bâtitech 05-2013

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5-2013 www.batitech.ch 32 I Bientôt près de 50 journées chaudes 36 I Modernisation et économie d’énergie 40 I Eclairage moderne sur le Bürgenstock ENGINEERING ADVANTAGE Maintien de Pression & Qualité d’Eau Équilibrage & Régulation Régulation Thermostatique Nouveau: Avec la partie électrotechnique

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Technique du bâtiment et énergie

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atitec

h.ch

32 I Bientôt près de 50 journées chaudes

36 I Modernisation et économie d’énergie

40 I Eclairage moderne sur le Bürgenstock

ENGINEERING ADVANTAGE Maintien de Pression & Qualité d’Eau Équilibrage & Régulation Régulation Thermostatique

Nouveau:

Avec la partie

électrotechnique

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Page 3: Bâtitech 05-2013

Produire de l’électricité avec de l’eau et del’alcool: comment est-ce possible? L’Ecolepolytechnique de Zurich a mis au point unemolécule qui transforme l’eau et l’alcool enénergie. C’est sur cette base que les scienti-fiques espèrent pouvoir fabriquer une pile àcombustible. La molécule en question estun catalyseur. Si on ajoute ce catalyseur à unmélange de méthanol et d’eau, la réactionproduit de l’hydrogène et du CO2. Les mé-thodes actuelles permettent déjà d’arriver àce résultat, mais seulement avec la hautetempérature et de fortes pressions. Avec lamolécule mise au point par l’EPFZ, la réac-tion a lieu à moins de 100 degrés et à lapression atmosphérique normale. Le pro-cessus zurichois a un autre avantage: laréaction produit du CO2 (dioxyde de car-bone) et non du CO (monoxyde de car-bone). Dans les piles à combustibleactuelles, le CO entrave le bon fonction-nement du catalyseur après une certainedurée.

L’EPFZ espère prochainement développerune pile à combustible fonctionnant avecla nouvelle molécule. Une première appli-cation pourrait être une micro-pile à com-bustible qui produirait l’énergie nécessaire

pour une montre. Les scientifiques zuri-chois pensent qu’il est aussi envisageabled’inverser la réaction. A partir de CO2 etd’hydrogène, il devra être possible de pro-duire du méthanol qui serait ensuite utilisécomme carburant. La recherche nous aide-ra à trouver des solutions intelligentes pourassurer nos besoins en énergie dans lefutur.

Si vous voulez savoir comment produire del’électricité pour votre habitation pendantl’hiver, lisez la 2e partie sur le système demicro-cogénération à la page 28. La 1re par-tie a paru dans «bâtitech» no 4-2013. Unsystème simple qui produit simultanémentde l’électricité et de la chaleur.

Histoire d’eau et d’alcool

Bernard DätwylerRédacteur en [email protected]

éditorial bâtitech 5-13 1

Page 4: Bâtitech 05-2013

2 bâtitech 5-13 sommaire

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actuel 4 Attention lors de la planifica-

tion de salles de bain 6 Un équilibre qui n’en

a pas l’air: évacuation, recy-clage, entrée d’air

10 Geberit AquaClean:une présentation empreintede fraîcheur

12 L’ascenseur sans structurede toit

produits 14 Duravit équipe ses armoires

de toilette d’une sonorisationde haute qualité

16 Geberit AquaClean Sela:la propreté dans sa nouvelledimension

18 Le sèche-mains le plus petitet le plus rapide de Dysonest là

20 Pivot, la nouvelle robinetteriepremium au rayon d’actionà 360°

22 La chaudière Ygnis PyronoxLRR 1000-9700 kW

23 La hotte à évacuation,grande favorite!

24 Easytouch-N – ergonomiqueet facile à opérer

Infratronic-N – la robinetterieà fermeture automatiqueintelligente

26 Le verre reste durablementbeau et étincelant

26 Nous donnons un espaceà vos idées

27 Pour des connexionsdiscrètes

partie technique 28 Le système de micro-

cogénération (2e partie) 32 Bientôt, près de 50 journées

chaudes 36 Economiser de l’énergie

suite à la modernisation dubâtiment

40 Une parcelle d’histoirede l’architecture sous unéclairage moderne

42 La régulation constantede lumière: un confortà bas prix (2e partie)

46 Gradation des lampes LED

associations 48 Inauguration d’une maison

Minergie-A 50 ImmoClimat Suisse a connu

un formidable essor 52 Météo et économie poussent

les ventes de gaz naturelen Suisse

54 Séminaire sur l’hygiène 2013

actuel I 12 produits I 20

partie technique I 42

partie technique I 32

Page 5: Bâtitech 05-2013

carnet I 62

sommaire bâtitech 5-13 3

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exposition 56 EnOcean et ses partenaires

vous invitent au RoadshowSuisse 2013

formation 58 Know-how NIBT 4 60 Brain Food

carnet 62 Fusion de deux pionniers

de l’énergie solaire 63 Petite société – grande

prestation 64 Le Geberit Challenge

gagne le prestigieux prixEvent Award

66 TROX HESCO Schweiz AGfête ses 150 ans

67 Implenia surélève le Korn-haus de Zurich

68 Franke reprend le fabricantsuisse de robinetteries KWC

68 Les 250 ans de Pestalozzi +Co AG seront célébrés sur lelac de Zurich

70 Les rendez-vous des profes-sionnels Nussbaum ont ren-contré un grand succès

72 «Sadorex Handels AG»devient «DornbrachtSchweiz AG»

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4 bâtitech 5-13 actuel

Que celui qui désire se lier pour l’éternitéprenne soin d’examiner: les investisseurs,hôteliers et propriétaires de clinique quitransforment les salles de bain de leurbâtiment ou se lancent dans des travauxde rénovation prennent une décision àlong terme – l’investissement doit en ef-fet être économiquement rentable et du-rable. En plus du design et du confort, laqualité du matériau et la sécurité demontage jouent un rôle décisif lors duchoix du produit. Les mauvaises déci-sions et les défauts qui en résultent peu-vent coûter cher – plus particulièrementdans l’espace sensible de la douche. Qui-conque mise sur le bon matériau et sur

Attention lors de la plani-fication de salles de bain

Douches émaillées / douches carrelées

Le TÜV Rheinland confirme lesavantages très nets des rece-veurs de douche émaillés parrapport aux douches carrelées.Une étude peut éviter aux maî-tres d’ouvrage et aux investis-seurs une mauvaise décision enmatière de matériau.

l’installation professionnelle de produitsde marque fait le bon choix. Selon uneétude récente menée par le TÜV Rhein-land, une douche carrelée constitue lechoix le plus risqué pour la zone hu-mide: les joints poreux masquent nonseulement le risque de dommages liés àla pénétration d’humidité mais présen-tent également, tout comme les carre-lages rugueux, des défauts d’hygiène sou-vent très importants. Les surfaces ferméeset sans joints comme par exemple les re-ceveurs de douche émaillés ont en revan-che été bien évaluées, leur surface ne pré-sentant pas de surface d’attaque pour lessalissures adhérentes et la formation demoisissures.Les salles de bain publiques ou à usagecommercial sont des zones très sensiblesdu point de vue de l’hygiène, l’eau, lachaleur et une humidité de l’air favori-sant le développement de différentsmicro-organismes tels que les bactériesou les moisissures. Il en résulte, dans leshôtels, les cliniques ou les centres desoins, non seulement un risque sanitairepour les clients ou les patients, mais éga-

lement un inconvénient économiquepour l’exploitant ou le propriétaire dufait des coûts élevés de nettoyage et d’en-tretien des salles de bain. Une attentionélevée doit ainsi être accordée au choixdes matériaux lors de la planification dela salle de bain. Il convient par ailleursd’opter pour des produits particulière-ment hygiéniques et faciles d’entretien.Une étude de juin 2012 menée par leTÜV Rheinland GmbH s’est penchée surles propriétés hygiéniques des receveursde douche et atteste qu’un espace dedouche doté d’une surface sans joints(p. ex. en acier émaillé) est nettementplus hygiénique et facile d’entretienqu’une douche carrelée: un nettoyagesimple à l’aide d’un détergent neutre cou-rant non désinfectant réduit déjà de plusde 94 % la teneur en germes de la surfacedu receveur de douche émaillé, tandisqu’un nettoyage identique sur un rece-veur de douche carrelé réduit de 77 %seulement la teneur en germes de ce der-nier.Les joints des douches carrelées ont plusparticulièrement été cités comme point

Espace de douche carrelé. Les températures élevées ainsi que l’humidité et l’humidité de l’airfavorisent le développement de différents micro-organismes tels que les bactéries ou les moisis-sures dans la salle de bain.

Carrelage à joints poreux. Les détergents dés-infectants réduisent souvent l’encrassementdes joints mais risquent également de générerun nouveau problème: les dommages sousla douche liés à la pénétration d’humidité.L’étude du TÜV l’atteste déjà après unepériode de test de 29 jours:«De petites fissures sont apparues sur lesjoints du bac de douche 1 (10 × 10 cm, carre-lage à joints standard) au cours de l’étude.»

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faible. Le rapport du TÜV constate que, dans les espaces de douchecarrelés, «un milieu humide est maintenu pendant une durée prolon-gée du fait de la capacité d’absorption du joint, favorisant ainsi da-vantage la multiplication des micro-organismes à long terme qu’unesurface entièrement sèche et lisse», telle que celle des douches émail-lées. De l’eau et de la saleté (cheveux ou squames par exemple) s’ac-cumulent par ailleurs plus facilement dans les joints du carrelage etsur les surfaces carrelées rugueuses que sur les matériaux lisses.

Chose particulièrement agaçante: un nettoyage classique n’étant passuffisant pour les joints de carrelage, l’utilisation d’un détergent dés-infectant est recommandée. Ce dernier réduit certes souvent l’encras-sement des joints mais génère un nouveau problème: les nettoyantspuissants risquent d’attaquer les joints qui deviennent poreux. Desfissures peuvent alors apparaître. Des dommages liés à la pénétrationd’humidité peuvent ainsi survenir sous la douche. L’étude du TÜVl’atteste après une période de test de 29 jours seulement: «De petitesfissures sont apparues sur les joints du bac de douche 1 (10 × 10 cm,carrelage à joints standard) au cours de l’étude. Il ne s’agit pas exac-tement d’une surface lisse au sens de la norme DIN EN 14527 [4].»On imagine aisément ce que ceci peut représenter pour un hôtelcomptant plusieurs centaines de chambres. Les espaces de douchecarrelés doivent également être évités dans les cliniques, dont lessalles de bain doivent répondre à des normes d’hygiène très élevées etnécessitent par conséquent une désinfection chimique. Des receveursde douche émaillés sont indiqués pour ces deux types d’établis-sement. Les receveurs de douche sont en effet, selon l’étude, «lisses etexempts de coins inaccessibles risquant d’altérer leur possibilité denettoyage». Grâce à leur surface exempte de joints et de pores, lesreceveurs de douche émaillés sont faciles à nettoyer et ne présententquasiment aucun risque de dommages liés à la pénétration d’humi-dité, même en cas d’utilisation de désinfectants chimiques.Manque d’hygiène et dommages liés à la pénétration d’humiditédans les zones humides – ces risques potentiels ne doivent pas êtrenégligés par les investisseurs et les maîtres d’ouvrage lors de la plani-fication des salles de bain dans les cliniques et les hôtels. Quiconquemise sur le bon matériel pour le receveur de douche peut s’éviter biendes soucis, comme le prouve l’enquête du TÜV. Associé au choix d’unprestataire de qualité qui offre idéalement une garantie à long termesur ses produits, le receveur de douche émaillé offre hygiène et plaisirdurable dans la zone de douche – ce dont les clients ne seront pas lesseuls à se réjouir. ■

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6 bâtitech 5-13 actuel

Evacuation de l’air, recyclagede l’air ambiant, entrée d’airLes hottes de cuisine sont pourvues defiltres pour traiter les vapeurs de cuisson.Les concepteurs et les maîtres d’ouvrageont le choix entre les hottes à évacuation

Un équilibre qui n’ena pas l’air: évacuation,recyclage, entrée d’air

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La qualité de l’air détermine l’air ambiant de l’habitat et, partant,le bien-être des habitants. La hotte joue un rôle fondamental, car saperformance à éliminer de la cuisine les graisses, les vapeurs decuisson et les odeurs détermine la qualité de l’air.

et les hottes à circuit fermé. Mais aujour-d’hui, ils doivent aussi réfléchir au bilanaéraulique de l’habitat et prévoir un sys-tème d’entrée d’air, et ce, pas unique-ment dans les immeubles «éconergéti-ques».

Les hottes à évacuation éliminent l’airvicié des cuisines directement vers l’exté-rieur. L’air sortant doit être compensé parun volume équivalent d’air entrant: l’ap-port d’air neuf est assuré passivement, enouvrant manuellement les fenêtres, ouactivement, par un système d’entrée d’aircontrôlée. Ces systèmes évitent les dé-pressions et équilibrent le bilan aérau-lique – condition essentielle à la qualitéde l’air ambiant et à un taux hygromé-trique agréable.Les hottes à circuit fermé filtrent les va-peurs et retiennent les graisses, puis rejet-tent l’air épuré dans la zone cuisine. Larecirculation du flux d’air engendre desremous qui perturbent la captation desvapeurs de cuisson. Le filtrage n’est pastotal et les vapeurs de cuisson restent àl’intérieur du bâtiment. Les particules degraisse résiduelles et les vapeurs se dépo-sent sur les murs, les plafonds, les meu-bles et les textiles. De plus, l’aération in-suffisante accroît le risque de moisissuresà l’intérieur du bâtiment. ➜

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Page 10: Bâtitech 05-2013

8 bâtitech 5-13 actuel

Les systèmes d’entrée d’air sont le com-plément indispensable aux hottes mo-dernes. Le renouvellement contrôlé del’air ambiant préserve l’équilibre du bilanaéraulique sans dépression et le conforthygrométrique. Dans les anciens im-meubles, le renouvellement de l’air seproduit naturellement par la perspirationde l’immeuble à travers les disjoints deson enveloppe. Dans les immeubles mo-dernes, beaucoup plus étanches, il néces-site l’intervention de systèmes d’entréed’air contrôlée. Les systèmes automa-

tiques d’entrée d’air s’avèrent surtoututiles dans les bâtiments neufs ou réno-vés. En effet, leur enveloppe est devenuetellement étanche qu‘elle empêche touteperspiration naturelle. Conséquence:sans aération contrôlée, l’hygrométrie de-

vient trop élevée et constitue un risque dedétérioration majeur pour la qualité del’air ambiant.

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Page 12: Bâtitech 05-2013

Dans la nouvelle campagne publicitaired’envergure internationale, Melanie Wini-ger incarne les puissantes et indomptablescaractéristiques de l’eau grâce à son com-portement vif et naturel. La célèbre actriceet animatrice s’avère être l’ambassadriceidéale pour la nouvelle campagne decommunication, laquelle conquiert lemarché européen à l’aide de sujets ex-pressifs.

Esthétique sur toute la ligneLa mise en scène de la campagne a étéconfiée au jeune et célèbre photographeet régisseur Francesco Carrozzini. Il est àl’origine de nombreuses campagnes pu-

Une présentationempreinte de fraîcheur

Geberit lance une nouvelle campagne publicitaire

Le naturel et la fraîcheur: des valeurs représentées par MelanieWiniger qui l’associent à Geberit AquaClean. Dans la nouvellecampagne publicitaire Geberit AquaClean s’étendant sur le plan in-ternational, Melanie Winiger œuvre à nouveau en qualité d’ambassa-drice de la marque. Son élégance est en harmonie avec la formenovatrice maintes fois primée du nouveau WC-douche Geberit Aqua-Clean Sela. Sa conception est l’œuvre du designer et architecterenommé Matteo Thun.

blicitaires pour des marques internatio-nales et est l’auteur de portraits d’artistesbien connus tels que Robert de Niro,Scarlett Johansson ou encore Keith Ri-chards. Il est parvenu, d’une manièreparticulièrement esthétique, à réaliserune impressionnante mise en scène rela-tive à la forme et au naturel de l’eau etainsi d’illustrer la douceur du lavage àl’eau.

Le bien-être dont on ne veutplus jamais se passerLes WC-douches de Geberit offrent unetoute nouvelle sensation de fraîcheur etde propreté. Sur une simple pression

d’une touche, le bras de la douchette dis-simulé sort de sa cachette et lave l’utilisa-teur avec douceur à l’aide d’un jet d’eautempéré. Celui-ci procure une sensationde pure propreté et de fraîcheur absolue.En outre, le lavage doux et naturel à l’eauprévient les irritations de la peau et opèremême un effet calmant en cas de pro-blèmes existants. De ce fait, les peauxsensibles bénéficient également de soinsparfaitement adaptés. Après avoir connucette sensation de bien-être, on ne désireplus jamais s’en passer.

Design élégant et priméAvec le nouveau produit Geberit Aqua-Clean Sela, le leader européen en tech-nique sanitaire pose de nouveaux jalonsen matière de technologie et de design.Le design de la nouvelle installation deWC complète Geberit AquaClean Selasatisfait tous les désirs: le célèbre designeret architecte italien Matteo Thun a conçule nouveau WC-douche de manière épu-rée, moderne et compacte et a créé ainsiune nouvelle dimension pour les WCavec fonction de douche intégrée. Grâce à

10 bâtitech 5-13 actuel

La campagne Geberit AquaClean englobe quatre sujets: bien-être, propreté, fraîcheur et hygiène. La fidèle ambassadrice de la marque est l’actriceMelanie Winiger qui, par sa nature tonique, fraîche et naturelle, incarne les caractéristiques de l’eau à la perfection.

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la compacité de sa forme, il s’intègre élé-gamment et discrètement dans prati-quement chaque espace de bain. MatteoThun déclare à ce sujet: «Dès le début, j’aiabordé la tâche de concevoir un WC-douche pouvant s’adapter aussi norma-lement et naturellement que possibledans pratiquement chaque salle debains.» Il est tout particulièrement ré-jouissant que le concept technique et ledesign ont obtenu les distinctions trèsconvoitées «iF product design award» et«Interior Innovation Award».

Nouveau site web:www.i-love-water.ch devientwww.geberit-aquaclean.chConjointement au lancement de la cam-pagne, un nouveau site web GeberitAquaClean a été activé en date du 4 mars2013. Il se présente dans la nouvelle fraî-cheur du look de la campagne et montrel’utilité du lavage avec de l’eau, l’histo-rique de Geberit AquaClean, les avanta-ges des modèles Geberit AquaClean ainsi

que les possibilités de tester et d’acheterle produit. Dans le domaine du serviceaprès-vente, le client obtient des informa-tions utiles telles que l’enregistrementdes garanties, les conseils relatifs à l’en-tretien, les instructions abrégées en cas de

panne, la documentation inhérente auxWC-douches Geberit ainsi que les don-nées relatives aux contacts.

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Page 14: Bâtitech 05-2013

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On ne peut plus se passer d’ascenseursperformants et confortables dans les im-meubles d’habitation. D’une part, ilssont exigés impérativement dans le cadrede la Loi sur l’égalité pour les handicapés(LHand) dans les constructions neuves etles rénovations de grande envergure.D’autre part, pour les locataires et lesacheteurs, il est tout à fait naturel, pourdes raisons de confort, que leur futur lo-

L’ascenseur sansstructure de toit

Texte de Reto Westermann

Schindler 3400

Avec le modèle 3400, Schindler propose pour la première fois unascenseur sans structure de toit pour la surcourse, ce qui permet derégler tout à la fois de nombreux problèmes liés à la desserte desimmeubles d’habitation par des ascenseurs.

gement soit accessible par un ascenseur.Cela est valable en particulier pour lesappartements en attique à deux étages,très convoités et par conséquent pluschers. Un ascenseur qui dessert les deuxétages constitue dans ce cas un critère im-portant pour la vente ou la location.

Compact, rapide, performantMais pour les planificateurs, les archi-tectes et les maîtres d’ouvrage, le souhaitd’un ascenseur est une source de préoccu-

pation régulière. Le point le plus délicatest souvent la structure de toit pour lasurcourse de la gaine, qui est indispen-sable pour assurer la sécurité des techni-ciens de service lors de travaux sur la ca-bine d’ascenseur. Cette structure altèrel’esthétique épurée des constructions mo-dernes et engendre des points sensiblesquant aux propriétés physiques de laconstruction – notamment des pertesthermiques – lorsqu’elle est rapportée surla surface du toit.Par ailleurs, la surcourse peut dans certai-nes circonstances gêner la vue des voisinset les amener parfois à s’opposer à unprojet de construction – ou encore lastructure de toit peut ne pas être con-forme aux lois sur la construction, lahauteur maximale d’un bâtiment étantalors dépassée. Et c’est notamment laraison pour laquelle on renonce réguliè-rement à desservir par ascenseur l’étagesupérieur des appartements en attique, cequi réduit à nouveau leur valeur.Le nouveau Schindler 3400 résout tousces problèmes: il n’a plus besoin de struc-ture de toit pour la surcourse et peut tou-tefois concurrencer les installations d’as-censeurs électromécaniques habituellesavec une vitesse de 1,0 m/s, une hauteurde levage allant jusqu’à 30 mètres et unecapacité de cabine de 5 à 13 personnes.

Ascenseur en porte-à-fauxUne hauteur de 2,40 mètres de l’étage leplus élevé est suffisante pour intégrer unSchindler 3400. Une construction inno-vante permet de renoncer à la structurede toit: dans les ascenseurs classiques, lacabine est guidée par un rail sur chacunedes parois latérales de la gaine, alors que,dans le nouveau Schindler 3400, la ca-bine est suspendue en porte-à-faux àdeux rails fixés sur la même paroi.Le principe peut être comparé à celui duchariot élévateur, dont les fourches sontégalement guidées par deux rails paral-lèles. L’entraînement extrêmement com-

Les structures de toit dérangeantes n’ont pas lieu d’être avec le nouveau Schindler 3400. Cela est judicieuxnon seulement sur le plan esthétique mais cela aide également à économiser de l’énergie.

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actuel bâtitech 5-13 13

pact du Schindler 3400 est logé dans lapartie supérieure de la gaine entre lesdeux rails – un local des machines séparén’est donc pas nécessaire. Grâce à laconstruction compacte, la cabine peutdépasser l’entraînement pour montertout en haut. De plus, après retrait de laparoi latérale de la cabine, presque tousles travaux de service peuvent être effec-tués directement à partir de cette dernière– une solution qui garantit la sécurité dutechnicien de service, même sans sur-course. Les constructeurs ont égalementimaginé une solution compacte pour lacommande de l’ascenseur. Elle est inté-grée de façon pratiquement invisible

dans le montant de porte de n’importequelle entrée d’ascenseur.La construction compacte du Schindler3400 ne résout pas seulement de nom-breux problèmes dans les constructionsneuves, mais convient également à deséquipements ultérieurs de bâtiments an-ciens, jusque-là exclusivement desservispar des escaliers. Etant donné que seuleune paroi de gaine doit être porteuse,l’ascenseur peut être intégré plus faci-lement et plus discrètement dans ladisposition horizontale existante. Et,compte tenu de l’absence de structure detoit, les discussions habituelles avec lesautorités concernant la protection dessites n’ont plus lieu d’être, en particulierpour les bâtiments historiques et lesconstructions avec des toits à pignons.

Un processus de planificationsimpleMalgré une construction différente duschéma habituel, rien ne change pour lesarchitectes et les ingénieurs du génie civildans le processus de planification duSchindler 3400 – hormis la structure detoit, qui n’est plus nécessaire: la section dela gaine a les mêmes dimensions que celledes autres ascenseurs de même catégorie.L’accès est possible aussi bien d’un côtéque par deux portes opposées. Comptetenu de ses nombreux avantages, le nou-veau Schindler 3400 devrait à l’avenir éga-lement figurer en tête de la liste de sélec-tion des planificateurs et architectes.

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Données clés

Charge utile: 400–1000 kg, 5–13 personnesHauteur de levage: max. 30 m, max. 14 arrêtsAccès d’un côté: 400 kg, 535 kg, 675 kg, 800 kg, 1000 kgAccès opposés*: 400 kg, 535 kg, 675 kg, 800 kg, 1000 kgLargeur de porte: 800 mm, 900 mm (750 mm pour 400 kg)Hauteur de porte: 2000 mm, 2100 mm (en option)Hauteur de la tête de gaine: min. 2400 mmProfondeur de la fosse: 1060–1150 mmLargeur de gaine: 1400–1600 mmProfondeur de gaine: 1350–2650 mmEntraînement: traction directe/régulation de fréquenceVitesse: 1,0 m/sCommande: commande à enregistrement d’appel, commande collectivedescente et commande collective sélective

* Pour des entrées opposées, la distance minimale entre paliers est de 30 cm.

Spacieux, harmonieux et moderne:le nouveau Schindler 3400 avec, par exemple,une cabine rouge.

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14 bâtitech 6/7-12 produits

La transmission musicale s’effectue sansfil à partir de tous récepteurs compatiblesbluetooth tels que smartphone, tablette

graphique, iPad ou encore iPhone. Il suf-fit tout simplement de se brancher uneseule fois sur le système de sonorisationde Duravit. La communication entre lesdeux appareils reste en mémoire et s’ef-fectue automatiquement. Un détail parti-

Duravit équipe ses armoires de toiletted’une sonorisation de haute qualité

Une sonorisation de qualité pour la salle de bains

La musique a une influence déterminante sur notre humeur. Elle nousdétend, nous stimule et nous rend simplement de bonne humeur. Grâceà un système de sonorisation entièrement nouveau, Duravit ouvre laporte de la salle de bains à une qualité sonore n’ayant rien à envier auxexcellents systèmes qui équipent la maison ou la voiture: une sonorisa-tion parfaitement adaptée aux aléas acoustiques qui règnent dans la sallede bains, une pièce où de nombreux matériaux durs sont peu favorablesà la sonorisation.

culièrement séduisant: les réglages sefont à partir de l’interface habituelle deson propre appareil, ce qui facilite énor-

mément l’utilisation dusystème de sonorisationpouvant accepter jus-qu’à huit utilisateursdifférents. Chacun desmembres de la famillepeut ainsi écouter samusique préférée. Lesystème de sonorisationde Duravit est de sur-croît utilisable dans ledomaine collectif grâceà un déblocage aumoyen d’un mot depasse spécifique, créantencore davantage de

confort dans les salles de bains deshôtels.Les composants technologiques de cesystème sont dissimulés dans l’armoirede toilette derrière un élégant bandeau.Duravit utilise un système 2.1 de haute

qualité avec 35 watts de puissance totale,deux haut-parleurs flat drivers brevetés etun haut-parleur supplémentaire à caissonde basses actif de 25 watts avec système àradiateur passif.Malgré leurs formes compactes et leurfaible poids, ces composants possèdentd’excellentes qualités acoustiques quileur permettent de diffuser un son agréa-ble et puissant. Tous les modules sontd’une très haute technicité jusque dansles moindres détails. Le système de sono-risation de Duravit est protégé par un tex-tile acoustique insensible aux projectionsd’eau et à l’humidité. Ce textile offre uneperméabilité acoustique élevée pourlaisser passer un son clair et volumineux.Le système de sonorisation de Duravitpeut être installé en option dans toutesles armoires de toilette des séries HappyD.2, X-Large et Delos équipées de diodesélectroluminescentes. Il est utilisable in-dépendamment de l’éclairage et ne néces-site aucun interrupteur supplémentaire.Avec moins de 0,5 watt, sa consomma-tion en mode veille se situe en deçà desprescriptions de la directive écoconcep-tion émanant de la Commission euro-péenne et qui entre en vigueur à partir de2013.

www.duravit.ch

La technique en parfa i te harmonie !

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produits bâtitech 5-13 15

LE PEUGEOT BOXER: CONÇU PAR DES PROFESSIONNELS POUR DES PROFESSIONNELS.Le Peugeot Boxer facilite votre travail au quotidien. Choisissez la dimension de votre véhicule parmi trois hauteurs et quatre longueurs. Et adaptez la motorisation à vos besoins. Enfin, savourez à tout moment un excellent confort de conduite grâce au riche équipement intérieur. En résumé, profitez dès maintenant de notre offre séduisante et ne manquez pas de vous rendre à votre Peugeot Professional Center.

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2.2 HDi FAP 130 ch, avec feux antibrouillard en option, CHF 43 250.–, moins rabais de fl otte CHF 9 996.– et prime cash CHF 2 777.–, prix fi nal CHF 30 477.–. Conditions de leasing: casco complète obligatoire non comprise.

Conditions de leasing sous réserve d’acceptation par Peugeot Finance, Division de PSA Finance Suisse SA, Ostermundigen. La conclusion d’un contrat de leasing est irrecevable si elle entraîne le surendettement du preneur

de leasing. Conditions générales: valable pour les commandes effectuées du 1.5 au 31.5.2013. Les offres sont cumulables. Prix, hors TVA. En exclusivité auprès des partenaires Peugeot participant. Les véhicules utilitaires

proposés sont destinés à l’utilisation commerciale ou professionnelle – les offres sont donc réservées uniquement à la clientèle fl otte. Sous réserve de modifi cations techniques et tarifaires ou d’erreurs d’impression.

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16 bâtitech 5-13 produits

Geberit AquaClean Sela: la propretédans sa nouvelle dimension

Geberit lance un nouveau et élégant WC-douche

L’eau est indissociable des soins corporels au quotidien. Un nombretoujours plus important de personnes se lave à l’eau après le passage auxtoilettes – la forme la plus naturelle et la plus authentique de lavage.Avec Geberit AquaClean Sela, Geberit, le leader européen en techniquesanitaire, présente un nouveau WC-douche qui offre non seulementfraîcheur et propreté, mais en plus convainc par son design moderne etépuré. Sa conception est l’œuvre de l’architecte et designer italien MatteoThun. La forme compacte et rectiligne du nouveau WC-douche a obtenude nombreuses distinctions pour son design.

«Dès le début, j’ai abordé la tâche de con-cevoir un WC-douche pouvant s’adapterà pratiquement chaque salle de bainsaussi aisément et naturellement que pos-sible», telles sont les paroles de MatteoThun. Les nombreuses réactions positiveset les distinctions obtenues prouvent laparfaite réussite de cette conception. Lanormalité et la pureté du design engen-drent une nouvelle dimension pour lesWC avec fonction de douche intégrée.Geberit AquaClean Sela constitue unexemple parfait en matière d’esthétiquede l’invisible: l’ensemble de la techniqueest dissimulé dans la céramique et cachépar une coque.

Trois distinctions design award trèsconvoitées à son actifAu premier coup d’œil, il s’agit d’un WCtout à fait normal. C’est uniquement lorsde l’ouverture du couvercle que l’on aper-çoit les touches de commande sur le côtédu siège. Le design novateur a égalementconvaincu les membres du jury des prixdesign renommés «iF product design

award», «Interior Innovation Award» et«Design Plus powered by ISH 2013»: ilsont aussi bien récompensé le design duproduit que le concept technologiqueraffiné du Geberit AquaClean Sela – ca-ractéristiques permettant d’intégrer toutnaturellement le WC-douche danschaque salle de bains, tout comme unWC traditionnel.

Geberit AquaClean Sela séduit par son élégance et sa forme compacte épurée. Le design est basé sur unetechnique de fixation dissimulée.

Le célèbre designeritalien Matteo Thunconfère son élé-gance et sa formeprimée au nouveauWC-douche deGeberit.

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produits bâtitech 5-13 17

Source de fraîcheur et de puretéL’eau est indissociable des soins corpo-rels – la sensation de fraîcheur après unedouche est incomparable. Ce lavageagréable et minutieux avec de l’eau estégalement éprouvé avec Geberit Aqua-Clean Sela après le passage aux toilettes.Sur simple pression d’une touche, cettesensation de fraîcheur unique en songenre est palpable, ce qui a été pris enconsidération lors du choix de son nom:«Sela» est le nom d’une source claire etrafraîchissante de la rivière Inn, qui se si-tue dans les montages suisses en Haute-Engadine.

Favorable à l’environnementLa nouvelle installation de WC complètelave avec ménagement et efficacité àl’aide d’un jet d’eau tempéré qui, grâce à

un mélange de petites bulles d’air, esttout particulièrement doux et agréable.Cela procure une sensation de fraîcheuret permet également de baisser la con-sommation d’énergie. En cas d’intensitémaximale du jet, seul 0,5 litre d’eau estlibéré dans une durée de douche pré-réglée à 20 secondes. En outre, le GeberitAquaClean Sela, tout comme l’ensembledes WC-douches de Geberit, satisfait auxnormes européennes et aux exigencesecodesign en vigueur et, grâce à la fonc-tion économie d’énergie, il accuse uneconsommation énergétique minimaleégalement en mode stand-by. GeberitAquaClean Sela satisfait à toutes les im-portantes normes en vigueur en Suisse eten Europe, telles que par exemple EN1717/13077 et dispose d’un certificat dela SSIGE.

Matériaux de première qualitéLe siège et le couvercle de WC du GeberitAquaClean Sela sont fabriqués dans unDuroplast stable et de première qualité etdes amortisseurs intégrés permettent uneouverture et une fermeture silencieuses.La céramique dispose d’une capacité derinçage supérieure à la moyenne et estéquipée d’une surface antitache. En outrele WC-douche dispose d’un confortablesiège de forme ergonomique.

Commande intuitiveLe plus récent modèle Geberit AquaCleanest simple à utiliser: la fonction de dou-che peut être commandée à choix direc-tement à l’aide du tableau de commandesur le siège de WC ou par le biais del’étroite télécommande. Par l’intermé-

diaire de touches facilement identi-fiables, on procède au démarrage desfonctions, au réglage de l’intensité et dela position du jet de la douchette ainsiqu’à la fonction de douchette oscillante(mouvement avant et arrière du bras dela douchette). ■

A propos

Geberit est une entreprise leadersur le marché européen, globa-lement orientée vers la techniquesanitaire. L’entreprise réalise unchiffre d’affaires de CHF 2,2 mil-liards. Elle emploie mondialement6100 collaborateurs dans 41 pays.

L’étroite télécommande est aisément ma-niable. Le processus démarre à l’aide de lagrande touche ronde, les autres paires de tou-ches sont marquées des signes plus et moinsainsi que des flèches de direction et règlentles adaptations individuelles de l’intensité dujet de la douchette ainsi que de la positioncorrecte du bras de la douchette. L’oscillationdémarre par l’actionnement simultané destouches fléchées.

L’utilisation du Geberit AquaClean Sela estsimple et conviviale. Le tableau de commandesitué à droite du WC-douche est optimisé enmatière de sensibilité et conçu de manièreà ce que l’utilisateur trouve la touche adé-quate sans contact du siège.Geberit AquaClean Sela: le WC-doucheayant l’apparence d’un WC normal (à gauche).

Info

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Respirez un airmeilleur grâce àl`évacuation

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18 bâtitech 5-13 produits

Le sèche-mains Airblade «V» (AB12) re-présente la toute dernière technologieAirblade, au format très compact, dispo-nible dès maintenant en Suisse. Les ingé-

Le sèche-mains le plus petit et le plus rapidede Dyson est là

Nouveau: sèche-mains Dyson Airblade V (AB12)

Dyson, entreprise innovante, présente le sèche-mains compact Airblade«V». Ce sèche-mains de la toute dernière génération est 60 % plus petitque la variante classique pour des performances identiques, avec unmontage mural facile et un faible encombrement.

nieurs Dyson ont réduit l’Airblade V deprès de deux tiers par rapport aux modè-les précédents, sans faire de concessionssur les performances car les mains sè-

chent en 10 secondes grâce aux flux d’airaussi rapides qu’un avion.Le Dyson Digital Motor V4, l’un des mo-teurs de 1600 watts les plus petits et lesplus puissants du monde, permet cetteévolution. Ce moteur numérique sans ba-lais de charbon génère deux flux d’air nonchauffé d’une vitesse de 692 km/h, quiéliminent l’eau des mains, comme avecdes essuie-glaces. En raison de l’absenced’éléments chauffants, la technologie Air-blade est également convaincante en ma-tière de bilan CO2. Car, contrairementaux sèche-mains à l’air chaud, le sèche-mains Dyson Airblade V n’est pas basésur le principe de l’évaporation, consom-matrice d’énergie, comme méthode deséchage. Il économise ainsi jusqu’à 70 %d’énergie. Le sèche-mains Dyson Airbladeest par ailleurs une solution économique:il sèche 22 paires de mains pour le prixd’un essuie-mains en papier et le coûtd’entretien s’élève à environ 50 francs paran.

Montage facile, de faibleencombrement et hygiéniqueLe sèche-mains Dyson Airblade V a uneprofondeur de seulement 10 cm et neprend pas plus de place qu’un distributeurd’essuie-mains traditionnel. Il est compact

Informations complémentaires sur le sèche-mains Dyson Airblade

• Au cours des 15 dernières années, plusde 100 ingénieurs de l’équipe des mo-teurs Dyson ont développé et amélioré enpermanence le Dyson Digital Motor, avecdes investissements qui se sont élevés à100 millions de livres. Dyson investit en-core chaque année 10 millions de livresdans le développement des moteurs.• Près de 27 millions de livres ont été in-vestis dans le développement du dernierDyson Digital Motor qui équipe l’AB12.• Les moteurs Dyson Digital sont fabri-qués dans la nouvelle usine haute techno-logie Dyson, West Park à Singapour, qui acoûté 20 millions de livres. 50 000 mo-teurs y sont fabriqués chaque semaine surun site de 36 000 mètres carrés.

• Recherche et développement: le sèche-mains Dyson Airblade V est le résultat detrois années de recherche intensive, avec125 ingénieurs et un budget de 40 mil-lions de livres.• Essais: les ingénieurs Dyson ont fabri-qué plus de 3000 prototypes Airblade etchaque composant a été testé des cen-taines de fois. Le lavage et le séchage desmains ont été soumis à plus de 213 mil-lion d’essais.• La technologie Airblade fait l’objet de110 brevets et le Dyson Digital Motor V4de 100 autres brevets.• 5 ans de garantie

Le modèle AB12 (V) de la toute dernière génération de sèche-mains Dyson Airblade est 60 % plus petit que les précédents et sèche les mains en10 secondes.

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produits bâtitech 5-13 19

et n’a pas besoin d’être encastré dans lemur, ce qui évite ainsi les coûts supplé-mentaires. Un bijou technique: l’électro-nique de démarrage fonctionne avec unchamp magnétique. Lorsqu’on tient lesmains au-dessous de l’appareil, le champmagnétique est interrompu et l’Airblade Vse met en marche. De plus, dans le pluspetit des sèche-mains Dyson, un filtre HE-PA nettoie l’air avant qu’il soit soufflé surles mains, ce qui lui confère ses propriétéstrès hygiéniques. La coque scellée de l’ap-pareil possède un revêtement antibacté-rien, 99,9 % des bactéries de surface étantainsi éliminées.James Dyson dit de cette nouvelle inven-tion: «Avec des modèles informatiquescomplexes, les ingénieurs de Dyson ontdéveloppé un moteur numérique d’unepuissance énorme. Ce moteur de plus de90 000 tours/minute et 6000 impulsionspar seconde génère dans l’Airblade Vdeux flux d’air froid puissants qui élimi-nent l’eau des mains rapidement et demanière hygiénique.»

Prix du sèche-mains Dyson Airblade V(AB12): CHF 1090.– (blanc)/CHF 1190.–(gris); les deux hors TVA et TAR.

Disponibilité du sèche-mains Dyson Air-blade AB12: 1. 3. 2013Garantie: 5 ans ■

Egalement disponible avec la technologie EcoSmart,

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A propos des sèche-mains Dyson Airblade

La technologie Dyson Airblade™ assure leséchage complet des mains en 10 à 12secondes seulement et consomme – en-traînement par le Dyson Digital Motor(DDM), d’une longue durée de vie et con-sommant peu d’énergie – jusqu’à 80 %d’énergie de moins que les sèche-mainstraditionnels à air chaud. Le moteur génè-re de l’air qui circule jusqu’à 692 kilomè-tres à l’heure. Cet air non chauffé est diri-gé dans une fente de 0,3 millimètres delarge (tous les modèles), c’est-à-dire pasplus épaisse qu’un cil. Le flux d’air agitcomme un essuie-glace invisible, qui reti-re l’humidité des mains et les sèche com-plètement. Grâce au filtre HEPA (tous lesmodèles), la technologie Airblade™ élimi-

ne 99,9 % des bactéries et des champi-gnons qui se trouvent dans l’air.Les sèche-mains Dyson Airblade™ sonttestés dans un espace acoustique propre àDyson (chambre semi-anéchoïque). Danscet environnement contrôlé, des ingé-nieurs spécialisés dans l’acoustique ontpu saisir les sons spécifiques produits parla machine, ce qui leur a permis de dé-couvrir où des améliorations étaient pos-sibles et où une mousse acoustique pou-vait être placée stratégiquement pour opti-miser le flux d’air, réduire les turbulenceset améliorer globalement la restitutionsonore.

www.dysonairblade.ch

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20 bâtitech 5-13 produits

Pivot, la nouvelle robinetterie premium au rayond’action à 360°

Au sein de la cuisine, les différenteszones de travail peuvent être aisémentreliées les unes aux autres grâce au rayond’action à 360°. Le nom de ce produit,Pivot, n’a pas été choisi au hasard. Cetterobinetterie incarne littéralement sa fonc-tion en tant que pivot d’une cuisine enîlot. En outre, son universalité en matièred’installation est particulièrement bienadaptée aux Water Zones de Dornbrachtet répond parfaitement aux exigencesposées en matière de préparation et decuisson. La poignée tournante pratique,directement montée sur l’écoulement,garantit simplicité et ergonomie.La silhouette filigrane, sobre, s’harmoniseavec les lignes discrètes de la série Tara

Nouveauté Dornbracht

Dornbracht présente la premièrerobinetterie destinée à l’installa-tion dans les cuisines en îlot: lenouveau mitigeur monocommandePivot. Il allie une esthétique hautde gamme et une grande fonction-nalité. La portée particulièrementlongue de 55 cm de sa zone de pi-votement permet de travailler sur360° et répond ainsi aux plus hau-tes exigences de flexibilité et deconfort des cuisines d’aujourd’hui.

Ultra. Pivot transpose la perfection mini-maliste de l’ensemble de la série en untype de robinetterie hors du commun quise distingue par son caractère sculptural.Dépourvu de la moindre encoche, lelevier parachève la silhouette aux lignesclaires et fait de Pivot l’alternative élégan-te aux robinetteries à douchette et flexi-ble conventionnelles.Dans sa version mitigeur monocom-mande avec vanne eau chaude/froide,Pivot complète la gamme ambitieuse deDornbracht avec une robinetterie haut degamme, apportant encore plus de confortdans la cuisine. Pivot s’adapte parfaite-ment aux exigences et besoins indivi-duels des utilisateurs de la cuisine.Le design est signé Sieger Design. Pivotest disponible dans les finitions «Platinemat» et «Chrome».

Sadorex Handels AGCH-4616 Kappel SOShowroom:Letziweg 9, CH-4663 AarburgTél. +41 (0)62 787 20 30www.sadorex.ch

A propos de Dornbracht

L’entreprise Aloys F. Dorn-bracht GmbH & Co. KG,dont le siège principal setrouve à Iserlohn, est un fa-bricant actif sur le planmondial dans le secteur desrobinetteries et accessoiresdesign haut de gamme pourla salle de bains et la cui-sine. L’entreprise récolte ré-gulièrement des prix de de-sign internationaux pour sesproduits et se distingue enoutre depuis 1996 par unengagement durable dans lesecteur de la culture. De-puis 2006, elle publie«Dornbracht – the SPIRIT ofWATER» dans une éditionSalle de bains et Cuisine,qui documente l’évidentephilosophie de Dornbrachten tant qu’entreprise de di-mension culturelle et souli-gne la large gamme présen-tée par la marque Dorn-bracht. A la fois magazineet catalogue, cette publica-tion réalise le lien entre ins-piration, dialogue et innova-tion, qui caractérise la phi-losophie et le travail chezDornbracht.www.dornbracht.ch

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produits bâtitech 5-13 21

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Page 24: Bâtitech 05-2013

22 bâtitech 5-13 produits

Les chaudières de la gamme PyronoxLRR/LRR-GF sont des chaudières en acierà trois parcours fonctionnant au mazoutchauffage et/ou au gaz.Conjuguée au système symétrique derefoulement de la flamme breveté parYgnis, la conception géométrique de lachambre de combustion adaptée à latechnologie Low Nox garantit de faiblesémissions et un fonctionnement sûr.

L’aménagement axial du gueulard et dessurfaces de chauffe secondaires garantitun échange thermique régulier et uneauto-circulation optimale de l’eau.Les tubes de la 3e évacuation de gaz brû-lés sont équipés de turbulateurs. Ils génè-rent une turbulence renforcée des gazchauds, augmentent le transfert de cha-leur aux surfaces de chauffe, contribuantainsi pour une part considérable au tauxde rendement élevé.Les chaudières LRR/LRR-GF deviennentle standard pour une pression de servicede 6 bars et sont livrées dans les versionsmonobloc avec sortie des gaz d’échap-pement vers l’arrière ou vers le haut enversion séparable.Une isolation thermique systématiquesur le corps de la chaudière avec des nat-tes en fibre de verre de 100 mm et l’insertcéramique d’excellente qualité dans laporte avant garantissent de faibles pertesde maintien en disponibilité.La version LRR-GF 47-52 (de 1000 kW à2600 kW) a été construite avec unechambre de combustion dont le diamètrea été spécialement adapté pour les exi-

La chaudière Ygnis Pyronox LRR 1000-9700 kWChaudières et chauffe-eau

Composée de 13 différentes valeurs de puissance, cette gamme de chau-dières en acier noir convient pour obtenir des rendements élevés.

gences des brûleurs modernes à plusieursflammes, ce qui permet de satisfairemême aux prescriptions les plus strictesen termes d’émissions.

Echangeur thermique pour gazd’échappement Totaleco d’YgnisL’échangeur thermique pour gaz d’échap-pement Totaleco d’Ygnis permet de ré-cupérer l’énergie calorifique des gazd’échappement de générateurs thermi-ques fonctionnant au gaz ou au mazoutchauffage.Le générateur de chaleur en amont del’échangeur thermique pour gaz d’échap-pement peut être utilisé avec du gaz natu-rel ou toutes les sortes de mazout chauf-fage courantes en Suisse.La récupération de l’énergie dans les gazd’échappement fait baisser la tempéra-ture des gaz d’échappement et l’énergiecalorifique est transmise au système dechauffage. En fonction du combustible,de la température du système et de laconception optimale de la chaudière, lacapacité de rendement connaît une aug-

mentation pouvant atteindre un pour-centage à deux chiffres.L’échangeur thermique à faisceaux tubu-laires est fabriqué en acier inoxydabled’un haut niveau de qualité, disposantainsi d’excellentes qualités relativement àla corrosion et à la résistance aux acides.Le caisson d’inversion des gaz d’échap-pement supérieur est en acier thermo-laqué, et le caisson inférieur comporte unbac collecteur de condensat en acier in-oxydable. Une isolation thermique effi-cace en nattes de laine de roche et uncarter thermolaqué complètent cetéchangeur thermique de gaz d’échappe-ment robuste et performant.En option, un modèle sanitaire de Total-eco assurant le préchauffage de l’eau àusage industriel ou de l’eau des piscinesest aussi disponible. Toutes les pièces encontact avec le milieu sont également enacier inoxydable.

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produits bâtitech 5-13 23

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Produits de Sanimatic remplissent les exigences élevées posées aux installations sanitaires pub-liques.La technologie unique en son genre et la qua-lité exceptionnelle des soupapes à fermeture automatique, des robinetteries et des douches offrent des avantages marquants en ce qui concerne la durée de vie, la sécurité contre le vandalisme et le confort.

Par rapport aux hottes à circuit fermé, leshottes à évacuation sont certes plus oné-reuses à l’installation, mais nettementplus efficaces! Elles améliorent considé-rablement la qualité de l’air à l’intérieurdes bâtiments. Elles captent l’air vicié etl’évacuent à l’extérieur, mais ce n’est pastout: elles sont aujourd’hui à même depiloter un système d’entrée d’air pouréviter de fonctionner en dépression. L’airentrant compense l’air sortant: le bilanaéraulique du système reste ainsi équili-bré. Indispensable à la qualité de l’air et àl’équilibre hygrométrique, un tel disposi-

La hotte à évacuation, grande favorite!Wesco présente

Vous hésitez entre une hotte à circuit fermé et une hotte à évacuation?Optez pour le bon système. Wesco a édité un film pour expliquer les dif-férences essentielles entre les hottes à évacuation et les hottes à circuitfermé et pour convaincre les indécis en 100 secondes.

tif garantit une aération suffisante et évitedonc l’altération prématurée des bâti-ments. Les habitants respirent ainsi unair plus pur.

Quels sont les avantages de la hotte à éva-cuation?– apport efficace et rapide d’air pur– confort d’utilisation sur la durée– fonctionnement silencieux– bon marché à l’entretien et à l’utilisa-

tion– qualité de l’air ambiant et équilibre des

échanges d’air

– prévention de l’altération prématuréedes bâtiments et valorisation du bâti

– air sain – aussi pour les personnesallergiques

La hotte à évacuation élimine bien sûr lesvapeurs de cuisson, mais aussi les aller-gènes qui polluent l’air ambiant. Elle pi-lote par ailleurs l’entrée d’air filtré et ga-rantit ainsi la qualité de l’air ambiant.

Visionnez le film etfaites votre choix en100 secondeshttp://www.you-tube.com/watch?v=RtjD2U1mGbI

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24 bâtitech 5-13 produits

En plus des armatures de lavabo, Sanima-tic complète désormais la ligne Easy-touch-N par respectivement deux miti-geurs muraux et de douche. Le réglage dela température et du débit d’eau s’effec-tue par la tête de commande comme surle modèle existant. Les nouveaux modè-les séduisent sur le plan à la fois tech-nique et formel: minimaliste, pur, fonc-tionnel. En parfaite conformité auxexigences modernes de design et de con-fort.

Technologie de pointeUne commande hydraulique et méca-nique à fermeture automatique et indé-pendante de l’eau garantit le fonction-

Easytouch-N – ergonomique et facile à opérerNouveauté

Que ce soit dans le domaine publicou privé, le robinet à fermetureautomatique robuste et résistantà la corrosion Easytouch-N fait sespreuves depuis de longues années.

nement fiable et durable. Elle permetégalement d’exclure toute corrosion dusystème de contrôle. L’arrêt automatique«cuve pleine» permet par ailleurs d’éco-nomiser jusqu’à 40 % d’eau. En effet, se-lon la configuration, le flux d’eau s’inter-rompt en l’espace de 5 à 25 secondes.Caractérisé par une protection anti-van-dalisme, un fonctionnement ne nécessi-tant que peu de maintenance, un designsolide et des matériaux haut de gamme,le produit présente une grande durabilitémême en cas d’usage non conforme.Easytouch-N peut être utilisé dans le do-maine privé et public, comme par exem-ple dans les piscines, les cantines ou lesécoles, les constructions neuves ou lesbâtiments à rénover.

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La robinetterie basée sur la technologieinfrarouge Infratronic-N a été spéciale-ment conçue pour l’usage dans les espa-ces publics tels que les aéroports, gares,centres de fitness et restaurants.La famille de produits Infratronic-N avecla technologie infrarouge éprouvée estdésormais enrichie de deux mitigeursmuraux thermostatiques à saillies diver-ses et deux mitigeurs de douche thermo-statiques. Les mitigeurs muraux sontéquipés d’une plage de détection à angleparticulièrement élevé. Les nouveaux mo-dèles augmentent ainsi les possibilitésd’utilisation dans des installations pu-bliques et en espace hospitalier. En com-

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26 bâtitech 5-13 produits

ShowerGuard® est le premier verre dedouche dont la surface est scellée par unprocédé d’ionisation de haute énergie. Leverre de douche ShowerGuard® est spécia-lement conçu pour une utilisation en salle

Les exigences soumises quotidien-nement aux surfaces vitrées dansles salles de bain les rendent tou-jours plus rugueuses et ternes – cequi favorise les dépôts de saleté etde calcaire ainsi que les détériora-tions mécaniques.

Le verre reste durablement beau et étincelantShowerGuard® de Koralle

de bain. Ses caractéristiques matériellesinédites sur le marché empêchent dura-blement la corrosion du verre. Le verreShowerGuard® est disponible chez Bekon-Koralle pour la plupart des modèles.

DurabilitéDes tests en laboratoire révèlent que lasurface du verre ShowerGuard® peut sup-porter jusqu’à 10 000 cycles de nettoyage,sans diminution de sa performance ma-térielle. Avec un nettoyage quotidien, àl’éponge ou à l’aide d’un produit de net-toyage doux, cela correspond à une pé-riode pouvant atteindre 27 ans. Les verresordinaires, traités par projection, perdentsouvent leur fonctionnalité déjà aprèsquelques centaines de nettoyages.

High-techLe verre de douche ShowerGuard® est untype de verre nouveau. Au moment de lafabrication, sa surface est traitée par unprocédé d’ionisation de haute énergiebreveté, qui scelle, lisse et protège la sur-face du verre. Contrairement aux verres

ordinaires, dont le revêtement fonc-tionnel peut se rayer ou s’estomper avecle temps et finalement complètementdisparaître, les produits chimiques et cor-rosifs n’ont, sur les surfaces Shower-Guard®, que peu de points d’attaque. Leverre est durablement résistant à la corro-sion.En général, il suffit de passer un chiffondoux ou une éponge mouillée pour re-trouver l’état d’origine du verre. Les net-toyants spéciaux ou produits d’entretienparticuliers deviennent superflus.Par conséquent, le verre de douche Sho-werGuard® répond idéalement aux exi-gences d’une salle de bain de grande qua-lité – aussi bien dans le secteur privé queprofessionnel. Grâce à sa longévité et auxfrais de nettoyage et d’entretien réduits,d’importants avantages économiquessont réalisés, notamment dans les hôtels.

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produits bâtitech 5-13 27

Le couvercle rabattable du canal permetd’accéder à tout moment aux câbles etaux prises, de manière à pouvoir effectuerrapidement et facilement d’éventuellesmodifications. Grâce à la sortie de câblessous forme de brosse apposée sur toute lalongueur du canal, l’utilisateur peut choi-sir librement l’emplacement des prises decourant et de données. Cela constitue unavantage particulièrement pratique lelong de grandes baies vitrées ou dans lescas où l’aménagement de la pièce ne per-met pas d’installer des prises.

Pour des connexions discrètesCanal de sol tehalit.BK broadway

Avec le canal tehalit.BK broadway, les prises à encastrer dans le murpar l’électricien au cours d’installations conventionnelles se retrouventdissimulées dans le sol – une solution esthétique, moderne et tout aussiconvaincante d’un point de vue architectural.

Après un remaniement complet, Hager arelancé en janvier 2013 le système de ca-nal de sol éprouvé. Des adaptations tellesque des raffinements techniques ainsiqu’un meilleur confort de montageétaient le point de mire. La brosse estmaintenant fixée sur la base du canal, côtémur, afin de permettre la sortie des câblesdans le sens des crins de la brosse. Avec labase, l’installateur-électricien reçoit uncouvercle de protection provisoire en tôled’acier, qui protège le canal contre lessalissures et les endommagements durantle montage. Le couvercle de canal offre luiaussi de nombreux avantages. Trois kitssont disponibles: canal ouvert avec brosse,canal ouvert avec brosse et compartimentLED et canal fermé. Nouveauté: en combi-naison avec le couvercle, il est possibled’installer une plinthe (largeur maximale20 mm). Des prises préconfectionnéessont par ailleurs disponibles pour être ins-tallées dans le canal.Le canal tehalit.BK broadway est livrableen deux largeurs: 150 mm pour des ou-vrages dans le résidentiel et 250 mm pourdes applications dans des locaux commer-ciaux. Le couvercle peut recevoir divers re-vêtements de sol, tels que parquet, mo-quette, carrelage ou revêtement coulé enrésine époxy, parfaitement de niveau avecle reste de la pièce. La palette de pièces deforme – angle intérieur, angle extérieur,plaque de fermeture et raccord en T – per-met à l’installateur-électricien de con-tourner facilement les obstacles de cons-truction.

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Le canal desol tehalit.BKbroadway«dissimule»discrètementles câbles etles prises.

En bas:Le canal teha-lit.BK broad-way est dispo-nible en deuxlargeurs:150 mm pourle résidentielet 250 mmpour les lo-caux commer-ciaux.

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28 bâtitech 5-13 partie technique

Vieille maison à Thalwil ZH,année de construction 1880En 1880, l’ancien atelier de teinture sursoie Schmid/Heer sur l’Isisbühlstrasse àThalwil érigea une maison pour les em-ployés, avec des chambres individuelleset quelques poêles à bois. Celle-ci fut ré-novée pour la première fois en 1979: leschambres furent transformées en troislogements, de nouvelles fenêtres furentmises en place, ainsi qu’une isolation in-térieure et des poêles électriques à accu-mulation individuels dans les chambres.En 2012, dans le cadre d’un nouvel assai-

Aujourd’hui, trois quarts des maisons sont chauffées par une chaudière, et l’électricité provient desprises. Celles-ci, et les pompes à chaleur (un quart des maisons), sont alimentées par le réseau élec-trique – des lignes haute tension âgées de plus de 40 ans et de basse tension également à assainir.L’électricité provient des grandes centrales, dont 75 % sont thermiques (charbon, nucléaire) en Europe(la Suisse est membre de Strom-Europa). Pour chaque kWh d’électricité produite, 1,3 kWh de chaleurrejetée par les tours de refroidissement, etc. sont perdus. A ceux-ci s’ajoutent 10 % de pertes par trans-port. Voilà qui n’est pas très efficace.

Le système demicro-cogénération (2e partie)

Pierre-Alain Kreutschy

Technologie efficace pour la production d’électricité pendant l’hiver

La maison historique rénovée à Thalwil. Chauffage à micro-cogénération.

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partie technique bâtitech 5-13 29

nissement, la maison reçut une nouvellefois des fenêtres neuves, et il fallut réno-ver le chauffage. Il n’était plus questionde repartir pour un chauffage électrique.Le propriétaire de la maison, la HeerCompany, Thalwil, planifia donc, en col-laboration avec Gerhard Witzig d’Insta-team Heizungen AG, Zurich, une solu-tion particulièrement avant-gardiste.Après avoir utilisé de l’électricité pour lechauffage pendant plus de 20 ans, le pro-priétaire décida de changer son fusild’épaule: désormais, le nouveau systèmede micro-cogénération, avec le Vitotwin300 W, produit lui-même de l’électricitéà hauteur de 1 kWél, tout en fournissantjusqu’à 24 kWth de chauffage (avec lachaudière supplémentaire intégrée).Cette puissance est suffisante après leremplacement des fenêtres. Le Vitotwinest raccordé à un système air frais/pro-duits de combustion.

Etant donné que les 220 litres d’eauchaude produits par l’accumulateur com-biné de 750 litres appartenant au Vito-twin étaient insuffisants, selon les esti-mations de M. Witzig, pour 10personnes, ce dernier a trouvé une autresolution. Un accumulateur de chauffagede 600 litres (60/40 °C) prolonge désor-mais les temps de fonctionnement du Vi-totwin; pour l’eau chaude, il a intégré unchauffe-eau séparé de 400 litres, qui trou-ve sa place dans la cave suffisammentspacieuse. «Cette solution est encore plusavantageuse», se réjouit M. Witzig.L’installation de micro-cogénération esten fonctionnement depuis le mois d’aoûtde cette année et fonctionne sans pro-blème. Lorsqu’il fait froid, elle fournitdavantage d’électricité, ce qui décharge leréseau public de distribution. ➜

L’accumulateur d’eau chaude.

XETISUne esthétique visionnaire avec système d’écoulement mural – la nouvelle surface de douche émaillée avec écoulement

mural intégré se fond totalement dans le sol de la pièce. Aucun vidage ne vient perturber le design puriste. La solution

système, facile à monter et dans laquelle tous les composants permettent une installation conforme, offre aux concepteurs

de salles de bain des possibilités d’aménagement innovantes et esthétiques pour les espaces de douche à l’italienne.

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30 bâtitech 5-13 partie technique

Maison à Wangs SG,année de construction 1971Cette maison fut bâtie en 1971 en tantque maison familiale, sur un terrain maré-cageux. Au fil du temps, le bâtiment s’af-faissa malheureusement sur un seul côté.En 1992, il fallut le relever de 40 bonscentimètres sur l’un des côtés, afin de leremettre d’aplomb. A cette occasion, lamaison fut rénovée et rehaussée d’un éta-ge. Au rez-de-chaussée, un studio à usagelocatif fut simultanément réalisé: la mai-son devint ainsi une maison familiale àtrois logements. L’enveloppe extérieureresta néanmoins inchangée. Le chauffaged’origine, une chaudière à gaz de 30 kW,pouvait continuer à fonctionner, car sapuissance de chauffe suffisait amplementmême après l’aménagement.Mais après plus de 30 ans, la chaudière àgaz nécessitait impérativement un assai-nissement et devait être remplacée. La pro-priétaire de la maison envisagea toutd’abord en remplacement des panneauxphotovoltaïques sur le toit, et pourquoipas une pompe à chaleur ou des capteurssolaires, qu’il fallait cependant compléterpar un autre système, mais lequel choisir?Patrick Bösch, de la société d’installationSchenk Bruhin AG, Sargans, et ChristopheBigger, de l’entreprise d’approvisionne-ment en gaz naturel Sarganserland AG àMels, l’ont cependant convaincue qu’il se-rait plus avantageux de choisir un systèmefournissant de l’électricité tout au long del’hiver, indépendamment des conditions

météo et de façon régulière, et de résoudredans le même temps le problème duchauffage en utilisant l’infrastructure exis-tante, c’est-à-dire la conduite d’amenée degaz et l’installation de cheminée: en d’au-tres termes, opter pour un système de mi-cro-cogénération. Pour ce faire, il fallaittoutefois intégrer un nouveau conduitdans la cheminée existante. Le nouveauVitotwin 300 fournit désormais 1 kWd’électricité, comme promis, et charge si-multanément à hauteur de 24 kW l’accu-mulateur combiné de 750 kW appartenantà l’installation de micro-cogénération.Cela alimente les radiateurs dans la partiela plus ancienne et le chauffage au soldans la partie plus récente de la maison.«Cette installation fonctionne à merveille,je suis ravie!» nous confie la propriétairede la maison à propos de son nouveausystème de micro-cogénération. ➜La maison à Wangs, presque imperceptible derrière le rideau de verdure.

Le système de micro-cogénération. Départ et retour de chauffage.

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partie technique bâtitech 5-13 31

WWZ Energie AG à Zoug,année de construction 1995La société Wasserwerke Zug AG (WWZ)alimente la population et l’industrie ducanton de Zoug et des régions environ-nantes en eau, en électricité, en gaz na-turel, en chaleur à distance et en télé-communications, grâce à son propreréseau de distribution et à plusieurs par-tenaires. La WWZ emploie 280 collabo-rateurs, dont tous ne travaillent pas eninterne. Malgré tout, son siège construiten 1995 représente plus de 6000 m² desurface à chauffer. Les deux premièreschaudières à gaz naturel devaient êtreremplacées cette année, mais les piècesde rechange pour leur système de com-mande n’étaient plus disponibles; ellesont donc été remplacées par deux chau-dières à gaz naturel de 200 kW, à con-densation bien entendu. Cependant,cela n’était pas suffisant pour la WWZ et

le planificateur Hürlimann, Walchwil:ils souhaitaient une installation modèle,que l’on pourrait présenter comme réfé-rence. La micro-cogénération était lecandidat idéal. C’est ainsi que l’on ins-talla pour la charge de base une mini-centrale de couplage chaleur-force eco-power modulante, dont le moteurOtto à gaz naturel produit 4,7 kWd’électricité et 14 kW de chaleur – suffi-samment pour aussi chauffer un nou-veau bâtiment voisin. Lorsque l’appareiladapte sa production de chaleur enfonction de la charge pour l’abaisser à5,2 kW, la production d’électricité baisseen conséquence. Comme les deux chau-dières, l’ecopower fonctionne ici indé-pendamment de l’air ambiant.L’ecopower alimente en chaleur un accu-mulateur-tampon de 1500 litres. Celapermet d’allonger les temps de fonction-nement. L’eau chaude est fournie par

deux accumulateurs raccordés en aval,de 800 et 500 litres. L’ecopower a ainsipu fonctionner tout au long de l’année,jour et nuit, «moins bien entendu lespériodes de service», ajoute le collabora-teur Bernd Ams de la WWZ. Cela corres-pond à environ 8600 heures de servicepar an, ou quasiment 34 000 kWh/ad’électricité, que le réseau de la WWZabsorbe sans problème. Pourtant, il n’ya pas que dans son siège que la WWZs’affirme comme un pionnier en matièrede micro-cogénération. D’autres bâ-timents lui appartenant bénéficieront fin2012 d’un Vitotwin avec moteur Stirlinget d’une pile à combustible Hexis. ■

Le bâtiment administratif de WWZ Energie AG.

Le bâtiment voisin de WWZ Energie AG.

L’ecoPower 4,7 de Vaillant.

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32 bâtitech 5-13 partie technique

Depuis plus d’un an, réunions météoro-logiques et discussions ont connu unboom. Physiciens, météorologues, insti-tuts climatiques des universités et descollèges et même des ministères de la

Bientôt, près de50 journées chaudes

Bernd Genath

Selon les services météorologiques, l’Institut Max Planck et autres climatologues:les changements climatiques obligent à certaines adaptations dans les techniques du bâtiment

Le changement climatique aura inévitablement des répercussions sur les modes de construction. Si lespronostics se réalisent, le nombre de jours chauds en Suisse va tripler; la technique et la physique desbâtiments doivent réagir et prendre en considération, ceci préventivement, la possibilité d’un refroidis-sement mécanique. Le même conseil s’applique aussi aux normes et directives. Dans leurs révisions,elles devraient à l’avenir intégrer également la météo. Qu’est-ce qui influencera la physique du bâti-ment et les services de construction? Des réponses ont été données l’année dernière lors de plusieursmanifestations scientifiques.

construction et de l’environnement pourne mentionner qu’eux, sont invités ac-tuellement en tant que chargés de cours àdes journées ayant pour titres «Congrèsdes conditions météorologiques extrê-mes», «Nouvelles simulations climati-ques», «conférence de presse sur l’air» etautres notions de présentations de pro-grammes avec des abréviations commeSPP1167, EELMK ou PEPS. Ces codessont utilisés pour améliorer les prévi-sions météorologiques et l’évaluation del’impact, tels que le risque d’une inonda-tion ou une tornade sur l’Europe cen-trale. Qu’est-ce qu’un toit solide résistantà une tornade?

Planifier aujourd’huipour demainIl y a quelques années, le GIEC – Grouped’experts intergouvernemental sur l’évo-lution du climat – avait fusionné quatreétudes de l’ONU sur le climat. Il met engarde dans son dernier rapport spéciald’une augmentation des phénomènesmétéorologiques extrêmes. «Cela est-ilaussi vrai pour l’Europe centrale: la cein-ture géographique entre le 45e et le 60e

degré de latitude nord?» Voici la questionque se posait la presse spécialisée.Le Dr Paul Becker, vice-président et chefdu secteur «Climat et Environnement»du Service météorologique allemand(DWD), y a répondu à l’occasion de l’Ex-treme Weather Congress en mars 2012 àHambourg. Sa réponse a été: «La précé-dente analyse des données d’observationde la DWD montre que le nombre de

journées chaudes a déjà augmenté aucours des 50 dernières années. Pour unavenir assez lointain, soit vers 2100, ilfaut s’attendre à une augmentation desjours atteignant une température quoti-dienne minimale de 30 °C. On peut es-timer à 15 jours dans le nord et jusqu’à35 jours dans le sud de l’Europe cen-trale.»• Pour le Nord, avec une moyenne ac-

tuelle de seulement cinq jours en été,cela signifierait un quadruplement etpourrait atteindre 20 jours.

• Pour le Sud, en comptant l’Autriche etla Suisse, une augmentation entre 15 et50 jours ou plus d’un mois et demi.

En conséquence, cela signifie que, parexemple en Suisse, il faudra à l’aveniravoir recours à de gros besoins en refroi-dissement et qu’il faut commencer au-jourd’hui déjà avec des constructionsnouvelles, pensées pour l’avenir. Parceque jusqu’en 2030 ou 2040, il faut s’at-tendre à ce que l’on ait un doublementdu nombre de journées tropicales. Laconstruction terminée actuellement nedoit pas trop vite être un bâtiment dépas-sé énergétiquement, mais devrait au con-traire pouvoir en tout temps être modifiéen un service administratif, bâtiment ré-sidentiel ou commercial. Ainsi, ses infra-structures techniques et d’approvision-nement doivent être prévues en consé-quence. Selon P. Becker: «Pour des évé-nements extrêmes qui se concrétiserontpar de fortes précipitations ou séche-resses, des tendances, au niveau régional,

Le 7e Severe Weather Congress 2012 à Hambourg a réuniplus de 1500 chercheurs, animateurs, journalistes et ci-toyens intéressés. Les sujets abordés comprenaient le dé-veloppement futur des événements climatiques extrêmesen Europe centrale et les progrès des prévisions météorolo-giques.

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partie technique bâtitech 5-13 33

doivent être temporairement déduites se-lon d’anciennes observations. A l’avenir,aux environs des années 2040, nous nousattendons à de plus fortes pluies, définiescomme de grosses précipitations qui ne seproduisent en moyenne qu’une fois tousles 100 jours – 10 à 100 litres par mètrecarré selon la région (10–100 mm).»

Des prévisions exactes pourles températuresLa même chose s’applique également auvent. Bien que les données d’observationne donnent aucune indication claire surles tendances, augmentation ou diminu-tion des vents ces 50 dernières années,pour l’avenir cela est différent: «Il fauts’attendre à une augmentation de près de50 % des vents de puissance modérée àforte, en l’occurrence lors des tempêtesd’hiver.»Quelle est la fiabilité de ces prédictions?Selon P. Becker les données d’observa-tion sont de bonne qualité: «Elles nousfournissent dans l’ensemble des donnéesde référence dont la qualité est utilisable

pour des modèles de prédictions. Ellessont ensuite comparées avec les donnéesd’observation des périodes précédentesafin de définir les possibilités d’erreur.Nous pouvons en déduire que les décla-rations sur les températures futures sontd’une grande fiabilité, tandis que pourles vents, et surtout pour les précipita-tions, de grandes incertitudes planent en-core lors des prévisions.»Quels seront les effets du changementclimatique sur les modes de constructionet les bâtiments? Paul Becker les décritcomme suit: «Il est clair que les bâti-ments seront beaucoup plus agressés parla température de l’air, les précipitations,l’humidité, le rayonnement solaire et lavitesse du vent. Une modification de ceséléments climatiques peut affecter lesfonctions d’une structure. Donc, des tem-pératures d’air plus élevées verront aug-menter les exigences sur la ventilation,l’ombre et le refroidissement. Et dansl’intérêt des habitants, l’isolation contreles températures extérieures extrêmes seraégalement à améliorer.»

Canalisations surchargéesDes périodes pluvieuses plus importantesnécessiteront de plus grandes mises enœuvre techniques, pour l’étanchéité desbâtiments et l’évacuation des eaux par lesdrainages. Des tempêtes plus intenses de-vront être combattues par une résistanceau vent accrue des toitures et des façades.«Les vagues de chaleur plus fréquentes etplus intenses affecteront, en particulier,les régions métropolitaines. Pour réduireles charges thermiques sur la populationdes villes, il n’y a pas seulement deschangements dans la conception des bâ-timents individuels qui seront néces-saires; toute la planification urbaine doits’adapter. Les mesures possibles iront dela création de corridors d’air frais, de plusd’espaces verts et d’eau jusqu’à des cons-tructions plus aérées.»Des pluies fortes et intenses tombant surune ville avec des surfaces densémentconstruites et pavées demanderont unécoulement rapide. Les conséquences enseront une surcharge des eaux usées etdes inondations. Le seul remède sera

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34 bâtitech 5-13 partie technique

d’adapter les systèmes de canalisations.Une planification des énergies, des surfa-ces et l’économie des ressources est doncessentiel. «Par exemple, les flux de don-nées climatiques futures sont déjà dans

les règlements de construction. Il esturgent tout de même d’adapter de nom-breuses normes et directives aux chan-gements climatiques.»

Les changements climatiquesdans l’année-test de référenceEn Allemagne, un premier projet pour lecompte de l’Office fédéral et régional del’aménagement du bâtiment (BBR) a étédéveloppé; c’est une nouvelle banque dedonnées pour la simulation thermique etle comportement des bâtiments, qui senomme «année-test de référence». Le pro-jet décrit l’évolution typique de la météo.Cette banque de données pour les plani-

ficateurs les architectes et les ingénieurspermet le dimensionnement des systè-mes de chauffage, de ventilation et de cli-matisation en utilisant une simulationthermique tenant compte de l’éventuelchangement climatique, en 2050 et selonP. Becker: «Avec les changements clima-tiques observés par l’‹année-test de réfé-rence›, les systèmes de refroidissement,de chauffage et de ventilation seront con-çus de sorte qu’un bâtiment dans les dé-cennies à venir sera donc encore utili-sable avec les conditions climatiques dumoment.»Les conditions météorologiques influen-ceront non seulement les bâtiments,mais aussi les activités de la construction.Les matériaux de construction tels que lebéton, le mortier, les adhésifs ou les revê-tements ne sont conçus que pour certai-

nes plages de température. En général legel et la chaleur limitent la validité d’ap-plication de beaucoup de matériaux ouils les excluent totalement. Générale-ment, de telles restrictions liées aux con-ditions météorologiques occasionnentdes surcoûts importants lors de la cons-truction

Moins de mauvaises journéesen hiverLors de sa conférence de presse, P. Beckera aussi apporté une bonne nouvelle: «Surla base des jours de mauvais temps, nousavons aussi étudié, à titre d’exemple,quels sont les changements à attendre

dans le futur. Actuellement, dans leszones de plaine, on peut compter, enmoyenne, jusqu’à 20 jours où la cons-truction est problématique. Nos analysesmontrent que dans la quasi-totalité del’Allemagne et ceci d’ici à 2050, le nom-bre moyen de jours où le travail sur leschantiers serait problématique pourraitdiminuer de trois jours par année. Cetteévolution encourageante pour l’industriede la construction devrait s’accélérer dansla seconde moitié du siècle. Selon la ré-gion, nous nous attendons à une baissepouvant aller jusqu’à dix jours par an.Dans les mois d’hiver, le travail sur leschantiers de construction ne ralentiraplus aussi fréquemment que jusqu’àmaintenant.»

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Certains investisseurs construisent déjà pour le futur. Ils font installer des systèmes permettantde réguler la température des grandes surfaces et halles, pensés initialement pour le chauffagemais qui pourraient éventuellement refroidir plus tard. (Image: Quattro Kreilac)

Seulement 10 % de CO2 autorisé

Dans diverses conférences au sommet sur laclimatologie, les dirigeants de divers Etatsprônent une stratégie globale visant un ré-chauffement global maximum de 2 °C.

Les employés de l’Institut Max Planck pour lamétéorologie (MPI-M) et le Computing Centreclimatologique allemand (DKRZ) ont calculéavec le nouveau modèle climatique du MPI-Mque, pour atteindre cet objectif, il faudraitune réduction immédiate et drastique desémissions de dioxyde de carbone de 90 %

A la fin février, les scientifiques ont présentéces résultats lors d’une présentation MPI.

Lors d’une conférence dans son institut, leDr Jochem Marotzke, directeur de l’InstitutMax Planck de météorologie de Hambourg etvice-président du Programme mondial derecherche sur le climat (PMRC), modère sonavis sur la question de savoir si la réductionde 90 % peut être réalisable: «Le maximumdes émissions sera déjà atteint en l’an 2020.Puis les émissions diminuent de 10 % parrapport à l’état en 2000.»

Les deux visions que sont la réduction rapideen dix ans et la réduction très approfondie aucours du siècle ne sont probablement pasplus réalisables l’une que l’autre.

En l’an 2096, voici la distribution de la température surla surface de la Terre, ceci à 2 m de hauteur, si l’aug-mentation de la température moyenne mondiale était de8,5 °C. Cela pourrait se passer si nous ne produisonsplus de CO2 anthropogène, entre autres par le chauffageau gaz, au mazout et au charbon.

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partie technique bâtitech 5-13 35

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36 bâtitech 5-13 partie technique

Le programme bâtiment se composed’une partie nationale et d’une partiecantonale. Au niveau national et de façonunitaire, l’amélioration du calorifugeageest encouragée, ceci pour des éléments deconstruction dans les bâtiments existantsqui ont été construits avant 2000. Le fi-nancement est assuré indépendammentau fait que c’est une résidence primaireou secondaire. La subvention s’appliquetoujours à la surface des parties de bâ-

Economiser de l’énergiesuite à la modernisationdu bâtiment

Regula Heinzelmann

Le programme bâtiment: prolongé jusqu’à la fin de 2015

Le programme bâtiment de la confédération et des cantons estun succès. Raison pour laquelle il est prolongé jusqu’à la fin 2015.C’est particulièrement l’isolation thermique qui est encouragée etdans la plupart des cantons, l’utilisation des énergies renouvelables,la récupération de la chaleur perdue, la technique du bâtiment,et les rénovations totales.

timents qui étaient déjà chauffées avantla modernisation. Cependant, on peut serenseigner sur des possibilités d’excep-tions, par exemple pour une nouvelleisolation du toit ou du pignon.

Le subventionnementau niveau fédéralLe programme bâtiment au niveau natio-nal fixe un financement par mètre carrélors de mesures d’assainissement de l’en-veloppe du bâtiment. Comme il y eutplus de demandes que prévu et que la

mise à disposition des fonds était limitéeà avril 2012, le taux pour les fenêtres, letoit et la façade a été réduit. Les fenêtresne sont financées que si, dans le mêmetemps, les murs adjacents ou la zone dutoit sont aussi en cours de rénovation. Leremplacement des portes d’entrée estexclu du plan de subventionnement, ce-pendant, les portes en verre, par exemple,les portes de balcon qui font partie dessurfaces vitrées, sont comptées parmi lesfenêtres.Les mesures d’isolation doivent aboutir àdes valeurs minimales pour le coefficientde transfert de chaleur, appelé égalementvaleur U. SI la preuve est faite que celaéquivaut aux exigences de Minergie, c’estaccepté comme équivalent. Des condi-tions uniformes pour toute la Suisse sontappliquées lors de la rénovation de l’enve-loppe du bâtiment. Dans le cas de biensculturels protégés, le soutien est égale-ment possible même si les valeurs U né-cessaires ne sont pas réalisables. La contri-bution pour des mesures d’assainissementdoit être d’au moins CHF 3000, sans unfinancement supplémentaire cantonal.Fondamentalement, le programme bâti-ment ne rembourse pas plus de 50 % desfrais engagés. Les entreprises qui ont con-clu un accord sans engagement avecl’Agence de l’énergie pour l’économie sontautorisées à demander un financement.Les immeubles qui sont la propriété desautorités fédérales, cantonales ou commu-nales, ou des entités gouvernementales,peuvent demander une subvention. Neseront pas financées:• Les entreprises qui ont signé un accord

avec l’Agence de l’énergie pour l’éco-nomie et sont au bénéfice d’un contratavec la fondation Centime Climatiquepour vendre le dépassement des ob-jectifs.

Modernisation de bâtiments à plusieurs appartements: isolation des bâtiments et nouvelle toiture aveccellules photovoltaïques intégrées. (Photo: Peter Warthmann)

Page 39: Bâtitech 05-2013

partie technique bâtitech 5-13 37

• Les entreprises qui se sont engagéesavec le gouvernement fédéral à limiterleurs émissions de CO2 et sont doncexemptées de la taxe CO2.

Une exécution professionnelleLes mesures doivent être planifiées etexécutées correctement. Cela est égale-ment recommandé parce que certainesisolations n’ont pas toujours un effet po-sitif sur un bâtiment. Si l’on peut garantirune qualité équivalente, il est aussi pos-sible de faire le travail soi-même. Il fautpouvoir présenter des surfaces bien tra-vaillées, par exemple en utilisant desplans. Les travaux seront documentéschronologiquement avec des photogra-phies à l’appui. Lors d’isolations, le tra-vail doit être photographié avec une pos-sibilité de comparaison des mesures (parexemple un mètre). Dans la rénovationde toitures en pente, la situation de lazone des chevrons doit également appa-raître. Une fois que le travail est terminé,on doit présenter les reçus pour les maté-riaux d’isolation thermique achetés etutilisés. Attention: lors de contributionspersonnelles, seuls 100 % au maximumde la matière achetée seront remboursés.

Le subventionnementau niveau cantonalDes subventions cantonales supplémen-taires sont octroyées pour les énergiesrenouvelables, la récupération de chaleuret l’optimisation des techniques du bâ-timent. Elles sont orientées selon lesbesoins du canton concerné. Pour s’atta-quer ensemble aux problèmes énergé-tiques, les cantons ont mis en place dès1979 la Conférence des directeurs canto-naux de l’énergie (EnDK), qui comprend

la Conférence des services cantonaux del’énergie (EnFK), qui traite des questionstechniques spécifiques. Les principauxproduits communs sont les «modèles deprescriptions énergétiques des cantons»(MoPEC) et le «modèle de financementharmonisé» comme base pour le pro-gramme de construction, la normeMinergie et le certificat énergétique can-tonal des bâtiments (CECB). Les par-lements cantonaux doivent déterminerles besoins en énergie dans leur canton etassurer leur mise en œuvre. Dans le «mo-dèle de prescriptions énergétiques descantons» (MoPEC) est aussi définie labase d’une reconstruction uniforme etconséquente de l’enveloppe du bâtiment.Dans de nombreux cantons, il y a desavantages fiscaux lors des rénovations.La plupart des cantons prévoient desfonds supplémentaires pour:• une rénovation générale• l’utilisation des énergies renouvelables• des techniques du bâtiment optimali-

sées• l’utilisation de la chaleur perdue

Les directives sur le CO2

comme baseLa loi sur le CO2 est la base pour le pro-gramme bâtiment. La taxe CO2 sur lescarburants y est incorporée. Depuis 2010,un tiers de la taxe sur le CO2 est utilisépour le programme bâtiment. En Suisse,plus de 40 pour cent de l’énergie con-sommée l’est dans les bâtiments. Une ré-novation peut permettre d’atteindre biendes objectifs: dans certains bâtiments, lademande de chaleur diminue de plus dela moitié. Si l’on veut être particulière-ment respectueux de l’environnement, ilfaut remplacer l’approvisionnement en

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Page 40: Bâtitech 05-2013

38 bâtitech 5-13 partie technique

énergie conventionnelle à partir desources d’énergie renouvelables. Si l’onveut effectivement qu’il y ait une inci-dence sur la transformation par rapport àprécédemment, cela dépend fortement

du type de mesures et du rendement dusystème de chauffage.

Le grand succès du programmeet son extensionLe programme bâtiment de la Confédéra-tion et des cantons est un succès. Le nom-bre de demandes reçues a dépassé toutesles attentes. Entre 2010 et mai 2012 etdans le cadre de ce programme, près de48 000 demandes ont été accordées, re-présentant environ 440 millions de francsen subventions pour des améliorationsénergétiques de l’enveloppe du bâtiment.En 2010 et en 2011 les subventions accor-dées dépassaient les fonds disponibles de240 millions de francs. La partie fédéralefinancière des ressources prévues pour les

cinq premières années (2010–2014) ontété épuisées en 2012. La conseillère fédé-rale Doris Leuthard et les représentants dela Conférence des directeurs cantonaux del’énergie (En Dk) ont décidé en octobre2012 de prolonger d’un an le contrat en-tre la Confédération et les cantons sur lamise en œuvre du programme derenforcement, soit jusqu’à la fin de 2015.A cette fin, un groupe de travail a été for-mé; il définira jusqu’à la mi-2013comment le programme sera développéen 2016.

www.bafu.admin.ch(programme bâtiment)www.gebäudeprogramm.chwww.dasgebaeudeprogramm.ch

Quelques conseils pour l’utilisation du programme bâtiment

• Sur le site www.dasgebaeudepro-gramm.ch vous pouvez trouver un ac-cès direct à l’information cantonale.• Les détails de la promotion sur larénovation du bâtiment seront éga-lement sur le site de la Conférencedes directeurs cantonaux de l’énergie.Et c’est comme sur la page du pro-gramme bâtiment, vous trouverez unaccès direct à l’information du cantonconcerné.• Avec la simulation sur le sitewww.dasgebaeudeprogramm.ch vouspouvez savoir quelle somme vouspourriez recevoir lors de la rénovationde l’enveloppe du bâtiment.• Le formulaire de demande doit êtresoumis avec les compléments néces-saires et dans la forme prévue.• La responsabilité incombe au can-ton dans lequel le bâtiment à rénoverse trouve. Le lieu de résidence du de-mandeur n’est pas un critère.• Important: la demande doit abso-lument être déposée avant le débutdes travaux. Le début des travaux estla date à laquelle on commence àfaire des travaux d’isolation. Après laprésentation de la demande, vouspouvez commencer avec la construc-tion, ceci à vos propres risques.• Après la présentation de la de-mande et avant le début des travaux,vous pouvez modifier le plan de cons-truction et en informer l’autorité com-

pétente avant le traitement. Ce sontles conditions d’admissibilité et lapériode pour la demande en cours.• Une fois que la construction estcommencée, il faut présenter unenouvelle demande pour des projetssupplémentaires, si le nouveau coût,pour lui-même, atteint le montant de3000 francs.• Les propriétaires de copropriétépeuvent présenter une demande definancement pour l’ensemble du bâ-timent et mandater une personne. Sivous voulez remplacer les fenêtres devotre propre logement, vous pouvezsoumettre une demande qui doit ob-tenir l’accord de tous les autres pro-priétaires.• Sur le site du canton dans lequel lebâtiment à rénover se trouve, vouspouvez obtenir le formulaire de de-mande adéquat. Ce dernier peut êtresauvegardé et être rempli électro-niquement. Seulement après il fautprêter attention aux lignes directriceset exigences.• Le formulaire de demande dûmentrempli doit être signé et envoyé par laposte avec les pièces justificativesrequises à l’adresse indiquée sur leformulaire de demande.• Les formulaires de demande sontcontinuellement mis à jour. Il est ju-dicieux d’utiliser la version valable.• Un engagement de financement est

valable pendant deux ans à compterde la date d’acceptation. Le projetdoit être mis en œuvre avant la datelimite tel que décrit, sauf s’il y a unedemande justifiée de prolongation dudélai.• Après l’achèvement du projet, vouspouvez télécharger la confirmation del’exécution sur le site cantonal. Lasomme ne sera payée qu’après récep-tion du formulaire d’achèvement avectous les documents requis indiquéssur le formulaire. Par la suite, vousrecevez une injonction.• Le formulaire final doit être rempliavec soin. Par exemple, si l’adressede facturation n’est pas correcte, lessubventions ne seront pas payées.• Des prêts hypothécaires pour desmesures d’assainissement peuventêtre obtenus dans de nombreusesbanques et souvent à des conditionsattrayantes.• Le propriétaire doit déduire les sub-ventions qu’il reçoit pour l’efficacitéénergétique, dans le calcul des aug-mentations de loyer sur les coûtsd’investissement.• Dans de nombreux cantons, le coûtde la réhabilitation énergétique peutêtre déduit du revenu de la déclara-tion d’impôt, ceci après déduction dela subvention reçue.

Modernisation d’un bâtiment: isolation de l’enveloppe dubâtiment et construction d’un étage supplémentaire.

(Photo: Peter Warthmann)

Page 41: Bâtitech 05-2013

partie technique bâtitech 5-13 39

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Page 42: Bâtitech 05-2013

40 bâtitech 5-13 partie technique

Des bailleurs de fonds internationauxont investi environ 485 millions defrancs suisses dans le complexe du Bür-genstock. Après l’achèvement des tra-vaux, le site touristique comptera troishôtels avec au total 800 lits, 68 suites ré-sidence ainsi que 12 restaurants et bars.

Une parcelle d’histoirede l’architecture sous unéclairage moderne

Réhabilitation du bâtiment des broderies du Bürgenstock

D’ici à la fin 2015 se dressera sur le Bürgenstock un nouveau com-plexe hôtelier qui sera celui de tous les superlatifs. Pour la transfor-mation du bâtiment existant, certains aspects liés à l’entretien desmonuments historiques revêtent une grande importance. C’est laraison pour laquelle un système de gestion de l’éclairage profes-sionnel est installé dans le bâtiment des broderies.

Des projets d’infrastructure centraux etquelques transformations de petits mo-numents historiques sont d’ores et déjàterminés. Même l’élégant bâtiment desbroderies brille d’un nouvel éclat depuissa réhabilitation réalisée dans le respectdes plans d’origine. Pendant la durée des

travaux en cours, il sert de bureau de pro-jet au maître d’œuvre et, après l’ouverturedu complexe, les locaux accueilleront unrestaurant.L’évolution de la destination du bâ-timent a également déterminé les exi-gences afférentes à la réhabilitation del’éclairage: les lampes et interrupteurs de-vaient pouvoir être affectés en toute flexi-bilité. Toutefois, le démontage de l’instal-lation électrique qui était en place dansce bâtiment historique n’a été possibleque dans certaines conditions. Le grosœuvre devant être protégé, les ouvriersn’ont pas pu poser de nouveaux tuyaux.

Les bâtiments du complexe hôtelier du Bürgenstock avec une vue de rêve.

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partie technique bâtitech 5-13 41

Du fait des dimensions des conduites, lamise en place de câbles supplémentairesétait impossible. Néanmoins, il était in-dispensable qu’il soit à tout momentpossible d’associer les lampes à de nou-veaux groupes. Le système de gestion del’éclairage DALI Professional d’Osram apermis de contourner tous les obstaclesavec élégance.

La flexibilité:une priorité absolueLe couplage existant a été remplacé parun bus DALI. La nouvelle installation anécessité un investissement minimalpour une flexibilité, en revanche, maxi-male. Les spécialistes en électronique ontpu répondre sans problème aux deman-des spécifiques du maître d’œuvre – telsque le «bouton poussoir d’arrêt central»situé au niveau de la sortie – même aprèsl’achèvement de la phase de conception.La solution créative adoptée à cet effet aconsisté à mettre en place un bouton-poussoir radio EnOcean. La mise à ni-veau et le raccordement de ce boutonpoussoir à l’installation électrique exis-tante auraient à eux seuls largement dé-passé le coût du DALI Professional.Si nécessaire, il est possible de raccorderjusqu’à 256 ballasts électroniques et 50dispositifs de couplage au dispositif de

commande DALI Pro Cont-4 utilisé pour4 lignes DALI. Grâce à la fonction Plug-and-play, le dispositif de commande estpréconfiguré et opérationnel immédia-tement. Des dispositifs de couplage decapteurs et de boutons poussoirs pourl’utilisation de programmes de commuta-tion classiques viennent compléter le sys-tème. Il est possible de configurer des

groupes, des scènes et les paramètres quiy sont associés de manière très pratiquedepuis un PC, au moyen d’interfaces USBet de l’interface utilisateur intuitive.

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Utilisation du DALI Professionaldans le cadre du projet

Avantages• Grâce aux boutons de couplage DALI, au-

cun câble de bouton poussoir supplémen-taire n’a été nécessaire. Dans les tuyauxexistants, il n’y avait pas suffisamment deplace pour ajouter des câbles supplémen-taires.

• Le bouton poussoir radio EnOcean a permisl’intégration ultérieure à moindres frais d’un«bouton poussoir d’arrêt central».

• La configuration libre des groupes DALIpermet à tout moment une installation sim-ple et flexible, et ainsi une adaptation à lanouvelle destination du bâtiment.

Composants utilisés• DALI PRO DALI Controller• DALI PRO Bouton de couplage

quadruple• TOUCH DIM RC Module récepteur

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Le bâtimentdes broderies duBürgenstock:une enveloppehistorique, la ges-tion de l’éclairagela plus moderne.Photos: BürgenstockHotels AG

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42 bâtitech 5-13 partie technique

On recense trois façons d’éteindre leslumières. La figure 5 illustre la pire dessituations. La lumière est allumée à unmoment quelconque par une personne

La régulation constantede lumière: un confortà bas prix (2e partie)

Raymond Kleger

Economie d’énergie: pas simplement pour l’image mais bientôt une obligation

Il fait jour, le ciel est certes un peu couvert, dans le bureau toutesles lampes sans exception sont allumées. Et plus flagrant encore:tous les luminaires sont allumés mais les locaux sont déserts. Et ils’avère judicieux dans ces cas, non de régler la luminosité en fonc-tion des besoins mais d’opter pour une régulation constante de lalumière. Dans la première partie de cet exposé paru dans le numéroprécédent, nous avons fait le point sur les paramètres de luminositéimportants ainsi que sur les problèmes que pose la photométrie.

pénétrant dans la pièce et elle ne seraéteinte que bien plus tard, au beau mi-lieu de la nuit. La lumière restera doncallumée durant la journée même si lapièce est inoccupée. Ce qui est ici drama-tique, c’est que la lumière naturelle aurait

été largement suffisante une bonne partiede la journée. La situation sur la figure 6est moins désastreuse: un détecteur deprésence veille ici à ce que les lampess’éteignent d’une part dès qu’il n’y a pluspersonne dans la pièce, d’autre part dèsque la lumière naturelle s’avère suffisan-te. La quantité d’énergie économisée n’estpas négligeable, comme nous le montrele schéma.La régulation constante de la lumière estadoptée dans les cas où il est absurde delaisser les lumières brûler au maximumde leur puissance alors que la lumière dujour pourrait amplement suffire; c’est lecas par exemple des salles de classes oudes open spaces. Par respect pour l’envi-ronnement ou par souci d’économie, unerégulation constante de la lumière s’avèreici judicieuse. La figure 7 montre com-ment régler un éclairement constant,composé de lumière naturelle et artifi-cielle, au niveau d’un poste de travail. Leprincipe de fonctionnement est résumépar la figure 8. Le «niveau de clarté dansla pièce», mesuré par le capteur du détec-teur de présence, est appelé «valeur réel-le»; elle va être comparée à la «consigne»préréglée. En cas de différence, on com-mute, via un régulateur d’éclairage et sasortie de commande 1 à 10 V ou son in-terface DALI, le ballast des lampes desorte que la somme de lumière artificielleet de lumière naturelle reste constante.En fonction de la lumière extérieure inci-dente, l’intensité de la lampe sera aug-mentée ou diminuée. Entre les deux casextrêmes – lumière naturelle suffisante –› lampes éteintes et obscurité, pas de lu-mière naturelle – › lampes allumées aumaximum de leur puissance – toutes sor-tes de situations intermédiaires sont envi-sageables. Une régulation constante de lalumière va dans le sens d’une utilisation

Figure 5: La lumière est allumée toute la journée même en cas de lumière naturelle suffisante ousi personne ne se trouve dans la pièce.

Figure 6: La lumière est allumée par détecteur quand la lumière naturelle s’avère insuffisante.

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partie technique bâtitech 5-13 43

rationnelle de l’énergie, dans la mesurebien sûr où l’on a investi dans un éclai-rage performant.Dans des salles de classes ou autres lo-caux administratifs vastes, on utiliserades détecteurs de présence munis de deuxcapteurs de luminosité: le premier vagérer le groupe de luminaires à proximitéde la fenêtre, le second le groupe de lu-minaires du fond de la pièce.

Sélection des luminairesIl y a peu de temps encore, les lampesfluorescentes étaient les seules à être per-formantes et gradables. Les choses ontchangé depuis l’apparition des lampesLED ultraperformantes. Une lampe fluo-rescente T5 peut atteindre une efficacitélumineuse de 88 lm/W en fonction de latempérature ambiante. Les ballasts gra-dables (dispositifs électroniques permet-tant la gradation de tubes et lampes fluo-rescents) utilisent environ 10 % de lapuissance nominale du système. Pourune puissance de 35 W, on note une dis-sipation d’énergie continuelle d’environ3,5 W. Le rendement lumineux sera d’au-

tant plus faible que la gradation seraforte.Sur la figure 9, la ligne rouge montred’une part le flux lumineux relatif d’unelampe T5 gradable en fonction de lapuissance de système. L’efficacité lumi-neuse relative est représentée par unecourbe en pointillés. Pour une puissancede système de l’ordre de 15 %, le ren-dement lumineux se situe autour de10 lm/W, ce qui correspond à une lampeà incandescence de mauvaise qualité.Cette figure montre que les lampes fluo-

rescentes gradables devraient être éteintesen deçà des 20 % de rendement, l’effica-cité étant trop faible et la contribution dela lumière artificielle à la lumière natu-relle insignifiante. L’œil humain perçoitla luminance de façon logarithmique,10 % de lumière en plus ou en moins auniveau du poste de travail n’auront guèred’incidence. Cela signifie par ailleursqu’avec la diminution rapide du ren-dement lumineux dans le cas de lampesfluorescentes gradables, il ne faut pas es-pérer maintenir l’économie d’énergie à

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Figure 7: La clarté des lampes est régulée de façon permanente en fonction de la lumièrenaturelle.

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44 bâtitech 5-13 partie technique

un niveau intéressant. Elle se situera tou-tefois au-delà de 30 %.Deux systèmes avec LED nous donnentdes exemples concrets de techniquesd’éclairage performantes. La lampe LEDPanos Infinity de Zumtobel est ici pré-sentée comme système global (voir figure10). Pour une puissance de système de100 %, c’est-à-dire 32 W, elle fournit unepuissance lumineuse de 2700 lm, ce quicorrespond à environ 84 lm/W. Le ren-dement lumineux de la lampe LED entant que système global est donc compa-rable à celui d’une lampe fluorescente T5

utilisée dans des conditions optimales. Ilfaut noter de surcroît que la lampe LEDapportera toute sa clarté à la pièce alorsque pour la lampe fluorescente, on accu-sera des pertes liées au réflecteur – le ren-dement lumineux sera donc inévita-blement inférieur à celui d’une lampeLED. Bien plus impressionnantes encoresont la puissance et le rendement lumi-neux d’une lampe LED lors de la grada-tion. Le rendement lumineux reste en-core très élevé pour une puissance desystème de 30 % seulement; mais unegradation plus prononcée la fera ensuitedécroître de façon significative.La nouvelle Fortimo-LED-Line de Philips(figure 11) surpasse tous les systèmes.Pour une température de couleur de4000 K, ce système de LED produit unflux dont le rendement lumineux peutatteindre 135 lm/W. Cela représente uneefficacité supérieure de 35 % par rapportà celle d’une lampe fluorescente T5, utili-sée dans des conditions optimales. Lesmodules Fortimo sont disponibles avecdifférentes longueurs, puissances lumi-neuses, températures de couleurs et for-mes. Il est facile de les intégrer dans leslampes aux formes les plus variéescomme par exemple les luminaires en-castrés pour bureaux qui étaient équipésjusque-là de lampes fluorescentes. Lecôté le plus intéressant de ces systèmesLED est leur comportement en cas de gra-dation. Le flux lumineux relatif augmenteen cas de gradation et ce n’est qu’à 20 %de la puissance maximale qu’il retrouverala même valeur que pour la puissance desystème nominale. Par conséquent, lerendement lumineux augmente de plusde 100 % en cas de gradation, quandcelle-ci est comprise entre 20 % et 100 %de la puissance de système nominale. A

remarquer cependant que cela ne restevalable que si les LED sont pilotées encourant constant (courant continu d’in-tensité constante) et non en courant pul-sé (variateur PMW).

Un succès dans la pratiqueDans le centre administratif Werd à Zu-rich, qui a été épaulé par le service degestion des immeubles de la même ville,on a opté, dans deux couloirs rigoureu-sement identiques, d’une part pour unéclairage avec lampes fluorescentes etd’autre part pour la technique LED. On amesuré l’énergie respectivement consom-mée sur plusieurs mois: il résulte de cescomparatifs que l’éclairage LED a con-sommé trois fois moins d’énergie à «lu-minosité» égale, l’éclairage étant mainte-nu de façon continue à un certain niveaude gradation et n’atteignant la puissancelumineuse maximale (100 %) qu’en casde détection d’une présence humaine (fi-gure 12). Une «luminosité» de 20 % estadoptée pour des raisons de confort et desécurité. Les détecteurs de présence régu-lent ici les lampes LED de façon optima-le. Installée dans des couloirs, la tech-nique LED permet des temporisationsplus courtes: en effet, des commutationsfréquentes et répétées n’auront aucuneinfluence sur la durée de vie de cessources lumineuses.

RésuméL’intérêt d’une régulation constante de lu-mière est de maintenir dans une pièce unéclairement constant. Cela est facilementréalisable grâce à un capteur lumineuxintégré à un détecteur de présence. Pourpouvoir garantir un fonctionnement irré-prochable il y a lieu pourtant de tenircompte de certains effets et phénomènes

Figure 8: Principe de régulation constante de la lumière.

Figure 9: Dans le cas de lampes fluorescentes gradables,l’efficacité lumineuse diminue bien plus vite qu’avec desLED.

Figure 10: Lampes LED PANOS INFINITY de Zumtobel,www.zumtobel.com.

Figure 11: Ligne Fortimo LED de Philips, produit OEM destiné à être intégré dans des luminairesexistants, rendement lumineux de 115 lm/W pour 4000 K, www.philips.com/fortimo.

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partie technique bâtitech 5-13 45

extérieurs, pouvant influer sur la régula-tion constante de la lumière. On peut citerles surfaces qui, trop bien éclairées par lesoleil, se trouvent dans le cône de mesureou les rayons solaires frappant direc-tement les détecteurs de présence ou demouvement. Heureusement l’œil humaina une excellente faculté d’adaptation etpeut aisément s’accommoder de petitsécarts. Il y a cependant des limites à nepas dépasser, sous peine de créer une at-mosphère désagréable. On peut résumerles avantages d’une régulation constantede lumière:

• En délivrant un éclairement régulierdans une pièce, la régulation constantede lumière garantit un certain niveaude confort, indépendamment de l’in-tensité lumineuse naturelle.

• La régulation de l’éclairement par undétecteur de présence est fortement in-fluencée par les deux facteurs suivants:le rayonnement solaire et le pouvoir deréflexion des meubles.

• Le rendement lumineux diminue encas d’utilisation de lampes fluorescen-tes gradables: une forte gradation faitchuter le degré d’efficacité.

• Un système de régulation constante dela lumière doit faire intervenir des lam-pes LED, le rendement lumineux étantmeilleur que celui de lampes fluores-centes. Les LED sont modulables jus-qu’à 10 % de la puissance maximaleavec seulement une faible baisse durendement lumineux.

• En cas de gradation, le spectre lumi-neux de la LED ne sera que très peumodifié par comparaison à celui d’unelampe fluorescente.

• Les prix de l’électricité ne cesseront degrimper, autant opter d’emblée pourdes systèmes LED même si l’investis-sement initial est supérieur à celuid’une installation avec lampes fluores-centes.

A tous les lecteurs intéressés par la tech-nique des détecteurs de mouvement et deprésence, nous recommandons vivementle livre «Energieeffizienz durch Präsenz-melder und Bewegungsmelder», ISBN978-3-941276-04.8, édition Romert. ■

Figure 12: Technique LED: un projet pilote dans le centre administratif Werd à Zurich.

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46 bâtitech 5-13 partie technique

Lors de l’achat d’un luminaire LED com-plet pour une utilisation domestique, lesfabricants proposent souvent une télé-commande pour variateur. La télécom-mande peut fonctionner éventuellementpar l’intermédiaire d’une interface op-tique dans le domaine infrarouge, d’uneinterface radio 868 MHz ou par WLANavec 2,4 GHz (iPhone et consorts). Ils’agit en règle générale de solutions spé-cifiques au fabricant. Les luminaires LEDprofessionnels destinés aux bureaux, cor-ridors, salles de classe, scènes et plateaux,événements, etc. disposent d’une inter-face normalisée. Exemples d’interfacespour gradateurs: analogique: 1...10 V, nu-mérique DALI ou DMX. DALI (photo 1)s’est établi pour l’éclairage de salles declasse, de bureaux, etc. Le bus DALI per-met non seulement de dimmer 64 lumi-naires individuellement, mais il autoriseégalement l’exploitation des informa-tions retour sur l’état des lampes.

Gradation de lampes LED

Raymond Kleger

Connaissances de base LED

Les LED ont le grand avantage de pouvoir être dimmées à zéro,sachant en outre que leur rendement augmente, en raison de ladiminution de la tension de flux. Par contre les LED nécessitentobligatoirement un ballast électronique. Suivant sa configurationcelui-ci est gradable ou non. Il est avéré que de nombreux varia-teurs conventionnels sont susceptibles d’être dépassés avec deslampes LED. Pourquoi cela?

Variateurs conventionnelsSi l’on veut dimmer des lampes dansl’habitat, jusqu’à présent, on utilise es-sentiellement des lampes à incandes-cence via une variation par fermeture dephase. Pour les lampes halogènes bassetension avec transformateur électronique,

il y a lieu d’utiliser des variateurs à ouver-ture de phase. Les variateurs universelsreconnaissent la charge automatique-ment et travaillent en ouverture ou enfermeture de phase. Que se passe-t-il siune lampe LED Retrofit est mise en ser-vice avec un variateur (photo 2)?

Il est important de préciser ici que l’utili-sation d’un variateur n’est possible que sion lui associe des lampes LED Retrofitdimmables. La plupart des lampes LEDRetrofit ne le sont pas! Par ailleurs,même s’il est précisé que la lampe estcompatible avec l’utilisation d’un varia-

teur, la gradation ne fonctionne pas. Il vade soi que se pose la question, pourquoi?Une lampe LED Retrofit présentant lemême rayonnement lumineux qu’unelampe à incandescence de 60 W consom-me actuellement environ 10 W. Par con-tre, la plupart des variateurs conven-tionnels nécessitent une charge de basede 25...40 W pour pouvoir fonctionner.Par ailleurs, il y a lieu de bien étudier lafiche technique des lampes Retrofit. Cer-tains types réclament un variateur à ou-verture de phase, d’autres nécessitent leprincipe à fermeture de phase. Il existemême des modèles fonctionnant avecouverture ou fermeture de phase, mais

pratiquement jamais avec un variateuruniversel.Il est donc tout à fait judicieux de seposer la question si l’on veut travailleravec la lampe existante ou avec unelampe LED Retrofit, voire si l’achat d’unluminaire complet se justifie. En effet, leslampes LED Retrofit ne sont pas for-cément bon marché. L’ère des ampoulesà incandescence est révolue et de ce fait,les concepts de luminaires misant sur detelles lampes. Alors pourquoi ne pas in-vestir dans un luminaire LED complet,ayant un rendement optimal et doté d’unbeau design? ■

Photo 1: Luminaire suspension de Monolicht avec interface DALI et capteur de mouvementintégré.

Photo 2: Hi-Spot RefLED ES50 GU10 350 lm de HavellsSylvania, dimmable.

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Esthétique, moderne et tout aussi convaincant d’un point de vue architectural,le canal tehalit.BK broadway fait discrètement "disparaître" les câbles et lesprises dans le sol. La sortie de câbles sous forme de brosse apposée sur toutela longueur du canal permet à l’utilisateur de choisir librement les emplacementsdes raccordements de courant et de données. Une solution qui s’impose toutparticulièrement le long de grandes baies vitrées ou dans les cas où l’aménagementde la pièce ne permet pas d’installer des prises.

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Le concept de base d’un bâtiment MINERGIE-A veut que sonbilan énergétique atteigne un équilibre entre la production et laconsommation. Cela signifie que les besoins pour le chauffage,l’eau chaude sanitaire et la ventilation doivent être entièrementcouverts par des énergies renouvelables. Lancé en 2011, ce nou-veau standard de construction rencontre de plus en plus desuccès.Dans ce cas, les propriétaires ont souhaité une maison ouverte,contemporaine, naturelle et lumineuse pour une famille avectrois enfants. Située sur le flan nord du Gibloux, cette maison aété créée par le bureau d’architectes Kaspar. Grâce aux énergiesrenouvelables, en 36 ans, cette villa aura non seulement pro-duit toute l’énergie consommée par le bâtiment et par ses habi-tants, mais aussi toute l’énergie qui a été nécessaire à sa cons-truction.Hormis la question de la consommation énergétique, les archi-tectes ont privilégié l’emploi de matériaux de construction éco-logiques: ossature en bois, isolation de papier recyclé et de laine

Inauguration d’unemaison MINERGIE-A

Pionnière en Suisse romande

Le samedi 23 mars 2013, l’une des premièresmaisons MINERGIE-A de Suisse romande a étéinaugurée à Estavayer-le-Gibloux (FR). Un belexemple qui a attiré près de 40 visiteurs.

de bois, revêtement en lames brutes de mélèzes de la région.Une installation technique compacte assure l’aération douce,ainsi que le chauffage des locaux et de l’eau chaude sanitaire. Lachaleur est puisée du système d’aération ainsi que de sondesterrestres.Cette inauguration a débuté par un cycle de conférences don-nant la parole à M. Bujard, directeur de l’Agence MINERGIEromande, à M. Chassot, syndic de la commune du Glèbe, àMme Kaspar, architecte, et à M. Boschung, technicien CVS.Quelque 40 visiteurs ont pu se rendre ensuite dans la maisonde M. et Mme Desaintjean, fiers propriétaires, pour une visiteguidée.A fin 2012, la Suisse comptait dix bâtiments MINERGIE-A et sixbâtiments MINERGIE-A-ECO définitivement certifiés. En Suisseromande, deux bâtiments possèdent leur certificat définitif: unà Guin et l’autre à Estavayer-le-Gibloux. Deux autres bâtimentsvalaisans sont sur le point de se terminer et plusieurs autres réa-lisations sont en cours de construction dans tout le pays.

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Point de mire, la stratégie énergétique 2050Depuis la décision de sortir du nucléaire et de passer aux éner-gies renouvelables, la politique énergétique en Suisse est enmouvement. Pour pouvoir atteindre les objectifs, deux paquetsde mesures en deux étapes sont en discussion sur le plan politi-que. Le paquet numéro un est d’interdire l’autorisation de cons-truire de nouvelles centrales nucléaires, tout en subventionnantnotamment les énergies renouvelables et en appliquant des me-sures pour augmenter l’efficience énergétique. L’étape numérodeux après 2020 prévoit une réforme écologique des impôtsavec une taxe d’incitation CO2.

Bonnes conditions cadres au lieu d’unesurréglementation et de subventionsImmoClimat Suisse est sceptique envers cette voie qui est baséeavant tout sur des réglementations étatiques et des subventionsainsi que sur une redistribution fiscale. Selon l’avis de l’asso-ciation, les subventions ne déclenchent d’une part pas d’effetd’entraînement efficace. Une surréglementation et un écrémagefiscal freinent d’autre part les investissements. La stratégieénergétique d’ImmoClimat Suisse va dans une tout autre direc-

ImmoClimat Suisse a connuun formidable essor

3e Assemblée générale d’ImmoClimat Suisse

Le 26 avril, Filippo Leutenegger, président d’ImmoClimat Suisse, a accueilli les délégués et les mem-bres de l’association à la 3e Assemblée générale ordinaire à l’hôtel Glockenhof à Zurich, pour la der-nière fois en tant que président. Le centre de l’intérêt portait – outre la partie statutaire sur la stratégieénergétique 2050 – sur le rôle de l’association ainsi que de l’ensemble de la branche de la techniquedu bâtiment.

tion. L’association mise plutôt sur des standards dont la mise enœuvre est l’affaire des cantons. Dans le cas d’ImmoClimatSuisse, il s’agit en première ligne de standards de T-value pourles bâtiments, sur lesquels sont également basés les modèles deprescriptions énergétiques des cantons (MoPEC).

ImmoClimat Suisse en première lignedans le dialogue politiquePour pouvoir placer ses demandes sur le plan de la politiqueénergétique au plus haut niveau, ImmoClimat Suisse s’est activéen première ligne. Ainsi IMS a été invité à une discussion au-tour d’une table ronde avec la conseillère fédérale Doris Leut-hard et a pu y apporter une contribution constructive. Le but estde canaliser les prescriptions légales dans une direction judi-cieuse et aussi efficace que possible sur le plan énergétique. Carc’est dans le parc de bâtiments suisse que se situe de loin le plusgrand potentiel d’améliorations énergétiques.

Mutations au sein de l’équipe directriceet du ComitéAprès trois ans de travail structurel intense, le président FilippoLeutenegger remet son mandat. Avec l’assemblée générale du26 mars, René Schürmann, Elcotherm, reprend la présidence del’association. Jürg-Nufer remet sa fonction de vice-président etde membre du Comité. Marco Letta de Hoval, Rolf Blatter de lamaison EMB Pumpen et Thomas Greuert de Tobler sont lesnouveaux élus au comité. Ils remplacent Rolf Felber de Elco-therm et Stefan Zahm de Tobler.

Du renforcement vers l’intérieur au renforcementvers l’extérieurAu cours de l’exercice écoulé, le travail dans les commissions alancé et développé plusieurs projets. Les différents groupes pro-fessionnels peuvent présenter toute une série de résultats vi-sibles. De nouvelles notices ont par exemple été élaborées surdifférents thèmes. Un exemple est la notice chauffe-eau pompeà chaleur. Dans le domaine de la formation, le premier cours etles examens professionnels supérieurs de spécialiste en systèmesthermiques et de spécialiste en combustion ont été réalisés avecsuccès et le concept du cours pour la nouvelle filière de spécia-liste en aération douce a été élaboré. Alors que dans les annéesde mise en place ImmoClimat Suisse se concentrait sur le ren-

Orateur invité: Robert Lombardini,président du Conseil d’administration Axpo Holding AGDans son exposé d’ouverture de l’assemblée générale, Robert Lom-bardini, membre du Conseil d’administration d’Axpo, a à titre per-sonnel mis en cause de manière critique la stratégie énergétique2050 et ses conséquences sur les entreprises de distributiond’électricité, l’industrie énergétique et le domaine du bâtiment.Les décideurs d’Axpo relèvent eux aussi les plus grands potentielsdurables et rentables pour l’amélioration de l’efficacité et pour lepassage aux énergies renouvelables dans le domaine du bâtiment.«Si des investissements ciblés et l’amélioration de la techniquenous permettent d’atteindre ici de fortes économies d’énergie etde CO2, nous devons exploiter ce potentiel», dit le représentantd’Axpo. Pour Robert Lombardini il est cependant clair qu’il en ré-sultera une augmentation de la consommation d’électricité – parexemple par les pompes à chaleur, dont la part de marché atteintdéjà 90 % dans les nouvelles constructions.

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Filippo Leutenegger dirigeait ImmoClimatSuisse comme président depuis sa fondation.Par ses expériences fondées en tant que dé-cideur dans différentes organisations, maisaussi en tant qu’entrepreneur et connaisseurdes branches de l’énergie, de l’immobilier etde la technique du bâtiment, le conseillernational a accompli un travail de conduitetrès précieux pour le développement de l’as-sociation dans les premières années après lelancement et y a apporté des impulsionsmarquantes.Aujourd’hui, trois ans après la fondation, Im-moClimat Suisse est sur la bonne voie et estreconnue comme première association quiréunit toutes les disciplines de l’ensemble desbranches de la technique du bâtiment sousun même toit. Pour Filippo Leutenegger, lemoment propice pour remettre la présidence

Nouveau présidentdu comité

Filippo Leutenegger transmet la présidence d’ImmoClimat Suisse

Le conseiller national Filippo Leutenegger avait donné sa démission entant que président du Comité d’ImmoClimat Suisse pour la 3e Assembléegénérale du 26 mars. René Schürmann, CEO d’Elco, devient le nouveauprésident du Comité.

et laisser la place à un initié de la branche etpraticien ancré.Avec l’Assemblée générale du 26 mars, RenéSchürmann assume la direction du Comité.René Schürmann est directeur d’Elco, l’unedes entreprises de service leader dans le do-maine de la production de chaleur.Filippo Leutenegger continuera à assister Im-moClimat Suisse en sa fonction de déléguépour les relations extérieures et en tant queconseiller politique et s’engagera à Berne surle plan national pour une utilisation écolo-gique et énergétiquement efficace d’énergiesdans le domaine de la technique du bâti-ment, ce qui est un souci central de l’associa-tion.ImmoClimat Suisse remercie le conseillernational Leutenegger de son engagement etde son travail accompli jusqu’ici. ■

forcement vers l’intérieur, le nouvel exercicede l’association 2013 est maintenant sous lesigne du renforcement vers l’extérieur. Immo-Climat Suisse entend se positionner commeinterlocuteur leader dans le secteur du bâ-timent. A cet effet, il est prévu de réaliser, en-

tre autres, le 11 septembre 2013 un ICS Mid-week-Event comme rencontre de la brancheet en 2014 un forum ICS technique du bâ-timent et énergie. D’autres notices sont encours de développement et le travail depresse est intensifié. ■

Filippo Leuteneggertransmet la présidenced’ImmoClimat Suisseà René Schürmann.

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En 2012, les ventes de gaz naturel se sont inscrites à 37,815milliards de kilowattheures en Suisse. L’accroissement de 9,6 %par rapport à l’exercice précédent (34 498 GWh) est dû à desconditions météorologiques plus fraîches, à de nouveaux clientset à une nouvelle augmentation de la production dans le sec-teur industriel. Le nombre des degrés-jour de chauffage a été de3281, contre 2938 en 2011, en hausse de 11,7 %. Pour livrer lamême quantité d’énergie sous forme de mazout qui aurait reje-té quelque 2,71 millions de tonnes de CO2 supplémentaires

Météo et économiepoussent les ventes degaz naturel en Suisse

Association Suisse de l’Industrie Gazière

En hausse de près de 10 % par rapport à l’année précédente, la consommation suisse de gaz naturels’est élevée à presque 38 milliards de kilowattheures en 2012. La progression tient aux conditionsmétéorologiques plus fraîches, au raccordement de nouveaux clients et à une légère hausse de la con-sommation industrielle. Climatiquement neutre, le biogaz, qui peut être utilisé tant comme carburantque comme énergie de chauffage, gagne aussi en popularité. Des extensions de réseau et l’acquisitionde nouveaux clients ont permis au gaz naturel de consolider sa position en Suisse. Le gaz naturelet le biogaz rencontrent un succès grandissant car ils ménagent l’environnement et ne produisent pasde particules fines.

dans l’atmosphère, il aurait fallu près de 160 000 transports decamions-citernes.Grâce à la convention passée entre l’industrie et les distribu-teurs de gaz naturel, les gros consommateurs industriels de gazont la possibilité de s’approvisionner en gaz naturel direc-tement auprès du fournisseur de leur choix. Dix clients ont faitusage de cette possibilité en 2012.

Plus de 900 communes raccordéesau réseau de gaz naturelLe gaz naturel a encore consolidé et développé sa présence surle marché suisse de l’énergie, grâce à des extensions de réseau,au raccordement de cinq nouvelles communes et à l’acquisitionde nouveaux clients. Aujourd’hui, plus des deux tiers de la po-pulation suisse vivent dans des communes alimentées en gaznaturel. Le système de transport, d’une longueur de plus de18 700 km, est enterré, ce qui permet d’assurer l’approvision-nement sûr et constant de la clientèle suisse qui utilise le gaznaturel pour se chauffer ou pour produire de la chaleur indus-trielle, cela sans peser sur l’environnement ni surcharger le ré-seau routier. A la suite de la sortie prévue du nucléaire, la pro-duction décentralisée d’électricité à l’aide d’installations decogénération (couplage chaleur-force ou CCF), qui permettentà la fois de produire de l’électricité et de la chaleur et de lesconsommer sur place, ainsi que l’utilisation du réseau pour lestockage et le transport de gaz produit à partir d’énergies renou-velables excédentaires, vont sans aucun doute s’imposer commede nouveaux piliers de la stratégie énergétique de la Suisse.

Le biogaz de plus en plus appréciéDe plus en plus de distributeurs locaux proposent du gaz natu-rel sous forme d’énergie thermique avec une part de biogaz de5, 20 voire 100 %. Parmi les «clients 100 %», on compte unnombre croissant de communes, qui utilisent du biogaz pour

Disponibilités en gaz naturel de la Suisse (consommation brute d’énergie PCS engigawattheures, GWh).

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associations bâtitech 5-13 53

chauffer leurs bâtimentset apportent ainsi unecontribution importanteà la protection du cli-mat. En 2012, la con-sommation de biogazs’est inscrite à 86,5 GWh(+23 % par rapport à2011), répartis pour moi-

tié entre le chauffage et le carburant. On compte désormais enSuisse 14 installations permettant d’injecter du biogaz dans leréseau de gaz naturel.

Environ 11 100 véhicules à gaz naturelLe nombre des véhicules à gaz naturel est passé à 11 099 en2012. Le réseau à leur disposition pour faire le plein compteaujourd’hui 137 stations de remplissage. Les ventes de gaz natu-rel/biogaz carburant correspondent à environ 22 millions delitres d’essence. La part du biogaz est de 20 %.En moyenne nationale, le gaz naturel/biogaz est environ 30 %meilleur marché que l’essence. La mobilité alternative au gaznaturel/biogaz s’impose actuellement comme la technologie laplus respectueuse du climat parmi tous les véhicules de sérieéquipés d’un moteur à explosion. L’adjonction de biogaz per-met d’améliorer encore le bilan CO2 des véhicules à gaz naturel,au demeurant déjà très bon.

Importations surtout d’Europe occidentaleLe gaz naturel consommé en Suisse provient à raison d’environdeux tiers des pays de l’UE et de Norvège. Près d’un quart dugaz naturel importé provient de champs gazéifères situés enRussie, et le reste d’autres régions. La Suisse achète son gaz na-turel pour moitié environ en s’appuyant sur des contrats à longterme conclus avec de grands fournisseurs en Allemagne, auxPays-Bas, en France et en Italie. Ces fournisseurs disposent enoutre de grands stockages souterrains. Le reste est acquis sur labase de contrats à court, voire très court terme. Il n’y a aucuncontrat passé avec des fournisseurs russes. Enfin, Swissgas, prin-cipale société d’importation en Suisse, associée à des partenairesallemands et autrichiens, a des participations directes dans l’in-dustrie extractive norvégienne. ■

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Remarques

37,815 milliards de kilowattheures (kWh) correspondentà 37 815 gigawattheures (GWh) = soit environ 3,4 mil-liards de m3 de gaz naturel.1 kWh de gaz naturel correspond à 0,1009 litre demazout EL, camions-citernes d’une contenance de24 000 litres.Véhicules à gaz naturel en Suisse: 11 099 (8150 voitu-res de tourisme, 2657 fourgonnettes et minibus,208 bus, 84 camions).Les chiffres des ventes de gaz naturel/biogaz sont baséssur les relevés de l’Association Suisse de l’IndustrieGazière (ASIG).

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54 bâtitech 5-13 associations

Les participantes et participants de six nations entre la mer duNord et la Méditerranée se sont rendus en Suisse. Benno Zurfluh,président du CO, souligne que «l’importante demande montre lapertinence du thème et la résonance internationale souligne laconsidération vis-à-vis du travail sur les directives de la VDI et dela SICC». Il s’est avéré que le savoir-faire incorporé par la VDI etla SICC convenait de façon idéale pour illustrer l’état de la tech-nique et fournir de précieux instruments de planification. Il estun fait certain que de nombreuses personnes sont venues pour sefamiliariser avec les dernières connaissances dans le domaine del’état de l’hygiène des installations aérauliques.

Etat de l’hygiène des installations aérauliquesL’introduction systématique sur les standards actuels de l’hy-giène de l’air et de l’eau par David Burkhardt a souligné l’im-portance et la portée du sujet. Ensuite Roland Ganz a fourni unrésumé du projet de recherche «Etat hygiénique des installa-tions aérauliques en Suisse». Dans son exposé, il a fourni des

Séminairesur l’hygiène 2013

Par Stefan Mennel

Généralement sans risque hygiénique

Plus de 200 personnes se sont réunies le 25 janvier 2013 à l’hôtel Schweizerhof à Lucerne pour dis-cuter des dernières connaissances en matière d’hygiène de l’eau et de l’air. Le séminaire sur l’hygiènede la SICC, en collaboration avec la VDI, a présenté à cette occasion l’état de la technique.

informations passionnantes et interprété des résultats en faisantappel à des corrélations claires.L’une d’entre elles, indépendamment d’autres critères, distingueparfaitement les installations du point de vue de leur charge degermes si elles respectent les niveaux de filtration selon les re-commandations SICC. Une autre information qui devrait certai-nement nous donner à réfléchir: depuis la publication de la SICCsur l’hygiène et les recommandations qu’elle contient sur l’acces-sibilité, celle-ci s’est détériorée. Les nouvelles installations sontmoins accessibles, en conséquence la maintenance est rendueplus difficile. Roland Ganz a souligné que «les connaissances etle savoir relatifs aux niveaux de filtration et à l’accessibilité sontdisponibles, il nous incombe maintenant de les mettre en prati-que».

Hygiène dans le domaine de l’eauReto von Euw a ouvert la seconde partie du séminaire par sonrapport sur des alimentations hygiéniquement et énergétique-ment optimales en eau chaude. Le risque de contamination duréseau de conduites s’oppose à l’optimisation énergétique de

De droite à gauche, voici les conférenciers: (il manque Gerhard Zweifel), Rüdiger Külpmann, Modérateur; Thomas Schürmann; Reto von Euw;David Burkhardt; Dominik Reiner; Rainer Kryschi; Roger Waeber; Arnold Brunner; Christian Monn; Roland Ganz; Marcel Baumer; Max Amstutz.

(Photos: Lea Hildebrand/SWKI)

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associations bâtitech 5-13 55

l’alimentation à des températures d’eau chaude les plus bassespossibles. Sa contribution au séminaire offre ici des perspec-tives passionnantes sur les systèmes possibles de réduction destempératures de l’eau chaude.Rainer Kryschi a présenté ensuite ses connaissances sur les exi-gences hygiéniques des installations frigorifiques à évaporation.Les nombreuses attaques de légionnelles avec cinq cas mortels àUlm en janvier 2010 ont été à l’origine de la création du comitéspécialisé de la VDI sur ce thème. La VDI 2047 feuille 2 définitici les standards pour garantir un parfait fonctionnement res-pectant les considérations hygiéniques. Il cite dans son exposéWilhelm Busch: «Donc la conclusion est que l’homme doitapprendre quelque chose».

Combien d’air, lequel?Le Prof. Gerhard Zweifel a montré dans la dernière partie duséminaire ce qu’il avait appris pendant son séjour dans les paysscandinaves. Les Scandinaves ont, dans les prescriptions deconstruction, défini, dans le domaine des bureaux, un taux d’airextérieur du double de celui que prévoit la SIA. Simultanémentl’ASHRAE recommande la moitié du débit d’air applicable enSuisse. Les normes CEN 15251 et 13779 ne sont pas non plus

cohérentes. Il s’avère convaincu que dans l’avenir de nouveauxaspects seront inclus dans la définition du taux d’air extérieur.Immédiatement après, Thomas Schürmann a fait valoir de nou-veaux aspects avec sa thèse que dans tous les locaux ventilésmécaniquement régnait un manque de petits ions négatifs.Cette absence serait l’une des principales raisons du syndromeSick Building (SBS). A la fin du séminaire, Max Amstutz a ren-du compte de son trésor d’expériences acquis avec différentssystèmes de filtres à air du point de vue de l’hygiène et descoûts d’exploitation.

Des participantes et participants informés,des exposants satisfaitsBenno Zurfluh résume: «Les nombreuses informations en re-tour de participants et exposants nous ont montré qu’avec le sé-minaire sur l’hygiène nous avions répondu à un besoin impor-tant de la branche. Il a encore une fois constaté à cette occasionqu’il en était résulté entre les participants et les exposants desdiscussions passionnantes et intenses. Un troisième séminairespécialisé est en conséquence déjà prévu pour 2015.

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Plus de 220 participants étaient présents lors de ce second séminaire suisse sur l’hygiène. Benno Zurfluh, président du comité d’organisation, ouvre, àLucerne, ce second séminaire sur l’hygiène

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Comment obtenir des bâtiments énergé-tiquement efficaces et une productiondurable grâce à la communication radiointelligente? Les réponses sont donnéespar le roadshow EnOcean Suisse 2013qui débute le 28 mai à Zoug. Au total 13entreprises présentent dans le cadre dedivers scénarios d’application la techno-logie radio sans pile et répondent auxquestions portant sur ses caractéristiquesspécifiques et sur la planification des sys-tèmes. En plus des six interventions axéessur la pratique, les participants aurontl’occasion de visiter une exposition avecdes solutions très diverses. Ils pourrontégalement avoir des échanges avec lesexperts à propos des dernières tendancesdans le bâtiment durable et l’automatisa-tion industrielle.

Chaque manifestation se déroule de 13 hà 18 h 30 dans les six villes suisses suivan-tes:

28. 5. 2013 Zoug, Swiss Hotel29. 5. 2013 Berne, Bea expo30. 5. 2013 Zurich, Albisgütli18. 6.2013 Bâle, St. Jakobs Park19. 6. 2013 Fribourg, Forum20. 6. 2013 Lausanne, Beaulieu

Les entreprises représentées sont les sui-vantes: BootUP, demelectric, EnOcean,FLEXtron, Carl Geisser AG, GNI, Omnio,

EnOcean et ses partenairesvous invitent auRoadshow Suisse 2013

La technique radio sans pile en tournée

Dans 6 villes, 13 entreprises vont donner un aperçu complet sur latechnique radio sans pile et présenter différents exemples de bâti-ments et d’applications industrielles efficaces en termes d’énergie.

Saia-Burgess, SAUTER, sensortec, steute,WAGO ainsi que Waldmann.Vous trouverez un agenda détaillé ainsique des informations complémentairessur cette série de manifestations gratuitesdans www.enocean.com/ch. Les person-nes intéressées peuvent s’inscrire aux dif-férentes dates sur la page Web ou pare-mail [email protected]. Le nom-bre de participants est limité.

La radio sans pile avec récolted’énergie (Energy Harvesting)Grâce à la récolte d’énergie, la techniqueradio EnOcean n’a besoin ni de fil ni depile. L’énergie nécessaire au signal radioest obtenue par des convertisseurs d’éner-gie à partir du mouvement, de la lumièreou d’une différence de température. Ilexiste déjà de nombreuses applicationsénergétiquement autonomes pour l’auto-matisation des bâtiments et dans l’indus-trie, pour les transports ainsi que pour lessystèmes intelligents de domotique ou demachine à machine, sur la base de latechnique radio sans pile. Parmi celles-cifigurent les interrupteurs sans pile, lespoignées de fenêtre intelligentes, les cap-teurs de température, d’humidité ou delumière, les détecteurs de présence ainsique divers actionneurs comme les robi-nets de radiateurs et les centrales à auto-nomie d’énergie ou encore les systèmescomplets pour l’automatisation des bâ-timents et des maisons. Les systèmesradio sans pile permettent d’économiserjusqu’à 40 % d’énergie dans un bâtiment.

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A propos d’EnOcean

EnOcean GmbH a inventé la tech-nologie radio sans pile, brevetée.Implantée à Oberhaching, près deMunich, en Allemagne, l’entreprisefabrique et vend des modules decapteurs sans fil à collecte d’éner-gie (Energy Harvesting). Ceux-cisont destinés au bâtiment et à desapplications industrielles ainsi qu’àd’autres domaines tels que la mai-son (smart home), les compteursintelligents, la logistique et letransport. La technologie EnOceanassocie des convertisseurs d’éner-gie miniaturisés, une électroniqueultra basse consommation et unepuissante technologie radio. Depuis10 ans, des fabricants de produitsde premier ordre choisissent lesmodules radio EnOcean pour déve-lopper de nouveaux systèmes.EnOcean est promoteur de l’AllianceEnOcean, un consortium qui regrou-pe des entreprises du secteur dubâtiment du monde entier. L’objectifde l’Alliance est de développer dessolutions innovantes pour les bâti-ments durables. Des composantsradio autoalimentés EnOcean sontactuellement en service dans plusde 250 000 bâtiments à travers lemonde. Le protocole de communica-tion sans fil d’EnOcean est normali-sé au niveau international (normeISO/IEC 14543-3-10); il est optimi-sé pour les applications radio à ultrabasse consommation et à collected’énergie.

Page 59: Bâtitech 05-2013

partie technique bâtitech 5-13 57

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58 bâtitech 6/7-12 formation

Mesure d’isolement dedispositifs de protection

à courant différentiel-résiduelde type BLors d’un contrôle de réception j’ai trouvédeux dispositifs de protection à courant diffé-rentiel-résiduel de type B. Comme les valeursmesurées ont déjà été reportées dans le rap-port de mesure et de contrôle de l’installateurélectricien, j’ai renoncé à effectuer des mesu-res supplémentaires. J’avais des doutes sur lanécessité d’effectuer une mesure d’isolementpour un dispositif de protection à courant dif-férentiel-résiduel de type B. Existe-t-il une in-formation à ce sujet dans la norme?

(U. S. par e-mail)

D’après la NIBT, les valeurs de la mesured’isolement sont aussi à déterminer dansdes installations électriques neuves, cecien aval d’un dispositif de protection àcourant différentiel-résiduel. Dans le casd’un dispositif de protection à courantdifférentiel-résiduel, il n’est possible derenoncer aux valeurs de la mesure d’iso-

1

Know-how NIBT 4

David Keller, Pius Nauer

D’après l’Ordonnance sur les installations électriques à basse tension (OIBT), il y a lieu de contrôlerpériodiquement les installations électriques existantes. Celles-ci ne correspondent pas toujours à l’étatactuel des normes. A priori il n’existe pas d’obligation de mise aux normes, tant que l’installation esten mesure d’être exploitée sûrement. Se pose la question: à quel moment une installation est-elle en-core sûre? Que faut-il remettre en cause et que faut-il valider tel quel? D’une part, les connaissancessur les normes et prescriptions en vigueur lors de la date de réalisation sont utiles aux contrôleurs,d’autre part, il leur faut la portion nécessaire de compétence technique, afin de bien évaluer les situa-tions. Pour maintenir et améliorer ces compétences, il faut des discussions et échanges entre spécia-listes. Peut-être les questions et réponses ci-dessous vont-elles animer des discussions? Nous vous ensouhaitons bonne lecture.

lement que lors du contrôle périodique.Ceci est le cas, aussi bien pour les dispo-sitifs de protection à courant différen-tiel-résiduel de type A que de type B. Sidans l’installation, on est en présence deDDR de type B, la mesure d’isolement està effectuer avec beaucoup de précautions.Les dispositifs de protection à courantdifférentiel-résiduel travaillent avec deuxcircuits de détection. La partie indépen-dante de la tension d’alimentation dé-tecte aussi bien les courants de défautcontinus ondulants que les courantsalternants. Avec le dispositif dépendantde la tension d’alimentation, on détecteles courants de défaut continus. Cette dé-tection «tous courants» est sensible auxsurtensions. C’est la raison pour laquelleles données du fabricant d’un dispositifde protection à courant différentiel-rési-duel ressemblent à ceci: la mesure d’iso-lement d’une installation de récepteursne peut être effectuée qu’à partir dumoment où le dispositif de protection àcourant différentiel-résiduel est coupé.Une mesure d’isolement réalisée si l’ap-pareil est en service, ou réalisée côté ali-

mentation, peut détruire l’électroniquede détection «tous courants»! L’utilisa-tion de tels dispositifs de protection àcourant différentiel-résiduel est de plusen plus fréquente dans l’habitat, du faitdes équipements photovoltaïques. Avantde réaliser la mesure d’isolement dans lecoffret compteur extérieur, il est recom-mandé de tâcher d’avoir un bon aperçude l’installation.

Dispositifs de protection àcourant différentiel-résiduel

(DDR type AC)Dans le cadre d’un contrôle périodique, dansune maison individuelle, j’ai découvert plu-sieurs vieux disjoncteurs FI, n’étant pas mar-qués du symbole Ü. Comme il s’agit d’unepropriété assez ancienne, je ne sais pas s’il y alieu de remettre l’installation en cause, ou sij’ai le droit de la laisser en l’état.

(E. Z. par e-mail)

Le symbole Ü mentionné signifie que ledisjoncteur FI, outre les courants alter-natifs, est aussi en mesure de prendre encompte les courants de défaut continu

2

Type A, sensible aux courants ondulants.A utiliser généralement en Suisse pour lesinstallations domestiques.

Type AC, sensible aux courants alternatifs. De-puis NIBT 2010 ne sont plus admis en Suisse.

Type B sensible «tous courants». Adapté parexemple aux installations solaires.

Figure 2: Interrupteurs automatiques à courant différentiel résiduel

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formation bâtitech 6/7-12 59

ondulants et de couper le circuit. En l’ab-sence de ce marquage, il serait uni-quement en mesure de reconnaître lescourants alternatifs de façon fiable. Selonla norme actuelle NIBT 2010, les DDRdoivent comporter au minimum ce mar-quage et donc être capables de couperdes courants de défaut continus ondu-lants. Ces DDR sensibles aux courants dedéfaut continus ondulants portent la dé-signation type A. En l’absence de ce mar-quage, ils font partie des types AC et sontdonc sensibles aux courants alternatifs.Par ailleurs, la nouvelle génération estcapable de reconnaître les courants dedéfaut continus purs. Il s’agit des appa-reils de type B, ou sont en fait des DDRsensibles à tous les courants. Les normeset prescriptions plus anciennes impo-saient des disjoncteurs à courant de dé-faut de type A, dans les cas où il fallaitcompter avec des courants de défaut on-dulants, ou si l’on ne savait pas s’il fautcompter avec la présence de tels courants.On ne sait jamais à l’avance quels typesd’appareils vont être raccordés aux cir-cuits pour prises de courant. Par exempledans une salle de bain, il est fort proba-ble que l’on raccorde un sèche-cheveux.Il s’agit d’un classique pour courants on-dulants, parce que la régulation de puis-sance des appareils les plus simples estréalisée avec un redresseur une voie. Encas de contact fortuit avec une personne,il n’est pas garanti que le DDR fonction-ne. Cette demande concernant les dis-joncteurs à courant de défaut sensiblesaux courants ondulants était déjà stipuléedans les PIE (Prescriptions pour les ins-tallations électriques intérieures) datantde 1985. Par conséquent, lors de votrecontrôle périodique, vous êtes obligé deprendre connaissance de la date de réali-sation de l’installation. Si l’installation aété réalisée après le 1er juin 1985, il fautremplacer au minimum les DDR pourlesquels il existait une exigence en rela-tion avec l’utilisation, c’est-à-dire dans lasalle de bain, à l’extérieur, etc. (voir

exemples d’interrupteurs automatiques àcourant différentiel résiduel, figure 2.

(dk)

Résistance minimale duconducteur de protection

Dans un formulaire de procès-verbal nou-veau pour moi, figure un symbole oméga (?)dans la colonne relative au contrôle du con-ducteur de protection. Dois-je mesurer doré-navant les conducteurs de protection avec unohmmètre et reporter une valeur, ou alors laconfirmation du contrôle effectué est-elle suf-fisante? (T. D., par e-mail)

Cette question interpelle régulièrementles spécialistes. Pour anticiper: les rap-ports et procès-verbaux de mesures nesont pas normés. Dans le règlement duDETEC concernant les installations àbasse tension, article 10, il est stipulé quele rapport de sécurité doit contenir desindications nécessaires à l’évaluation dela sécurité d’une installation électrique.Qu’est-ce qui est important pour l’évalua-tion de la fonction d’un conducteur deprotection?L’unique raison d’être du conducteur deprotection, dans le système TN, est depouvoir conduire à la coupure automa-tique nécessitée par un courant de défaut.Si, pour assurer cette coupure automa-tique, on utilise des dispositifs de protec-tion contre les surintensités, il faudra descourants nettement plus élevés que dansles cas d’utilisation de dispositifs de pro-tection à courant différentiel-résiduel(DDR).L’efficacité de la mesure de protection dé-pend donc essentiellement du choix del’équipement de protection et du courantde défaut présumé! Dans la NIBT, il estclairement décrit de quelle manière il y alieu de contrôler cette efficacité (NIBT6.1.3.6.1): au moyen de la mesure d’im-pédance de boucle de défaut et du con-trôle des caractéristiques et/ou de l’effica-cité de l’équipement de protection. Grâceà cette méthode, on effectue simulta-

3

nément des mesures sur le conducteur deprotection, sans pour autant déterminerune valeur propre à celui-ci. Par ailleursdans la remarque 1, la NIBT autorise lefait de ne pas effectuer de mesure, si l’onutilise un DDR ayant un courant diffé-rentiel assigné maximal de 500 mA. Dufait que cette prise de mesures doit êtreeffectuée uniquement sur la partie finaled’un circuit électrique, se pose désormaisla question, de quelle manière les autresraccordements pour conducteur de pro-tection sont à contrôler. Cela est expriméainsi dans la NIBT en 6.1.3.2: «Le con-trôle de la continuité des conducteursdoit être réalisé ... pour les conducteursde protection.» Lors d’un contrôle decontinuité, il n’y a pas lieu de relever desvaleurs ohmiques. Le procès-verbal decontrôle est établi avec «effectué» ou«ok». Il est possible de réaliser le contrôlede continuité avec des appareils diffé-rents, par contre le courant de mesuredoit présenter une valeur minimale de200 mA.Encore quelques mots concernant la prati-que: dans le cas d’une installation domes-tique, les résistances séparées des conduc-teurs de protection sont quasimentimpossibles à mesurer. Pour cela, il fau-drait d’une part que les conducteurssoient disposés en étoile en partant d’unpoint central et que les résistances soientmesurées à partir de ce point. D’autrepart, pour réaliser la mesure, tous les ap-pareils reliés au conducteur de protectiondevraient être isolés de façon sûre parrapport à d’autres éléments mis à la terre,ainsi que par rapport au dispositif d’équi-potentialité, voire être isolés en tantqu’ensemble. Donc, pour «l’évaluation dela sécurité d’une installation électrique», ilfaut non seulement du papier, mais aussides compétences techniques lorsqu’onremplit et qu’on lit un formulaire. C’est laraison pour laquelle ce type de questionest d’importance cruciale et doit faire detemps à autres l’objet de discussions.

(dk)

Les contacts pour vos annonces:Rolf NiederbergerTél. 058 200 56 18 (CWS)

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Page 62: Bâtitech 05-2013

60 bâtitech 6/7-12 formation

Brain FoodRico De Boni, Marcel Schöb

Pratique d’installationLes questions suivantes font partie desobjectifs évaluateurs suivants du plan deformation de l’installateur électricienCFC:

Plan de formation L1/2.3.4:• Les personnes en formation utilisent

l’outillage et l’appareillage appropriépour les travaux de montage et d’instal-lation.

Plan de formation L1/2.3.5:• Les personnes en formation, en atelier,

façonnent des pièces mécaniques d’ap-pareils et des pièces à usiner au moyende machines à percer ou à poncer.

Plan de formation L1/2.3.7:• Les personnes en formation expliquent

les mesures de sécurité de l’outillage etdes appareils, elles justifient leur utilitéet les appliquent.

Exercice 35Quels genres de tournevis faut-il utiliser

pour dévisser les vis de la figure 35?

Exercice 36Que signifie la désignation «3» sur letournevis à fente?

Exercice 37Comment garantir que la vis sera serréeavec un couple de serrage suffisant?

Exercice 38Comment se différencient les tournevisPozidriv et Phillips?

Exercice 39Quel matériau utilise-t-on pour les têtesde tenailles et pour les embouts de tour-nevis?

Exercice 40a) Quels types de pinces a-t-on reproduit

dans la figure 40?b) Pour quels travaux sont-elles utilisées?

Exercice 41Que signifie le symbole sur l’isolation dela pince? (voir figure 41)

Exercice 42Où doit-on utiliser l’outillage doté dumarquage selon figure 42?

Exercice 43Lors de travaux de découpe avec des pin-ces coupantes ou des cisailles à câble, onparle de «biseau».a) De quoi s’agit-il?b) Quel est leur critère de différenciation?c) Définissez les biseaux adéquats en

fonction du travail à effectuer

Exercice 44Décrivez et expliquez le principe de cons-truction d’un foret à béton.

Exercice 45Sur un foret à béton on trouve le sym-bole, figure 45.Que signifie ce marquage?

Exercice 46a) Quels types de foret a-t-on représenté,figure 46?b) Ou sont-ils utilisés?

Exercice 47Il y a lieu de percer un taraudage pourune fixation. Quel est le diamètre de per-çage nécessaire à la réalisation du file-tage?a) M6 b) M8 c) M16

Solutions voir page 72 ■

Exercice 35

Exercice 40

Exercice 41

Exercice 45

Exercice 46

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carnet bâtitech 5-13 61

Du 10 au 13 septembre 2013 Messe Baselwww.ineltec.ch

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Page 64: Bâtitech 05-2013

62 bâtitech 5-13 carnet

DOMA Solartechnik GmbH est une en-treprise innovante de Satteins, Vorarl-berg, avec une expérience de plus de 20ans dans les systèmes photovoltaïques etde capteurs solaires. Elle est leader dansle domaine particulier des capteurs degrande surface et intégrés à la façade. Elledispose de son propre bâtiment indus-triel à Satteins, qui produit la totalité desbesoins énergétiques nécessaires à la pro-duction et aux bureaux à partir d’énergiesrenouvelables et a reçu le Prix solaire eu-ropéen. DOMA Solartechnik GmbH, quicompte 26 collaborateurs, défend la du-rabilité et la qualité, partageant ainsi lesmêmes buts et visions qu’Ernst SchweizerAG.Ernst Schweizer AG, Metallbau, est l’unedes entreprises leader de Suisse en ma-tière de fourniture pour la construction ets’engage depuis plus de 35 ans pour laconstruction écologique et la directiondurable de l’entreprise. Elle est un four-nisseur important de façades et fenêtresénergétiquement efficaces et de systèmespour la production de chaleur et d’élec-tricité à partir de l’énergie solaire. Cetteentreprise familiale emploie 626 collabo-rateurs en Suisse.

Fusion de deux pionniers de l’énergie solaireErnst Schweizer AG, Metallbau | DOMA Solartechnik GmbH | Alukönigstahl GmbH

Depuis le 20 mars 2013, l’entreprise DOMA Solartechnik GmbH (Sat-teins, Autriche) fait partie d’Ernst Schweizer AG, Metallbau (Hedingen,Suisse). Ces deux entreprises ont en commun le rôle de pionnier qu’ellesjouent depuis de nombreuses années dans l’utilisation de l’énergie so-laire. Grâce à cette fusion, elles complètent leur assortiment de produitset profitent d’un réseau éprouvé de clients et de fournisseurs.

DOMA Solartechnik GmbH était unefiliale d’ALUKÖNIGSTAHL GmbH àVienne. La reprise à 100 % de cette entre-prise signifie pour Ernst Schweizer AGune possibilité d’exploiter le marché au-trichien et d’étoffer l’assortiment. DOMASolartechnik GmbH y trouve aussi sonavantage. Sa position est renforcée par

son rattachement à une entreprise-mèreorientée vers la durabilité et disposantd’une grande expérience dans le domainede l’énergie solaire. Le site et les emploisde Satteins sont maintenus. La collabora-tion éprouvée avec les clients et les four-nisseurs va se poursuivre et les modulesphotovoltaïques Schüco resteront dispo-nibles. Les clients des deux firmes profi-teront de l’élargissement de l’assortiment.Schweizer complète sa palette en ajou-tant le système flexible et éprouvé pourgrandes surfaces et capteurs sur façade deDOMA. De son côté, DOMA distribueradans sa zone de marché habituelle lesproduits phares de Schweizer, comme lessystèmes d’intégration au toit pour Sol-rif® photovoltaïque ou pour la combinai-son de photovoltaïque et de capteurssolaires.La direction de DOMA SolartechnikGmbH est assumée par Ernst Bertsch,fondateur et directeur général depuis denombreuses années, et Andreas Haller,chef du département systèmes d’énergiesolaire d’Ernst Schweizer AG.En réunissant leurs forces, les deux entre-prises affrontent l’avenir avec de nou-velles chances qui promettent aux clientset fournisseurs à la fois continuité etavantages.

Ernst Schweizer AG, MetallbauCH-8908 HedingenTél. +41 (0)44 763 61 11www.schweizer-metallbau.ch

DOMA Solartechnik GmbH est leader dans ledomaine des capteurs de grande surface etpour les façades: capteurs de façade intalléssur une maison individuelle à Nenzing.

En 1999, le bâtiment industriel de DOMA Solartechnik GmbH à Satteins a reçu le Prix solaire européen pour le bâtiment industriel écologique leplus innovant. Pour l’Energiepark West, DOMA prélève la totalité de l’énergie pour la production et les bureaux à partir d’énergies renouvelables.

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carnet bâtitech 5-13 63

Petite société – grande prestation

Avec 25 collaborateurs, la société SystecTherm AG fait partie des petites entre-prises dans notre pays. Mais c’est jus-tement cet ordre de grandeur qui est ap-paremment une raison importante dusuccès de cette entreprise. Les structuresfaibles permettent une circulation rapidede l’information et une transmissionsimple du savoir-faire. Ainsi il est pos-sible de s’occuper des clients de manièreflexible et avantageuse. Des interlocu-teurs personnels transmettent de la proxi-mité et de la sécurité pour de nombreuxclients.Celui qui a déjà visité une fois notre siteinternet ou est déjà en possession dudossier de notre entreprise, sera surpris

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64 bâtitech 5-13 carnet

Cet événement, qui s’est déroulé danssept pays, a convaincu le jury profes-sionnel indépendant et ceci, entre autres,grâce à l’excellente organisation danstous les marchés participants. Geberit etl’agence événementielle marbet ont par-faitement réussi à adapter la manifesta-tion planifiée de manière centralisée auxdifférentes mentalités et cultures.Avec le Geberit Challenge, Geberits’adresse aux professionnels du sanitairequi, à l’occasion des manifestations, ontmontré leurs compétences. «Nous con-solidons ainsi notre partenariat avec lesinstallateurs, honorons leur conscienceprofessionnelle et leur fierté. Nous expri-mons ainsi également nos remerciementspour les prestations apportées quotidien-nement sur les chantiers. Nous nousréjouissons d’autant plus que le jury aaccordé un prix pour ces prestations», seréjouit Beat Aebi, responsable marketingde Geberit Distribution SA.

Le Geberit Challenge gagnele prestigieux prix Event Award

Geberit Challenge

Le Geberit Challenge triomphecontre de nombreux challengeursproéminents et gagne le XaverAward 2013 – le plus importantprix suisse de la branche «LiveCommunication».

Le Geberit Challenge est une manifesta-tion destinée à la branche du sanitaire,qui s’est déroulée en 2012 pour ladeuxième fois sur le plan international.La compétition des professionnels ensanitaire consiste à soumettre les équipesà trois défis: travaux d’installation, testsd’habilité, de savoir-faire et de rapidité.Les équipes lauréates en 2012 de tous lespays participants se rendent au début dumois d’avril en compagnie deleurs partenaires à Dubaï etjouissent pendant une se-maine d’un voyage trufféd’aventures – avec détente à laplage, hôtel de luxe et aventu-res multiples dans le désert.

Défi de taille«Ce fut pour nous un défi detaille de mener à bien la com-plexité du Challenge dans lesmarchés participants, de ma-nière à ce que l’événements’applique aux installateurslocaux et satisfasse aux desi-derata des sociétés domici-liées à l’étranger. Ainsi, le res-pect de l’ensemble du projet a fait l’objetd’une priorité constante», déclare FrankMarreau, Head of marbet Suisse. «AvecGeberit, nous avons maîtrisé ce challengeavec succès et sommes très fiers d’avoir

également été en mesure de parfaitementcerner les différences culturelles entre lespays, telles que par exemple entre la Nor-vège et la Suisse.»Le Xaver Award 2013 a été décerné cetteannée à Zurich devant environ 500 inté-ressés et représentants de la branche évé-nementielle. A cette occasion, le GeberitChallenge a dû s’imposer contre seize ex-cellents nominés. La finale s’est ensuite

disputée en «compétition» directementsur scène.

www.geberit.ch/challenge

Sandra Muerlebach (marbet) présente au public ce que le Geberit Challenge fait de particulier.

Ils l’ont bien mérité: au nom de tous les marchés partici-pant au Geberit Challenge, l’équipe du projet marbet récep-tionna le prix en compagnie de Brigitte Kühne de Geberit.

Les lauréats rayonnants du Xaver Awards 2013 dans lacatégorie «Best Event Project». De gauche à droite: Domi-nique Heri (marbet), Hanspeter Tinner (directeur de GeberitDistribution SA), Sandra Muerlebach (marbet), BrigitteKühne (responsable du projet Geberit Challenge Suisse).

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carnet bâtitech 5-13 65

Une annonce vous laisse le temps de trouver ce que vous cherchez.

Cette annonce promeut la publicité dans les journaux et les périodiques. L’association MÉDIAS

SUISSES organise chaque année un concours sur ce thème s’adressant à de jeunes créatifs.

Voici un travail qui s’est également illustré dans ce concours – il est signé par Jacqueline Steiner et

Noemi Kandler, de Unikat Kommunikationsagentur AG. www.Le-pouvoir-unique-d-une-annonce.ch

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66 bâtitech 5-13 carnet

TROX HESCO Schweiz AG fête ses 150 ans

En lançant le 19 octobre 1863 un atelierde serrurerie pour ferrures et articles dequincaillerie, Rudolf Hess posa les pierresde ce qui allait devenir TROX HESCOSchweiz AG. L’entreprise de Rüti (ZH) asu se développer en permanence, faireévoluer sa gamme de produits ets’adapter à la conjoncture du marché, cequi lui a permis de s’imposer commel’un des principaux acteurs de la branche.TROX HESCO Schweiz AG est devenu en-tre-temps une société leader en termes decompétences pour les composants dehaute qualité, les solutions de systèmes etles prestations dans le domaine de laventilation et de l’air conditionné.Depuis sa création, elle a toujours faitpreuve d’esprit d’entreprise, d’anticipa-tion et de beaucoup d’innovation. Lasociété peut donc fêter ses 150 ans cetteannée. Divers événements honoreront cet

anniversaire vraiment particulier; la so-ciété TROX HESCO Schweiz AG organise-ra notamment une journée porte ouvertele 7 septembre 2013.

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carnet bâtitech 5-13 67

Depuis 170 ans, on moud du grain sur leSihlquai à Zurich. Actuellement, la mino-terie Swissmill y transforme environ30 % des céréales utilisées en Suisse à desfins alimentaires. L’un des quatre silos àcéréales de Swissmill, le Kornhaus, vaêtre surélevé de près de 80 mètres, demanière à garantir la disponibilité de ca-pacités suffisantes après la fermeture d’unsilo à Bâle. En tant que maître de l’ou-vrage, Coop a confié à Implenia l’exécu-tion des travaux de maîtrise d’œuvre. Orce projet impose de fortes contraintestechniques et logistiques puisque la mi-noterie restera en activité pendant sa réa-

Implenia surélève le Kornhaus de Zurich Implenia SA

Coop, en tant que maître d’ou-vrage, confie à Implenia la maîtrised’œuvre des travaux de suréléva-tion du Kornhaus dont la hauteurpassera de 40 à 118 mètres.

lisation. De plus, l’espace sur place estcompté: le Kornhaus est cerné par la ri-vière Limmat, une voie de chemin de feret une route très fréquentée. Les travauxvont débuter en mai 2013 et durerontenviron deux ans.Dans le cadre du projet, Implenia fourni-ra des prestations dans les domaines du

bâtiment industriel et des travaux spé-ciaux de génie civil. D’autres travaux degénie civil seront exécutés par la sociétéKIBAG, avec laquelle le leader suisse dela construction et des services de cons-truction a constitué un consortium.

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la branche sanitaire � Pensée orientée en fonction des objectifs et du résultat � Ayant le sens de l’Initiative � Utilisateur expérimenté d'applications Windows � Domicile dans la zone de vente � Connaissance de base en allemand (serrait un avantage)

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68 bâtitech 5-13 carnet

Franke reprend à l’entreprise IK Invest-ment Partners le fabricant de robinette-ries KWC AG, dont le siège est à Unter-kulm. La transaction aura lieu sousréserve de l’approbation par les autoritésde la concurrence compétentes. KWCcontinuera d’être gérée en tant qu’entre-prise autonome au sein du groupe Fran-ke. Cette acquisition permet à Franked’étendre son leadership dans le do-maine des systèmes de cuisine, de ren-forcer sa compétence et sa capacité d’in-novation en matière de robinetteriesainsi que d’enrichir son offre d’équipe-ments pour salles d’eau.Alexander Zschokke, CEO du groupeFranke, explique: «Les deux entreprisessuisses, qui jouissent d’une longue his-toire et d’une compétence élevée dans ledomaine de la cuisine et de la salle debain, se complètent à la perfection. KWCest le numéro 1 des robinetteries enSuisse, tandis que Franke dispose d’unpuissant réseau mondial de distribution,assurant ainsi à KWC un nouveau poten-

Franke reprend le fabricant suissede robinetteries KWC Franke achète le fabricant suisse derobinetteries KWC, élargissant ain-si ses compétences de base dans ledomaine de la technique de l’eautout en développant le site suisse.

tiel de croissance international. Avec notrefiliale Franke Aquarotter en Allemagne,nous pouvons améliorer notre compé-tence dans le domaine des robinetteries

et continuer de renforcer la position stra-tégique des activités de gestion de l’eau.»KWC emploie 332 collaborateurs et aréalisé en 2012 un chiffre d’affaires deCHF 107,5 millions. «Nous sommes atta-chés au site suisse et ravis de concevoirun futur couronné de succès avec le ma-nagement de KWC», explique AlexanderZschokke. Roland Gloor, CEO de KWC,ajoute: «Franke ouvre de nouvelles pers-pectives de développement à la marqueKWC vieille de 139 ans. Le managementet les collaborateurs engagés de KWCvont tout mettre en œuvre pour profiterde cette opportunité.»Aussi bien Franke que KWC se distin-guent par des exigences élevées en ma-tière de qualité dans les domaines dudesign, de l’ingénierie et de la produc-tion, ce qui se reflète également dans leurpositionnement en tant que marquessuisses innovantes de premier plan. Levaste portefeuille de produits de KWCcomplète les activités de base de Frankedans les domaines de la cuisine, de lasalle de bain et des salles d’eau pu-bliques. La marque KWC sera intégréedans le portefeuille des marques dugroupe Franke et continuera d’exister. ■

A propos

Franke est un fournisseur leader desolutions et d’équipements desti-nés à la cuisine, aux salles d’eau, àla restauration professionnelle, à lapréparation de café et à la livraisonde boissons. Le groupe est présentau niveau mondial et emploie envi-ron 8500 collaborateurs répartisdans 40 pays. Le chiffre d’affairess’élève à environ CHF 2 milliards.

KWC a été fondée en 1874. L’en-treprise développe, fabrique et dis-tribue des robinetteries pour la cui-sine et la salle de bain. Elle em-ploie 332 collaboratrices et colla-borateurs, et a réalisé en 2012 unchiffre d’affaires de CHF 107,5millions. L’entreprise est le leaderdu marché en Suisse et est recon-nue sur le plan international pourses prestations concernant la qua-lité, la technologie et le design.

L’implantation du premier siège socialsur la Münsterhof, qui était à l’époque laplace de foires de Zurich, fut un excellentchoix. Dans ce temps-là, la Limmat et lelac de Zurich servaient surtout de voiesde transport.

Les 250 ans de Pestalozzi + Co AG seront célébréssur le lac de Zurich

Pestalozzi fait transformer un navire de charge zurichois en bateau de gala

L’entreprise familiale Pestalozzi, dont le siège se situe à Dietikon,célèbre ses 250 ans d’existence cette année. D’où l’idée du Groupe Pesta-lozzi de faire transformer le «Saturn», un navire de charge zurichois,pour l’accueil de ses événements clients. La première fête aura lieu le30 mai 2013 sur le lac de Zurich avec des personnalités du monde politi-que, des affaires et des médias. Dix-neuf autres événements clients etfournisseurs suivront sur le «MS Pestalozzi».

Pour fêter son 250e anniversaire, leGroupe Pestalozzi revient vers la voie na-vigable. Il fait transformer le transporteurde gravier «Saturn», le plus grand navirede charge en eaux intérieures de Suisse,en bateau anniversaire. Le «MS Pestaloz-

zi» sera rempli aux deux tiers de gravier,la structure de plancher en bois sera sou-dée et un garde-corps sera installé. Unchapiteau sera également dressé pour lesfestivités et un lounge sera mis en placeprès de la proue. Le navire mesure 66 mè-tres de long et 8,24 mètres de large, ilpèse 77 tonnes à vide, mais sa chargeutile est de 800 (!) tonnes. Deux moteursDeutz V12 de 350 CV font avancer lenavire qui transporte habituellement dugravier entre Nuolen (Obersee) et Zurich.Le 30 mai 2013, le «Saturn» prendra lelarge avec, à son bord, des personnalités

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du monde politique, des affaires et desmédias pour le premier évènement d’unesérie de vingt, que le Groupe Pestalozziorganise pour les clients et les fournis-seurs.

Pestalozzi – une entreprise familialedans sa 8e/9e générationRécemment encore, Johann David Wiserétait considéré comme fondateur de l’en-treprise. C’est pourquoi le 200e anniver-saire de l’entreprise fut célébré en 1988.La découverte dans les archives d’Etat deZurich du faire-part de baptême d’unefille de Johann Heinrich Wiser et de sonépouse Anna Catharina Schalch a cepen-dant révélé que la première générationétait déjà active dans le commerce du ferdepuis 1763. C’est pourquoi le 250e an-niversaire est célébré en 2013. Aujour-d’hui, le Groupe Pestalozzi est une so-ciété commerciale et de logistique, quicompte parmi ses clients des entreprisesde l’industrie métallurgique et du secondœuvre. De distributeur de fer et d’acier, leGroupe Pestalozzi s’est transformé engroupe commercial qui offre à ses clients

des services logistiques et de préfabrica-tion. «Nous avons avancé et continuonsd’avancer», souligne Dietrich Pestalozzi,qui dirige cette solide entreprise familialedans la 8e génération déjà. L’objectif, c’estde continuer d’avancer vers l’avenir enpleine forme, de manière innovante etperformante. La relève par la 9e généra-tion est assurée: le physicien MatthiasPestalozzi travaille déjà depuis plusieursannées dans la société de son père.

Pestalozzi en un coup d’œilPestalozzi + Co AG est une société decommerce avec des divisions spécialiséesdans la technique de l’acier, la techniquedu bâtiment et l’enveloppe du bâtiment,qui se concentre sur des compétencesclés. Tous les jours et dans toute la Suisse,elle fournit à l’industrie liée à la construc-tion et à l’industrie métallurgique desproduits finis et semi-finis. L’entreprisefamiliale assure le conseil, la vente,l’achat, le stockage, la transformation, letransport et le financement pour sesclients. Avec sa boutique en ligne, l’entre-prise Pestalozzi est au service de ses

clients 24 heures sur 24. Grâce à uneapplication innovante, les produits Pesta-lozzi Technique du bâtiment peuventêtre commandés depuis n’importe quelchantier.

Pestalozzi + Co AGCH-8953 DietikonTél. +41 44 743 21 11www.pestalozzi.com

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Les 8e et 9e générations Pestalozzi: Dietrich et MatthiasPestalozzi. Le navire de charge «Saturn», un transporteurde gravier transformé en bateau anniversaire Pestalozzi.

Façades Systèmes bois/métal Fenêtres et portes Boîtes aux lettres et éléments normalisés Systèmes d’énergie solaire Conseil et service

Electricité et chaleur à partir de son propre toit:

le système solaire combiné intégré au toit de Schweizer.Avec le nouveau système solaire combiné intégré au toit de Schweizer, vous utilisez l’énergie solaire deux fois et exactement

en fonction de vos besoins. Cette solution innovante produit avec élégance de la chaleur et de l’électricité – de la maison

individuelle au grand ouvrage. Il s’intègre de manière flexible dans n’importe quel système d’énergie et se distingue par ses

excellents rendements. Plus d’infos sur www.schweizer-metallbau.ch ou par téléphone 021 631 15 40.

Ernst Schweizer AG, Metallbau, CH-1024 Ecublens, Téléphone +41 21 631 15 40, [email protected], www.schweizer-metallbau.ch

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Organisé pour la deuxième fois, le ren-dez-vous des professionnels Nussbaum alieu tous les deux ans en alternance avecSwissbau. Contrairement à la premièreédition, la manifestation en soirée desti-née aux chefs d’entreprise et aux cadres aété organisée la veille de la rencontre des

professionnels dédiée aux installateurs etaux monteurs. Par ailleurs, le nombre desmanifestations est désormais de 15, suiteà l’élargissement du réseau de succursalespar les deux nouveaux sites de Buchs SGet de Sion.

Les nouvelles directives W3en point de mire«Technique sanitaire actuelle – réaliséeavec Nussbaum»: telle était la devise de lamanifestation en soirée, placée sous lesigne des nouveautés dans le domaine

Les rendez-vous des professionnels Nussbaumont rencontré un grand succès

Par Jean Haag, rédacteur spécialisé RP

De janvier à avril, les rendez-vous des professionnels ont eu lieu dansles 15 succursales Nussbaum, y compris à Carouge, à Crissier et à Sion.Les manifestations destinées aux chefs d’entreprise et aux cadres, qui sesont déroulées en soirée, tout comme la rencontre du lendemain dédiéeaux installateurs et aux monteurs, ont été très fréquentées et ont rencon-tré un écho positif.

d’activité de Nussbaum et concordantavec les nouvelles directives W3 et lanorme SIA 385. Après une réflexion in-troductive sur le thème du changement,les grands aspects de la révision de laSSIGE entrée en vigueur au 1er janvier2013 et concernant les installations d’eaude boisson et ses conséquences sur la pla-nification et l’installation ont été détail-

lés. Ne serait-ce qu’en raison de la mo-dification du tableau des unités deraccordement (LU), les nouvelles exi-gences en matière de planification etd’exécution ont augmenté, offrant à l’uti-lisateur un meilleur confort. Dans le ca-dre de trois thèmes, des informations surla prestation globale Nussbaum ont alorsété communiquées et la conformité auxnouvelles directives W3 a constitué unimportant repère. En outre, des innova-tions de produits telles que le systèmed’installation aux multiples possibilités

d’utilisation et à pertes de charge mini-males Optipress-Aquaplus ainsi que lefiltre fin à rinçage à contre-courant ontété présentées. Pour la méthode simpli-fiée de détermination des diamètres detuyaux à l’aide de tableaux servant à dé-terminer les coefficients de pertes decharge spécifiques au système (tableauLU), Nussbaum propose avec Optiplan-Basic un outil en ligne pratique. L’exposéd’un intervenant extérieur, sur le thème«Energieregion GOMS», est venu con-clure la partie officielle de la manifesta-tion en soirée: à Conches, dans le Haut-Valais, la production énergétiquedurable, décentralisée et locale doit êtreencouragée et pour la concrétisation desnombreux projets, la technique domesti-que est fortement mise à contribution.Véritable régal, le dîner clôturant la soi-rée a été l’occasion de nombreux échan-ges d’idées.

Axé sur les praticiensEn accord avec la devise «Pratique actuel-le», la manifestation de la journée étaitconçue sous une forme ouverte permet-tant aux participants de pouvoir choisirle créneau horaire qui leur convenait.Des visites guidées à travers les îlots thé-matiques, spécifiquement axées sur lesbesoins des praticiens, ont constitué letemps fort de la partie informative, avecun accent porté sur les produits inno-vants tout comme sur l’installation fiableet rationnelle. Des conseils et astucesconcernant l’optimisation de l’assem-blage ou l’utilisation plus professionnelle

Lors de la manifestation en soirée du rendez-vous des professionnels, les informations sur la nouvelle W3/SIA385 ont constitué un important axe thématique.

Des visites guidées à travers les îlots thématiques ontété le temps fort de la partie informative de la manifesta-tion en journée dédiée aux installateurs et aux monteurs.

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carnet bâtitech 5-13 71

des outils et aides sont venus complétercette partie. La nouvelle pince à sertirNussbaum type 6, qui fonctionne suraccu ou sur secteur, a suscité beaucoupd’intérêt. Avec accu, elle ne pèse que3,2 kg. Last but not least, les participantsse sont vu également proposer des infor-mations sur les nouvelles directives W3.A leur grande satisfaction, les profes-sionnels ont appris qu’en employant lesraccords de type A dotés d’une géométriede pièces moulées à passage intégral, lamise en pratique conforme des nouvellesdirectives W3 était garantie de façon opti-male. Les produits également abordésont été Optiarmatur, adapté à la nourricede distribution d’eau de boisson, toutcomme Optipress-Aquaplus, idéal pourles colonnes montantes, et Optiflex-Pro-fix, qui sublime la distribution sur lesétages. Par ailleurs, Nussbaum a donnédes informations sur l’offre multiple deformations, notamment les formationsW3, tout comme sur les nouvelles fonc-tions de l’application Optiplan-Basic deNussbaum et sur la boutique en ligne,maintes fois désignée par le terme de«succursale n°16». L’offre de contrôlegratuit du fonctionnement des pinces àsertir Nussbaum a été largement mise àprofit par les professionnels. Bien enten-du, l’estomac des participants n’a pas étéoublié.

Un bilan positifPour les deux manifestations organiséesen soirée et en journée, le bilan de cedeuxième rendez-vous des professionnelsNussbaum s’est révélé positif. Les partici-pants ont manifesté un grand intérêtpour ces réunions et ont bien accueillil’offre variée et truffée d’informations

pratiques. A certaines heures ou sur cer-tains sites, Nussbaum arrivait aux limitesde ses capacités d’accueil. L’organisationet la logistique ont été mises à rudeépreuve, mais le défi a été relevé avecbrio. Le concept du rendez-vous des pro-fessionnels a donc fait ses preuves, avecla scission en deux de la manifestationselon des pôles thématiques spécifiquesadaptés aux groupes cibles, l’orientationsur des thèmes actuels, l’intégration desparticipants dans des discussions toutcomme l’aperçu complet des produits in-

novants et de la prestation globale Nuss-baum. Par ailleurs, cette manifestation sedéroulait dans un cadre authentique:pour un court moment, la succursaleNussbaum, pièce maîtresse de la distribu-tion directe où les clients adressent leursdemandes aux spécialistes de Nussbaumet peuvent réceptionner au plus vite lamarchandise souhaitée, s’est transforméeen une vitrine de la technique sanitaireinnovante ainsi qu’en une plate-formedes experts de l’eau de boisson. ■

La nouvelle pince à sertir Nussbaum type 6, qui ne pèse que 3,2 kg accu compris, a suscité unvif intérêt auprès des installateurs et des monteurs.

Les rendez-vous des professionnels ont donné de nom-breuses occasions d’échanger des idées entre experts.

Avis concernant le rendez-vous des professionnels Nussbaum

Luc Gilliéron, codirecteur, Genicoud SA, Lausanne«J’ai trouvé le rendez-vous des professionnels Nussbaum très intéres-sant et bien organisé. Cette manifestation était structurée de façonvraiment professionnelle. Il en va d’ailleurs de même pour la forma-tion W3. J’ai un peu regretté l’absence d’un représentant de laSSIGE dans le cadre des explications concernant la W3; cela auraitpermis d’instaurer un dialogue avec ceux qui ont conçu la nouvelle

directive. Importante tant dans la construction nouvelle que dans l’assainis-sement, la mise en application de la norme SIA 385 sur les temps de souti-rage d’eau chaude devrait être difficile, encore accentuée en présence defreins hydrauliques dans les robinetteries équipées d’économiseur d’eau.»

Christian Besse, TECSA, Techniques, Energétiques et Consulting SA,Conthey VS«Le rendez-vous des professionnels Nussbaum a été une très bonneexpérience pour moi. J’y ai trouvé un aperçu complet et intéressantdes produits et nouveautés. J’aimerais particulièrement mettre enexergue l’hospitalité. J’attendais avec impatience les explicationsconcernant la nouvelle W3, ce thème était essentiel pour moi. Le

contenu et la présentation ont répondu à mes attentes. De telles manifesta-tions sont aussi une bonne occasion d’échanger avec des pairs des idées quisortent même du domaine d’activité propre. Je me réjouis d’ores et déjà departiciper au prochain rendez-vous des professionnels dans deux ans. Je nesouhaite le rater à aucun prix.»

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La conclusion d’un règlement de succes-sion entraîne la reprise de la société«Sadorex Handels AG» le 1er janvier 2013avec effet rétroactif par le groupe «Dorn-bracht International Holding GmbH» etson changement de raison sociale dansles prochains jours en «DornbrachtSchweiz AG». La société poursuit la com-

«Sadorex Handels AG» devient«Dornbracht Schweiz AG»

Une solution tournée vers l’avenir

Au sein de l’entreprise «SadorexHandels AG», à Kappel, Urs Willis’est fait connaître comme importa-teur en Suisse depuis 1980 de robi-netteries et accessoires de la société«Aloys F. Dornbracht GmbH & Co.KG» et depuis 2004 du programmede la société Alape GmbH, et il acontribué largement avec son équipeau succès de ces deux marques.

mercialisation des produits des marquesAlape et Dornbracht en Suisse.Urs Willi transmet la direction à ArdianBerisha; il occupera le poste de présidentdu conseil d’administration du groupechargé des opérations stratégiques. Tousles postes de l’entreprise «Sadorex Han-dels AG» seront maintenus dans la nou-velle filiale à 100 % de Dornbracht, con-tribuant ainsi à assurer une transition endouceur. Ardian Berisha est une person-nalité connue et bénéficiant d’un réseauétendu dans la branche.Le nouveau siège de la société «Dorn-bracht Schweiz AG» sera situé à Aarburgoù les produits représentatifs des deuxmarques Alape et Dornbracht sont expo-sés dans le showroom. Pour de plusamples informations sur Dornbracht et

les produits fabriqués par l’entreprise,veuillez consulter le site Internet.

Dornbracht Schweiz AGCH-4663 AarburgTél. +41 (0)62 787 20 30www. dornbracht.com

Solution 35: Les tournevis suivants sontcorrects:a) Tournevis à fenteb) Tournevis cruciforme Phillipsc) Tournevis cruciforme Pozidrivd) Tournevis Torxe) Tournevis Tri-WingSolution 36: Il s’agit d’une grandeur nor-mée qui définit les dimensions. L’em-bout du tournevis N° 3 a une largeur de5,5 mm et une épaisseur de 0,8 mm.Solution 37: Pour petite dimensions,uti-liser le plus grand tournevis possible ettravailler avec du feeling. Grandes di-mensions: outils dynamométriques.Solution 38: Le tournevis Pozidriv est uneévolution du modèle Phillips. Les em-bouts Phillips ont des ailes coniques, lesembouts Pozidriv ont des ailes parallèles.Solution 39: Outils en acier chrome vana-dium. Alliage acier (fer et carbone) dechrome et de vanadium. La mention«chrome-vanadium» ne suffit pas pourun outil de qualité en raison des propor-tions différentes et de la dureté des maté-riaux.

Brain FoodRéponses aux questions 35 à 47

Solution 40: Il s’agit des pinces suivan-tes: a) Pince à sertir crimp: pour emboutsde câblage, clips et cossesb) Pince multiprisec) Pince coupe-câbles à cliquet pour

grosses sectionsd) Pince coupante diagonale: pour fils et

toronse) Pince combinée: maintenir, plier, sec-

tionner des gros conducteursf) Pince poinçon: pour découpes dans

des plaques de protection en plastiqueSolution 41: Le label indique la confor-mité à la norme N 60900 et garantit uncontrôle minutieux de l’isolation. Ainsila sécurité électrique est garantie.Solution 42: Pour les travaux sur, ou àproximité de parties conductrices de ten-sion, il y a lieu de respecter la nécessitéde mesures de sécurité supplémentaires.Solution 43: a) Le biseau ou bord tran-chant est façonnage de l’arête vive d’ou-tils de coupe destiné à augmenter sa du-rée de vie.b) En fonction de l’angle du biseau, on

parle de «tranchant» de la lame. Petitangle = tranchant important. En l’ab-sence de biseau, la découpe se fait àras du fil.

c) Pour découper des fils durs il faut unoutil biseauté.

Solution 44: La pointe du foret est sertied’une ou de plusieurs lames en métaldur, ou l’intégralité de la tête est en métaldur. Les tranchants sont usinés en tantque burins, de façon à pulvériser les ma-tériaux par les percussions. Les forets pré-sentant des lames tranchantes sont desti-nés à des matériaux mous ou des plaquesen céramique à percer sans percussion.Solution 45: Marque de contrôle de laPrüfgemeinschaft Mauerbohrer PGM.Elle certifie que le foret est fabriqué avecdes tolérances fines, ce qui est importantpour la fixation de charges lourdes.Solution 46: Il s’agit des forets et mèchessuivants: a) Zobo/Forstner/fraises à dé-noder: pour perçages et découpes précisdans des plaques en bois en aggloméréb) Foret hélicoïdal: bonne tenue du per-

çage dans le bois ou l’aggloméréc) Foret de coffrage: pour découpesd) Foret spirale: pour perçage de char-

pentese) Foret cloche: pour découpes dans le

bois ou le plastiquef) Foret universel avec tranchant métal

dur, pour perçage de matériaux mé-langés

Solution 47: Perçage pour taraudages:a) M6 = 5 mm b) M8 = 6,8 mmc) M12 = 10,2 mm

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Rédaction: Bernard Dätwyler et Michel HottingerPotteilaz 123, 1030 Bussigny, natel 079 310 99 [email protected], www.batitech.chResponsable électrotechnique:Pierre Schoeffel, tél. 061 485 90 [email protected]

Edition, Copyright: © AZ Fachverlage AGZeitschriften, Neumattstrasse 1, 5001 Aarautél. 058 200 56 50, fax 058 200 56 61www.az-verlag.ch

Editrice: Ratna Irzan

Marketing: Valentin Kälin, [email protected] de la vente: Jürg Rykart, [email protected]

Régie des annonces:Rolf Niederberger, tél. 058 200 56 18 (CWS)[email protected]é Fluri, tél. 058 200 56 27 (E)[email protected]

Personne compétente: Verena Müller, tél. 058 200 56 [email protected]

Layout: Toni Zürcher, [email protected]

Impression et administration: Vogt-Schild Druck AGGutenbergstrasse 1, 4552 Derendingen, www.vsdruck.ch

bâtitech: Parution: 10 fois par an, prix de l’abonnement:Fr. 85.– (à l’étranger port en sus) ISSN 1421 6704

Tirage: 5700 ex.

Remp 2012: Exemplaires totalement distribués(confirmation par la Poste Remp) 1194 exemplaires total tiragevendu, abonnements gratuits 1275 exemplaires

Autres publications de l’éditeur:Elektrotechnik, Megalink, Technica, HK-Gebäudetechnik,Chemie plus, natürlich, wir eltern, FIT for LIFE, Kochen

Droits d’auteur et de traduction: Avec l’acceptation des manus-crits par la rédaction et le paiement d’éventuels honoraires auxauteurs par l’éditeur, ce dernier acquiert le copyright et tousles droits de traduction et de publication des articles, soit dansd’autres revues éditées par l’éditeur, soit pour la publication detirages à part.

Association: USTSC Union suisse des professionnels de latechnique sanitaire et chauffage VSSH,Hubrain 10, 8124 Maur, tél. 044 908 40 [email protected]

suissetec: Association suisse et liechtensteinoise de laTechnique du bâtiment (suissetec), Secrétariat romand,rte des Longues Raies 11, CP 251, 2013 Colombiertél. 032 843 49 50, fax 032 843 49 [email protected]

REPRODUCTION

INTERDITE

Registre des annonceurs

Aquametro AG 45

Arbonia AG 39

Biral AG 5

BR Bauhandel AG 11

Buderus Heiztechnik AG 55

Elektro-Material AG 9

Ernst Schweizer AG 69

Franz Kaldewei GmbH & Co. KG 29

Geberit Vertriebs AG 2

Hager AG 47

Hansgrohe AG 19

Häny AG 66

Hoval AG 49

Inter Protection SA 43

Iseli & Co. 66

Josias Gasser Baumaterialien AG 37

Kessel AG 14

Krüger + Co. AG 7

MCH Messe Schweiz (Basel) AG 61

Ohnsorg Söhne AG 17

Oventrop (Schweiz) GmbH 8

PanGas 43

Peugeot (Suisse) SA 15

R. Nussbaum SA 57

Raric AG 13

Saia-Burgess Controls AG 51

Sanitas Troesch AG 4

Schneider W. + Co. AG 33

Siemens Schweiz AG 63

Similor AG 23

Solu’Tubes SA 67

Swisscom (Schweiz) AG 21

Testo AG 53

Theben HTS AG 3

Verband Schweizer Medien 65

Volkswagen Nutzfahrzeuge Automobil- und Motoren AG 25

V-ZUG AG 35

Page de couverture

TA Hydronics Switzerland AG

Annonces d’emplois

Nyffenegger Armaturen AG 67

impressum/registre bâtitech 5-13

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