bases de la réusssite en élevage de reproducteurs chair
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DETERMINANTS GENERAUX DE LA PERFORMANCE D’ELEVAGE
ELEVEUR
•Disponibilité
•Compétence
•Maîtrise des
technologies
•Motivation (s)
ELEVAGE
•Structure de bilan
•Structure
•Conception
•Automatisation
•Antécédents
ENVIRONNEMENT
SANITAIRE
•Concentration locale
•Contexte local
POUSSIN
•Qualité génétique
•Qualité
technologique
•Qualité sanitaire
ALIMENT
•Equilibre et
concentration
•Taille particules
•Présentation
SUIVI TECHNIQUE
•Disponibilité
•Compétence
•Pédagogie
•Moyens
ORGANISATION
DE PRODUCTION
•Planification
•Contrat
PERFORMANCE
D’ELEVAGE
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Objectifs à atteindre en élevage
Quelle que soit la souche, les objectifs suivants sont à atteindre :
Une croissance, régulière avec un poids optimal à l’entrée en ponte.
Une homogénéité la meilleure possible.
Une consommation alimentaire bien programmée et adaptée.
Un sujet sain, bien immunisé contre les maladies à craindre en période de
production.
Une maturité sexuelle adaptée à la souche.
Un sujet vigoureux en parfaite forme physique à l’entrée en ponte.
Une très bonne ossature – un bon développement musculaire – de bons
aplombs.
Une absence de graisse.
Un plumage lisse, homogène et brillant – l’œil vif et bien rond – bec bien jaune
La crête et les barbillons suffisamment bien développés et colorés.
Les os pelviens souples mais non encore écartés.
Un prix de revient maîtrisé.
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Facteurs de réussite des Objectifs fixés
REPRODUCTEURS
BATIMENT
ALIMENTATION
PERSONNEL
PROPHYLAXIE TECHNIQUES
D’ELEVAGE
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LES REPRODUCTEURS
Potentiel
génétique Statuts sanitaire
et immunitaire
Qualité à l’entrée
en ponte
Mode de
reproduction
Homogénéité – conformation
– aplombs - épointage
Concordance de maturité
sexuelle entre les deux sexes
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LE BATIMENT
Type de bâtiment Implantation
Orientation
Conception
Système de
ventilation
Isolation et étanchéité
Protection
sanitaire
Aménagement
extérieur
Aménagement
intérieur
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ALIMENTATION
ALIMENT
EAU
Qualité des
matières
premières
Programme
alimentaire
Maîtrise de la
croissance et des
poids
Qualité et
contrôle des
consommations
Présentation
de l’aliment Formulation
8 8
LA PROPHYLAXIE
SANITAIRE
MEDICALE
Programme de
vaccination
Suivi et
contrôles
sanitaires
Adhésion à la
charte sanitaire
Protocole de
décontamination Barrières sanitaires
9 9
LE PERSONNEL
Motivation et sens du
contact
Compétences et
méthodes de travail
Disponibilité
Capacité à gérer
son outil de travail
Sens de
l’observation
Sens de
l’hygiène
Respect du bien-être
et de l’environnement
Sens du contrôle –
relevés et
enregistrements
10 10
TECHNIQUES D’ELEVAGE
Densité Litière Lumière et maturité sexuelle
Qualité de
l’air
Croissance -
homogénéité
Relevés et
enregistrements
Vaccinations et surveillance
sanitaire
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Préparation du bâtiment
Décontamination du bâtiment et du matériel d’élevage.
Vide sanitaire d’au moins 15 jours avec dératisation.
Contrôle du bon fonctionnement de tout le matériel.
Mise en place de la litière bien légalisée sur un sol bien sec.
Mise en place du matériel de démarrage.
Désinfection complémentaire par Thermonébulisation .
Contrôle de décontamination – recherche salmonelles.
Mise en chauffe du bâtiment 30 à 48 heures avant l’arrivée des reproducteurs.
Mise en place de l’abreuvement et de l’aliment.
Mise en place des documents d’élevage.
Un bon démarrage des 3 ères semaines de vie s’avère un
facteur déterminant pour la réussite d’une bande.
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Intérêt du temps de chauffage / confort de
l’animal
Temps
de
préchauffage
Températures de
la litière à la
mise en place
% Pattes froides
à + 3h00
% Jabot plein
à + 3h00
2 heures
18°C
90%
65%
18 heures
26°C
2%
96%
Mortalité à 7 jours = + 46 %
Avril 1989 - S.E.A. Ploufragan
13 13
Fournir aux poussins la chaleur, la ventilation, l’accès à l’alimentation et à l’eau appropriés pour obtenir la meilleure croissance.
Bien répondre
aux exigences et aux
équipements
Litière
Aliment
Abreuvement
Densité
Perchoirs
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Exigences et équipement des futurs reproducteurs
Rôles : Isoler les sujets du contact avec le sol
Absorber une fraction importante de l’humidité des déjections
Assurer une source de chaleur et de confort
Eviter les lésions sur les animaux
Maintenir les plumages propres
Contribuer au bien-être des oiseaux et à l’expression de leur
potentiel génétique
Qualités d’une bonne litière : Sèche, non moisie, saine
Isolante, absorbante, propre
Souple, chaude et aérée
Constituée d’un matériau volumineux et non poussiéreux
La litière
15 15
Démarrage : 1 point d’aliment pour 50 sujets
Bien veiller à la vitesse de la distribution, au temps de
distribution et à la durée de consommation.
chaînes linéaires : 13 à 15 cm/sujet
système à assiette : 1 assiette / 15 à 20 sujets
coqs
chaîne linéaire : 15 à 20 cm/sujet
trémie suspendue : 1 trémie/10 à 12 sujets
poulettes
Elevage :
Exigences et équipement des futurs reproducteurs
Normes d’alimentation :
16 16
Démarrage : 500 sujets/radiant
Elevage : poulettes 7 à 8 voire 10-12/m2 et coqs : 4 à 5/m2
Fonction de l’équipement, du matériel d’alimentation, de la
capacité à l’éleveur à gérer son outil
Plus on charge et plus on prend de risques
Exigences et équipement des futurs reproducteurs
Densité :
17 17
Démarrage : 1 point d’abreuvement pour 80 sujets
1 pipette pour 10 sujets
poulettes : 1 abreuvoir rond suspendu pour 80 poulettes
1 pipette pour 10 sujets
coqs : 1 abreuvoir rond suspendu pour 50 – 75 coqs
Elevage
Exigences et équipement des futurs reproducteurs
Normes d’abreuvement :
18 18
Rôles
250 mètres de perchoirs pour
8000 poulettes à partir d’1 jour
Instinct naturel de la poule à se percher
Eviter le nervosisme
Inciter les poules à monter aux pondoirs et
limiter ainsi la ponte au sol
Bien-être des animaux
Soit environ 3 cm/sujet
Présence de perchoirs :
20 20
CRITERES D’APPRECIATION D’UNE LIVRAISON DE
REPRODUCTEURS
CONTROLES PHYSIQUES :
Poids et homogénéité
Pattes chaudes et bien rosées.
Ombilic bien cicatrisé, sec et propre (absence de fil, boutons noirs).
Duvet sec, long, soyeux, homogène et coloré.
Abdomen souple et non gonflé.
Vigoureux – œil bien vif, bons aplombs.
Absence de malformations (pattes, bec, yeux).
Absence de mortalité dans les caisses.
Absence de diarrhées (fonds de boîte secs).
CONTROLES SANITAIRES :
en fonction de votre plan de contrôle
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Démarrage localisé : agrandir les parcs à temps
0 à 3 jours : 25 sujets/m2
4 à 6 jours : 12 sujets/m2
A partir de 7 jours : 9 sujets/m2
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Températures chez les reproducteurs
Ages en
jours Températures
sous radiant
Température
Ambiante Evolution du plumage
0 à 3 33 à 31°C 25 – 27°C duvet
3 à 7 32 à 30°C 25 – 27°C duvet + début des ailes
7 à 14 30 à 28°C 25 – 27°C duvet + ailes
14 à 21 23 - 25°C ailes + dos
21 à 28 23 - 25°C ailes + dos + bréchet
28 à 35 23 - 25°C ailes + dos + bréchet + cou
+ 35 20 - 22°C emplument complet
23 23
..
Température trop élevée Température correcte
Température trop basse Courants d’air
Répartition des poussins sous les radiants
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• CONTROLER l'ambiance du bâtiment :
Température-Humidité Chauffage-Ventilation
• CONTROLER la consommation d ’eau (compteur).
• ENLEVER les poussins morts, malades, faibles
• RENOUVELER l'aliment et l'eau
• NETTOYER abreuvoirs (1 fois par jour au démarrage puis 2 fois
par semaine) et mangeoires.
• ADAPTER l'éclairement.
LE DEMARRAGE: TRAVAUX A REALISER LES 1ers JOURS
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Démarrage Transfert
0 jour 3 semaines
Période décisive
* Soins attentifs - rigoureux
* Normes de matériel respectées
* Transitions très progressives du matériel.
Avoir le sens de l'observation .
Conduite d’élevage
Croissance - élevage
21 semaines
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LE STRESS
L’effet que produit sur un être vivant:
- toute nouveauté
- tout imprévu
- tout inattendu
Surgissant dans son environnement
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FACTEURS DE RISQUES EN ELEVAGE
Souche
Age des
animaux
Surdensité Dégradation
de la litière
Dégradation
de l’ambiance
Problème
d’éclairement
Présences de :
- réservoirs
- vecteurs
Présence
d’autres
élevages Déficience
immunitaire
des animaux
Problèmes
d’alimentation
eau + aliment
Non respect
des règles
d’hygiène
stress
30 30
Ce Bonhomme
m’énerve! Il ne fait jamais la même chose
deux jours de suite!
Changement de décor journalier
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de plumage ébouriffé.
de plumage sale.
de pattes sales, irritées.
de becs ouverts.
de zones inoccupées.
de l’inactivité.
de l’agressivité
Dans le bâtiment, il ne doit pas être observé :
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MATURITE SEXUELLE ET PROGRAMME LUMINEUX
OBJECTIFS:
En élevage:
Favoriser un bon démarrage.
Limiter le nervosisme, avec toutes ses conséquences.
Maîtriser la croissance
Obtenir le poids corporel recommandé à l’entrée en ponte.
Contrôler la maturité sexuelle, c’est à dire, l’âge de l’entrée en ponte
en fonction de la souche.
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Le Programme alimentaire But: obtenir des animaux réguliers et homogènes.
Le programme alimentaire adopté dépendra de plusieurs facteurs:
La souche
Le sexe
L’âge
Le poids des sujets
Les caractéristiques de l’aliment
Les conditions d’élevage
et plus particulièrement la température
L’état sanitaire et les interventions
L’âge à l’entrée en ponte (maturité sexuelle)
Il est nécessaire d’éviter que
les oiseaux aient une
croissance trop rapide, sinon la
quantité de graisse abdominale
qui se déposerait serait
préjudiciable à la ponte. Il s’en
suivrait une augmentation des
coûts de production
(accroissement du prix de la
poulette, réduction du nombre
d’œufs, augmentation du taux
de mortalité par accidents de
ponte, par mort subite…)
A l’inverse, il faut éviter
également que les oiseaux
soient trop légers car les
conséquences sur la
production serait aussi
néfastes.
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Avantages du rationnement alimentaire
Meilleure maîtrise du poids des animaux
Moins de dépôt de graisse, ennemi de la ponte et de la
fertilité
Meilleur état de santé du foie
Moins de mortalité
Meilleure efficacité alimentaire
Economie d’aliment
Prix de revient abaissé
Performances améliorées
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Modes de rationnement
Le rationnement Quantitatif
Distribution journalière
Distribution d’1 jour sur 2
Distribution 4 jours sur 7
Distribution 5 jours sur 7 ou encore 6 jours sur 7
Objectifs
Courbe de croissance régulière conforme au standard (pas en dents de scie)
Bonne homogénéité
Absence de pathologie
Fonction du matériel d’alimentation, de la souche, du temps de
distribution (optimum 4 minutes), du temps de consommation
(objectif : 30 à 60 minutes) et du comportement des animaux à la
mangeoire.
Différentes techniques de rationnement.
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Quelle que soit la technique de rationnement adoptée, il faut que tous les sujets
aient accès en même temps à la même quantité d’aliment de même qualité.
L’aviculteur prévoyant procure le confort
nécessaire à ses animaux
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Exigences du rationnement alimentaire
Respect des normes d’élevage, de la densité.
Contrôle de la croissance et de l’homogénéité.
Pesées individuelles et hebdomadaires.
Bâtiment bien équipé en matériel de distribution.
Matériel adapté.
Accessibilité aux mangeoires.
Vitesse de la distribution.
Temps de consommation.
Qualité de la présentation de l’aliment.
Contrôle de la consommation d’eau.
Surveillance de la litière et des paramètres d’ambiance.
Observation et contrôle
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Les animaux ont beaucoup à nous apprendre. Le temps passé
dans le bâtiment doit être considéré comme un temps productif.
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Le rationnement en eau
Le rationnement alimentaire peut entraîner une augmentation de la
consommation d’eau avec toutes ses conséquences :
Une moins bonne assimilation des aliments
Des litières humides
Une augmentation des coûts
Et pour ces raisons, on-est amené à rationner en eau les poulettes et les coqs soumis à un rationnement alimentaire
A savoir que plusieurs règles sont à respecter :
La consommation d’eau correspond environ de 1,6 à 1,8 fois celle de l’aliment (fonction des souches).
Ouverture de l’eau, 1/4h avant la distribution de l’aliment
Ne jamais rationner durant les repas, que 3 à 4 heures après la distribution de l’aliment.
En programme 1j/2, 6j/7, 5j/7, 4j/7 le jour sans aliment, distribuer l’eau pendant 1 à 2 heures.
Relever tous les jours et à la même heure les
consommations d’eau et vérifier le rapport eau/aliment.
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Vous constatez à la lecture de votre compteur d’eau
une consommation anormale.
1er cas : surconsommation
Présence de fuites
Gaspillage
Problèmes sanitaires
Températures élevées
Aliment riche en sel, en potassium,
magnésium
Système d’abreuvement
Présentation de l’aliment
Sous-consommation d’aliment
Composition de l’eau
2ème cas : sous-consommation
Manque d’eau
Chute de la consommation
d’aliment
Débit insuffisant
Mauvais réglage du matériel
Problèmes sanitaires
Eau inappétente
Eau trop chaude trop froide
Quelles peuvent être les causes?
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Le contrôle de croissance
L’objectif principal est de s’assurer que la croissance et
l’homogénéité évoluent selon le standard que l’on s’est fixé.
Pour que les pesées soient fiables, il faut :
Les réaliser chaque semaine, et dès la première semaine. Les 4ères semaines peuvent être collectives. Par la suite, les pesées seront individuelles.
Peser un nombre suffisant d’animaux (1 – 2%)
Peser le même jour de semaine et à heure fixe.
Peser à jeun.
A l’aide d’un parc dans 2 ou 3 endroits du poulailler et peser individuellement
la totalité des sujets présents dans le parc.
Avec un matériel suffisamment précis, et adapté au poids des animaux.
Toute évolution anormale de la courbe de croissance ou de l’homogénéité doit
immédiatement alerter le salarié et le technicien.
45 45
Le résultat obtenu décide de la ration à distribuer pour la semaine
Toute déviation de la courbe de croissance optimale conduit à
l’observation des animaux et à l’analyse des résultats immédiats.
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Le résultat obtenu décide de la ration à distribuer pour la semaine
Toute déviation de la courbe de croissance optimale conduit à
l’observation des animaux et à l’analyse des résultats immédiats.
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Vous constatez une chute de la croissance
Quelles peuvent être les causes?
Problème de densité
Problème de distribution de l’aliment
Accessibilité
Vitesse de distribution
Temps de consommation
Problème alimentaire
Qualité de l’aliment
Changement d’aliment
Qualité de l’eau
Problème sanitaire
Problème d’ambiance
Comportement des animaux
Eleveur - savoir faire – autres…
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Problèmes de croissance et leurs
conséquences
Poids corporel trop faible Un retard d’entrée en ponte.
Un faible poids initial des œufs.
Une augmentation de l’incidence
des œufs fragiles.
Une réduction de la fertilité.
Une augmentation de la couvaison.
Une perte de l’homogénéité et de la
maturité sexuelle. Poids corporel trop élevé
Une entrée en ponte précoce.
Une augmentation du poids des
œufs et des double jaune.
Une réduction du pic de ponte.
Une réduction du nombre d’œufs.
Une réduction de la fertilité.
Une réduction de l’éclosabilité.
Une augmentation des besoins
alimentaires.
Une augmentation de la mortalité.
50 50
Le contrôle de l’homogénéité
Lorsque l’homogénéité n’est pas suffisante, il est nécessaire de séparer les plus
légers et les plus lourds dans des parcs. L’essentiel est la prévention. Les
éléments suivants jouent un rôle important dans l’obtention et le maintien de
l’homogénéité.
L’état sanitaire du troupeau.
L’accès à l’eau et à l’aliment.
Le chauffage – les conditions d’ambiance.
Le rationnement en eau.
Le temps de distribution de l’aliment – en moins de 4 - 5 minutes.
Le temps de consommation – 30 à 60 minutes.
En cas de problème d’hétérogénéité être réactif et prendre toutes les
dispositions nécessaires pour y remédier. Il y va de l’avenir du lot.
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Elevage des coqs
Objectifs :
Mâles bien conformés avec le bon poids
Bonne correspondance de maturité sexuelle avec les femelles
Bon comportement
Nombre suffisant pour permettre d’avoir, une fois les tris
effectués, 9 à 10 bons coqs pour 100 femelles à 24 semaines
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Critères de tri des coqs
Erreurs de sexage
Poids
Conformation – dos large-plat-musclé
Aplombs – articulations – démarche
Doigts bien formés, bien droits
Œil vif
Bon emplument
Crête – barbillons
Bec bien formé
Pas trop agressif
IDENTIFICATIONS
53 53
Un mâle qui arrive à maturité sans trop de
graisse avec une faible carcasse mais une
bonne musculature aura une fécondité
meilleure et une éclosabilité supérieure à ses
frères.
Chaque coq ayant en moyenne pour
descendance : 1500 poussins, la qualité
de cette progéniture dépendra en partie
du bon choix des mâles reproducteurs.
55 55
Rôles essentiels de l’eau
Rapport eau aliment 1,8
Support de vaccins,
d’éléments nutritifs et
de médicaments
Utilisation pour la décontamination
Indicateur de l’état
sanitaire du lot
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Comment nettoyer les canalisations?
Nettoyer avec une base forte pour éliminer les dépôts
organiques
Rincer
Nettoyer avec un acide fort pour éliminer les dépôts
minéraux
Rincer
Désinfecter
Au vide sanitaire
Pour éliminer les dépôts qui se sont formés en cours
d’élevage, il faut dans un circuit bouclé :
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Le transfert en bâtiment production
L’âge : en général 3 - 4 semaines avant l’entrée en ponte (5% de ponte).
Application des mesures d’hygiène rigoureuses (personnel, véhicules à air
filtré, matériel)
Ne transférer que des animaux aptes à la reproduction
Précautions dans les manipulations. Limiter le stress
Respect de la mise à jeun
Le transfert est une opération délicate, à risques, et auquel il faut
apporter beaucoup de soins, d’autant plus que les reproducteurs,
proches de leur maturité sexuelle, se trouvent à un stade
physiologique fragile.
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• Entrée en ponte groupée
• Pic de ponte optimal
• Bonne persistance de la courbe de ponte
• Calibre d’œuf homogène
• Alimentation plus facile à gérer
• Meilleure viabilité
• Facilité de travail pour le personnel
• Meilleures fertilité et éclosabilité
• Meilleure qualité de poussins
• Clientèle satisfaite
Conséquences d’un bon programme en élevage
sur les performances en période de production.
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Plus on observe les sujets et plus on réalise ce
que l’on doit faire pour obtenir de bons résultats.
Il s’intéresse
vraiment à
notre petite vie
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S’informer des
résultats du lot en
production
Les premières semaines de
ponte dépendent en partie
de la qualité des
reproducteurs au transfert.
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Après la théorie la pratique car les deux sont complémentaires et indissociables.
Merci de votre attention
JF HAMON
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Disclaimer
The performance data contained in this document was obtained from results and experience from our own
research flocks and flocks of our customers. In no way does the data contained in this document constitute a warranty
or guarantee of the same performance under different conditions of nutrition, density or physical or biological environment. In particular (but without limitation of the foregoing) we do not grant any warranties regarding the
fitness for purpose, performance, use, nature or quality of the flocks. HUBBARD makes no representation as to the accuracy or completeness of the information contained in
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