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la IliKta, ..«i..t tint*'- de >'• •.... -. '.-r -n"" riant le \'ntr<- n\»*i un couteau 1 ran-*pf>ri'- à l'hôpital, il a. maigre les M.<JT.S les plu> d> : - rourS, rendu, hier, ù- derniv" s.Lipir. au mi- lieu d'horribUs n'uffr.iiKcv,. Commissariat spécial M. Caire, commissaire sytf* ial, et Mm»* Caire, sont partis ce matin, pou: Aups, (Var) ils vont prendre leur congé annuel d'un mois. TCn l'absence de .\1 .Cane-, 1' service du commissariat spécial, ser;* assuré par II. Clément, minnk<-airf cfnti;*! Trains spéciaux. Ce matin, .i X heures 15, uo train spécinl. liansportar.i un bui.ullon du '4 ! " d*' ligne, à l'effectif de 15 officiers, ',5-. 1oainifs --t iS chevaux, retour l'.r*, mancruv.'i-- alpina, ft allant à Mar-rillr a travers.* notre gare. Demain, k la mènv* heurf <* ' pour la n»-" 1 - tnr destination -*era passag* un bataillon du % "dp ltfcne. à P«ffectif de '1 nfticifr* i»t * t" hornm^'. i«Uc-lle H«nrifM<« Boni- tmy, professeur de Français Diplôme supé- rieur, 5, Boulevard Carnot. 4969 LIQUIDATION à GRAND RABAIS DE MEUBLES DE \" CHOIX AMEUBLEMENTS 66 bis, Rue d'Antibes LIQUIDATION pour cause de Cessmiion de L'omuterCê FONDN Maison bien connue pour ne vernir 1 * que des m«bles de premier choix et pour les soin» apportés dan 1 * les livrait) n•>. 4-raa«l raha! M sur toutes les marchandises qui sont de première fraîcheur, les meubles gar- nissant les magasins sont des meubles neufs, la Maison n'ayant jamais fait la location. ^432 Kégin* H(3 tel Bernmcoa de tout premier ordre,— Onvor* toi'» l'A noétj ÀIX-LKS-BAIN8 A TOUS LESACRS PAR LA NOUVELLE METHODE des DOCTEURS MARIE Frères La question do la puérisonde la Hernie ne laisse plus place à aucune équivoque de- puis la merveilleuse découverte des Doc- teurs MARU-, I-Vèrcs. le» illustres médecins spécialistes, io8. rue de Rivoli, à Paris. Ils ont su imposer lûiirs vues au Corps Médical et s'attirer la confiance des malades par desraillionsde guérisoii-. obtenues dans tous les pays par l'application de leurs ap- pareils perfectionnés, souples, légers, imper- ceptibles et se port.uit nu.; ei jour sans gène. Les nombreuses personne* habitant notre contrée, qu'ils ont délivrées à jamais de l'infirmité cruelle, vont un garant certain de l'efficacité unique de ces incomparables appareils qui, sans souffrances, appréhen- sions d'aucune sorte, ref<»iile:u graduelle- ment la tumeur et I.i font disparaître rapi- dement sans aucun danger de récidive. Aussi, nous n<* saurions trop conseiller à nos lecteurs de profiter du passage du re- nommé spécialiste de Pari» q-.;i recevra de o heures à 5jeures à. CANNES, Lundi 3 août, It-',iel de l'Uni- vers ; NICE, Mardi 4 août, Hôtelde, Etrangers. AVIS. Nous sommes heureux de pou- voir annoncer queMM. MARIE frères pour mettre à la portée de tous leur méthode ont consenti à ne plus recevoir d'honoraires mênir après jjuéri^on constatée. 'M4- 1 ' FEUILLETON DU LITTORAL DANIEL RICHE Faite pour Sourire J ..mai» •!!<• m- s'ubamio n.ji .ut unis; ;ui bras d'un aimable cavalici, jamais elle n'en- tendrait de tendres paroles murmurées à son oreille. Elle avait fui Raymond. Raymond à qui ille avait donné tout son coeur et qui. froisé de son départ subit, la croyant indigne ci né- pris.ible, peut-être, déjà, l'.ivait oubliée. Quelle dette avait-elle donc assumtc en face de l'inconnu pour avoir à subir un châti- ment si grand ? Elle avait été mariée, elle avait été dans une situation brillante et elle avait snutfert. l'lu s tard elle avait été aimée, elle avait aimé et ses souffrances avaient été encore plus jjrandes ! Maintenant elle se trouvait perdue à l'é- tranger, sans personne à qui confier ses aspi- rations secrètes, ses désirs intimes. Car elle ne voulait attrister ni son amie ni la bonne Annctte qui se seraient désolées inutilement de sa peine. •— Mademoiselle, vous ne me connaissez (>..>, mais, moi, je vous connais. Au son decette voix cuivrée.elle redressa la tête et vit en face d'elle le vieux commamU- tore, tout courbé. - Je suis le commanda tore Lope* «jui (i»)l.rE-Ji;A\ A -propos de coups de couteau. On nuu> prii' dedéclarer (|ue l'affaire lit--, coups de couteau donnés par Ksturrga <•( B;uus, s'est déroul*"'* mmau H.ir Chrvrier, mais en face di cet établissement tranquille-. Voilà qui «>t LES LE TOUR DE FRANCE CYCLISTE LEtape Bayontie-Herdeaux aj<> kilomètre>, Voici li- classement ; i Ci I'aulraier, 2* Passtrieu, 3" K. Kabci, 4* Garrigmi, 5 U ('>• Kleury, 0" Beaug-*ndrr, ;• Germain. Bulletin Financier Paris, le 30juillet Marché fernif dans sonensemble. Notre 3 % s'avanre à 90 rt les autres fonds d'Etats sont l)i>'n icnuf ; rus^c igno, ^,45. Turc oX>. r^, So<irtr (iênérale en bonnes disposi- tions à 604, Crédit Lyonnais 1.18X. La sous cription auï obligations de.i chemins de fer nationaux du Mexique a été largement cou- vt-rtf. Nos garnds chemins sont à peu près stationnain-v Valeurs industrielles ou d-r trirtion indénsr- : le Métropolitain k 476, la Thonwm à biK et l'Electricité à 353. Les obligation- Tj;im\\ays. eVlairaifc et de force à Rin-de-Janeiro sont bien tenues à 414. L'action d»- \ante-s-Butter a conservé un marché animé i-t termine à !$.$<>, avec des demande* suivies. On peut dejà, par les ré- sultats acquis et (jui ont permis di- payer un dividende df n* ;, aux actions après une pr> mière année d'exploitation, avoir la cer- mud' 1 cjui" le dt : vrlopji"ment des affaires si- poursuivra raptdt ment. Le Rio s'inscrit en nnuveau prngrè.- i* t68o et les mines «ont m Li.-i r.Ri:vKs SARCLANTES l'ans. Soixante neut'ofïiciers ou soldats ont été blessés au cours des événements d'avant-hier, A Draveil- Vignouv Plusieurs meneurs île grè- ve, ft de la Conlédèratiuii générale du travail, ont été arrôtés. De nombreux mandats d'arrêt ont été décernés corr tre les fauteurs de désordres. Au MARUC Paria. — Des télégrammes reçus du général d'Amade et de l'Amiral Berrjer, il résulte que la mehallu du sultan continue, sans incident, sa marche à travers le territoire des Tadla. Elle se trouvait, le _"•'juillet, à Hounlnli, chez tes Beni-Mnskaïn ; elle a atteindre, hier l'OunvKr-Rbia et se trouveniit ainsi à environ à 150 kl- lomùties de Merakecli. après avoir parcouru % &*0 kilomètres depuis Ra- bat Tout est tranquille dans les ports. La situation a Saffî s'est sensiblement améliorée. LES AFFAIRES DE TUKQUIK Confiant 1 nofjle.— I>» selnmik a été célébré dune fe<;on grandiose. Qua- rante mille personnes y ont pris part en toute liberté. Le sultan, qui était debout dans sa voiture, a été acclamé avec un immbnse enthousiasme. Apres Iosetamlik. le sultan a *•.••• •. possède le* plus beaux diamant* de tout le Brésil. - Mais je reconnais tout de suite que pas une de ces pierreries n'égale l'éclat de vos yeux. Oh ! monsieur !... Jele dis parce tjuu c'est la vérité. Vous me rendriez le plus heureux des hommes en n K' laisiint l'honneur de danser avec moi cette valse. In peu étonnée de lii présentation, elle ré- pondit, atténuant Ui sécheresse de sa réponse d'un sourire : Merci, monsieur, je ne danse pas. Vous ne me ferez pas cet allront. te n'est pas unaliroiit, je ne danserai avec personne. Kl en insistant beaucoup ' Je regrette... Kt en vous demandant la permission de glisser à votre doigts ce beau diamant ? Et (lu peste il indiquait une bague qui encerclait son petit doigt. Ce serait inutile, je ne porte pas fie bi joux> Oh î vous êtes très méchante. Et comme Edouard ramenai! Nituc, di-ju ébouriffée par le plaisir d<* la danse, il se tourna, vers elle. Jesuis sûre que vous .serez plus aima- ble que votre su i ur et que vous permettrez à un ami de Mme San Ferez de valser avec vous. La brune tille eut un rire amusé devant son air cocasse et comme Kdouarcl prenait un air mécontent de cette invitation, elle répondu, lui lançant une oeillade taquine: Bien volontiers, monsieur... je suis mê- me très flatlée d'avoir été remarquée par un aussi brillant cavalier.] ; «n auùi> née collective, les arnuassa- ' deura de Perse, d'Italie, des Etats- Unis et d'Autriche-Hongrie; les mi- ; nisires plénipotentiaires d'Espagne. d'Angleterre et d Allemagne Rt Ios chargés d'affaires de France et do Monténégro. Kn se rendant à lu cérémonie et en î revenant, Iet> troupes ont été accle- : niées d'une faron extrêmement chu- j leureuse. ; Le selomlik a eu lieu sans incident. i Les troupes, revenant de Io cérémo- j nie, ont élé saluées pur la foui*» avec un grand enthousiasme. RKTOUR Dii M. BRUNO Paris. M. Briand. ministre de la .lus'ico. renirero ce miitin a Paris. LE (-.RIME D'ANTONT l'aria — Les nssassins de Mme Larriou, a Antoay, sont tous arrêtés. L'instigrtU'ur du crime est le neveu de In victime. Ses complices sont les sieurs* Dutoy et Schwot». LK SHAH E.N PROMENADK Téhéran. Pour la première fois, depuis l'attentat dirigé contre lui, le Shah, avec une furie escorte, a fait une promenade dans Ios environs de Téhéran. ZURICH Assurances contre le vol et l«j accidents &OS. ALPOZZO, agent partie alier 3, Rue Florian CANNES 6M1 ETDDE de Antoine VKRDET, gradué en droit, huissier à Cannes, 25, rue Bivouac, successeur de M* PORTAN 1ER Vente après Saisie Le MARDI QUATRE AOUT [\m, à 2heures du soir et jours suivants s'il y a lieu, dans la Salle des Ventes, sise à Cannes, rue de Cronstadt n' 4, il sera procédé par le ministère de l'huissier soussigné, à la Vente aux Enchères Publiques au plus offrant et dernier enchéris- seur d'un Joli Mobilier, consis- tant en : Buffet, servante, table» diverses, tables de nuit, canapé, chaises, guéri- don , </ laves, suspen s ion, peu du les, candélabres, lampes, tableaux, lit cage complet, commode, armoire à glace, ustensiles de cuisine, salle à manger, bibelots, etc. Au comptant. Cunnes, le 1" Août 11)08. U5 ( .»l Signé : Antoine VERDET. Spectacles et Concerts CANNES Musique Municipale. - Dimanche 2 août 1908. Kiosque des Allées à H heurci '.- du soir. 1. United fttatest marchr américain*, Tiespaillé : -. Maritana. ouverture. Wall A ce : 3. Le Petit Duc, fantaisie, Lrcocq , 4 La Cenerentol.i. rondo p. petite chirinettc. Et ellt glissa son bras ganté de blanc sou. 1 » celui déjà arrondi du marchand de diamant, tandis qu'Edouard, feignant un :*ir dégaf?6. leur tournant ledos, sedirigeait du cûté du buffet. Vidinne les regardait s'éloigner, lorsque, derrit-re elle, une voix un jicii «rave deman- da : Vous ne voulez donc pas danser ? Son visage s'éclaira et sans se retourner, ayant reconnu la voix de M. Rodrigue/., elle répondit : Non, je n'y tiens pas. Il vint s'asseoir près d'elle et poursuivit : Pourquoi ?... C'est de votre âge. KUe hocha la tète, négative ment. Kon, jesuis très vieille. Vingt-deux ans !... Vous avez donc bien souffert ? Oui. beaucoup. — "L'n jour vous me conterez vos chagrins. Peut-être, moi qui suis vraiment très vieux -•t qui ai aâissi supporté des épreuves bten douloureuses, saurais-je vous consoler ? Mais, à coté d'eux, l'on disait : Eh bien, voilà un (" i ner-iqiie. Arrive hier par le Champagne, il est ce soir au bal. De qni parlez-vous ? demanda l'inter- pellé. De ce monsieur, qui. près de la fenêtre, parle au Consul... C'est un français, monsieur de Laroche-1'ibrac. Au prononcé de ce. nom. dans unmouve- ment identique Vidinne et M. Kodriguez se trouvèrent debout, se cachant, d'un même recul d'etïrni, dans la serre plus sombre. Lui, encore lui !... Ah ! cet homme, il me poursuivra donc partout, balbutiait Vidinne. R'iwni , 5. r aubt, grande tantaiTic, Cjou nod ; 6 IVtite Mauvir-ttr, mazurka ds coin pour Hût' 1 , Vernaiobros. Renseignements ETAT-CIVIL du il juillet 1908. Naissances. Madala Louis, Paul, J«an, uu Pont Romain. hfartages. —• Néant. Décès. --- Eynard Ltienne. veuf Gay. K; ans. Totnbarel Marianne, vçuv« Ardisson, *r au>. Tcstorc Charles, 17 mois, BULLETIN METEOROLOGIQUE r R. AI, E X A .\ D HK, Opticien 24, KUH D'ABTIH* CAMUS* Oinnu, lu tl Juillet ltt Baromètre réduit à o > English Inches Thermo. 'lOntijçrada Exp. NordVahrtahvit Hygromètre Pluie Vent ! Etat du ciel 7°4 -o 30.08 24S 7b. 1 beau UM 703 0 ,0.04 21» 8 8s.6 iJ. i h. soir 762.0 ;o00 30 0 86.0 57 id. Baromètre aujourd'hui a 8 heurts dm matin : en baisse Français m i* : 760.0. English Inches : 29.92. Temps probable le 1er Août, Vent. Minimm Pahr-rati. Oatigra. 20.2 68.4 30.0 86.0 Parii LIDUI BI-T« Bvlln G r MAGASINS-iMEUBLEMENT CHOSSO IVères ~ Rue Mac* 0ANSB8 M plu«n.»». HAWAHIKa DE nKL'IlURM Qilerio Spéolilo d'Oooaslons — Looatlon jne Si rota roulei Belle Poitrine une gorge et dea épvulM ple.nei, nana creux ni Miflit» osaeusea, prenez les 'PUuUa Ori«alal«s". C«a pilules, toujours bieo- fsÎBante» pour U UDU «I •pprouTéM par la monde mé- lical, aont aana riTtlea pour développer, raffermir at recansUtnar l«a stioa aouf bion chas la famma qp* j PHI arair u fiaot* laveo nvtio* aaiw/er é'SI à an mentionnant le nem de sa iea F—l/ymm al dlMl CORRESPONOANCSa DES CHEMINS DE FER P.-L.-«. BSBTICE daa OMÏIBUi IM TAMIM1 à I'arr1**f H ponr I. d«p.n dw Irais. C*«B*I munir ou TOTMID» IIIC ataiaa i It J»n. i Dtauil; Mitait, mu» r o i » LE* DK.-e.avrs service assuré toute l'ana*a) Ltt commanda toni reçtui a* dépôt des (Mtn*. »«<• I** rus • l ' A n i l b e s . Téléf>ka>aia •••, « * la gart, au conlrôltur de itrvUt portant Ui intigtus de la Compagnie. c """l»"» pour Bagages, Transport i la petite et grande vitesse. 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', Ayez, la bonté de prévenir mon amie qu'elle ' me rejoigne de .suite, l Mais... : --•• Oh ! je vous en prie ! Chaque minute du J retard est un danger pour elle... et pour moi. 1 Jesaurai vous défendre. I _ Ah ! vous êtes bon et généreux, mais ! personne ne peut me défendre. ; Allons donc ! Croyez-vous queje ne se- 1 rais pas capable de vous protéger - 1 j Qui sait ?... Cet homme a la puissance ' du mal... Il a fait souffrir tous ceux qui l'ont I approché. ! M. Rodripuez tressaillit, puis répondit : - l'mit-itre parce qu'il les savait faibles et abandonnés. Mais Marcelle avec effroi, reprenait : 1.0 voilà !... il sedirige de notre côté... Laissez-moi fuir... laissez-moi fuir... Avec autorité, le vieillard répondit : Non. S'il vous a vue, votre départ pré- cipité lui montrerait que vous avo/ j>eur. Il ne faut pas lui donner cette assurance, l're- | uez mon bras, ayez Tair indifférent et calme.. Banques Comptoir 'National d'Escompte Parte Société Aoonyra* au capital -la *i»e milhoni, •nti«ri»aeDl TerH«H ~ jx ru. d Antib«a Ejcompl.. - MpM.a >ur. - Bon» 1 fch4âa c« flxit. chAjuw. L«tlrtw Cnyit et Mandata d. vojage. - Ch.ng». - Anoom «nr titras. P*i«meat de coupon.. - ordrw Bour»«. Dé- pôu da tiirw. — Location d#coffr«a-fQrw. - Oanla de cous. CREDIT LYONNAIS tt. «•* 4 imt,t*,. .- •».,„ _ Ch»«»« l\^m Baraaa ipfcial yoar Ici Rtraaaatt D'-uAli de fondi a vue •ONS A ECHANO1» 4 l « i A | « i, • (•••uni i 1 ; I n aa-dalt t tl'- Banque Populaire de CanM«n I . i , ra>4* U Otr» Chaai.. ••*,..pi», L.MM I A* Cridll Coatttt* é%th*^a»i a laHrMi Ut**« 4. loar.*. -,_. t AUKlfM K AP.T'CLES FUNÉRAIRES 18. Hue dt Cbatr-aQdon, 18 MAISON DE CONFIANCI AftTOlNE JEAN REPETTO et LACROIX m Mécaniciens au BIOXJ ENTREPRISE GÉKÉBALE da TRATADX DE PL0MBE8IÏ d EiD «t da »A1 M'°" P. 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Et, dissimulant de son mieux son émotion, relevant vaillamment la tête, elle s'avança dans le grand salon inondé de lumière. Un instant, h: vieillard évolua au milieu des couples ; puis lorsqu'il sentit la main mi- pnonne plus ilïcrmie sur son bras, sans <«s- tentation. il ne dirigea vers Xavier de Laro- che- Pi brac. Et Vidinne passant à côté de celui qui avait été son mari, (le celui qui l'avait terro- risée, brisée, meurtrie, sans trembler le fixa de ses yeux clairs. Surpris de la ressemblance, mais ne pou- vant se 4°' ltcr °. ue l a jeune femme qui, bien en face, le regardait était Vidinne, I-aroche- Pibrac demanda : Quel est ce couple ? - Le monsieur ? le plus riche banquier de la ville M. Rodrigue/ de las Paz. Quant à la jeune hllp, je ne la connais pas... Sans doute, une de ses parentes... Haussant les épaules pour chasser le trou- ble l'avait mis cette rencontre, sans in- sister, Xavier ^a^na la salle de jeu. Vn instant plus tard, au vestiaire, tout en jetant sur les épaules de Vidinne s.i sortie d** bal, M. Rodrigue/ disait affectueusement ; Vous voyez que vous auriez eu tort de craindre quoi que ce fut... (A swvrt)

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Commissariat spécialM. Caire, commissaire sytf* ial, et Mm»*

Caire, sont partis ce matin, pou: Aups, (Var)où ils vont prendre leur congé annuel d'unmois.

TCn l'absence de .\1 .Cane-, 1' service ducommissariat spécial, ser;* assuré par II.Clément, minnk<-airf cfnti;*!

Trains spéciaux.Ce matin, .i X heures 15, uo train spécinl.

liansportar.i un bui.ullon du '4 !" d*' ligne,à l'effectif de 15 officiers, ',5-. 1 oainifs --t iSchevaux, retour l'.r*, mancruv.'i-- alpina, ftallant à Mar-rillr a travers.* notre gare.

Demain, k la mènv* heurf <*' pour la n»-"1-tnr destination -*era dç passag* un bataillondu % "dp ltfcne. à P«ffectif de '1 nfticifr* i»t* t" hornm^'.

i«Uc-l le H«nrifM<« B o n i -tmy, professeur de Français Diplôme supé-rieur, 5, Boulevard Carnot. 4969

LIQUIDATION à GRAND RABAISDE MEUBLES DE \" CHOIX

AMEUBLEMENTS66 bis, Rue d'Antibes

LIQUIDATIONpour cause de Cessmiion de L'omuterCê

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Maison bien connue pour ne vernir1* quedes m«bles de premier choix et pour lessoin» apportés dan1* les livrait) n •>. 4-raa«lraha! M sur toutes les marchandises quisont de première fraîcheur, les meubles gar-nissant les magasins sont des meublesneufs, la Maison n'ayant jamais fait lalocation. ^432

Kégin* H(3 tel Bernmcoade tout premier ordre,— Onvor* toi'» l'A noétj

ÀIX-LKS-BAIN8

A TOUS LES ACRSPAR LA NOUVELLE METHODE

des DOCTEURS MARIE Frères

La question do la puérisonde la Herniene laisse plus place à aucune équivoque de-puis la merveilleuse découverte des Doc-teurs MARU-, I-Vèrcs. le» illustres médecinsspécialistes, io8. rue de Rivoli, à Paris.

Ils ont su imposer lûiirs vues au CorpsMédical et s'attirer la confiance des maladespar des raillions de guérisoii-. obtenues danstous les pays par l'application de leurs ap-pareils perfectionnés, souples, légers, imper-ceptibles et se port.uit nu.; ei jour sansgène.

Les nombreuses personne* habitant notrecontrée, qu'ils ont délivrées à jamais del'infirmité cruelle, vont un garant certainde l'efficacité unique de ces incomparablesappareils qui, sans souffrances, appréhen-sions d'aucune sorte, ref<»iile:u graduelle-ment la tumeur et I.i font disparaître rapi-dement sans aucun danger de récidive.

Aussi, nous n<* saurions trop conseiller ànos lecteurs de profiter du passage du re-nommé spécialiste de Pari» q-.;i recevra deo heures à 5 jeures à.

CANNES, Lundi 3 août, It-',iel de l'Uni-vers ;

NICE, Mardi 4 août, Hôtelde, Etrangers.

AVIS. — Nous sommes heureux de pou-voir annoncer que MM. MARIE frères pourmettre à la portée de tous leur méthodeont consenti à ne plus recevoir d'honorairesmênir après jjuéri^on constatée. 'M4-1'

FEUILLETON DU LITTORAL

DANIEL RICHE

Faite pour SourireJ ..mai» •!!<• m- s'ubamio n.ji .ut unis; ;ui

bras d'un aimable cavalici, jamais elle n'en-tendrait de tendres paroles murmurées à sonoreille.

Elle avait fui Raymond. Raymond à quiille avait donné tout son cœur et qui. froiséde son départ subit, la croyant indigne ci né-pris.ible, peut-être, déjà, l'.ivait oubliée.

Quelle dette avait-elle donc assumtc enface de l'inconnu pour avoir à subir un châti-ment si grand ?

Elle avait été mariée, elle avait été dansune situation brillante et elle avait snutfert.

l'lu s tard elle avait été aimée, elle avaitaimé et ses souffrances avaient été encoreplus jjrandes !

Maintenant elle se trouvait perdue à l'é-tranger, sans personne à qui confier ses aspi-rations secrètes, ses désirs intimes. Car ellene voulait attrister ni son amie ni la bonneAnnctte qui se seraient désolées inutilementde sa peine.

•— Mademoiselle, vous ne me connaissez(>..>, mais, moi, je vous connais.

Au son decette voix cuivrée.elle redressa latête et vit en face d'elle le vieux commamU-tore, tout courbé.

- Je suis le commanda tore Lope* «jui

( i » ) l . r E - J i ; A \A -propos de coups de couteau. On nuu>

prii' de déclarer (|ue l'affaire lit--, coups decouteau donnés par Ksturrga <•( B;uus, s'estdéroul*"'* mm au H.ir Chrvrier, mais en facedi cet établissement tranquille-. Voilà qui «>t

LES

LE TOUR DE FRANCE CYCLISTELEtape Bayontie-Herdeaux aj<> kilomètre>,

Voici li- classement ;iCi I'aulraier, 2* Passtrieu, 3" K. Kabci, 4*

Garrigmi, 5U ('>• Kleury, 0" Beaug-*ndrr, ;•Germain.

Bulletin FinancierParis, le 30 juillet

Marché fernif dans son ensemble. Notre3 % s'avanre à 90 rt les autres fonds d'Etatssont l)i>'n icnuf ; rus^c igno, ^ ,45 . TurcoX>. r ,̂ So<irtr (iênérale en bonnes disposi-tions à 604, Crédit Lyonnais 1.18X. La souscription auï obligations de.i chemins de fernationaux du Mexique a été largement cou-vt-rtf. Nos garnds chemins sont à peu prèsstationnain-v Valeurs industrielles ou d-rtrirtion indénsr- : le Métropolitain k 476,la Thonwm à biK et l'Electricité à 353. Lesobligation- Tj;im\\ays. eVlairaifc et de forceà Rin-de-Janeiro sont bien tenues à 414.L'action d»- \ante-s-Butter a conservé unmarché animé i-t termine à !$.$<>, avec desdemande* suivies. On peut dejà, par les ré-sultats acquis et (jui ont permis di- payer undividende df n* • ;, aux actions après unepr> mière année d'exploitation, avoir la cer-mud'1 cjui" le dt:vrlopji"ment des affaires si-poursuivra raptdt ment. Le Rio s'inscrit ennnuveau prngrè.- i* t68o et les mines «ont m

Li.-i r.Ri:vKs SARCLANTES

l'ans. — Soixante neut'ofïiciers ou

soldats ont été blessés au cours des

événements d'avant-hier, A Draveil-

Vignouv Plusieurs meneurs île grè-

ve, ft de la Conlédèratiuii générale du

travail, ont été arrôtés. De nombreux

mandats d'arrêt ont été décernés corr

tre les fauteurs de désordres.

Au MARUC

Paria. — Des télégrammes reçus

du général d'Amade et de l'Amiral

Berrjer, il résulte que la mehallu du

sultan continue, sans incident, sa

marche à travers le territoire des

Tadla. Elle se trouvait, le _"•'juillet, à

Hounlnli, chez tes Beni-Mnskaïn ; elle

a dû atteindre, hier l'OunvKr-Rbia et

se trouveniit ainsi à environ à 150 kl-

lomùties de Merakecli. après avoir

parcouru %&*0 kilomètres depuis Ra-

bat

Tout est tranquille dans les ports.

La situation a Saffî s'est sensiblement

améliorée.

LES AFFAIRES DE TUKQUIK

Confiant 1 nofjle.— I>» selnmik a été

célébré d u n e fe<;on grandiose. Qua-

rante mille personnes y ont pris part

en toute liberté. Le sultan, qui était

debout dans sa voiture, a été acclamé

avec un immbnse enthousiasme.

Apres Io setamlik. le sultan a *•.••• •.

possède le* plus beaux diamant* de tout leBrésil. - Mais je reconnais tout de suiteque pas une de ces pierreries n'égale l'éclatde vos yeux.

— Oh ! monsieur !...— Je le dis parce tjuu c'est la vérité. Vous

me rendriez le plus heureux des hommes enn K' laisiint l'honneur de danser avec moicette valse.

I n peu étonnée de lii présentation, elle ré-pondit, atténuant Ui sécheresse de sa réponsed'un sourire :

— Merci, monsieur, je ne danse pas.— Vous ne me ferez pas cet allront.— t e n'est pas un aliroiit, je ne danserai

avec personne.— Kl en insistant beaucoup '— Je regrette...— Kt en vous demandant la permission de

glisser à votre doigts ce beau diamant ?Et (lu peste il indiquait une bague qui

encerclait son petit doigt.— Ce serait inutile, je ne porte pas fie bi

joux>— Oh î vous êtes très méchante.Et comme Edouard ramenai! Nituc, di-ju

ébouriffée par le plaisir d<* la danse, il setourna, vers elle.

— Je suis sûre que vous .serez plus aima-ble que votre suiur et que vous permettrezà un ami de Mme San Ferez de valser avecvous.

La brune tille eut un rire amusé devantson air cocasse et comme Kdouarcl prenaitun air mécontent de cette invitation, ellerépondu, lui lançant une œillade taquine:

— Bien volontiers, monsieur... je suis mê-me très flatlée d'avoir été remarquée par unaussi brillant cavalier.]

; «n auùi> née collective, les arnuassa-

' deura de Perse, d'Italie, des Etats-

Unis et d'Autriche-Hongrie; les mi-

; nisires plénipotentiaires d'Espagne.

d'Angleterre et d Allemagne Rt Ios

chargés d'affaires de France et do

Monténégro.

Kn se rendant à lu cérémonie et en

î revenant, Iet> troupes ont été accle-: niées d'une faron extrêmement chu-

j leureuse.

; Le selomlik a eu lieu sans incident.

i Les troupes, revenant de Io cérémo-

j nie, ont élé saluées pur la foui*» avec

un grand enthousiasme.

RKTOUR Dii M. BRUNO

Paris. — M. Briand. ministre de

la .lus'ico. renirero ce miitin a Paris.

LE (-.RIME D'ANTONT

l'aria — Les nssassins de Mme

Larriou, a Antoay, sont tous arrêtés.

L'instigrtU'ur du crime est le neveu

de In victime. Ses complices sont les

sieurs* Dutoy et Schwot».

LK SHAH E.N PROMENADK

Téhéran. — Pour la première fois,

depuis l'attentat dirigé contre lui, le

Shah, avec une furie escorte, a fait

une promenade dans Ios environs

de Téhéran.

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Et ellt glissa son bras ganté de blanc sou.1»celui déjà arrondi du marchand de diamant,tandis qu'Edouard, feignant un :*ir dégaf?6.leur tournant le dos, se dirigeait du cûté dubuffet.

Vidinne les regardait s'éloigner, lorsque,derrit-re elle, une voix un jicii «rave deman-da :

— Vous ne voulez donc pas danser ?Son visage s'éclaira et sans se retourner,

ayant reconnu la voix de M. Rodrigue/., ellerépondit :

— Non, je n'y tiens pas.Il vint s'asseoir près d'elle et poursuivit :— Pourquoi ?... C'est de votre âge.KUe hocha la tète, négative ment.— Kon, je suis très vieille.

— Vingt-deux ans !... Vous avez donc biensouffert ?

— Oui. beaucoup.— "L'n jour vous me conterez vos chagrins.

Peut-être, moi qui suis vraiment très vieux-•t qui ai aâissi supporté des épreuves btendouloureuses, saurais-je vous consoler ?

Mais, à coté d'eux, l'on disait :— Eh bien, voilà un ("iner-iqiie. Arrive

hier par le Champagne, il est ce soir au bal.— De qni parlez-vous ? demanda l'inter-

pellé.— De ce monsieur, qui. près de la fenêtre,

parle au Consul... C'est un français, monsieurde Laroche-1'ibrac.

Au prononcé de ce. nom. dans un mouve-ment identique Vidinne et M. Kodriguez setrouvèrent debout, se cachant, d'un mêmerecul d'etïrni, dans la serre plus sombre.

— Lui, encore lui !... Ah ! cet homme, il mepoursuivra donc partout, balbutiait Vidinne.

R'iwni , 5. r aubt, grande tantaiTic, Cjounod ; 6 IVtite Mauvir-ttr, mazurka ds coinpour Hût'1, Vernaiobros.

RenseignementsETAT-CIVIL du il juillet 1908.Naissances. — Madala Louis, Paul, J«an,

uu Pont Romain.hfartages. —• Néant.Décès. --- Eynard Ltienne. veuf Gay. K;

ans.Totnbarel Marianne, vçuv« Ardisson, *r

au>.Tcstorc Charles, 17 mois,

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— Lui. est-ce lui ' . . . murmurait Kndri-guez.

Ils restaient immobiles, fixant le nouveauvenu, comme hypnotisés.

Le premier, le vieillard se reconquit ; re-gardant Vidinne, il fut frappé de sa pâleur.

— Vous connaissez cet homme ? demanda-t-il, la voix tremblante.

— Oui.— Pourquoi sa présence vous émotionne-

t-ellt- à ce point ?j — Ah ! si vous saviez... si vous saviez, bal-

I butiu t-ulle.Puis se reprenant, elle dit ;— Je veux partir, partir immédiatement...

', Ayez, la bonté de prévenir mon amie qu'elle' me rejoigne de .suite,l — Mais...: --•• Oh ! je vous en prie ! Chaque minute duJ retard est un danger pour elle... et pour moi.1 — Je saurai vous défendre.I _ Ah ! vous êtes bon et généreux, mais! personne ne peut me défendre.; — Allons donc ! Croyez-vous que je ne se-1 rais pas capable de vous protéger -1

j — Qui sait ?... Cet homme a la puissance' du mal... Il a fait souffrir tous ceux qui l'ontI approché.! M. Rodripuez tressaillit, puis répondit :

- l'mit-itre parce qu'il les savait faibleset abandonnés.

Mais Marcelle avec effroi, reprenait :— 1.0 voilà !... il se dirige de notre côté...

Laissez-moi fuir... laissez-moi fuir...Avec autorité, le vieillard répondit :— Non. S'il vous a vue, votre départ pré-

cipité lui montrerait que vous avo/ j>eur. Ilne faut pas lui donner cette assurance, l're-

| uez mon bras, ayez Tair indifférent et calme..

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— Ah ! je ne peux j> is...Si '.... Nous allons aller au-devant d«j

lui et vous vt-rroz qu'il n'osera pas vous abor-der.

— Mais, monsieur...— Vcner. c'est pour votre bien.I,a timide Vidinne. subjuguée par la fer-

meté de M. RiKÏrijïuez, appuya sa main sur lebras du banquier. Et, dissimulant de sonmieux son émotion, relevant vaillamment latête, elle s'avança dans le grand salon inondéde lumière.

Un instant, h: vieillard évolua au milieudes couples ; puis lorsqu'il sentit la main mi-pnonne plus ilïcrmie sur son bras, sans <«s-tentation. il ne dirigea vers Xavier de Laro-che- Pi brac.

Et Vidinne passant à côté de celui quiavait été son mari, (le celui qui l'avait terro-risée, brisée, meurtrie, sans trembler le fixade ses yeux clairs.

Surpris de la ressemblance, mais ne pou-vant se 4° ' l t c r °.ue la jeune femme qui, bienen face, le regardait était Vidinne, I-aroche-Pibrac demanda :

— Quel est ce couple ?- Le monsieur ? le plus riche banquier de

la ville M. Rodrigue/ de las Paz. Quant à lajeune hllp, je ne la connais pas... Sans doute,une de ses parentes...

Haussant les épaules pour chasser le trou-ble où l'avait mis cette rencontre, sans in-sister, Xavier ^a^na la salle de jeu.

Vn instant plus tard, au vestiaire, tout enjetant sur les épaules de Vidinne s.i sortie d**bal, M. Rodrigue/ disait affectueusement ;

— Vous voyez que vous auriez eu tort decraindre quoi que ce fut...

(A swvrt)