aube nouvelle - mars 2010

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bulletin mensuel d'informations et de formation des Salésiens coopérateurs de Don Bosco - Groupe local de LIEGE

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Page 1: Aube Nouvelle - mars 2010

AUBEAUBEAUBEAUBE

NOUVELLENOUVELLENOUVELLENOUVELLE PERIODIQUE MENSUEL D’ INFORMATION ET DE FORMATION NE PARAIT PAS EN JUILLET ET AOUT

SALESIENS COOPERATEURS Rue des Wallons,59. B.4000. LIEGE

—————————————————————————— N° 336. MOIS MARS ANNEE 2010

—–———————————–—————— EDITEUR RESPONSABLE

DEPOT DE LIEGE X ANNE-MARIE GOOSSENS 2, Rue des Anémones. B .4000. LIEGE.

Belgique-België P.P.- P.B.

4340 LIEGE BC 23809

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INVITATION Vendredi 19 mars 2010 ré-union des Salésiens Coopérateurs et Salésiennes Coopératrices . Celle-ci aura lieu rue des Wallons, 61 4000 Liège. Notre groupe est ouvert à tous ceux qui désirent faire un bout de chemin avec nous, n’hésitez pas.

HORAIRE : 19h30 Thème : Communication/

Famille Temps de prière.

Sommaire.

p. 2 Invitation p. 3 Editorial p. 4 à 6 Temps de prière p. 7 à 13 Dossier p. 14 Prière à St Joseph Route de carême p. 15 Fin du temps de prière p. 16 Prière des Grands -Parents p. 17 Merci pour les participations Décès p. 18 Résumé réunion février : Humilité - Puissance. p. 19 Calendrier.

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EDITORIAL Ce qui nous est proposé durant ce temps de carême, c’est de nous arrêter pour faire le point pour repartir avec un enthou-siasme neuf à la suite de Jésus et au service de nos frères. Quoique nous en pensions, quoi que nous fassions, nous de-vons bien reconnaître que, malgré nos bonnes intentions, nous nous laissons enfermer dans des routines, nous accu-mulons toutes sortes de paresses, de rancunes, de peurs aussi. Nous donnons trop de place à tant de choses de peu d’importance. Et si le Carême, c’était un temps privilégié pour nous désen-combrer ? 40 jours … - Pour relativiser ce que nous vivons de bien, de fort, de valorisant, mais aussi de moche et de décourageant , - Pour retrouver le goût et le prix de la vie, - Pour renoncer à l’anonymat et au chacun pour-soi et refaire connaissance de l’autre et du partage, - Pour, face au rejet et à l’exclusion, travailler à l’accueil et au respect de chacun, - Pour combattre la morosité et le découragement en susci-tant la joie et l’espérance. Le Carême ? Une période de maturation et de croissance dans l’Amour de Dieu qui nous aidera à devenir des VI-VANTS, soucieux de vivre en cohérence avec ce que nous croyons. (extr. « Trait d’union » unité pastorale - N-D des sources)

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TEMPS DE PRIERE .

Introduction :

Chaque enfant a son individualité propre ; à la lumière de la foi, les parents serviront cette vie nouvelle en l’aidant à devenir li-brement elle-même. L’espace de liberté vraie dans lequel les fils et les filles doivent pouvoir entrer, est l’espace de l’amour véritable. Heureux les enfants qui peuvent faire l’expérience de la toute-puissance de l’amour qui, malgré les défauts, veille sur eux. Heureux les enfants qui ont appris de leurs parents, com-me allant de soi, l’art de trouver sa vie en la donnant aux au-tres. Heureux ceux et celles qui, dès leur jeune âge, ont appris de leurs parents à aimer le Christ et à entendre son appel. Le respect des parents s’étend plus largement à celui des grands-parents et de toutes les personnes âgées, spécialement celles qui sont abandonnées de leur famille. Les aimer c’est aussi créer des conditions d’existence et d’intégration de ces personnes dans la vie de la communauté humaine et chrétien-ne. (Livre de la Foi, les Evêques de Belgique) Chant : Chant de louange (C.D). Avis de recherche : Dans la longue caravane qui s’étire sur les chemins poussié-reux qui mènent à Jérusalem, dans la longue litanie des croyants qui prend la route pour honorer le Dieu d’Abraham et de Moïse, dans la longue marche des pèlerins anonymes de la foi : un ado a lâché la main de ses parents et va, de son pas, découvrir le monde pour honorer

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Ce monde, c’est aussi Celui d’une Parole, à lui confier dans le temple et qui lui ouvre des horizons insoupçonnés, si bien qu’il reste scotché aux lèvres des commentateurs et qu’il y va ensui-te de sa lecture sans doute déjà libre et contestataire. A cette allure, on ne voit pas le temps passer. La caravane du retour, depuis longtemps s’est ébranlée, la tête et le cœur pleins des merveilles d’un Dieu dont fait mémoire la Pâque jui-ve. Et lui, l’ado divin, toujours immergé dans cette Parole, se sent chez lui, chez son Père et il s’y sent bien. Déjà, il perçoit que la tâche sera immense pour faire émerger le Visage caché sous le fatras légaliste. Joseph et Marie sont désemparés. Déjà parti sur les chemins ? Fugue ou mission ? L’avis de recherche se transmet tout au long de la caravane. Il faut reprendre la route à contre-courant, questionner sans répit, trouver une piste que l’angoisse vient brouiller, jusqu’au temple. Là, il est assis, écoutant, questionnant, enseignant. Il n’est plus à eux, il est à son Père dans sa vraie filiation. Et la loi, déjà, sort du Livre pour prendre les chemins de la vie. (André STUER).

Alleluia ! Evangile. Marc 10. 13-16 Jésus et les enfants. Des gens lui amenaient des enfants pour qu’il les touche, mais les disciples les rabrouèrent. En voyant cela, Jésus s’indigna et leur dit : »Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le Royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux.

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En vérité je vous le déclare, qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant, n’y entrera pas » Et il les em-brassait et les bénissait en leur imposant les mains. Vos enfants ne sont pas vos enfants : Vos enfants ne sont pas vos enfants, ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas. Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves. Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne ten-tez pas de les faire comme vous. Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier. Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetées. L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il tend de sa Puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ; car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable. (Khalil GIBRAN)

Père, source de tout amour. Père, source de tout amour, Tu rêves de rassembler tes enfants dans une grande famil-le Aide-nous à vivre comme des frères. Apprends-nous à par-tager et à pardonner, A mettre les talents que nous avons reçus de Toi au servi-ce de tous, principalement des plus faibles. Voir suite p. 15

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D O S S I E R

LA FAMILLE DANS LA BIBLE

Dans le monde biblique, la famille était la cellule de base de la société. Elle a même longtemps constitué une véritable entité juri-dique. A l’opposé de notre société actuelle, l’individu pesait peu par rapport à la famille : il n’existait pas en dehors d’elle. La famille était donc l’élément essentiel de la vie sociale, Il n’y avait pas de nom de famille au sens où nous l’entendons, mais on appelait les gens en fonction du nom de leur père . Dans le Nouveau Testament, on trouve par exemple dans le même épisode : Jésus, fils de David , et Bar-timée, le fils de Timée (Mc 10, 46-48)

La famille était aussi une entité religieuse, elle était même la communauté religieuse de base, avec ses fêtes, dont le pè-re était le célébrant. C’est ainsi que le repas de la Pâque se prenait (et se prend encore) en famille ou entre proches et en tout cas à domicile et non à la synagogue ou au Temple. (Lc 22,7-13) Le terme « famille » recouvrait une réalité plus large qu’au-jourd’hui. En araméen comme en hébreux, le même mot peut désigner le frère, le demi-frère, le cousin, le proche parent. Mais les liens du sang constituaient un lien que rien ne devait défaire. On en trouve trace dans le Nouveau Testament, la conversion du père entraînant celle de toute la famille : Jn 4,53

Il était donc capital pour l’homme d’assurer la pérennité de la famille, et donc de se marier. En Israël, le célibat a

très longtemps été une anomalie, quasiment une honte. Ce-

pendant certains religieux, appelés les nazirs, gardaient le

célibat ou la continence pendant un certain temps. Cela

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avait un peu changé au temps de Jésus, où il y avait des cé-

libataires par vocation : (Mt 19,12). On les trouvera notam-

ment chez les Esséniens. Et si st Paul est un partisan du cé-

libat, il n’en fait pas une règle pour autant : (1 Co 7,1-9)

SE MARIER, OUI…MAIS AVEC QUI ?

On ne vivait forcément pas très longtemps, alors on se mariait jeune : 18 ans était un bon âge pour les garçons. Quand aux filles, on les mariait souvent entre 12 et 13 ans. Dans la plupart des cas, c’était les parents qui mariaient leurs enfants. C’était le père du futur époux qui avait l’initiati-ve, puisque c’était sa famille qui allait s’agrandir. Certains rab-bis recommandaient de ne pas prendre de femme d’un rang social inférieur, car c’était un déshonneur pour la famille. Mais d’autres rabbis recommandaient le contraire pour que l’homme ne soit pas méprisé par une femme de plus haute naissance que lui…

Les Israélites étaient, du moins en théorie, restés longtemps fidèles au principe d’endogamie : on épouse des gens de sa propre race, voire de sa tribu : les parents de Moïse (Ex 2,1) Mais on pouvait difficilement ignorer ou cacher que le premier-né d’Abraham était issu d’une femme égyptienne(Gn 16,1-4), que Ruth, ancêtre du roi David, était une Moabite (Rt 1,1.4), et que ce même David avait pris pour femme Bethsabée, une Hittite(2 Sam 11,2-5) Aucun texte n’interdisait clairement le mariage exogamique, mais la tradition du refus du mariage avec une étrangère était quand même très ancrée dans la culture juive.

L’AUTORITE DANS LA FAMILLE

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Le père était vraiment le chef de famille au sens le plus fort du mot « chef » Sa femme l’appelait « seigneur » ou « maître » le mot « famille » se disait d’ailleurs souvent « maison du père » Tout, personnes et biens, était soumis à l’autorité du père. Le respect que lui devaient ses enfants était tout proche de ce-lui qu’ils devaient à Dieu. Le respect des parents, inscrit dans la loi, était resté très vif au temps de Jésus. La vie était très ca-drée, et les filles particulièrement surveillées : (Si 42,9-11)

LA PLACE DE LA FEMME

Les hommes interprétaient souvent ce texte des « dix comman-dements » en lui faisant dire que la femme était propriété de son mari au même titre que le reste, serviteurs, animaux etc. La morale conjugale était sévère au temps du Christ. La femme devait fidélité absolue à son mari, mais ce n’était pas récipro-que. Son époux pouvait la répudier sans difficulté, l’inverse étant extrêmement rare. Le Talmud stipule d’ailleurs que l’hom-me devait chaque jour remercier Dieu de ne l’avoir fait naître ni païen, ni esclave, ni femme ! Tandis que la femme devait elle, se contenter de dire « Loué sois-tu, Seigneur, qui m’a créée se-lon ta volonté »… Les femmes ne mangeaient pas avec les hommes, elles se tenaient à l’écart dans la rue et dans le Tem-ple, et elles sortaient très peu de chez elles, sauf par nécessité. Un homme ne parlait pas à une femme dans la rue. Le témoi-gnage de la femme n’avait pas de valeur juridique, et elle ne pouvait pas hériter. On trouve dans l’Ancien Testament un véri-table florilège de la misogynie : livre des Proverbes (21,9-19 ; 27,15)

LA NOUVEAUTE DU …NOUVEAU TESTAMENT La société Israélite, même au temps de Jésus, était divisée, cloisonnée en catégories bien distinctes : sur le plan des rela-tions entre les peuples, il y avait les juifs d’un côté, les

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païens de l’autre. Sur le plan de la vie sociale, il y avait d’un côté les hommes, de l’autre les femmes, les enfants et les esclaves. Or le Christ va rencontrer indifféremment les hommes et les femmes, les juifs et les païens, les malades et les bien-portants, les religieux et les prostituées, il va mettre en avant les enfants : le message de l’Evangile affirme une liberté tota-le dans les relations humaines, Jésus n’hésitera pas à laisser des femmes l’accompagner (Lc8,1-3) ou à leur confier une mission (Jn20,17). Nous savons que les premiers témoins de la résurrection du Christ sont les femmes : (Mt 28,8-10 ; Jn 20,13) Elles reçoi-vent le message de l’ange annonçant la résurrection, mais elles ne seront pas crues pour autant : (Lc 24,5-11). Au fond l’Evangile, en ouvrant une brèche dans l’organisation socio-religieuse de l’époque, annoncera une certaine complémen-tarité homme-femme : bien quand principe est juif l’enfant né d’une mère juive, c’est Joseph et non Marie qui est de la des-cendance de David et qui donne sa légitimité au titre de « Fils de David » donné à Jésus. Jésus, célibataire, va élargir la notion de famille. Les trois évangiles synoptiques rapportent cet épisode de la rencontre de Jésus avec sa famille : on lui annonça : » ta mère et tes frères se tiennent dehors ; ils veulent te voir ». Il leur répon-dit : « ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la mettent en pratique » (Lc 8,20-21). Cela ne veut pas dire que Jésus dénie toute importance à la famille humaine. Simplement, il donne une vision infiniment plus ample de la famille, du cercle familial et du peuple de Dieu. Saint Paul développera abondamment ce thème : les hommes sont frères en Jésus-Christ, c’est la célèbre image paulinienne de l’Eglise qui est un corps dont le Christ est la tête : (Rom 12,4-5 ; 1Co 1,12-13 ; Gal 3,28)

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LA COMMUNICATION

« La communication humaine est au cœur de toute existence, elle est la sève ardente du vivant. C’est elle qui permet de tis-ser les fils des possibilités, de se relier ainsi à l’ensemble de l’univers. Il est plus que jamais nécessaire et vital aujourd’hui et encore plus demain, de se donner les moyens d’apprendre l’art de communiquer, de mettre en commun. D’apprendre à se recevoir mutuellement sans se violenter, à s’amplifier sans se déposséder, pour se proposer à soi-même et à autrui le meil-leur de nos possibles. Je crois profondément que la communication relationnelle sera la matière première la plus précieuse pour les hommes et les femmes du XXIème siècle qui ne veulent plus vivre sur la pla-nète TAIRE. »

Jacques SALOME

COMMUNIQUER, C’EST EXPRIMER ET RECEVOIR

UN MESSAGE Tout se dire, tout écouter

Pour de nombreuses personnes, communiquer c’est arriver à s’exprimer soi-même et à laisser l’autre s’exprimer. Et quand chacun s’est exprimé on croit qu’on a communiqué. Mais com-bien ne se plaignent-ils pas de difficultés de relation en

LA FAMILLE SERA TOUJOURS LA BASE DES

SOCIETES

Honoré de Balzac

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disant : « Mais pourtant, nous communiquons beaucoup

mon conjoint et moi ou mes enfants et moi, nous nous di-

sons tout…je ne comprends pas pourquoi nous ne nous

entendons pas mieux. »

ON SE DIT TOUT ! OUI, MAIS EST-CE QU’ON ECOUTE TOUT ? La clé est souvent là : nous ne nous entendons pas parce que nous ne nous écoutons pas. Ce n’est pas facile pour ces personnes qui arrivent en disant « Je communique très bien avec mon conjoint, mes en-fants… » d’accepter de prendre conscience qu’elles sont très à l’aise pour tout dire, pour parler de ce qu’elles ont sur le cœur, moraliser l’autre ou lui donner des conseils, mais moins à l’aise, sinon incapable de tout entendre, de simple-ment écouter ce que l’autre a sur le cœur, de se demander quels sont ses sentiments et ses besoins, et d’exprimer à leur tour leurs sentiments et leurs besoins sans jugement. Communiquer c’est exprimer et écouter, c’est s’exprimer et laisser l’autre s’exprimer, s’écouter soi, écouter l’autre et sou-vent s’assurer qu’on s’est bien écouté mutuellement. Beau-coup de difficultés de relation viennent de ce que nous ne prenons pas la peine de nous assurer que nous avons bien entendu l’autre et que l’autre nous a bien entendu. Répéter ou reformuler au besoin ce que l’autre a dit nous permettra souvent de vérifier que nous l’avons bien compris. De même, inviter l’autre à répéter ou à reformuler ce que nous avons dit nous permettra souvent de vérifier que nous sommes bien compris par lui.

A d’autres moments, nous sommes parfois tellement épuisés d’avoir tenté de faire valoir nos besoins en vain, de les avoir exprimés sans obtenir ni reconnaissance ni considération au-cune, que nous abandonnons, nous renonçons. Nous nous

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soumettons à l’attitude de l’autre sans plus réagir. Nous démissionnons. A l’extrême, nous agissons comme un es-clave, une victime ; Notre attitude est la soumission, la rési-gnation, la démission.

Thomas D’Ansembourg :

Cessez d’être gentil, soyez vrai !

L’INCOMMUNICABILITE ? C’EST PAS QU’ON

NE COMMUNIQUE PAS ASSEZ : ON COMMUNI-

QUE TROP ET MAL ;

Roger Lalonde.

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PRIERE A SAINT-JOSEPH O glorieux Saint-Joseph Chef de la Sainte Famille de Nazareth. Si zélé à pourvoir à tous ses besoins. Etends sur nous ta tendre sollicitude. Prends sous ta conduite toutes les affaires Spirituelles et temporelles qui nous concernent. Fais que leur issue soit pour la gloire de Dieu, Et le salut de nos âmes.

ROUTE DE CARÊME Seigneur, mon Dieu, Depuis le jour de mon baptême, je chemine avec Toi. Tu es l’ami de mes jours de soleil Et de mes nuits de brouillard, C’est Toi que j’ai choisi, Aide-moi à T’aimer et à Te rester fidèle ! Toi, jamais Tu ne m’abandonnes, Tu es la lumière qui m’éclaire, Même au cœur des ténèbres tu es la source qui rafraîchit Qui coule en moi et me redonne vie. Ton amour pour moi est si grand que même la mort ne T’arrê-te pas.

Tu es le chemin, Tu es la vie nouvelle ! Donne-moi, Seigneur, sur ma route de Carême,

D’oser vivre Ta parole, celle qui ouvre l’horizon, Celle qui repousse les ténèbres, Celle qui met l’homme debout.

Donne-moi, Seigneur, Sur ma route de Carême, d’oser partager ta parole, Avec humilité et vérité.

(prier.be)

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Suite de la page 6

Notre Père. Communion. Si j’étais une prière.

Si j’étais une prière, je te chanterais un chant d’amour, Te reconnaîtrais comme un Père, Seigneur et Créateur de la terre et de mes jours. Quand je suis dans les ténèbres, je ne sais même plus prier Viens mettre sur mes lèvres le chant de ton immensité ! Quand j’oublie que tu es Père, prêt à tout pardonner Viens mettre en moi ta lumière pour que je puisse me lever. Quand je suis faible et solitaire et que je traîne les souliers Descends un peu sur notre terre pour que je puisse me confier.

Envoi. Communication. L’Evangile t’appelle le Verbe ou la Parole. Pas une parole en l’air, une parole faite chair. Car une parole coupée de l’action n’est souvent que du vent. Tu as parlé, provoqué, agi et cela t’a coûté la vie. Tes paroles ont été accueillies ou rejetées. Quand tu es mort rien encore n’était écrit. Tes disciples ont pris le relais. De re-lais en relais ta parole nous a rejoints. La voici insérée dans les réseaux des communications humai-nes. Parole de Dieu et parole de l’homme se mélangent, se confrontent, s’interpellent. Elle est toujours vivante, provocante comme au début, ta Parole. Les moyens de communication restent des moyens. Ce qui compte c’est ce qui est dit et ce qui est fait. Les actes authentifient la Parole, ta Parole faite chair aujourd’hui.

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PRIERE DES GRANDS-PARENTS Seigneur, Nous venons te confier nos petits enfants. Tu nous as donné de les voir grandir. Ils sont la promesse du monde de demain. Donne-nous de poursuivre auprès d’eux la mission que tu nous as confiée.

Donne-nous un cœur plein de tendresse pour les accueillir, les écouter, les comprendre, dialoguer avec eux. Garde - nous attentifs à tout ce qu’ils vivent. Donne à chacun de nous ton Esprit Saint. Qu’il nous inonde de ton amour, de ta sagesse et de ta force. Pour eux nous t’offrons nos peines, nos pauvres santés, tou-tes les limites qui s’imposent progressivement à nous. Nous savons dans la foi que de chacune de nos épreuves, tu peux faire une source de grâces pour le monde. Ce monde que nous espérons d’amour, de vérité, de justice et de paix, et qu’ils sont appelés à réaliser. C’est de cette manière que tu gardes solidaires et responsa-bles de ton Royaume. Nous te remercions d’avance, Seigneur, de nous accorder tant de grâces, toi qui peux nous donner bien au-delà de ce que nous espérons. Nous te prions avec Marie de Cana, notre Mère, sainte Anne et Saint Joachim, tes grands-parents. Tous ensemble, réunis dans la communion des Saints, nous pourrons ainsi contribuer à l’avènement de ton règne parmi nous.

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Merci pour les participations reçues.

M.Mme Cravatte Liège M. Lauvaux Florennes Mme Maessen Liège Mme Baudson Liège M. Hoffmann Liège Anciens D.B. Liège (Liste arrêtée le 4 mars pour impression).

DECES

Le Seigneur a rappelé à Lui Anne LEMAIRE à l’âge de 50 ans. Anne était la fille de Gaby Grosjean, fi-dèle à nos réunions. Que le Seigneur donne force et courage à Gaby et à ses proches afin qu’Il permet-te de vivre ces moments difficiles avec sérénité.

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Résumé de la réunion de février :Humilité – Puissance.

Qu’est-ce que l’humilité ? Ne pas se mettre en avant ; ne pas se vanter se mettre en empathie avant de parler; simplicité ; savoir accepter les au-tres sans porter de jugement ; Etre au service des autres ; aimer son prochain ; dans la pa-rabole du Bon Samaritain, il n’est pas demandé « Qui est mon prochain ? » mais « De qui suis-je le prochain ? » Le mot « humble » vient du latin humilis : qui vient de l’hu-mus: la terre ; être humble c’est avoir les pieds sur terre. Un agriculteur regarde ses plantations, il travaille au rythme de la terre. Ma relation à l’autre se fait au rythme de la terre. Humble : écouter d’abord et recueillir l’autre là où il est. Humiliation : c’est mettre les personnes à terre. Il faut savoir accepter les compliments, faire un examen sur soi-même et s’aimer soi-même L’humilité est un terme d’éducation bien spécifique de Don Bosco. L’autre vous propose un chemin de découverte, on s’extasie devant sa découverte et pour cela il doit trouver un terrain de confiance. L’humilité est une vertu. Qu’est-ce que la puissance ? Autorité, pouvoir, énergie, force, intensité : les accoler à la parole de Dieu. Il est utile de comprendre la parole. Dieu Tout-Puissant : puissance de sa parole. Nous connaissons diverses puissances : puissance économi-que, puissance politique, puissance financière… L’impuissance : ne pas savoir créer, donc la puissance doit nous permettre de créer. Retenons que la douceur est le préambule de l’humilité.

Madeleine ROTH.

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CALENDRIER 2009 – 2010 .

19/03/10 – 3e vendredi : Communication-famille 26/27/28/03/10 – W-E Coopérateurs à Farnières 16/04/10 – 3e vendredi : Pardon/rancœur 21/05/10 – 3e vendredi : Amour/haine 18/06/10 – 3e vendredi : évaluation de l’année A Noter dès à présent :

SAMEDI 8 OCTOBRE 2011, A LIEGE 120 ans de présence salésienne SDB et FMA en Belgique Journée festive

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ADRESSES UTILES

FRANZ GOOSSENS responsable de formation

ANNE.MARIE GOOSSENS coordinatrice

Rue des Anémones 2. B. 4000 Liège

℡ 04.253.18.11. [email protected]

(Pour tous renseignements concernant l'organisation

générale du Centre de Liège )

PERE ANDRE PENNINCKX. Délégué sdb

Rue des Wallons,61. B. 4000. Liege

℡ 04.252.48.46. [email protected]

MADELEINE et administratrice des biens

FRANCOIS ROTH Rue Bois l'Evêque, 49. B. 4000 Liège

℡ 04.252.28.37. [email protected]

MARIE-CLAIRE BAUVIR. secrétaire

Rue Jacob Makoy, 13. B.4000 Liège

℡ 04.252.22.49. [email protected]

MONIQUE SIMONS Rue Ambiorix, 18 B 4000 LIEGE

℡ 04.253.51.31. [email protected]

SITES COOPERATEURS www.coopdonbosco.be

www.coopdonbosco.skynetblogs.be

PARTICIPATION AUX FRAIS D'AUBE NOUVELLE ET

DONS

751 2044337-05

Coopérateurs Salésiens

Rue des Wallons, 59. B.4000 Liège.