P4/5 : Avec nos Elus«De l’utilité des com-munes»

P6/7 : Citoyenneté «Les Méricourtois et leursanimaux de compagnie»

P8 : Social «Les vacances en famille, Méricourt s’engagepour le droit aux vacances pour tous»

P9 : Droits «Le long chemin des droits de la Femme»P10/12 : Sport «Au service municipal des sports : des activités toutes catégories» «Premiertournoi U15 réussi» «Futsal : Inter-districts et sélection nationale» «5 nouvelles ceinturesnoires au Karaté» «Au pied du terril, le spectacle était au rendez-vous» «Finales départe-mentales au tennis de table avant les régionaux»

P13/16 : Culture «La culture physique, oui mais pas que !» «Les rendez-vous de la G’Art»«Le gala de danse Emotion» «Les vacances à la Gare»

P17/20 : Dossier «Budget 2015 : Conviction des élus et compétencesdes équipes municipales, Méricourt reste tournée vers l’avenir»

P21 : Education «Sensibilisation et travail d’éducation à la sécurité routière pour les écoliers de Saint-Exupéry»

P22/25 : Enfance, Jeunesse, Education Populaire Aujourd’hui, c’est navette !»«Le Club 11/15 ans toujours lancé dans de très beaux projets» «Du neuf à laMaison des Jeunes»

P26 : Environnement «Semaine du Développement Durable 2015, une semaine pour sensibiliser,une année pour agir»

P27 : Seniors «Tous les week-ends, la Résidence Henri Hotte se paie le ciné» «Banquetdes Aînés 2015»

P28/29 : Vie associativeP30/33 : Travaux Ecoles maternelles et élémentaires : des travaux en per-manence pour entretenir et maintenir un patrimoine accueillant»

P34 : Tribune LibreP35 : Débat «Liberté d’expression ?»

Directeur de la publication : Bernard BAUDE, MaireRédaction-Photos et Conception graphique : Service Communication

Retrouvez le Magazine «Méricourt Notre Ville» sur le site Internet de la Ville de Méricourtwww.mairie-mericourt.fr

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LA MAIRIE À VOTRE SERVICEl MAIRIE DE MÉRICOURT Place Jean Jaurès B.P. 9 62680 MERICOURT Tél. 03 21 69 92 92 – Fax. 03 21 40 08 96http : // www.mairie-mericourt.fr - E-mail : contact@mairie-mericourt.frOuverture au public : Du Lundi au Vendredi de 9H00 à 12H00 et de 13H30à 18H00 (Ouverture tous les mardis jusque 19H00)

l Un problème à signaler ? Une suggestion à faire ?Une question à poser ?LE NUMERO VERT DE LA MAIRIE EST À VOTRE ECOUTE

Méricourt Notre VilleMagazine

Mars 2015

Au sommaireAu sommaire

Déclarations desRevenus 2014

A partir du Lundi 20 Avril 2015de 8H30 à 12H00 et 13H30 à 16H30

Permanence impôts tous les jours auCentre des Impôts de Lens, rue L. Armand

Tél. 03 21 08 10 10

Si vous ne pouvez pas vous déplacer et que vous ren-contrez des difficultés pour remplir votre déclaration,une personne pourra vous aider dans vos démarchesen Mairie (Salle des Commissions) les :

l Lundi 4 Mai de 9H00 à 11H00l Mardi 5 Mai de 9H00 à 11H00l Mercredi 6 Mai de 9H00 à 11H00l Lundi 11 Mai de 14H00 à 16H00l Mardi 12 Mai de 14H00 à 16H00l Mercredi 13 Mai de 14H00 à 16H00

Pour déposer vos déclarations, une urne seramise à disposition en Mairie à partir du

Lundi 20 Avril jusqu'au Mercredi 20 Mai 2015.

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Contraints, mais pas à genoux !C ertes, nous sommes contraints, et

de manière scandaleuse, par labaisse des aides financières de

l'État. Mais la volonté politique, celle quianime les Élus vraiment de gauche au seinde notre Conseil municipal, demeure in-tacte. Certes, nous constatons la dégrada-tion insupportable des conditions de viedes Méricourtois, dégradation liée à unecrise financière dont nous ne sommes pasresponsables... et à la lâcheté politiquedes gouvernements successifs qui ont pré-féré s'enchaîner lamentablement à la dic-tature de la finance mondialisée, esclavesqu'ils sont aujourd'hui de leurs propres re-

noncements.Méricourt ne veut pas se mettre à ge-noux ! Les subventions aux belles associa-tions de notre Ville sont préservées, parexemple. Parce que ce sont ces mêmes as-sociations qui créent la vraie vie dans nosquartiers, dans notre Ville. Parce que lavie, l'humain, sont des notions plus fortesque les puissances noires du calcul inté-ressé.Autre exemple ? Nous n'augmenteronspas, cette année encore, la part commu-nale sur l'impôt. Voilà un geste qui peutparaître insignifiant au regard de nos pro-chaines feuilles d'imposition. Certes. Maisce choix municipal s'accompagne d'unevolonté : celle de poursuivre de manièreraisonnée l'amélioration constante denotre qualité de vie méricourtoise.

Bernard BAUDEMaire

En discussion avec Daniel PERCHERON, Président du Conseil RégionalNord - Pas-de-Calais, Bernard BAUDE propose à la Région d’être à noscôtés pour nos prochains projets.

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De l’utilité des

Avec nos Elus...Avec nos Elus...

Comparé à nos voisins euro-péens, elles seraient trop nom-breuses. Les 36 531 communes

en France métropolitaine, dupetit village rural aux grandes

villes, sont maintenant dans lecollimateur des institutions eu-ropéennes qui y voient un em-pilement de structures sourcesde complications techniques et

de gaspillage d'argent public.Pourtant, héritage direct de la

Révolution de 1789, la com-mune est le lieu premier de

l'expression démocratique. Laproximité avec les institutions

qu'elle sait faire vivre au quoti-dien est le garant de la volonté

des habitants.

en bref...

Les entreprises méricourtoisespensent à l'avenirOn ne le dira jamais assez. Méricourt possède à tra-vers ses zones d'activité d'un réseau de PME très ac-tives, performantes et dynamiques. Il en est ainsipour la Serrurerie Vasseur qui après avoir fraîche-ment modernisé ses ateliers, vient d'investir dansdeux nouvelles machines, une presse plieuse et unecisaille guillotine. Les élus méricourtois ont participéà l'inauguration de ce nouvel équipement... commepour saluer cette volonté de croire en l'avenir pourmieux l'inventer ensemble.

Nous sommes «engagés dans la labellisation» de notre ÉcoquartierLe Ministère du Logement, de l'Égalité des territoireset de la Ruralité vient de décerner à notre Ville de Mé-ricourt le diplôme «Engagé dans la labellisation»pour notre projet d'Écoquartier de la Fosse 4/5 Sud.On notera au passage tout le sérieux de cette recon-naissance officielle dans la mesure où notre candida-ture a été finalement reçue après une triple expertiseet une commission nationale. Voilà un premier pasde franchi afin d'obtenir maintenant le label Éco-quartier durant l'avancement prochain des travaux.

L es collectivités territoriales(villes, départements et ré-gions) vont perdre 3,67 mil-

liards d'euros de dotations d'État en2015. 11 milliards d'ici 2017. Cescoupes claires dans le fonctionne-ment des communes ont pour butavoué le remboursement de ladette. Mais au-delà de cette consi-dération purement économique secache une volonté franchement po-litique de réduire les services pu-blics locaux.Les communes sont toujours auxavant-postes, en premier lieu pourcorriger les inégalités. La commune,c'est l'accès aux sports, à la culture,au logement, aux loisirs, aux struc-tures d'enfance et de petite en-fance... Moins de moyens pour lescollectivités, c'est encore moins deprojets d'équipements, pourtant né-cessaires aux habitants. Et par effetboomerang, c'est moins de com-

Le journal du Départementdisponible en MairieLe journal du Conseil général, « L'Écho du Pas-de-Ca-lais » est distribué dans toutes les boîtes aux lettresméricourtoises par une entreprise qui vous apporteégalement les prospectus publicitaires. Dans toutesles boîtes donc... sauf dans celles qui mentionnentpar un autocollant «Pas de pub SVP». Un choix toutà fait légitime de leurs propriétaires, mais qui les pri-vent, de fait, de la précieuse lecture départementale.La solution existe puisque le Conseil Général a décidéde mettre des exemplaires à retirer à l'accueil de laMairie.

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mandes aux entreprises locales, etdonc moins d'emplois publics et pri-vés.Certes, notre pays détient à lui seul40 % des communes européennes.Cela dit, il est intéressant justementde comparer les services rendus auxhabitants, c'est-à-dire leur qualitéde vie par rapport à nos voisins.L'exemple allemand, pays dont onvante tant les mérites purementéconomiques, est assez significatif.Avec 12 196 communes pour 81,5millions d'habitants, l'Allemagne au-rait-elle trouvé le meilleur compro-mis ? Pas si sûr, puisque dans cepays, et à force de désinvestisse-ment local, il devient impossible detrouver une place en crèche et oùles Allemands en sont réduits à pla-cer les personnes âgées, leurs pa-rents, dans des maisons de retraitesen Slovaquie ou en Pologne...

S'adresser directementaux élus

À Méricourt, une des très nom-breuses villes françaises à taille hu-maine, qui n'a pas croisé un jour unélu au Conseil municipal, sur le mar-ché, dans nos rues, au sein des as-sociations ?...Ce conseiller municipal est peut-être votre voisin, partage la mêmerue, vit dans le même quartier. Il estle garant de la proximité et du dia-logue direct. En prise directe avecles réalités des Méricourtois, il estainsi le premier interlocuteur pourpenser à la sauvegarde et à l'avenird'une qualité de vie toujours amé-liorée, bref, le témoin sincère de lavraie vie des habitants.

en bref...

communes Le Président de la Régionà MéricourtLors de cette visite, Daniel PERCHERON, Président dela Région Nord – Pas-de-Calais, a pu constater de visule formidable essor du quartier du 3/15, et de la halteSNCF de Méricourt. Les rénovations entreprises iciont été permises, en partie, par l'effort financier de laRégion. Elles montrent également cette volonté ré-gionale de désenclaver en redonnant vie aux villesdu bassin minier pour les inscrire définitivementdans le XXIe siècle.Fort de cette volonté, le Maire, Bernard BAUDE, a sou-haité inviter Daniel PERCHERON dans notre ville afinde lui présenter le projet de restaurant municipal etde Centre social et d'éducation populaire.Une bonne initiative puisque ce grand projet struc-turant au sein de l'ÉcoQuartier de la Fosse du 4/5 Sudva totalement dans la vision partagée de la Régionet de la Ville de Méricourt pour transformer définiti-vement, et selon les mots du Président PERCHERON,«l'ancien archipel noir (celui du charbon) en archipelvert (celui du développement durable et de la troi-sième révolution industrielle)».D'ailleurs, le Président d'une des plus grande régionde France définit l'ÉcoQuartier méricourtois commeun projet «démonstrateur» de ce que l'on doit fairepour préparer l'avenir.Cet intérêt sincère pour notre ville est un signe quine trompe pas. Méricourt sait convaincre autourd'elle pour préparer son avenir et celui de ses habi-tants.

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et leurs animaux de compagnieLes Méricourtois

CitoyennetéCitoyenneté

Ils sont plus de 63 millionsd'amis ! Prés d'un Français

sur deux possède un ani-mal. Les plus nombreux

sont les poissons (35 mil-lions), suivis des chats (11,4

millions), des chiens (7,4millions), des oiseaux (6,4

millions) et des rongeurs(2,6 millions).

(Source TNS Sofres, Août 2013)

U n animal de compagnie, est unanimal recevant la protectionde l'homme en échange de sa

présence, sa beauté, sa jovialité. L'ani-mal de compagnie est une source d'at-tachement dont la présence estrassurante. Il rompt la solitude et l'iso-lement social. C'est une aide précieusenotamment pour les personnes âgées

et les enfants.A Méricourt, la municipalité, aidée deses services, met tout en œuvre , pourque la cohabitation entre Méricourtoiset animaux de compagnie, soit syno-nyme de bien vivre ensemble.- Application de la loi relative aux ani-maux dangereux et errants et à la pro-tection des animaux.- Mise en place de canisites dans lesquartiers,- Vente de sachets « ramasse-crottes,etc...

Quelques conseils pour latolérance et le respect de chacun

Les chiens ne sont pas laissés seul ouenfermés trop longtemps, pour éviterles nuisances sonores causées par lesaboiements.Les chiens sont tenus en laisse et les dé-jections sont ramassées , sur le do-maine public, les zones de promenadeset les aires de jeux pour les enfants.Les chiens et chats, divagants peuvent

être stérilisés pour éviter toutes prolifé-rations sauvages.Les poulaillers et pigeonniers sont net-toyés régulièrement pour éviter les nui-sances olfactives et l'alimentationraisonnée pour éviter la prolifération denuisibles tel que les rats.

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Cité du 3/15Square André CollierParc Léandre LétoquartBoulevard Allende, au Rond-point des droits desenfantsParc rue Emile MichelAvenue Legentil (Ecole Lannoy)Rue Dulcie September Parc Pierrard (rue Portier) Parc du Marquenterre Place Germinal Rue Pierre Simon (Ecole Kergomard)

Onze canisites en ville

Les déjections canines sur l'espacepublic devenant un réel problème,la Ville a mis en place depuis ledébut de l'année des espaces d'ai-sance appelés canisites. Ces es-paces sont délimités par unebarrière en bois dont le sol estconstitué de sable, ce qui les rendplus attractifs pour nos amis à qua-tre pattes.

O nze canisites sont désormais àdisposition de nos canidés surl'ensemble du territoire de la

commune (voir encadré) et les maîtressont invités à y accompagner leurs com-pagnons de promenade.Rappelons au passage que les chiensdoivent être tenus en laisse et que le ra-massage des déjections est obligatoirepartout en ville sauf dans les canisites.Ces derniers sont régulièrement entre-tenus et désinfectés par nos équipes duservice propreté des espaces verts.En complément de ces canisites, des sa-chets « Ramasse-crottes » pour uneutilisation sur les espaces publics sont

en vente au prix de 1,50 € le lot de 15sachets (3 points de vente : Mairie à ladirection technique, Services Tech-niques avenue de Flöha et Espace JulesLadoumègue). Ces sachets fabriqués àpartir de matériaux 100 % recyclés bio-

dégradables et hydrorésistants, sontéquipés de deux pelles cartonnées fa-cilitant le ramassage. Pour le maintiende la propreté, l’utilisation de ces lieuxréservés et de ces sacs spéciaux est for-tement encouragée.

l Que pensez vous de cette initiative dela ville d'installer des lieux réservés auxchiens ?«C'est une très bonne idée. Ce genred'équipement cela peut être très bien àcondition que les gens respectent leschoses avec une certaine discipline. Il nefaut pas que cela soit vandalisé. Il fautaussi que la ville communique sur le sujetpour inciter les gens à les utiliser».

l Vous même avec Cannelle, les utilise-rez-vous ?«Bien sûr ! Si je me promène proche de l'unde ces endroits je ne m'en priverai pas. Ail-leurs, comme mon chien est toujours enlaisse, je l'oriente vers le caniveau et j'aitoujours aussi dans ma poche un sac pourramasser».

l Des sacs sont aussi proposés à cet effet.Qu'en pensez-vous ?«C'est bien. J'ai travaillé pendant 20 ansdans l'emballage carton à Lomme. Al'époque, l'entreprise fabriquait aussi despelles à crotte en carton pour la ville deLille. Cela marchait bien. Je pense qu'il fautinformer les gens et les habituer. Faudraitpenser aussi à installer des poubelles pourque les personnes se débarrassent de leurssachets plutôt que de les jeter n'importeoù».

Au détour d'un canisite, nous avons rencontré José Bellangeret Cannelle une femelle Saint-Bernard de 7 ans

Chiens en tous genres, rendez-vous aux canisites

Les vacances en famille

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SocialSocial

Les séjours collectifsIl s'agit d'un séjour collectif construitavec les familles tout le long de l'année.Un groupe part en vacances ensembleau même endroit. Ces familles sontidentifiées par nos partenaires commela Caisse d' Allocations Familiales, laMaison Département Social... Les fa-milles sont très investies dans le projetet préparent pas à pas avec l'équipe ducentre social, les plannings, les repas,les déplacements, les visites... 2015sera le 7ème départ. 230 personnes ontdéjà bénéficié de ces séjours collectifs.

Les vacances créatrices Depuis 3 ans, 2 à 3 familles partent àGentioux en semi autonomie sur un sé-jour artistique. Ils participent à un Ate-lier International d'Artistes Plasticiens.Enfants et parents s'initient à l'art etparticipent à la création d'une oeuvrecommune. 2015 sera le 4ème séjour. 40personnes ont déjà fortement appréciéGentioux.

Les Vacances SolidairesLa ville de Méricourt adhère à l'associa-tion Les Vacances Solidaires. Cette asso-ciation négocie pour les familles les plusmodestes des séjours de vacances àcoût réduit.

Les Vacances FamilialesLa ville a passé une convention avecl'Agence Nationale des Chèques Va-cances. Ceci permet d'obtenir des sé-jours à prix réduit dans des villagesvacances, des campings... Des comitésd'Entreprise offrent également des sé-jours. Les familles modestes peuvent

Méricourt s’engage pour le droit aux vacances pour tous

bénéficier d'un séjour par an à raison de3 au maximum réparti, mer, montagne,campagne. La SNCF met à dispositiondes tickets transport au prix de 30 € parpersonne pour se déplacer n'importeoù en France. Chaque année, 40 à 50personnes partent avec LVS et les va-cances familiales et cela depuis 2003.550 personnes ont déjà bénéficié deces vacances.Ces départs sont financés par les fa-milles, la ville, le CCAS, par le biais d'ap-pel à projets du Réseau d' Ecoute etd'Appui à la Parentalité, Vacances Ou-vertes, le Conseil Général...,des actionsd'auto financement (organisation derepas, bourse aux jouets, marché deNoël, tenue de buvette...) mais aussi lesMédériales avec la vente des repas et la

participation des associations.Accompagner les familles au départ envacances est indispensable. Ce travailest fait toute l'année par l'équipe duCCAS et du centre social en contactétroit avec nos partenaires du champsocial. Il faut lever les freins financiers,culturels, organisationnels...mais aussianticiper et prévoir le retour. C'est unegestion au quotidien, d'économie debout de chandelle pour des budgets sifaibles.

Les vacances à Méricourt, c'est aussi lescolonies d'hivers et d'été, les mini sé-jours des vacances de printemps, les sé-jours 11/15 ans...

Départs en vacances : la persistance des inégalités

- 82% des cadres supérieurs partent en congés contre 47% des ouvriers.- Un quart des enfants ne partent pas en vacances. 3 millions de jeunes de 5 à 19 ans sontcondamnés à rester enfermés dans leur quotidien. C'est le cas pour 5% des enfants descadres supérieurs contre 34% des enfants d'ouvriers et 50% des enfants des familles lesplus modestes.- L'une des raisons principales du non départ est le manque d'argent.

Source : observatoire des inégalités

Les vacances familiales : c'est amener les fa-milles éloignées du départ en vacances à sedire que c'est possible. C'est co-produire unprojet de vacances. C'est renforcer le lien pa-rent/enfant. C'est s'ouvrir au monde. 4 dis-positifs existent à Méricourt pour faciliter ledépart en vacances des familles et leur per-mettre de vivre ensemble un moment privi-légié.

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Le long chemin des Droits de la FemmeA quelques jours du 8 Mars… Petit pa-norama sur les étapes d’un très longcombat.

DROITS FONDAMENTAUXl 1791 : Olympe de Gouges rédige la «Déclara-tion des droits de la femme et de la citoyenne»l 1876 : Hubertine Auclert fonde la société Ledroit des femmes qui soutient le droit de votepour les femmes l 1938 : Suppression de l’incapacité juridiquede la femme mariéel 1944 : Droit de vote et d’éligibilité pour lesfemmes.l 1946 : suppression de la notion de «salaire fé-minin»l 1965 : Les femmes mariées peu-vent exercer une profession sansl’autorisation de leur mari.l 1965 : Les femmes peuvent ouvrirun compte en banque sans l’autori-sation de leur maril 1972 : Reconnaissance du prin-cipe «à travail égal, salaire égal».l 2006 : Loi relative à l'égalité sala-riale entre les femmes et leshommes.

LES FEMMES DANSLA SOCIÉTÉ

l 1903 : Marie Curie reçoit le prixNobel de physiquel 1972 : L’école polytechnique de-vient mixte : 8 femmes sont reçuesl 1974 : Françoise Giroud premièresecrétaire d’état à la condition fémi-ninel 1974 : Danielle Décuré est la première femmepilote de ligne. Elle entre à Air Inter, alors com-pagnie intérieure de AIR France. Elle finira com-mandant de bord sur le gros porteur Boeing747.l 1980 : Marguerite Yourcenar est la premièrefemme élue à l’Académie françaisel 1981 : Yvette Roudy est ministre déléguée desdroits de la femme. Elle fait voter une loi posantle principe d’égalité professionnelle homme-femme.l 1991 : Édith Cresson première femme 1re mi-nistrel 2000 : Promulgation de la première loi sur laparité politiquel 2008 : Inscription dans la Constitution de«l’égal accès des femmes et des hommes auxmandats électoraux et fonctions électives, ainsiqu’aux responsabilités professionnelles et so-ciales»

FAMILLEl 1792 : La loi permet le divorce par consente-ment mutuel (divorce supprimé à la fin de la ré-volution française)l 1804 : Le code civil prévoit que : «le mari doitprotection à la femme, la femme doit obéis-sance à son mari»l 1884 : la loi autorise à nouveau le divorcel 1970 : L’autorité parentale remplace la puis-sance paternellel 1913 : Création du congé payé de maternité(4 semaines). Il n’est étendu à toutes les sala-riées... qu’en 1970 !l 1975 : Réintroduction du divorce par consen-tement mutuel

l 1984 : Le congé parental est ouvert à chacundes parentsl 1993 : La loi du 8 janvier affirme le principe del'exercice conjoint de l'autorité parentale àl'égard de tous les enfants, quelle que soit la si-tuation des parents (mariés, concubins, divor-cés, séparés).l 1999 : Création du PACS (pacte civil de solida-rité)l 2002 : Création du congé de paternité, recon-naissance de l’autorité parentale conjointe,garde alternée et coparentalité. L’enfant peutporter le nom de ses deux parentsl 2003 : Loi instaurant la prestation d’accueil dujeune enfant (PAJE)l 2004 : La loi du 26 mai relative au divorce in-troduit la procédure d'éviction du conjoint vio-lent.l 2005 : La loi du 12 décembre relative au trai-tement de la récidive des infractions pénalesdonne la possibilité au juge pénal d'ordonner àl'auteur de violences de résider hors du domicile

ou de la résidence du couple.l 2006 :- Loi du 4 avril renforçant la prévention et la ré-pression des violences au sein du couple oucommises contre les mineurs, ajoutant les par-tenaires "pacsés" et les "ex" au titre des circons-tances aggravantes.- Introduction de la notion de respect dans lesobligations du mariage- Alignement de l’âge légal du mariage pour lesgarçons et les filles à 18 ansl 2010 : Vote de la loi relative aux violencesfaites spécifiquement aux femmes, aux vio-lences au sein des couples et aux incidences deces dernières sur les enfants : création de l’or-

donnance de protection des vic-times et du délit de harcèlementmoral au sein du couple.

INSTRUCTIONl 1850 : Création obligatoired’écoles de filles dans les com-munes de 800 habitants (loi Falloux)l 1924 : Uniformisation des pro-grammes scolaires masculins et fé-minins et création d’un baccalauréatuniquel 1976 : La mixité devient obliga-toire pour tous les établissementsscolaires publicsl 2000 : Mise en œuvre d’une poli-tique globale d’égalité des chancesdans le système éducatif

DROIT A DISPOSERLIBREMENT DE SON CORPS

l 1920 : La loi assimile la contracep-tion à l’avortement qui est considéré comme uncrimel 1952 : Introduction en France de l’accouche-ment sans douleur par le docteur LAMAZEl 1956 : Fondation de «la maternité heureuse»qui devient en 1960 Mouvement Français pourle Planning Familiall 1967 : Loi Neuwirth autorisant la contracep-tion (les décrets d’application ne seront pris que4 ans plus tard !)l 1975 : Loi Veil légalisant l’Interruption Volon-taire de Grossesse (IVG)l 1982 : L'IVG est remboursée par la Sécuritésocialel 1993 : Loi Neiertz : condamnation de l’entraveà l’IVGl 2001 : Augmentation du délai égal de l’IVG de10 à 12 semainesl 2012 : Vote de la loi relative au harcèlementsexuel.

DroitsDroits«Le sexe des garçons, il leur sert à tout. Ça sert à faire la guerre, Président de laRépublique, directeur, aviateur. Ça sert à penser, à tout commander, à décréter,à légiférer. Accessoirement, ça sert à faire des enfants et même à faire pipi.»

DANIELLE DÉCURÉ, première femme pilote de ligne

SportSport

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L a pratique sportive est omnipré-sente à Méricourt et afin de ré-pondre aux attentes du plus

grand nombre, la Ville propose un largepanel de disciplines encadrées par desagents municipaux spécialisés et diplô-més. «Nos éducateurs, Charlotte, Thé-rèse et Johann, animent les cours selonleurs spécialités. Mais ils sont aussi pré-sents pour diriger et conseiller nosadhérents. Certaines disciplines peu-vent être éprouvantes pour les orga-nismes. Il ne faut pas qu'une personnesouffre et se mette en danger. Leur rôle,c'est de les orienter sur une activité ap-propriée à leur condition physique etpourquoi pas les amener par la suite àse surpasser» souligne Christophe Ta-laga, responsable du service des sports.Du lundi au vendredi, 26 cours sontproposés dans les domaines du renfor-cement musculaire et du travail cardio-respiratoire. «Nous avons des cours

dynamiques et puissants comme le bi-king, l'aéro-jump ou encore la zumba.D'autres comme le fitness douceur oule pilates (gym douce) sont recomman-dés à des personnes qui reprennent uneactivité physique, d'un certain âge ou

des femmes enceintes».

A l’affût de l’évolutiondes disciplines

Tous les cours sont donnés en musique,parfois même chorégraphiés, avec uncertain tempo référencé en BPM (Bat-tement par minute).. «Et pour rester autop, nous sommes à l'affût de l'évolu-tion des disciplines de cette grande fa-mille du fitness» reprend leresponsable qui rappelle que l'aéro-jump et la zumba sont les dernières àêtre entrées dans le programme. «Noséducateurs bénéficient de formationsdiplômantes sur les nouveautés et leurexpérience fait le reste».Une évolution sportive permanentevécue par Danièle, Annick, Nicole ouencore Claudine, navigant entre 70 et75 printemps. De fidèles adhérentesdepuis plus de 20 ans et toujours trèsactives dans les cours ouverts pour lesadultes à partir de 16 ans sans limited'âge.

Au Service Municipal desdes activités toutes

Le service municipal des sports offre un largeéventail d'activités pour adultes et enfants,Méricourtois ou extérieurs. En complémentdes disciplines proposées par les clubs spor-tifs, les activités municipales sont axées au-tour du fitness et de cours rythmés etcadencés.

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Sports,catégories

en bref...

Aujourd'hui le service municipal enre-gistre un peu plus de 300 adhérentsadultes et une bonne soixantaine d'en-fants assidus aux activités sportivesprésentées sous différentes théma-tiques. Des parcours de motricité engym, escalade etc. pour les 3 à 6 ans.Pour les autres, des sports d'ailleurs(Kin-ball, Tchouk-ball, Boum-ball...), dessports collectifs, de raquettes, d'athlé-tisme sont programmés selon la saison.Et toujours pour les enfants, il organiseà chaque petites vacances scolaires desstages multisports pour faire découvrirdes disciplines connues ou méconnues.Récemment le cirque, le foot améri-cain, le hockey, la crosse québéquoiseet le baseball étaient à l'affiche.

A u regard des conditions météos prévuesdébut février, qui aurait parié sur la réussite

de la première édition du tournoi U15 hivernalsur synthétique en configuration foot à huit, or-ganisé par le Football Club Méricourt. C'étaitsans compter sur la motivation de l'équipe diri-geante, présidée par Gilles Lefranc, les béné-voles et les équipes inscrites. Douze formationsvenues de Mons-en-Baroeuil, Fretin, Vendin,Lens, Cuincy, Brebières, Sallaumines, Liévin, Thé-lus et deux équipes de Méricourt ont représentéleurs couleurs lors des 54 rencontres program-mées. La finale s'est jouée entre l'OlympiqueLiévin et L'AOSC Sallaumines. Après avoir mené au score, les Sallauminois se sont fait rejoindreà la fin du temps réglementaire. Les tirs au but ont permis à la formation U15 de Sallauminesde remporter ce premier tournoi.Lorenzo de l'ES Vendin a été reconnu meilleur joueur du tournoi et Corentin Bobkiewicz du FCMéricourt meilleur gardien. A noter également les très belles prestations des quelques U13présents dans les rangs des équipes méricourtoises U15.

Premier tournoi hivernal U15 réussi

Futsal : Inter-districtset sélection nationale

S ollicité par la Ligue Nord-Pas-de-Calais defootball, le FAM (Futsal Association Méri-

court) a reçu les cinq sélections de district U18,U17 et U16 de notre région (Artois, Escaut, Flan-dres, Maritime Nord et Côte d'Opale). Ces inter-districts visaient des sélections jeunes. DavidMéresse, conseiller technique départementaldans le Nord-Pas-de-Calais et entraîneur adjointde l'équipe de France A (qui joue actuellementles qualifications pour le championnat d'Europequi aura lieu en 2016 en Serbie) a observé lesrencontres et remarqué le potentiel de certainsjoueurs. «L'objectif de cet inter-district, c'est de

sortir un groupe pour former l'équipe du Nord-Pas de Calais qui disputera ensuite les inter-ligues futsal le 11 avril en présence des ligues du Nord, de Normandie, du Maine et de Picardie.Les meilleurs joueurs seront orientés vers la sélection nationale U21»précisait David Méresse.

Pour tous renseignements :Service municipal des sports,

Espace sportif Jules Ladoumègue,avenue Jeannette Prin

Tél. 03 21 74 32 77.

Lors du dernier passage de grade de ceinture noire à Auchy-les-mines, le professeur du clubde karaté, Joël Dym, avait décidé d’envoyer cinq élèves. Après deux mois de travail spéci-

fique et intensif, ces cinq karatékas se sont présentés aux différentes épreuves avec pour seulbut : «Réussir». Michel Bertin, Eric Dugardin,Stéphane Derville, Vincent Soltys et MaximeDebarge peuvent désormais porter avecfierté leur ceinture noire 1er Dan. Le prési-dent René Lenne est fier de cette réussite.«Ces cinq karatékas ont tous démarré auclub de Méricourt. Très jeune pour Vincentet Maxime et un peu moins pour Michel, Ericet Stéphane». Félicitations aux nouveauxgradés.Pour rejoindre le Méricourt Karaté Club,contacter les responsables aux heures d’en-traînements le mardi et jeudi de 18h30jusque 21h30 ou au 03 21 40 09 75.

5 nouvelles ceintures noires au Karaté

L aurent Ducamp, le président duclub était heureux d'accueillir surses terres le champion de France

senior de cyclo-cross, Cyril Bugnicourt.Avec sa tunique tricolore, le coureur del'UV Fourmies n'a pas failli à sa réputa-tion en dominant le cyclo-cross de bouten bout. «Je suis assez fidèle à cettecourse et je connais assez bien ce par-

cours roulant mais trèsphysique. Dès le début,j'ai fait la différence etheureusement car avecune crevaison dans ledernier tour, j'ai eu letemps de changer maroue arrière pour repar-tir et gagner» déclaraitle vainqueur.Sur le même parcours,la course VTT voyait la

victoire au scratch de Fabrice Nowickide Bully. Chez les dames, la cham-pionne du monde de cyclo-cross masteren FFC, Céline Wittek/Dassonville du VC

Liévin l'emportait sans soucis. A 32 ans,elle a décroché son titre mondial le 3janvier dernier en Suisse. «Avec la fontede la neige, le circuit était devenu trèsphysique. Je savais que j'avais meschances et je m'étais pré-parée pour. Cela s'est jouédès le premier tour oùj'étais en tête. Je me sen-tais bien en jambes et j'aigagné avec 1 minute trentesix d'avance» racontait Cé-line. «A Méricourt, c'est mareprise pour me remettreen jambes». Et de ce côté,aucun soucis puisque la

championne du monde a gagné lacourse avec 5 minutes et 20 secondesd'avance.Les coureurs de l'Ultra VTT ont bien re-présenté les couleurs locales avec Tho-

mas Nepveu qui se classe8e en senior A, LaurentRougement 5e en Senior B,Frédéric Mériaux 12e etHervé Touret 15e en Vété-rans A et Justine Attagnant3e en Féminine à seule-ment 5 minutes et 26 se-condes de la championnedu monde.

C 'est à l'Espace sportif Ladou-mègue que les finales départe-mentales des coupes UFOLEP B

se sont déroulées fin janvier.L'ASTT Méricourt (Association Sportivede Tennis de Table de Méricourt) qui a

organisé la compétition avec brio, pré-sentait quelques uns de ses licenciéspour ce rendez-vous qui ouvrait lesportes des Régionaux.Et pour le président Sébastien Joly etles dirigeants du club local, les résultatsont été à la hauteur puisque en Mes-sieurs Nicolas Fréville, Jérôme Fristot etJonathan Houilliez sont devenus cham-pions départementaux et ainsi qualifiésLes 6 premiers sont qualifiés pour les fi-nales régionales de Bolezeele (Nord) le

12 avril. EnJeunes Ga-briel Cottrez,Kéryan Le-moine et Mi-chel Letor,

vice-champions. Bonne participationégalement en vétérans de Noël Leroux,Olivier Studzinski et Hugues Douchy quise sont bien défendus pour terminer àla 7e place.

Au pied du terril, le spectacle était au rendez-vous

Finales départementales de tennis de table avant les régionaux

SportSport

Le dimanche 8 février, l'Ultra VTT a organiséson 10e cyclo-cross et course VTT. Avec plusde 200 participants et des coureurs d'élitessur les lignes de départ, l'événement a tenutoutes ses promesses et le spectacle était aurendez-vous.

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Les coureurs locaux bien présents

Céline Witteksur les bosses méricourtoises

Le champion de Francevainqueur du cyclo

Premier rendez-vous le 20 Marsà partir de 18h30 avecLes Cycloscopes !

Les Cycloscopes ? Mais qu'est-ce quec'est que ce truc ? Des vélos, oui... maisdes vélos transformés en œuvres d'artmusicales par l'artiste belge FrançoisCys ! Rejoignez-nous donc le vendredi20 mars à 18h30 à la Gare où vous serezinvités à prendre possession de cesdrôles de machines et en découvrir lesrouages par vous-mêmes ! Mais ce 20mars, nous vous avons aussi réservébien d'autres surprises avec noscollègues du service des sports... Alors,laissez-vous surprendre et venez nom-breux participer à cette soirée !

4 villes + des ateliers =une grande exposition...

Cette action étant menée à l'échelle dequatre villes, il fallait un trait d'unionentre les villes. Il sera fait avec une séried'ateliers photographiques ludiquesmenés par le photographe AntoineRepessé, qui ira à la rencontre des usa-gers du complexe sportif le mercredi 25mars après-midi et de la Gare le mer-credi 8 avril après-midi. L'occasion pourchacun de se mettre en scène de ma-nière amusante et décalée. Ces ateliersdéboucheront sur une grande exposi-tion qui sera visible à la Gare et à Ladou-mègue à partir du mois de mai, puis àpartir de septembre dans les autresvilles. En parallèle à ces ateliers photos,des ateliers d'expression seront propo-sés par la talentueuse Clemmie Won-der, durant lesquels les participantsréaliseront les légendes de l'exposition.

Le 30 mai : place au bouquet final !Un grand moment festif sera organisé lesamedi 30 mai à La Gare où aura lieuune grande fête populaire, culturelle etsportive ! Au programme : démonstra-tions sportives, spectacles (imaginez unjeu de Mikado géant réalisé à l'aide deperches d'athlétisme !, mais aussi un

spectacle de danse proposé par la com-pagnie Nathalie Cornille) et plein d’au-tres surprises !Rendez-vous donc le 30 mai !

«La culture physique, oui... mais pas que !»Quand le sport et la culture se rencontrent...2015 est une année placée sous le signe dusport à la Gare et de la culture à l'espaceLadoumègue, avec un grand projet mené parles deux services, en partenariat avec l'asso-ciation L'Entorse, et les villes d'Avion, Sallau-mines et Billy-Montigny.

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Culture et SportCulture et Sport

Dans le cadre de l'exposition sur lesCycloscopes, la Gare et l'Espace Ladoumèguerecherchent d'anciennes baffles et dynamos

qui serviront à transformer des vélos eninstruments de musique. Si vous en avez envotre possession, vous pouvez les apporter àla Gare ou à l’espace sportif Ladoumègue.

Les services sport et culture vous ontconcocté bien d'autres rendez-vous etsurprises ! Une plaquette d’informa-tions est à votre disposition... N'hésitez pas à vous la procurer ounous contacter au 03 91 83 14 85 ouau 03 21 40 75 50. Sport et culture...Deux mondes qui n'ont apparemmentrien en commun, vraiment ?

CultureCulture

Les peintres méricourtoiss'exposent - Saison 7

Pour ce premier rendez-vous de l'annéeà la Gare : coup de projecteur sur nosartistes peintres méricourtois. Vingt sixartistes, qu'ils soient amateurs, confir-més, autodidactes, nous ont fait parta-ger leur passion.Ce fut une véritable invitation au voyagetant par les thèmes abordés (paysagesde Bretagne ou du Lavandou, Afrique,Indes....) que par les techniques utili-sées (aquarelle, fusain, peinture àl'huile, acrylique...) et les styles (art abs-trait, figuratif....).De plus, cette année, cette expositioncomprenait une exposition photogra-phique sur le thème des droits des en-fants créée avec des habitantsméricourtois et la complicité de SamuelLemore, photographe, et LudovicWache, plasticien.Une occasion de croiser les regards surle monde qui nous entoure et commetoujours, cette exposition a rencontréun vif succès !

Livres, CD, DVD et artL'équipe de la médiathèque avaitorganisé un petit-déjeuner des lecteursspécial ART le samedi 17 janvier matin.Entre café et croissants, les participantsont pu découvrir une large présentationde livres, CD et DVD sur les arts.Au programme, Signac, Bowie, du streetart, sans oublier le Louvre-Lens et biensûr tout cela dans une ambianceconviviale !

Cinéma et artPlace ensuite le vendredi 23 janvierpour un Cinégare devenu Cinég‘art pourl’occasion. Le public a découvert la viesurprenante de Frida Kalho, artistepeintre mexicaine au destin incroyable,interprétée par Salma Hayek.

Atelier « Les animaux dans l'art »Valérie et Françoise nous avaientconcocté un joli programme : temps de

lecture avec les Tapis Lecture ou ra-conte-tapis pour entrer dans le mondemagique du loup, de la grenouille ou dela petite poule... avec Valérie et atelierde création d'animaux magiques,étranges et loufoques avec Françoise.

Rencontre familiale et artistiqueavec Isabelle Lefebvre

Enfin, le samedi 24 janvier, ce sont lesenfants et les parents qui ont pu s’inté-resser à l’art dans le cadre d’un nouveaurendez-vous : les samedis de la Gare. Auprogramme, un après-midi animé parl’historienne de l’art Isabelle Lefebvre,qui leur a proposé une conférence cap-tivante sur les oeuvres d’art, suivie d’unatelier de création où les enfants ont pufaire admirer leur talent d’artiste ! Un,nouveau rendez-vous qui en appellerad’autres....

Dans le cadre de l’exposition des peintresméricourtois, l'Espace culturel et public laGare a proposé une programmation spécialeART en ce mois de janvier. Plusieurs rendez-vous ont eu lieu offrant à chacun la possibi-lité de découvrir l'art sous différentes formes: expositions, cinéma, rencontres...

Les rendez-vous de la G’ART !

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L 'émotion était effectivement au ren-dez-vous ! Pascale Berzin, directricede l'école de danse, a emmené cha-

cun de nous dans un voyage intense aupays des sentiments. Comme elle l'a si biendit : en tant qu'humain, c'est au travers denos sens et de nos sentiments que nousenvoyons à autrui une émotion. Pascale etles élèves de l'école de danse ont su noustransporter ! Pour en témoigner : les 550personnes présentes lors du Gala et letonnerre d'applaudissements lors du final !

Le Gala de Danse «Emotion»

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Amitié, partage, amour, plaisir, passion, révolte...

A chaque vacances scolaires, rejoignez-nous à la Gare !Ateliers, spectacles, cinéma, heure du conte, jeux vi-déos....il y en a pour tous les goûts et pour tous lesâges !Aux vacances de février, avec Marylin Fox, lamagie n'avait plus de secret pour les enfantsgrâce à l'atelier qui a été mené la première se-maine : toutes et tous ont pu découvrir l'enversdu décor, manipuler, utiliser du matériel profes-sionnel et des accessoires de la vie de tous lesjours pour créer ses propres tours ! Et la cen-taine de personnes présentes le samedi a ap-précié le spectacle «Le monde magique deMarylin Fox» dans lequel les enfants ont par-ticipé montrant ainsi tout leur talent !Mais les vacances de février, c'était aussi lecinévacances avec «Kirikou et les hommeset les femmes», l'heure du conte avec Va-lérie, des jeux vidéos à partir de 10ans et le spectacle «Encore»par la Compagnie La Cuillère

pour les tout-petits et lesfamilles.Rendez-vous aux prochainesvacances !

Les vacances à La Gare

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Un nouveau rendez-vous pour les petits et les grandset aussi à partager en famille !

Spectacle «Encore» pour les tout-petits

BUDGET 2015 :CONVICTION DES ÉLUS ET COMPÉTENCE DES ÉQUIPES MUNICIPALES,

DossierDossier

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Méricourt reste «tournée vers l’avenir»En pleine austérité budgétaire,

L’équipe de la majorité munici-pale a pu proposer au conseil

municipal de ce 25 février un budgetpréservant les orientations essen-tielles de l’équipe : gel des taux d’im-position 2015, gel des tarifs de loisirsenfance et jeunesse, maintien dessubventions aux associations, etmême création d’une aide sociale ou-verte à tous pour les loisirs de tous lesenfants, même pour les familles impo-sables. Par ailleurs, les investisse-

ments se poursuivront sans dégraderle très faible endettement de la ville.C’est que les élus et les équipes tech-niques de Méricourt ont travaillé d’ar-rache-pied à contrer les baisses dedotations d’un État ligoté par les dik-tats austéritaires de l’Union Euro-péenne. Un exercice difficile, maisréussi. Le Budget 2015 de Méricourt adonc su, à force de conviction et decompétence, rester fidèle à la devisede notre commune : Méricourt restetoujours, dans un environnementpourtant peu favorable, tournée versl’avenir.

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CONTRER LA BAISSEDES DOTATIONS D’ÉTAT

«La baisse des moyens financiers descommunes est une imbécillité écono-mique» s’est indigné Bernard Baudedurant les débats du conseil municipal.En effet, quand on sait que 70% de l’in-vestissement des collectivités territo-riales vient des communes, on ne peutque s’inquiéter des conséquences surl’économie et l’emploi de la baisse desdotations. On peut particulièrement se féliciterque l’équipe municipale ait réussi àmaintenir le cap : car, directement ouindirectement, chaque euro dépensépar la ville profite aux méricourtois.La dotation globale de fonctionnementrecule de 238.000 euros en 2015. Maisla ville a veillé, depuis longtemps, àfaire reconnaître ses droits à bénéficierde la politique de la ville. Et elle a ainsipu bénéficier d’une hausse de la dota-tion de solidarité urbaine.Les subventions aux associations ontainsi été maintenues. Une obligationmorale pour une municipalité degauche qui souligne « le rôle éminentjoué par le tissu associatif pour le liensocial et l’éducation de tous » Les tauxd’imposition n’augmentent pas, afin dene pas alourdir les difficultés des méri-courtois. Autre bonne nouvelle pour leporte-monnaie des ménages, Les tarifsloisirs enfance jeunesse restent gelés,et ce depuis de nombreuses années.Le budget 2015 s’équilibre à13.157.100 euros en fonctionnement,et 4.044.400 euros en investissement.Chaque dépense supplémentaire est fi-nancée par une augmentation des re-cettes. Car les équipes ont aussitravaillé depuis des mois pour anticiperl’austérité gouvernementale en allanttraquer chaque euro de subventionpossible. Un positionnement straté-gique qui profite aujourd’hui pleine-

ment aux méricourtois.INVESTISSEMENT : DES PROJETSGÉNÉRATEURS D’ÉCONOMIE

Deux projets importants en matièred’investissement : la rénovation de l’es-pace sportif Ladoumègue, qui permet-tra non seulement d’accueillir lesassociations sportives et les enfants ducollège dans des conditions meilleuresencore, mais qui est appelée à générerd’importantes économies d’énergie. Ledépartement est d’ores et déjà au ren-dez-vous, avec 60% de subvention,mais la ville travaille encore à optimiser

les autres aides, et ne désespère pasd’atteindre les 80%.L’autre projet reste celui du restaurantmunicipal-centre social et d’éducationpopulaire, en plein cœur du centre dela ville dans l’éco quartier. Rappelonsqu’une étude réalisée en 2011 avait dé-montré qu’un nouveau restaurant se-rait infiniment moins coûteux que derénover la multitude de cantines parse-mées dans les écoles de la ville. Cetteopération, dans un écoquartier d’oreset déjà labellisé officiellement et natio-nalement par le ministère du logement,

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MNV : Avec la baisse des dotations ver-sées par l’Etat, beaucoup de communesdiminuent fortement leurs dépenses.Que fait Méricourt ?«Il est vrai que l’Etat diminue très forte-ment les moyens financiers des com-munes. C’est une imbécilité économique !70% des investissements publics, et doncdes emplois sont issus des communes !Moins de moyens financiers aux com-munes, c’est moins d’activité pour les en-treprises et donc moins d’emplois. MaisMéricourt ne s’est pas égaré sur le che-min de l’austérité.»MNV : Que voulez vous dire ?«C’est vrai que la situation est très ver-rouillée par la baisse des aides de l’Etat.Mais à Méricourt nous avons depuislongtemps fait le choix de la compé-tence. Les services de la ville ont travailléd’arrache-pied pour optimiser chaquecentime.» MNV : Soyez plus précis !«Je veux dire que la compétence deséquipes techniques de la ville et la vo-lonté des élus se sont alliées pour pour-suivre nos options budgétaires desannées passées : pas d’augmentationdes taux d’imposition. Pas d’augmenta-tion des tarifs des participations des fa-

est examinée de très près pour son ca-ractère d’exemplarité et de modernité.Enfin, plusieurs emprunts seront rené-gociés, l’équipe municipale ayant dé-cidé de saisir l’opportunité de tauxd’intérêts historiquement faibles pourclore des emprunts plus couteux parceque plus anciens. Au total, ce serontainsi 80.000 euros économisés pour lescontribuables méricourtois.Deux maîtres-mots caractérisent doncce budget 2015 : conviction, car les élusn’ont cédé en rien sur les principes quisont au cœur de leurs engagements de

gauche. Compétence, d’autre part, carils ont pu s’appuyer sur la qualité deleurs équipes techniques, au service detoute la population, et fières de contri-buer ainsi à ce que Méricourt, malgréun contexte plus que difficile, tire ainsison épingle du jeu dans le cataclysmeaustéritaire qui accable nombre decommunes.

Bernard BAUDE :«Malgré la baisse des dotationsd’Etat, le budget reste protecteur

pour les Méricourtois»Une fois n’est pas coutume, c’est le 27 février quele conseil municipal de Méricourt a voté son bud-get primitif, alors que la majorité des communesrestent dans l’attente d’éléments importantscomme les dotations d’Etat. Le Maire de Méri-court a à ce propos salué la qualité du travail desservices communaux : chaque chiffre présent surles colonnes budgétaires est vérifié, et les dota-tions d’Etat calculées à la centaine d’euros près.Mais quelle vision porte le premier magistrat dela ville sur ce budget 2015 ? MNV vous livre sesimpressions et convictions.

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milles pour les centres de loisirs. Mieux! La création d’une aide sociale pour lesfamilles imposables qui souhaitent ins-crire leurs enfants aux centres de loisirsde vacances. C’est ainsi que je conçois lalutte contre la dégradation des condi-tions de vie entraînées par la politiquegouvernementale.»MNV : Croyez vous que cela soit suffi-sant ?«Bien sûr que non ! Mais la communen’a pas les moyens de faire davantage.Bloquer les taux des impôts et des tarifsdes loisirs éducatifs des jeunes ne suffitpas à résoudre en totalité les difficultésdes méricourtois, qui souffrent de l’in-suffisance des salaires. Mais c’est déjàun geste que la commune fait, et quin’est pas sans valeur.»MNV : Pourtant vous n’avez pas obtenul’unanimité du conseil municipal pourle vote du budget ?«Non, et je regrette que les élus du frontnational et ceux du MRC se soient réfu-giés dans une abstention très surpre-nante. Comment en effet ne pas voter lebudget et approuver par ailleurs les sub-ventions et les taux d’imposition ? Il y alà une attitude que j’estime purementpoliticienne. Ce jeu ne m’intéresse pas :j’ai, comme toute l’équipe de la majoritémunicipale, au cœur l’intérêt des méri-courtois. Notre budget veille scrupuleu-sement sur les intérêts communaux, etdes familles méricourtoises, et pour mapart je veille à me consacrer à la pour-suite de l’action générale entreprise parla ville pour améliorer le quotidien desméricourtois.»MNV : En matière de subventions auxassociations, avez-vous suivi la ten-dance de beaucoup de communes, quiest de diminuer fortement les aides autissu associatif ?«Non. Toutes les subventions sont main-tenues. La majorité municipale a veillé àmaintenir le même niveau d’aides auxassociations. Il est vrai que dans beau-coup de villes, les subventions ont étébaissées dans les mêmes proportionsque les aides de l’Etat ont diminué, voiredavantage ! Mais l’équipe municipale atoujours considéré que les associationssont un ciment de la vie de la commune.Aussi avons-nous veillé à ce que lesmoyens associatifs ne soient pas ré-duits.»MNV : Pensez vous que faute demoyens financiers les communes doi-vent disparaître comme semble le vou-loir le gouvernement ?«Ce serait une erreur fatale à la démo-cratie que de faire disparaître les com-munes en les privant des moyens

financiers de leur autonomie. Dès ledébut de l’histoire de France, les habi-tants d’un même lieu se sont organiséspour gérer en commun les affaires com-munes. Plus tard au fil de l’histoire, c’estbien dans les communes que se sont for-gés les changements de système poli-tique, notamment à la révolutionfrançaise. Aujourd’hui, le système poli-tique traverse une crise profonde. Et lacommune continue, envers et contretout, à représenter le terreau du chan-gement d’où émergeront d’autresformes d’organisations de notre pays.C’est pourquoi il serait une erreur decroire que les 36.500 communes deFrance sont un handicap pour notrepays. Elles sont au contraire une ri-chesse. Et, je le pense, grâce à la compé-tence de ses employés et de son équipemunicipale, Méricourt tient la dragéehaute aux partisans de l’anéantissementdes communes.»

MNV : A l’issue de ce budget primitif2015, que peut on dire des finances dela ville en terme de qualité ?«Je ne soulignerai que quelques ratios,à commencer par notre durée de désen-dettement, qui n’est que de 3,7 ans. Jepeux vous dire que beaucoup de villesnous l’envient. Je soulignerai aussi lapoursuite des investissements. Car cesont eux qui donnent du travail aux mé-ricourtois, directement ou indirecte-ment. Je soulignerai aussi l’effort autourde la jeunesse, qui sera plus encore ac-compagnée vers l’emploi par un ensem-ble d’actions municipales. Si méricourtreste tournée vers l’avenir, c’est qu’ellerésiste aux politiques d’austérité quevoudrait lui imposer le gouvernement.Elle le fait de tout son cœur, avecl’équipe municipale que j’ai l’honneurd’animer, et avec tout le savoir-faire deses services municipaux. Méricourt restebel et bien fidèle à sa devise et aux va-leurs de son histoire.»

Alors que la grande majoritédes collectivités françaisesplafonnent leur durée de dés-endettement à 7 ou 8 ans,Méricourt, pourtant bien pluspauvre que la moyenne, faitbien mieux avec une durée de3.7 ans

Enfants concernés : - enfant entrant au CP ou non encore ins-crit en élémentaire dans une école de Mé-ricourt- première inscription en maternelle pourles enfants nés en 2010, 2011 et 2012- enfants nés en 2013 sous réserve despossibilités d’accueil des écoles

Se munir : - du livret de famille- du carnet de santé et de vaccinations del’enfant- d’un justificatif de domicile (facture ré-cente EDF, EAU, quittance de loyer…)

• Si vous ne résidez pas à Méricourt, veuil-lez vous rapprocher de votre commune derésidence afin d’obtenir une dérogationscolaire.• Les parents qui travaillent et qui souhai-tent scolariser leur enfant dans l’écoleproche du domicile de la personne quigarde l’enfant devront fournir : - une attestation de travail pour chacundes parents- un justificatif de domicile et attestationsur l’honneur de la personne qui gardel’enfant

Pour tous renseignements complémen-taires, contacter le Service Éducation enMairie au 03 21 69 92 92 Poste 345.

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Sensibilisation et travail d’éducationà la sécurité routière

pour les écoliers de Saint-Exupéry

Rentrée scolaire 2015Les pré-inscriptions se feront en Mairie au Service Éducation du Jeudi 12 Mars au Vendredi 3 Avril 2015

EducationEducation

C ette année encore, une opéra-tion de prévention à la sécuritéroutière sera organisée à l'école

primaire Saint-Exupéry.Les écoliers réaliseront des exercicesaxés sur la bicyclette et le code de laroute.Ces ateliers seront animés dans le cadrede l'attestation première d'éducation àla route (APER) par l'équipe éducative,en partenariat avec la municipalité et lesoutien logistique de la communautéd'agglomération de Lens-Liévin (CALL).Les cinq classes élémentaires, soit prèsde cent élèves, seront concernées parcette opération.Les différents ateliers proposés permet-tront aux élèves de mieux appréhenderles prochaines sorties sur leurs deuxroues encadrés par les enseignants etles parents.

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Aujourd’hui, c’est navette !Nous avons convié Samuel Le-more, photographe local, a accom-pagner Jean-Jacques Lemaire,chauffeur de la Navette Méricour-toise, durant une semaine pournous tirer quelques clichés. Nousvous en proposons ici quelquesuns.

T ous les jours ce sont des dizainesde Méricourtois(es) qui parcou-rent notre ville. La Navette c’est

le service public tout public, ses usa-gers ont entre 2 ans et demi et 91 ans.Les enfants de Courty Guy qui mangentà la cantine la connaissent bien, lesjours d’école elle les amène au restau-rant scolaire et vient les y rechercher.Et tous les lundis, elle leur permet d’al-

ler faire du sport à la SalleLadoumègue. Mais la Na-vette est sur le pont bienplus tôt, elle va déposer lesenfants des accueils péris-colaires, direction l’école,et «à ce soir les enfants».Elle rendra encore bien desservices durant les va-cances scolaires aux en-fants accueillis en centrede loisirs.Certains des Méricour-tois(es) qui vont aux clubsde la Belle Époque, desCoeurs Joyeux ou encoreaux ateliers mémoires du

centre social, le font pour certains ennavette, celle-ci permet de ne pas rom-pre les liens quand ils, ou elles, éprou-vent des difficultés à se déplacer ouqu’ils, ou elles, habitent trop loin pourvenir à pied.Un autre service rendu par la super na-vette, ce sont les rendez vous du sa-medi et des jeudis direction lescommerces et les services (le marché,la mairie, la poste, le cimétière...). Lanavette c’est la solution mobilité. Eneffet, elle permet à des personnes éloi-gnées de ces services de pouvoir sortir,d’être autonome, de faire ses coursestoutes seules.Un dernier détail tout de même et pasdes moindres, ce service est gratuit, etcela tous les jours et toute l’année.Alors quand vous entendez dire du maldu service public pensez navette.

Education PopulaireEducation Populaire

Grande nouvellepour les usagers :

A compter du 9 Avril, navettetous les jeudis matin !

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Pour bénéficier de laNavette : un simple coup

de téléphone !Contactez le Centre Social

d’Éducation PopulaireMax-Pol Fouchetau 03 21 74 65 40

ou passez nous voir rueJean-Jacques Rousseau

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Le Club 11/15 anstoujours lancé dans de très beaux projets...

A près le Futuroscope à Poitiersen 2014, cette année les jeunesdu Club 11/15 ans partent en

Italie pour un circuit "Toscane/EmiliaRomagna/Vénétie"Grâce à leurs autofinancements et lesdifférentes aides qu'ils ont trouvés, lesjeunes vont être récompensés en dé-couvrant les belles villes de Florence,Pise, San Marino, Rimini et Venise du 2au 9 Mai 2015.

Si votre enfant souhaite aussi participeraux projets à venir et aux différentessorties tout au long de l'année (Piscine,cinéma, Laser Game, patinoire, sortie

au théâtre...) et rejoindre le Club 11/15ans, nous l'attendons avec plaisir tousles mercredis et samedis après-midi de14 h à 17 h.Inscription au Centre Social Max PolFouchet de Méricourt (adhésion : 10 €le trimestre soit 30 € l'année, les ticketsloisirs sont acceptés).

Enfance/JeunesseEnfance/Jeunesse

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Du neuf à la Maison des Jeunes

Enfance/JeunesseEnfance/Jeunesse

L a maison des jeunes a été réno-vée et sera inaugurée au mois deMars. Un studio d'enregistrement

a également été conçu afin de permet-tre au groupe de rap 62 CG de réaliserde nouvelles chansons et de les mettresur CD avec l'aide de leurs intervenants.Les activités danse Hip-Hop continuentainsi que les activités sportives, des ate-liers culinaires et esthétiques sont aussiorganisés de manière ponctuelle. EnMai prochain, les jeunes partiront àCannes pour participer à l'action "re-gards jeunes sur le cinéma".Ce séjour permettra aux jeunes de dé-couvrir des techniques pour le montaged'un film ainsi que les rouages du sep-tième art.Les animateurs jeunesse veulent réali-ser un reportage sur la vie des jeunesaujourd'hui, cette expérience sera doncbénéfique pour l'aboutissement de ceprojet. La ville d'Avion va également po-sitionner des jeunes sur cet évènement.

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EnvironnementEnvironnement

Cette initiative a pour objectif de sensibili-ser aux enjeux du développement durable,apporter des solutions concrètes pour agir,inciter à l'adoption de comportements res-ponsables.

Un mois d'activités richeset variées à Méricourt

l Samedi 28 Mars 2015 à partir de 9H :Distribution de compost, Parking Ave-nue de Flöha. Moment convivial autourd'une grillade de poissons ETVisite de l'exposition de Samuel LE-MORE : Les minuscules méricourtoisesPhotos issues de longues pérégrinationsà travers notre commune, autour duterril, sur les chemins de randonnée...Ces minuscules créatures habitenttoutes, notre ville. Abeilles, papillons,araignées... vivent parmi nous et jouentun rôle essentiel dans notre biodiver-sité.

l Jeudi 2 Avril 2015 de 14H30 à 18H30au collège : Atelier VELOS pour les col-légiens, petites réparations et conseilsd'entretien.

l Samedi 4 Avril 2015 à 9H : Nettoyaged'un quartier de la ville RDV au Terril «Le Bossu» et Visite de l'Exposition Photogra-phique de Samuel LEMORE

l Dimanche 12 Avril 2015 : Sortie Vélo«Méricourt comme vous ne l'avez ja-mais vu !» Une jolie balade en famille àtravers la ville au détour de petits che-mins méconnus. RDV à 9H, Place JeanJaurès et Atelier Vélos sur la place, ré-parations et conseils d'entretien.

l Mardi 14 et Jeudi 16 Avril 2015 Placede la République : Plantations partici-patives, plantation de vivaces en colla-boration avec les écoles, lesMéricourtoises et Méricourtois. Ren-dez-vous sur place à partir de 9H.

l Samedi 18 Avril 2015 à 9H, Place JeanJaurès : Rencontre «Si on faisait deséconomies d'énergies !» La Ville deMéricourt, vous propose une rencontreavec les partenaires de notre quotidien(ERDF, GRDF,Sociétés Locales...), pourrépondre aux questions sur les écono-mies d'énergies.

l Samedi 25 Avril 2015 de 10H à 12H :Atelier IKEBANA , Art Floral Japonais,Espace Culturel et Public La Gare. 10euros per personne. Réservation(places limitées) à La Gare.

l Vendredi 1er Mai 2015 boulevard Al-lende : Marché aux fleurs

Semaine du Développement Durable 2015Une semaine pour sensibiliser, une année pour agir

SeniorsSeniors

Banquet desAînés 2015

Offert par la Municipalité auxRetraités Méricourtois

Mercredi 29 Avrilà 12H30

Espace SportifJules Ladoumègue

Entrée sur présentation du coupond’inscription - Service de bus gratuit

Inscriptions du07 au 17 Avril 2015

En Mairie, Service 3ème Age Tél. 03 21 69 92 92

Au MenuPotage du Cultivateur

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Jambon Cru et Billes de Melonsur Salade de Saison

HHH

Gigolette de Canard Confite au Sel deGuérande accompagnée d'un Millefeuille de

Fontenay Façon Brick et sa Poêlée de LégumesHHH

Assiette de Fromages sur Lit de Salade VerteHHH

Entremet Poire/Caramelet Fruits Secs Marinés au Rhum

HHH

Café

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Une prestation adaptéeaux résidents

«Samedi soir, la séance a lieu à 19H30pour ne pas obliger certains résidents àchoisir entre se coucher relativementtôt et aller voir un film qui les intéresse»précise Hassan Aît Hessagir, animateurde la résidence. Le choix des films se faiten balayant l’actualité cinématogra-phique à plus de six mois (auparavantles films ne sont généralement pas dis-tribués hors cinémas labellisés CNC)Le but est d’offrir une palette d’œuvresouvrant les horizons les plus divers.«Les résidents préfèrent les films gais etlégers, comme «mais qu’est ce qu’on afait au bon dieu» mais ne boudent pasnon plus certaines œuvres qui les inter-pellent dans leur vécu générationnel,comme Philomena de Stephen Frears»ou des films un peu excentriquescomme Apprenti Gigolo de WoodyAllen» souligne quant à lui Franck De-baecke.

Une incitation à prolongerles visites en famille

«Nous avons refondu une partie des ta-rifs afin de favoriser les visites du di-manche» souligne l’équipe «Nousavons baissé certains tarifs, pour queles enfants et petits-enfants viennentmanger le midi. Mais on sait ce quec’est : une fois le repas terminé, les plusjeunes enfants s’ennuient parfois, et lafamille ne peut rester autant que levoudrait le résident C’est la raison pourlaquelle nous avons créé ciné-di-manche, où le film, que nous choisis-sons «tous publics» peut être regardéen famille.»Ajoutons que les résidents aiment sortiren salle sans attendre que les films par-viennent jusqu’à eux, ils ont été nom-breux à aller, cette année trois fois, auARRASFILMFESTIVAL. C’est ainsi qu’ilsont découvert, entre autres, en novem-bre le film «Bébé-Tigre» en sortie offi-cielle fin janvier. De vrais festivaliers !

Tous les week-ends,la Résidence Henri Hotte

se paie le ciné !C’est désormais un usage bien établi : chaque week-end, les résidents sevoient proposer au sein même de la résidence deux films. Le samedi soiret le dimanche après midi. Les films sont le plus souvent de moins d’unan, ce qui permet aux résidents de rester dans l’actualité culturelle. Maisle cinéma est aussi un moyen de favoriser les dimanches en famille.

Vie AssociativeVie Associative

Un précieux don de tempsLes associations caritatives plus que nécessaires

face à une misère inquiétante...

De -trop- nombreuses famillesbénéficiaires, jamais trop

de bénévoles...Pour ne citer que deux chiffres : 247 fa-milles inscrites aux Restos du Cœur, 50au Secours Populaire ! Aides à l'énergie,à la formation, soutiens alimentaire etvestimentaire, actions culturelles, soli-daires... ou tout simplement une oreilleattentive ; même si chacune des asso-ciations fonctionne de manière diffé-rente, toutes offrent ce même accueilchaleureux, dans le respect de la confi-dentialité.

Porter secours et assistance aux plus dému-nis, offrir de l'aide, du soutien, être àl'écoute … C'est souvent le sens de l'engage-ment des bénévoles de nos 4 associationscaritatives présentes sur la ville : les Restosdu Cœur, le Secours Populaire, le Secours Ca-tholique et la Croix Rouge. Œuvrant en étroitpartenariat avec le CCAS (Centre Communald'Action Sociale) leur intervention prend di-verses formes face à la détresse croissantedes plus démunis.

Une relation humaine primordialeet une bonne connaissance

du terrain…Parce que les bénévoles sont méricour-tois, parce que les associations travail-lent en réseau ensemble et avec la ville,parce toutes sont animées parce cettevolonté farouche de recréer du lien so-cial, de nombreux projets sont menésen partenariat comme l'Arbre de Noëlde la Solidarité qui réunit chaque année

600 personnes autour d'un spectacle etd'un goûter. Des moments conviviauxoù, le temps de quelques heures, lessoucis sont de côté et l'isolementrompu.

Face à l'aggravation des situationsprises en charge : merci pour ce pré-cieux accompagnement, parfois dansl'urgence !

Responsables locaux :basés à la

Maison de la Solidarité71 rue Pasteur (03.21.40.47.60)

l Secours Populaire :Roger JANKOWSKI

l Croix Rouge Française :Janine PIOSIK

l Restos du Cœur :Nicole DEMUYNCK

l Secours Catholique :Véronique ALLART

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«Le contraire de la misère,ce n ’est pas la richesse.

Le contraire de la misère,

c ’est le partage.»Abbé Pierre

Le collectif d’habitants du projet de cheminements piétons

vous donne rendez-vous !«Si on faisait un bout de chemin ensemble ?»

M ais d'autres chantiers sepoursuivent : voir com-ment vivent les aména-

gements du Chemin du Bossu ;créer une signalétique et un logopour le projet, étudier la connexionentre la cité des cheminots et l'ave-nue de Flöha (en collaboration avecle Conseil Général) … Et tellementd'autres chemins à créer encore !En 2014 l'accent avait été mis sur lesquare dit « Courty Guy ». Suite àplusieurs rencontres avec l'école etles riverains, le mobilier a étéacheté. Mais où l'installe t-on ? Quelnom donner à ce parc familial ? DECIDONS-LE ENSEMBLE autourd'une maquette, avec l'aide d'unearchitecte paysagiste, avant la pose

définitive des aménagements auprintemps.Cette activité s'adresse à tous : pe-tits et grands !

Avec son budget participatif de50 000 euros le collectif d'habitants a

décidé, lors de sa réunion du 12 Février,de travailler sur un nouveau secteur :

le quartier du Maroc.

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Une idée de projet pour votre quartier ?Le FPH est le coup de pouce qu’il vous faut !

L 'Association pour le Déve-loppement de la Citoyen-neté à Méricourt (ADCM),

présidée par Daniel BRANCHU,gère une enveloppe de 23 000euros (financée à 70% par la Ré-gion et 30% par la Ville) poursoutenir des initiatives portéespar les habitants (ex : activitéssociales, culturelles, sportives…)dans le cadre du Fonds de Parti-cipation des Habitants (FPH).

Si cela vous intéresse, contactezle service Projet de Ville-Terri-roires en Mairie : Sophie MOL-LET, Delphine ANDRZEJCZAK ouCathy NOWAK vous remettrontle «Kit du porteur de projet» etvous aideront dans le montagede votre action (Tél :03.21.69.92.92).

Dates des prochainsComités de Gestion :

17 Mars, 21 Avril, 19 Mai,23 Juin, 15 Septembre,

20 Octobre, 17 Novembre et15 Décembre.

Rendez-vous le Mercredi 18 Marsà 18H00 en Mairie

Pour plus de renseignements ou vous inscrirecontacter Sophie MOLLET en Mairie : par télé-phone au 03.21.69.92.92 ou par mailsophie.mollet@mairie-mericourt.fr.

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Ecoles maternelles et élémentairespour entretenir et maintenir

TravauxTravaux

P our accueillir chaque jour prèsde 1300 écoliers, la Ville comp-tabilise pas moins de six écoles

maternelles et cinq établissement élé-mentaires. Chaque année d'importantscrédits sont investis dans des pro-grammes de rénovation et d'embellis-sement des écoles qui représentent 25% de son patrimoine. La qualité de l'en-vironnement scolaire reste un souciconstant pour les élus et cette re-cherche de qualité se traduit par la ré-novation et l'améliorationfonctionnelle des équipements.«Nous avons un patrimoine en bon étatqu'il faut entretenir, rénover, mainteniraux normes d'accès, de sécurité et faire

vivre. Nos écoles sont aux normes maistoutes ne répondent pas encore auxdernières réglementations énergé-tiques et environnementales» expliqueLaurent Ducamp, adjoint aux travaux, àl'environnement et au cadre de vie.

Poursuivreles économies d'énergie

D'où un intérêt économique et deconfort pour la municipalité de pour-suivre sa politique en matière d'écono-mie d'énergie. Travaillant sur desétablissements construits à uneépoque où il n'y avait pas de souci deconsommation, il faut donc aujourd'huiles moderniser et optimiser lesconsommations énergétiques. «La luttecontre les déperditions énergétiquess'effectue par des travaux d'isolation àl'échelle de l'ensemble des bâtiments.

Dans un premier temps, cela est passépar l'étanchéité et notamment en toi-ture (réparations et rénovations) avantd'axer l'action sur l'isolation thermiqueet phonique par le remplacement desmenuiseries (fenêtres et portes d'entréedouble vitrage)» précise Frédéric Ter-mine directeur des services techniques.

Rénover et isolerdes façades complètes

«Des tranches sont engagées chaqueannée pour rénover et isoler des fa-çades complètes dans divers établisse-ments et actuellement nous sommes à50% réalisés sur l'ensemble desécoles». Ces opérations vont se pour-suivre sur l'école Pierre et Marie Curieavec une enveloppe de 90 000 € prévuesur les trois années à venir.L'amélioration des performances éner-

Dans la répartition des compétences, si lesDépartements ont en charge les collèges etles Régions les lycées, les lois de décentrali-sation précisent que les communes ont laresponsabilité de la construction et de l’en-tretien des écoles maternelles et élémen-taires. A Méricourt, la Municipalitémaintient ses efforts pour donner aux écolesdes conditions de sécurité et de confort tou-jours améliorées et accueillantes pour lesenfants et les équipes éducatives.

En quelques chiffres...

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: des travaux en permanenceun patrimoine accueillant

Un budget conséquent est consacré chaque année pour les écoles. En voici quelques extraitssur 2014.

En investissement :60 000 € consacrés aux travaux de rénovation et d'entretien25 000 € pour l'achat de mobilier (armoires, tables, chaises... remplacées selon leur vétustéet en concertation avec les directionsd'établissements)10 000 €pour le remplacement des stores

En fonctionnement :200 000 € de dépenses en fluides (gaz,électricité et eau) pour l'ensemble desécoles30 000 € en téléphonie, informatique etabonnements76 800 € pour le nettoyage quotidien des11 établissements scolaires

Des espaces propresLorsque les établissements scolaires sont fermés, 33 personnes, dont les ATSEM (agentsterritoriaux spécialisés des écoles maternelles) qui effectuent aussi du temps scolaire,sont mobilisées pour balayer et nettoyer les sols, vider les poubelles, astiquer tableauxet mobiliers ou récurer les sanitaires.Et c’est bien grâce à l’efficacité etl’endurance de ces travailleuses del’ombre que les enfants et les ensei-gnants bénéficient d’équipementspublics propres et agréables. Unetâche quotidienne accomplie avecprofessionnalisme par ces agentsmunicipaux dans les onze écoles dela ville.

Jobs d’étéet cours d’école

En 2014 et dans le cadre des jobs d'été (18/25ans) quatre jeunes Méricourtois ont remis enpeinture les jeux dans les cours des écoles ma-ternelles de la commune. L'opération sera re-nouvelée cette année.

gétiques se ressent par l'isolation maisaussi par une rénovation des systèmesde chauffage qui est en cours dans unmarché en gestion déléguée afin de de-venir plus performant au niveau de laproduction du chauffage et dans la dé-perdition énergétique.Tous ces travaux sont bien évidemmentcomplétés par les travaux d'entretiencourant comme le remplacement dessanitaires, la rénovation des sols, lestravaux de peintures des salles declasses, les peintures extérieures etsous les préaux réalisées par les ser-vices municipaux.Bien entendu, les vacances scolaires etsurtout celles d'été restent les mo-ments privilégiés pour toutes ces inter-ventions.

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TravauxTravaux

Voirie : Fissures, effondrements, certaines parties des routes souffrent de la circulation et des ri-gueurs de l'hiver. Tous les ans sont programmés des travaux dits de purge pour entretenir et rénoverplusieurs secteurs et carrefours de la commune. Les derniers en date ont concerné la rue JulesMousseron au carrefour avec la rue de Douaumont. Les passages piétons en pavés autoblocantsaffaissés ont également été refaits.

Découverte d'une sape : Lors de la phase de rabotage des travaux de purge en chaussée réalisés àl'angle des rues Pierre Simon et Nobel, la voie s'est affaissée sous l'engin de près de 20 tonnes.L'intervention d'une dépanneuse poids-lourds a été nécessaire pour sortir la raboteuse de cettedélicate situation, laissant ensuite entrevoir une sape de plus de trois mètres de profondeur.

Elagage : Le service des espaces verts acommencé l'élagage des platanes, éra-bles, prunus de la ville. Cette végétationconnaît aujourd'hui son importance surl’esthétique et le climat urbain offrantsensation des saisons et rafraîchissementde l’atmosphère. L’arbre constitue unecomposante importante de la nature dansla ville en participant à la diversité biolo-gique. Pour cette toilette hivernale, pasmoins de 200 arbres ont été élagués. Lebroyage des déchets est effectué sur placeavant d'être recyclé à titre de compost etde pailllis.

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Pas de tir extérieur : La compagnie des archers va bénéficier d'un stand de tir extérieurfermé et sécurisé. Les services des espaces verts et de voirie ont procédé à l'aménagementdes lieux situés près de l'espace sportif Jules Ladoumègue.

Remise en peinture : Les vacances scolaires sont mises à profit pour effec-tuer des travaux d'entretien dans les établissements scolaires.

Réseau d'eau : Un programme de rénovation des conduites d'eau est lancé. Depuis 2014, 100 ca-nalisations ont été changées sur les 300 prévues.

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Suite à la modification du règlement intérieur tel qu’il a été défini lors de la séance du Conseil Municipal du 12 Juin 2014 et en vertu de la démocratie locale,Monsieur le Maire a proposé aux têtes de listes composant le Conseil Municipal un espace réservé à l’expression libre.

Les contributions publiées dans cette page n’engagent pas la rédaction de Méricourt Notre Ville. Les textes sont reproduits in-extenso.

TENIR BON !Avec le débat d'orientation budgétaire, puis le vote du budget, les Élusmajoritaires de gauche de la liste «Ensemble pour Méricourt» sont en-trés dans un moment fort de leur mandat. Dans un même élan construc-tif.

Depuis plusieurs années, sous l'effet de la crise de 2008, l'évolution desfinances locales nous montre des signes inquiétants. La courbe desdépenses est devenue plus rapide que celle des recettes, et cela in-dépendamment des baisses des dotations d'État.

Aussi l'annonce du projet de loi des finances 2015 d'une baisse des dota-tions qui se poursuivra jusqu'en 2017 accentue encore les difficultésrencontrées par une municipalité comme la nôtre.

Cette situation est liée d'abord par ces responsables en haut de l'Étaten 2008 qui ont alors préféré refinancer les banques plutôt que de servirl'intérêt public.

Cela dit, notre responsabilité locale, et de notre majorité, est de faireface. Et de tenir bon.

Tenir bon, c'est continuer à bien maîtriser nos dépenses. Tenir bon, c'estencore continuer à nous désendetter. Tenir bon, c'est aussi élaborer desstratégies financières afin de réduire nos dépenses sans pour autantdiminuer nos capacités d'action. Tenir bon, c'est poursuivre sans cessenotre recherche de nouvelles subventions.

Ce n'est pas à nous Méricourtois de payer leur crise ! Et même si nousla subissons au quotidien, notre rôle d'Élus de la gauche, est de ne pasen rajouter.

Ainsi, la CAF a revu, cette année encore, ses barèmes. Et cependant,nous avons fait le choix d'un moratoire sur les tarifs des activités en-fance-jeunesse. Nous continuons cette politique. Nous tenons bon.

Notre prochain gros projet, que certains critiquent déjà sans que l'onsache vraiment pourquoi, réside dans le futur restaurant municipal etle Centre social et d'éducation populaire. Ce projet permettra à tousles enfants (les scolaires et ceux des centre de loisirs), aux Méricourtoisaussi, de se restaurer dans de bonnes conditions. Il permettra de désen-gorger les écoles.

Oui, ce projet a un coût. Mais nous savons déjà que nous pouvonscompter sur la volonté des Élus de gauche et sur la compétence desServices municipaux pour aller chercher, et obtenir, les subventionsnécessaires au plan intercommunal, départemental, régional et mêmeau niveau européen.

Alors oui, ce budget 2015 est ambitieux. Mais il recherche aussi toujourscet équilibre nécessaire pour que ce ne soit pas les Méricourtois qui enpâtissent.

Olivier LELIEUXListe d’Union de la Gauche«Ensemble pour Méricourt»

PC ET PS MEME POLITIQUES MEME COMBATSMericourtoise , MericourtoisLors d'une réunion organisée par la municipalité,la SIA, avec la partic-ipation de l'association AJONCS en la salle annexe de l'école Mermoz,leshabitants de la cité étaient conviés à partager leurs avis et décider d'unprojet communal de jardins partagés,en exposant leurs visions et leursinterrogations sur ce projet tout en faisant des propositions .Une foisde plus ,la populations n'a pas été écoutée,seul un groupe communal àdéfendu ce projet  Forcément bien préparé,et bien embrigadé par notremaire. Même maire qui comme à son habitude décide sans respecterl'avis de la populations, devant ce qui na rien d'un projet,mais simple-ment de vous mettre devant le fait accompli car déjà décidé sans sesoucier de l'avis des riverains,car le jardin verra le jour,et même déjàdémarré de plus la « pseudo »représentante des locataires que personnena jamais vu sauf !! Elle l'avoue elle même !! lors du porte à portepour les élections, cette conseillère municipale,na fait qu'apporter del'eau au moulin de la municipalité . Voila pour l'intégrité de la personne .Quand a l'intégrité de la société immobilière de l’Artois, des choses sontà revoir .PAS DE VOTE DES RIVERAINS STYLE 49/3 cette politique de dictaturedoit cesser,nous devons mettre fin aux dépenses inutile de notre ar-gents,votre argents . Projet emploi « 0 » Projet logement « 0 » Projetsécurité « 0 »

DASSONVILLE LAURENT PRESIDENT DU GROUPE FN

Pour la Liste du Front National

LA FRANCE MALADE......de la "Hollandie", virus FH-MV qui ronge le pouvoir d'achat, la capa-cité de travailler ou de trouver un emploi, qui augmente la pression fis-cale inacceptable pour l'organe nommé "portefeuille" ! Symptômes :amaigrissement, déprime... Ce virus doit être éradiqué ! Et non pascomme en janvier, faire l’objet d’une récupération malsaine !La Hollandie s'attaque aux communes, en leur réduisant leurs médica-ments que sont les dotations, subventions... qui fait que, au lieu de seredynamiser, sombrent dans la sinistrose !Pour faire tomber votre fièvre, on va vous annoncer 0% le taux d'aug-mentation de vos impôts locaux mais on ne vous dira pas que l'empruntannuel fera une montée de température inquiétante.Pour reprendre des couleurs, les tarifs des centres aérés, des activités,etc, etc... ne bougeront pas mais, parce que la Hollandie a baissé sesmédocs (subventions et coefficients CAF par ex.), la part de la ville serasupérieure, donc toujours vous les payeurs !Il y a des acharnements que je ne comprends pas dont celui de l'ex-trême-droite qui s'oppose fermement au nouveau restaurant scolaire,ils n'ont pas compris que c'était pour le BIEN-ETRE des enfants, du per-sonnel communal, de celui du "peuple" comme ils savent si bien le dire"Peuple" ? Nous voilà revenu dans les année 45-50 sous l'ère commu-niste... les frissons me reprennent, en sachant très bien ce qui se cachederrière tout ça !Enfin, c'est juste ma façon de penser

Daniel SAUTYPour l’Union de la Droite et du Centre

Pour la Liste d’Union de la Droite et du Centre

Pour la Liste d’Union de la Gauche

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L'assassinat odieux des journalistes etdessinateurs de Charlie Hebdo aura fait,entre autres, remonter à la surface ledébat sur la liberté d'expression. Peut-être trop habitués à cette liberté fonda-mentale, nous avons sans doute oublié,perdu, ce qui fait l'esprit même de cetteliberté née avec la Révolution, inscrite,en 1958, dans la Constitution et désor-mais garantie par la Convention Euro-péenne des Droits de l'Homme.

DébatDébat

Liberté d’expression ?

L ibéré de l'emprise monarchique,le peuple de 1789 a faim. Il veutdu pain, mais aussi le droit de

s'exprimer. Sur ce point au moins, lanouvelle puissance publique lui assureune satisfaction primordiale par l'article11 de la Déclaration des Droits del'Homme et du Citoyen (DDHC) : «Toutcitoyen peut parler, écrire, imprimer li-brement». C'est encore avec cet article11 que la démocratie peut enfin naîtreet exister réellement.

Car, en effet, le principe démocratiquerepose sur les débats, l'expression libredes opinions. C'est encore la DDHC,avec son article 10, qui en fixe le prin-cipe général... mais aussi les limites dela liberté d'expression : «Nul ne doitêtre inquiété pour ses opinions, mêmereligieuse, pourvu que leur manifesta-tion ne trouble pas l'ordre public établipar la loi». Autrement dit, la liberté desuns s'arrête où commence celle des au-tres...

Cependant, la notion de «trouble à l'or-dre public» reste plutôt vague. On com-

prend que la loi soit ferme pour proté-ger le citoyen des provocations, la haineou/et à la discrimination raciale, à la dif-famation. Mais il nous faut surtout ad-mettre que la liberté d'expressionappelle du haut de son socle qu'est ladémocratie, à l'écoute respectueusedes idées, avis et opinions des autrespour que chacun puisse vivre sa ci-toyenneté de manière libre, et dansl'égalité.

Marchés aux Puces 2015Ville de Méricourt

Avril :Dimanche 12 Avril de 8H00 à 18H00 : Rues Taverne, Paul Asquin, M. Altazin- Organisé par l’Association «Bien vivre dans sa cité» (Inscriptions au Localde l’Association : 94, avenue de France - Tél. 06 63 81 49 39) - Tarif : 3 eurosles 4 mètres

Mai :Jeudi 14 Mai de 9H00 à 17H00 : Avenue J. Prin, rue P. Simon, Parking EspaceLadoumègue, Roberval - Organisé par les «Débrouillards» (Inscriptions : Club«Les Débrouillards» - Tél. 06 19 78 83 46) - Tarif : 1 euro le mètre

Dimanche 17 Mai de 8H00 à 18H00 : Places Jean Jaurès et de la République,Avenue Le Gentil, Rues Mirabeau, Voltaire, de la Gare et Condorcet - Organisépar le Comité de Soutien et de Lutte contre la Mucoviscidose (Inscriptions :Café «Chez Annie», rue Mirabeau - Tél. 03 21 69 92 63) - Tarif : 5 euros les 5mètres

Juin :Dimanche 7 Juin de 8H00 à 18H00 : Rues Paul Asquin, - Organisé par le Clubdes Cœurs Joyeux (Inscriptions au Club les Mardi et Vendredi de 14H00 à18H00 - Tél. 06.32.92.18.52) - Tarif : 1 euro le mètre

Juillet :Dimanche 19 Juillet de 8H à 18H : Av. du 10 Mars (à partir Rond-point desDroits des Enfants), Rues Robespierre (jusqu’à l’angle rue Mousseron),P.Simon (jusqu’à l’angle rue du 19 Mars), Av. J. Prin (jusqu’à l’angle rue Ro-berval) et Parking Espace Ladoumègue - Organisé par le Comité de Soutienet de Lutte contre la Mucoviscidose (Inscriptions : Café «Le Brazza», rue P.Simon - Tél. 03 21 40.50.00) - Tarif : 5 euros les 5 mètres

Août :Dimanche 9 Août de 8H00 à 18H00 : Rue Roberval, - Organisé par le SecoursPopulaire Français et l’Association » Bien vivre dans sa cité » (Inscriptions :Local, 94, Avenue de France Tél. 06 64 72 44 96 ou 06.63.81.49.39) - Tarif : 3euros les 4 mètre

Dimanche 23 Août de 9H00 à 17H00 : Avenue J. Prin, rue P.Simon, rue Ro-berval, parking Ladoumègue - Organisé par le Club des Débrouillards (Ins-criptions au club Tél. 06.19.78.83.46) - Tarif : 1 euro le mètre.

Septembre :Dimanche 27 Septembre de 8H00 à 18H00 : Places Jean Jaurès et de la Ré-publique, Avenue Le Gentil, Rues Mirabeau, Voltaire, de la Gare et Condorcet- Organisé par le Comité de Soutien et de Lutte contre la Mucoviscidose (Ins-criptions : Café «Chez Annie», rue Mirabeau - Tél. 03 21 69 92 63) - Tarif : 5euros les 5 mètres