mesdames, ce seraautre chose. Elles sont trois à separtager les corvées ménagères etl’éducation des enfants.Mais ellesdoivent aussi partager le mari, ense demandant à chaque secondequi est l’épouse préférée. Quandl’une d’elles, la plus jeune biensûr, pousse des cris de bonheuralors que son Bill est merveilleuxau lit, il faut voir la tête des deuxautres dont ce n’est pas le jour.Big Love se déroule dans la ban-

lieue de Salt Lake City, chef-lieude la religion mormone aux États-Unis. Officiellement, la polyga-mie est interdite depuis 1890.Mais il y a actuellement entre20 000 et 40 000 polygames auxÉtats-Unis, surtout dans l’Utah etl’Arizona.

La famille de Bill Henricksonest installée dans trois maisonsvoisines qui partagent une mêmegrande cour avec piscine. Lestrois femmes établissent l’horairede Bill au lit. On s’échange dessoirs en cas de contretemps.

Bill est propriétaire d’un genrede Réno-Dépôt en plus petit etcompte en ouvrir un deuxième.Lui et sa famille ne sont pasdéguisés en noir comme certainessectes. Ils sont modernes, Bill aun téléphone cellulaire, les fem-mes sont bien habillées et coiffées.Mais le féminisme n’est pas encorerendu chez elle. Leur vie consiste àplaire à Bill. Tout un contrat.

Le premier épisode vous montrel’univers de ce pacha des temps

modernes et de son harem. Toutle monde a l’air heureux. Jusqu’àce qu’on découvre les tiraillementsdes femmes, leur insatisfaction,même si Bill carbure au Viagra.

La série de 12 épisodes seradiffusée, comme Les Soprano 6, quiont commencé hier soir à SuperÉcran, en tranches de deux épi-sodes d’une heure les mercredissoirs. Il y a des reprises dont on

ne peut nous dévoiler les heures etles dates pour des raisons que jene suis pas parvenue à compren-dre. Mais il y aura éventuellementrediffusion cet automne. Sauf qu’ilfaudra payer en sus car elles serontà Super Écran sur demande.

Le scénario a été écrit par deuxhomosexuels : on sait que la com-munauté gaie est en pleine courseà la légalisation du mariage entrepartenaires du même sexe. Dansmon livre à moi, le mariage gaiest beaucoup plus acceptable quela polygamie, où les femmes sontpresque des esclaves.

Pour ne pas faire passer Bill,ses trois femmes et ses sept

enfants pour des méchants, lesauteurs ont inventé une sectemormone très vilaine dans sespratiques, avec un chef dont levisage évoque celui de feu ClaudeRyan. Est-ce lui qui tente d’as-sassiner le vieux père de Bill, que

sa femme laisse croupir sur leplancher du salon? À vous de ledécouvrir. Un univers repoussantet fascinant à la fois.

Le petit Jérémy oui,le vilain sida non

Le Congrès international sur lesida qui a commencé dimanche à

Toronto a attiré Bill Gates,Bill Clinton, Richard Gere,Michaëlle Jean, mais pas leréseau TVA, qui a décidé decouvrir l’événement depuisMontréal. TVA utilisera lesimages de CTV et de CNNet la journa liste MaryseGagnon regardera les vidéo-conférences de Montréal.

Vous vous souvenez peut-êtreque le voyage du petit JérémyGabriel à Rome où il a chantépour le pape a été l’objet d’unevaste couverture quotidiennependant une semaine depuisRome où TVA a dépêché l’excel-

lent journaliste Paul Larocque.Un seul reportage aurait suffi.

Bien sûr, TVA vous donnerades nouvelles du congrès surcette maladie qui a fait près de40 millions de victimes dansle monde où toutes les heures,600 nouvelles personnes sontinfectées. Mais qu’un congrès àsix heures de route de Montréalsur un sujet aussi important nesoit pas couvert sur place par ungrand réseau qui se targue de sesprouesses en information, celadépasse l’entendement.

Radio-Canada a des gens surplace et vous donne des nouvellesautant à ses deux chaînes de téléqu’à la radio et sur son site Web.

Adieumonvidéoway !

Il paraît que j’ai été la dernièrecliente de Vidéotron à faire débran-cher mon vidéoway, cet appareilrévolutionnaire fabriqué par Zenithen 1988 et qui a été adopté parVidéotron pour développer sa télé-vision interactive. Au moment desa sortie, le convertisseur nouveaugenre a fait la manchette partoutdans le monde. Et L’ex-grandpatron de Vidéotron, André Cha-gnon, y croyait dur comme fer. Ungenre d’Internet en plus petit.

Ce que j’aimais de mon appa-reil devenu obsolète, c’est que jepouvais jouer à la patience et auscrabble contre Félix durant lespauses commerciales, que j’en-tendais sans les voir. De quoi secalmer les nerfs.

En mai dernier, nous n’étionsplus que 15 000 clients à avoirencore un vidéoway. L’objet a dis-paru début août parce que Zenithne fabriquait plus de pièces derechange, qu’il n’y avait plus denouveaux jeux attirants et surtoutque l’appareil bloquait 12 canauxnumériques. Or, à l’explosion dunumérique, Vidéotron a besoinde tout l’espace possible.

Illico offre bien plus de canauxet de possibilités, mais malheu-reusement mon partenaire de jeuFélix n’y est pas. Démodé. Inu-tile. C’est le progrès.

BIG LOVE

Un mari, trois femmes et sept enfants :la polygamie est-elle votre tasse de thé?

PHOTO FOURNIE PAR ASTRAL TÉLÉ

Elles sont trois à se partager les corvées ménagères et... Bill, leur mari. La série Big Love, présentée à compter dedemain à Super Écran, risque de plaire aux hommes !

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Ils sont modernes, Bill a un téléphone cellulaire,les femmes sont bien habillées et coiffées. Maisle féminisme n’est pas encore rendu chez elle.Leur vie consiste à plaire à Bill. Tout un contrat.

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