banque palatine synthèse 2011 2012 vf
DESCRIPTION
TRANSCRIPT
Observatoire de la performance des PME-ETI Synthèse 2011-2012
OpinionWay – Banque PALATINEPour i>TELE – Challenges
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 2
Méthodologie
Mode d’interrogation : • Étude quantitative réalisée par téléphone.
Echantillon: • Près de 3 000 dirigeants d’ETI ou de PME (PDG, DG, DAF, …) dont le chiffre d’affaires
est compris entre 15 et 500 millions d’euros, entre septembre 2011 et juin 2012… à raison d’environ 300 dirigeants par vague sur 10 vagues d’interrogation.
• La représentativité de l’échantillon a été assurée par un redressement en termes de secteurs d’activité et de chiffre d’affaires.
Référence à ce document• Toute publication totale ou partielle doit impérativement rappeler la méthodologie et
utiliser la mention complète suivante : « Observatoire de la performance des PME/ETI – OpinionWay/Banque PALATINE
pour i>TELE-Challenges ».
Synthèse des résultats
1. Les PME/ETI face à la crise2. Perspectives des PME/ETI
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 4
Des PME/ETI confiantes en leur avenir malgré la crise
— La crise a plus affecté la confiance des dirigeants en l’économie nationale et mondiale qu’en leur propre
activité.
— Cette tendance à un optimisme plus marqué pour sa propre activité n’est pas spécifique aux dirigeants de
PME/ETI, puisque les écarts se retrouvent également auprès des entreprises en croissance (Baromètre des
Entreprises de Croissance; Croissance Plus/Astorg1) et auprès des TPE (baromètre trimestriel de conjoncture des
TPE2 ).
— En revanche, pour le niveau de confiance, les dirigeants de PME/ETI sont plus proches des entreprises les plus
performantes (79%) que des TPE (51%). Les PME/ETI ont un « matelas » financier plus conséquent qui leur
permet d’être plus sereins en cette période troublée.
— La confiance envers le contexte économique, s’est largement dégradée depuis l’été 2011 (57% pour l’économie
française en juin 2011 vs. 30% en juin 2012) malgré une légère amélioration sur le premier trimestre 2012, due
à une croissance du PIB en France plus élevée que prévue. Les affres de la crise monétaires ont balayé ces
espoirs dès le mois de mars.
Des perspectives de stabilité du chiffre d’affaires devenues prépondérantes parmi les PME/ETI (47% en juin 2012).
— Les perspectives de croissance, de moins en moins nombreuses (-18 pts / juin 2011), n’ont pas pour autant
laissé place à davantage de perspectives de baisse du CA (+ 3 pts / juin 2011).
1. Les PME/ETI face à la crise
(1) : étude Opinionway réalisée en ligne et par téléphone, du 1er décembre 2011 au 13 janvier 2012, auprès de 236 entreprises ayant réalisé plus de 2 millions d’euros de CA en 2010 et au moins 10% de croissance de 2008 à 2010.
(2) : baromètre trimestriel de conjoncture des TPE, réalisé par l’Ifop par téléphone, du 10 au 21 avril 2012, auprès de 1005 dirigeants de TPE (entreprises de 0 à 19 salariés (hors AE)).
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 5
Les PME/ETI appréhendent les impacts de la crise sur leurs clients et fournisseurs
— La demande (48%) et l’approvisionnement (37%) sont les préoccupations majeures des PME/ETI face à la crise.
Une grande partie de leurs clients sont des entreprises et les études conjoncturelles de l’INSEE montrent un
certain tassement de la consommation des Français, qui était le principal moteur de la croissance en France
depuis plusieurs année.
— Les conditions de financement (conditions de crédit, taux d’intérêt, etc.) sont des préoccupations plus
secondaires pour ce type d’entreprises. Préoccupations qui sont plus prégnantes chez les TPE. (baromètre
trimestriel de conjoncture des TPE2 )
Des relations avec les banques peu affectées par la crise
— Dans l’ensemble, les relations des PME/ETI avec leurs banques n’ont pas été affectées par la crise
— Seule une minorité (29%) des PME/ETI a connu un durcissement de ses conditions de crédit
— En majorité, les PME/ETI se sentent soutenues par leurs banques (72%), notamment en matière de trésorerie
(80%) et d’investissements (69%).
1. Les PME/ETI face à la crise
(2) : baromètre trimestriel de conjoncture des TPE, réalisé par l’Ifop par téléphone, du 10 au 21 avril 2012, auprès de 1005 dirigeants de TPE (entreprises de 0 à 19 salariés (hors AE)).
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 6
2. Perspectives des PME/ETI
Après une hausse continue du chômage depuis 12 mois en France, les PME/ETI qui ont eu un solde positif en 2011 et début 2012 ont des perspectives de créations d’emploi en baisse (- 16 pts / juin 2011), notamment pour les postes cadres (- 13 pts / juin 2011).
— Alors que le nombre d’entreprises prévoyant une réduction du nombre de leurs salariés est resté stable, la part
d’entreprises prévoyant une augmentation de leurs employés a fortement chuté.
— Les entreprises qui envisagent de réduire le nombre de salariés sont à présent aussi nombreuses que celles qui
envisagent une croissance de leurs effectifs. Ainsi le solde net d’emploi chez les PME/ETI est sur le point de virer
au rouge.
L’enjeu n°1 pour les dirigeants d’ETI est la stratégie commerciale (82%)
— Après la stratégie commerciale, vient une série de leviers à des niveaux d’importance comparables : productivité,
organisation et investissements sur des nouveaux marchés et dans de nouveaux produits. Les patrons sont dans
une gestion « court terme » de leur stratégie du fait de la crise.
— Le développement à l’international (36%) et le recrutement de potentiels (40%) ne sont prioritaires que pour une
minorité de dirigeants.
— L’innovation n’apparai pas comme un axe de développement plus prioritaire que d’autres. L’innovation reste
pour 57% des entrepreneurs un élément fondamental de leur stratégie, mais nous constatons que cet item
diminue sensiblement auprès des PME/ETI dès qu’une crise survient.
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 7
Reprise/transmission et sous-traitance
Un grand groupe français repreneur « idéal » pour 1 dirigeant de PME/ETI sur 4
— S’ils pouvaient choisir le « repreneur idéal » en cas de cession de leur entreprise, le quart des
dirigeants de PME-ETI opteraient pour un grand groupe français avec lequel ils travaillent
déjà et 20% pour un de leurs concurrents, bien avant le marché boursier ou les fonds financiers
(à respectivement 2% et 3%).
Près d’une PME/ETI sous-traitante soumises à de fortes pressions
— Près de trois PME-ETI françaises sur 10 réalisent de la sous-traitance pour le compte
d’autres entreprises (29%). Pour la plupart de ces entreprises sous-traitantes, cela ne représente
qu’une part peu importante de leur activité (pour 22% des entreprises sous-traitantes, cela
représente moins d’1/5ème de leur activité).
— Seules 39% des PME-ETI sous-traitantes travaillent pour des entreprises étrangères (soit
11% des PME-ETI françaises).
— Les PME-ETI sous-traitantes estiment majoritairement subir des pressions importantes de la part
de leurs donneurs d’ordres.
— Les sous-traitants déclarent subir de fortes pressions principalement sur les prix (80%), avant
des exigences fortes sur la qualité et les délais (à respectivement 60% et 54%).
Les PME/ETI face à la crise
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 9
Le baromètre 2011 des PME/ETI
Les perspectives des PME/ETI françaises, un enjeu économique et
politique fort
• Un potentiel pour la croissance économique
• Un enjeu pour la création d’emploi
• Un enjeu de compétitivité européenne et internationale
2011 2012
janvier
février
mars
avril
mai juin juillet
aout
septembre
octobre
novembre
décembre
janvier
février
mars
avril
mai juin
Campagne électorale
Crise européenne
EléctionsPerte du AAA
françaisPerte du AAA
américain
Suivies pendant une année mouvementée sur les plans économiques et
politiques
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 10
57%
22%20%
23%
17%
25% 25%
30%
38%
28%
30%
51%
27%
22%25%
21%
35%32%
39%
37%34%
30%
81%
69%
69%72% 72%
70%
77% 77%80%
78%75%
Votre entreprise L’économie mondiale
Des PME/ETI confiantes en leur avenir malgré la crise
Concernant les perspectives des 6 prochains mois, diriez-vous que vous êtes très confiant, assez confiant, assez inquiet, très inquiet, pour… ? (Total confiant)
juin septembre octobre novembre décembre janvier février mars avril mai juin
2011 2012
• La crise a plus affecté la confiance des dirigeants en l’économie nationale et mondiale qu’en leur propre activité.
• La confiance envers le contexte économique, n’a pas retrouvé son niveau d’avant l’été 2011 malgré une amélioration pendant la campagne électorale.
Début de la crise européenne Présidentielles
Question barométrique
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 11
Les PME/ETI appréhendent les impacts de la crise sur leurs clients et fournisseurs
Parmi les éléments suivants liés à la crise, lesquels craigniez-vous le plus ?
Base : 300
La baisse de la consommation
Les cours des matières premières
Des faillites bancaires ou d’entreprises
Un durcissement des conditions de crédit par les banques
La hausse des taux d'intérêts
La dégradation de la note financière de la France
Le cours de l'euro
La dégradation de la note financière d'autres pays européens
La chute des cours de bourse
48%
37%
24%
19%
18%
16%
14%
12%
11%
septembre 2011
• La demande et l’approvisionnement sont les préoccupations majeures des PME/ETI face à la crise.
• Les conditions de financement sont des préoccupations plus secondaires.
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 12
Des relations avec les banques peu affectées par la crise
Au cours des 3 derniers mois, diriez-vous que vos relations avec la (ou les) banque(s) dont vous êtes client(e) …
novembre 2011
4%
92%
4%
69%
72%
80%
69%
0.29
0.27
0.18
0.24
Se sont améliorées
Sont restées stables
Se sont détériorées
Diriez-vous que la crise économique actuelle a des impacts négatifs sur vos conditions d’accès aux crédits auprès de votre (vos) banque(s) ?
Aujourd’hui pendant la crise actuelle, vous sentez-vous accompagné(s) et soutenu(s) par les (vos) banques ?
*n sp 2%
• Dans l’ensemble, les relations des PME/ETI avec leurs banques n’ont pas été affectées par la crise.• Seule une minorité des PME/ETI a connu un durcissement de ses conditions de crédit.• En majorité, les PME/ETI se sentent soutenues par leurs banques, notamment en matière de trésorerie et
d’investissements.
*n sp 1%
*n sp 2%
Base: 305
Non, pas d’impacts négatifs
Oui, des impacts négatifs
Oui Non
*n sp 7%
De manière globale
Concernant votre trésorerie
Au niveau des investissements
Perspectives des PME/ETI
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 14
14%
12%
17%14%
21%
14%12% 12% 12%
17%
51%
42%
44% 44%
35%
30%
40%
28%
33%33%
29%
43%
34% 39%37%
49%46%
58%
52%
47%
Stabilité Croissance Décroissance
Des perspectives de stabilité du chiffre d’affaires devenues prépondérantes
Au cours des 6 prochains mois, quelle est l'évolution de chiffre d'affaires, que vous prévoyez de réaliser en pourcentage ?
Septembre
Octobre Novembre Décembre Janvier Février Mars Avril Mai Juin
2011 2012
• Les perspectives de croissance, de moins en moins nombreuses, n’ont pas laissé place à davantage de perspectives négatives.
Question barométrique
17%
33%
47%
14%
51%
29%
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 15
Des perspectives de créations d’emploi en baisse
en septembre
en octobre en novembre
en décembre
en janvier en février en mars en avril en mai en juin
2011 2012 Base : 301
13%
9%11% 10%
16%
6%
11%
7% 7%
10%
25%
13% 13% 12%
16% 16%14% 13% 12%
9%
Entreprises envisageant d'augmenter le nombre de salariés
Entreprises en-visageant ré-duire le nombre de salariés
7%5% 6% 6%
9%
2%
6%
3% 3% 3%
16%
8% 7% 6%
12%
8% 8% 8%
5%3%
Entreprises envisageant d'augmenter le nombre de cadresEntreprises en-visageant ré-duire le nombre de cadres
Évolution de l’emploi salarié prévue pour les 6 prochains mois
Au cours des 6 prochains mois, votre entreprise envisage-t-elle de … ?
en septembre
en octobre en novembre
en décembre
en janvier en février en mars en avril en mai en juin
2011 2012
Évolution de l’emploi cadre prévue pour les 6 prochains mois
• Si les perspectives de créations d’emplois baissent (courbes vertes), les perspectives de réduction du nombre de salariés restent plutôt stables (courbes rouges).
• Les entreprises qui envisagent de réduire le nombre de salariés sont à présent aussi nombreuses que celles qui envisagent une croissance des effectifs.
Question barométrique
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 16
50%
60%
70%
80%
90%
64%
67%
58%
66%63%
70%
67%
57%
63%
56%
64%
68%
57%
60%
57% 58%61%
57%
60% 62%61%
65%
62%
59%
72%
74%
69%
73%
71%70%
69%
65%
88% 88% 88%
86%87% 87%
90%
82%
La stratégie commerciale
Les process de production, votre produc-tivité
Le positionnement sur de nouveaux marchés
L'organisation interne ou réorganisation
L'innovation sur les produits ou les services
L’enjeu n°1 pour les dirigeants d’ETI reste la stratégie commerciale
Question barométriqueQuels sont vos objectifs stratégiques prioritaires pour votre entreprise ?
en septembre en novembre en décembre en janvier en février en mars en avril en mai
2011 2012• L’innovation, qui était alors le second axe prioritaire de développement, a atteint son plus haut niveau au mois de
mars, mais est depuis en baisse. Cet enjeu n’apparait pas plus que d’autres comme des objectifs prioritaires pour les dirigeants de PME/ETI.
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 17
Quels sont vos objectifs stratégiques prioritaires pour votre entreprise ?
La stratégie commerciale
Les process de production, votre productivité
Le positionnement sur de nouveaux marchés
L'organisation interne ou réorganisation
L'innovation sur les produits ou les services
Le niveau des investissements
Les nouvelles technologies
Le recrutement de compétences / le management
Le développement à l'international
Les acquisitions d'entreprises, fusions
0.820000000000001
0.650000000000002
0.59
0.58
0.57
0.56
0.45
0.4
0.36
0.15
L’enjeu n°1 pour les dirigeants d’ETI est la stratégie commerciale
Question barométrique – Mai 2012
• Après la stratégie commerciale vient une série de leviers : productivité, organisation et investissements sur des nouveaux marchés et dans de nouveaux produits
• Le développement à l’international et le recrutement de potentiels ne sont prioritaires que pour une minorité de dirigeants
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 18
Un grand groupe français repreneur « idéal » pour 1 dirigeant de PME/ETI sur 4
Si vous deviez, un jour, céder vote entreprise ou si vos actionnaires principaux devaient céder leurs parts, le repreneur idéal serait…
Autres
Le marché boursier
Un ou plusieurs fonds financiers
Une autre ETI
Un grand groupe étranger
Le management /l’équipe dirigeante
Un ou plusieurs actionnaires familiaux
Un concurrent
Un grand groupe français avec qui vous travaillez
3%
2%
3%
9%
11%
12%
15%
20%
25%
• S’ils pouvaient choisir le « repreneur idéal » en cas de cession de leur entreprise, le quart des dirigeants de PME-ETI opteraient pour un grand groupe français avec lequel ils travaillent déjà et 20% pour un de leurs concurrents, bien avant le marché boursier ou les fonds financiers (à respectivement 2% et 3%).
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 19
Près d’une PME/ETI sur 3 réalise de la sous-traitance pour d’autes entreprises
Peu importante (moins de 20%)
Aucune activité de sous-trai-tance : 71%
Base : 301
L’entreprise est sous-traitante
29%
Est-ce pour le compte d’entreprises étrangères ?
11%
28%
61%
Oui, en partie
Oui, principalement
Non, uniquement pour les entreprises françaises
Oui39%
(soit 11% des PME-
ETI)
Plutôt importante
(de 20 à50%)
Très importante
(plus de 50%) :
Est-ce qu’une part de l’activité de votre entreprise est réalisée en sous-traitance pour le compte d’autres entreprises ?
Base : 91
• Près de trois PME-ETI françaises sur 10 réalisent de la sous-traitance pour le compte d’autres entreprises (29%). Pour la plupart de ces entreprises sous-traitantes, cela ne représente qu’une part peu importante de leur activité (pour 22% des entreprises sous-traitantes, cela représente moins d’1/5ème de leur activité).
• La majeure partie de ces entreprises travaille pour le compte d’autres entreprises françaises (61%) ; seules 39% des PME-ETI sous-traitantes travaillent pour des entreprises étrangères (soit 11% des PME-ETI françaises).
3%
4%
22%
OpinionWay/Banque PALATINE pour i>TELE-Challenges – Observatoire de la performance des PME/ETI – Synthèse 2011-2012 page 20
Parmi les critères suivants quels sont ceux sur lesquels vous subissez des fortes pressions ?
Base : 91
Des fortes pressions sur les entreprises sous-traitantes, essentiellement sur les prixSi l’entreprise est sous-traitante
D’une manière générale, avez-vous le sentiment de subir des fortes pressions de la part de vos donneurs d’ordres ?
8% 49% 25% 18%
57% Subissent de fortes pressions
Ristournes "supplémentaires"
Délais de paiement
Délais
Qualité
Prix
23%
38%
54%
60%
80%
• Les trois premières sources de pressions sont les mêmes qu’en mai 2011. Les sous-traitants déclarent subir de fortes pressions principalement sur les prix (80%), avant des exigences fortes sur la qualité et les délais (à respectivement 60% et 54%).
• Les PME-ETI sous-traitantes estiment majoritairement subir des pressions importantes de la part de leurs donneurs d’ordres, mais ce chiffre est moins important qu’il y a un an (57% vs. 67% en mai 2011).