bakony itsvan - impérialisme, communisme & judaïsme 1-7

264
Itsvan Bakoni T he S avoisien Impérialisme, Communisme & Judaïsme Les trois forces qui dominent le monde Library of Political Secrets

Upload: nunusse

Post on 25-Nov-2015

117 views

Category:

Documents


16 download

DESCRIPTION

Impérialisme, communisme & judaïsmeLes trois forces qui dominent le monde Volumes 1 à 71 Qu’est-ce que le Judaïsme.2 Le communisme chinois et les juifs chinois.3 La cinquième colonne juive dans l’Islam.4 La cinquième colonne juive en Inde.5 Les juifs cherchent à dominer les nègres.6 La cinquième colonne juive au Japon.7 La paranoïa judaïque. ...

TRANSCRIPT

  • Itsvan Bakoni

    T h e S avo i s i e n

    Imprialisme, Communisme & JudasmeLes trois forces qui dominent le monde

    Library of Political Secrets

  • Itsvan Bakoni

    T h e S avo i s i e n

    Quest-ce que le Judasme ?

    T h e S avo i s i e n

    Imprialisme, Communisme & JudasmeLes trois forces qui dominent le monde

    1

    Library of Political Secrets - 3

  • Traduit de langlais partir du fascicule dit parles Ediciones UDECAN

    Apartado Postal 665 Mexico 1, D. F. - Mexico.

  • 3

    1Quest-ce que le Judasme ?

    chapitre premier

    Une religion raciste

    Quest-ce que le judasme ? Comment est-il organis ? Ces questions furent souleves par de nombreux rudits, dont aucun ne put y rpondre de manire satisfaisante pour la simple raison que le peuple juif entoure du plus grand secret tout ce qui se rapporte son organisation interne.

    Les Juifs pratiquent outrance la discrimination raciale contre les peuples qui leur ont donn asile et dont ils empchent les membres dentrer dans leurs organisations prives.

    Ds quils arrivent dans une nation, ils sestiment en droit de participer la vie de toutes les institutions et organisations du peuple qui les a accueillis, et si quelquun essaie de sy opposer, ils crient la discrimination raciale. Mais en tant qutrangers ayant exig et obtenu lhospitalit, ils frappent de discrimination les autochtones sur le propre sol de ceux-ci, pensant avoir le droit de leur interdire laccs leurs communauts juives, notamment leurs clubs privs et leurs synagogues.

  • 4Le pire est que ltat hte tolre cette situation scandaleuse, ce qui rvle le degr de domination auquel les Juifs sont parvenus dans de nombreuses nations.

    Quand cette politique suscite des protestations assez vives pour que les Juifs y voient un danger, ils font organiser par un club sportif isralien des matches de football ouverts au grand public ; moins quils ne crent de toutes pices une quelconque organisation o se mlangent chrtiens et Juifs, ou encore des communauts de proslytes de la porte (voir chapitre trois) afin dexercer davantage dinfluence sur les chrtiens. Mais ils nen interdisent pas moins tout goy mot pjoratif par lequel ils dsignent quiconque nest pas membre de leur prtendue race lentre des organisations judaques les plus fermes.

    Voil pourquoi, lorsque les Juifs parlent dune discrimination raciale suppose, les organisations qui cherchent dfendre deux leurs concitoyens doivent ragir ces propos par des campagnes exigeant que les non Juifs soient autoriss entrer dans les clubs isralites privs et les synagogues, les communauts et les kehilot , et quils aient le droit de siger aux gouvernements juifs secrets, tout comme les Juifs exigent de pouvoir siger aux gouvernements des gentils. Nous verrons comment les Juifs rejettent catgoriquement les exigences de cette nature.

    Lexprience aurait pour utilit de montrer lopinion que ce sont les Juifs qui pratiquent la discrimination vis--vis des peuples leur ayant accord lasile et de lui faire comprendre que si les Isralites tiennent tant garder leurs runions secrtes, cest parce quil ne sy trame rien de bon.

    En dpit du secret dont les Juifs entourent leurs organisations internes, on peut se faire une ide ne serait-ce que superficielle de ce quest le judasme et de la faon dont il opre.

    Les non Juifs ignorent ce quil est ; ils commettent donc de funestes erreurs son sujet. Par exemple, ils croient que limmigrant juif est comme les immigrants dautres nations, et ils lui ouvrent obligeamment leur porte comme ils le font avec tout autre tranger, sans comprendre que loin dtre un migr, le Juif est un agent actif dune organisation imprialiste mondiale et ambitionne de conqurir le pays qui la reu.

  • 5Benjamin Franklin (1), qui fut lun des fondateurs des tats-Unis dAmrique, avait bien pris conscience du problme, et il avait parfaitement compris que si les choses se maintenaient en ltat, les Isralites finiraient par semparer de son pays. Depuis lors, les faits ont vrifi ses prdictions,

    1 Cette prophtie de Benjamin Franklin a t faite lors dune conversation btons rompus, durant lentracte de la Convention constitutionnelle de Phila-delphie (1787). Elle a t rapporte par Charles Pinckney Cotesworth, dlgu de lindustrie laitire en Caroline du Sud.

    Je suis entirement daccord avec le gnral Washington. Nous devons protger notre jeune nation dune influence insidieuse. Cette menace Messieurs, ce sont les Juifs.

    Dans chaque pays o les Juifs se sont installs, ils ont abaiss le niveau moral et dprci lintgrit commerciale. Ils sont rests lcart et ne se sont jamais assi-mils. Ils ont tent de dnigrer et de miner la religion chrtienne, sur laquelle cette nation est fonde, en sopposant ses restrictions. Ils ont fond un Etat dans lEtat, avec lequel ils cherchent trangler financirement la nation, comme il lon fait pour lEspagne et le Portugal.

    Depuis plus de 1700 ans, les Juifs se lamentent de leur triste sort, savoir quils ont t chasss de leur patrie, comme ils lappellent. Mais Messieurs, si le monde leur rendait la Palestine, ils trouveraient immdiatement des raisons pressantes pour ne pas y retourner. Pourquoi ? Parce qutant des vampires, ils ne peuvent pas se nourrir du sang dautres vampires, ils ne peuvent pas vivre entre eux. Ils doivent vivre parmi les Chrtiens et dautres nations nappartenant pas leur race. Sils ne sont pas expulss des tats-Unis par la Constitution, dans moins de 200 ans, ils seront ici en si grand nombre, quils vont nous dominer, dvorer le pays et chan-ger la forme de notre gouvernement, pour laquelle, nous, Amricains, avons vers notre sang et sacrifi notre vie, nos biens et notre libert. Si les Juifs ne sont pas exclus, dans 200 ans, nos descendants travailleront dans les champs pour nourrir les juifs, tandis quils resteront dans leurs maisons de comptage en se frottant joyeu-sement les mains. Je vous avertis, Messieurs, si vous nexcluez pas les Juifs pour toujours, vos enfants et les enfants de vos enfants, vous maudiront sur vos tombes.

    Les juifs, Messieurs, sont des Asiatiques, le lieu de naissance et le nombre des annes ny changeront rien, ils resteront jamais des Asiatiques. Leurs ides ne seront pas celles dAmricains, mme sils vivaient parmi nous durant dix gnra-tions. Le lopard ne peut pas changer ses taches. Les Juifs sont des Asiatiques, ils sont une menace pour ce pays si nous les acceptons. Cest pourquoi ils doivent tre exclus par la prsente Convention constitutionnelle.

  • 6car les tats-Unis sont tellement domins par les Juifs quon peut les considrer comme une colonie juive. Limprialisme yankee sest rvl tre un instrument de limprialisme juif.

    Les Juifs sont avant tout une nation, et une nation organise lchelle mondiale, car ils sont rpandus dans tous les pays du monde. Cette nation rside en majeure partie dans des terres trangres, et ses membres vivent en parasites sur les territoires dautres peuples. Depuis plusieurs sicles, les Juifs taient privs dun territoire eux, mais la fin de la Deuxime Guerre mondiale, ils russirent obtenir de la Grande-Bretagne domine par les Juifs quelle permette un grand nombre dentre eux dmigrer en Palestine devenue alors tat dIsral , aprs quoi ils en expulsrent dune manire criminelle la majorit de ses habitants, des musulmans.

    Pourtant, selon le recensement de 1961, Les Juifs ne sont que 2 170 280 vivre en Isral, alors quils sont plusieurs fois plus nombreux dans les autres pays du monde entre lesquels ils se rpartissent (1).

    On ne sait pas au juste combien il y a de Juifs dans le monde, parce queux-mmes dissimulent soigneusement cette information. Ils seraient, parat-il, au nombre de quinze millions, en ne comptant naturellement que ceux qui professent publiquement le judasme, mais il va de soi que beaucoup plus dentre eux se cachent sous un masque chrtien, musulman ou autre et napparaissent jamais dans les statistiques ou les recensements.

    Durant le seul Moyen ge, il se trouvait plus de Juifs pour se convertir faussement au christianisme et lislam que pour demeurer des pratiquants de leur religion.

    Dans les livres quils publient lusage interne de leur communaut, les auteurs isralites avouent que presque toutes les conversions au christianisme et lislam taient fausses et insincres, les Juifs gardant secrtement leur ancienne religion.

    Depuis la Renaissance, les fausses conversions au christianisme se sont poursuivies, augmentant ainsi continuellement le nombre des Juifs

    1 Note de lEditeur : selon les statistiques de 1974, ltat dIsral comptait alors 3 300 000 habitants juifs.

  • 7clandestins et rduisant du mme coup celui des Juifs qui professaient publiquement la religion dIsral. Ce processus sest maintenu jusqu nos jours, surtout dans des pays comme les tats-Unis, o les Juifs ont besoin de renforcer leur cinquime colonne au sein de la Chrtient. Il est donc difficile dapprcier le nombre de Juifs clandestins, mais en tout tat de cause, ils sont plusieurs fois plus nombreux que les Juifs se rclamant officiellement et publiquement du judasme.

    Toutefois, outre quils forment une nation dissmine dans le monde entier, les Juifs sont galement lis entre eux comme membres dune mme religion ; or, contrairement dautres, cette religion est agressive et imprialiste, emplie de haine et du dsir de rduire lhumanit en esclavage.

    La religion juive est rserve au peuple juif, elle nest pas apostolique comme dautres. Cest pourquoi les Juifs ne tiennent pas convertir les peuples au judasme vritable. Ils considrent que leur religion est le fruit de laccord entre Dieu et Abraham et quil appartient donc au peuple lu de Dieu de dominer le monde, parce que les autres hommes ne sont que de vulgaires animaux dnus de toute nature humaine ; en consquence de quoi les goyim (ou gentils) nont pas le droit de sasseoir la table des lus ni de figurer parmi la future aristocratie de lhumanit, qui sur lordre suppos de Dieu rduira en servitude les peuples du monde.

    Lorsque des Juifs cherchent sincrement convertir un chrtien ou un musulman au judasme, cest parce que lintress est de race juive et descend dAbraham, bien que pour une raison ou pour une autre, ses parents ou grands-parents aient perdu le contact avec le judasme. La conversion dun tel chrtien ou musulman est destine rcuprer un sang gar.

    Les Juifs ont lintention de faire de la religion dIsral la seule religion du monde une fois que leur communisme athiste aura broy et annihil toutes les autres religions. Mais les gentils ne seront jamais admis dans les vritables organisations du peuple lu ; ils ne seront enrls que dans une religion fabrique spcialement pour eux, qui aura lapparence du judasme, mais qui ne sera quune religion desclaves, ce qui justifiera leur servitude et les privilges que les Juifs de sang sarrogeront en tant

  • 8que matres de ce monde futur. Cette religion de Juifs spirituels sera adapte aux circonstances nouvelles et ne diffrera que lgrement de lantique organisation des proslytes de la porte .

    Aux temps de lInquisition, de nombreux Juifs clandestins (qui ntaient quextrieurement chrtiens), effrays par la rpression inquisitoriale et par le bcher qui les attendait sils taient dmasqus, se sparrent tout fait du judasme, et leur descendance fut donc, elle aussi, perdue pour lui.

    Ds lors, les Juifs quils pratiquent leur religion en public ou dans la clandestinit avaient pour devoir sacr de rcuprer le sang gar en sefforant avec courage dinitier secrtement les enfants de ces rengats et en nayant de cesse dy parvenir. Dans les dossiers de lInquisition, on trouve dabondants exemples de ce genre de proslytisme auquel se livraient aussi bien des hrtiques judasants cest--dire des chrtiens pratiquant le judasme en secret que des Juifs professant publiquement leur judat.

    Parmi les motifs ayant entran lexpulsion des Juifs de France, dAngleterre, dEspagne et dautres pays, il y a le fait quils incitaient ceux dentre eux convertis au christianisme et leurs descendants retourner au vomi du judasme .

    Le judasme se livre actuellement, dans de nombreux pays, un proslytisme intense auprs des personnes considres juste titre ou non comme descendant de celles que la perscution inquisitoriale avait contraintes se sparer vraiment de lui. Mais comme les ascendants de ces personnes dj sincrement chrtiens ont pous dautres chrtiens au cours des gnrations suivantes, leurs descendants actuels ont dans les veines plus de sang de la bte gentille que de sang juif. Cest pourquoi les Juifs ne peuvent les accepter au sein des organisations vritablement isralites, rserves aux individus de pur sang juif. Pour sassurer la mainmise sur ces sang-ml, les Juifs ont fond des communauts et des synagogues spciales en faisant croire navement aux intresss par des moyens astucieux quils les introduisent au vrai judasme, alors quen fait, ils les font entrer dans une des nombreuses

  • 9organisations satellites que les Juifs de sang pur ont cres afin de dominer le reste de lhumanit et de faire deux des instruments aveugles de leur imprialisme sans piti.

    Nanmoins, comme ceux qui se sont laiss tromper par cette ruse se croient vraiment juifs, ils servent de dociles marionnettes aux Juifs vritables. Il est donc politiquement dangereux de faire confiance aux familles chrtiennes ayant un anctre juif, bien quil soit possible que la majorit de leurs anctres aient t des gentils, et il est conseill de se mfier delles.

    Cette volont forcene de rcuprer le sang perdu est vidente aussi propos des mariages mixtes. Il est bien connu que les Juifs interdisent leurs enfants dpouser des personnes dune autre race ou dun autre peuple ce qui constitue une discrimination ethnique contre les nations les ayant accueillis , pour la simple raison quils considrent les autres races comme infrieures et de nature animale. Un Juif se souille en pousant une chienne goy . Mais lamour est un sentiment que nul ne saurait matriser, et il arrive quun garon juif tombe amoureux dune jeune fille chrtienne, ou inversement, en dpit des nombreuses prcautions prises en vue de lviter. Dans un tel cas, les proches du garon dchirent leurs vtements et sopposent obstinment au mariage en menaant lintress de reprsailles. Bien souvent, ils russissent le faire cder leurs pressions comme celles de toute la communaut juive.

    Mais lorsque lamour lemporte et que le garon ou la fille se marie contre la volont des siens, les Juifs chafaudent des plans pour conserver le sang des enfants du couple, en essayant dinitier ceux-ci au judasme ds que le moment leur semble opportun. Dans une minorit de cas, le garon juif ainsi menac par ses proches et ses soi-disant frres de race se retourne contre son propre peuple, et bien quil napostasie pas de peur des reprsailles, il permet sa femme dduquer leurs enfants dans le christianisme ou une autre religion de la gentilit, de sorte que ses descendants sont perdus pour la communaut juive. Cela nempche pourtant pas les Juifs de tenter de rcuprer le sang gar , souvent avec succs.

  • 10

    Isral est certes une nation, un peuple dissmin dans le monde entier avec sa propre religion, mais cest aussi et avant tout une secte, une socit secrte, car dans tous les pays o les Juifs ont une colonie, et mme dans ltat dIsral, ils sont organiss de faon sectaire, avec des crmonies dinitiation secrtes auxquels on est astreint lge de treize ans, ils tiennent des runions politico-religieuses au droulement rigoureux, o lon prte un serment de secret et dobissance absolue aux dirigeants comme dans toute socit secrte , et ils participent des crmonials figs ainsi qu des banquets rituels, dont les banquets et les rituels de la franc-maonnerie ne sont quune imitation.

    Ce quon a appel le judasme, ce nest rien dautre que cette socit complexe reprsente par le peuple, la religion et la secte de la nation isralite.

    Mose L. Maimon (1860-1924), peintre et graphiste. Le seder secret en Espagne pendant l'inquisition , 1893.

  • 11

    chapitre ii

    Lorganisation du judasme

    Lorganisation interne du judasme est si secrte que nous, qui sommes membres dautres nations, ne pouvons en connatre grand-chose, car aucun membre dun autre peuple nest admis au sein des organisations juives. Dans cet ouvrage, je me bornerai donc mentionner ce que jai pu tudier et confirmer en la matire.

    La famille est lunit de base du judasme, et elle reste patriarcale dans certains pays. Le pre de famille ou patriarche reprsente pour elle une sorte de grand prtre ; il conduit le culte religieux familial, qui consiste en des prires quotidiennes et en des crmonies trs secrtes au rite solennel, dont le but est dimprimer dans lesprit des Juifs, depuis lenfance et ladolescence, la conviction quils sont le peuple de Dieu, choisi par lui pour dominer les autres nations et leur prendre leurs richesses. cette fin est labore une idologie dominatrice faisant de chaque membre de la communaut un instrument fanatique de limprialisme juif dans la lutte mene par ce dernier pour conqurir toutes les nations, et singulirement celle o se trouve vivre la famille de lintress.

    Parmi ces crmonies familiales secrtes, on peut mentionner la Pque juive, avec son rituel solennel et ses banquets secrets, ainsi que la clbration en famille du shabbat. Celle-ci commence le vendredi au coucher du soleil ; dans la maison paternelle, les parents se runissent alors avec leurs enfants gs de plus de treize ans (dj initis aux secrets du judasme), de mme quavec leurs petits-enfants (sils ont plus de treize ans) et les pouses de leurs fils maris. La maison est close, et aucun tranger nest autoris entrer dans la pice o a lieu la crmonie. La crmonie secrte est souvent suivie dun banquet rituel au cours duquel sont dites

  • 12

    des prires et prononcs des discours ; ce banquet peut durer jusqu minuit, moins que les adultes ne doivent se rendre une synagogue publique ou clandestine (auquel cas la crmonie sabbatique et le banquet sont tous deux suspendus). La mre de famille prside la crmonie spciale consistant allumer et bnir deux chandeliers.

    Pendant ce temps, les enfants de moins de 13 ans, exclus de cette crmonie comme des autres crmonies du judasme clandestin, sont envoys dans des endroits prvus spcialement leur intention. Les enfants des familles juives ne pratiquant quextrieurement le christianisme, lislam ou toute autre religion goy ne savent pas que leur famille est juive, car celle-ci leur cache toutes ses activits juives secrtes. lge de 13 ans, et lissue dune longue prparation, seuls ceux dentre eux qui se sont montrs capable de conserver des secrets se voient initier secrtement, bien sr aux activits judaques clandestines de leur famille. Les enfants qui chouent lpreuve de discrtion que leur ont fait passer leurs parents ne sont initis au judasme cach quaprs avoir prouv leur capacit de garder un secret. Quant ceux qui ne peuvent passer les preuves de loyaut, de confidentialit et autres, ou qui sont mentalement inaptes, on les tient lcart de ce judasme clandestin ; cependant, aussi bien leur famille que lensemble de la communaut juive clandestine mettent tout en uvre pour rcuprer ces enfants quand on finit par les juger capables de devenir membres du judasme secret et par estimer quils le mritent.

    Lorsque lInquisition mdivale usait de torture pour forcer les juifs rvler lidentit dautres Juifs clandestins et quelle tentait de dcouvrir et de dtruire le judasme souterrain dj trs infiltr dans les ins-titutions chrtiennes , les Juifs clandestins se voyaient contraints de modifier le jour de leur crmonie sabbatique familiale, car on soumettait une surveillance sourcilleuse les chrtiens souponns dtre des Juifs secrets, surtout le vendredi soir, pour les prendre in flagrante delicto (1) de clbration judaque.

    1 En flagrant dlit, sur le fait.

  • 13

    La famille juive est un modle dunit ; on inculque ses membres la plus grande loyaut rciproque entre eux. La plupart des pres juifs sont des parents exemplaires, et les mres se montrent elles-mmes parfaites dans leur rle. Quant aux enfants, ce sont des parangons de pit filiale ; ils prouvent respect et vnration pour leurs parents, quils jugent dignes dimitation grce la formation pousse qui leur a t dispense cet effet. Il existe certes, chez les Juifs, de mauvais parents, des mres dnatures et des enfants indignes, mais leur proportion est faible.

    Malheureusement, toutes ces vertus difiantes sont axes sur les objectifs pervers dordre religieux et politique quassignent ces gens leur religion imprialiste et leur haine pour tous les autres peuples, inculque aux enfants juifs ds la petite enfance au sein mme de la famille.

    Sagissant des Juifs souterrains qui font semblant de pratiquer le christianisme, lislam, le bouddhisme ou le brahmanisme, ces vertus familiales trompent les vritables croyants au point que quand, par exemple, un membre de ce judasme clandestin est charg en tant que prtendu chrtien dinfiltrer lglise catholique ou une obdience protestante afin de saboter la dfense du christianisme et de jouer le jeu de la franc-maonnerie ou du communisme sous la conduite de Moscou ou des Juifs new-yorkais , lintress joue si bien son rle que sil est dmasqu, la plupart des gens doutent de sa trahison, considrant quun pre aussi exemplaire, un mari aussi honnte est incapable dentretenir des relations avec les sombres forces ennemies qui svissent au sein de la nation en pervertissant et en dtruisant les familles non juives.

    Une telle situation semble incomprhensible ceux qui ne sont pas au courant des dimensions tragiques du problme et qui ignorent que le Juif sefforant publiquement ou secrtement de dtruire lunit des familles de gentils seule fin daffaiblir les peuples dont il a entrepris la conqute garde sa famille lui dans ltat dunit et de loyaut morale ncessaire pour maintenir cette cellule de base de la vitalit isralite. Il sait quun peuple aux familles saines et fortes tant matriellement que moralement sera mieux mme de dominer tout peuple dont les familles sont dsquilibres par limmoralit et la dsunion. Cest

  • 14

    pourquoi il lpand exprs des ides visant dissoudre lattachement des gentils au mariage et la loyaut des enfants les uns envers les autres.

    Les Juifs constituent partout une socit secrte appele communaut , dont font partie les familles isralites de la localit et au sein de laquelle les chefs de famille ou patriarches sont reprsents la kehilla ou au Conseil suprme de la communaut juive en question.

    Les Juifs sont fortement organiss aussi en fraternits et autres organisations, dont le but est de semparer des associations et institutions politiques, syndicales, conomiques et religieuses de toutes natures des peuples sur le territoire desquels les communauts juives oprent ouvertement ou clandestinement. Jemploie ladverbe clandestinement dessein, parce quon le rencontre souvent dans les crits juifs sur la question.

    Autrefois, ces fraternits sappelaient simplement des synagogues, mot qui signifie assemble . Il convient du reste dtablir une distinction entre la synagogue-assemble, ou fraternit, et le temple, ou lieu dans lequel opre cette assemble, appel galement synagogue. Il arrive que chaque fraternit, cest--dire chaque synagogue-assemble, dispose de son propre local, de sa propre synagogue-temple, mais plusieurs fraternits ou synagogues-assembles peuvent aussi oprer au sein dune seule et mme synagogue-temple.

    Les synagogues-assembles sont des runions caractre religieux, politique et social. La synagogue a des rites et des crmonies dune grande solennit, dont le crmonial maonnique noffre quun ple reflet. On y fait alterner des prires rituelles avec des discussions sur toutes les affaires politiques, conomiques et sociales lies au contrle de la localit o se situe la fraternit, de mme que sur les autres questions que les fraternits juives unies prsentes dans toute la nation goy jugent importantes pour la conqute imprialiste et la domination de cette malheureuse nation qui, des annes ou des sicles auparavant, a commis lerreur dautoriser les Juifs sinstaller sur son territoire.

    En dehors du fait quelle possde un rituel et de crmonies plus impressionnantes que ceux des loges maonniques, la synagogue-assemble opre de manire analogue celle des cellules communistes.

  • 15

    Les fraternits sont reprsentes aussi au Conseil qui, comme on la indiqu ci-dessus, est lorgane suprme local de la communaut, agissant en collaboration avec le tribunal secret, ou Bet-Din.

    En ce qui concerne le judasme souterrain, dont les communauts ultra-secrtes se composent de Juifs pratiquant en public le christianisme ou toute autre religion, lassemble secrte ou synagogue opre soit dans une demeure prive, soit en un lieu public soigneusement camoufl, de sorte que les membres non juifs de la population restent ignorants de lexistence et du fonctionnement de ce local.

    Ainsi, aux temps de lInquisition, lorsque cette dernire se relchait quelque peu, les synagogues secrtes opraient avec une certaine rgularit, mais quand la perscution se durcissait, les Juifs allaient jusqu les supprimer de peur que des enquteurs ne les dcouvrent. Le judasme clandestin ne pouvait alors trouver de refuge quau sein de lorganisation familiale, car une runion de famille ne saurait sembler suspecte, et cest grce cette ruse que le judasme clandestin a pu survivre mme aux priodes dextrme vigilance inquisitoriale. La mme chose sest produite en Allemagne et dans dautres pays europens lors de la perscution des Juifs par le national-socialisme.

    Le mot synagogue est parfois utilis pour dsigner le Judasme comme un ensemble, tout comme le mot glise est utilis pour dsigner une institution ecclsiastique dans son ensemble.

    Le judasme comme la franc-maonnerie est dot de diffrents rites souvent porteurs dune signification racialement identitaire. Par exemple, le rite spharade est pratiqu par les Juifs disperss dans le monde qui descendent de ceux chasss dEspagne en 1492 et du Portugal sous le rgne du Roi Manuel, ainsi que par les crypto-Juifs pseudo-chrtiens expulss dEspagne et du Portugal lpoque de Philipe IV, au XVIIe sicle.

    Le rite ashknaze est pratiqu par les Juifs dascendance allemande qui sont, eux aussi, rpandus dans le monde.

    Le rite Beni-Isral (1) est pratiqu par les Juifs qui, arrivs il y a dix-

    1 Bene Isral (galement Beni Isral, Benai Isral, Bnai Isral ou Bani Isral

  • 16

    huit sicles en Inde, y avaient infiltr toutes les castes avant dmigrer dans plusieurs pays dAfrique et dAsie, et mme en Angleterre. On les prend pour des hindous, mais beaucoup dentre eux sont des Juifs clandestins du rite Beni-Isral qui contrlent prsent le Parti du Congrs et le gouvernement indien. Ce dernier a t plac sous le joug de limprialisme isralite qui, depuis lpoque du Premier Ministre britannique juif Benjamin Disraeli, au sicle dernier, a fait du gouvernement britannique un instrument de limprialisme en question. En Afrique et ailleurs, ces Juifs clandestins venus dInde avec la protection et lassistance de Londres ont aujourdhui la mainmise sur le commerce de nombreuses nations noires, dont elles exploitent les membres dune manire parfois impitoyable.

    Le rite Beni-Isral, n en Inde, uvre dans le plus grand secret, et il exerce une influence considrable sur la destine de ce pays. Beaucoup de ses zlateurs sy comportent extrieurement en Brahmans ou en membres dautres religions que lhindouisme, et ils ont acquis au fil des sicles les caractristiques raciales hindoues, tel point quil est souvent difficile de les distinguer des vrais hindous. Ils facilitrent la conqute de lInde par les Britanniques, quils aidrent y maintenir la domination de Londres, et durant un sicle et demi, ils travaillrent contre les vrais Hindous qui luttaient pour lindpendance de leur pays. Cela dura jusqu ce que llan des vrais patriotes ayant t bris, les juifs secrets du rite Beni-Isral et leurs chefs, le soi-disant Mahatma Gandhi et Jawaharlal Nehru, eurent pris le contrle du mouvement pour lindpendance. Celle-ci fut alors accorde lInde par les Juifs du gouvernement britannique, ce qui laissa le gouvernement indien aux mains des Juifs secrets faussement hindous du rite Beni-Isral, tout naturellement allis leurs coreligionnaires dirigeant lUnion Sovitique, de mme qu ceux de Washington et de Londres. Je parlerai plus tard de ces Juifs clandestins de lInde.

    Un autre rite est celui des Juifs chinois clandestins arrivs il y a environ dix-sept sicles en Chine, o ils se sont mlangs avec la population autochtone et les tribus guerrire mongoles du Nord, acqurant au fil du temps un type chinois presque parfait.

    , les enfants dIsral.)

  • 17

    Beaucoup embrassrent fictivement le bouddhisme tout en conservant le judasme en secret, selon leur habitude. Ces Juifs chinois sont connus au sein du judasme sous le nom de Tiao-Kiu-Kiaou , ce qui signifie : la secte qui extrait le tendon , par allusion lopration que prescrit la Bible (Gense 37-33) dans le cadre de labattage rituel.

    Ces Juifs secrets chinois se rpartissent entre toutes les provinces de la Chine continentale actuelle. Ils dissimulent leur judasme et se prtendent loyaux envers le maosme. Mais ils souhaitent mettre fin ce dernier, parce que Mao est un goy , non un Juif ; le judasme cherche donc le renverser pour contrler sa succession en le remplaant par un gouvernement communiste compos de juifs Tiao-Kiu-Kiaou, dont je parlerai en dtail ci-aprs.

    Beaucoup de rites juifs sont particuliers ltat gentil dans lequel on les pratique. Mais parmi tous ces rites observs dans les diffrentes rgions du monde, les plus manifestement importants sont ceux des Juifs clandestins de tous pays qui pratiquent en apparence une religion non juive et dont les communauts secrtes constituent la cinquime colonne juive. Ils fonctionnent sparment des communauts ouvertement juives, avec lesquelles ils entretiennent toutefois des contacts troits, efficaces et trs secrets. Les encyclopdies et autres ouvrages juifs de publication gnrale ne les mentionnent que dans des cas inhabituels. Lorsque, dans une localit quelconque, il existe une seule congrgation juive observant un mme rite, son conseil ne comprend que des reprsentants de cette congrgation ; mais quand il y deux ou trois congrgations de rites diffrents, la kehilla se compose des reprsentants de chacune en proportion du nombre de familles de celle-ci. Il y a cependant des cas o chaque congrgation de la kehilla est reprsente en fonction non du nombre de ses familles, mais de la somme quelle verse pour soutenir les activits de la communaut juive locale ; cela sapparente au principe de la socit anonyme qui, comme chacun sait, est dorigine juive. On a ainsi une ide de la grande importance que les Juifs accordent la collaboration conomique entre coreligionnaires dans loptique de lidal commun, car ils savent fort bien que la force politique de tout organisation dpend

  • 18

    en grande partie de lidalisme de ses membres tel quil sexprime de diverses manires, mais surtout par le sacrifice dune partie de leur propre patrimoine, verse non pas en tant que don, mais comme un impt obligatoire quivalant aux impts perus par les tats.

    Outre la Kehilla (ou le conseil), il y a le Bet-Din. Ce tribunal juif secret juge et condamne les tratres et ceux qui ont commis un crime quelconque contre leurs frres de race ; il tranche les diffrends, sefforce de rconcilier les parties et inflige des sanctions tous les Juifs de la communaut sont tenus de se conformer ses arrts.

    Diverses organisations culturelles et bnvoles dpendent aussi de la kehilla ou du conseil de chaque communaut. En certains endroits, les coles isralites et, dans dautres, les coles dites Talmud-Thora ou yeshivas empoisonnent comme cette appellation lindique les esprits des enfants juifs avec les enseignements dforms du Talmud et les fausses interprtations de la Bible de lAncien Testament.

    La brivet du prsent ouvrage nous empche dexposer en dtail les diffrentes sortes dorganisations culturelles et bnvoles que les diverses kehillas dissmines dans le monde ont cres en fonction de leur importance. Il nous suffira ici de dire que la culture et la charit ne sont accordes quaux Juifs, et non aux peuples les ayant accueillis sur leur territoire. Ce nest que quand il est avantageux pour eux de sattirer la sympathie du peuple autochtone que les Juifs accomplissent des actes altruistes en faveur des gentils, actes auxquels ils donnent dans ce but une large publicit. En cela comme en tout, les Juifs se montrent trs pragmatiques.

    Ces fraternits juives secrtes de caractre professionnel ont pour devoir de capter et de contrler les associations et institutions correspondantes du peuple gentil, de mme que les activits commerciales, industrielles ou professionnelles dont soccupent ces associations. Ainsi, par exemple, la fraternit secrte des fabricants juifs de chaussures aura pour tche de sassurer la mainmise sur la manufacture et la vente de ces articles en liminant par une concurrence ruineuse et parfois dloyale les fabricants et marchands goyim de chaussures du pays que les Juifs

  • 19

    cherchent secrtement conqurir. Les fraternits de commerants juifs sefforcent donc de contrler les branches dont ils relvent en liminant leurs concurrents goyim , et les fraternits juives de banquiers, dindustriels, dimportateurs-exportateurs et autres nagissent pas autrement.

    Les fraternits secrtes de mdecins juifs (1) sefforcent de dominer leurs concurrents dans cette profession et daccder aux postes-cls des hpitaux, des facults de mdecine et des autres institutions mdicales. Quant aux fraternits secrtes de travailleurs et dagriculteurs, elles essaient de mettre la main sur la gestion de leurs syndicats respectifs.

    Pour complter le tableau de la manire dont sorganise la cinquime colonne de la nation isralite qui sinfiltre silencieusement dans les autres nations du monde, je dois signaler des organismes directeurs trs importants qui sont trs analogues aux cellules communistes, car celles-ci sont copies en partie sur les cellules ou comits directeurs juifs dont la tche consiste rassembler tous les Juifs publics et secrets oprant au sein de nimporte quelle institution goy , seule fin de contrler et de conqurir lorganisme qui la dirige. Lorsque, par exemple, des juifs se sont introduits dans lorganisation locale dun parti politique de la nation daccueil, ils y forment une cellule juive secrte destine contrler la direction de cette branche particulire du parti en question. Ladite cellule va collaborer secrtement avec ses homologues des autres branches locales du parti afin de mettre successivement la main sur lorganisation provinciale, puis sur la direction nationale de ce dernier. De mme, lorsque des Juifs avous ou clandestins occupent des positions dans les banques locales, ils vont y constituer une cellule qui aura pour tche duvrer infatigablement en vue de mettre la main sur les positions-cls de ces banques, surtout celles dont les avoirs appartiennent des gentils. Le mme travail de conqute est accomplir par tous les Juifs avous ou clandestins qui se sont infiltrs au sein des organisations industrielles, commerciales, sportives, etc., mais principalement dans la totalit des partis politiques, de lextrme droite lextrme gauche, jusqu finir par tout dominer.

    1 A lire pour comprendre la technique employe : Les juifs en France - Dr Fernand Querrioux ; La mdecine et les juifs.

  • 20

    Sous le masque dun faux christianisme, les communauts de juifs clandestins doivent ainsi chercher mettre la main sur les organisations chrtiennes, y compris en infiltrant le clerg des glises seule fin den prendre la direction, ce quelles font du reste depuis longtemps. Les communauts de crypto-Juifs infiltres dans lislam, le bouddhisme et dautres religions agissent de mme.

    Limprialisme juif se maintient en Union Sovitique galement par le recours aux cellules secrtes ou groupes de pression juifs qui oprent de faon ultra-secrte derrire le Comit central du Parti Communiste, le Soviet Suprme et les autres organismes du gouvernement sovitique, et qui visent contrler toutes les branches de la police secrte, larme, les syndicats et autres institutions. Il en va de mme dans les autres tats communistes.

    Eu gard la domination secrte du judasme dans le monde capitaliste comme dans le monde communiste, les membres de ces cellules ou groupes de pression juifs peuvent exercer un grand pouvoir, car ils font partie aussi des conseils ou organes directeurs des organisations quils ont pour tche de placer sous contrle juif. Or, tant donn que la plupart de ceux chargs de cette besogne sont des Juifs clandestins et que les autres membres, des organisations non juives quils contrlent ne connaissent pas leur judat, les gentils sont incapables de se rendre compte que leur parti politique, leur loge maonnique, leur syndicat ou autre organisme est sous la domination juive, et ils le croient dirig par leurs compatriotes parce quils ignorent que ceux quils considrent comme tels sont en fait des crypto-Juifs

    Sagissant de la franc-maonnerie, il faut se rappeler que certains de ses plus hauts dirigeants non juifs par exemple le Duc dOrlans ( Philippe galit ) et le Duc de Brunswick subodoraient et dnonaient dj lexistence dun pouvoir cach derrire les conseils maonniques suprieurs, mais quils ne pouvaient en aucun cas connatre la nature de ce mystrieux pouvoir cach. Or, il est trs difficile de lutter contre un pouvoir cach comme celui quexerce le judasme clandestin.

    Cest grce ce systme que limprialisme isralite a pu conqurir bien des nations sans que ces dernires se rendent compte quelles devenaient

  • 21

    ses colonies. Les chefs des cellules ou groupes de pression juifs obissent aveuglment aux ordres que leur donne la haute hirarchie judaque.

    Il y a lieu de bien prciser que limprialisme juif, qui sintroduit dans les nations des Goyim au moyen de ses cinquimes colonnes constitues par les communauts isralites souterraines cre parfois sur place des partis politiques et toutes sortes dorganisations financires, commerciales, religieuses et culturelles dans le but de dominer le pays en sassurant la haute main sur tous ces organismes au moyen des cellules secrtes susmentionnes, de mme quen contrlant largent des socits financires et commerciales. Pendant ce temps, les Isralites sefforcent de mettre la main sur les partis politiques et autres organisations et institutions cres par les lments goyim de la nation considre, en infiltrant des Juifs organiss en cellules directrices secrtes qui parviennent prendre progressivement la tte de chaque organisation ou institution non juive au moyen de mthodes trs efficaces et souvent peu recommandables.

    Tout au long des sicles, chaque fois quun peuple a appris que les Juifs autoriss par ses anctres sinstaller sur son territoire taient en train de mettre le pays en coupe rgle, il a naturellement ragi cela, par le biais de son gouvernement, en prenant des mesures dfensives variant selon les circonstances. Certains gouvernements ont promulgu des lois interdisant aux Juifs doccuper des charges publiques, daccder des grades militaires de commandement, dacheter des terres ou des btiments, ainsi que dexercer les moindres droits politiques. Dans dautres cas, face aux tentatives incessantes faites par les Juifs pour conqurir le pays par linfiltration ou mme la violence, certains chefs civils et religieux ont jug ncessaire dliminer la cinquime colonne de cette nation trangre en expulsant tous les Juifs. De ce fait, les Juifs se plaignent bruyamment que la plupart des peuples les aient perscuts de diffrentes manires. Ils parlent de la discrimination raciale ou religieuse ainsi que des atrocits et injustices dont ils seraient lobjet.

    Ils dpensent cette fin des sommes considrables en livres, en films, en propagande crite et tlvise, etc. Ils essaient de tromper les nations

  • 22

    en se posant en victimes de la mchancet des autres peuples ainsi que des organisations politiques et religieuses goyim , masquant de la sorte ce qui sest rellement pass au long des sicles, savoir que si les peuples en question et leurs dirigeants ont t contraints dexpulser les Juifs ou de prendre diverses mesures de rpression leur encontre, ctait pour empcher les Juifs publics ou souterrains de conqurir de lintrieur le pays sur le territoire duquel ils avaient navement permis ceux-ci de sinstaller.

    tant donn le secret absolu qui entoure les organisations juives caches et leurs activits clandestines, il est trs difficile ceux qui tudient le problme juif de tout passer en revue son sujet.

    La plupart nont mis en lumire quune petite partie de la question, dautres ont pu glaner des informations nouvelles, mais ceux dentre nous qui ont russi pntrer quelque peu les arcanes du judasme sont conscients quil reste beaucoup apprendre et claircir leur sujet et que des investigations plus approfondies simposent pour dcouvrir les mystres sur lesquels aucun gentil na obtenu de renseignements jusquici. Les Juifs ont raison de dire que le judasme est un rseau englobant plus de socits secrtes quil nen a exist dans toute lhistoire de lhumanit.

    Les Inquisitions de lglise et de certains rois catholiques furent contraintes de recourir la torture pour dcouvrir les secrets du judasme quelles ne pouvaient connatre autrement, en forant les Juifs clandestins se dnoncer entre eux et livrer les noms de leurs dirigeants cachs. Lorsque par la torture ou autres moyens efficaces un Juif clandestin rvlait ainsi des noms, on arrtait les intresss, on poursuivait lopration en les torturant leur tour, et ainsi de suite jusqu ce que lon finisse par connatre toute lorganisation juive clandestine. Ctaient les femmes qui, plus sensibles, parlaient le plus tt. LInquisition russit, par la torture galement, apprendre les secrets des organisations caches du judasme et leurs activits subversives clandestines. Cest ainsi quelle parvint mieux que quiconque pntrer les plus profonds secrets du judasme.

    Comme lont reconnu certains auteurs juifs, lInquisition aurait pu dtruire le judasme souterrain et tout le systme qui allait avec, mais quand ses geles furent pleines de Juifs clandestins, les dirigeants du

  • 23

    judasme mondial obtinrent des dcrets damnistie gnrale en sollicitant la piti du Pape ou des Rois, ou bien en les soudoyant avec de grosses sommes dargent. Ces dcrets signifiaient la remise en libert des Juifs emprisonns, mme ceux condamns mort, rduisant de la sorte nant et en un rien de temps les rudes efforts accomplis par lInquisition durant de nombreuses annes.

    En raison de cela, ainsi que dune srie dastucieuses mesures dfensives, le judasme fut sauv de la destruction, grce quoi il put prendre le contrle de maints gouvernements, voire de lglise et mme de lInquisition. Cela devait durer jusqu ce que le judasme russisse enfin dtruire lglise dans de nombreux psys, par le biais de la Rforme protestante quil y avait promue, ainsi quen affaiblissant encore les nations europennes par les volutions individualistes, librales et bourgeoises des dix-huitime, dix-neuvime et vingtime sicles, toutes conduites par des Juifs clandestins aids de leur satellite, la franc-maonnerie, au tom de la prtendue libert religieuse, de la soi-disant tolrance et du progrs de lhumanit .

    Le pouvoir que les Juifs dtiennent prsent dans le monde leur a permis de paralyser les dfenses des nations htes, et cest pourquoi nous manquons de moyens suffisants pour mettre au jour les rseaux cachs du judasme clandestin, les arcanes du peuple juif et les organisations secrtes qui uvrent la conqute du monde par des moyens aussi bien rvolutionnaires que pacifiques.

    Les Juifs se montrent hypocrites quand ils condamnent les tortures pratiques jadis par lInquisition et certains pays, car non seulement ils usent eux-mmes de torture en Union Sovitique et dans ses tat satellites, mais ils le font de manire plus cruelle et plus impitoyable que ne le faisait lInquisition ou tout pays gentil.

    Afin de dissimuler la terreur et la domination juives exerces en Union Sovitique comme dans ses tats satellites, dont la rvlation susciterait des ractions antismites dans le monde entier et compromettrait de la sorte leur conqute des autres nations, les Juifs ont consacr des ressources et une nergie considrables leur propagande

  • 24

    visant les perscutions supposes des Juifs de Russie et dautres tats communistes dEurope orientale.

    Mais nous autres, qui avons vcu sous la dictature et la terreur juives dans ces tats o les Juifs se servent de la dictature socialiste pour exploiter et rduire en servitude les non-Juifs, nous savons quil sagit l dune bruyante comdie laquelle ils se livrent devant le monde afin de parvenir au but expos prcdemment.

    Il convient toutefois dtablir une distinction entre, dune part les plaintes ridicules mises par les Juifs au sujet des perscutions quils auraient subies, dautre part les querelles bien relles entre Juifs, dun ct ceux qui dirigent lUnion Sovitique et ses tats satellites, de lautre ceux qui mus par lambition ou des dissensions intestines sopposent aux premiers. Ces querelles se sont parfois soldes, comme au temps de Staline, par un massacre dopposants juifs, mais je reviendrai plus tard sur ces conflits internes.

    Dans chaque capitale ou localit principale dune province, il est tabli un grand Kahal ou Conseil suprme de la Fdration des Kahals locaux de la province, qui est charg de coordonner les activits de ceux-ci.

    Kahal, Kehilla et Grand Kahal sont des dnominations classiques datant de lpoque des Croisades. Elles sappliquent une institution juive ou un gouvernement juif local ou provincial, mais le nom de ces organes varie en fait selon les pays. En France, par exemple, on parle de consistoires, alors que dans dautres pays, on parle de conseils locaux ou rgionaux, dnomination tout fait approprie dans la mesure o le judasme est structur depuis des sicles sur la base dune hirarchie de conseils.

    Lorganisation sovitique nest rien dautre quune copie certes de qualit infrieure de lorganisation que les Juifs ont adopte il y a bien des sicles dj. Rappelons-nous aussi que le mot Soviet signifie trs exactement Conseil .

    Les grands Kahals provinciaux sont regroups en un Conseil national secret dont le nom varie selon les pays. Dans certains, il est appel Comit isralite central, dans dautre Congrs juif ; aux tats-Unis, il a pour nom American Jewish Committee .

  • 25

    Ce conseil suprme coordonne les activits des grands Kahals rgionaux, mais il les laisse autonomes sur leurs territoires respectifs, o chacun est responsable des efforts visant conqurir la nation o il opre.

    Les organisations juives tablies dans une nation non juive et coordonnes par un Comit central sont appeles conseils ou congrs nationaux. Elles ont aussi pour nom, selon le cas, Communaut juive de France, Communaut juive dArgentine ou Communaut juive de Chine. Elles oprent en secret, linsu des profanes, dans tous les pays qui, un moment ou un autre, ont proscrit le judasme et interdit son fonctionnement. Les communauts de Juifs clandestins continuent oprer en grand secret dans le monde entier et faire semblant de pratiquer la religion dominante du pays o chacune se trouve.

    Les grands Kahals, conseils rgionaux et conseils suprmes nationaux, outre quils sont chargs de gouverner les organisations juives de leurs provinces ou rgions respectives, ont aussi le devoir de conqurir le pays sur le territoire duquel ils oprent, en y prenant le contrle des partis politiques, de la presse, des banques, des syndicats, des industriels, des professions dominantes, des universits, des organisations religieuses et des glises par le biais de la cinquime colonne juive ; mais ils ont pour principale obligation de conqurir le gouvernement central, y compris les pouvoirs excutif ; lgislatif et judiciaire.

    Pour accomplir la conqute du peuple qui la accueilli avec gn-rosit et non sans navet, le Juif se livre inlassablement toutes sortes de manuvres allant de linfiltration aux tentatives de monopoliser la direction des rvolutions et des coups dtat, quand ces oprations sim-posent. Il instrumentalise aussi les organisations, maonniques et com-munistes, les partis politiques, les syndicats et les autres associations quil contrle secrtement.

    Le plus grave, en lespce, cest que les Juifs croient sincrement accomplir l les commandements adresss par Dieu A son peuple lu, ainsi que les principes les plus sacrs du Talmud, quils pensent tre linterprtation de la volont de Dieu : Partout o les Juifs sinstallent, il

  • 26

    leur faut devenir les matres ; et tant quils nont pas la domination absolue, ils doivent se considrer comme exils et prisonniers. Quand bien mme ils domineraient de nombreuses nations, tant quils ne les domineront pas toutes, ils ne devront cesser de proclamer : Quel tourment ! Quelle indignit ! .

    Dans les nations o ils se sont introduits il y a des sicles, les juifs nont cess dentretenir un tat chronique de guerre civile : intrigues des cours royales, meutes, schismes religieux, hrsies, guerres religieuses, conspirations, rvoltes et rvolutions de toutes sortes.

    Depuis que les nations ont permis un tel cancer de se dvelopper en leur sein, elles nont pas connu un seul instant de paix intrieure, et elles ne jouiront de celle-ci que lorsquelles auront excis le terrible mal. Nous avons la certitude absolue que les peuples de la terre ne retrouveront durablement la paix intrieure que sils russissent liminer ces parasites trangers qui tentent de les dominer et de les asservir sur leur propre territoire. Toute nation a droit la lgitime dfense contre de telles agressions, ainsi que le droit de vivre en paix, labri de ces menaces et intrigues trangres.

    Le Gouvernement juif mondial, qui a toujours exist, fonctionnait dans lantiquit comme une monarchie hrditaire, le Grand Sanhdrin faisant office dorgane directeur du peuple hbreu. Lorsque les Romains, au temps de Vespasien et de Titus en lan 70 de lre chrtienne eurent dtruit ltat dIsral, les Juifs de la diaspora passrent sous la direction du Sanhdrin de Yabn. Celui-ci se transfra ensuite dans dautres villes sous la prsidence du Patriarche de Babylone (1) ; puis il passa sous la direction de l Exilarque ou Prince de lExil, qui avait la haute main sur tous les Juifs de la diaspora, sauf quelques tribus perdues comme celles de Chine et dInde, qui se gouvernaient elles-mmes aprs avoir perdu le contact avec ces centres juifs.

    1 Une distinction simpose entre la ville antique de Babylone, dtruite par les Mdes et les Perses, et cette Babylone-ci, qui tait une rgion de lempire perse habite surtout par des Juifs.

  • 27

    Une fois disparue le Patriarche, au Xe sicle de lre chrtienne, puis le Prince de lExil, au XVIIe sicle, les Communauts juives rgionales et leurs Conseils assurrent la coordination des activits juives par le biais dun Synode rabbinique continental ou universel comme celui qui se r-unit Tolde, Espagne, lpoque du Roi Pierre le Cruel et qui tait or-ganis par le Juif Samuel Ha-Levi, Grand Rabbin de Castille et Premier Ministre du Roi de Castille.

    Dintressantes archives traitant du Synodus juif universel, qui sest tenue au XIVe sicle de lre chrtienne, sont encore conservs dans lune des vieilles synagogues de Tolde.

    Beaucoup de chercheurs enqutant sur limprialisme juif souponnent nanmoins que le Sanhdrin a continu doprer en secret, car, lorsquen 1808, lempereur franais Napolon Bonaparte approcha les Juifs pour ngocier directement avec leur gouvernement mondial, le Sanhdrin. Cet organisme sorti de la clandestinit pour sduire Napolon afin de gagner des avantages pour les Juifs vivant dans son Empire. (1)

    Cet organisme est sorti de la clandestinit pour plaire Napolon afin de gagner des avantages pour les Juifs vivant dans lEmpire de Napolon. lheure actuelle, en plus de ces synodes ou congrs universels, qui se runissent assez souvent avec des reprsentants des communauts juives de toutes les parties du monde, il semble exister un organe permanent la tte du judasme international. Il sagit du Congrs Juif Mondial , dont le sige est New York. Mais dans la mesure o ses membres ne reprsentent quune partie des communauts juives du monde et o il exclut ouvertement les autres, cet organisme mondial ne constitue lvidence quun lment du gouvernement mondial du peuple isralite, les autres tant tenus secrets.1 Quelque immense et absolu que soit son pouvoir, lEmpereur a com-pris que, pour transformer un peuple tenace et immobilis comme le sont les descendants dAbraham, il aboutira limpuissance sil sen tient uniquement lemploi de forces modernes. Arm dun coup dil sr, il en appelle galement aux forces juives elles-mmes. Aidez-vous , dit-il ceux quil veut rgnrer, et Napolon vous aidera . Voil pourquoi il convoquait successivement deux sortes dAssembles. Abb Joseph Lemann, Napolon et les juifs ; p. 19 - 1891.

  • 28

    Certains chercheurs ayant tudi le problme juif ont dclar que le Sanhdrin oprait dans la clandestinit sous la conduite de son Patriarche, et lon a mme laiss entendre que cette fonction avait t occupe par Bernard Baruch, un Juif amricain. Baruch fut lminence grise de plusieurs prsidents des tats-Unis : Woodrow Wilson, Frank Delano Roosevelt, Truman, Eisenhower et Kennedy ; mais nous navons pas la preuve quil et t Patriarche. Ce qui est vident, en revanche, cest quil fut la locomotive du judasme international, bien quil ne possdt pas le titre en question. Les grands honneurs quil reut des Juifs du monde entier, y compris les Juifs sovitiques, semblent le confirmer. Le Juif Nikita Salomon Khrouchtchev (Nikita Solomon Khrouchtchev Kruschev), alors dictateur de lUnion Sovitique, na-t-il pas dclar la presse mondiale que M. Bernard Baruch tait le citoyen amricain le plus apprci en Union Sovitique ?

    Toute cette structure communauts urbaines, conseils locaux ou Kehillas, fdrations rgionales de communauts juives de diffrents rites, avec leurs grands Kahals ou conseils rgionaux, fdrations ou confdrations de grands Kahals coiffes par les Conseils suprmes du judasme de chaque pays, Congrs Juif Mondial et Synode secret universel, ces deux dernires institutions coordonnant et dirigeant tous les organismes susmentionns constitue une organisation universelle du peuple juif fonde sur le Jus Sanguinis , et non pas sur le Jus Solis , car la seule exception du minuscule tat dIsral et dun autre tat que lUnion Sovitique a attribu aux Juifs la Rpublique du Birobidjan, la nation juive est dnue de territoire et se rpartit entre ceux des autres peuples.

    Lorganisation du peuple juif correspond celle des peuples gentils, puisquelle repose sur des gouvernements locaux, sur des provinces ou tats autonomes dots chacun de son gouvernement, ainsi que sur ltat national dot de son gouvernement suprme.

    Mais au-dessus de cette infrastructure, il y a une superstructure secrte fonde sur des degrs dinitiation et au sein de laquelle ne sont invits entrer que ceux jugs dignes de connatre les grands secrets du

  • 29

    judasme. Cette superstructure se compose de socits secrtes internes au judasme, telles que le Bnai Brith, qui contrlent linsu des gentils tout le mcanisme de linfrastructure susmentionne. Ce sont de telles sectes caches qui gouvernent vraiment le judasme moderne.

    Ce mode dorganisation du judasme est en place depuis lpoque du Christ, o en plus de lorganisation nationale du peuple hbreu il existait des socits secrtes comme celles des Pharisiens, des Sadducens et des Essniens, qui se disputaient la domination dIsral.

    Isral, le peuple lu, est une entit beaucoup plus complexe que ne le supposent ceux qui nont pas tudi la question en profondeur. Cest pourquoi un grand danger surgit lorsque les dirigeants civils ou ecclsiastiques, soumis aux pressions de ce peuple et tromps par ses agents infiltrs dans les institutions chrtiennes, adoptent des dispositions favorables aux Juifs sans avoir bien examin le problme. Avant de prendre toute dcision en la matire, il serait donc sage de procder un tel examen pour viter le risque de conclure des accords potentiellement nocifs, voire tragiques pour lglise et lhumanit tout entire.

    Pour conclure la description de lorganisation juive, force est lajouter quen dehors de lorganisation nationale proprement dite, il existe des divergences dordre religieux qui, en dautres lumps, ont provoqu des luttes intestines au sein du peuple juif, comme par exemple les dissensions entre Karates et Talmudistes, ou encore entre Orthodoxes et Rformateurs.

    Pour empcher ces divergences et conflits religieux daffaiblir le judasme, un Synode ou Congrs universel fut convoqu Berlin en 1889. Les ngociations ardues qui eurent lieu alors entre les parties antagonistes dbouchrent sur un accord tendant ltablissement dun rgime de libert religieuse au sein du judasme mondial. Cet accord consistait autoriser diffrentes manires de concevoir la religion dIsral, tout en faisant une place toutes les factions juives au sein des gouvernements juifs locaux, rgionaux, nationaux ou internationaux.

    Cest ainsi que malgr lantagonisme entre ses diffrentes factions le judasme mondial parvient conserver son unit grce

  • 30

    au mode de gouvernement en question, dans le cadre duquel les Kahals sont devenus de vritables parlements reprsentatifs de toutes les factions religieuses et politiques. Les Juifs y vident leurs querelles et sy livrent leurs controverses, et ils prsentent un front uni contre ce quils appellent leurs ennemis goyim, savoir tous les autres peuples de la terre, auxquels le judasme a dclar la guerre il y a bien des sicles et contre lesquels il est en tat de guerre permanent une guerre de conqute larve dans laquelle, la plupart du temps, les victimes de lagression juive ne voient mme pas cet ennemi secret qui leur a dclar la guerre, les exploite sans piti et sefforce de les conqurir et de les asservir, conformment ce quordonnent le Talmud et les interprtations juives de la Bible.

    Les juifs sont certes diviss selon leurs diffrentes obdiences religieuses, mais quils soient : orthodoxes, conservateurs, rformateurs, libraux, karates ou membres de sectes mineures, il nen sont pas moins unis dans leur nationalisme et leur imprialisme fanatiques, au grand dam des autres nations.

    Mme les isralites devenus athes et matrialistes sont maintenus dans la nationalit juive, leurs convictions tant respectes tant quils se soumettent absolument aux rsolutions politiques et conomiques des conseils locaux et rgionaux et des plus hautes autorits du judasme.

    Il faut savoir que les Juifs matrialistes et athes, trs minoritaires, diffrent des non-croyants issus dautres religions en ce quils ne cherchent pas faire de proslytisme pour leur faon de penser auprs des isralites religieux, trs majoritaires, car ils continuent soutenir les idaux imprialistes de leur peuple et veillent ce que la religion dIsral apporte un soutien fanatique ces idaux. Cest pourquoi, dans lintrt de leurs desseins nationalistes, ils sabstiennent de pousser dautres Juifs lincrdulit. Ces juifs minoritaires agnostiques, voire souvent athes prennent part la vie de leurs communauts et aux activits des divers conseils, et nul ne leur reproche leur scepticisme en matire religieuse.

    Il est cependant incontestable que les isralites religieux se montrent les plus fanatiques dans la conduite des activits imprialistes du peuple juif, car chez eux, lactivisme est exacerb par leur foi religieuse, qui leur

  • 31

    procure un motif plus puissant que le simple nationalisme dont ils sont aussi compltement imprgns.

    Les Juifs sont donc une nation rpandue et infiltre au sein des autres nations du monde. Dans la nation juive comme dans beaucoup dautres nations modernes, il existe une libert de culte, mais cette libert sarrte la diversit des obdiences de la seule religion juive. Autrement dit, le Juif ne peut tre un chrtien, un musulman ou un bouddhiste sincre, ni un vritable fidle de toute autre religion que le judasme. En revanche, il peut pratiquer celui-ci dans le style karate, selon lequel la Bible est lunique source de rvlation divine, dans le style orthodoxe, dans le style rformiste, ou encore la manire de toute autre secte existante. Ces sectes rivalisaient entre elles sur le plan politique durement parfois jusqu la fin du dix-neuvime sicle, o le Synode ou Congrs universel de Berlin a ralis une synthse de lunit et de la diversit en tablissant la libert de croyance et de religion dans les limites mentionnes ci-dessus.

    Malgr cela, il arrive encore souvent que des rivalits dorigine plus ou moins politique apparaissent entre les diffrentes obdiences et branches religieuses de la diaspora juive. La plupart sont tues par les organisations juives et leurs gouvernements parlementaires secrets, surtout lorsquune solution amiable leur a t trouve au moyen de compromis et de transactions. Mais la lutte peut devenir froce au point de filtrer travers le mur de silence construit par Isral et de parvenir la connaissance du monde extrieur, o les goyim assistent alors sans le comprendre au spectacle du Juif attaquant le Juif. Cela dure jusqu ce que la sage institution tablie par le judasme pour rgler ce genre de querelle parvienne un accord aprs des mois ou mme des annes de tractations diplomatiques, comme cela sest produit avec le schisme qui a dchir le judasme lpoque de Staline et qua rgl avec laide dautres ngociateurs le Juif Salomon Pearlmutter, dictateur de lUnion Sovitique plus connu sous son nom russe de Nikita Khrouchtchev. (1)

    1 Nikolaus Salomon Khrouchtchev, le chef du parti communiste sovitique 1963, tait un membre du Bureau politique depuis 1939, et tait le frre de Ma-

  • 32

    Nikita Khrouchtchev a rtabli laxe secret qui reliait limprialisme juif des tats-Unis limprialisme social de lUnion Sovitique et qui avait t mis en place secrtement pour lexploitation et la domination de toute lespce humaine. cette fin, Krouchtchev a naturellement libr tous les Juifs emprisonns sur lordre de Staline, y compris les mdecins qui avaient tent dempoisonner celui-ci ; il sest mme retourn contre la mmoire de son ancien mentor et patron Staline en le privant de lhonneur posthume davoir t lun des quatre fondateurs du communisme avec Marx, Engels et Lnine ; enfin, il a entrepris de dstaliniser lUnion Sovitique et ses tats satellites seule fin de plaire aux dirigeants juifs mondiaux de New York et de runifier le judasme mondial, provisoirement divis par la rvolte de Staline et de ses partisans contre lunivers secret du judasme (1).

    dame Malenkov, cest dire de la dynastie hbreu Pearlmutter. Khrouchtchev tait un hbreu, et son vrai nom tait Pearlmutter. Lpouse de Malenkov : La femme actuelle de Malenkov est la juive Pearlmutter, connu sous le nom Comrade Schans chuschne , qui a t ministre (commis-saire) pour lindustrie de la pche dans le gouvernement sovitique en 1938. Si Malenkov navait pas t un Juif, il est extrmement peu probable quil aurait pous une juive, et celle-ci laurait pas non plus pouser.1 Ce que javance dans ce chapitre repose non seulement sur mes informations personnelles, mais aussi sur les travaux autoriss de deux auteurs juifs :

    I. Local and World Jewish Brotherhoods (fraternits juives locales et mondiales), par le Juif russe Jacob Alexandrovitch Brafman, qui fut assassin pour avoir rvl les secrets du judasme. ditions russes en russe et franais Saint-Ptersbourg 1880 et Odessa 1885.

    II. Kniga Kagala ou The Book of Kahal (le livre de Kahal), du mme auteur juif russe. Plusieurs ditions russes au dix-neuvime sicle. Une dition russe dOdessa en franais et ldition allemande au vingtime sicle des ditions Hammer Verlag de Leipzig, 1928.

    III. Jewish Traditions and Customs (traditions et coutumes juives), par lcrivain isralite Erna C. Schlesinger. Israel Publishing House of Buenos Aires, 2me dition, 1946.

  • 33

    chapitre iii

    Les proslytes de la porte

    Avant la venue du Christ, les Juifs avaient dj fix les rgles dadmission des proslytes de la Porte . En matire de proslytisme, les Juifs foncirement racistes avaient rsoudre un grave problme : dune part, leur interprtation fausse et raciste des Saintes critures reprsentait leurs yeux un empchement rdhibitoire de convertir les gentils leur religion, car selon eux, le pacte dAbraham navait t conclu par Dieu quavec le Patriarche et les descendants de son sang, considrs comme le peuple lu de Dieu. Dans ces conditions, lentre dans le judasme ou, comme disent les Juifs, ladmission au pacte dAbraham ntait accessible qu ceux qui descendaient dAbraham par le sang, car Dieu en avait dcid ainsi. La vritable religion des Hbreux tait donc lapanage du peuple lu de Dieu.

    En revanche, plusieurs passages de la Bible parlent de la conversion des gentils la religion du Dieu dIsral, et les Hbreux voyaient un in-trt contrler ainsi les peuples quils sefforaient de dominer. Pour les Juifs racistes et imprialistes, il y avait l, en tout tat de cause, de srieuses difficults dordre Rhologique, quils cherchrent rsoudre en crant linstitution des proslytes de la Porte, car ils reconnaissaient que le pacte dAbraham tait valide uniquement pour ceux du sang dAbra-ham cet que seuls les membres et descendants du peuple lu pouvaient tre admis au judasme authentique. Ainsi fut cre une organisation spciale de gentils convertis la religion juive, qui, acceptaient le mono-thisme et lessentiel du mosasme et qui, placs sous le contrle troit des

  • 34

    vrais isralites (ceux de sang juif ), taient maintenus dans lignorance des secrets entourant les vritables organisations juives.

    Les vrais Juifs soumettaient ces proslytes une discrimination tellement criante quils ne les autorisaient mme pas entrer dans le Temple et que les malheureux devaient rester la porte de ce dernier (1), car seuls les descendants dAbraham selon le sang taient autoriss y pntrer. Cest pourquoi on les appelait proslytes de la Porte : ils pouvaient assister au culte divin depuis la porte dentre du Temple, mais non pas lintrieur, et lon comprend que quelques-uns dentre eux seulement aient pu tolrer sans rsistance une telle humiliation.

    Aprs la destruction du Temple de Jrusalem et de ltat juif par les Romains, le peuple isralite dispers dans le monde dispersion que les Juifs appellent diaspora cessa dobserver une politique constante ou uniforme. Il y eut donc des temps et des lieux o il abandonna la pratique consistant recruter des proslytes de cette nature. Mais il y eut aussi des poques et des circonstances dans lesquelles se fit sentir la ncessit de remettre cette institution en honneur. Ainsi, lorsque les progrs gigantesques du christianisme (qui tenait sa force de son proslytisme) firent peser un danger sur les rves judaques de domination mondiale, les Juifs jugrent possible de contrer le christianisme en ressuscitant le proslytisme de la Porte, mais avec un discernement plus subtil, cette fois, car ils comprirent que la pratique humiliante consistant cantonner les proslytes la porte des synagogues empcherait le judasme den recruter davantage pour laider dans sa lutte contre le christianisme.

    Ils trouvrent donc un moyen astucieux de maintenir les proslytes la porte du judasme sans leur permettre dy entrer et den apprendre les vritables secrets : ils crrent une organisation priphrique dote de synagogues et de communauts spcialement conues pour les proslytes de la Porte, mais ces institutions nouvelles navaient rien de vraiment judaque, si ce nest leurs noms ainsi que quelques rituels, ftes, crmonies et manifestations. Ainsi le pacte dAbraham au sens le plus raciste de

    1 Sauf le jour o ils embrassaient la religion dIsral et o ils taient censs y offrir un sacrifice. (Sifre 108 et Ker 9me).

  • 35

    lexpression demeura-t-il lapanage du peuple lu ; en mme temps, on sassurait le contrle de ces gentils en les amenant croire quils taient de vrais Juifs, afin de pouvoir solliciter leurs convictions et leur fanatisme, ce qui faisait deux des instruments aveugles de la Synagogue.

    Depuis Constantin, la lgislation catholique et ecclsiastique a pour but de prvenir le proslytisme, ce quoi le Saint Office na cess de semployer ensuite. Il convient cependant de souligner que, comme nous lavons dit, le proslytisme de la Porte na pas t un phnomne permanent ou gnralis aprs la destruction du Temple, parce que la plupart des convertis au judasme contre lesquels devait lutter lglise taient des descendants chrtiens de Juifs qui pratiquaient le judasme en cachette. Durant leur enfance, ces individus avaient t baptiss et duqus dans le christianisme (car les enfants ne savent pas garder des secrets), mais une fois quils avaient atteint un ge suffisant, leurs parents les initiaient secrtement au pacte dAbraham, et ils recevaient la lumire de Mose. La lumire des francs-maons nest du reste rien dautre quune ide judaque que les Juifs ont adapte leur golem : la franc-maonnerie.

    Ce qui venait parfois compliquer le problme des proslytes de la Porte, ctait lapparition dune tribu de gentils qui, sduits par les dehors du monothisme juif, se convertissaient spontanment A la religion mosaque sans que personne le leur ait demand. On trouve un parfait exemple de cette situation avec le royaume des Khazars, ces paens dont le roi avait converti tout son peuple un judasme sui generis et qui se gouvernaient leur propre manire, ne connaissant de la religion du peuple lu que ce quils avaient pu en apprendre.

    Les auteurs isralites rvlent qu la cour du Calife de Cordoue Abd-er-Rahmane III, le Juif Abou Joseph Aben Hasda avait gagn la confiance du souverain grce ses aptitudes mdicales, au point daccder une trs haute position au sein du gouvernement (1). Lorsque Aben Hasda apprit lexistence dun royaume juif ayant sa tte un monarque

    1 Historia social, politica y religiosa de los judios de Espaa y Portugal , Madrid, Fortanet, 1875-76, tome 1. Aben Hasa devint mme le vritable dirigeant du califat.

  • 36

    hbreu, il en fut si enthousiasm quusant de tous les moyens possibles, il fit parvenir une lettre Joseph, roi des Khazars, qui rpondit en lui donnant une information dsolante : son peuple, initialement paen, stait en fait converti au judasme. Cela causa un immense chagrin Aben Hasda et aux autres Juifs, qui avaient cru voir dans le peuple en question lune des tribus perdues dIsral.

    Bien quils eussent t chasss de leurs terres par Sviatoslav, prince russe de Kiev, les Khazars restrent loyaux la religion adopte et se rpandirent en Ukraine comme dans les rgions voisines, mais ils subirent une discrimination systmatique de la part des Juifs, qui ne voulurent jamais les reconnatre comme tant vraiment des leurs parce quils navaient pas de sang juif dans les veines ; en dfinitive, ils furent admis simplement comme proslytes de la Porte.

    Aux XIXe et XXe sicles, le proslytisme de la Porte sest dvelopp dans les tats o, pour des raisons particulires, le judasme jugeait opportun de lencourager en vue de faciliter leur conqute. Cest ainsi quon la vu prosprer aux tats-Unis depuis le dix-neuvime sicle. Lors dune confrence rabbinique organise Philadelphie en 1869, les participants admirent quaux USA, le judasme avait une occasion en or de sattirer des convertis en se bornant supprimer lobstacle de la circoncision, et il jeta les bases dune organisation des proslytes afin de renforcer sa domination du pays.

    Sagissant du racisme et du proslytisme judaques, on doit tablir une distinction entre deux types de littrature dorigine juive, de mme quil faut faire montre de discernement avec tout ce qui touche au judasme. La premire littrature est lusage des chrtiens et des gentils en gnral et ne sert que de moyen de propagande pour susciter la sympathie de tous envers le judasme. Elle prsente le judasme non pas tel quil est en ralit, mais seulement comme les Juifs veulent que les chrtiens et autres gentils le peroivent, en exposant des problmes dissocis de la ralit, en taisant tout ce qui risque de rvler limprialisme politique, le racisme forcen et le fanatisme religieux en lesquels il faut voir lessence mme du judasme moderne. Les auteurs de ces ouvrages veillent soigneusement luder

  • 37

    toute question dangereuse risquant de provoquer des ractions antijuives naturelles. Les encyclopdies juives font partie de ce genre de littrature ; bien quelles abordent certaines questions avec une relative clart, elles sont toujours conues pour masquer la vrit pure sous des dehors visant dsorienter les chrtiens et autres gentils sans dsorienter pour autant le lecteur juif, qui est habitu ces astuces et sait lire entre les lignes.

    Toutefois, il arrive souvent aux auteurs en question de commettre dimportantes indiscrtions en rvlant des secrets quils se sont efforcs de couvrir dans dautres passages de leur mme ouvrage.

    En revanche, la littrature rserve aux lecteurs juifs sexprime avec plus de clart, et son contenu est plus vridique. En crivant le prsent ouvrage, nous avons eu la chance daccder quelques-uns de ses plus prcieux lments.

    Pour en revenir au proslytisme, il nous faut signaler que selon une critique adresse au judasme par les auteurs dits antismites que lon ferait mieux dappeler dfenseurs de lhumanit les Juifs sont un peuple religieux tellement exclusif quils doivent tre tenus pour racistes. La littrature juive destine la propagande, y compris les encyclopdies, a pour objet de dsorienter les lecteurs gentils, et notamment chrtiens au sujet de cette question prtant controverse, mais il arrive mme au pire menteur de dire la vrit pour peu quelle lui chappe. Ainsi, aprs avoir longuement trait du proslytisme tout en essayant den masquer le sens, l Encyclopdie juive castillane se livre cette confession fort rvlatrice : En pratique, la position du proslyte tait loin dtre identique celle de lisralite de naissance. La classe des proslytes fut ajoute la classification traditionnelle des Cohanites (prtres), Lvites et Isralites (Tos. Kid. 6.1) de telle sorte que dans lordre de prsance, certaines numrations rab-biniques les relguent mme aprs les btards et les netinim, ou esclaves du Temple (Hor. 13a) (1). tant donn la situation terrible des femmes adultres et des btards dans le judasme, un tel aveu illustre abondam-ment lhumiliation et la discrimination subies par les proslytes, jugs infrieurs aux btards (ou enfants adultrins) et mme aux esclaves.

    1 Encyclopdie juive castillane , tome 8. Entre : Proslyte.

  • 38

    Concernant la rpugnance des Juifs susciter de vrais proslytes, le Christ, autorit suprme des chrtiens, en a laiss un tmoignage indiscutable lorsquil a accus les dirigeants juifs de son temps en leur disant : Malheur vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous courez les mers et la terre pour faire un proslyte, et, quand il lest devenu, vous faites de lui un fils de la ghenne, deux fois plus que vous ! (1)

    Mais pour connatre la situation vritable des proslytes dans le ju-dasme moderne, il faut consulter le Talmud, ce livre secret qui fait si hautement autorit parmi les isralites (2).

    cet gard, le Talmud tablit la rgle suivante dans deux de ses principaux traits : Ne faites pas confiance un proslyte, mme la vingt-quatrime gnration (3). Cette rgle est considrer comme dfinitive, car le Talmud a aux yeux des Juifs lautorit de la vrit rvle par Dieu et ne saurait donc tre modifi par les hommes.

    On est donc un opportuniste naf cdant une pure illusion lorsquon se convertit au judasme et quon entre dans les communauts et synagogues des proslytes de la Porte, dsormais appels Juifs spirituels , car ces institutions sont cres dans des pays o les Juifs de sang, les vrais Juifs, jugent profitable dlargir le cercle de leurs instruments aveugles et inconditionnels afin dasseoir leur conqute des pays en question, comme ils lont fait aux tats-Unis, par exemple.

    Les descendants de ces gogos pourront bien attendre 600 ou 700 ans, soit largement aprs leur vingt-quatrime gnration, aucun deux ne sera jamais autoris pntrer dans la v raie synagogue. Ils sont les parias du judasme, et leur organisation infrieure celles des Juifs de sang peut se comparer la franc-maonnerie et aux autres socits secrtes bourgeoises, ou encore aux partis communistes la botte de Moscou, en ce quelle sert uniquement recruter des animaux goy comme instruments des plans rvolutionnaires et imprialistes du judasme.

    1 vangile selon saint Matthieu, Chapitre 23, Verset 15.2 Sauf aux yeux des Karates, cette petite minorit qui ne croit quen la Bible.3 Talmud de Babylone . Trait Sanhdrin 106a et trait Niddah 61a.

  • 39

    La seule diffrence avec ces organisations, cest que les proslytes qui se prennent pour de vrais Juifs sont victimes dune tromperie encore plus grande, parce que se croyant recruts dans les vritables organisations de la synagogue, ils nen sont que mieux manipuls par celle-ci.

    Lun de ces proslytes qui voulaient apprendre les secrets du judasme en a t vivement chaud. Nous voulons parler du clbre Franais Aim Pallire, qui aimait et admirait tant la religion dIsral quil devint un apostat du christianisme et ne cessa de solliciter son admission la synagogue.

    Dmontrant son attachement sa nouvelle religion, il se livra un activisme forcen en faveur du sionisme et publia des crits la gloire de la cause juive, ce en quoi il fit preuve dune ferveur et dune loyaut dignes dun meilleur combat. Mais lorsquil remarqua que certaines choses restaient dissimules en coulisses et quil voulut se renseigner sur lorganisation relle de la synagogue, il fut brutalement dsillusionn par ses nouveaux frres, qui lui firent comprendre qu il navait pas de sang juif et que le judasme est une question de sang . Cet admirateur de la religion juive en fut cruellement du et lcrivit dans un livre intitul Le Sanctuaire Inconnu .

    Mais dans le numro du 1er juin 1928 du journal franais Jeunesse Juive ( Jewish Youte), lisralite Simon Goldberg tint ces propos terribles ladresse de lancien catholique converti au judasme : M. Pallire, vous ntes pas juif, le peuple juif a des traits physiques et psychiques qui ne peuvent sacqurir [...] Aucun de vos anctres ne vous a transmis le sang de notre peuple [...] Ne devenez pas haineux, et poursuivez votre chemin. Restez simplement dans lombre dun sanctuaire inconnu de vous. (1)

    Voil donc quelle est la triste situation des proslytes de la Porte, appels aujourdhui Juifs spirituels , cest--dire ces individus qui veulent devenir juifs bien quils naient aucun sang juif dans leurs veines. Ils sont cantonns dans lombre dun sanctuaire inconnu deux et ne servent que dinstruments aveugles.

    1 Le Sanctuaire Inconnu , par Aim Panire, auteur franais, proslyte de la Porte juif ou Juif spirituel. On trouvera des informations complmentaires ce sujet dans le journal juif franais Jeunesse Juive du 1er juin 1928.

  • 40

    chapitre iv

    Existe-t-il une race juive ?

    Les cercles juifs secrets o le sang pur est requis constituent une sorte daristocratie dIsral qui opre de faon cache au sein du judasme, de sorte que les Juifs dascendance impure et les plbiens ne se sentent ni offenss, ni victimes de discrimination. Appartiennent ces milieux les familles o lon veille soigneusement sur son arbre gnalogique, lequel remonte aux rois dIsral et autres personnages bibliques. La division entre Juifs de sang pur et Juifs de sang ml cest--dire ayant dans leur ascendance des porcs goyim apparat dans certaines communauts isralites, mais faute de preuves, je ne puis ni affirmer ni dmentir quelle corresponde une rgle gnrale du judasme.

    Les plus minentes de ces lignes aristocratiques sont celles qui prtendent remonter directement au Roi David. Leurs arbres gnalogiques sont soigneusement conservs par la synagogue, car on suppose que le Messie appel conqurir lunivers en sera le fruit ultime. Selon le judasme orthodoxe, ce Messie tablira dfinitivement la domination dIsral sur le monde entier. Le judasme rformiste et les autres milieux juifs pensent, eux, que le Messie est un simple symbole et quil nest autre que le peuple juif lui-mme, qui, par ses propres efforts et avec laide de Dieu, oprera la conqute en question.

    Il existe dautres lignes aristocratiques de premier plan : les Cohanim et les Lvites, qui descendent directement de lantique caste

  • 41

    sacerdotale. Force est cependant dajouter que beaucoup de juifs ont tent de falsifier leur arbre gnalogique pour confrer leur nom une fausse ascendance. Ils peuvent tromper ainsi les gentils et les Juifs plbiens, mais non les initis qui dirigent la synagogue ces milieux trs secrets o lon ne tolre pas que le sang juif soit souill par le moindre apport allogne.

    Le mlange disralites avec dautres peuples a abouti des mariages mixtes considrs comme une menace mortelle pour le judasme par des autorits juives aussi minentes que le rabbin David Kirshenbaum, membre de la Bnai Moses Bem Jehuda Congregation de London (Ontario, Canada), qui, dans son intressant ouvrage intitul Mixed Marriage and the Jewish Future (les mariages mixtes et lavenir des Juifs), dit aux parents quen pratiquant scrupuleusement les crmonies et rites religieux familiaux, ils font prouver leurs enfants une aversion natu-relle pour les mariages mixtes, prservant ainsi lintgrit et la vigueur du peuple juif. Cela fait peser sur les parents la responsabilit du cancer que constitue le mariage mixte, car sils consentent ce dernier, ils n-gligent laccomplissement du rituel familial et attirent sur eux les foudres du ciel quand leur enfant pouse un gentil, et notamment un chrtien. Il nest alors plus temps pour eux daller se plaindre au rabbin de lhorrible trahison que leur enfant a lintention de commettre, car tout ce que le rabbin peut faire dans un tel cas, cest leur dire que la vritable cause du comportement de lenfant tient leur ngligence et leur mpris de la vie de famille strictement juive (1). La Bible et le Talmud soulignent que dans le judasme, le mariage dun isralite et dun gentil est prohib, sauf dans les cas o il a pour but de donner aux Juifs un accs des positions importantes dordre politique, conomique ou social.

    Mais le croisement racial avec tous les autres peuples du monde, qui a bien eu lieu en dpit de cet interdit, a rendu les Juifs gntiquement similaires aux populations autochtones, et il est donc apparu au fil des millnaires autant de types juifs locaux distincts que de peuples

    1 Rabbi David Kirschenbaum, Mixed Marriage and the Jewish Future , Bloch Publishing Co., editions. The Jewish Book Concern, New York, anne juive 5718, anne chrtienne 1958.

  • 42

    autochtones. Cest ainsi quil se trouve des Juifs blancs, blonds, bruns, mongolodes, noirs, etc., selon les pays o ils vivent depuis 500 ans, 1 000 ans, 2 000 ans et davantage.

    Dinnombrables commerants ou aventuriers juifs clibataires ont accompli de trs longs voyages et, ne trouvant pas de femmes juives, ont d pouser des femmes du pays o ils staient installs. De mme, en raison des checs et des dfaites quils nont cess dessuyer durant des milliers dannes de guerres, de rvoltes et de conspirations, les Juifs ont t contraints fuir leurs vainqueurs gentils et se disperser entre de lointains pays, o faute de coreligionnaires ; il leur fallait pouser sur place des non-Juives.

    Les enfants ns de ces unions taient initis au judasme par leur pre et admis dans le pacte dAbraham, mais afin dviter les mariages entre frre et sur, titre exceptionnel et pour une raison de force majeure, ces sang-ml avaient lautorisation de prendre des conjoints de souche autochtone, de sorte que les petits-enfants du couple mixte initial quoique initis au judasme avaient en eux plus de sang et de traits physiques autochtones que leurs anctres juifs. Selon la loi isralite, la transmission du judasme ne peut se faire que par la mre, mais les cas susmentionns, quvoquent les historiens juifs, prouvent que pendant des sicles, il sest pratiqu des exceptions la rgle initiale, ce qui se fait encore de nos jours.

    Ainsi se sont formes les communauts juives des rgions recules dAsie, dAfrique, dOcanie, ou encore dAmrique latine (espagnole et portugaise), o les marranos (marranes) dorigine espagnole ou portugaise ; qui taient publiquement catholiques, mais pratiquaient le judasme en secret et avaient t dmasqus par lInquisition avaient d fuir dans les montagnes pour chapper au bcher.

    En ces endroits loigns de tout, o ils ne trouvaient aucun outre marrane, les fugitifs durent se rsoudre pouser des Indiens, comme leurs coreligionnaires de Californie furent contraints de le faire en Patagonie. Cest pourquoi lon trouve dans les pays dAmrique latine des communauts que les isralites appellent Indiens juifs . Ceux-ci pratiquent ouvertement le catholicisme, mais exercrent une influence

  • 43

    dcisive dans les rvolutions maonniques des XIXe et XXe sicles. Le plus souvent, ils furent lorigine de ltat de guerre civile que lAmrique latine na presque jamais cess de subir depuis son indpendance.

    Il convient toutefois de souligner quun grand nombre des communauts marranes de Juifs clandestins qui existent en Amrique hispanique et au Brsil descendent des crypto-Juifs qui ont chapp aux perscutions inquisitoriales et ont russi se garder de tout mlange avec la population autochtone. Ils prsentent le type juif classique, qui va du blanc et du blond au brun des marranes espagnols et portugais actuels.

    LEncyclopdie juive castillane indique que dans la formation des types juifs trs diffrents observs partout sur la plante, dautres causes importantes ont t lorigine du mtissage. Toutefois, le produit final ne dpend pas uniquement de facteurs gntiques. Les traits physiques et anthropologiques sont tributaires aussi du climat et de bien dautres facteurs. (1). Cela explique peut-tre pourquoi jusque dans les familles qui se vantent dtre de sang juif pur, il a pu se former au cours des millnaires diffrents types similaires ceux des races qui leur avaient accord lhospitalit, bien que certains aspects distinctifs de ce que les isralites appellent le type racial juif soient mieux conservs ; ce type apparat dailleurs souvent chez des Juifs de sang pourtant ml.

    Les auteurs juifs divergent quant savoir sil existe ou non une race juive, selon que leur point de vue est plutt politique ou plutt scienti-fique (2). Ceux qui tudient le problme sous langle purement scientifique doutent quon puisse parler dune race juive, quand ils ne le nient pas car-rment ; ils invoquent pour cela lexistence des diffrents groupes raciaux composant le peuple juif dissmin travers le monde. Nous tenons ce-pendant prciser que dans les ouvrages dauteurs isralites quil nous a t donn de consulter, le point de vue politique prvaut, comme cest souvent le cas chez les dirigeants du judasme, qui mprisent la ralit scientifique et tentent de communiquer aux communauts juives lamour 1 Encyclopdie juive castillane , tome 9. Entre : Race.2 Dans les encyclopdies juives publies de nos jours, cest le point de vue scientifique qui prvaut.

  • 44

    de la race et la loyaut envers elle, ainsi que la croyance en la supriorit des Juifs sur les autres races, crant de la sorte un racisme imprialiste fond sur la thologie.

    Les hauts initis de la Kabbale juive transposent le racisme thologique en un racisme panthiste et difient la race juive. Ils portent des hauteurs incroyables leurs illusions paranoaques de grandeur, et ils ont fanatis tout le peuple juif comme ses classes dirigeantes, au point de leur confrer une nergie et une persvrance surprenantes dans la lutte millnaire quils livrent pour la domination du monde.

    Afin de complter les preuves dj fournies aux chapitres prcdents, nous citons intgralement ci-aprs ce quun Cohanim a dit ce sujet. tant un Cohanim, il tait admis dans les cercles les plus secrets des hauts initis de pur sang judaque. Il sagit de Kadmi Cohen, auteur prestigieux faisant autorit dans les milieux juifs, qui a crit ceci dans son fameux ouvrage intitul Nomades : Dans lavenir de la race comme dans le caractre smitique, il y a une fermet et une immortalit surprenantes. Cette fermet sexplique-t-elle par labsence de mariages mixtes ? Mais o peut-on trouver la cause de cette mfiance vis--vis des hommes ou des femmes qui ne sont pas de la race ? Pourquoi cette ngation permanente ? [...] Comme les consonances de leur langue, les Smites ds la premire apparition de leur race semblent prsenter un caractre nettemen