Au printemps, le chant plaintif de la nature qui s’éveille voit revenir tous les oiseaux mouches partis se réchauffer au soleil du sud.

C'est quelque chose d’extraordinaire, que je n'ai jamais vu, ou entendu parler, auparavant. Cette dame vit dans une zone de passage de Colibris. Des oiseaux mouches qui ont immigré, et dont environ 20 d'entre eux étaient dans son jardin. Elle a pris le petit plat rouge, l'a rempli d'eau sucrée et voilà le résultat.

La Femme est Abagail Alfano du Pin, en Louisiane. Elle les a étudié tous les jours et un matin a mis la tasse d’eau de leur mangeoire, dans sa main. Comme ils s'étaient habitués à boire dans cette tasse, ils sont venus à sa main.

Elle dit dans l'attouchement qu'ils sont comme la lumière et légers comme une plume. La douceur de ces instants uniques l’a transporté dans un monde d’harmonie avec la nature.

Abagail a dit : « Si j’avais su que mon mari allait prendre des photos, j’aurais mis du maquillage »

On ne refait pas l’éternel féminin, n’est-ce pas ?

Alors, la nature n’est-elle pas belle ? Écoutez le chant des oiseaux, car ils ont des choses à vous dire !

The Godfly Romance - Orchestre d'André Rieu

Denis Hautot Le 8 avril 2008