avesnois news n° 178
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Journal d'informations localesTRANSCRIPT
AVESNOIS NEWSLe journal de l’Avesnois déchaîné
NOV. 2012
N° 178
C’est fait depuis quelquesjours, Barak Obama a étéréélu président des Etats-Unis après une fin de cam-pagne assez mouvementéequi n’était pas due à la poli-tique, mais à un phénomènenaturel : l’ouragan qui a tou-ché de plein fouet la ville deNew-York et ses environs.Ce fut, à notre avis, une élec-tion sans surprise. Tout lemonde s’attendait, et notam-ment sur notre «vieux conti-
nent« à ce résultat.Un président noir qui va entamer son deuxième et der-nier mandat. Qui aurait pu imaginer cela, il y a seule-ment une vingtaine d’années ? Dans ce pays où l’on aeu recours à l’esclavage durant des lustres. Dans lepays de Martin Luther King, leader noir assassiné.Dans le pays d’Angela Davis. Dans le pays du Ku-Klux-Clan dont les membres n’ont pas encore raccrochéleurs cagoules au porte-manteau. La première électionde Barak Obama a été un véritable «pied de nez« àtoute une faune raciste qui regrette l’époque où cer-tains endroits, certaines places de bus étaient inter-dites aux «nègres«. Mais cela a-t-il disparu partoutdans ce vaste pays ?Nous savons qu’Avesnois News ne sera pas lu à laMaison Blanche (nous avons toutefois qu’il est lu dansle New Jersey, par un Glageonnais expatrié outre-At-lantique pour son travail), mais nous avons néanmoinsune requête à faire au président d’un des pays les pluspuissants de notre globe : Monsieur le Président, faiteen sorte que dans votre grand pays on fasse commechez nous en 1981, abolir la peine de mort. Ras-le-bolde l’électrocution, gazages, injections létales ou fusil-lade (certains condamnés peuvent le demander). Unpeu d’humanité s’il vous plait...
EDITO Deuxième festival du cinéma amateur : les Maroilles d’or de la Fagne
Peu de monde au deuxième festival du cinéma amateur qu’à organisé, samedi, l’association C dansla boite. Pour reprendre le vieil adage, les absents ont, une fois encore, eu tort car les films présentésétaient de très bonne facture. (Page 6)
Deux podiums aux championnats du monde de judo à Miami
Sabine Menne et Patricia Bastient sont montées sur la troisième marche du podium lors des cham-pionnats du monde de judo qui se sont disputés à Miami. Un beau résultat pour le club que dirige Pa-trick Menne et un gland honneur pour la commune de Glageon. Page 2)
Hirson, l’ONF pour une gestion durable de la forêtLe directeur régionalde l’Office national desforêts est venu présen-ter aux élus locaux à lafois l’office nationaldont il a la charge,mais également les ac-tions développées l’andernier. Quant à jean-Jacques Thomas, il adéfendu l’investisse-ment forestier et, autravers la certificationde la gestion fores-tière, l’intérêt d’unegestion durable de laforêt. (Page 3)
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Deux judokas aux championnats du monde de Miami : l’album photos
Glageon est une petite com-
mune de 1830 habitants si-
tuée dans le département
du Nord et, pour être plus
précis, dans l’arrondisse-
ment d’Avesnes-sur-Helpe.
En clair dans l’Avesnois,
une région qui, en son
temps était qualifié de
«Queue du cul du baudet«
par Pierre Forest, alors
maire de Maubeuge et de
«Réserve d’indiens« par Va-
léry Hédon qui fut maire de
Saint-Rémy-du-Nord et
conseiller général du canton
d’Hautmont.
Certes, lorsque l’on parle de
notre région, c’est surtout
pour mettre en avant ses ri-
vières, ses étangs, ses fo-
rêts... C’est aussi pour
parler de ses musées, de
ses châteaux... de son his-
toire, au demeurant fort
riche. Il ne faut pas non plus
oublier son tissu associatif,
lui aussi fort riche. Qu’elles
soient culturelles ou spor-
tives, ces associations, qui
ont parfois du mal à vivre,
animent nos villes, mais
également nos villages.
Elles sont parties inté-
grantes de la vie de nos
communes. Sans elles, il ne
s’y passerait jamais rien.
L’une d’elle, le Judo club de
Glageon va, durant un bon
bout de temps, tenir le haut
du pavé. Sous la houlette
de Patrick Menne, deux de
ses sociétaires, Sabine
Menne et Patricia Bastient,
ont participé aux champion-
nats d’Europe de Judo qui
se sont disputés en Pologne
d’où elles sont revenues
avec un titre de vice-cham-
pionnes. Cela signifiait pour
elles, un billet pour les
championnats du monde
qui, au départ devaient se
disputer à Rio-de-Janeiro
au Brésil. Mais un change-
ment de programme a fait
que c’est finalement à
Miami qu’ont eu lieu les
épreuves. Des épreuves au
cours desquelles elles se
sont particulièrement bien
compotées puisqu’elles
sont montées, toutes les
deux, sur la troisième
marche du podium. En
Avesnois, ils sont très cer-
tainement peu nombreux
(on n’a pas eu le temps de
chercher), a avoir atteint un
tel niveau. Nous les félici-
tions donc pour ces résul-
tats et pour les retombées
qu’ils auront, sur le club, la
commune et l’Avesnois en
général.
Il est bon de rappeler ici que
c’est grâce à un vaste mou-
vement de générosité et de
solidarité que ces deux filles
ont pu participer à ces
championnats. Il faut dire
que la fédération de Judo,
quand il s’agit de récolter le
prix des licences est tout
sourire, mais lorsqu’il s’agit
de mettre la main au porte-
monnaie, c’est une toute
autre histoire... Ainsi, il y a
quelques mois, une récep-
tion a été organisée par la
municipalité de Glageon, à
l’initiative de Bernard Chau-
derlot, maire, afin de récol-
ter des fonds. Si les
Glageonnais ont été particu-
lièrement généreux, il ne
faut pas non plus oublier les
quelques entreprises et
mairies qui elles aussi ont
voulu apporter leur quote-
part afin que cette grande
aventure sportive puisse
avoir lieu. Qu’ils et elles en
soient une fois encore re-
merciés.
Gageons que ces résultats
obtenus au plus haut niveau
mondial auront des réper-
cussions sur le club et que
d’autres sociétaires vou-
dront, eux aussi, accéder au
même niveau.
Gérard LEMAIRE
De retour de Miami, les deux judokas ont reçu un accueil chaleureux Première prise de contact
avec le Club et beaucoup
de monde pour féliciter les
deux championnes lundi
soir au dojo glageonnais.
D’or et déjà, une réception,
plus officielle, est prévue, à
une date qui n’est pas en-
core arrêtée, pour remercier
tous ceux et toutes celles
qui ont soutenu Patricia
Bastient et Sabine Menne
lors de leur périple améri-
cain, notamment sur Face-
book où chacun a pu suivre,
en image, ce voyage dont
les deux jeunes femmes se
souviendront très certaine-
ment longtemps.
La vie va reprendre son
cours et Sabine et Patricia
leurs entrainements pour,
aller savoir, repartir l’an pro-
chain pour une autre desti-
nation et de nouvelles
médailles.
Athor et Tysone
Arhor est un jeune labrador
d’un an. Très sympa, il ahâte de quitter le chenil.
Tysone est un griffon de
deux ans et demi , lui aussi
est très sympa et aimerais
bien trouver un maître qui
prenne soin de lui.
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Source : blog de Jean-Jacques THOMAS
11 novembre : en hommage aux soldats qui ont repoussé les frontières
Bientôt un siècle ! Alors quel’heure de la réconciliation asonné depuis longtemps, lacommémoration de l’armis-tice de 1918 revêt toujoursun caractère particulier. No-tamment dans un départe-ment occupé et, à jamais,marqué par le Chemin desDames. Dans deux ans, laFrance et l’Europe commé-moreront le début d’unconflit qui faucha une géné-ration, causa plus de dixmillions de morts et des mil-
lions d’invalides ou de muti-lés, anéantit les économieset marqua à jamais lesconsciences. Dès les pre-miers jours, la « Belleépoque » se brisa sur lefront des haines entrete-nues. Dès le mois d’août1914, six millions de com-battants sont mobilisés.Après avoir, en compagniede ses collègues, fleuri lesmonuments roumain et alle-mand, érigés sur des os-suaires dans lesquels sont
ensevelis plus d’un millierde corps, Jean-JacquesThomas feuilleta le livre del’Histoire locale, rappelantl’occupation de la ville dès le28 août 1914 et la longueliste des soldats tués. « Ilsn’imaginaient pas, précisa-t-il, que la terre de l’Aisne se-rait leur tombeau. Et ceuxqui ont survécu n’ont rienoublié, ni les tranchées, niles plateaux et les buttes àescalader sous la mitraille ».Et de citer cette chansond’époque : « Où tous ceuxqui grimpaient roulaientdans le ravin.Aujourd’hui y’a des vignes,il y pousse du raisin. Quiboira d’ce vin là, boira l’sangdes copains ».Depuis, le temps est passéet une autre guerre mon-diale repoussa la première.« Plus personne, soulignaencore Jean-Jacques Tho-mas, n’imagine le quotidiende nos concitoyens. Deuxans plus tard après l’occu-
pation hirsonnaise, un campde travail regroupe dans laville des centaines de tra-vailleurs forcés, obligés des’escrimer quatorze heurespar jour, sept jours sur sept,de 4 à 20heures. Les mortss’entassent ».Théâtre de la commémora-tion dominicale, le cimetièred’Hirson témoigne de cettehécatombe. 298 noms desoldats hirsonnais sont tou-jours visibles sur le monu-ment aux morts. Quatreannée durant, des hommesvont ainsi se battre pourd’indéfinissables frontièresgéographiques. Ils ne réus-siront qu’à repousser lesfrontières de la souffrancehumaine. « La mort faisaitpartie du quotidien, écritMaurice Genevoix. On pou-vait vivre à côté des cada-vres que l’on n’avait pas puenterrer à cause du gel ou
des bombardements ».
Mass Hystéria en concert
La veille à Lyon avec Fumujen première partie, samedisoir Mass Hysteria a nonseulement rempli l’Eden,mais, par son énergie dé-bordante, le groupe a faitchavirer une salle hirson-naise chauffée par lesjeunes d’Heet Seas, ravisde leur set et par l’ambiancethiérachienne.Juste le temps pour Jean-Jacques Thomas de remer-cier le Conseil régional et lepublic du « Picardie Mouv’ »
de sa fidélité pour cettesixième édition. Un rendez-vous lourd avec ce concertde métal en fusion. Il estvrai que depuis plus de dixans, Mass Hysteria séduitses fans avec un cocktailépicé de rock dur, de raggaet d’électro pour créer unson chaud et, pour l’occa-sion, faire le show, en pleinelumière, avec son dernieralbum « L’armée des om-bres ».
Rejoints dans les arrêts de jeu, les Hirsonnais ne décollent toujours pas
Même si la prestation hir-
sonnaise témoigne d’une
réelle amélioration, le match
nul concédé, hier, dans les
arrêts de jeu n’arrange ni
l’U.S BHT, ni son adver-
saire, tous deux scotchés
dans la profondeur d’un
classement dont s’extirpent
Senlis et Saint-Quentin.
Pour n’avoir pas su concré-
tiser leurs occasions et, no-
tamment, le face à face
entre Simono et Tangana, le
gardien de Breteuil (43e)
(notre photo), les Thiéra-
chiens sont toujours restés
à la merci de leurs adver-
saires rapidement en action.
Attencourt est d’ailleurs sol-
licité d’entrée par Furtado
(1ère) puis par El Mehdi,
rattrapé in extremis par la
nouvelle recrue Bamba,
précieux dans son place-
ment (15e). Pour autant,
même fébriles, les Axonais
se montrent dangereux
avec un lob au-dessus de
Monvoisin (12e) puis par
N’Tep (notre photo), le nou-
vel attaquant thiérachien,
contré par Caplain. Avec un
milieu de terrain attentif et
une défense consolidée,
l’U.S BHT semble, du reste,
en mesure de trouver les
espaces. Simono s’y essaie
à plusieurs reprises (18e,
31e et 43e). Sans succès et
lorsqu’il fait la différence,
son centre n’est pas repris
(44e).
Le jeune attaquant est, du
reste, en excellente position
(48e), mais Breteuil reste
toujours à l’affût avec deux
corners consécutifs (66e)
sur lesquels Attencourt fait
le métier tout comme face à
Dufour (69e). Bref, à ce mo-
ment-là, les Isariens haus-
sent leur niveau de jeu et
obtiennent une série de
coups francs en même
temps que Martin (72e) et
Bamba (78e) sont avertis.
Autre avertissement, sans
frais, celui-là, lorsque de
l’extérieur du pied, N’Dzomo
frappe l’arrête de la lucarne
de Tangana (78e). Décidé-
ment, l’attaque semble
maudite, mais le gardien ne
pourra rien sur un but plein
de sang-froid du même
N’Dzomo (82e).
Cette fois, le banc hirson-
nais croit, enfin, en son
étoile, qui file cependant
lorsqu’après avoir touché la
barre sur un coup franc
d’Hallu (85e) (notre photo),
Breteuil arrache l’égalisation
d’une reprise de volée des
vingt mètres de Caplain, au
ras du poteau, sur laquelle
la défense ne monte pas
(90+2e). Dur, dur pour At-
tencourt et les siens appe-
lés à se consacrer à la
Coupe de Picardie avec un
déplacement à Château-
Thierry.
Hirson natation
Qualificatifs pour l’échelonsupérieur, les championnatsinterclubs départementauxpar équipes réunissaient àLaon les clubs de Saint-Quentin, Château-Thierry,Beautor, Soissons, Laon,évidemment et Hirson. Lessix premières formationsempochaient donc leur billetpour les championnats dePicardie. Onze prétendantsétaient sur les plots avec ducôté thiérachien CamilleMaurice, Ephysia Murgia,Sarah Nanaï et Rozenn La-vigne. Les benjamines na-
gèrent une épreuve indivi-duelle (100m 4nages) etquatre courses en relais(papillon, dos, brasse etcrawl). Au terme de ces cinqparcours, les temps sont ad-ditionnés et transformés enpoints. « Nos filles, expliqueSylvain Burluraux, leur en-traîneur, se sont très biendéfendues et nous promet-tent de très bons résultatspour les courses à venir ».Avec 3430 points, elless’ouvrent, en effet, lesportes des championnatsrégionaux.
Bilan de l’ONF : la forêt se régénère, mais d’abord elle se gère
Décidément, la forêt thiéra-chienne est à l’honneur cesderniers temps avec la pré-sence en Mairie d’Hirson deJean-Marc Gougis, le Direc-teur régional de l’ONF, venuprésenter aux élus locaux àla fois l’Office national, maiségalement avec Jean-PaulCopeau, le Responsable del’Unité territoriale, les ac-
tions développées l’an der-nier. De même, Jean-Jacques Thomas profita del’occasion pour défendrel’investissement forestier et,au-delà, au travers de lacertification de la gestion fo-restière, l’intérêt d’une ges-tion durable. Cette vision d’avenir im-plique notamment de pré-
server la biodiversité, la pro-tection des sols et de l’eau,la maîtrise des risques et des’assurer de la qualité destravaux forestiers. Ce dia-logue annuel avec les col-lectivités propriétaires deforêt permit également defaire le point sur les boismartelés et vendus. Douzecommunes ont ainsi reçu undevis de l’ONF et six ont bé-néficié d’un programmed’activité complet.Ces investissements pas-sent par des plantations dechênes sur Buironfosse,Plomion et Hirson, l’entre-tien des peuplements surSaint-Michel, Neuve-Mai-
son, Hirson, Buironfosse etPlomion, mais égalementdes travaux destinés à l’ac-cueil du public sur la forêtcommunale de Boué et, évi-demment, l’arboretum d’Hir-son. Ce bilan permitégalement de souligner quequatre municipalités (Bui-ronfosse, Plomion, Saint-Michel et Hirson)fournissent un effort finan-cier permanent en faveur deleurs espaces boisés, troisinvestissent ponctuellementune partie de leurs recettesforestières et six n’ontconsacré aucun euro àleurs bois alors qu’ils génè-rent pourtant des recettes.
Baptême républicain
Hier, en fin de matinée, enmairie d’Hirson, Henri Au-bert, commerçant ambulant,et Cathy Huriaux, sonépouse, mère au foyer, do-miciliés à Hirson, ont pré-senté leur fils Ryan, né le 21août à Fourmies, avec lesouhait de lui donnercomme parrain et marraine
laïques, Thomas François,collégien, et Corinne Fran-çois, demeurant tous deux àOhain, lesquels, à leur tour,en cas de besoin, se sontdéclarés s’obliger dans lamesure de leurs facultés àsuppléer les parents de leurfilleul.
Rue camille-Grisot, réhabilitation de la chaussée et des caniveaux
Après les intempéries hiver-nales du début d’année,avec le grand froid de fé-vrier et une pluviométrie im-portante en avril et mai,
d’importantes dégradationsde voirie, notamment au ni-veau des bordures, sont ap-parues à l’entrée de la rueCamille Grisot, entre l’inter-section de la rue du ColonelDriant et le départ de laCoulée verte. De ce fait, dèsles premières pluies, d’im-portantes flaques d’eau seforment devant les habita-tions.
Cette semaine, sur une lon-gueur de 45 mètres devantles six maisons de la ruecôté Verrerie, les Servicestechniques sont donc inter-venus. Sous la direction deChristian Robert, ils ontdonc remplacé les an-ciennes bordures dégra-dées par de nouveauxcaniveaux avant de repren-dre les enrobés de chaque
côté des caniveaux sur unelargeur moyenne de 1,50m.Huit tonnes d’enrobé serontdonc épandues avant la ré-fection de la partie basse dela chaussée cette fois à lafin de la rue, près de l’entréede la Coulée verte et l’ap-port de 4,8 tonnes d’enrobé.Le coût de l’opération estestimé à 1 200 €.
Hautmont Capitale de Noël 2012 - Le programme se dévoile
Depuis plus de quinze ansHautmont célèbre Noëlavec un faste sans égal.Les dizaines de milliers devisiteurs sont plongés aucœur d’un tourbillon féé-rique, assorti de nom-breuses animations,généralement gratuites. Cette année elles serontconcentrées sur cinq joursdu 15 au 19 décembre.Les associations de quar-tier, mais aussi les associa-tions culturelles et sportives,prêteront main forte au Co-mité Foire Corso et à Tourdes Sites Organisation pourfaire de ces réjouissancesun véritable succès.Quels sont les grands ren-dez-vous de cette édition2012 ?Noël City.- Son Christmas
shopping fort de 80 chaletset ses sculptures de glace,œuvres éphémères desculpteurs professionnels,sont visibles en centre-villedu samedi 15 au mercredi19 de 15 h à 22 h Feu d’ar-tifice.- Tous les soirs, Placede Gaulle tiré à 18 heuresdu toit du Centre culturel.Le conte de Noël Au Centreculturel, du dimanche 16 aumardi 18 (trois représenta-tions 17 h- 20 h, sauf lelundi 17 : 17 h 30 - 20 h 30). Une troupe de comédiensprofessionnels laisse vaga-bonder la magie…Le vrai Père Noël.- Qui, surson trône, vous invite àvenir glisser à l’oreille vosconfidences, sous le flashd’un photographe pour im-mortaliser ce moment. Cen-
tre culturel, du samedi 15 aumardi 18 : 17 h – 21 h .Mercredi 19 : 20 h-22 hGospel Lights 2012.- Deuxformations vocales derenom, lors de trois repré-sentations différentes enl’église, vous feront vivrepur moment de frisson pro-pre à cette période enchan-teresse: New Gospel Familyet Gospel Legend Singers.Le Tour du Monde en 80jours.- Ce nouveau specta-cle de vidéo maping, très li-brement inspiré du romande Jules Verne, fera la partbelle aux effets spéciaux etaux belles images glanéessur notre globe. En l’églisedu dimanche 16 au mer-credi 19 : 17 h - 22 h (toutesles 30 min) .La Journée des Écoles .-Le lundi 17 décembre ,toutes les écoles hautmon-toises sont attendues parles organisateurs de Haut-mont Capitale de Noël. Auprogramme : le conte pourenfants et le Palais de laFriandise (spectacle de son& lumière + dégustation).Centre culturel de 9 h 30-15h 30 . Thème 2012 : « LeTour du Monde en 80 jours».La Taverne des lutins.- Es-pace détente avec boissons
chaudes, soft drinks ou au-tres à prix mini. Centre cul-turel du samedi 15 aumercredi 19 de 15 à 22heures.Parade Lumineuse.- Cor-tège étincelant de plus d’unkilomètre et demi fort deplus de 200 figurants, sou-tenu par un éblouissantspectacle pyrotechnique, fi-nalisé par la venue du PèreNoël en personne sur sonfabuleux traîneau. Départ :Rue Placide Courtois, lemercredi 19 à 18 heures.Tous les spectacles énumé-rés ci-dessus sont GRA-TUITS !Le Palais de la Friandise.-ou quand le centre culturelse fera temple des sucre-ries :de quoi faire fondredes cohortes d’enfants. Dusamedi 15 au mercredi 19: 17 h – 21 h (toutes les 30min) . Accès 1 €. Cette ani-mation gourmande fonc-tionne tel unparcours-spectacle de dé-gustation. Avec décors ma-giques, sucreries,chocolats, cakes et autresgâteaux. Sans oublier defolles surprises !Pour toute information sup-plémentaire : , 03 27 62 5972 ou [email protected].
Lancement des Illuminations
C’est parti ! ou presque…Moment fort de traditions etinstants inoubliable demagie : Hautmont va, unefois encore, se métamor-phoser en cette fin d’annéequi se profile.Outre le faste programmeprévu dans le cadre de «Hautmont Capitale de Noël2012 », la cité sera illumi-née du 23 novembre au 28janvier.Avec son éclat habituel.Grands sapins garnis, kilo-
mètres de guirlandes multi-colores, féérie des maisonsilluminées, créations ici et làd’évènements visuels nova-teurs : voilà ce qui nous at-tend dans les joursprochains.A cet égard tous les Haut-montois sont invités au lan-cement des Illuminations2012 qui se déroulera levendredi 23 novembre pro-chain à 18 heures sur lePont de Sambre.
Produits ménagers
Balayer, astiquer, net-
toyer… Oui mais en respec-
tant mon environnement et
ma santé ! Les produits
d’entretien peuvent contenir
des substances chimiques
dont certaines ne sont pas
biodégradables et dont les
impacts sur l’environnement
et la santé peuvent être
d a n g e r e u x .
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économique pour nettoyer
son intérieur, par exemple le
vinaigre blanc peut être uti-
lisé pour désinfecter, dés-
odoriser et nettoyer votre
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nois vous propose lors d’un
atelier éco citoyen de réali-
ser vos propres ménagers.
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cettes seront au rendez-
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Le vendredi 23
novembre,de 14 heures à
16 h 30..
Inscription et renseigne-
ments au 03 27 53 04 04 ou
(lieu communiqué lors de
l ’ i n s c r i p t i o n )
Grâce aux financements de
la région Nord-Pas-de-
Calais, du conseil général
du Nord et de la DREAL.
Rapaces nocturnes
Autrefois symboles de sa-
gesse ou présage de mort,
chouettes et hiboux ont tou-
jours été liés au domaine du
fantastique, de la magie et
de la spiritualité. On re-
trouve leurs traces dans
l’iconographie de nom-
breuses civilisations à tra-
vers le monde. Habitants
discrets de nos campagnes,
tantôt effrayants, tantôt ad-
mirés, les rapaces noc-
turnes ne laissent personne
indifférent. Apprenez à dé-
couvrir la vie secrète des hi-
boux et des chouettes du
Nord – Pas de Calais, leur
biologie, leur mode de vie.
Lors d’activités en salle et
d’une sortie crépusculaire
au sein d’habitats différents
(bocage, forêt et zone d’ha-
bitation), nous dévoilerons
les mystères qui les entou-
rent.
Le CPIE Bocage de l’Aves-
nois vous propose de suivre
durant un après midi et une
sortie en soirée, le 15 dé-
cembre à Gussignies, de 15
à 22 heures,un stage sur la
biologie et l’identification
des rapaces nocturnes du
Nord /Pas-de-Calais.
A l’issue de ce stage vous
serez capable de : décrire la
biologie, l’écologie de ces
espèces et les menaces qui
pèsent sur elles, identifier
chaque espèce par son cri,
son allure et par son gite,
reconnaître les différents
types de pelotes et les diffé-
rentes espèces.
Si vous êtes intéressé(e),
merci de vous inscrire au 03
27 53 04 04 ou à
Tarif : Cette formation est
gratuite pour toute personne
adhérente à l’association
(adhésion individuelle : 11 €,
adhésion familiale : 15 €,
tarif réduit : 6 €).
Anciens combattants
Pour marquer le 50e anni-versaire de la fin de laguerre d’Algérie, la sectionUNC d’Hautmont a organiséun voyage « Journée duSouvenir » à Notre Damede Lorette où elle a renduun hommage solennel auSoldat inconnu mort enAfrique du Nord. La section hautmontoise aété accueillie à l’entrée prin-cipale par la garde d’hon-neur. Une gerbe a ensuiteété déposée par Mme Su-zanne Thiéfaine, adjoint au
maire et par le président dela section.Deux musiciens de la Phil-harmonie (Trompette ettambour) ont interprété laSonnerie aux morts, puis laMarseillaise. L’émotion étaittrès intense.Après cette cérémonie pre-nante, le groupe a repris laroute pour la visite des car-rières de Wellington à Arrasoù a séjourné l’armée bri-tannique en 1914/1918avant de découvrir le mé-morial canadien de Vimy.
Les associations ont la pêche
C’est en présence de Su-zanne Thiéfaine, de Marie-José Leroy, de BernardBondue, adjoints au maire,de Francis Colinet, conseil-ler, de Didier Flinois, res-ponsable des sports et deChristian Dussart, directeurde la piscine que s’est dé-roulée, il y a peu la remisedes récompenses aux asso-ciations sportives.Si toutes n’étaient pas re-
présentées, 21 d’entre ellesont vu leurs membres ré-compensés. En toutquelque 350 cadeaux ontété remis aux participants.A titre d’exemple l’Ecole mu-nicipale de Gymnastiques’est vue offrir 49 sacs àdos, avec le logo « Vivre lesport - Hautmont ».D’autres ont reçu bonnets,écharpes, sacs de sport, pa-rures de stylo, plaids ou au-
Commerçants non-sédentaires
Le mardi et le vendredi, lescommerçants non-séden-taires vous accueillent dansles abords de la grand-place. Rencontre…Marie-Françoise Sohier pro-meut avec bonheur les pro-duits de la ferme : fromagesdivers, beurre, œufs… « Jeviens ici le mardi depuismars, sur recommandationd’une de mes collègues.Avec mon mari nous tra-vaillons en famille. Nousdisposons d’une petiteclientèle fidèle. Quand onpropose de bons produitsvenus de fermes réputéesde la région on attire leclient. On n’a pas trop desouci avec la crise et notreclientèle regroupe tous lesâges ».A 59 ans M. Mouloud tient
une échoppe textile. « Jefais les marchés depuis2000. Nos relations avec laville sont excellentes. Nosemplacements sont propreset très fonctionnels. Ce quin’est pas toujours le cas ail-leurs ».Mohart Ouaad, 40 ans, asuccédé à ses parents, ha-bitués des lieux durant desdécennies. « Depuis quenous avons changé d’en-droit, il manque de diversitéil me semble, notamment ence qui concerne les produitsalimentaires. Le vendredic’est mieux. Les personnesâgées, qui sont très fidèles,ont parfois du mal à venir icicar c’est un peu pentu. Maisle marché d’Hautmont estl’un des plus réputés de larégion ».
Source : ville d’Hautmont
Chantier nature
Depuis de nombreuses an-nées, le CPIE Bocage del’Avesnois agit pour la pro-tection de la nature. L’asso-ciation est notammentpropriétaire et gestionnairede la Carrière des Nerviens,site classé « réserve natu-relle régionale » depuis2008. Cet espace est carac-térisé par une biodiversitéremarquable : de nom-breuses espèces animaleset végétales protégées ytrouvent refuge. Pour main-tenir la qualité des milieux,des chantiers de gestionsont régulièrement organi-sés.Nous vous donnons rendez-vous le mardi 27 novembreà 9 h 30 sur le site (rue duQuesnoy à Bavay, justeaprès le pont de la voie dechemin de fer, en partant
vers Le Quesnoy). L’objectifde ce chantier est de pré-server les pelouses par ledébroussaillage des bou-leaux et le fauchage du ca-lamagrostide. Les cheminsseront également entrete-nus pour favoriser l’accessi-bilité du site. Le chantiersera ponctué par une visitedu site, qui vous permettrade découvrir sa biodiversitéet son originalité. Pour une meilleure organi-sation (principalement pourle matériel de gestion), nousvous conseillons de vousinscrire auprès de Jean-Baptiste (, ou 03 27 53 0404).Financeurs du projet :l’Union européenne(FEDER) et la RégionNord/Pas-de-Calais.
Bienvenue à Courquain
Petite statistique au sujet deCourquain pour les va-cances de la Toussaint : en16 jours (du 27/10 au11/11)... 1426 visiteurs, soitune moyenne de 90 visi-teurs chaque jour entre 14 h30 et 17 heures, malgré untemps maussade, pluvieux,bref un temps de Toussaint.
Dimanche dernier, ces va-cances se sont acchevéesavec plus de 100 curieux,dont un groupe de motardsbien sympa de la région deLaon. Retour maintenantaux horaires du travail sco-laire : ouverture du «vrai-faux« bureau des douanesles mercredis, samedis etdimanches.
Ils se sont souvenu
Dans la ville sous-préfec-
ture, on a commémoré,
comme il se doit, le 94e an-
niversaire de la signature de
l’Armistice qui, le 11 novem-
bre 1918, mettait un terme à
la Première Guerre mon-
diale.
Après un dépôt de gerbe au
monument érigé dans le ci-
metière, c’est une messe
qui a été célébrée dans la
collégiale Saint-Nicolas à la
mémoire des anciens com-
battants morts au champ
d’honneur, puis, en cortège,
au départ de la place du Gé-
néral-Leclerc, les personna-
lités, la musique et les
représentants des associa-
tions d’anciens combattants
se sont rendus au monu-
ment de la rue de Mons
pour un autre dépôt de
gerbe.
Commémoration du 11 novembre
A Cartignies, comme dans
toutes les communes de
France, on a commémoré le
94e anniversaire de la si-
gnature de l‘armistice du 11
novembre 1918. En mu-
siques, les personnalités et
les représentants des asso-
ciations patriotiques se sont
rendus au monument aux
morts pour y déposer une
gerbe de fleurs.
Concours des maisons fleuries
Une sympathique réception
a eu lieu il y a quelques
jours dans la salle des fêtes
du village. Réception au
cours de laquelle ont été
remis les prix du concours
de maisons fleuries. Un plai-
sir personnel pour avoir une
maison riche en couleur,
plaisir personnel qui re-
tombe sur l’ensemble de la
commune.
Source : commune de Cartignies
Avesnois News recherche des bénévolesVous disposez d’un appareil photo numérique,voire d’une caméra numérique, d’un ordinateuret d’une connection internet ? Vous être mem-bre d’une association dont vous souhaiteriezqu’on parle plus souvent ? Avesnois News re-
cherche des correspondant bénévoles pour sonjournal et sa web TV.
Tel. 03 27 61 01 36Port. 07 70 71 10 52
Listes électorales.- Lesinscriptions sur les listesélectorales doivent s’effec-tuer en mairie jusqu’au 31décembre 2011 inclus au-près du service élections.Pour réaliser cette dé-marche, il convient de vousprésenter en mairie muni devotre carte nationale d’iden-tité ainsi que d’un justificatifde domicile de moins detrois mois. Nouveau : Vouspouvez effectuer votre dé-marche en ligne. Rendez-vous sur rubriquedémarches en ligne et ins-cription sur les listes électo-rales.Diplômés 2012.- Les nou-veaux diplômés Anorienssont invités à transmettre lacopie de leur diplôme en
mairie. Une réception seraorganisée en leur honneur.Recensement militaire.-Les jeunes gens et jeunesfilles né(e)s entre le 1er oc-tobre et 31 décembre 1996sont prié(e)s de se faire ins-crire en mairie recensementde la 4ème tranche. Semunir du livret de familledes parents. Nouveau :Vous pouvez effectuer votredémarche en ligne. Rendez-vous sur rubrique dé-marches en ligne etrecensement citoyen.Nourrissons.- La consulta-tion des nourrissons se dé-roulera le jeudi 22novembre 2012 de 13 h 30à 15 h 30 à la salle F.-Dolto(préfabriqué) Espace F.-Mit-terrand rue Pasteur.
Agenda communal
Charles Cornet à l’honneur
A l’issue de la cérémonie du11 novembre, Charles Cor-net a reçu la médaille de lacommune en signe de re-connaissance pour le travailde recherche qu’il a effectué
sur l’histoire de Cartignies.Le conseiller général JeanJacques Anceau lui a remisà cette occasion les mé-dailles du Département etdu Sénat.
Quelque chose à vendre ?Vous souhaitez vendre votre voiture, changer de mo-
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Le bardage en Aulne glutineux
L’aulne, parfois appelé“aune”, ou “verne”, est l’ar-bre typique des bords decours d’eau et des zonesmarécageuses. C’est uneessence améliorante pour lemilieu où elle se développe.Effectivement, l’aulne fixeles berges, assainit et enri-chit les terrains spongieux,capte à son profit l’azote...Outre ces qualités pournotre environnement,l’aulne est un bois aux mul-tiples qualités.Tout d’abord, il est imputres-cible, qualité qui lui a valude beaucoup servir aupara-vant comme matériau deconstruction en contactavec l’eau : conduites, pilo-tis, soubassement... Veniseest bâtie sur des pieuxd’aulne !De couleur orangée, ce boistendre, léger, facile à travail-
ler est aussi utiliser pourréaliser un bardage. Le bardage en bois rajeu-nira vos façades ou moder-nisera une nouvelleconstruction. Il peut êtreposé sur toutes construc-tions : ossature bois,pierres, béton, briques… Un bardage en bois, asso-cié à un isolant extérieurpermet d’améliorer notable-ment l’isolation thermique etde satisfaire aux exigencesactuelles. C’est égalementun bon moyen pour mas-quer les fissures et d’élimi-ner les ponts thermiquespouvant entrainer de nom-breuses pertes énergé-tiques. Cela amélioreégalement l’isolation pho-nique d’un bâtiment. La participation à ces jour-nées est GRATUITE grâceaux financements de l’Etat,du Conseil Régional duNord/Pas-d- Calais, duConseil Général du Nord etdu CPIE Bocage de l’Aves-nois.Une adhésion à l’associa-tion sera cependant deman-dée. Vendredi 23 novembre - au6 Rue Millet à Bellignies de9 à 17 heures.L’inscription est obligatoire,elle se fait par téléphone au: 03 27 53 04 04.
Soirée Théâtre
Samedi 15 Décembre, à laSalle des Fêtes à 20 h 30, latroupe du Luminaire pré-sente «Les homos préfèrentles blondes«, une comédied’Eléni Laïouet Franck Le
Hen. Décor et mise enscène Claude Courtens.Réservation : Office de Tou-risme 03.27.56.57.20. Tarif :10 €.
Source : ville d’Avesnes-sur-helpe
Avis aux clubs sportifsDans la perspective d’ouverture d’une page consa-crée au sport, si vous êtes responsable d’un club,
vous pouvez nous faire parvenir vos comptes-rendusde matches accompagnés si possible de photos à
l’adresse suivante :[email protected]
L’image
Le compteur des tricoteuses
Plus de 1 200 tricoteuses, en France, en Belgique, enSuisse, au Pays de Galles... ont relevé le défi lancépar l’association Escapades Sambre-Avesnoises.
L’objectif : atteindre 10 000 réalisations d’ci le 31 dé-cembre 2014.
Avis de rechercheAvesnois News est à la recherche de documents (pho-tos et vidéos) ayant trait aux manifestations ayant eupour cadre le petit village de Liessies, il y a quelquesdécennies.A ces époques lointaines, le village vivait. Il avait songroupe de majorettes et on y a même organisé des re-constitutions historiques en costumes.Si vous possédez de tels documents, il en existe nousle savons, n’hésitez pas à nous contacter.
[email protected] 70 71 10 52
La chasse à l’homme se poursuit à «Ploucville-sur-Helpe»
C’est une assemblée gé-nérale extraordinaire quis’est tenue mardi, en finde journée, à la salle desPrimevères. Elle était pré-sidée, pour la dernièrefois, par DominiqueWarot. Premier point abordé au
cours de cette réunion, le
contentieux qui oppose la
municipalité et une petite
partie des habitants du vil-
lage à une famille à propos
d’un d’une «pseudo servi-
tude de passage, pour di-
vers«. On se souvient que
lors d’une précédente réu-
nion, publique celle-là
(Avesnois News N° 177),
l’idée avait été avancée que
le Syndicat d’initiative Lies-
sies-Willies, pourrait, en lieu
et place de la municipalité
qui ne peut pas le faire, en-
gager une action en référé
afin que les barrières po-
sées par la famille concer-
née soient enlevées. Là se
pose la question suivante :
pourquoi le Syndicat d’initia-
tive engagerait-il cette pro-
cédure, à quel titre alors
qu’une association comp-
tant près de 150 membres a
été créée à cet effet ? Il
semblerait que cette asso-
ciation ne veuille plus discu-
ter. Il semblerait même que
cette association n’ait ja-
mais été déclarée en sous-
préfecture (?). Ce qui ne
l’empêche pas de faire la
quête dans le village pour
récolter des subsides, ce
qui est formellement interdit
par la loi : «les quêtes à do-
micile sont interdites dans
chaque département par ar-
rêté préfectoral, sauf
lorsque le but philanthro-
pique est nettement établi.
Les quêteurs doivent être
munis d’une carte d’habilita-
tion visée par les services
préfectoraux«. Si l’on veut
faire bref, ce qu’a fait cette
association peut être consi-
déré comme une «ar-
naque». Le mot de racket a
même été prononcé au
cours de cette réunion.
En tout cas, et c’est le
moins que l’on puisse dire,
on ne se bouscule pas, côté
huissiers ou avocats, pour
s’occuper de cette affaire.
Encore une fois la dangero-
sité du pont de la ville que
sont obligés maintenant
d’emprunter certaines per-
sonnes a été évoquée.
Nous dirons à juste titre,
que le danger est réel au vu
du nombre de véhicules lé-
gers et lourds qui l’emprun-
tent. «Faut-il attendre qu’il y
ait un accident pour agir ?«
Nous serions tentés de ré-
pondre, combien y a-t-il eu
d’accident mortels à cet en-
droit, disons dans les vingt
dernières années ? Aucun...
Oui mais si... ? «Avec des si
on mettrait Paris en bou-
teille« dit le vieil adage...
Une autre question se pose
encore : L’argent du Syndi-
cat d’initiative doit-il servir à
engager une action en jus-
tice ? Nous ne le pensons
pas. N’oublions pas une
chose, c’est celui qui perd
qui paye et dans cette his-
toire rien n’est acquis, loin
s’en faut... L‘idée d’un col-
lectif d’associations a égale-
ment été évoquée. Collectif
qui pourrait engager cette
action. Là encore on se de-
mande bien à quel titre... Si
ce collectif devait voir le
jour, il faudrait que la mairie
s’engage pour rembourser
les frais engagés par le dit
collectif s’il perdait devant la
justice. Là ça serait le contri-
buable qui devrait mettre la
main au porte-monnaie.
Avancée encore, une sous-
cription volontaire auprès de
la population des deux com-
munes (environ 550 pour
Liessies et 170 pour Wil-
lies). Il faudrait voir si cela
serait légal et quand bien
même est-ce que les 720
habitants concernés se-
raient d’accord. ? On peut
une fois encore en douter...
Reste la procédure d’expro-
priation. Elle prendrait beau-
coup de temps (deux voire
trois ans). Mais là d’après
les informations que nous
avons pu obtenir, le sous-
préfet n’est pas très chaud
pour l’engager.
Le boomerang a été lancé
et vous connaissez son
fonctionnement. Soit il
touche sa cible et reste sur
place. Soit il vous revient
dans le nez...
Un nouveau présidentDeuxième point inscrit à l’or-
dre du jour : l’élection d’un
nouveau président et d’un
nouveau secrétaire. Deux
candidats étaient en lice
pour le premier poste : Jean
Trakoen et Christelle Guiot.
C’est M. Trakoen qui a été
élu avec neuf voix contre
quatre et deux bulletins
blancs et c’est Mme Guiot
qui, à l’unanimité des voix, a
été élue au poste de secré-
taire.
Avant de clore cette réu-
nion, le nouveau président a
souhaité plus d’implication
des membres du Syndicat
dans différentes manifesta-
tions organisées sur le terri-
toire de la commune. Il a
également souhaité relan-
cer le concours d’épouvan-
tails. Celui-ci pourrait avoir
lieu durant les vacances de
Pâques.
Outil incontestable de pro-
motion, la plaquette éditée
par les SI de Liessies-Wil-
lies, Sars-Poteries et Solre-
le-Château est épuisée et il
est envisagé d’en refaire
une nouvelle, ce qui va de-
mander beaucoup de tra-
vail.
Gérard LEMAIRE
A votre service
L’association C dans la boite rajoute une corde à sonarc.
Elle vous propose désormais de la maintenance in-formatique.
Si vous rencontrez un problème avec votre ordina-teur n’hésitez pas à nous contacter pour vos refor-matages, réinstallation de système, éventuellementrécupération de données dans la mesure du possi-
ble….Renseignements : gerard.lemaireåkeonet.com
Tel. 07 70 71 10 52
Un deuxième festival du cinéma amateur particulièrement boudé
«Nul n’est prophète en son
pays«, une fois encore ce
vieil adage s’est confirmé,
samedi, lors du deuxième
festival du cinéma amateur
qu’organisait l’association C
dans la boite. Une quaran-
taine de personnes seule-
ment a fait le déplacement
au bucher des moines, dans
le parc départemental de
l’abbaye de Liessies.
Pourtant le programme était
copieux et très éclectique.
Eléonore Mariani (Willies) et
Ludovic Godat (Trélon)
nous ont présenté des films
d’animation. M. et Mme
Hardy (Fourmies) nous ont
fait découvrir la construction
de la voie de chemin de fer
reliant la carrière de Wal-
lers-en-Fagne à la gare
d’Anor. Le club d’activités
subaquatiques de Four-
mies, représenté par Bruno
Lacroix, nous a entraîné
dans les aventures de
Lucky Lucke et des Dal-
tons’s partis à la découverte
d’un trésor caché sous les
eaux de la Mer Rouge, en
Egypte. Invitation au voyage
encore avec M. et Mme
Bayod (Trélon) qui nous ont
fait découvrir les richesses
de la Pologne. De l’humour
avec Daniel Houley (Trélon)
qui, durant une vingtaine de
minutes nous a fait plonger
dans le monde des effets
spéciaux. Echanges et Dia-
logues, enfin, Qui nous a
présenté un film sur Trélon,
la commune où l’association
est installée.
Rappelons que ce
deuxième festival du ci-
néma amateur était dédié à
Gérard Collet, décédé il y a
quelques que mois. Gérard
Collet qui a animé, durant
de très nombreuses an-
nées, le club vidéo
d’Echanges et Dialogues.
Pour lui rendre hommage,
notre association a projeté
le court métrage qu’il avait
présenté lors de la première
édition : Touffu, l’écureuil.
Nous tenons à remercier ici,
les salariés et les bénévoles
de l’atelier-musée du Verre
de Trélon qui ont réalisés le
trophée et les petits ca-
deaux remis aux partici-
pants. Nos remerciements
vont également en direction
du Conseil général du Nord
qui a mis gracieusement à
notre disposition le bûcher
des moines.
Peu de monde, nous le di-
sions en préambule. Nous
avons comptabilisés deux
habitants de Liessies (qu’ils
en soient remerciés).
Aucun représentant des as-
sociations locales. A une
époque où l’on parle d’un
collectif rassemblant les
dites associations (voir ci-
dessus), nous serions ten-
tés de dire, c’est mal parti.
Bon d’accord, le cinéma est
un art (le septième dit-on) et
les films présentés, du
moins pour certains, de-
mandaient un minimum d’in-
telligence. Voilà peut-être la
raison pour laquelle les Laë-
titiens ne se sont pas dépla-
cés.
Gérard LEMAIRE
A votre serviceL’association C dans la boite dispose désormais d’unmatériel de prise de vue particulièrement performant: 3 caméras semi-professionnelles, un kit d’éclairage
3 X 800 W, une table de mixage vidéo permettantd’utiliser quatre caméras.
Ce matériel est parfaitement adapté pour les specta-cles ou les conférences.
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La commémoration du 11 novembre vue par les enfants
Quatre-vingt-quatorze ans
après la fin de la « Grande
guerre », le 11 novembre
1918, et depuis que le der-
nier «poilu« français survi-
vant soit décédé, en 2008, à
l’âge de 110 ans, suivi en
2011 de Charles Choules,
sujet britannique, dernier
vétéran connu dans le
monde, le devoir de mé-
moire prend tout son sens.
Il est indispensable de ne
pas oublier et donc, de «
rappeler à la jeunesse l’hor-
reur des guerres » a souli-
gné dans son discours
Claude Lemire, au nom de
l’ARAC. Il a également in-
sisté sur la nécessité de «
garder un idéal humaniste
précieux ».
De son côté, l’UNC par son
représentant local, Michel
Delvallée, a invité les CM2
des écoles de la commune
à participer au concours sur
la « Mémoire vivante » dont
l’objet est de promouvoir et
de transmettre l’Histoire aux
générations futures. Les
écoles Joliot-Curie, classes
de Sandrine Villeroy et Da-
niel Decaux ainsi que le
groupe Pierre-Semard,
classe de Lydie Rorhmann
ont participé à cette initia-
tive. Les épreuves de ce
concours consistaient à ré-
pondre à cinq questions
pointues sur la première
guerre mondiale au pro-
gramme du CM2 et, surtout
d’exprimer en une vingtaine
de lignes ce que représente
le monument aux morts.
C’est Lucile Bléhaut de
l’école Semard qui a été sé-
lectionnée pour représenter
la ville d’Aulnoye-Aymeries
au niveau de l’arrondisse-
ment et pour lire sa copie
aux monuments aux morts
lors de la commémoration
de ce 11 novembre. Ce
qu’elle a fait impeccable-
ment. Ses camarades ont
ensuite brillamment en-
tonné la Marseillaise.
Les autres lauréats du
concours sont Axelle Blan-
chot, Sounna Hadjad Aoul,
Léa Pietton, Léa Goin, Té-
touan Heidelberger, Dorinne
Stevance, Angeline Courtin
et Emeline Theilliez. Félici-
tations aux élèves et à leurs
enseignants.
Lucile Bréhaut.- « Sur le
monument aux morts de
notre ville, il y a la statue
d’un soldat portant un dra-
peau, et à côté de ce soldat
il y a une femme représen-
tant la France reconnais-
sante qui met une couronne
sur la tête du soldat. Il re-
présente le souvenir des
gens qui se sont battus pour
nous. Des personnes qui
sont mortes lors de la pre-
mière guerre mondiale et
des autres guerres
(deuxième guerre mondiale,
guerre d’Algérie…). Le 11
novembre, on va déposer
des fleurs, car ils se sont
battus pour nous, ils nous
ont protégés et ils ont pro-
tégé la France. Et grâce à
eux nous ne sommes plus
en guerre en France. Le
monument aux morts sert
donc à rendre hommage à
tous ces soldats courageux
«.
Journées des droits de l’enfant du 19 au 23 novembre
C’est avec une équipe departenaires soudés ques’annoncent les 17e Jour-nées des droits de l’enfantauxquelles les élus duconseil municipal desjeunes ont largement ap-porté leur contribution, pourla première fois cette année.L’occasion de réunir dansun même élan structuressportives et culturelles, ac-teurs sociaux, associationset collège. Tous ont préparédes actions en lien avec lesdeux thèmes retenus pourcette édition 2012 : bienveil-lance et bien-traitance. Cinqjours durant lesquels l’es-sence de la Convention in-ternationale des droits del’enfant prendra tout sonsens entre réflexions, débat,jeux à tout va et relaxation.
Le ProgrammeL’accès au sport pour lesenfants dans le monde.L’Office municipal dessports et la section footballdu collège Félix Del Marlelancent le débat sur l’accèsau sport, lundi 19 novembreà 14 heures et vendredi 23novembre à 14 heures, au-ditorium du collège.Ludothèque géante. Le cen-tre social Guy-Môquet setransforme en ludothèquegéante dans le cadre de lasemaine du jeu de société.Le public y sera accueilli les20, 22 et 23 novembre de17 heures à 18 h 30 et le 24novembre de 14 à17heures.Jeux de doigts et comp-tines. La consultation desnourrissons de la PMI seral’occasion de parler du bien-être et de l’importance dutoucher. Les familles et lesenfants partageront un mo-ment de complicité autourdes jeux de doigts et descomptines. Ce sont lesmembres du CAMSP quianimeront avec l’équipemulti-accueil. Mardi 20 no-vembre de 13 h 30 à 16
heures, Maison de la petiteenfance.Zoom sur la bien-traitance.Rencontre sur le thème dela bien-traitance dans lecadre de l’action de la pro-motion à la santé. Le doc-teur Lanco-Dosen,neuropédiatre, le CAMSP etle lieu multi-accueil propo-seront des ateliers interac-tifs autour du toucher, duconfort, du bien-être et dupartage avec l’associationNaturelle’Maman. Le mardi20 novembre à 18 heures,Maison de la petite enfance.Conte et relaxation.Jacques Gary, conteur etyogiste organise un atelierconte et relaxation pour en-seigner l’importance des’écouter pour se relaxer.Mercredi 21 novembre de15 à 17 heures à la Média-thèque.Les droits de l’enfant entrenten scène. Les différentspartenaires vous donnentrendez-vous à la salle desfêtes pour un après-midi lu-dique et théâtral. L’EHPADet le centre social Guy Mô-quet présenteront des scé-nettes sur la vie d’avant et
celle d’aujourd’hui tandisque les membres du Trem-plins Jeunes projetteront unmicro-trottoir réalisé dans laville. Puis lecture et atelierchorale avec Mots et mer-veilles et l’AGSS, scénettessur le droit à la différenceavec la Petite enfance, lec-ture d’une chanson compo-sée avec le centre social dela Florentine et BougezRock, quizz et expo photosavec la résidence serviceset le conseil municipal desjeunes, intermède musicalavec l’école de musique etgoûter avec l’école desconsommateurs. Mercredi21 novembre de 14 heuresà 16 h 30 à la salle desfêtes.« L’information préoccu-pante : quand faut-il signa-ler nos inquiétudes ? A qui ?Comment ? ». Vaste débatdestiné aux travailleurs so-ciaux et animé par le doc-teur Rigout, médecinresponsable de la PMI etClothilde Calonne, assis-tante sociale au CAMSP.Jeudi 22 novembre à 18 h15 au CAMSP.
Les Bains Douches se dotent d’une Bibliocabane aux couleurs de la Savane
« Un jour dans sa cabane,
un tout petit bonhomme
mangeait une banane »…
La célèbre comptine enfan-
tine peut désormais se dé-
cliner autrement à
Aulnoye-Aymeries puisque
dans la cabane des Bains
Douches, c’est à lire et à
rêver que peut se laisser
aller ce même petit bon-
homme.
Pour s’en rendre compte, il
suffit de monter à l’étage de
la structure d’accueil. Là, à
cheval sur deux pièces
trône la Bibliocabane. Faite
en bois de récupération, elle
offre plusieurs petits es-
paces pour permettre aux
enfants de se poser tran-
quillement, au calme, un
livre à la main. « Depuis jan-
vier 2012, nous travaillons
autour du livre que ce soit ici
en accueil des Bains
douches mais aussi lors des
animations de l’entre-midi et
des vacances », explique
Ozzy Labrosse, coordonna-
teur de l’Accueil Collectif
des Mineurs (ACM), « Notre
approche du livre n’est pas
strictement éducative mais
plutôt ludique. On a abordé
les contes, la BD, réalisé
des albums photos, écrit
des histoires… ».
Jusqu’au jour où par ha-
sard, le coordonnateur
tombe sur le site d’Anthony
Mazelin, un créateur cam-
brésien et sur la Biblioca-
bane que cet artisan avait
réalisé pour une autre struc-
ture. Dès lors, le projet fait
tilt et après accord du ser-
vice Politique de la ville,
Laure Dehon, animatrice,
prend le dossier à bras le
corps. « Un jour, un enfant
était assis avec un livre et
lorsque je me suis tournée
vers lui, il m’a répondu :
laisse moi tranquille dans
ma cabane. L’idée de petits
coins lecture vient égale-
ment de là », explique la
jeune femme. Restait à inté-
resser les jeunes au projet
et l’aventure était lancée. «
Je leur ai demandé d’écrire
sur de petits papiers dans
quels univers ils imaginaient
leur cabane de lecture.
Beaucoup ont cité la jungle
». Des images ont ensuite
été projetées sur les murs
du bâtiment de façon à réa-
liser fresque et dessins.
L’artisan de son côté réali-
sant palissades, mini-cof-
fres, petits escaliers,
rampes… grâce à du bois
de palette. La structure
montée, les enfants ont
remis la main à la pâte en
terminant les petits travaux
de peinture et en aména-
geant les deux niveaux.
Verdict : une Bibliocabane
aux couleurs de la savane,
des tigres convertis en gar-
diens de l’abri et des ser-
pents en peluche aux portes
du refuge …
Source : ville d’Aulnoye-Aymeries
Théâtre
Un patron véreux qui dirigeune Petite et Moyenne En-treprise dans le biscuit seheurte à la comptable qu’il avirée le jour même.Noyé dans ses problèmesfamiliaux et sentimentaux etrattrapé par ses magouilleset ses entourloupes, notrepatron cynique tente de se
débattre face à son em-ployée intègre et honnêtequi a une fâcheuse ten-dance à disjoncter.Coups fourrés, coups dethéâtre, coups de bambouet coups de canif dans lecontrat… Tous les coupssont permis dans cette co-médie humoristique qui au-rait pu s’intituler « cake 40».Les deux comédiens Jean-Jacques Devaux et FannyMermet vous donnent ren-dez-vous le samedi 24 no-vembre à la salle des fêtesde Trélon.Entrée 10 € (gratuite jusque12 ans). Réservations enmairie à partir du Lundi 29Octobre 03.27.60.82.20courriel : [email protected]
Mobilisation générale
Elle s’appelle Célia, habite à
Trélon et elle est atteinte
d’une maladie génétique
évolutive lui bloquant la
hanche et ce sont bientôt
ses articulations qui suivront
le même chemin. Toutefois,
il lui reste un espoir, une
opération qui lui permettrait
au moins de ne plus boiter.
Le problème c’est que cette
opération ne peut être effec-
tuée qu’à l’hôpital Necker à
Paris. Ce qui va entraîner
des frais. On parle d’une se-
maine de rééducation, puis
d’une seconde intervention
chirurgicale en 2013. Célia
devrait passer au total cinq
mois dans la capitale.
Des associations se sont
d’ores et déjà mobilisées
pour venir en aide à la fa-
mille de cette jeune fille de
14 ans A Trélon, le Dancing
club a, par exemple, décidé
lancer une collecte de fonds
avec le soutien des mairies
de Trélon, Fourmies et Gla-
geon. L’agent récolté per-
mettra, du moins on
l’espère, de financer les al-
lers-retours à Paris et
l’achat d’un ordinateur dont
Célia aura besoin pour
poursuivre ses études.
Le Dancing club vous invite
donc à venir assister, le sa-
medi 24 novembre, à la
salle des sports de Trélon
(près du collège Denis-Sau-
rat), à partir de 17 h 30 au
petit spectacle qu’il propo-
sera.
Renseignements : MyriamDelabye : 06 37 77 42 49.
AVESNOIS NEWS
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Nos communes, Villers-Sire-Nicole
Villers-Sire-Nicole est unpetit village français, situédans le département duNord et la région du Nord-Pas-de-Calais. Ses habi-tants sont appelés lesVillersois et les Villersoises.La commune s’étend sur8,5 km² et compte 991 habi-tants depuis le dernier re-censement de la populationdatant de 2007. Avec unedensité de 117,3 habitants
par km², Villers-Sire-Nicolea connu une hausse de3,7% de sa population parrapport à 1999.Entouré par les communesde Bersillies, Vieux-Reng etGognies-Chaussée, Villers-Sire-Nicole est situé à 8 kmau Nord-Est de Maubeugela plus grande ville à proxi-mité.Situé à 114 mètres d’alti-tude, Le ruisseau des présà rieux, le ruisseau du cas-telet, le ruisseau de l’hôpitalsont les principaux coursd’eau qui traversent la com-mune de Villers-Sire-Nicole.La commune est proche duparc naturel régional del’Avesnois à environ 5 km.Le maire de Villers-Sire-Nicole se nomme monsieurHervé Pourbaix.
Cette carte postale an-
cienne (rare) du début du
siècle passé est une des
deux seules qui datent de
cette époque. Elle repré-
sente le passage à niveau
proche de la gare de Tré-
lon/Glageon. Sur cette prise
de vue on n’aperçoit pas la
petite maison du garde-bar-
rière. C’est souvent
l’épouse d’un cheminot qui
occupait cette fonction. Au
début il existait les barrières
à deux ventaux, plus tard
les lourdes barrières mon-
tées sur roues qui se dépla-
caient latéralement sur un
rail (c’est le cas ici), puis
vint la barrière à levage mé-
canique que le garde-bar-
rière actionnait à l’aide
d’une manivelle, en atten-
dant l’automatisation que
nous connaissons au-
jourd’hui.
Vu sur Chrisnord...
Les églises fortifiées de la Thiérache : Cuiry-lès-Iviers
Le village de Cuiry-lès-Iviers
est situé à 40 km au Nord-
Est de Laon, à 15 km au
Sud-Est de Vervins et à 14
km au Sud de Hirson.
Une église fortifiée, c’est
déjà une curiosité architec-
turale et aussi «philoso-
phique«., mais si en plus
elle est sans âge...
En arrivant dans le bourg,
comme souvent, onlève les
yeux pour chercher un haut
clocher. Mais ici, grande
surprise , point de pointe
dans le ciel ni de girouette
en forme de coq.
L’incroyable bâtiment fait
penser à une maison forte
ou une ancienne ferme
bourgeoise, mais c’est en
réalité l‘église fortifiée de
Cuiry-lès-Iviers.
Le choeur est un bâtiment
plus haut que la nef. Il est
flanqué de deux tours circu-
laires de dimensions et dia-
mètre différents. Deux
détails nous nforment que
cette construction est défen-
sive : chaque tour possède
des petite fentes de tir pour
fusil ; sous le toit, des ouver-
tures trahissent la présence
d’une salle de repli.
A l’autre bout, la nef est pro-
tégée par une puissante
tour ronde coiffée d’un clo-
cheton d’inspiration fla-
mande. Ce ne sont point
des fentes de tir qui protè-
gent l’entrée mais des ca-
nonnières inégalement
réparties sur deux niveaux .
En prenant un peu de recul,
obn ne s’explique pas la
présence d’une seule tour
pour la nef alors qu’il est si
logique d’en voir deux sur la
nef.
Comme souvent durant
notre siècle, les églises sont
fermées. Celle-ci ne déroge
pas à la règle.
Histoire de l’église.- Au
16e siècle, construction de
l’église. Au 17e siècle,
construction de la nef. En
1989, l’église est inscrite
aux Monuments Histo-
riques. Au 21e siècle, la dé-
couverte de l’extérieur de
l’église est libre et gratuite.
La visite des tours est inter-
dite.
La croix des Charmilles à Trélon
Une légende « récente » et
abondamment colportée
pendant près d’un siècle,
les Trélonais ont cru que
sous la croix des charmilles
se trouvaient des soldats
russes. Celle légende de «
la croix des russes » ne
s’appuie sur aucun fait ou
document historique extrait
des archives familiales Me-
rode. La rumeur paraît se
propager suite à une visite
du château le 15 Avril 1914,
où il est signalé que « les
russes, au commencement
du XIXe siècle, se sont
chauffés en brûlant les meu-
bles de l’ancien mobilier ».
Cette étrange déclaration
est sans rapport avec les
comptes que tenait scrupu-
leusement le régisseur
entre 1814 et 1818 et où il
notait toutes les dépenses
occasionnées par les rares
passages d’officiers d’occu-
pation.
C’est en 1833, « en creu-
sant sous les fondations du
château la nouvelle cave »,
que furent découverts plus
de vingt cercueils. Cin-
quante ans plus tard (1883),
E. Chevalier, dans son «
Dictionnaire topographique
de l’Arrondissement
d’Avesnes » rappelle les
inscriptions que nous pou-
vons toujours lire sur le pié-
destal de cette croix : «Ici
sont déposés les osse-
ments trouvés dans plus de
vingt cercueils sous les fon-
dations du château de Tré-
lon en creusant la nouvelle
cave construite en 1833.
RIP«.
Il est bien difficile au-
jourd’hui, en l’absence de
toute description des cer-
cueils en 1833 et de data-
tions actuelles, de
déterminer l’origine des os-
sements qui ont été dépo-
sés sous cette croix.
Toutefois, la simple accu-
mulation des cercueils et
l’ancienneté apparente de
certains os mis au jour lors
de travaux récents à proxi-
mité de la croix laisse à pen-
ser que l’on n’a pas trouvé
en 1833 des sépultures
classiques mais un lieu de
dépôt de cercueils que l’on
souhaitait placer dans l’en-
ceinte du château.
La crypte de l’église de Tré-
lon, qui s’ouvrait « dedans
la chapelle » du seigneur et
où ont été enterrés le « 3e
prince de Holstein et ses
ancêtres », ayant été appa-
remment comblée bien
avant 1850 (date de repa-
vage du chœur), il est pos-
sible qu’en pleine révolution
les administrateurs du châ-
teau et les autorités munici-
pales aient déplacé les
cercueils de la crypte, à l’ex-
ception des plombs de pro-
tection et d’identification
récupérés.
Source : Chrisnord
Réchauffement climatiqueDans le cadre des «grand
messes« mondiales don-
nées chaque année pour
lutter contre le réchauffe-
ment climatique, l’Union eu-
ropéenne s’est engagée à
améliorer son «efficacité
énergétique« de 20 % d’ici
2020. Il s’agit de rendre plus
performants systèmes élec-
triques, bâtiments, usines...
La commission européenne
veut édicter une directive
pour que les Etats tiennent
leurs promesses mais cer-
tains d’entre-eux ne l’enten-
dent pas de cette oreille et
font tout pour vider le texte
de sa substance... en parti-
culier la France.
Précarité énergétiqueL’an dernier, 3,8 millions de
ménages ont consacré plus
de 10 % de leur budget aux
dépenses énergétiques in-
dique le médiateur national
de l’énergie dans un rapport
publié le 20 mars dernier. la
précarité énergétique
frappe particulièrement les
ménages modestes en mi-
lieu prériurbain ou rural, vi-
vant dans des logements
anciens. Le médiateur pré-
conise la création d’un
«chèque énergie« attribué
par la caisse d’allocations
familiales. Son montant
tiendrait compte des reve-
nus et des performances
énergétiques du logement.
Avis de rechercheL’association C dans la boite envisage de tourner unfilm policier sur le territoire des communes de Lies-sies et de Willies. Pour ce faire, elle a besoin de co-médiens, de figurants et de personne pour le stafftechnique (clap, photos de plateau, éclairages...).
Si vous habitez Liessies ou Willies, voire une com-mune proche n’hésitez pas à nous contacter à
l’adresse suivante : [email protected] ouen appelant le 07 70 71 10 52.