03.12.2009

OUEST-FRANCE

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-eoliennes-le-chantier-a-debute-sur-le-site-de-Penquer_-1177594_actu.Htm

AU FIL DE L'INFO Moustéru13:38 - jeudi 03 décembre 2009

Le maire de Moustéru, Gérard Hervé, s’est rendu sur le chantier où l’empierrement et les chemins d’accès sont en cours de réalisation.

Éoliennes : le chantier a débuté sur le site de Penquer

Le chantier du futur parc éolien dit de Penquer vient de démarrer. C’est la société Electrawinds Bretagne 1, qui en aura l’exploitation. La capacité de production des huit machines localisées sur les communes de Gurunhuel et de Moustéru est de 12 mégawatts. La société Eiffage de Mûr-de-Bretagne procède actuellement à la construction des plateformes après avoir empierré les chemins d’accès. Le maire de Moustéru, Gérard Hervé, qui s’est rendu sur le chantier a indiqué que « la livraison des éoliennes est prévue pour l’été 2010. » À noter que deux autres éoliennes vont être implantées sur la commune voisine de Tréglamus.

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energies-vertes.info

http://energies-vertes.info/2009/12/valorem-choisi-la-technologie-eolienne-2-5xl-de-ge/

Valorem choisi la technologie éolienne 2.5xl de GE

By energies renouvelables ⋅ December 3, 2009 ⋅ Envoyer un commentaire

Un nouveau parc éolien situé en Picardie, inauguré le 27 novembre dernier**, a accueilli les premiers exemplaires français de la technologie éolienne la plus évoluée de GE : la 2.5xl. Pour ce nouveau projet, huit éoliennes GE de 2,5 MW ont été mises en service sur 2 sites, dans les villages de Laucourt et de Beuvraignes, en Picardie. Grâce à l’énorme potentiel éolien de la région et à ses grandes zones agricoles, propices à l’installation d’éoliennes, on compte plus de 400 MW d’énergie éolienne déjà installés, ce qui représente environ 25 % de la consommation électrique des

foyers picards, selon le Syndicat des énergies renouvelables.D’un rotor au diamètre de 100 mètres, le modèle 2.5xl est la plus grande éolienne de GE pour des applications terrestres. “L’augmentation des dimensions des éoliennes s’est avéré un facteur clé de succès, nous permettant d’optimiser la production électrique par éolienne installée” affirme Jean-Yves

Grandidier, Président de Valorem. “Une meilleure capacité de production associée à la fiabilité éprouvée de la technologie éolienne de GE : voilà les arguments décisifs qui nous ont convaincus d’opter pour les turbines 2.5xl pour cet important projet.“[ En début de semaine, Enerzine avait relaté l'inauguration du parc éolien d'Estinnes en Belgique intégrant 11 éoliennes Enercon E-126 d'une puissance maxi de 7 MW pour un rotor de 127 mètres. ]D’après les mesures de vent réalisées par le client, les parcs devraient générer chaque année plus de 55 millions de kWh d’électricité d’origine renouvelable pour le réseau EDF. Les éoliennes 2.5xl sont équipées de la technologie avancée d’intégration au réseau de GE, dont le Low Voltage Ride-Thru(r), leur permettant de répondre aux nouvelles exigences en termes de disponibilité et d’injection de courant sur le réseau.A ce jour, près de 200 éoliennes de GE d’une puissance unitaire de 2,5 Mégawatts ont été installées dans 9 pays, dans une configuration de 50 ou 60 hertz, avec plus d’1 million d’heures de fonctionnement. De plus, GE a reçu des commandes pour la fourniture, l’an prochain, d’éoliennes 2.5xl pour une capacité totale d’un Gigawatt.Ce nouveau projet contribue à l’engagement de la France de produire, d’ici 2020, 23 % de son énergie à partir de sources renouvelables. Dans son dernier plan de développement des énergies renouvelables, le MEEDM a fixé comme objectif la production, d’ici 2020, de 25 000 MW grâce à l’énergie éolienne, dont 19 000 MW par des parcs éoliens terrestres. L’Union européenne (UE) prévoit de réduire, d’ici 2020, ses émissions de gaz à effet de serre de 20 % tout en atteignant une proportion de 20 % de la consommation énergétique issue de sources renouvelables. ** Valorem SAS, développeur de projets et producteur indépendant d’énergie français et BL Finance[Credit image : GE][1] Source : MEEDM

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OUEST-FRANCE

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Entre-l%E2%80%99eolien-et-la-Vendee-une-idylle-de-plus-en-plus-compliquee_-1177946_actu.Htm

AU FIL DE L'INFO Roche-sur-Yon18:33 - jeudi 03 décembre 2009

La Vendée dispose de ressources en vent encore importantes. Mais le Département traîne de plus en plus les pieds pour installer de nouvelles éoliennes. : DR

Entre l’éolien et la Vendée, une idylle de plus en plus compliquéeL’éolien n’a plus la cote au conseil général. Le Département est aujourd’hui parti en croisade contre cette énergie qui n’aurait pas toutes les vertus qu’on lui prête. Cette semaine, un scientifique, Jean-Pierre Pervès, de l’association Sauvons le climat, était en Vendée pour prêter main-forte à Joël Sarlot qui organisait une conférence sur les limites de l’éolien. L’élu et le scientifique ont vilipendé la gabegie financière que représenterait l’éolien. L’éolien n’est pas non plus pour eux la panacée écologique face à la problématique du réchauffement climatique. Un avis qui n’est pas partagé par tout le monde. Quelques

élus vendéens ne comprennent pas cette opposition tranchée du Département. Et les opérateurs font le forcing pour implanter de nouvelles éoliennes sur terre comme sur mer. Le méga-projet de ferme éolienne entre l’île d’Yeu et Noirmoutier (120 éoliennes, pour une puissance installée de 600 mégawatts) reste d’ailleurs toujours d’actualité, malgré l’hostilité affichée de Philippe de Villiers, président du conseil général.Retrouvez notre enquête dans l’édition de demain.+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++03.12.2009

OUEST-FRANCE

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Le-conseil-municipal-de-Bailleul-OK-pour-l-eolien_-1177728_actu.Htm

AU FIL DE L'INFO Bailleul15:43 - jeudi 03 décembre 2009Le conseil municipal de Bailleul OK pour l'éolien

Le conseil municipal de Bailleul s'est prononcé, hier soir, sur le projet de zone de développement éolien (ZDE) proposé sur sa commune. La ZDE prévoyant une douzaine de communes (des CDC d’Argentan et d’Écouché) susceptibles d’accueillir des éventuelles implantations d’éoliennes. Par 11 voix contre 3 (et un absent excusé), le conseil s’est dit d’accord avec le projet ZDE. Seul le conseil municipal de Sarceaux ne s’est pas encore prononcé, il le fera demain soir.

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USINE NOUVELLE

http://www.usinenouvelle.com/article/eolien-rte-a-la-recherche-du-smart.N122524

Eolien : RTE à la recherche du smart Le 03 décembre 2009 par Ana Lutzky

© D.R.Jusqu’à quel point peut-on compter sur l’éolien ? Alors que la question de son intermittence pose directement celle de sa place dans le mix énergétique, RTE s’est doté d'un outil censé permettre à la France de faire mieux que l’Espagne en finesse de gestion de réseau.

Le débat fait rage sur la part que doivent prendre les énergies photovoltaïque et en particulier éolienne dans le mix énergétique. Motif : leur intermittence, qui rend difficile l’ingestion en masse des électrons venus des capricieux instants d’ensoleillement et de vent, pour faire face à la demande. Deux visions s’opposent : le patron d’Alstom Power, Philippe Joubert, déclarait ainsi récemment à l’Usine Nouvelle.com qu’ « au-delà de 15% d’éolien dans le réseau », le gestionnaire de réseau ne pouvait gérer l’afflux de courant.

Nicolas Wolff, président de France Energie Eolienne, branche éolienne du Syndicat des énergies renouvelables, et directeur général France de Vestas, producteur mondial de turbines danois, nous répondait au contraire qu’il « ne voyait pas d’où venait ce chiffre », estimant que la limite tenait surtout au degré de finesse de gestion du réseau.

L’exemple espagnol fait également bouger les lignes. Le 9 novembre, l'électricité éolienne a atteint 53% du total en Espagne et dépassé pour la toute première fois celle produite par des moyens conventionnels. « Pour ne pas dépendre de l’intermittence du vent, elle a couplé chaque centrale éolienne avec une petite

centrale hydroélectrique. On sort des lieux communs « avec l’éolien, quand il n’y a pas de vent, il n’y a pas d’électricité », indiquait ainsi Stéphane Lhomme, porte-parole du réseau Sortir du nucléaire à l’Usine Nouvelle.com.

UN OUTIL NOMMÉ IPES

La volonté politique semble d'ailleurs se faire jour en France sur cet enjeu. Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer et Dominique Maillard, président du directoire de Réseau de Transport d'Electricité (RTE), ont par exemple dévoilé en grande pompe, lundi 30 novembre, un nouvel outil de prévision des productions des énergies éolienne et photovoltaïque. Un instrument nommé IPES, pour « Insertion de la production éolienne et photovoltaïque dans le système électrique ». Fort à propos, ce produit des plus stratégique est issu des bureaux d’étude d’Areva T&D, la fameuse branche de transmission et de distribution d’électricité d’Areva dont le futur rachat par le tandem Alstom et Schneider a déclenché une polémique encore vive sur le « patriotisme économique ». Une gageure alors que se pose la question des smart grids : la licence de ce produit tombera vraisemblablement dans l'escarcelle d'Alstom, une fois la vente conclue et la répartition des actifs entre Alstom et Schneider réalisée. Soit entre les mains de Philippe Joubert, patron d'Alstom Power, qui tout en misant de manière très modérée sur la fabrication de turbine d'éoliennes, regarde de près les technologies des réseaux intelligents.

Le produit est déjà utilisé au Danemark et en Irlande. Son objectif : améliorer l'observabilité et la prévisibilité des équipements, afin de pourvoir affiner les prévisions du gestionnaire de transport de courant français. Grâce à IPES, RTE dispose d'une prévision à 24h, à 3% près, de la production éolienne en France. Basé à Toulouse, le système IPES permet de connaître tant les historiques de production des quatre jours précédents que les anticipations des deux jours suivants. Il est accessible des huit centres de dispatching de RTE (l’un est basé à Saint-Denis en région parisienne, et les sept autres dans d’autres régions).

« Produit quasiment standard d'Areva T&D (le contrat est autour de 500 000 €), IPES a été développé également en interne », expliquent nos confrères du Moniteur. « S’il s'est inspiré des modèles déjà existants de pays comme l'Espagne et l'Allemagne, où la production éolienne est bien plus importante, D.Maillard espère que RTE est allé "un cran au-dessus" », poursuivent nos confrères. Irait-on vers le modèle espagnol en sourdine ?

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01.12.2009LES ECHOS

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LES ECHOS

http://www.energie2007.fr/actualités/fiche/2211/ploufragan_jouanno.htlm

Retour 

Welcome back Ploufragan?Fournisseurs | 2009-12-02 10:07:00 | Administrateur 'Energie 2007'

La centrale de Ploufragan a fait l'objet hier d'un échange entre Dominique de Legge, sénateur d'Ille-et-Vilaine (UMP) et Chantal Jouanno, secrétaire d'Etazt à l'Ecologie, à l'occasion de l'examen du budget du ministère de l'Écologie (projet de loi de Finances). Le sénateur a rappelé que "l'approvisionnement en énergie pose toujours des problèmes en Bretagne", une région qui "produit moins de 5 % de ses besoins". Faisant état de la date critique du 6 janvier 2009, il a estimé que si la Bretagne n'a pas été "plongée dans le noir" ce jour-là, "c'est grâce au dispositif d'alerte Ouest-éco-watt, qui permet à des abonnés de réduire instantanément leur consommation électrique". Après avoir promu Ecowatt, Dominique de Legge est revenu sur le projet de création d'une centrale thermique à Ploufragan: "avancé puis repoussé, il n'a toujours pas vu le jour, alors qu'aucune autre solution raisonnable et crédible n'existe. Je n'ignore pas les oppositions locales suscitées par ce projet, fondées sur des arguments plus ou moins sérieux que l'on doit certes examiner. Il y a cependant un

moment ou l'intérêt général doit primer sur les intérêts particuliers. Je peine à comprendre que l'on puisse à la fois déplorer la situation actuelle et refuser la construction d'unités de production nouvelles et de lignes d'approvisionnement. Certes, les collectivités bretonnes investissent beaucoup dans les énergies renouvelables, mais le parc éolien actuel ne peut suffire ni pour l'usage domestique ni pour l'usage industriel".En termes de calendrier, Soulignant qu'après une réunion au cabinet du Ministre au printemps dernier, "des arbitrages devaient être rendus en juin", le sénateur a souhaité connaître la position du Gouvernement: "votre décision sur la création d'une unité de production dans notre région, à Ploufragan ou ailleurs, est attendue par les Bretons". Danx sa réponse, Chantal Jouanno a indiqué que la centrale serait effectivement opérationnelle en 2012: "l'appel d'offres pour la centrale de Ploufragan a été remporté, avec l'engagement que la centrale soit mise en marche en 2012. D'ici là, on ne pourra agir que sur la maîtrise de la demande".

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OUEST FRANCE

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-L-eolien-fait-rever-la-Navale-_-1176969------29233-aud_actu.Htm

Finistère

L'éolien fait rêver la Navale jeudi 03 décembre 2009

Les énergies marines renouvelables étaient hier en vedette aux Assises de l'économie de la mer à Brest. Lire aussi page 5. Après avoir présidé les cérémonies du départ de la Jeanne-d'Arc, le premier ministre François Fillon a confirmé hier à Brest la création d'« une grande plate-forme technologique sur les énergies marines avec pour chef de file l'Ifremer, associant les acteurs publics et les acteurs privés » que nous annoncions dans notre édition d'hier.

Il s'est exprimé devant une salle du Quartz bourrée à craquer (1 300 personnes), qui venait d'assister à une session sur les énergies marines renouvelables. Les éoliennes en mer étaient en effet l'une des vedettes des Assises de l'économie maritime organisées pendant deux jours par l'hebdomadaire Le Marin (filiale d'Ouest-France) avec le quotidien économique Les Échos.Il faut dire que le sujet semble prometteur économiquement. Pierre Langandre (Compagnie du vent) annonce que le projet de sa société de 142 éoliennes au large du Tréport sera capable d'alimenter l'équivalent d'un département comme le Finistère pour un investissement de 1,8 milliard d'euros : un chantier de 2 000 emplois pendant trois ans. Et là on est dans le domaine des éoliennes posées sur le fond de la mer. Mais déjà, la Navale, avec DCNS, mise sur les éoliennes flottantes qui peuvent représenter une réelle diversification. Pour le moment, ces éoliennes implantées plus loin des côtes et sur des fonds bien plus importants sont beaucoup trop chères. Les opérateurs remarquent aussi que pour les énergies renouvelables, le prix du kilowatt-heure reste trop bas pour être rentable sans risque. Se pose aussi le problème du raccordement au réseau financé par le privé... ou la collectivité ? Autant de problèmes politiques qui restent à résoudre quand la France a déjà pris du retard dans ce domaine par rapport aux Allemands ou aux Danois par exemple.Inquiétude des pêcheurs enfin. Certes, la Compagnie du vent précise qu'entre ses éoliennes distantes de un tiers à un demi mille (600m à 900m) on pourra naviguer et pêcher au casier et au filet, mais pas chaluter. Pas de chalut ni de drague non plus sur les 14 kilomètres de cables électrique entre la côte et la ferme éolienne. Ce qui conduit René-Pierre Chevert, secrétaire du Comité des pêches du Guilvinec à conclure : « Plus elles seront flottantes et loin au large, plus nous serons satisfaits. »