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Numéro 21

Dossier spécial

Servicetechnique del’ADDC

ADDCA s s o c i a t i o n D é p a r t e m e n t a l e d e D é v e l o p p e m e n t C u l t u r e l

A v r i l - M a i - J u i n 2 0 0 4

EXÉ 32 PGS AVR. JUIN 04 6/03/06 12:08

ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne /

L’équipe de l’ADDC :

Francis Bonhomme, chauffeur poids lourd, technicien – monteur de structuresLionel Bunlet, technicien sonLaurence Coudenne, responsable information Claude Desage, technicien lumière – monteur de structuresChristine Dubreuil, secrétaire de directionMarie-Laure Faure, secrétaire service techniqueMichèle Grellety, responsable service arts plastiquesAnne-Marie Gros, chargée de mission développement culturelMathieu Jacobs, médiateur culturel Françoise Lacour, comptableJoël Lasternas, technicien lumière – monteur de structuresMartine Margontier, administratriceArmelle Lelong, secrétaire – informationThierry Mazel, régisseurPatrick Molet, directeur techniqueMarian Mooney, adjointe à la responsable du service arts plastiquesPierre Peyrout, médiateur arts plastiquesKarine Roubinet, coordinatrice des "Résidences de l’Art en Dordogne"Vincent Simpson, technicien multimédiaJean-Philippe Teyssieras, technicien arts plastiquesSolange Valade, secrétaire développement culturel Marie-Jeanne Vian, directrice

L’ADDC est présidée par Alain Diot

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SOMMAIRE4 Dossier : Service technique de l’ADDC

10 théâtre Donc

11 théâtre Ronde de femmes

12 théâtre Monsieur et Madame O

13 théâtre Les règles du savoir-vivre dans la société moderne

14 théâtre Y’a-t-il un comédien dans la salle ?

15 théâtre jeune public Où vont les maisons ?

16 théâtre jeune public Ultramarine

17 En savoir plus…

18 exposition « Sens interdits » ?

22 gazette des résidences

23 résidences de l’art en Dordogne Cédric Doutriaux

24 résidences de l’art en Dordogne Norton Maza

25 résidences de l’art en Dordogne Christelle Sionneau et Tu Yen-Fong

26 résidences de l’art en Dordogne Godefroy de Virieu

27 En savoir plus…


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La technique au servicedu développement culturel

SERVICE TECHNIQUE DE L’ADDC

DOSSIER

ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la Dordogne / ADDC / Conseil général de la D

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Pupitres, gradateurs, projecteurs, câbles,mais aussi podiums, scènes, gradins -jusqu’à 292 places, - voilà le matérielscénique que tout adhérent de l’ADDC,association ou collectivité, peut trouverdans l’entrepôt de Marsac sur l’Isle* etlouer à des tarifs préférentiels. C’est unevolonté départementale de mettre àdisposition de tous des outils indispensablesau développement culturel de la Dordogne,souligne Marie-Jeanne Vian, directrice del’ADDC.Le Service technique existe depuislongtemps déjà, mais il s’est largementdéveloppé avec l’acquisition de nouveaumatériel et l’étoffement de l’équipeaujourd’hui de 7 personnes (voirencadré). Ses missions n’ont pas changé.Elles se sont plutôt renforcées dans lesens du conseil et de la formation.Aujourd’hui, l’enlèvement du matérielloué doit obligatoirement être fait parson utilisateur sur le terrain.A Marsac, ilest alors accueilli par un technicien duService qui passera de quelques minutesà plusieurs heures si nécessaire, à luiexpliquer comment utiliser et exploiterce matériel. Il s’agit bien sûr d’éviter lesrisques de mauvaise manipulation etdonc de détérioration du matériel, maisaussi d’un souci de qualité des

prestations proposées par les acteurslocaux, même amateurs.L’installation, par le Service lui-même, faitaussi partie de ses compétences. Il peutégalement assurer tout le suivi techniqued’une manifestation. C’est ce qu’il a faitpar exemple pour le 150e anniversaire dela Fondation « Hospice des Orphelins dePérigueux » au château de Neuvic, allant-même au-delà de ses compétencespurement techniques. Et c’est ce qu’il faittout au long de l’année, nous le verrons,sur les spectacles vivants proposés parl’ADDC.

« IL Y A TOUJOURS UNE SOLUTION »

Mais revenons à la location, un service quidemande une grande souplesse car lademande est forte, notamment l’été : leFestival de folklore de Montignac, celui desHumbles à Mensignac, le Festival desMusiques Epicées de Saint-Aulaye, deMusique africaine à Saint-Pantalyd’Excideuil ou de Théâtre à Saint- Privat…Voilà quelques uns des « gros clients » duService technique. Heureusement, laprogrammation est étalée dans le temps.Nous en sommes finalement les responsables,constate Patrick Molet, le directeur du

L’ADDC possède un Service technique sans lequel « on ne pourrait rien faire » enmatière de spectacles vivants dans le département. Que ce soit pour la diffusion desspectacles programmée par l’Association ou ceux initiés localement.

Ainsi, tout adhérent peut louer à des tarifs intéressants projecteurs, scènes, gradins,mais aussi bénéficier de la compétence et des conseils d’une équipe de 7 personnes.Une aide dont on aurait tort de se priver !

*Service technique ADDC, 11 Chemin de La Cropte Basse, 24430 Marsac sur l’Isle - Tél.: 05 53 08 80 43Fax.: 05 53 03 78 66. Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30 (17h le vendredi)

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Service, nous jouons ainsi un rôle decoordination des manifestations sur ledépartement. Et probablement de garantde leur pérennité. Mais que se passe-t-il si,au même moment, une petite associationveut louer du matériel pour unemanifestation ponctuelle ? Pour nefavoriser personne, la règle veut que cesoit le premier demandeur qui soitprioritaire. C’est dire s’il est important deprendre contact longtemps à l’avance ! Etce que font naturellement lesorganisateurs des gros festivals. CependantMarie-Laure Faure, secrétaire du Service,précise qu’il y a toujours une recherche desolutions pour les demandes tardives. Ainsiaux petites associations, il est proposé parexemple des podiums si la scène est louéeou bien elles sont dirigés vers des structuresprivées avec lesquelles nous sommes encontact.Ces échanges, ces contacts avec desstructures privées (Atelier du Son àPérigueux, Scénopole à Milhacd’Auberoche), Patrick Molet les entretientavec conviction pour pouvoir mieuxrépondre à la demande locale.Ainsi, il peutsous-louer le matériel de sonorisation ouaudio-visuel qui lui fait défaut. Et quand leService renouvelle son matériel, commec’est le cas actuellement, il s’assuretoujours qu’il est compatible avec celui deses confrères. Pas question dans cesconditions de concurrence, mais decomplémentarité dans l’intérêt de tous etlà encore, du développement culturel dudépartement.

CONSEILS ET PREVENTION

Un objectif qui se heurte toutefois à unedifficulté majeure et plus accrue dans undépartement rural comme le nôtre : lanon conformité des salles accueillant lesspectacles. Il ne s’agit pas pour autant detransformer les salles des fêtes en théâtre!,prévient le directeur technique, mais deprévoir le minimum d’aménagementscénique, comme par exemple des perchespour les projecteurs, un systèmed’occultation des fenêtres et bien sûr dequoi accueillir confortablement et en toutesécurité le public. Un spectacle, ce n’est pasjuste une scène ou une estrade posée là. Ilen va bien sûr de la qualité du spectacle,

mais aussi d’une économie de travail etd’argent. Lorsque nous arrivons pourinstaller le matériel, nous nous apercevonsparfois qu’il faut changer le compteurélectrique ou que la salle est dotée de véluxinaccessibles, témoigne Thierry Mazel,régisseur du Service, autant de surprisesqui nous font perdre beaucoup de temps oucompromettent le spectacle.Comme il vaut mieux prévenir queguérir, Patrick Molet propose sesconseils en amont de l’aménagementd’une salle. Ma première mission, c’estd’aider les collectivités à définir l’utilisationdes bâtiments souvent conçus pour les seulsmariages, lotos ou autres manifestationssportives. La capacité d’accueillircorrectement des spectacles culturels nedemande pas beaucoup de moyenssupplémentaires quand tout est penséavant, rassure-t-il. Et plus le parc seraadéquat, mieux et souvent le spectaclevivant trouvera sa place dans notredépartement.Au total aujourd’hui, une soixantaine dereprésentations proposées par l’ADDCaux partenaires locaux sont suivies de Aà Z par les techniciens du Service quidoivent savoir faire preuve d’une grandeadaptabilité. Il arrive qu’on ne trouve pasles clés de la salle des fêtes ou que celle-cisoit occupée par un cours de gym aumoment de l’installation du matériel ! sesouvient Thierry Mazel qui comparesouvent le Service à un cirque : On arrive,on monte, le spectacle a lieu et lelendemain matin, il n’y a plus rien ! Maispas de magie là dedans. Plutôt desheures de travail, de jour comme de nuit.Malgré tout, ils sont attachés à ce travailoù, tels les artistes de cirque, on doitjongler en permanence…

Dominique Parmentier

TEMOIGNAGES

Jean-François Barraud,Directeur de la formationprofessionnelle de l’IME de Neuvic :« Compétence, fiabilité et amitié »

Cela fait 15 ans que Jean-FrançoisBarraud travaille avec le Servicetechnique de l’ADDC. Président denombreuses associations liéesnotamment à la volonté d’ouvrirl’établissement sur la cité, il a souventfait appel au service pour louer dumatériel, mais aussi pour assurer lalogistique du spectacle, voire sa mise enforme. L’intérêt est d’abord matériel etfinancier, explique Jean-François Barraud,Sans ce service, je n’aurais pas de relais,mais les membres de l’équipe sont surtoutfiables et compétents. Ils ont toujoursrépondu présents.Pendant deux années, Jean-FrançoisBarraud n’a plus fait appel à eux puisqu’ilne programmait plus de spectacles. Maislorsqu’il s’est agi de fêter, en octobredernier, le 150e anniversaire de lafondation qui gère l’IME, il a tout desuite pensé aux techniciens de l’ADDC.J’ai plaisir à retravailler avec eux, confie-t-il,au-delà du travail, nous entretenonsmaintenant une véritable relation amicale.Une amitié qui devrait se manifester parune nouvelle collaboration, dans deuxans, à l’occasion d’un grand projet del’Institut.

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L’EQUIPE

• Francis Bonhomme,chauffeur poids lourd,technicien - monteur de structures• Lionel Bunlet,technicien son• Claude Desage,technicien lumièremonteur de structures• Marie-Laure Faure,secrétaire• Joël Lasternas,technicien lumièremonteur de structures• Thierry Mazel,régisseur• Patrick Molet,directeur technique

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Christian Cluzeau,AssociationMosaïques,Vélines :« S’adapter auxsalles »

Née en 1990 d’un regroupement decoopératives scolaires dans le secteur deVélines, l’association Mosaïques a ouvert,à partir de 1998, un volet culturel encollaboration avec les élus du canton, lesassociations et les particuliers.Théâtre,musique, expositions, conférences sontainsi proposées tout au long de l’annéeaux écoles ou aux habitants du secteur.Une initiative à laquelle a pris part leservice de développement culturel del’ADDC.C’est donc tout naturellement quel’association s’est tournée égalementvers son service technique pour louer etinstaller gradins, podiums, projecteurs etautre matériel indispensable à laréalisation des spectacles. Mais, rappelleM. Cluzeau, toutes les salles du canton nesont pas bien équipées pour recevoir cematériel, et là, les techniciens de l’ADDCfont ce qu’ils peuvent pour s’adapter. Et cen’est pas toujours possible. Nous disposonspar exemple d’une salle toute neuve àVélines, un bel espace malheureusementmal équipé : il y a un problème de prises,plus de scène amovible... et certainsspectacles ne peuvent pas se faire, c’estdommage. C’est pourquoi je m’efforce, àchaque réunion, de rappeler aux élus,l’existence de ce volet conseil àl’aménagement des salles du servicetechnique.

Annie Pointeau, Présidente del’association La Divise, Saint-Privatdes Prés :« Pratique »

Tous les ans, en août, depuis 1989, onorganise, sur cinq soirées, un « théâtre de

lumière », à Saint-Privat des Prés, Ribérac ouSaint-Aulaye. Au départ, on louait le matérielailleurs à Périgueux, mais aujourd’hui on faitappel au service technique de l’ADDC pourle matériel et l’assistance technique et onest très satisfait. L’équipe est compétente,c’est pratique et pas trop cher.

Alain Grand,centre socio-culturel deTerrasson :« En dépannage »

Il y a quelques années, nous faisions appelau service technique pour tous nosspectacles. Mais aujourd’hui, pour unestructure importante comme la nôtre, lematériel de l’ADDC ne suffit pas, il vient encomplément quand nous en manquons et ilnous dépanne bien.

Colette Blanchard, mairie de Saint-Jory Lasbloux :« On ne s’occupe de rien »

Quand la municipalité programme unspectacle, on s’adresse au service techniquede l’ADDC, un technicien amène tout lematériel et l’installe, on ne s’occupe de rien.

Gérard Laborderie,maire de Tamniès :« conseils despécialistes »

Nous avons demandé conseil au servicetechnique pour la construction de la futuresalle des fêtes afin de prévoir lesaménagements minimums nécessaires àl’accueil des spectacles. Leur avis est

judicieux, c’est celui de spécialistes.

Elodie Esquerré, Melkior Théâtre,Bergerac :« Indispensable »

Sans le service technique, nous aurions degros problèmes pour nos représentations carnous sommes encore peu équipés. Nouslouons donc le matériel de l’ADDC, maisnous nous chargeons du transport et del’installation. Nos besoins sont de plus enplus importants et ils sont satisfaits àchaque fois. Sauf si nous nous y sommespris trop tard ! Pour l’instant, ce matérielnous est indispensable, c’est une question decoût, et pour cette même raison, nouspensons à l’avenir faire appel au serviceégalement pour l’assistance technique.

YannickLagrenaudie,Festival desMusiques Epicées,Saint-Aulaye :« Pour quand unchapiteau ? »

Depuis la naissance du Festival, en 1995,nous avons toujours fait appel au servicetechnique pour la partie éclairage de lascène, en location de matériel comme enassistance technique. Ca fonctionne bien, lestechniciens sont des gens compétents. Notreseul regret, puisque nos spectacles sedéroulent en plein air, c’est qu’il n’y ait pasde chapiteau ou de scène couverte ! Maisce n’est certainement pas rentable !

DOSSIER


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Sur 105 non adhérents Collectivités Associations97 réponses

oui 57 39 18non 40 37 3

750 questionnaires ont été envoyés à tous lesadhérents de l’ADDC (147) et à toutes lescollectivités locales et associations ayant un lienavec la culture.150 réponses ont fait retour dont 107 venant descollectivités locales (9 adhérentes, 93 non-adhérentes, 5 sans réponse) et 43 desassociations (29 adhérentes, 12 non-adhérentes,2 sans réponses).Il apparaît que les raisons qui motivent l’adhésionà l’ADDC sont avant tout des raisonséconomiques (coût de location moins élevé) etdes raisons de compétences (assistancetechnique, conseil de professionnel).Globalement les demandes restent inchangées.Quand on constate une baisse dans la demandede location, elle correspond à moins demanifestation organisée en raison de difficultésfinancières.Une seule réponse souligne l’indisponibilité dumatériel et une seule également les contraintesde la location.Pour la plupart des collectivités et associations, lenombre de spectacle organisé varie de 1 à 5 paran. Au delà de ce nombre, c’est l’exception. Leschiffres prouvent encore que plus de 80 % desdemandes de locations sont satisfaites.Parmi le matériel manquant qui apparaît commele plus nécessaire à nos partenaires arrive en têtele matériel de sonorisation, suivi par la scène, lesprojecteurs et les gradins.La période de pointe des manifestations enDordogne semble être mai, juin, juillet, août. Laplus faible se situe en janvier et février.On constate que le spectacle de théâtre arrive entête devant la musique, laissant loin derrière lesspectacles de danse. C’est logique dans la mesureou la danse nécessite des plateaux spécifiquesque l’on ne trouve pas dans les salles des fêtes.Les réponses donnent le nombre de spectaclesamateurs organisés plus important que lenombre de spectacles professionnels et lesspectacles en salles sont plus nombreux qu’enplein air.Il semble que peu de collectivités etd’associations connaissent la possibilité dedemander au service technique de l’ADDC desconseils en matière de rénovation et deconstruction de salles. Il semble aussi qu’il soitdifficile pour les petites communes de mettre dupersonnel à disposition pour participer audéchargement et à l’installation du matériel.Cependant, parmi les réponses on constate untaux de satisfaction de 97,5 % de nos adhérentsquant à l’aide apporté par le Service. S’il en étaitbesoin cela démontre en conclusion la qualité duService.


QUESTIONNAIRE D’ENQUETE REALISE PAR L’ADDCSUR LE SERVICE DE LOCATION DE MATERIEL

Adhérents Collectivités Associationsoui 17 7 10non 4 2 2

La dernière demande de matériel a-t-elle étésatisfaisante

Adhérents Collectivités AssociationsMatériel déjàloué 2 1 1Matérielobsolète 2 1 1

Raisons pour lesquelles la demande n’a pas étésatisfaite

Adhérents Collectivités AssociationsMoins demanifestations 4 1 3Difficultésfinancières 5 1 4Autres types demanifestations 3 1 2Matériel ADDC non adaptéMatériel ADDCnon disponible 1 1Coût de location trop élevéCondition de réservationet de location tropcontraignante 1 1Autre : achat dematériel propre 1

Pourquoi moins de demandes de locationde matériel

Adhérents Collectivités AssociationsPlus demanifestations 4 1 3Exigences techniquesplus importantes 2 1 1Plus grand soucide sécurité 1 1

Pourquoi plus de demandes de locationde matériel

Adhérents/non adhérents Collectivités AssociationsThéâtre 45 21 24Concert 40 20 20Danse 13 7 6Spectacleprofessionnel 15 6 9Spectacleamateur 26 15 11Spectaclescolaire 31 22 9Spectacleen salle 35 18 17Spectacleen plein air 30 17 13autres 26 21 5

Genre de manifestations organisées

Les non-adhérents ont-ils connaissance de lapossibilité de louer du matériel scénique

Adhérents Collectivités AssociationsDemandes moinsimportantes 9 3 6Demandes plusimportantes 6 2 4DemandesSans réponses 15 15

Depuis trois ans, fréquence des demandes delocation de matériel

Adhérents Collectivités AssociationsScène 39 24 15Gradins 24 11 13Pont scénique/structured’accroche 7 4 3Projecteurs etjeu d’orgue 34 16 18Matériel desonorisation 61 40 21Matériel vidéo 22 16 6

Matériel qui serait le plus nécessaire

Adhérents/non adhérents Collectivités AssociationsJanvier 15 7 8Février 18 11 7Mars 22 12 10Avril 27 14 13Mai 36 19 17Juin 42 21 21Juillet 45 27 18Août 47 35 12Septembre 22 12 10Octobre 21 11 10Novembre 24 12 12Décembre 29 17 12

Périodes des manifestations

Adhérents Collectivités Associations1 manifestation 28 17 112 manifestations 25 13 12De 3 à 5manifestations 28 14 14De 5 à 7manifestations 2 2 0De 7 à 10manifestations 3 2 1Plus de 10manifestations 3 0 3

Nombre de manifestations organisées par annécessitant du matériel scénique

Adhérents Collectivités AssociationsTrès satisfait 12 5 7Satisfait 27 8 19Peu satisfait 1 0 1Pas dutout satisfait 0 0 0

Degré de satisfaction de l’aide apportée par leService technique de l’ADDC

Collectivités AssociationsOui 53 35 18Non 67 49 18

Qui a connaissance des conseils en matière derénovation ou de construction de salle que peutapporter l’ADDC

Collectivités Associations6 1 5

Ont déjà fait appel à ce service précis

Collectivités AssociationsOui 4 4Non 2 2

En sont satisfait

7

Collectivités AssociationsCoût de locationmoins élevé 18 4 14Assistancetechnique 16 4 12Conseils deprofessionnel 12 5 7Autres :

compétence 2 4proximitésolidarité culturellerecevoir info spectaclesservice départemental

Raisons ayant motivés l’adhésion

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OFFRELe Service technique de l’ADDC est àvotre écoute et peut vous aider sur :• le choix du matériel correspondant àvos besoins .• les conseils techniques concernantl’installation et l’exploitation .• des conseils scéno-techniques dans vosprojets d’aménagement de salle.

COMMENT ?Il est conseillé :• De faire part de vos projets le plustôt possible par écrit (au moins 1 à 2mois avant la représentation parcourrier ou Fax).• De préciser la date et la nature del’événement, les jours de retrait et derestitution du matériel, le lieu, la quantitéde matériel et les besoins en accessoires(câblages, système d’accroche)• De joindre pour mieux vousconseiller la fiche technique, le pland’éclairage, le plan de salle.

CONDITION D’ACCESL’adhésion annuelle de 18,30 Euros àl’ADDC est obligatoire pour bénéficierdes services de location de façonillimitée suivant la disponibilité dumatériel.

RESERVATION DU MATERIEL• Un mois avant la manifestation,prendre contact avec le Service techniquede l’ADDC au 05.53.08.80.43 pour définirprécisément vos besoins et confirmervotre demande par écrit (courrier fax).• Un Avis de mise à disposition/Devissera établi et vous sera transmis dans les

meilleurs délais par courrier outélécopie.• Dès retour, obligatoirement signéde l’Avis de mise à disposition/ Devis, lematériel vous sera définitivementréservé.• La durée de validité de l’ Avis demise à disposition/ Devis est de 15 jours,au delà de cette limite votre demandesera annulée.Tout matériel faisant l’objet d’uneréservation annulée 72 heures avant ladate de mise à disposition sera facturéepour la période prévue .

ENLEVEMENTL’enlèvement du matériel s’effectue tousles jours du lundi au jeudi de 13h30 à17h30, le vendredi de 13h30 à 17h. Letechnicien de service donne toutes lesconsignes nécessaires au bonfonctionnement des équipements.• Le matériel doit être retiré etrestitué impérativement par la personnechargée de la manipulation.Le Service technique de l’ADDC seréserve le droit de refuser la location oude modifier le matériel s’il s’avère queles utilisateurs ne présentent pas toutesles garanties nécessaires• Avant de venir chercher le matériel,l’adhérent s’assurera que le véhiculechoisi pour le transport est suffisammentgrand et conçu pour transporter entoute sécurité tous les équipementsretenus.Le Service technique de l’ADDC seréserve le droit de refuser la location s’ils’avère que le véhicule ne présente pastoutes les garanties nécessaires.

• La manutention lors de l’enlèvementet de la restitution reste à votre charge.Prévoir le personnel suffisant, attentionc’est lourd et volumineux.

UTILISATION• La responsabilité du Servicetechnique de l’ADDC ne saurait êtreengagée suite au non fonctionnementdes appareils mis à disposition dû àl’adjonction de matériels noncompatibles ou à une mauvaisesutilisation.• Les branchements électriquesdoivent être assurés par un électricienprofessionnel dûment habilité.• Il est de votre responsabilité decontracter une assurance couvrant lesrisques de sinistres (vol incendiecasse…) et responsabilité civile ycompris pour le transport.

RETOURLe retour du matériel s’effectue tous lesjours du lundi au vendredi de 8h30 à12h00.• Le matériel doit être restituéimpérativement par la personne chargéede la manipulation afin de constaterl’état de l’équipement.• Avant de restituer le matériel,contrôlez la quantité de matériel, veillezà tout rapporter, notamment lesaccessoires, tout le câblagesoigneusement enroulé et attaché.Toute pièce manquante oudétériorée sera facturée.

Tarifs location

REGLEMENT :Tous règlements doivent s’effectuer à réception de la facture et sont à adresser à :

ADDC (Association Départementale de Développement Culturel)2 Place Hoche, BP 1056 - 24001Périgueux Cédex

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TARIFS DEGRESSIFS :Selon le nombre de jours de location, des tarifs dégressifs sont appliqués.

MATERIEL LUMIERE

PUPITRE MANUEL• pupitre ADB, Boléro, 24 circuits / 2 préparations+câble télécommande DMX 512 18,00 €• pupitre RVE, Medium, 12 circuits / 2 préparationsavec effets + câble télécommande 0-10v Socapex+ lampe de régie + fly 15,00 €• pupitre Strand, LX, 12 circuits / 2 préparations+ câble télécommande 0-10 v - dub / Amphénol 15,00 €

PUPITRE A MEMOIRE• pupitre à mémoire et manuel Zéro 88, Sirius24/48 circuits / câble télécommande DMX 512+lampe de régie + fly 59,00 €

RACKS GRADATEURS• rack RVE, 24* 3kw / 0/10v Socapex / DMX 512+ câble alim p17 125A / éclaté 24,00 €• rack RVE, 12* 3Kw // 0/10 v Socapex + DMX 512+ câble alim p17 63A /éclaté 18,00 €• rack ADB 12* 3Kw //DMX 512 + • câble alim p17 63A / éclaté 23,00 €• rack Strand 12* 2 Kw // 0/10v amphénol + câble alim p17 63 A / éclaté 15,00 €

ENSEMBLE PUPITRE +GRADATEURS• pupitre Strand, Act 2, 2* 1kw ou 4* 500w(monophasé) 10,00 €• pupitre Acustica 6* 1kw, 2 préparations(monophasé) 12,00 €• pupitre RVE, Stagger, 6* 2kw + câble alim p1732A / éclaté 15,00 €

PROJECTEURS ECLAIRAGE SCENIQUE**tous nos projecteurs sont livrés avec crochet et élingue

• projecteurs de théâtre PC 1000w Scénélux 4,00 €• projecteurs de théâtre lentille martelées 1000wStrand 4,00 €• projecteurs de théâtre PC 650w Scénélux 3,00 €• projecteurs de théâtre lentille martelées 650wStrand 3,00 €• PARS 64 1000w 3,00 €• cyclïodes asymétriques 1000w ADB 5,00 €• cyclïodes asymétriques1000w SELECON 5,00 €• quartz 500w 3,00 €• découpes courtes 1000w ADB 15° / 42°DW 104 7,00 €

• découpes courtes 1000w ADB 15° / 42°DW 105 7,00 €• découpes courtes 2000w Juliat 714s 7,00 €• Mini brute (2 * 110v/650w) faisceau large 3,00 €• rampes 6 * 120w 5,00 €

ACCESSOIRES PROJECTEURS• porte gobo ADB DW 1,00 €• iris ADB DW 1,50 €• porte gobo Juliat 1,00 €• iris Juliat 1,50 €

PROJECTEUR DE POURSUITE• poursuite 400w Scénélux + pied + fly 20,00 €• poursuite HMI 575w Scénélux + pied + fly 30,00 €

PROJECTEUR ECLAIRAGE DECORATION• découpes mini-mole BT 24v / 90wtransformateur incorporé 3,00 €• lumiéres noires 125w 4,00 €

CABLAGE LUMIERE / ARMOIRE ELECTRIQUE• multipaires 15m / 6 paires 4,00 €• câble d'alimentation / 5* 10mm2 /25m / 40A max 8,00 €• câble d'alimentation / 5* 16mm2 / 10m /60A max 3,00 €• câble d'alimentation / 5* 16mm2 / 40m /sur touret / 60A max 12,00 €• câble d'alimentation / 5* 25mm2 / 15m /125A max 5,00 €• câble d'alimentation / 5* 25mm2 / 40msur touret / 125A max 15,00 €• lignes simples 10 / 16A 10m 0,50 €• Doublettes 10 / 16A 1m 0,50 €armoire 3* 125A 30mA sortie sur P17: 1*• 125A + 2* 63A + 6 PC* 16A 24,00 €• armoire 3* 63A 30mA sorties sur P17: 2* 63A+ 1* 32A + 6 PC* 16A 18,00 €

PIEDS ET ACCESSOIRES• barres de couplages 2 L:1m 1,00 €• barres de couplages 4 L : 1,5m 1,00 €• cadres 8 / 16 Ht : 0,60 l : 2 m 1,00 €• tubes aluminium 3m diam. 49,9mm(6 projecteurs) 1,50 €• pieds type Crémer CMU : 30kg / Ht: 2,50m/r : 1,10m 3,00 €• pieds type cinéma CMU : 30kg / Ht: 3,50m /r : 1,10m 3,00 €

• pieds type Crémer CMU : 40kg / Ht : 3,00m/r : 1,10 m 3,00 €• pieds type Crémer CMU: 10kg / Ht: 1,50m/r : 0,90 m 3,00 €

MATERIEL SPECIFIQUE

PONT - STRUCTURE ET LEVAGE• structures Stacco 400 à goupille (longueur de 2m)(le m linéaire) 5,00 €• structures carrées 290 mm Eurotruss FD34(le m linéaire) (longueur 2 m /1,50m /1,00m) 8,00 €• angles 4 directions eurotruss FD34 8,00 €• angles 5 directions eurotruss FD34 8,00 €• platines de sol structures carrées 290mm 8,00 €• pieds à treuil TE 04 CMU : 100kg / Ht 3,60m/ r : 3* 1,50m 4,00 €• pieds à treuil Work :CMU:220Kg / Ht 6,50 m / :r -2,50 m 15,00 €• tête de pieds Works pour structure carrée FD34 1,00 €• tête de pieds Works pour tube aluminiumdiam. 49,9mm 1,00 €

PODIUMS -SCENE- TOUR ECHAFFAUDAGE• practicables d'interieur Ht réglable de 20cmmax : 1,00m 6,00 €• gardes corps arrières pour podiums(le m linéaire) 1,00 €• escaliers 4 marches 1,00 €• modules de scène (6 m2) Ht max :0,90m CMU 290Kg/M2 16,00 €• tour echaffaudage Ht de plancher 5m50 //Ht totale 6,60m (+ou - 20cm) 93,00 €

GRADINS• gradins de 90 à 292 places (la place) 2,00 €

RIDEAUX TAPIS DE DANSE• pendrilons velours chopin M1 2,70m* 4,00m Ht 10,00 €• pendrilons velours chopin M1 1,30m* 4,00m Ht 5,00 €• pendrilons velours chopin M1 2,70m* 6,10m Ht 18,00 €• pendrilons velours chopin M1 1,30m* 6,10m Ht 14,00 €• frises velours chopin M1 9,70* 1,00m Ht 8,00 €• frises velours chopin M1 12,00m* 1,00m Ht 8,00 €• tapis de danse noir (9m* 1,50) (le rouleau) 11,00 €

Prix Net / jour / Euros

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THEATRE

De Jean-Yves PicqConception et réalisationDidier Lastère etJean-Louis Raynaud

Durée, 1h

Pourquoi se taire quand il y aurait tant àdire ?Pourquoi parler quand on n’a rien à dire ?Voici deux entrées possibles pour cettepièce-terrain de jeu(x) formidable pourune équipe de théâtre.Donc est extrait des Petites pièces àgéométrie variable de Jean-Yves Picq.A lafois burlesque et tragique, légère etviolente, l’écriture de Jean-Yves Picqdépeint un univers où le singulier flirteavec l’universel.Dans Donc, trois beaux parleursdiscutent entre eux. Un quatrième est là,muré dans son silence. Histoire deremplir un vide ils parlent sans suitelogique et ça les énerve que l’autre restemuet. La dynamique de l’écriture, à coupde phrases brèves, tourne alors àl’infernale spirale.Il y en a, ils se taisent - Ouais, il y en a, ils seplantent là et ils se taisent - Bon, et on esttombé sur un de ceux-là - Bravo - On agagné le gros lot.

Ce ping-pong à trois voix nous oblige àréfléchir sur le sens de la communicationet pose clairement la question du droit àla différence.On rit, cela va vite, agace, stresse, onressent parfois un certain malaise.Un spectacle surprenant jusqu’à la fin.

Puisque nos sociétés nous abrutissent deparoles bruyantes pour camoufler ledésastre qu’elle organisent en silence,mettons-nous bruyamment au cœur dudésastre, pour organiser silencieusement laparole.

Jean-Yves Picq

L’atelier théâtre du collège de Vélines présenteravendredi 2 avril à 21h à Saint-Méard de Gurçon enpremière partie du spectacle « Donc », un travailsur le texte de Jean-Yves Picq « La déflagration del’amour » - interprétation d’extraits (15 - 20minutes).

Renseignements05 53 55 31 05 (Mairie d’Excideuil)05 53 27 56 75 (Association Mosaïques)

PartenairesCollectif des « Voix de l’Hiver »(Canton d’Excideuil), Municipalité d’Excideuil,Association Mosaïques, Municipalité deSaint-Méard de Gurçon,ADDC

Donc

Théâtre de l’Ephémèreavec Didier Lastère, Patrick Michaëlis,Jean-Pierre Niobé, Jean-Louis Raynaud

REPRESENTATIONS

Excideuil Salle du château

Mardi 30 mars - 20h30

Saint-Méard de Gurçon Salle des Fêtes

Vendredi 2 avril - 21h

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THEATRE

Ronde de femmes

Compagnie de la Trace

avecMichèle Bouhet, Christian Compagnon (flûte)Jean-Louis Compagnon (guitare)

avecMichèle Bouhet, Christian Compagnon (flûte)Jean-Louis Compagnon (guitare)

Spectacle musical et conté

Durée, 1h20

Dès la première histoire, Michèle Bouhetcaptive son public. Chacun voudrait êtrevivant pour assister à son enterrementdit-elle sous entendant bien sur quechacun se verrait alors parer detoutes les qualités. Un murmureaffirmatif secoue alors la salle qui selaisse conquérir à chaquereprésentation.

Dans cet hommage où tendresse ethumour font bon ménage, MichèleBouhet aborde différents sujets tels la

guerre, le secret, le péché vus par l’œil etle vécu des femmes.

C’est ainsi que les sujets les plus gravesnous font sourire et même rire. D’unrire plein de tendresse pour ces femmesdont les expériences douloureuses sontautant de preuves de leur courage et deleur force.

Les musiques de Christian et Jean-LouisCompagnon (flûte et guitare) ponctuentavec complicité ces histoires de tous lesjours.

Renseignements05 53 51 08 61 (Animation Chavagnac Loisirs)05 53 81 01 89 (Mairie de Saint-Front de Pradoux)

PartenairesFoyer des Jeunes et d’Education Populaire deBeauregard de Terrasson, Foyer Rural de LaFeuillade,Association l’Albert Lu de La Dornac,Association Animation Chavagnac Loisir, Centreculturel / Scène Conventionnée de Terrasson,Municipalité de Saint-Front de Pradoux,ADDC

REPRESENTATIONS

Chavagnac - Salle des FêtesVendredi 9 avril - 21h

Saint-Front de PradouxSalle des Fêtes

Vendredi 4 juin - 21h

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De Violaine Clanetet Laurent ClairetMise en scène etscénographie des auteursLumière Amaury Seval

Durée, 65 minutes

Sur scène : un couple obsédé. Elle parl’ordre et la propreté, lui par la lecturedu journal.Autour d’une table, ce coupleordinaire répète quotidiennement lesmêmes gestes avec une précisionhorlogère… et l’amour s’asphyxie dansl’absurdité de leur rituel.Cette pièce gestuelle et presque sansparole, distille l’humour et la poésie aucompte-goutte. Elle propose, aveclégèreté et gravité, une réflexion sur lepoids des habitudes, du quotidien et desconventions, et décortique sanscomplaisance les mécanismes absurdesqui poussent un couple à la dérive.Véritables virtuoses du geste,ViolaineClanet et Laurent Clairet puisent leurinspiration dans les traditions de l’art dumime, mais également dans lesdynamismes de la danse contemporaineet des arts du cirque.Du rire au larme, de l’excitation àl’apaisement, de la farce au drame, tousles ingrédients sont réunis dans ce balletconjugal à la fois drôle et émouvant.

Monsieuret Madame O

avec Violaine Clanetet Laurent Clairet

THEATRE

REPRESENTATION

La Dornacplace de l’Eglise

Samedi 12 juin - 21h

La Compagnie Monsieur et Madame O

Créée en 1998, la Compagnie de Monsieur et Madame O est uneassociation de type loi 1901, dont le but principal est depromouvoir l'art du mime, par la création et la tournée despectacles, l'enseignement pratique (ateliers, stages) et théorique(conférences, expositions).La direction artistique est assurée par Violaine Clanet et LaurentClairet.Tous deux ont en commun d'être attirés par un théâtre oùle mot se fait geste, un théâtre visuel, corporel et poétique, à lafrontière du mime, de la danse et du cirque. Sans renier leursracines, ils développent une dramaturgie et une pédagogiepersonnelles qui se nourrissent de leurs diverses expériences etrencontres artistiques.

Renseignements05 53 51 02 00 (Mairie de La Dornac)

PartenairesFoyer des Jeunes et d’Education Populaire deBeauregard de Terrasson, Foyer Rural de LaFeuillade,Association l’Albert Lu de La Dornac,Association Animation Chavagnac Loisir, Centreculturel / Scène Conventionnée de Terrasson,ADDC

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THEATRE

De Jean-Luc LagarceMise en scèneGilles Lefeuvre KiralyLumière Bruno GautronCostume Marie RingeadeSonorisateurManuel DucaussonDécor Claude Locussol

Durée, 1h

Comment se comporter en toutescirconstances, du choix d’un parrain-marraine pour un bébé aux fiançaillessans oublier les obsèques ! Sans faute degoût, avec un habit de circonstance et lesfleurs et les paroles qui conviennent…La compagnie la Nuit Venue a mis enscène « Les règles du savoir-vivre dans lasociété moderne ». Le texte originel estun monologue de Jean-Luc Lagarce,retravaillé pour huit comédiens.Sur une scène circulaire et en partiemouvante propre à favoriser uneinteraction avec les spectateurs, lescomédiens exécutent un ballet où chacun,comme dans la vie, change de rôle au fur

et à mesure que le temps avance.En jouant sur les ruptures de rythme, onsaute des premiers émois amoureuxd’une jeune fille rosissante à uneextraordinaire scène de bal de mariageen accéléré. C’est très inventif, trèsvivant, on se laisse prendre au jeu et onfini captivé.« " Ce qui a motivé ce parti pris est le faitd'avoir un groupe qui défende la mêmeparole. La compagnie travaille sur un auteurdifférent chaque année et cette année toutle monde a approché Lagarce que ce soit àtravers " Erreur de Construction ", " Histoired'amour ", " Juste la fin du monde " et biensûr " Les Règles du savoir-vivre dans lasociété moderne " ».

Mettre en scène « Les règles du savoir-vivredans la société moderne », c'est partird'abord de notre âge, la trentaine, qui noussitue au cœur de la vie et de ces règles, c'estse poser la question de savoir ce que valentces règles pour nous, si elles nous concernentencore, si elles nous laissent dans unecertaine nostalgie ou si elles sont devenuestotalement obsolètes parce que réduites àun simple carcan.Connaissant l'ironie d'un auteur commeLagarce, on est légitime à penser qu'en

écrivant ce texte, il a bien sûr d'abord fait lacritique de cette éducation bourgeoise etengoncée dans ses traditions.Nous avons souhaité recomposer une familleau sein de la troupe. De là a germé l'idéed'un choeur.Concernant le travail sur le texte, nous avonsessayé de dégager différentes thématiques àpartir d'une typologie de caractères humains.Cette matière nous a permis de construireplusieurs personnages. Chaque comédienprend alors en charge ces différentspersonnages, leur donne un corps, une façond'être, une attitude, une gestuelle, bref, unepersonnalité. C'est une façon de mettre enaction le récit qui se présente au départcomme un long monologue. De lematérialiser et de permettre au spectateurde percevoir l'architecture concrète del'écriture de Lagarce.(…)

Le Metteur en scèneGilles Lefeuvre Kiraly

Renseignements05 53 81 90 18 (Mairie de Villamblard)05 53 27 56 75 (Association Mosaïques)

PartenairesAssociation Wlgrin Taillefer,Association Ecla etCommunauté de Communes du Pays deVillamblard, Municipalité de Villamblard,AssociationMosaïques,ADDC

Les règles du savoir-vivre dans la société moderne

avec Laëtitia Andrieu, Philippe Baron, RomainFalguières, Gilles Lefeuvre Kiraly, Marie-Eve

Foutieau, Matthieu Gaudeau,Anthony Le Foll,Jean-Stéphane Souchaud

REPRESENTATIONS

VillamblardTerrain de pétanque

Vendredi 18 juin - 21h30

VillamblardTerrain de pétanque

Samedi 19 juin - 21h30

BonnevilleChâteau du Valladoux

Mardi 22 juin - 21h30

BonnevilleChâteau du Valladoux

Mercredi 23 juin - 21h30


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Naître, ce n'est pas compliqué. Mourir, c'est très facile. Vivre entre ces deux événements, ce n'est pas nécessairement impossible. Il n’estquestion que de suivre les règles et d’appliquer les principes pour s’en accommoder, il suffit de savoir qu’en toutes circonstances, il existe unesolution, un moyen de réagir et de se comporter, une explication aux problèmes, car la vie n’est qu’une longue suite d’infimes problèmes qui,chacun, appelle, dès l’instant déjà si mondain de sa naissance, à tenir son rang et respecter les codes qui régissent l’existence.Il s’agit enfin de contrôler ses peines, de pleurer en quantité nécessaire et relativve, de juger de l’importance de son chagrin et toujours,dans les instants les plus difficiles de la vie, dévaluer la juste part qu’on leur accorde.

Jean-Luc Lagarce

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De Jean-Louis BauerMise en scène Florence LavaudCostume Servane BouillartCoproductionChantier Théâtre / ADDC

Durée 1 hA partir de 9 ans

Lunettes noires, chemise rouge, pantalonde cuir, Henri Marquinez, starinternationale, vient présenter sondernier film. En roulant desmécaniques… Avec un accent italo-espagnol à couper au couteau, des yeuxexorbités, la « star » semble trèsdisjonctée, voire pas crédible du tout…Il se présente : Henri Marquinez, grandestar à Hollywood : « J’ai joué avecGodard, Besson… Je pourrais vousparler de ma relation avec JulietteBinoche… »De passage en Dordogne, cette vedetteinternationale a daigné venir parler deson travail à l’occasion de son nouveaufilm qui vient de sortir sur les écrans :« Le Maître des loups ».Au fil desminutes, plus l’acteur se dévoile, plus ledoute s’installe dans les esprits ; le

spectateur n’est pas au bout de sessurprises !Le rôle de Henri Marquinez est tenu parXavier Bermudez, un habitué de laCompagnie « Chantier Théâtre », trèsdrôle dans ses métamorphoses.« Y’a t-il un comédien dans la salle ? »propose au fil d’une ambiance tour àtour mystérieuse, saisissante ousimplement hilarante un étrange jeu demiroirs sur la condition de comédien. Il ya plusieurs niveaux de lecture. Cettepièce peut à la fois amuser les enfants etfaire réfléchir les grands sur l’être et leparaître, les jeux de rôle et ceux de lavérité.

Renseignements05 53 62 40 43(Mairie de Saint-Médard d’Excideuil)05 53 09 37 74 (Alles sur Dordogne)

PartenairesCollectif des « Voix de l’Hiver » (Cantond’Excideuil), Municipalité d’Excideuil,AssociationArcades et Jeunesse Alloise,Amicale Laïque deSaint-Martin l’Astier,Association Point d’Orgues deSaint-Avit Vialar, ADDC

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THEATRE

Y’a-t-il un comédien dans la salle ?

Compagnie Chantier Théâtre

avec Xavier Bermudez

REPRESENTATIONS

Saint-Médard d’ExcideuilEcole et Salle des Fêtes

Jeudi 29 avril - 14h et 20h30

Saint-Martin l’AstierSalle des Fêtes

Vendredi 30 avril - 20h30

Saint-CyprienMardi 11 mai 10h - Ecole primaire 15h - Collège

Alles sur DordogneSalle des fêtes

Jeudi 13 mai - 21h


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Où vont les maisons ?

Compagnie Caméléonavec Joëlle Bernier, Sophie Chénet,

Brigitte Prévost

THEATRE

Mise en scène Joëlle BernierScénographie Maïté ChildéricLumière Claire ChildéricCréation musicaleSophie Chénet et Brigitte Prévost

Durée, 35 minutesA partir de 18 mois

La maison est làElle vitElle est habitéeLe lit dans la chambre,La passoire au clouLes chaussures sous la tableLa contrebasse dans sa boîte.

Aujourd’hui on déménage !

Décrocher les objets, les étaler, les trier, lesrassemblerInviter papier en feuilles et en rouleaux,convoquer cartons grands etPetits et scotch

Et commencer par un bout…A emballer.

TransformationsDisparitionHésitationRencontres.Quand tout est prêt, une nouvelle maisons’est construite sous notre nez.

Un déménagement, c’est une affaired’adultes qui entraînent l’enfant dans leursillage. Une expérience humaineuniverselle, intime et très concrète.Au gré d’événements familiaux,professionnels, politiques, chacun vitdifféremment ce mouvement intérieurqui pousse à changer d’espace.

Nous voulons faire partager ce moment, oùl’on range une partie de sa vie dans descartons, avec les enfants, expliquent lesactrices. Ils sont la plupart du temps mis àl’écart de cet événement familial. On les metchez la mamie ou le papy. Et ils necomprennent pas forcément. Le fait de viderla pièce, de perdre ou d’emballer les objetssous leurs yeux leur permet de comprendrele « pourquoi du comment ».

Et pour cela, les comédiennes jouent àde multiples transformations qui croisentl’imaginaire du déménagement. Chaqueobjet, chaque action, donne à voir laperte d’un repère, l’idée du déplacementet la rêverie sur un ailleurs, du plusinfime au plus énorme.Des cartons s’empilent, encore etencore, jusqu’à en perdre l’équilibre.Tout au long du spectacle les péripétiesvont bon train. Entre le verre oublié surle rebord de la fenêtre, la copine que l’onscotche en même temps que le carton… tout y passe.Jeu d’ombres, musical mais aussid’acteur.Tout est fait pour plonger les

tout-petits dans l’univers si mystérieuxdu déménagement.

Renseignements

05 53 06 40 00 (ADDC)

Partenaires

Municipalité de Coulounieix-Chamiers, AOL de

Périgueux, Centre de Loisirs de Borie Bru, Caisse

d’Allocations Familiales de la Dordogne,

Communauté de Communes du pays de

Champagnac de Bélair, ADDC

REPRESENTATIONS

Coulounieix-ChamiersSalle Gérard Philipe

Mardi 27 avril - 10h et 15h30

ChampcevinelCentre de Loisirs Borie Bru

Mercredi 28 avril - 15h30

La Chapelle-FaucherSalle des fêtes

Jeudi 29 avril - 15h

Spectacle jeune public

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THEATRE

Conception mise en scèneChristiane HugelTextes, chansons Michaël Glücket Jean-Pierre ChambonLumière Cathy GarciaMusique espace sonoreAlbert ToviCostume Pascaline Duron

Durée, 1hA partir de 6 ans

C’est à travers des ateliers d’artsplastiques, d’écriture et de musiqueouverts à des groupes d’enfants queChristine Hugel et Virginie Hopénourrissent leurs créations.A l’automne2003, le partenariat de la Ligue del’Enseignement, du Centre culturel deSaint-Astier et de l’ADDC, a permis àseize classes de Dordogne de s’inscriredans cette démarche de travail et deconnaître ainsi une autre approche duspectacle vivant.L’objectif était d’amorcer un travail en

amont avec les enfants pour leurpermettre d’avoir un autre regard quecelui de simple « consommateur » despectacle vivant.Après les ateliers, les enfants ontcontinué leurs travaux dans leurs classeset correspondu durant l’année par lebiais d’un journal avec Christiane Hugelsur l’évolution d’Ultramarine.Ultramarine est le troisième volet d’uncycle de quatre « leçons de choses »poétiques et chromatiques : le jaune del’œuf du spectacle Ovo (déjà accueillidans le cadre de la Vallée 2002), et levert de l’herbe dans Herba Midori(spectacle musical et plastique), ontprécédé la couleur bleue, l’eau et l’air, lanaissance de la parole choisis pour cettedernière création.

Le spectacle met en scène des jumeauxqui représentent l’eau et l’air. Inséparablesmais pas toujours d’accord, ils naviguentd’un univers à l’autre, s’inventant desaventures mystérieuses et drôles.En Afrique, dans les légendes de lacivilisation des Dogons, la parole est faited’eau et d’air. Les mots sont tissés à partird’un fil qui sort de la bouche explique

Christiane Hugel.Bruit de la mer, eau qui coule, souffle duvent, musique de l’accordéoniste AlbertTovi, accompagnent les textes écrits parMichaël Glück et Jean-Pierre Chambon.Ultramarine n’est pas une pièce surl’explication des couleurs mais un voyagepoétique dans le bleu.

Renseignements05 53 06 40 00 (ADDC)

PartenairesLigue de l’Enseignement de la Dordogne, Centreculturel de Saint-Astier, Office de Tourisme,Communauté de Communes et Bassin d’écoles dupays Beaumontois,ADDC

REPRESENTATIONS

Saint-AquilinDu lundi 24 au vendredi 28 mai11h et 14h

Beaumont - La CalypsoMardi 1er juin - 10h et 14h

Paroles bleues, échos d’AfriqueUltramarine

Compagnie l’Atalanteavec Virginie Hopé et Mathieu Zabé

« LA VALLEE CONTE ET SE RAT - CONTE »

11e édition d'une vallée qui n'en finit pas de grandir. Pour la Ligue de l'Enseignement(ex.FOL) et son service Fenêtres Sur Cour et le Centre culturel de Saint-Astier (c'estencore une bien belle histoire qui va se raconter en compagnie des villes de Saint-Astier bien sûr mais aussi de Saint-Aquilin,Annesse et Beaulieu, Bourrou, Chantérac,Manzac, Montpon, Mussidan, Sourzac, Saint-Front de Pradoux, Saint-Germain deSalembre et Saint-Léon sur l'Isle.Du 30 avril au 29 mai 2004, la Vallée va vivre au rythme des soirées conviviales, desconcerts, des journées pour les écoles maternelles et primaires d'ici et d'ailleurs.Rencontres artistiques, échanges de cultures, brassage de population avec cette année des transports collectifs imaginés pourfaciliter les déplacements, et même un accueil spécifique pour les enfants organisé dans le cadre de soirées conviviales.L’ADDC poursuit son accompagnement à la Vallée sous la forme d’une aide pour l’accueil de jeunes spectateurs mais aussi enapportant un soutien technique et financier pour le choix commun du spectacle : Ultramarine.

Le programme complet de « La Vallée » est à votre disposition au centre culturel de Saint-Astier (05 53 02 41 99) ou à la Ligue de l’Enseignement Dordogne (05 53 02 44 00).

Spectacle jeune public

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EN SAVOIR PLUS...

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Le « Dragon », animal fabuleux riche en interprétations symboliques et analogiques, établit une relation bouleversante.Son image est inscrite dans la culture de tous les pays du monde. Représenté comme une figure dynamique et de fortimpact visuel, lorsqu'il se montre statique, nous le croyons endormi et, à tout moment, nous attendons son réveil….Cet animal emblématique fera le lien entre générations, peuples et continents.

« Mondes et Dragons »Création interculturelle

Tupi Création, production et diffusion des Arts Vivants,

les mondes et les dragonsEn Dordogne depuis 10 ans, lacompagnie signe la conception et la miseen œuvre du projet, et part pour unetournée mondiale dans la quête des« Dragons » d'ici, d'ailleurs, d'hier, etceux d’aujourd’hui.

« Mondes et Dragons » démarre par uneadaptation territoriale impliquant lesquatre Pays du Périgord sur la période2004 / 2005, pour s'étendre par la suiteà la Région, à la France et à d'autrescontinents.Tout au long de ce parcoursles traditions, techniques et matériauxspécifiques à la culture de chacun des« pays » seront mis en valeur.

Divers ateliers de recherche etrésidences de création seront mis enplace pour la création de spectacles.Des « Dragons » seront créés, habités etmis en scène sur une base de recherchehistorique et vivante du patrimoinemémorial, mythique, légendaire et descontes régionaux et locaux.

Un partenariat important se constitueactuellement pour la mise en place duprojet avec différents acteurs : Conseilgénéral de la Dordogne,AssociationDépartementale de DéveloppementCulturel,Association Arcade du cantondu Buisson, Leader +, Mairie d’Excideuilet Communautés de Communes, écoles,collèges, lycées, artistes, bibliothèques etassociations locales …

Mondes et Dragons a la vocationd’établir de nouvelles relations. Nousinvitons tous ceux qui trouvent unintérêt particulier pour les mondes etces dragons à s’inscrire dans larecherche du thème et participer à ladémarche de création.

La dynamique fédératrice que « Mondeset Dragons » porte en elle pourra, plusque jamais, répondre à la nécessité à deplus larges échanges entre cultureset populations à travers l'Art.

RENDEZ-VOUS

ExcideuilMardi 6 avril - 18hMairie d’ExcideuilInvitation pour les associationset pour toutes les personnesinterrésées à participer auprojet « Mondes et Dragons »

Mardi 4 mai - 20h30Soirée « Dragons » avecprojection d’un film

Le BuissonLe projet « Mondes et Dragons »commencera en septembre surle secteur du Buisson deCadouin

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EXPOSITION

Périgueux du 2 avril au 30 juindu mardi au samedide 13h à 18h (sauf jours fériés)

Sarlatdu 2 avril au 23 maidu mercredi au lundi(jours fériés compris)de 14h à 19het le samedi de 10h à 13het de 15h à 19h

Publication d’un catalogue.Textes (chinois, français, anglais) deCaroline Puel etCHENG Xin-Dong(Edition CHENG Xin-Dong)

Manifestation dans le cadre duprogramme officiel des Ministèresde la Culture et des AffairesEtrangères :« Années France-Chine 2003-2005 » (la Chine en France)

Pourquoi avoir choisi ce titre, « SensInterdits ? » pour une exposition surl’Art contemporain chinois ?

Parce que l’interprétation de ce titrepeut se faire à plusieurs degrés :

Enoncé, le terme de « Sens Interdit »évoque immédiatement le panneau designalisation routière : la directiondéconseillée, où il est dangereux des’engager.

Ecrite, et mise au pluriel, l’expression« Sens Interdits » prend une tout autresignification : il sera, là, question « des »sens, de la sensualité et de leurrépression. Le lecteur pensera sansdoute à la question de la censure,imposée par une société conservatriceou un régime politique.

Parfois, les caractères chinois seprononcent de la même manière maisrévèlent, une fois écrits, uneterminologie cachée, un second degré,autrement plus complexe. Le jeu demots qui entoure le titre français decette exposition, a voulu reprendre cettedualité qui annonce le débat.

Dans la tradition chinoise, la sensualitéoccupe une part essentielle de la culture.La permanence de ce thème montre sonimportance dans la vie réelle, bien au-delà des rapports amoureux. Le jeu deséduction est permanent, y compris dans

le commerce ou entre « Lettrés »qui se jaugent sur leur capacité àl’improvisation poétique. Mais dans laChine classique, toute la sensualité estcodée, suggérée, ce qui lui a permis deperdurer, même sous des périodespuritaines. L’expression artistique del’époque impériale a de ce fait retracéune sensualité fortement symbolique,empreinte de romantisme et de poésie,qui se manifeste aussi bien par le jeud’un éventail, la courbe suggestive d’unvase, le choix d’une couleur ou d’unefleur en peinture, ou encore la formed’un petit pied.

Plusieurs dynasties ont chanté et déclinécette sensualité dans toutes les formesd’art, notamment sous les Tang et lesSong du Sud (du VIIe au XIe siècle),périodes particulièrement créatives etlibérales.Sous la dernière dynastie Mandchoue desQing (du XVIIe siècle à 1911) ou plusencore sous la toute dernière « dynastie »communiste (de 1949 au début desgrandes réformes des années 1990), lasensualité a été au contraire contrôlée,mise sous tutelle, voire interdite.

Qu’en est-il aujourd’hui ? Après plus d’un demi-siècle desoubresauts politiques et de révolutions,la sensualité chinoise renaît,parallèlement à l’assouplissement durégime. Mais l’expression artistiqueépouse les métamorphoses de la société.

« SENS INTERDITS ? »

LA SENSUALITE DANS L’ART

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Dates : 2 avril 30 juin 2004

Lieux :

Espace Culturel François Mitterrand,place Hoche,24000 PERIGUEUX

Ancien Evêché,rue Tourny,24200 SARLAT

Conférences à Périgueux et à Sarlat :

• « Art, littérature et cinéma, expositions de la jeunessechinoise actuelle » par Caroline Puel,correspondante pour l’Asie au journal « Le Point »

> vendredi 2 avril 2004, à 18h - Périgueux> samedi 3 avril 2004, à 18h - Sarlat

• « Les sens et la sensualité dans la cuisine chinoise de ladynastie Qing » par Tomy et André Shan,restaurateurs « Au bonheur du palais » à Bordeaux

La suggestion existe encore, mais lacréation artistique est beaucoup plusdirecte, universelle, abordant les thèmesde la violence et de la force quicoexistent avec la sensualité.

L’exposition « Sens Interdits » a pourobjectif de souligner ces évolutions.

Les œuvres de vingt artistes (hommes etfemmes) seront présentées. Il s’agit desprincipaux artistes reconnusinternationalement. Ils utilisent tous lestypes de support moderne : peinture,sculpture, photographie, vidéo,installation, multimédia.

Caroline Puel et CHENG Xin-Dong

Commissariat CHENG Xin-Dong

Production Conseil général de la DordogneAssociation Départementale de DéveloppementCulturel (ADDC) et Ville de Sarlat

Renseignements 05 53 06 40 00 (ADDC)

CONTEMPORAIN CHINOIS

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Artistes présentés à Périgueux

• AN Hong : montage photographique

• CANG Xin : photographies

• CUI Xiuwen (femme) : vidéo sur lesprostituées

• FENG Zhengjie : peinture, tout leromantisme d’aujourd’hui avec l’influencedes années trente

• GU Dexin : photographies par le« père » des installations en Chine

• HONG Lei : photographies inspiréespar la peinture classique chinoise

• LI Ji : peintures d’une femme sans têteenlacée par un singe

• LIN Tianmiao (femme) :photographies par l’artiste de sessculptures et installations

• LIU Jianhua : sculptures enporcelaine dans des assiettes

• LIU Liguo : sculptures en porcelaine

• LIU Zheng : montage photographique

• MA Liuming : photographies de sesperformances où il s’expose nu

RONG Rong : photographies

• SUN Liang : peinture poétique et« suggestive »

• WANG Gongxin : photographies

• WENG Fen : photos d’une jeune filleà califourchon sur un mur observant lanaissance d’une ville nouvelle

• XING Danwen : photographie etvidéo

• YANG Jian : peinture représentantdes nus au travers de la buée d’une vitrede salle de bain

• ZHANG Xiaotao : peinturereprenant les grands thèmes del’érotisme camouflé

• ZHONG Biao : peinture, les femmesd’aujourd’hui et leurs contradictionsdans la Chine qui découvre le mondeglobalisé

• ZHU Bing (femme) : peinture defleurs très sensuelles

Artistes présentés à Sarlat

• CAI Jin (femme) : installations d’uneartiste peintre

• LUO Xu : sculptures de femmes auxpetits pieds et photo-montages

• MA Desheng : peinture de femmesoffertes mais sans visage

• YANG Shaobin : peinture, sur lethème de la violence dans la sexualité


FENG Zhengjie« Le Papillon amoureux » n° 23Huile sur toile - 2003130 x 110 cm

ZHANG Xiaotao« Accessoires amplifiés »Huile sur toile - 2001150 x 250 cm

LIU Jianhua« Souvenirs attachants »Sculpture sur porcelaine - 200040 x 60 x 25 cm

ZHANG Xiaotao« Fabricated » n° 1Huile sur toile - 1999200 x 150 cm

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EXPOSITION

« SENS INTERDITS ? »

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LIU Jianhua« Souvenirs attachants » Sculpture sur porcelaine - 200040 x 60 x 25 cm

MA Liuming (détail)« FEN-Ma Liuming marche sur la grandemuraille » Photographie sur papier - 1999200 x 127 cm

LI Ji« Animal aimé » n° 40Huile sur toile - 2001146 x 114 cm

YANG Jian« Salle de bain » Huile sur toile - 2003130 x 100 cm

ZHU Bing« Rose du paradis » Huile sur toile - 1996146 x 114 cm

SUN Liang« Ailes de désir » Huile sur toile - 1997200 x 120 cm

XING Danwen« Le mariage avec l’âne, Wang Jin » Photographie sur papier - 1995105 x 150 cm

LUO Xu« Symphonie de jambes » Sculpture en polyester - 2001200 x 40 x 110 cm

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A Nontron, Périgueux,Terrasson etchez cinq groupes d’internautes, lesrésidences sont en activité avec lesartistes à l’œuvre piquant la créativitédes écoliers, des lycéens et desenseignants.

Tout un trimestre a été consacré àl’aventure de la création dans desclasses, de la maternelle au lycée, suite àl’accueil de nouveaux artistes enrésidence depuis la fin de l’année 2003.Préparés par les conseillerspédagogiques de la Dordogne (FlorenceBeaulieu et Patrick Picollier) avec lesenseignants, l’imaginaire des enfants sedéchaîne, tandis qu’au lycée Claveille dePérigueux, l’inventivité des adolescents,futurs créatifs, est déjà prête à concouriravec celle des professionnels.

De la magie ? En effet, de nombreusesproductions surgissent de la magie quis’opère entre un plasticien et un groupescolaire, ainsi que de la fusion d’activitéssouvent séparées : l’étude etl’expérimentation du concret.

Confidentiel ? La presse de laDordogne aime bien venir glisser un œilparmi ces plasticiens en herbe.A l’observation des apprentissages, des

savoir-faire et des exploitations desformes et des matières, leur regard senourrit d’étonnements et de plaisirs.C’est ce qu’ils partagent avec nous tous,nous invitant à ne pas manquer les diversrendez-vous de l’année.

Après ces moments intenses, les« Résidences de l’Art en Dordogne »s’ouvriront à tous les publics, duprintemps et de l’automne, quandviennent les périodes où seront prêtes

les réalisations des artistes inspirées partous les échanges qu’ils ont eu enPérigord : François Andes àMussidan, Norton Maza àTerrasson, Christelle Sionneau et TuYen-Fong à Périgueux, Godefroy deVirieu à Nontron, CédricDoutriaux, quelque part avec lesgroupes d’internautes.

“RESIDENCES DEL’ART EN DORDOGNE”

LA GAZETTE DES RESIDENCES« Les artistes à l’école,

les enfants à la création »

Norton Maza / Terrasson - janvier 2004

Cédric Doutriaux / résidence multimédia. Présentation à lamédiathèque de Coursac - janvier 2004

Christelle Sionneau et Tu Yen-Fong / Périgueux. Classe APACavec l’école du Toulon - janvier 2004

Godefroy de Virieu / Nontron.Travail avec la classe d’Arts appliqués du lycée Albert Claveille de Périgueux - décembre 2003

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Cédric Doutriaux a été retenu par leComité de pilotage des « Résidences del’Art en Dordogne » pour mener unerésidence multimédia par internet. Ceprojet est élaboré en collaboration avecl’association bordelaise « Médias-Cité »et coordonné par le service Artsplastiques de l’ADDC.Dans le cadre de son début derésidence au mois de janvier, CédricDoutriaux a fait découvrir au public dela Dordogne une de ses installationsmultimédia « Les RondanlO ».

Interactive et ludique, cette installationmultimédia se présente sous la formed’un espace où le spectateur est filmé.Son image est projetée devant luicomme dans un miroir. Un micro estdisposé au dessus de lui.Le dispositif fonctionne en deux temps.La captation du son : le spectateur nebouge pas, mais fait un son ; l’ordinateurl’enregistre en formant une bulle qui sematérialise à l’image, puis va rejoindre lesautres dans la banque de données.Le jeu corporel : en bougeant, lespectateur fait apparaître des bulles quicontiennent les sons précédemmentenregistrés. Suivant sa position et lemouvement, différents sons émergent dela banque de données.Avec un peud’entraînement, le spectateur peutmaîtriser sa composition sonore.

Pendant son séjour en Dordogne, CédricDoutriaux travaille avec cinq groupesd’internautes répartis sur ledépartement et présentera fin juin 2004les résultats de cette « œuvrecollaborative ». Les résultats de cette« œuvre collective » entre les 7 et 19juin 2004 à Saint-Aulaye, Coursac,Terrasson, Coulaures et Périgueux.

Installation « Les RondanlO »à la médiathèque de Coursac - (janvier 2004)

Renseignements05 53 06 40 00 (ADDC)

PartenairesMinistère de la Culture/DRAC Aquitaine, Conseilgénéral de la Dordogne, Conseil régionald’Aquitaine, Médias-Cité, CDDP Dordogne, REP deSaint-Aulaye, Médiathèque de Coursac, EspaceCulture multimédia de Terrasson, Ecole deCoulaures, Conseillers Pédagogiques en arts visuelsDordogne-Nord,ADDC

“RESIDENCES DEL’ART EN DORDOGNE”

Résidence multimédia par internet avec Cédric Doutriaux

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La résidence de Norton Maza,un plus pour Terrasson

Au-delà des discours dans l’air du temps,l’intérêt premier d’une résidenced’artiste consiste à défendre la créationet donc les artistes et leur rôle dans lasociété.Mais la présence durant plusieurs moisde Norton Maza à Terrasson permetégalement un vrai travail, un travailefficace avec les établissements scolaires.Les écoles maternelles et primaires ainsique le lycée ont organisé des visites deson exposition par les élèves.Norton Maza intervient égalementrégulièrement au lycée et à l’écoleprimaire.Enfin il y a toutes les rencontres plusinformelles d’individu à individu, cesrencontres qui enrichissent par l’échangeet la curiosité partagée.

A Terrasson, Norton Maza travaille sur lethème proposé par le Centre culturel àtous les résidants : l’utopie. Celaconvient parfaitement à cet artistechilien qui « travaille » avec des élémentsprécaires et s’attache à donner dupouvoir à des objets parfois dérisoires.Les réalisations - sculptures, installations,vidéos, dessins - qu’il accomplit enDordogne seront ensuite exposées auCentre d’Art « le Creux de l’Enfer » deThiers et à la Biennale d’Artcontemporain de Pancevo en Serbie.

Présentation du travail réalisédurant la résidenceDu 11 avril au 13 juin 2004Au Centre d’Art Contemporain« Le Creux de l’Enfer » à ThiersVallée des usines - 63 300 ThiersVernissage : samedi 10 avril à 18hEntrée libre tous les jours de 14h à 19h

Renseignements04 73 80 26 56 (Le Creux de l’Enfer)05 53 50 13 80 (Centre culturel de Terrasson) 05 53 06 40 00 (ADDC)

PartenairesMinistère de la Culture / DRAC Aquitaine, Conseilgénéral de la Dordogne, Conseil régionald’Aquitaine, Centre culturel de Terrasson, ADDC

“RESIDENCES DEL’ART EN DORDOGNE”Terrasson

Norton Maza24

Norton Maza entouré de Serge Eymard et Arlette Verdier - vernissage à Terrasson - 7 janvier 2004

Apnée – Sculpture en terre (détail installation) - 2004

Territory – maquette (projet pour la biennale de Pancevo-Serbie) en carton et scotch - 2004

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Artistes et perturbateurs d’images,Christelle Sionneau et Tu Yen-Fongachèvent leur résidence au Centreculturel de la Visitation à Périgueux.Formé aux Beaux-Arts de Bourges, lejeune couple travaille ensemble depuisquatre ans.Accueillis en résidence sur lethème « Aux confins des Arts Plastiques etde l’Ecrit », ils ont puisé pendant leurséjour en Dordogne dans les rencontreslocales et dans la richesse du patrimoinepour nourrir leur réflexion.

En janvier dernier, ils ont travaillé avec desclasses de maternelles de Périgueux(école du Toulon) et de Corgnac sur l’Isleà partir de deux axes de travail : l’un surl’appréhension du corps de l’enfant, enutilisant le vêtement comme médium ;l’autre axe envisageait l’espace, le rapportentre les objets à partir de moulages.Des rencontres enrichissantes pour lestout-petits et pour les artistes qui se sontprêtés au jeu.

Les résultats du travail mené dans lecadre de leur résidence feront l’objetd’une exposition au Centre culturel de laVisitation à la rentrée prochaine.

Le chemin de l'écoleLe matériel était là : des vêtements d'enfants(de toute taille ou de tout âge ?) que les« Papamamans » avaient bien voulu trierpendant les vacances de Noël et apporterdans la classe de Madame Fabre. Desficelles aussi achetées à la mercerie et autresfils un peu rigides au centre, sorte de fil defer enrobé d'une sorte de feutrine toutedouce dont seules les maîtresses connaissentle nom.« Ce sont les artistes, on est allé les voir auCentre culturel de la Visitation ». Ils sesouvenaient de nous mais plus encore despaysages d'ailleurs montrés là-bas au début

de notre résidence.On s'est mis à faire de la sculpture. Maisqu'est-ce donc ? Il a fallu expliquer avec desnotes simples qu'on pouvait faire des formesavec des vêtements et des lacets. Petit à petitdes animaux sont apparus, les nouages lesavaient fait naître et on avait un peuappris à faire des nœuds au passage !D'autres matériaux pas très artistiques : dufilm cellophane, du scotch et des objetsdivers.On a aussi fait de la sculpture avec laclasse de Madame Pucheu et plusprécisément des moulages. Emballer jusqu'àde ne plus voir la couleur de l'objet emballé,mettre du scotch, couper pour faire sortirl'objet.Copier (démouler), recoller les deux coquillesbord à bord. C'est prêt !Les différents moulages obtenus ont été misen commun pour la réalisation d'unanimal dont on ne pouvait pas direvraiment ce qu'il est, mais dont les enfantsconnaissent l'origine.La classe de Madame Fraszczynski àCorgnac sur l'Isle s'est aussi essayée avecdes vêtements. Nous sommes allés à leurrencontre pour voir les réalisations dans laclasse devenue musée.Une série impressionnante de bonnets tousrouges et tricotés par des dames du village,avait été utilisée et donnait naissance à unmille-pattes géant, tandis que d'autrespattes, celles de pantalons cette fois ouplutôt l'entrejambe figuraient une chaîne demontagne, une façon de dessiner par lecontour.Nous étions épatés ! Surpris par l'ensembledes réalisations et espérons leur avoir faitapprendre à lire les objets du quotidien,comme nous avons appris à communiqueravec des tout-petits.

Christelle Sionneau et Tu Yen-Fong

Présentation de fin de résidenceDu 6 septembre au 2 octobre 2004.Chapelle du Centre culturel de laVisitation - Périgueux

Renseignements05 53 53 55 17 (Centre culturel de la Visitation) 05 53 06 40 00 (ADDC)

PartenairesMinistère de la Culture/DRAC Aquitaine, Conseilgénéral de la Dordogne, Conseil régionald’Aquitaine, Municipalité et Centre culturel de laVisitation de Périgueux,ADDC

“RESIDENCES DEL’ART EN DORDOGNE”Périgueux

Christelle Sionneauet Tu Yen-Fong


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« Le mille-patte » – réalisation école maternelle de Corgnac-sur-l’Isle (petite et moyenne section) - janvier 2004

« Elèves accrochés à un fil » – réalisation école maternelle deCorgnac-sur-l’Isle (petite et moyenne section) - janvier 2004

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« Revisitez la châtaigne » : l’argument dedépart, livré tel quel, aurait paru bienmince aux élèves tant le lien avec ledesign - ou ce qu’ils pensent être dudesign - n’est pas explicite.En quoi une châtaigne, produit desubsistance rural, rustique et traditionnel,pourrait-elle nouer un quelconque lienavec le design, démarche créativecontemporaine par excellence, à latechnologie parfois innovante?Les réponses à cette interrogationlégitime se sont imposées rapidementaux élèves dès l’analyse critique du travailde Godefroy de Virieu : le design, c’estaussi revisiter des us et coutumes, desgestes fondamentaux mais invisibles tantils sont simples, reconsidérer uneapproche entre l’homme et les chosespour générer le plus simplement possibleun objet qui nous rend service, nous« aide à mieux »… Ranger des bouteilles,parfumer l’atmosphère, réfléchir entravaillant (pour le crayon réglisse)…Découvrir l’évidente pertinence d’uneautre définition du design, loin des lieuxcommuns sur ce qu’il est ou devrait être,a été pour les élèves le moyen decomprendre que cette démarche créative,reposant sur la modestie et la simplicité,leur était accessible, mieux, les séduisait,les interpellait. Convaincus que « ça, c’estdu design », la châtaigne est considéréealors sous un nouveau jour : celui despotentialités créatives.Alors, commence le moment oùGodefroy de Virieu entame avec eux unediscussion sur le statut, l’histoire,l’existence gastronomique et sociale de lachâtaigne.Tout en esquissant des pistes derecherches très différentes, le designerpropose de travailler autour de trois axesque nous avions définis ensemble :

- déguster- récolter une ou plusieurs châtaignes- offrirTout s’accélère alors : les élèves seregroupent en fonction de leur proximitéde questionnement et se mettent àchercher, expérimenter, manipuler lachâtaigne de toutes les manièrespossibles.Très vite formes et principesapparaissent sur les tables. Godefroy deVirieu et nous, circulons de manièreinformelle de table en table pour aider lesélèves à préciser leurs intentions, réfléchirà d’autres principes pour résoudre unmême problème, ajuster une proportionou remettre en cause l’emploi d’unmatériau… Les recherches sontfréquemment mises en commun pour quechacun y puise de nouvelles pistes. Denombreuses projections vidéocommentées des expériences etexpérimentations participeront à uneimmersion et une émulation trèsfructueuses, tout au long de l’atelier.Puis arrive la fin du « workshop » : lebilan est extrêmement positif. Stimuléspar les échanges fluides, constructifs etchaleureux avec le designer professionnel,les élèves se sont investis de manièretotale en proposant des hypothèses oudes objets véritablement viables, d’unegrande variété formelle et fonctionnelle, àl’existence plastique souvent interpellante.Nous n’avons qu’une seule question : àquand le prochain workshop ?

L’équipe pédagogique des arts appliqués• Hélène Templon• Emma Attias• Céline Darrigrand• Sandrine Libé

L’ensemble de ce travail a fait l’objetd’une présentation en février dernier auLycée Albert Claveille de Périgueux oùl’on pouvait découvrir une collectiond’objets aussi esthétiques qu’utiles.Godefroy de Virieu présentera quant à luiles résultats de son travail sur lechâtaigner dans le cadre de sa résidenceen Périgord vert à la rentrée prochaine.Godefroy de Virieu, jeune designer, estaccueilli depuis octobre dernier dans lecadre des « Résidences de l’Art enDordogne » par le Pôle ExpérimentalMétiers d’Art de Nontron.Dans un but d’échange et decollaboration entre l’artiste et lesprofessionnels métiers d’art, cetterésidence est axée sur un projet communqui a pour thématique le châtaigner.

Renseignements05 53 60 74 17 (Pôle Expérimental Métiers d’Art)05 53 06 40 00 (ADDC)

PartenairesMinistère de la Culture / DRAC Aquitaine, Conseilgénéral de la Dordogne, Conseil régionald’Aquitaine, Municipalité et Pôle ExpérimentalMétiers d’Art de Nontron, Parc naturel régionalPérigord-Limousin, Chambre des Métiers de laDordogne, Chambre de Commerce et d’Industriede Périgueux,ADDC

“RESIDENCES DEL’ART EN DORDOGNE”Nontron

Godefroy de Virieu26

En collaboration avec la section Arts Appliqués du Lycée Claveille - décembre 2003

« Revisitez la châtaigne »

Moule de châtaigne - Audrey R. et Emile F.

Bouquet de châtaigne - Mary E.

Distributeur de châtaigne - V. Olivier - Mi. Julien

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« Troubadours de toujours en PérigordVert » est une contribution à larevalorisation de ce territoire (15cantons, 90 000 habitants) aux yeux desa jeunesse. C'est également un projetculturel structurant pour ce pays encours de création. En s'appuyant sur lesvaleurs des troubadours (tolérance,reconnaissance de la place de la femme,ouverture aux autres et au monde, etc.)et sur la culture occitane, les FRANCASde Dordogne épaulé par l'Institutd'Etudes Occitanes mettent en place unensemble d'actions envers les enfants etles jeunes mais aussi envers l'ensemblede leurs co-éducateurs (parents,animateurs, enseignants, toute personnede son environnement proche) : ateliersde création contemporaine, spectaclesvivants, expositions, conférences etc.Entre janvier et juin, une quinzained'ateliers encadrés par des artistesprofessionnels ont lieu au sein decentres de loisirs ou de structures

d'accueil de jeunes. En une douzaine deséance, enfants et artistes vont réaliserune création originale et actuelle autourdes valeurs des troubadours et de laculture occitane. Elles seront montréesen juin prochain lors d'un événementiel.Les techniques privilégiées pour cettepremière année sont : théâtre, cirque,musique, arts plastiques, conte etpyrotechnie. Des spectacles de théâtred'ombres, cirque et conte ainsi que desconférences et des expositions sur lestroubadours accompagnent ces ateliers.Des formations pour les personnes aucontact des enfants et des jeunescomplètent le dispositif de ces sixprochains mois.« Troubadours de toujours en PérigordVert » a vocation à durée sur cinqannées au moins. Les actions de l'annéeprochaine sont déjà en cours depréparation. Elles se construisent autourde communes, communautés decommunes ou associations fortement

actives sur le territoire. Dans l'esprit dedémultiplication du lien social au plusprès de ses habitants et pour créer unedynamique locale le programme s'attacheà développer en complément d'initiativeslocales et par des propositionsconcrètes un ensemble d'actions allantdans le même sens. Une mallettepédagogique est également enpréparation pour aider les co-éducateurs.Ce projet est soutenu également par leprogramme européen Leader + et leConseil général de la Dordogne. Denombreux partenaires dont l'ADDCinterviennent également pourl'organisation ou la réalisation desactions. Le soutien de l’ADDC pourl’accueil du spectacle « Souffleurs derêve » s’inscrit dans cette démarche.

Pour toutes informations : aux FRANCASdemander Frank TORDJMAN au 05 53 53 06 47

avec Anne Amoros etJean-Pierre Schall

Durée 45 minutes

Tout se passe dans la pénombre.Le castelet revêt des couleurs chaudes etdouces, et l’histoire commence. Sorti dela nuit des temps, le théâtre d’ombre vaaccompagner l’histoire d’un troubadour,d’un souffleur de verre, où se côtoientprincesse et dragons. Une musiqueinventive entoure le tout de cette magiequi captive petits et grands. Souffleurs deverre, création de la compagnie LaLoupiote est un spectacle très poétiquequi emmène son public vers les temps duMoyen-Age.Les ombres et les lumières projetées etanimées par Anne Amoros et Jean-PierreSchall confèrent au spectacle une qualitéartistique exceptionnelle.Alliant unminimum de technique à une montagned’instruments des plus rudimentaires etartisanaux pour donner vie à ce conte,

les artistes privilégient la gestuellepermanente dans une suite d’actions àcouper le souffle. Les gestes théâtraux,leur suite de mouvements et de bruitagesparfaitement synchronisés, accaparent lavigilance et l’attention des acteurs et desspectateurs du début à la fin.

La représentation tout public de Saint-Jory de Chalais est organiséeen partenariat avec l’Amicale Laïque et la Communauté deCommunes de Jumilhac Le Grand.

REPRESENTATIONS

TocaneJeudi 15 avril - 14h

Saint-Jory de ChalaisSalle des fêtes

Vendredi 16 avril - 20h30

Compagnie La Loupiote

Troubadours de toujours en Périgord Vert

Souffleurs de rêve Spectacle jeune public

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Pour la deuxième année le Pôle International de la Préhistoire (P.I.P)organise les 1er, 2 et 3 juillet les rencontres de Gorges d’Enfer sur le thème« L’Homme et l’Animal ».

Pendant trois jours les passionnés de préhistoire seront comblés. Sur cesite magnifique de Gorges d’Enfer et à l’auditorium du musée aux Eyzies,se succèderont en effet, ateliers, conférences et rencontres animés par desspécialistes. Pour un plus large public, à travers trois disciplines artistiquesdifférentes (cinéma, théâtre et musique) trois soirées festives permettrontune approche plus ludique de la préhistoire.

L’ADDC soutient cette manifestation en apportant son concours techniquedans l’aménagement du site afin que les trois spectacles soient offerts dansde bonnes conditions.

LES RENCONTRES DE GORGES D’ENFER

PROGRAMME DES RENCONTRES DE GORGES D’ENFER1er, 2 et 3 juillet 2004

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DateAteliers Conférences Rencontres / Grand Abri

Soirée Grand Abri10 h - 12 h 14h30 - 16h30 17h30 - 20h30Auditorium du Musée Auditorium du Musée Animées par Dominique Leglu

(Sciences et Avenir)

Jeudi Art Paléolithique Préhistoire et aménagement Animaux gibiers - Cinéma-Conférence1er Portugal - Espagne - France du territoire : l’exemple Animaux rêvés 22 h

juillet Un CD ROM grand public de la déviation de Bergerac Francesco D’ÉrricoLe bergeracois des Françoise Delpech L’OURS

Jean-Pierre Chadelle origines Carol Fritz De Jean-Jacques AnnaudSerge Maury Les fouilles de l’INRAP Randall White

Laurence Bourguignon,Illuminata Ortéga,Frarid Sellami,

Laurent Bruxelles

Vendredi La Faune et le bestiaire Les « sorciers » Animaux chassés - Théâtre2 Jean Christophe Castel de l’art rupestre Animaux chasseurs 22 h 30

juillet Gilles Tosello Jean Rouaud Jean Michel GenesteJean Clottes Frederic Joulian Le Passé Continue

Nicolas GovoroffJean Clottes Temps Fort Théâtre

Samedi L’animal ressource et Début de l’art et L’homme et l’animal : Musique3 l’animal objet d’art début du langage Qu’est-ce que l’humain ? 22 h

juilletJean-Michel Geneste Francesco d’Érrico Bernard Vandermeersch Récital de flûte

Despina Lolios Georges Sauvet Pascal Picq Maurice MoncozetJean-Francois Dortier

Philippe DagenJean Rouaud

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L’HOMME, UN ANIMAL SINGULIER

La théorie de l’évolution de Charles Darwin a mis à mal l’héritage dualiste etl’ensemble des catégories qui posaient une barrière quasiment étanche entre l’animalet l’humain.Nous savons aujourd’hui que nous partageons avec nos cousins les plus récentsl’immense majorité de notre matériel génétique.Il faut néanmoins remarquer, qu’entre le chimpanzé et l’homme, pour une faibledifférence génétique d’un pour cent, il existe un grand écart morphologique, puisque ladifférence anatomique est de soixante pour cent.Pourtant l’homme est un animal. Non pas que l’homme soit un singe, ce seraitdésobligeant pour le singe, mais l’homme est un animal qui se prend pour un homme.Il a une telle opinion de lui-même qu’il ne cesse de s’interroger et d’enquêter sur sesorigines.L’éthologie et les recherches sur l’intelligence animale ont apporté de sévèresdémentis à certaines théories sur le propre de l’homme. Ces découvertes n’abolissentpas les différences entre cognition animale et humaine, mais elles obligent à lesrepenser totalement. L’étude des origines de l’homme connaît elle aussi d’importantsrenouvellements et l’homme moderne apparaît maintenant comme le seul rescapéd’une grande famille. Pourquoi ? L’étude des origines du langage, qui fut longtemps unsujet tabou chez les linguistes, connaît un véritable renouveau. Certes, les mots ne sefossilisent pas, mais, en croisant de nombreuses approches nouvelles, il est possibled’élaborer des scénarios sur l’émergence du langage. Enfin, l’étude sur l’origine de l’artsubit également de profondes révisions. Les spécialistes sont de plus en plus nombreuxà admettre que la naissance de l’art ne se limite pas aux grottes ornées apparues enEurope il y a 35 000 ans. La musique, la danse, la décoration corporelle, l’artisanatnous obligent à repousser encore plus loin dans le temps l’apparition des toutespremières formes de création artistique.On retrouve la vieille hypothèse, déjà formulée par André Leori-Gourhan, que l’art, lelangage et la technique seraient apparus vers la même époque. Et ils seraient donc leproduit d’une même disposition mentale. « En substance, cette théorie nous dit que cen’est pas le langage, l’outil, la conscience ou encore la culture qui constitue le « proprede l’homme », mais qu’il existe un mécanisme mental unique et plus fondamental qui apermis leur émergence. Ce facteur relève d’une aptitude proprement humaine àproduire un certain type de représentations mentales que j’appelle tout simplementdes « idées1 » écrit Jean-Francois Dortier.Comment définir l’homme ? De quel singe l’homme descend-il ? Comment l’hommeest apparu ? Il est difficile de comprendre la démarche des scénarios qui tentent derépondre à ces interrogations sans expliquer au préalable ce que l’on entend par« homme ».La réponse à ces questions était autrefois de l’ordre du mythe, puis elle fut investiepar la religion pour finir aujourd’hui sans doute par la philosophie et les choixidéologiques.Ainsi, les grottes ornées sont peut-être pour les débuts de l’humanité ce lieu secret etrévélé à la fois, où l’homme est venu s’interroger sur lui-même et se poser la questionqui est celle-là même que nous ne cessons de nous poser : qu’est-ce que l’humain ?

Jean PénichonDirecteur du PIP

1 - Jean-Francois Dortier dans « l’Homme cet étrange animal… »paru aux Editions Sciences-Humaines - 2004.

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Prénommée à l’origine Les Galapians,cette compagnie, dès sa création, ne secontente pas de donner quelquesreprésentations en Dordogne.Très viteelle tourne dans le monde entier, plusconnue à l’extérieur que dans lepérigord, confirmant ainsi que « nul n’estprophète en son pays »….Du Moyen Orient à la Suisse, de festivalsen festivals, de salles des fêtes enThéâtres missionnés, de Scènesnationales en Centre DramatiqueNationaux, elle comptabilise aujourd’huiplusieurs milliers de représentationsdont les plus récentes se nommentJournal d’un monstre,Y-a-t-il uncomédien dans la salle, Un petitchaperon rouge…

Au cœur et aux commandes de cettecompagnie, une toute jeune femme demoins de trente ans : Florence Lavaudqui a fondé cette compagnie avec lescénographe et comédien Stéphan Zanget qui aujourd’hui en assure la directionartistique et signe toutes les mises enscène.

Chaque fois qu’elle fabrique unspectacle, elle a l’impression de donnervie à un rêve nécessaire et éveillé. Et sesrêves ne manquent pas ! Elle baigne dansle théâtre depuis qu’à 16 ans, elle adécidé d’y consacrer sa vie. Des annéesde travail acharné, des créations, des

tournées, des spectacles de rue « quicherchent à transformer le quotidienpour le théâtraliser ». Jusque là FlorenceLavaud n’a pas besoin des mots, ellepréfère dire par le geste, l’image ; elle dittravailler comme un peintre.

Puis vient l’écriture. « Cabane » futlauréat des spectacles jeune publicAvignon 1994. « Ce sont des spectaclesqui partent d’un désir, d’une envie dedire les choses non exprimées »… Voulant sortir du plateau pour allersurprendre un autre public, voulanttransformer la réalité des collégiens, deslycéens, elle passe une commanded’écriture à neuf auteurs contemporains.L’idée : de nouveaux profs débarquentdans les classes, pour enseigner denouvelles choses : la paresse, la fessée, lemanque d’air. C’est la naissance de« Profs ». C’est aussi le début d’uneaventure artistique avec l’auteur Jean-Louis Baüer.Voilà pour l’artistique

Pour le quotidien, la compagnie travailleet répète sur la commune de Saint-Paulde Serre. Longtemps dans la grange-atelier-maison de Florence et Stéphane,maintenant dans la salle des fêtes qu’ilfaut libérer pour les manifestationspropres à la commune. La compagnie sebat pour obtenir des locaux de travailmieux appropriés. Elle fait de

Florence Lavaud

LE CHANTIER THEATREUne belle aventure commencée en Dordogne il y a plus de 15 ans.

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nombreuses démarches pour obtenir lesfinancements nécessaires à la créationd’un lieu. Elle y arrive presque en 1998mais le refus d’un partenaire lui faitreporter le projet.Cependant la compagnie est exigeante ettenace, aussi ne se décourage-t-elle pas.Elle repart à l’assaut, défend son projetauprès des élus locaux, départementaux,régionaux, auprès de l’Etat, obtient denouveau des garanties financières et estfière le samedi 31 janvier dernier depouvoir enfin poser la première pierrede ce lieu qui va permettre de meilleuresconditions de création.

Bravo Florence, Bravo le ChantierThéâtre et rendez-vous est pris pourouvrir la porte de ce nouveau lieu.

Ce n’est pas tout.Si la reconnaissance du travail deFlorence Lavaud se concrétise enDordogne par la construction d’unvéritable espace de travail, unique en songenre dans le département, elle seconcrétise également sur le plannational. Florence Lavaud a étéprésélectionnée par la ville de Lyon et laDRAC Rhône-Alpes avec trois autreséquipes parmi 20 candidatures pourprésenter un projet de direction duCentre Dramatique National de Lyonbien connu des professionnels commelieu de référence en matière deproposition pour le jeune public.

Le choix définitif s’est porté sur uneautre équipe, sur un autre créateur.L’important est que dorénavant Florence

Lavaud fait partie des quelques metteursen scène repérés dans le monde duthéâtre pour son originalité et sesqualités de metteur en scène à l’adressedu jeune public.

A l’heure où nous imprimons, nousapprenons avec une joie immense quec’est Florence Lavaud qui a été choisiepour prendre la direction du CDN deLyon en tandem avec Jean-Claude Pareja.Toutes nos félicitations à cette jeuneéquipe qui saura partager son tempsentre Saint-Paul de Serre et la régionlyonnaise. Nul doute que cettenomination rejaillisse positivement sur ledépartement de la Dordogne.

que l’aventure continue.

LE SAVEZ-VOUS ?

Chaque saison l’ADDC est partenaire de nombreuses manifestations qui se déroulent dans tout le département tant dans ledomaine des Arts Plastiques que dans celui du spectacle vivant.Chaque saison l’ADDC accompagne des projets culturels des établissements scolaires leur permettant non seulement de percevoirdes aides financières de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), mais aussi de bénéficier d’interventionscomplémentaires (auteurs, metteurs en scène…).

Pour cela l’ADDC organise en amont des réunions de préparation avec les associations, les collectivités, les enseignants afin de fairepart de l’offre existante et de développer les projets en fonction de ces possibilités.

Ces séances de travail se déroulent à la demande de nos partenaires. Nous sommes à votre disposition, alors n’hésitez pas.A vos agendas…

Tel. 05 53 06 40 00

« TRONCHE DE VIE »

Depuis 1999, Les Tréteaux du Matin installés en Sarladais proposent aux habitants de la région une action de création etd’animation théâtrale et culturelle.Avec détermination, c’est tout un tissu d’ateliers que les Tréteaux ont mis en place à l’annéepour les jeunes et les adultes.Antoine Heijboer en est le metteur en scène. Dans le cadre d’un partenariat avec l’AssociationItinérance, club de prévention en milieu rural, dont l’objectif est d’accompagner des jeunes en difficulté sociale ou familiale, unprojet de création théâtrale a vu le jour en 2003 qui a permis à une douzaine de jeunes de s’investir dans l’écriture, le jeu théâtralet la régie de scène. « Tronche de Vie », tel est le titre du spectacle qui parlera de leurs tranches de vie et qui sera présentéle 5 juin à Tamniès dans le cadre des Rencontres du Théâtre Amateur des 5 et 6 juin.

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vers Bordeaux cours Fénelon vers Brive

ADDCEspace Culturel

François Mitterrand

placeFrancheville

placeBugeaud

placeHoche

placede la Mission

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place del'Hôtel de Ville

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Bussière-Badil

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Saint-Jory de Chalais

Verteillac Brantôme

Champagnac-de-Belair

Saint-Pardouxla-Rivière

ExcideuilMontagrier

Ribérac

Savignac-les-Eglises

Hautefort

Saint-Aulaye

Saint-Pierre-de-Chignac Thenon Terrasson-la-Villedieu

VillamblardSaint-Martinl'Astier

Saint-Frontde Pradoux

Saint-Méard de Gurson

Vergt

Salignac-EyviguesVillefranche-de-Lonchat

Sainte-Alvère

Carlux

DommeIssigeac

Sigoulès

MonpazierVillefranche-du-Périgord

Jumilhac-le-Grand

Nontron

Mareuil

Thiviers

Piégut-Pluviers

Tocane

Saint-Aquilin

Saint-Médardd'Excideuil

La Dornac

Chavagnac

La Chapelle-Faucher

Neuvic

Saint-Astier

MontponMénestérol

Mussidan

Bonneville

Montignac

Vélines

La Force

Lalinde Saint-Cyprien

Allès sur Dordogne

Sarlat

Belvès

Le Buisson

Beaumont

Eymet

Périgueux

Théâtre

Exposition

Résidences de l'art en Dordogne

L'ADDC accompagne des projetssur ce secteur

Bergerac

Le Bugue

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L’ADDC est subventionnée par le Conseil général de la Dordogne, le Conseil régionald’Aquitaine, le Ministère de la Culture et reçoit le soutien de l’OARA (Office Artistique de larégion Aquitaine) et de l’ONDA (Office National de diffusion Artistique)

ADDC - n°21 - Avril - Mai - Juin 2004Directeur de publication : Marie-Jeanne VianComité de rédaction : Laurence Coudenne, Michèle Grellety, Anne-Marie Gros,Dominique Parmentier, Marie-Jeanne VianConception et suivi de fabrication : E.P IllustrationRéalisation : Laurence Coudenne et E.P IllustrationFlashage et impression : Imprimerie FanlacPhoto de couverture : © Compagnie Caméléon

ADDC - Association Départementale de Développement CulturelEspace Culturel François Mitterrand du Conseil généralde la Dordogne2, place Hoche - BP 1056 - 24 001 Périgueux CedexTél. 05 53 06 40 00 - Fax 05 53 06 40 01www.perigord.tm.fr/[email protected]

ADDC - Location de MatérielChemin de la Cropte Basse24 430 MarsacTél. 05 53 08 80 43 - Fax 05 53 03 78 66


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association départementale de développement culturel addcaddc/publish/plaquette_addc_21.pdf ·...

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