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70’ Année. IV0 S 9. Paraissant le Dimanche et le Jeudi. a b o n n e m e n t s ïr* S L « ’t S O „*£L* Un a n . . , . . 12 fr. Ufr. SI» moU... 6 fr. 6fr. 8fr‘ Trots mois. 3 fr. 3 50 4 b ON S'ABONNE : A Seuils, aux bureaux du Journal, 9 al J1 place do l'Hélel-do-Vilto, cher lous les libraires du département el dans tous los bureaux de posle de Franco et d'Algérie! L'abonnement ost payable d'avance. Il n'est Jamais interrompu et est considéré comme renouvelé, lorsqu'à respiration on ne donne pas contre-ordre. DE SENL C O U R R IE R D E L 0 £S E Dimanche So Juillet 1899. b u r e a u x Rédaction et Administration 0 et 11, place de l'Hdtel-de-Ville, à Senlls. U SR" " ! riMan> Vûnr P"W*r dans lanoniimmtnt 1rs Rissuvio.vs tuoictamiis. PRIX DES INSERTIONS : Annonces : la ligne, o.SO c. Réclames : la ligne, 0,40c, lails divers : la ligne, 0,50 c. On u accepto pas d’insertion au-dessous do 1 fr. Les annonces,, 1 ^ 01003. "irrnntof-j:1 dSuSSÎÎl S°m rt' UCS<li,'cc"," 'c'm “uz h"™»8* BULLETIN Stnlit, 22 Juillet. S’il but en oroire une note du Matin, des instructions supplémentaires très précises, relatives à la procédure à suivre devant le conseil de guerre » seraient sur le point d’être adressées au commissaire du gouvernement. Le Matin ajoute que ces instructions seraient rendues pu bliques, mais la chose paraît bien invrai semblable, car si le gouvernement cherche à peser dune façon quelconque sur la liberté du conseil de guerre, il est peu probable que lui-même découvre ainsi son jeu. Par ailleurs, il faut signaler une lettre du général Gonse au M atin démentant catégoriquement le récit du commandant Esterhazy, en ce qui concerne le rôle attribué, dans ce récit, au général de Boisdeffre et au général Gonse. Notons encore une lettre du général de Galliffet par laquelle interdiction est faite À tous officiers de se trouver à Rennes durant le ooura du procès, s’ils n’y sont appelés, comme témoins, par oe procès lui-même! Un nouvel incident surgit dans la que relle survenue entre les divers groupes socialistes. C est la rédaction d’un mani feste par lequel les adversaires des poli ticiens du parti ouvrier français guesdiste. du parti socialiste révolutionnaire alema- niste et de 1 alliance communiste révolu tionnaire (il parait oue ces divers groupes se distinguent par des nuances capitales), déclarent accepter la réunion d’ûn congrès général du parti, proposée par M. Jaurès pour arbitrer leurs différends. Au senti ment des signataires le congrès serait appelé uniquement & se prononcer eur la chasse aux portefeuilles, substitué à la lutte de classes. Sentant le danger au’il courrait en ce cas, avec MM. Millerand, aut™ politiciens, M. Jaurès a déclaré dans la Petite République que 1 œuvre du congrès doit être plénière et, dans la rechercha moyono do rendre 1 unité au parti, ne doit être limitée par non. Cela fait prévoir des débats de quel- que animation et de quelque étendue surtout si, selon les p riL Æ ffiï,’ membres r4unlr 800 à 1.000 . Mais. veut-on savoir quelle raison l’on invoque pour prédire que M. Chamber lain ne parviendra pas à triompher des résistances de ses collègues moins belli queux que lui ? Le Matin dit : < L’opi nion a été très frappée des récents pour parlers qui ont été engagés entre les cabinets de Paris et de Berlin. On est .p p ff i ,ue. la poétique du secrétaire , Wat des colonies, si elle prévalait dans le gouvernement de sa Majesté, aurait pour effet de rapprocher les Etats conti nentaux, dont les divisions ont été, de puis trente ans, si favorables à la Grande- reiagne, en vue de garanties communes contre les empiètements anglais. Ces in formations très certaines ont produit une vive impression dans les milieux poli tiques de Londres. • Si nous mettons en relief ces indications, c’est moins pour montrer leur conformité avec les pronos tics déjà anciens du Journal de Sentis que pour éclairer la religion du lecteur sur 1 orientation nouvelle où entre forcé ment la politique extérieure de la Franoe, travers ces trois étapes successives : alliance franco-russe, entente franco- russo-allemande, union des puissances continentales contre l’Angleterre. Les exactions et les insolences d’Albion de vaient conduire fatalement à une ligue européenne contre elle. L S S S S p œ tio n * lu S * î1 ,pubIio 8vait d«“ andé U deatito- bon de M. Groajean et eabaidiairement la peine li* BJJ'pan,*0B pendant d e » année* ^ M. Groajean a'eat défendu en peraonne. “ bernent à M. Groajean ln peine da déplacement de aix moia. La «uapenalon du maire d’Alger, u * • I. pp6f0otoral ««pendant pour nn moia 6,4 M‘ «" raiaou de ïïï ï u d td î r * 10" da”' io JSSt t S JS T W ft Æ surs* ■*’« "Jet de. décidons qaiP0” été pri... jourd'bui en . 6anee ordinaire. ' î1! I e‘ '» .oci.li.me. rSnon.» 1 r ““““ «I d“ parti ouvrier, fr.nç.i., eu tm v.ai.ur. .? Ç8t- f “ 5°“ ité d“ h fédération de. ! "»'t‘l;.te. fr«uç.i., . rf.oio d. „r0. d? î 0"*'4* Rén6r,i . 0. ^ .1. n m ïïilK ^ j! 1 .la prtuoipe du soei.li.ma ment lîourgeoi. 4 “ d*“ un gouverne. jnf.:uÆ a .!tÆ ,T é" daMM' a — . Le eaa de M.,Syveton. Les nouvelles de Belgrade montrent que de Saint-Pétersbourg et de Berlin on surveille de près les menées S nesques en Serbie. La Russie et l’Aile- magne, auxquelles l’Italie vient de s’ad- G .x ’ ?at.00“stlt“4>au moyen de leurs S» ut ’ “ne mani4r8 de comité de tnvnn’i JT?8tera 8“ permanence lit enlîni9 5“° 10 déPart de l’ex-roi Milan ait enlevé un prétexte, et si l’on veut une cause, aux désordres qui ont éclaté chez es Serbes. Il reste à obtenir que l’Au- Sxpa ,X r 6 °om,"ête,ne,“ °° « - informations 1amour de a Patrie et de l’armée. mêni nna i* adp0IB0 «Joint le montant du trait*, que je préteïï. tou ". fcirofoW Se* d5«e qw j! franc! ! " 8 l0“ re él*U Joi“l ™ oh41“ 1-800 neùve^,l>l0° a ' ép0“d“ *“ «upituine de Ville- H“ooré A“d>ttet, -député, vient de taira appel au concours de la proue en favanr d’nn» ■“ ""Pl'OU pubUque do.tino, t procurer à no! £ ' r®«onrces pécuniaires qui leur sont f& T À p?nr d^8°uverte de nouvelles mé- d“ m“ adi“ La Franoe perd ehaque année 240 000 n«r- ■onnes du fiait de ces maladies. Dan. r a t e r K SéST O iit î,' t^ erCQl° ^ flguro P°np 100.000 IUmÏIm* ÿ ?°.ntr®06 mal que seraient particu- TinÔ Iri?6e* lei recherches des savants. d. 5 * > * été ouverte et a déjà pro- f “ - . - ,!r' L“ Compagnie, de ohemini de pavîbltiê'n a,ïg‘g' m?m d“ " r,"r 41 000 f' an“ PÈmi ™ 5a ? ’ , L“ ubemin. de fer de la pnL» déjà donné d e » annuités de 500 fr s la Compagnie de Sue*. 2.000 fr.: le Crédit W S ifêpïnK & d4« “ l,a ? lu di.po.ilion de la eotnmi.- dée m ! Ï 7 S O'I'u.truçtion publique, pré.i- dôfravar là. « .u ’ “ / ‘P " 1'* P«r m .oim pou, fuilêl d!n. ù, M “ mutifique. qui «eront «nn6o!l ,a9 n0M lndl1“0Mi durant dix Vol dan. la mai.on do M. Félix Faure •ont I!u3 |!1 , d2 ï rî ,US oatubriolenr. .0 M PAiivr 1? dans les anciens bureaux de M. Félix Faure, occupés aujourd’hni nar mm H.».e et Couvert. Il^nt T lî mô! b m .,1 « Mon caplUine, ' I diffôrentes’Vîïeuw ^ « î î f r f t î ^ d° ooupon• de aSn/r’ ,ld* profondément touebé de votre offre 62.000 fmne.,^ * on h°m 'm fiSïï.” " -- . *,Je 08 "forais accepter pour moi. Mais le ver Mrai aveo joie votre don dans la oaiue de là A Caslel-Gandolfo, une parlis de l’écliso s'n.t e".°.11 ù. la * 414 S “ rte elle a éto légoremont rosientie à Fiumicino. 8®z ,®° d Civila-Lavioia, quelque, mai- BBennâaa .lé?,rd.é°l 5 à F«wcati, on a rouenti deux secousses très violentes; presque toutes les mai sons et les édifloea publics sont fortement lézar- b Da.trnotion de l'hétol Beau-SIte, à Aix-le.- m.ViS d« -U n . iuten.ee a-éetatb mardi §4 én {àVUedé'S. m ‘"‘ B",U-Sile' 1",a A deux heures, le feu durait encore. mannna " ji’8* ®U d’aC8ident" d8 personnes. Le da pompes a empêché l’organisation SwmiSîîii "ocours. Heureusement, un orage Dnu m ai ?- ’ et Ia p,uiB a inondé 10 foyer. At . 0 r *,ira1 ,y‘» u#* ont pu elre emportés sains 1 .eJ i outen?nt d0 dragons de Nalôohe. d.Albion a immédiatement organisé un parfait sorvice de secours. 1 Le téléphone A l’Exposition do 1ÜOO. t«Fm«^nrnai .°fficiel va publier un décret aux a u x n ô a tK lé V " * * da I.’ab°nn0ment applicable -r P 0’niqne* à établir dan" 1 enceinte «aiiSi ’,0n n.n,T0r"0lle de Paris, en 1900, sera d«n «in?rf" franoi‘ par an- La durée des contrats sera fixée par arrêté ministériel. vréà’tonfe «Un° Ux® da 20 frano*' il »0ra d«H- SrtA d ttf f,0Dne qD,L.en fora la d0rnande une carte d admission aux cabines publiques installées félénfc enO0inte. de l’Exposition et permettant de nt.io D8M’graînitfment âVCC tou" l0" abonnés et postes publics du réseau de Paris. Cette carto sera valable du 1« décembre 1899 au ^ “ô.embre Une grande manifestation, en l’hon neur du marquis de Morés, a eu lieu mercredi soir, dans la salle du Grand- Occident, rue de Chabrol, sous la prési dence de M. Edouard Drumont. Les in vitations avaient été faites par M. Jules Guérin, président de la Ligue antisémite et fondateur dn Grand-Occident. Un mil lier de personnes y avaient répondu. Après un discours de M. Drumont, on a successivement entendu. MM. Firmin î a.“irij MdleTOy<>) Lionne, Gervaise, dé- Nr?n0J'’ et Delpech-Cantaloup, député du Gers, qui ont été applaudis. „*?nf'°nî re'i ““ ‘^graphie que, d’après une dépêcha de Berlin, les journaux an- 5ÏÏ? que Allemagne aurait proposé à la France et à la Russie une action commune pour déoider l’Angle terre à accepter l’arbitrage avant de dé clarer la guerre au Transvaal. La mani- été nt!o".orfU a ,U6 xe Bur8°n aurait donc été une sorte de préparation à cet exploit de politique internationale. Sans nous prononcer sur la nouvelle, qui nous pa- rat encore sujette à caution, nous ferons observer qu’eUe coïncide avec S ’T 1 survenu en Angleterre au su et du Transvaal. L’Angleterre aime rait mieux, évidemment, un règlement de comptes personnel avec leVpréBident Kruger, qu’un arbitrage dont elle a ré- cemment et itérativement refusé le béné- flce au Transvaal. Rien ne serait plus c u S & c Æ L rH ,aymPr0gramm,lda 18 Le nouveau nonoe A Paris. P»pe APans, qui lui a remis ses lettres de oréanoe. Lesagrieulteurs de France. I lé» uiuhini ub i Agncunure, m. jumu uupu*. I dé.IS«*‘i0“ d» S o c i é t é des Agrloul- teun, qui lui u domaodé de ne eouolure aucun .rr.cg.rn.ni e,„ i„ Et.U-Dni. .veut de cou. ■aller leu représentent, de l’Agriculture. I d. ta dM é l g 0;,Pr°-ai,d* t,"?r “ P*8 d ,‘ Le Conseil supérieur de l’instruetion publique. -J t: jLeygues a présidé dans la matinée de mer- iïr.‘£ ; X ." d0 C0Meil ‘npWe" ' da d'«!m l°™ £.*K ” 4.1** com®i“ lon.chargée à dtaTrtî. dlffa' 6nt0‘ que.tion. qu’U ve .voir Un nouveau musée. . îîi.m érI"i.B*°di“’ uduirtre de. Irevaux public», d“ pentanfîe eiège,’00 * d" tmm“ Le procès Drevfus. V™*01* dtlAaencâ Bavas annonce que les D d?, ‘in00a an commissaire du gouver nement près le conseil de guerre de Rennes et non5 hni85.nn J?°.rnalIdB “ "Im Mt allusion, ont E n S iîrttT n ' poinU ,up If "quoi", en porter m réqui.dUon.. ar dolT,n' Quant à ceux sur lesquels l’autorité delà chose et8dïnnIlff/mH etpM’i peine d’e,ci* de P00p»ip ’ * Axavrir ttù d6b*L le" «onditions £ dûivent déterminer l’application des té- w  raquête du ministère publio. ;r.r."; s.".” gouvernement. ’^ 4 «8" d • « Ini..Se eu Le cas de M. Grosjean. .nn«ri.Cn°r“l f . ‘' J ll‘‘,.ti0.“’ “ « “ ‘«ée .U OOU.ell ■upeneur de la magistrature, vient de statuer sur Enquête contre un officier. - ordrfl da général de QalliffAt, ministre dn Idn -î0? un0 ,D^*“ ation est ouverte sur le cas l du oapitune Guyot de Villeneuve. Toujours les espions. I faire d«“lÿ .d? N^ f a Petit Jo“™al quel'af- JïS R tfit'S S S ' ,roi’ “ u L ' 9' Td» Encouragement à la sobriété. In. ï “a Pü°prié,tairA 0 do ,a Chaux-de-Fonds a fait 1“" ™ .daDS lea locales une annonce ainsi La mission Marchand. M a re Æ é™ Y80'^ 11 a écrit aQ commandant ^ 5 5 demander la remise au musée de l armée du drapeau de la mission Conjo N® h'ordo'.'rjbcta'” "“'urcUcSonrdc i'.utorî.,: En même temps, des démarohes ont été faites S lu* i f Wé 6“efr8' don* dépond le musée de 1armée, et;aux ministères de la marine et des S.nd I* dépendent le commandapt Mar- S aa 18 mu' 10n' ponp obtenir l’autorisaUon de dépôt, au musée de l’armée, de ces deux sou venirs qui seront portés aux Invalides. La situation électorale au Transvaal ! u 2* S f qM 09,8 °°"“ Um no «r“ d f *■ Nonyeue __ l\ De.utsc/ ie Zucherindustrie : un mande de Londres qu’une députation dns ÎS ST Stff ShMnbr5, a,d0mandé une au- annrS di s »1,0bury pour le prier d’insister auprès du gouvernement afin que oe dernier viîXî î nouvelles mesures dans le but de pro. ÏS1™i bîSïïïï. ° ° ”veU9 “ “fér“ M n - Le commandant Marchand. inÜ ! 0mm8nd8?t Marchand a eu, meroredi, une S ,0?” ? 110? !* 0 le contre-amiral Gaillard, chef d’état-major général de manne. s .i ^ Ur, d# ^ tte conversation qui a porté sur 1- qu0, t|ons de service, le commandant a JajsmïÆrïsmLi: n ssa s s i f i maihta Le très grand désir du commandant est de tontoa°âôrt«M * 5 > igtie*’ loin dea â8't*tions de dn T 80 “ °“ ent oû il reprendra S *xr0glm8nt d ,nfant0rio de marine, térieüe p8r un®réo0nt0 èôoision minis- L’esoadre française à Barcelone. n.Jtaiip! g«M fu bâtl'menU français ont donné aux Barceloniis le spectacle d’un combat naval S” ®*0rl 08aco?C0pjant l’extinction des incen- dies ont été particulièrement remarqués. -.u xr hior ,oip anz «arins fran- -9»1., à 1 Hôt.l-do-vaie, e été trè. brillente. ta f“ “c! I °°' 4 “on>d« I « Vive .v«P,«mL“ !,i,!tam.io‘. ï ,8™ d”i' ' *UP°r‘ b“ .'lde, d" oenteine. d. me- S.Ï™ » P*,Maru lM rae. eveo d» dre. peeax frenoen, poausat de.cri.de: « Vive ta nârutlla ™ P“bli,° '1 * “ La police a dispersé les manifestants. L'héritier du Tzsr. AritehiiS n?va0m.b^/5 décembre 1878, au palais MiS£5 Saint-Petersbourg. le grand-duo i 51. À ’ aacoe"<0np comme tzarevitoh du grand- d" " 0“°/8«* d«P‘ I* vie n’e été nu'u» long8T e ,. êSi , l pr°î ^ “ aiaup 10 l8 m0i dernier, i f chap0l|o du grand palais du Tzarkoié- I fniaî p.romB au grade d’aide camp du Tzar, après avoir prêté serment de fidélité. é i.îif Q»C8ura? V4* ,ôriaux' fort apte aux & S i f S . mqUM' ®grand-dno Michel a terminé sSLt W & k "0“ ,tf ge à 1 Ec°l0 d’Artillerie de u M . urg dont il fut un des élèves les pin. briltant. et ta. plu» diaeiplinéa, .ubiaient ta règlement .évére de l’Eoole, . . . , ’deZ nd!. ta m m!™ !. î*"'’ ex*™l,nt *“ m8me titre qne ... “ . . !! t™™:.mî r0h" rtoontremerche., m ’.nœT vres et travaux.de campagne. entV.°î.U5.1 f tlS rfeJ1.W ■“ !«* sntnmen fait une spécialité. Tremblement de terre en Italie. awVlif . » A i® tra“ blement do terre !îïiinaïf ^8U à1Rom0- Jusqu’à présent, on zPœ uiïsfàsszsb étaendommegéea, met. on ne .ignele enenne vie- « A louer de. logement, de 400 i 600 frano. i n . ! u n ° . T , 8 “ !ir 4 d“ de lempé- ."îtaïSfïeïK t î " ! ' 8b8i‘ de dia p»"r renv ta .T Ü a ma".d‘il 4 Ml h<™mo géné- îobrea : 8enéro,ilé .pôoiale aux gen. — C’0,t a-t-il répondu — que les sens ta.lut,!!'ne*j!UCAt8rm“ p!n' régnl?èrementque boiaît 5 fB8gent .J?mai' à la cloche de {?* « . ?nt d®lapaga D1 la Jour, ni la nuit I » E t je ne trouve pas cela si ridioule. Pour voyager gratis. bablia-fllon-. "âloiia H»»»». i *' 110 hablie-filou-ex— C / ; . " ' q°0,q.u0 temps la Compagnie de Lyon de la façon suivante : 8 boDnA,f ,i!I8nt-1ain* 18 gf r®0,1 H "’a“ barque . uno u n bUtat prl° fort poliment do lui prèio, ■on billet pour taire onrogi.tror .n. bug.go.! ta,. !n .Z 8nT Ï Ï , 8!1 a,*"t d” >• rendre .on nom au verso du billet, puis, arrivé à la Rare de des. tination, déclare qu’il a perdu son billet au revers duquel ,1 u d elllenre in.ïrit nom et ,n " “ ! ttouve celui qui porte son nom. ' Le truo réussit toujours. C flR flU lIOUE DEPARTEMENTALE nei de M. Charles Dupuy, « sera très Dro- bablsment nommé Préfet do l’Oise, en rem placement de M. Paul, mis à la retfaite! » • • ■* " ' *" 1 ' - Récompenses honorifiques accordées aux Instituteurs. Par arrêté en date du 10 juillet 1899 M 1Inspecteur d’Académie a décerné les*ré compenses suivantes : U0M,™e w» M- MM Médailles d’argent. à srsszŒ ssi^ i"a,iiu,e“r à cr ompiêg(; r Ph',ean-liapliale>’ institlll™r .ilileÏÏàV rS “ m-de‘FaUl-Beraard)’ins- .... Médailles de bronze. MM. PeUtn.'mn*ft'ei0c-aV\ ’i-nstiluteur4Bres’03' nil-Thér/bïsî '“slitnteur an Mes- Delie (Valérie), inst. à Estrées-St-Denis Lebeau (Carolus), intituteur à St-Firmin CuHhêro (C,nlleJ’ inslil“‘<i“f à Lannoy- 8ourgeois (Paul-Arthur), inst. à Tricot. Mérosse, née Justice Antonin, directrice d école maternelle, à Compiègne. ulreclr,co Lesueur, née Cadet (Eugénie), directrire d'école raalernelle à Es^ennoy. ülrectrlce CramoisymanD ^FloreQline)* institutrice à MM Ment'ons honorables. .enLr i ii Z & - L0UU-lUCi6" ) ’ La Undelle< :'l';IUlle'Armand)’ lns,lmi8»r 4 Chnmbly?1^ 6 (E“ il8-EueÈn8). instituteur à i * c S ï S î ü f f S ï 5 ? - " tart!>- 4 nouvellesjilitaires Les examens poue Soint-Cyr. Les examens oraux pour l’admission à Saint-Cyr auront lieu aux dates suivantes menls • con als inscrits é88» les déparle- Pnris (candidats inscrits dans les déparie- ments), 24 juillet; La Flèche, iî août; Nantes, 16 août; Bordeaux, 21 aotll; Tou louse, 26 août; Marseille, I” septembre; Lyon, 6 septembre ; Besançon, 12 septembre ' Nancy, 46 septembre. F-uune, 15fflSF T Po!'q™ériçou(rîl"rie' Ars6ne)’ in8lUute" r 4 Tincour“iS‘n (i(aymond)’ Intituteur à Che- FlOTrm°s.r0UlS (Ll!o'1- Charl88). instituteur à Brnpvin (Eugène Emile), instituteur à m! .? C ^ ar8ISS8-Bugues), inst. à Suzoy. le-Temple P^ ’ inslilut8ur4 Lvry- Leï™ E .& le8'AU,US!e)' i",tit“teur 4 St- M"’’ LieUurillëtrs('L0,li‘e' EUBénie:)’ ln8lillllrl88 4 | PioBrrefondds.(Mar‘6' JOSéphi“8)’ instilulr>c8 4 .t nïïi*. ! l'.voyon3 aax dévoués instituteurs et institutrices, nos plus sincères compli- men! méritée* rteomp0ns0 1u'ils 8“1 juste- Les pédicures de régiment. t» S îî i! no''ati8“ pratique et originale a été introduite par le gouvernement de la reine Victoria dans 1 infanterie britannique. S inspirant do cet axiome qu'un fantassin ïw ™ MÜ“ei par s!s pieds' nos voisias d oulre-Manche se préoccupent à juste titre des pieds de leurs soldats. Ne voulant rien laisser au hasard et con naissant la négligence et, parfois, la rou blardise du troupier, ils ont réglementé Ihygiène du pied; ils ont créé ün corps nouveau, le corps des pédicures d'infanterie Onze sous-officiers ayant suivi les cours dinstruction spécialo institués nu camp d Aldeshot, ont reçu le brevet de pédicure (chtropedist) do bataillon. Et, pour encourager les arls, les six ore- ü IS i ? reveté,s r8c8vr°nt uno gratilicalion spéciale pour leur entréo en fonctions. Banquet. ..J 1! Roquet annuel de l’Association des conducteurs et commis des Ponts et Chaus- sees île 1Oise a eu lieu dimanche dernier, & midi, à Beauvais, on l’hôtel d’Angleterre. Cette réunion ôtait présidée par M. De- bauve, ingénieur en chef, assisté de MM. Decker, ingénieur ordinaire de Beauvais, et Caldaguès, ingénieur à Clermont. Les convives, au nombre de trente-cinq, très heureux de se revoir, ont fort apprécié fortC01ü^ OSlllOI1S gas^rODOm,9 ues de M. D u- . Au dessort, deux toasts ont été portés : a *4. e.Prem'ep»,par M. Legendre, conducteur à Méru, président de l’Association, qui. après| avoir remercié MM. Debauve, Becker et Caldaguès d avoir accepté l’invitation de 1Association, a montré quec’était par l’union que 1 on parvenait à obtenir des réformes et des améliorations. Le second toast a été porté par M. De bauve, qui a de nouveau affirmé qu’il por- ait un grand intérêt à l’Association, dont il appuierait les revendications. . FEUILLETON CHEZ LES TA REES — ÉTUDES SUR NATURE — Traduit de l'anglais PAR % Lodib DESPRÉAUX \ MA BELLE-MÈRE VI (suite). sonn«Anill^émeDl.,. C08t un droit que per- qia-t eïlft !ÜUS dl,Putera chex vous, répli- Pliqué par cSsmSta,ant 8“r ’arCa‘mo ,m' a o u l o 'm 'l , ! ’! r i ;if C3 Pourtant le mettre en de mé narii? ! vousa?ez une manière Plus lonetamn. q?B "? C0n,Pt8 pas l8l6l'8>’ ~ le 8n,s 16 “ allr8 cl|ez moi, 81 j’entends nntae! “ClM eld6 m esParol88: I rapeciée. 1 laT“ i r 11111 lib8r14 >oit Ifànds'veni’1hta.T8UTe 8e.l! il 4 ,r<lllir’ ,88 L uaB yeux bleus se mouillèrent de larmes elle se leva et quitta la table. J’avais presque înnrn î® Amai ^Qretô» Ql j’aurais volontiers couru après la pauvre femme pour lui en Î!ü ! ni, ipa ? “ '■ *lai* J8 sentais que tout notre bonheur était eu jeu, et je ne bougeai M.'h!!L™ lxPas d'8xPlicali0118“r l'incidept. Ma belle-mère continua d’aller et dé venir dans la maison, calme et digne, comme tou- jours. Une sotte m'aurait boudé et aurait J ? ''r„,i®8 J 0“rs on des semaines refusé de me répondre. Mais mistress Pinkerton n’était ZC 'slï d6" 8 8’4lQdia ■ visiblement à me parler avec douceur et à ne plus m'offenser Encore une fois elle capitulait. C’était ma victoire numéro deux. La troi sième se produisit un dimanche de juin. reM W il-m M i’ D68m8n<l 8188 nièce à pas- îîm am l 3âm “ons ; puis j’avais fait la mémo démarche auprès de Fred Marston 81 d8 84 Lemme, dans le but spécial d’atnr- semblait '°'r moi qui 1,011 me Mistress Pinkerton était allée seule à 1 église. Quand elle revint au logis, nos hétes venaient d y arriver et se promenaient sur la pelouse, devant la maison. Ma belle-mère planta son lorgnon sur son nez, en m iran t à la grille, inspecta ta compagnie et ne dis simula pas sa désapprobation. Pourtant elle salua M. Desmonï, mais feignit de ni pa! voir-les Marston, quoiqu’ils lui crevassint les yeux, et se dirigea pontfffcalement vers lêlFe°condulte? 0 4m8 fal choqué d’une By Jove I me dit-il &deml-volx, 11 fau dra que je parle on peu sec & ma mère : elle toi K » W conda,re «insi avec «*7*1 î aissoz,’, ,ai880z» lai répondis-je. C’est précisément 1 occasion que j’attendais... nàïout en- aimanl tendrement sa mère, George avait assez d’osprit pour se mettre à ma place ; il comprit tout et m’approuva oiua ,soa^l^e• De ce moment, je l’eus pour allié dans mon œuvre d’émancipation. Pinboü ^ beure du diner arriva, mistress Pinkerton fut naturellement obligée de re- paraitre. Elle n’était pas capable de pousser 1 incivilité jusqu au bôut, en refusant de s asseoir à la môme table que mes amis. «^ua.oacgiuiousieureimistresi Marston f lui dis-je en manière de présen tation, quand elle entra. elle" 168 r6connal8 forl bien» répliqua-t- « Trop bien, » disait ce ton. Ce fut tout, fi h? 8® i? 01 avait ?uffl à j0ter u“ froid sur ie ainer. c est en vain que je fis mes efforts E2ïfJsame?,er un R0Q de «aielé da°8 h con versation. Un sentiment de gône et de tris- a?088λ 8^r ,ous me8 convives. Seul, peut-être, M. Desmond n’en avait pas subi ! * ï ï ü ei1e0 et 80 “ onlrait précisément le w T f/i ho{mi?e *1“ à l’ordinaire, - - ni plus bavard, ni plus silencieux. PeiS? Parli8. j'abordai la ques- Üi»? ^ » décidé & ne pas permettre Pinkortcn. 8 l0n d“ si,onco 4 Dli8lress p a r é t 'é '^ 1! ! , ?!8 8,a^ prba .,„ ïï'8é.a,ü ourd'hui’ iBi d»-j8 «n »•«;■ t ~ 11 8,1 ,r?'. rnonsionr, répondit-elle en appuyant sur le < monsieur », Je n’admets !aMtton J10."118 4 dinar le dimanche, et . ,* 8*P4r4 ff88 Ton* me diapenieriez en wnt temps de rencontrer ces Santon... I Im e x c ,u .se r0 z ' madame, mais je vhéAt i •6 800 J"«° du choix do mes in- ceveta v !J0Ur °Ù 11 mo conïi8nt de les re- jc pense r n0 m° conl8sloz Pas 11108 droit, i.^ i.As5ur4m8.nt non' monsieur. Jo ne l’ai mot À c 08” !8 ’ 01 i° “'aurais pas dit un premier! " T0I1S n8 m e“ 4Tioz parl416 tl»m«'82 a!„«falt de proPos délibéré, ma- dnns lô a!, T ! 5“ J ai Inrhé mes amis dans le but exprès d affirmer mon droit. Je dois vous déclarer que je vous serai obligé nn«la8™! rede nnegrâco, et de ne X! Irènl1™er mcilçment par votre manière de traiter mes convives... J’étais surpris de ma propre énergie. Je Plnb«!i!c0re p « la r4PonS8 de mistress «t îïm ’x.Pt'îîë1 '40 d “ne voix tromblanto et comme étouffée par l’émotion : 00 8ait.fioe jo n’ai jamais songé à I Àtîï» ® iren nen”’ Le bonheurdem.i fille mS!fLUï ,qYepen8ée de ma vi0p 01 désor- mais ce bonheur est inséparable du vôtre... on ne* a’!n0ÀztI1n8 ldées 01 mes llabitudes, — on ne s en défait pas en un jour. mais in “es vm™flT ur rie“ au. mondo .Contrarier. anta a Pourtant je sens que je vous les sacrifice *! .m° ,U‘ 80‘8 prél8 4 ,air0 ,ou9 ainiC irelD«écl?ta ?n,,larmes et 80 m itàsan- tant! * 60 que ^® n en fl88e au~ touTàNM 8 pl,U8rde t0?1 cela»lul dis-je nous nJ™ J? J1 ? 811,8 c°nvaincu que nous nous entendrons le mieux du monde, | wplïcaUon ^ 11008 aV0D8 ®“ C6,t®p$tite / ^^K ipèroni-le. flt-elle en rapranant son j Et nous restâmes silencieux. Le fut ma troisième et dernière victoire. JinnifafinUral 8 d".®1!110j ’eus fort à m’on louer. ü.?/1. ] ' 11 osl vrai>88 trouva dès lors au .î8col|d plan ; mais sa retraite sal! «i K ' ““ .d88'! s' profond, que jè no S S t l J! “ a.urnls pas encore préféré uno révolte chronique. Il n’avait jamais été dans ün,™ ?r ! “Ganser ou de l'annihiler ab- ’ nia'-5.11 élal1 manifeste qu'elle so croyait tyrannisée, et elle mettait désormais un tel soin à s effacer en toute occasion, que celle affectation devenait aussi intolérable que sa première manière. Uno belle-mère. dompté0, est toujours une belle- Ü ? mélancolique et inconsolée se projeta t de plus en plus sur le clair so- leu de notre vie conjugale. VII . ar ^ ^ î 70118 remarqué comme le carac- 1 (10 george a changé depuis quelque temps ? me demanda un jour Bessie. Je ne sais vraiment pas ce qu’il a ; mais c’est à ne plus le reconnaître. nràànÜ? croi8 quo j,0 m’on doul0» dis-je, en prenant un air profond. Vraiment ? Dites-le moi donc, je vous „ - b^en' ma ebôre, vous rappelez-vous ^ lrW ar«°“ 9.u,(5tait devenu un certain Charlie Travers, il n’y a pas bien longtemps, quand il se mit A apporter régulièrement ses nommages à une Jeune personne de vos amies f # — Char lie. roalex-rous dire... — Je ne dit rien /.,, notes bien oe point... Je n’ai garde de prononcer un non, et je ne voudrais pas qu’il se doutât de mes supposi tions... M.us enlm, je n’ai pas les yeux à ia poche et je mo llstte de coSnailro les syrnp: tônies de cette maladie-!à... Sur cet oracle, je parlis pour ma banane laissant Bessie broder tout à son aise sur lé thème que je livrais à ses méditations Le soir, George arriva après souper, et me trouva fumant au jardin, i--^ 04 di“h|? “fez-vous passé la journée f lui demandai-je machinalement. — C’est mon affaire, me répendit-il d’un ton qui me donna l’éveil. — Et comment se porto miss Vaar re- pris-je malicieusement. •— Est-ce que je sais ?... — Allons, Goorgo, co rôle do petit Ma chiavel ne vous vu pas. si vous vous rejetiez sut la rude Irancluso du soldat ot me disiez tout simplement où vous ôtes allé I y°us m8 Pranez pour un autre, mou cher. Je ne suis pas votre bébé. Vous trou- ÀiJierZiC0JOU° 0 llomi“ 8 là-haut, en train de distraire sa mnmnn Un vagissement sonore comme un aDDel A?nn«a,S . 8e1nvolanl .au môme instant dune fenêtre du premier étage, montra comment Charlie junior s’y prenait Z î distraire sa maman. ^ gerde^siijot16c^enl^ ° ^ rePrj*"icpourchan- — Pas l’ombre d’un client r SI feulement quelqu un de ces mécréants de docteurs pouvait se décider A avaler «es propres m- mAlima I r o nmltuslm. ... Il . . 1.5 tâjÙiÿsiSfef'* , n y a dans votre ton uneamer- tpmo évidente contre ta société. J'ose affirme. a ssise

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Page 1: Année. IV0 S9. Paraissant le Dimanche et le Jeudi ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_07_23_MRC.pdfParaissant le Dimanche et le Jeudi. a b o n n e m e n t s ï r * S

70’ Année. — IV0 S9.Paraissant le Dimanche et le Jeudi.

a b o n n e m e n t s

ï r * S L « ’t S O ’ „ * £ L *Un a n . . , . . 12 fr. U fr .SI» moU... 6 fr. 6 fr . 8 fr ‘Trots mois. 3 fr. 3 50 4 b

ON S'ABONNE :A Seuils, aux bureaux du Journal, 9 al J1 place do

l'Hélel-do-Vilto, cher lous les libraires du département el dans tous los bureaux de posle de Franco et d'Algérie!

L'abonnement ost payable d'avance. Il n'est Jamais interrompu et est considéré comme renouvelé, lorsqu'à respiration on ne donne pas contre-ordre.

DE SENLC O U R R I E R D E L ’0 £ S E

Dimanche So Juillet 1899.

b u r e a u xRédaction et Administration

0 et 11, place de l'Hdtel-de-Ville, à Senlls.

U SR" " ! riMan> Vûnr P"W*r dansla n o n iim m tn t 1rs Rissuvio.vs tuoictamiis.

PRIX DES INSERTIONS :Annonces : la ligne, o.SO c. Réclames : la ligne, 0,40c,

lails divers : la ligne, 0,50 c.On u accepto pas d’insertion au-dessous do 1 fr.

L es an n o n ces,, 1 01003. " i r r n n t o f - j : 1

dSuSS ÎÎl S°m rt ' UCS <li,'cc"," 'c'm “uz h"™»8*

BULLETINS t n l i t , 22 J u il le t .

S’il b u t en o ro ire une note d u M a tin , € des instructions supplém entaires très précises, rela tives à la procédure à suivre devant le conseil de g u e rre » se ra ien t su r le point d’ê tre adressées au com m issaire du gouvernem ent. L e M a tin a jou te que ces in structions se ra ien t rendues pu­bliques, mais la chose p a ra ît bien inv rai­semblable, ca r si le gouvernem ent cherche à peser d u n e façon quelconque su r la lib erté du conseil de g u e rre , il est peu probable que lu i-m êm e découvre ainsi son jeu .

P a r a illeu rs, i l fau t signa ler une le ttre du général Gonse au M a tin dém entant catégoriquem ent le réc it du com m andant Esterhazy , en ce qui concerne le rôle a ttribué , dans ce réc it, au général de Boisdeffre e t au généra l Gonse. Notons encore une le t tre du g énéral de Galliffet pa r laquelle in te rd ic tio n est faite À tous officiers de se tro u v e r à Rennes d u ran t le ooura du procès, s’ils n ’y sont appelés, comme tém oins, p a r oe procès lui-m êm e!

Un nouvel incident su rg it dans la que­relle survenue en tre les divers groupes socialistes. C est la rédaction d’un m ani­feste par lequel les adversaires des poli­ticiens du parti ouvrie r français guesdiste. du parti socialiste révo lu tionnaire alem a- niste et de 1 a lliance com m uniste révo lu ­tionnaire (il para it oue ces divers groupes se distinguent p a r des nuances capitales), déclarent accepter la réun ion d’ûn congrès général du p a rti, proposée p a r M. Jau rès pour a rb itre r leu rs différends. Au sen ti­ment des signataires le congrès se ra it appelé uniquem ent & se prononcer eu r la chasse aux portefeu illes, su bstitué à la lu tte de classes. S en tan t le danger au ’ilcourrait en ce cas, avec MM. M illerand,

a u t™ politiciens, M. Jau rès a déclaré dans la P e t i te R é p u b liq u e que 1 œuvre du congrès do it ê tre p lénière e t, dans la rechercha m oyono do rendre 1 unité au p a rti, n e doit ê tre lim itée p a r non. Cela fa it p rév o ir des débats de quel- que animation e t de quelque étendue surtout si, selon les p r i L Æ f f i ï , ’membres r4 u n lr 800 à 1.000

. M ais. veut-on savoir quelle raison l’on invoque pour préd ire que M. Cham ber­lain ne parv iendra pas à triom pher des résistances de ses collègues moins belli­queux que lu i ? Le M a tin d it : < L ’opi­nion a été très frappée des récen ts p o u r­parle rs qui ont été engagés en tre les cabinets de P a r is e t de B erlin . On est . p p f f i ,u e . la p oé tique du secréta ire , W at des colonies, s i e lle prévalait dans le gouvernem ent de sa M ajesté, au ra it pour effet de rapprocher les E ta ts conti­nen taux , dont les divisions o n t é té , de­puis tre n te ans, si favorables à la G rande-

reiagne, en vue de g aran ties communes contre les em piètem ents anglais. Ces in­form ations trè s certa ines ont p roduit une vive im pression dans les m ilieux poli­tiques de L ondres. • Si nous m ettons en re lie f ces ind ications, c’est moins pour m ontrer leu r conform ité avec les pronos­tics déjà anciens du J o u r n a l de S e n tis que pour écla ire r la relig ion du lec teu r s u r 1 o rientation nouvelle où en tre forcé­m ent la politique ex térieu re de la Franoe,

trav e rs ces tro is étapes successives : a lliance fran co -ru sse , en ten te franco- russo-allem ande, union des puissances continentales co n tre l’A ng leterre . Les exactions e t les insolences d’A lbion de­vaient conduire fata lem en t à une ligue européenne contre elle.

L S S S S p œt io n * lu S * î1 ,pubIio 8vait d«“ andé U deatito- bon de M. Groajean et eabaidiairement la peine

li* BJJ'pan,*0B pendant d e » année* ^M. Groajean a'eat défendu en peraonne.

“ bernent à M. Groajean ln peine da déplacement de aix moia.

La «uapenalon du maire d’Alger, u * • I. pp6f0otoral ««pendant pour nn moia

6,4 M ‘ «" raiaou deï ï ï ï u d t d î r * 10" da”' io

JSStt S J S T W f t Æ s u r s *■*’« " Je t de. décidons qaiP0” été pri...

jourd'bui en . 6anee ordinaire.

' î 1! I e ‘ '» .o c i.li.m e .rSnon.» 1 r “ “ “ “ «I d “ p arti ouvrier, f r .n ç . i . , eu tm v .a i .u r . . ? Ç8t- f “ 5 °“ ité d“ h fédération de . ! "»'t‘ l;.te. f r« u ç .i. , . r f .o io d . „ r0 .

d? î 0"* '4* Rén6r,i . 0. ^ . 1. n m ï ï i l K ^ j! 1 .la prtuoipe du soei.li.ma ment lîourgeoi. 4 “ d*“ un gouverne.

jnf.:uÆ a. ! t Æ , T é" daMM' a — .

Le eaa de M.,Syveton.

Les nouvelles de Belgrade m ontrent que de S a in t-P é te rsb o u rg e t de Berlin on surveille de p rès les m enées S nesques en Serbie. L a Russie e t l’A ile- m agne, auxquelles l ’Ita lie v ien t de s’ad- G . x ’ ?a t .00“ s tl t“ 4> au m oyen de leurs S » ut ’ “ ne m ani4r8 de comité de tnvnn’i JT?8tera 8“ perm anencel i t en lîn i9 5“ ° 10 déPa r t de l’e x -ro i Milan a it enlevé un p ré te x te , e t si l ’on veu t une cause, au x désordres qui ont éclaté chez es Serbes. I l res te à ob ten ir que l ’A u-

S x p a, X r 6 °om,"ête,ne,“ °° « -

informations

1 amour de a Patrie et de l’armée.

mêni nna i* adp0IB0 «Joint le montant du trait*,

que je p réte ïï. tou". fcirofoW Se* d5«e qw j !

franc! ! " 8 l0“ re él*U Joi“l ™ oh41“ 1-800

neùve^,l>l0° a ' ép0“d“ *“ «upituine de Ville-

H“ooré A“d>ttet, -député, vient de taira appel au concours de la proue en favanr d’nn» ■“ ""Pl'OU pubUque do.tino, t procurer à no! £ ' r®«onrces pécuniaires qui leur sont f & T À p?nr d^8°uverte de nouvelles mé-

d“ m“ adi“La Franoe perd ehaque année 240 000 n«r-

■onnes du fiait de ces maladies. Dan. r a t e r K S é S T O i i t î , ' t^ erCQl° ^ flguro P °np 100.000IUmÏIm* ÿ ?°.ntr® 06 mal que seraient particu-

TinÔ Iri?6e* lei recherches des savants. d . 5 * > * été ouverte et a déjà pro- f “ - . - ,!r' L“ Compagnie, de ohemini depavîbltiê'n a ,ïg‘g' m?m d“ " r ,"r 41 000 f' an“ PÈmi ™ 5a ? ’ , L“ ubemin. de fer dela pnL» déjà donné d e » annuités de 500 fr s la Compagnie de Sue*. 2.000 fr.: le Crédit WS i f ê p ï nK & d4«

“ l,a ? lu di.po.ilion de la eotnmi.- dée m ! Ï 7 S O'I'u.truçtion publique, pré.i-dôfravar là. « .u ’ “ / ‘P " 1'* P«r m .oim pou, fuilêl d!n. ù, M “ mutifique. qui «eront«nn6o!l ,a9 n0M lndl1“0Mi durant dix

Vol dan. la mai.on do M. Félix Faure•ont I!u3 |!1, d2 ï rî ,US oatubriolenr. .0 M PAiivr 1? dans les anciens bureaux de M. Félix Faure, occupés aujourd’hni nar mm H.».e et Couvert. I l^ n t T l î m ô! b m . , 1

« Mon caplUine, ' I diffôrentes’Vîïeuw ^ « î î f r f t î ^ d° ooupon• deaSn/r’ ,ld* profondément touebé de votre offre 62.000 fmne.,^ * on h°m 'm fiS ïï.” "

--. *,Je 08 "forais accepter pour moi. Mais le ver Mrai aveo joie votre don dans la oaiue de là

A Caslel-Gandolfo, une p a rlis de l’écliso s 'n .t

e " .° .1 1 ù. la * 414 S “ rtee lle a éto légorem ont rosien tie à Fiumicino.8®z ,®° d C ivila-Lavioia, que lque , mai-

BBennâaa .lé?,rd .é° l 5 à F «wcati, on a rou en ti deux secousses très violen tes; presque tou tes les mai sons e t les édifloea publics son t fortem ent lézar-

b Da.trnotion de l'hétol Beau-SIte, à A ix -le .-

m.ViS d« -U n . iuten.ee a-éetatb mardi§4 én {àVUedé'S. m ‘"‘ B",U-Sile' 1",a

A deux heures, le feu durait encore.mannna "ji’8* ®U d’aC8ident" d8 personnes. Le

da pompes a empêché l’organisation SwmiSîîii "ocours. Heureusement, un orage

D nu m ai ?- ’ et Ia p,uiB a inondé 10 foyer.At . 0 r *,ira1,y‘» u#* ont pu elre emportés sains

1.eJ i outen?nt d0 dragons de Nalôohe. d.Albion a immédiatement organisé un parfait sorvice de secours. 1 “

Le téléphone A l’Exposition do 1ÜOO. t« F m « ^ n rn a i .°fficiel va publier un décret aux a u x n ô a t K l é V " * * da I.’a b°nn0m e n t applicable d« -r P 0’niqne* à é tab lir dan" 1 enceinte « a i i S i ’,0n n.n,T0r"0lle de P aris , en 1900, sera d«n « i n ? rf " franoi‘ par a n - L a duréedes con tra ts sera fixée par a rrê té m inistériel.

v r é à ’tonfe « Un° U x ® da 20 frano*' il »0ra d«H- S rtA d t t f f,0Dne qD,L.en fora la d0rnande une carte d admission aux cabines publiques installéesfélénfc enO0inte. de l ’Exposition e t pe rm e ttan t de n t . io D8M’graî n itf m en t âVCC tou" l0" abonnés e t postes publics du réseau de Paris. C ette carto sera valable du 1 « décem bre 1899 au ^ “ ô .em bre

Une grande m anifesta tion , en l ’ho n ­neur du m arquis de M orés, a eu lieu m ercredi so ir, dans la salle du G rand- Occident, ru e de C habrol, sous la p rés i­dence de M. Edouard D rum ont. Les in ­vitations avaient é té faites p a r M. Ju les Guérin, président de la L igue antisém ite e t fondateur dn G rand-O ccident. Un m il­lier de personnes y ava ien t répondu. Après un discours de M. D rum ont, on a successivement entendu. MM. F irm in î a.“ir i j MdleTOy<>) L ionne, G ervaise, dé- S ï Nr?n0J' ’ e t D elpech-Cantaloup, député du G ers, qu i o n t é té applaudis.

„ * ? n f '° n î re 'i “ “ ‘^ g r a p h i e que, d ’après une dépêcha de B erlin , les jo u rn a u x an-5 ÏÏ? que A llem agne a u ra itproposé à la F rance e t à la R ussie une action commune pour déoider l’A ng le­terre à accepter l ’a rb itrag e av an t de dé­clarer la gu erre au Transvaal. La m ani-

été nt!o".orfU a,U 6 x e Bur8 °n au ra it donc été une sorte d e p réparation à cet explo itde politique in te rnationale . Sans nous prononcer su r la nouvelle, qu i nous pa- r a t encore su je tte à c a u tio n , nous ferons observer qu’eUe coïncide avec S ’ T 1 su rvenu en A n g le te rre au su et du Transvaal. L ’A ngle te rre a im e­rait m ieux, évidem m ent, u n règ lem ent de comptes personnel avec leVpréBident Kruger, qu’un a rb itrag e dont elle a r é - cemment e t ité rativem ent refusé le béné- flce au Transvaal. R ien n e se ra it plus

c u S & c Æ L r H ,aym P r0gram m ,lda 18

Le nouveau nonoe A Paris.

P»pe A Pans, qui lui a remis ses lettres de oréanoe.

Lesagrieulteurs de France.I lé» uiuhini ub i Agncunure, m. jumu uupu*.I dé.IS«*‘i0“ d» S o c ié t é des Agrloul-

teun, qui lui u domaodé de ne eouolure aucun .rr.cg .rn .ni e ,„ i „ Et.U-Dni. .veut de cou. ■aller leu représentent, de l’Agriculture.

I d . ta dMé l g 0; ,Pr°-a i,d * t , "?r “ “ P*8 d ,‘

Le Conseil supérieur de l’instruetion publique. -J t: jLeygues a présidé dans la matinée de mer-

i ï r . ‘£ ; X . " “ d0 C0Meil ‘npWe" ' dad '« !m l° ™ £ .* K ” 4. 1** com®i“ lon.chargée à dtaTrtî. dlffa' 6nt0‘ que.tion. qu’U ve .voir

Un nouveau musée.. îîi.m érI"i.B*°di“’ uduirtre de. Irevaux public»,

d “

pentanfîe eiège,’00 * d" tm m “

Le procès Drevfus.V™ *01* dtlAaencâ Bavas annonce que les

DÂ d?, ‘in00a an commissaire du gouver­nement près le conseil de guerre de Rennes et non5 hni85 .nn J?°.rnalIdB “ "Im M t allusion, ont E n S i î r t t T n ' poinU ,up If "quoi", enporter m réqui.dUon.. ar dolT,n'

Quant à ceux sur lesquels l’autorité delà choseet8dïnnIlff/mHetpM ’i peine d’e ,c i* de P00p»ip

’ * Axavrir ttù d6b*L le" «onditions £ dûivent déterminer l’application des té-

w  raquête du ministère publio.

; r . r . " ; s . " . ”gouvernement. ’^ 4 «8" d • « Ini..Se eu

Le cas de M. Grosjean..nn«ri.Cn°r“l f . ‘' J ll‘‘,.ti0.“’ “ « “ ‘«ée .U OOU.ell■upeneur de la magistrature, vient de statuer sur

Enquête contre un officier.- ordrfl da général de QalliffAt, ministre dn

Idn -î0? un0 ,D *“ ation est ouverte sur le cas l du oapitune Guyot de Villeneuve.

Toujours les espions.I faire d«“lÿ .d? N^ f a Petit Jo“™al quel'af-

J ï S R t f i t ' S S S ' ,roi’ “ u L ' 9' Td»

Encouragement à la sobriété.In. ï “a Pü°prié,tairA0 do ,a Chaux-de-Fonds a fait 1“" ™ .daDS lea locales une annonce ainsi

La mission Marchand.M a re Æ é™ Y80'^ 11 a écrit aQ commandant ^ 5 5 demander la remise au muséede l armée du drapeau de la mission Conjo N®

h 'o rd o '. 'r jb c ta '” "“'urcUcSonrdc i '.u to rî.,:En même temps, des démarohes ont été faites

SÂ lu* i f Wé 6“efr8' don* dépond le musée de 1 armée, et;aux ministères de la marine et des S .n d I* dépendent le commandapt Mar- S a ï aa 18 mu' 10n' ponp obtenir l’autorisaUon de dépôt, au musée de l’armée, de ces deux sou­venirs qui seront portés aux Invalides.

La situation électorale au Transvaal

! u 2* S f qM 09,8 °°"“ Um no «r“ d f *■Nonyeue __

l\ De. utsc/ ie Z u c h e r in d u s tr ie : un mande de Londres qu’une députation dns

Î S S T S t f f ShMnbr5, a,d0mandé une au- annrS d i s »1,0bury pour le prier d’insister auprès du gouvernement afin que oe dernier v i îX î î nouvelles mesures dans le but de pro.ÏS1™ i b î S ï ï ï ï . °°”veU9 “ “fér“ M n -

Le commandant Marchand. inÜ ! 0mm8nd8?t Marchand a eu, meroredi, une S ,0?” ? 110? ! * 0 le contre-amiral Gaillard, chef d’état-major général de manne. ’

s . i ^ Ur, d# ^ tte conversation qui a porté sur 1- qu0, t|ons de service, le commandant aJ a j s m ï Æ r ï s m L i :

n s s a s s i f i maihta d«Le très grand désir du commandant est de

tontoa°âôrt«M * 5 >igtie*’ loin dea â8't*tions dedn T 80 “ °“ ent oû il reprendraS *xr0glm8nt d ,nfant0rio de marine,térieüe p8r un® réo0nt0 èôoision minis-

L’esoadre française à Barcelone.n . Jtaiip! g«M f u bâtl'menU français ont donné aux Barceloniis le spectacle d’un combat naval

S ” ®*0rl 08aco?C0pjant l’extinction des incen- dies ont été particulièrement remarqués.- .u xr hior ,oip anz «arins fran--9»1., à 1 Hôt.l-do-vaie, e été trè. brillente.ta f “ “c! I ° ° ' 4 “ “on> d« I « Vive

.v«P,«mL“ !,i,!tam.io‘. ï ,8™d”i' ' *U P°r‘b“.'lde, d" oenteine. d. me-

S.Ï™ » P*,Maru lM rae. eveo d » dre. peeax frenoen, poausat d e .c r i.d e : « Vive tanârutlla ™ P“bli,° ' 1 * “

La police a dispersé les manifestants.

L'héritier du Tzsr.AritehiiS n?va0m.b^/5 décembre 1878, au palais MiS£5 Saint-Petersbourg. le grand-duo

i 51. À ’ aacoe"<0np comme tzarevitoh du grand- d" " 0“°/8«* d«P‘ I* vie n’e été nu'u» long8T e ,. ê S i , l pr° î ^ “ aiaup 10 l8 m0i dernier,

i f chap0l|o du grand palais du Tzarkoié- I fniaî p.romB au grade d’aide camp du Tzar,

après avoir prêté serment de fidélité.é i.îifQ»C8ura? V4* ,ôriaux' fort apte aux & S i f S .mqUM' ® grand-dno Michel a terminé sSLt W & k "0“ ,tf ge à 1 Ec°l0 d’Artillerie de u M. urg dont il fut un des élèves les pin. briltant. et ta. plu» diaeiplinéa, .ubiaient ta règlement .évére de l’Eoole, . . . , ’deZ nd!. tam m !™ !. î* " ' ’ ex*™l,n t *“ m8me titre qne . . .“ . . ! ! t™™:.mî r0h" rtoontremerche., m’.nœ T vres et travaux.de campagne.en tV .°î.U5.1 f t l S r f e J 1 . W ■“ !«* sntnm en

fait une spécialité.

Tremblement de terre en Italie. aw V lif . » A i® tra“ blement do terre ! îï i in a ïf 8U à1Rom0- Jusqu’à présent, on

z P œ u i ï s f à s s z s b

étaendommegéea, met. on ne .ignele enenne vie-

« A louer d e . logem en t, de 400 i 600 frano .

i n . ! u n ° . T , 8 “ ! ir 4 d “ de lem pé-. " î t a ï S f ï e ï K t î " ! ' 8b8i‘ de dia p»"rrenv t a . T Ü a m a".d‘i l 4 M l h<™ mo géné- îob rea : “ 8 en é ro ,ilé .pôoiale aux g e n .

— C’0 ,t a - t - i l répondu — q ue les sens

t a . l u t , ! ! 'n e * j ! UCAt8 rm “ p!n' r égn l?èrem entque b o ia î t 5 f B8gent .J?m ai' à la cloche de

{?* «. ? n t d®lapaga D1 la Jo u r, ni la nu it I »E t je ne trouve pas cela si ridioule.

P o u r voyager gratis.

bablia-fllon-."âloiia H»»»». i *' 110 hablie-filou-ex—C / ; . " ' q°0,q.u0 temps la Compagnie de Lyon de la façon suivante : 8boDnA,f,i!I8nt-1ain* 18 gf r® 0,1 H "’a“ barque . uno u n bUtat prl° fort poliment do lui prèio,■on billet pour taire onrogi.tror .n . bug.go.! ta,.!n . Z 8nT Ï Ï , 8! 1 a ,*"t d” >• rendre .on nom au verso du billet, puis, arrivé à la Rare de des. tination, déclare qu’il a perdu son billet au revers duquel ,1 u d elllenre in.ïrit nom et , n " “ ! ttouve celui qui porte son nom. ' ’ ’ •

Le truo réussit toujours.

CflRflUlIOUE DEPARTEMENTALE

nei de M. Charles Dupuy, « sera très Dro- bablsment nommé Préfet do l ’Oise, en rem­placement de M. Paul, mis à la retfaite! »

• • ■* " ' * " 1 ' - R é c o m p e n s e s h o n o r i f i q u e s

a c c o r d é e s a u x I n s t i t u t e u r s .Par arrêté en date du 10 juillet 1899 M

1 Inspecteur d’Académie a décerné les*ré­compenses suivantes : U0M,™e w» M -

MM Médailles d ’argent.

à s r s s z Œ s s i ^ i"a,iiu,e“rà c rompiêg(; r Ph' ,e a n -liapliale>’ institlll™r

. i l i l e Ï Ï à V r S “ m -de‘ FaUl-Beraard) ’ ins-. . . . Médailles de bronze.MM.

PeUtn.'mn*ft'ei0 c -aV\ ’ i-nstiluteur4Bres’03' nil-Thér/bïsî ' “ slitnteur an Mes-

Delie (Valérie), inst. à Estrées-St-Denis Lebeau (Carolus), intituteur à St-Firmin

CuHhêro (C ,nlleJ’ inslil“ ‘<i“ f à Lannoy-

8ourgeois (Paul-Arthur), inst. à Tricot.

Mérosse, née Justice Antonin, directrice d école maternelle, à Compiègne. ulreclr,co

Lesueur, née Cadet (Eugénie), directrire d'école raalernelle à E s^ennoy . ülrectrlceCramoisymanD ^FloreQline)* institutrice à

MM Ment'ons honorables.

.enLr i ii Z & - L0UU-lUCi6" ) ’

La U ndelle<:'l ';IUlle' Armand)’ lns,lmi8»r 4

Chnmbly?1 6 (E“ il8- EueÈn8). instituteur à

i * c S ï S î ü f f S ï 5 ? - " ta r t!>- 4

nouvellesjilitairesL es exam ens poue Soint-Cyr.Les examens oraux pour l’admission à

Saint-Cyr auront lieu aux dates suivantes menls • con als inscrits é 88» les déparle-

Pnris (candidats inscrits dans les déparie- ments), 24 juillet; La Flèche, i î août; Nantes, 16 août; Bordeaux, 21 aotll; Tou­louse, 26 août; Marseille, I” septembre; Lyon, 6 septembre ; Besançon, 12 septembre ' Nancy, 46 septembre. F -u u n e ,

15fflSF TPo!'q™ériçou(rîl "r ie ' Ars6ne)’ in8lUute" r 4

Tincour“iS‘n (i(aymond) ’ Intituteur à Che-

FlOTrm°s.r0UlS (Ll!o'1- Charl88). instituteur à B rnpvin (Eugène Emile), instituteur à m! . ? C ^ ar8ISS8-Bugues), inst. à Suzoy.

le-Temple P^ ’ inslilut8ur4 Lvry-

L e ï ™ E . & le8'AU,US!e)' i" , t i t“ teur 4 St-M"’’

LieUurillëtrs('L0,li‘e' EUBénie:)’ ln8lillllrl88 4

| PioBrrefondds.(Mar‘6' JOSéphi“8)’ instilulr>c8 4

. t nïïi*. ! l'.voyon3 aax dévoués instituteurs et institutrices, nos plus sincères compli-

men! méritée* rteom p0ns0 1 u 'ils 8“ 1 juste-

L e s péd icures de régim ent.t » S î î i! no''ati8“ pratique et originale a été introduite par le gouvernement de la reine Victoria dans 1 infanterie britannique.

S inspirant do cet axiome qu'un fantassinï w ™ MÜ“ei par s! s pieds' nos voisias d oulre-Manche se préoccupent à juste titre des pieds de leurs soldats.

Ne voulant rien laisser au hasard et con­naissant la négligence et, parfois, la rou­blardise du troupier, ils ont réglementé Ihygiène du pied; ils ont créé ün corps nouveau, le corps des pédicures d'infanterie

Onze sous-officiers ayant suivi les cours dinstruction spécialo institués nu camp d Aldeshot, ont reçu le brevet de pédicure (chtropedist) do bataillon.

Et, pour encourager les arls, les six ore- ü IS i ? reveté,s r8c8vr°nt uno gratilicalion spéciale pour leur entréo en fonctions.

B a n q u e t.. . J 1! R oquet annuel de l’Association des conducteurs et commis des Ponts et Chaus- sees île 1 Oise a eu lieu dimanche dernier, & midi, à Beauvais, on l’hôtel d’Angleterre.

Cette réunion ôtait présidée par M. De- bauve, ingénieur en chef, assisté de MM. Decker, ingénieur ordinaire de Beauvais, et Caldaguès, ingénieur à Clermont.

Les convives, au nombre de trente-cinq, très heureux de se revoir, ont fort apprécié fortC01ü OSlllOI1S gas rODOm,9ues de M. Du- . Au dessort, deux toasts ont été portés :

a *4.e.Prem'ep»,par M. Legendre, conducteur à Méru, président de l’Association, qui. après| avoir remercié MM. Debauve, Becker et Caldaguès d avoir accepté l’invitation de 1 Association, a montré quec’était par l’union que 1 on parvenait à obtenir des réformes et des améliorations.

Le second toast a été porté par M. De­bauve, qui a de nouveau affirmé qu’il por- ait un grand intérêt à l’Association, dont

il appuierait les revendications.

. FEUILLETON

CHEZ LES TAREES— ÉTUDES SUR NATURE —

Traduit de l'anglais

PAR%

L o d ib DESPRÉAUX

\M A B E L L E - M È R E

VI (suite).

sonn«An ill^émeDl.,. C08t un d ro it que per- q ia -t eïlft !ÜUS d l,Pu tera chex vous, rép li- Pliqué par cSsmSta, a n t 8“ r ’arCa‘mo ,m ' a o u lo 'm 'l ,! ’! r i;if C3 Pourtant le m ettre en de mé na r ii? ! vousa?ez une m anière Plus lonetamn. q?B " ? C0n,Pt8 pas l8l6l'8>’ ~ le 8n,s 16 “ allr8 cl|ez moi,81 j ’entends nntae! “ C lM e ld 6 m e s Paro l88:

I rapeciée . 1 la T “ i r 11111 lib8r14 >oit

Ifànds'veni’1 hta.T8UTe 8e.l! il 4 ,r<lllir’ ,88 L uaB yeux bleus se mouillèrent de larmes

elle se leva et quitta la table. J ’avais presqueî n n r n î® Amai ^ Qretô» Ql j ’aurais volontiers couru après la pauvre femme pour lui enÎ ! ü ! ni, ipa ? “ '■ *lai* J8 sentais que tout notre bonheur était eu jeu , et je ne bougeai

M .'h!!L ™ lxPas d '8xPlicali0118“r l'incidept. Ma belle-mère continua d ’aller et dé venir dans la maison, calme e t digne, comme tou- jours. Une sotte m 'aurait boudé et aurait J ? ''r„,i®8J 0“ rs on des semaines refusé de me répondre. Mais mistress Pinkerton n ’étaitZ C ' s l ï d6" 8 8’4lQdia ■ visiblement à me parler avec douceur e t à ne plus m'offenser Encore une fois elle capitulait.

C’était ma victoire numéro deux. La troi­sième se produisit un dimanche de juin.re M W il-m M i’ D68m8n<l 8188 nièce à pas- î îm a m l 3âm “ ons ; puis j ’avais fait la mémo démarche auprès de Fred Marston 81 d8 84 Lemme, dans le but spécial d ’atnr-

semblait ' ° ' r moi qui 1,011 meMistress Pinkerton était allée seule à

1 église. Quand elle revint au logis, nos hétes venaient d y arriver et se promenaient sur la pelouse, devant la maison. Ma belle-mère planta son lorgnon sur son nez, en m i r a n t à la grille, inspecta ta compagnie et ne dis­simula pas sa désapprobation. Pourtant elle salua M. Desmonï, mais feignit de n i pa! voir-les Marston, quoiqu’ils lui crevassint les yeux, et se dirigea pontfffcalement verslêlFe°condulte? 0 4m8 fal choqué d ’une

— By Jove I me dit-il & deml-volx, 11 fau­dra que je parle on peu sec & ma m ère : elle

t o i K » W conda,re «insi avec

«*7*1 î aissoz,’, ,ai880z» lai répondis-je. C’est précisément 1 occasion que j ’attendais... n à ïout e n - aimanl tendrement sa mère, George avait assez d ’osprit pour se mettre à ma place ; il comprit tout et m’approuva oiua ,soa^l^e• De ce moment, je l’eus pour allié dans mon œuvre d ’émancipation. P inboü beure du diner arriva, mistress Pinkerton fut naturellement obligée de re- paraitre. Elle n’était pas capable de pousser 1 incivilité jusqu au bôut, en refusant de s asseoir à la môme table que mes amis.

«^ua.oacgiuiousieureim istresi Marston f lui dis-je en manière de présen­tation, quand elle entra.

elle" J° 168 r6connal8 forl bien» répliqua-t- « Trop bien, » disait ce ton. Ce fut tout,

fi h? 8® i ? 01 avait ?uffl à j 0ter u“ froid sur ie a iner. c est en vain que je fis mes effortsE2ïfJsame?,er un R0Q de «aielé da° 8 h con­versation. Un sentiment de gône e t de tris-

a?088λ 8^r ,ous me8 convives. Seul, peut-être, M. Desmond n’en avait pas subi ! * ï ï ü ei1e0 et 80 “ onlrait précisément le w T f / i ho{mi?e *1“ à l’ordinaire, - - ni plus bavard, ni plus silencieux.

PeiS? Parli8. j'abordai la ques- Ü i » ? » décidé & ne pas permettrePinkortcn. 8 l0n d“ si,onco 4 Dli8lress

p a r é t 'é '^ 1! ! , ? ! 8 8,a^

p r b a. ,„ ï ï '8é.a, ü ourd'hui’ iBi d» - j8 «n »•«;■ t~ 11 8,1 , r ? '. rnonsionr, répondit-elle en

appuyant sur le < monsieur », Je n ’admets !aM tto n J10." 118 4 dinar le dimanche, et

. ,* 8*P4r4 ff88 Ton* me diapenieriez en wnt temps de rencontrer ces Santon... I

Im e x c ,u .s e r0 z ' madame, mais je v h é A t i • 6 800 J "«° du choix do mes in- ceveta v ! J0Ur ° Ù 11 mo conïi8nt de les re- jc pense r n0 m° conl8sloz Pas 11108 droit,

i . ^ i.As5ur4m8.n t non' monsieur. Jo ne l’ai mot À c 08” !8 ■’ 01 i° “ 'aurais pas dit un premier! " T0I1S n8 m e“ 4Tioz parl416

tl»m « '82 a!„«falt de proPos délibéré, ma-dnns lô a ! , T ! 5“ J ai Inrhé mes amis dans le but exprès d affirmer mon droit. Je dois vous déclarer que je vous serai obligén n « la 8™! red e nnegrâco, et de neX! I rè n l1 ™er mcilçment par votre manière de traiter mes convives...

J ’étais surpris de ma propre énergie. Je Plnb«!i!c0re p « la r4PonS8 de mistress «t î ïm ’x.Pt'îîë1'40 d “ ne voix tromblanto et comme étouffée par l’émotion :

00 8ait.fioe jo n’ai jamais songé àI Àtîï» ®ir e n n e n ” ’ Le bonheurdem .i fillem S!fLUï ,qYepen8ée de ma vi0p 01 désor- mais ce bonheur est inséparable du vôtre...on ne* a’!n 0ÀztI1n8 ldées 01 mes llabitudes, — on ne s en défait pas en un jo u r . mais in

“es vm™flT ur rie“ au. mondo .Contrarier. anta a Pourtant je sens que je vous

les sacrifice *! .m° ,U‘ 80‘8 prél8 4 ,air0 ,ou9ainiCi r elD«écl?t a ?n, , larmes et 80 m ità sa n -tant! * 60 que ^® n en fl88e au~

touTàNM 8 pl,U8rde t0? 1 cela»lul dis-jenous nJ™ J ? J1 ? 811,8 c°nvaincu que nous nous entendrons le mieux du monde, |

wplïcaUon ^ 11008 aV0D8 ®“ C6,t® p$tite / ^ ^ K ip è r o n i- le . flt-elle en rapranant son j

Et nous restâmes silencieux.Le fut ma troisième et dernière victoire.

J innifafinUral 8 d".®1!110 j ’eus fort à m’on louer. ü.?/1. ] ' 11 osl vrai>88 trouva dès lors

au .î8col|d plan ; mais sa retraite sal! «i K ' ““ .d88'! s' profond, que jè no S S t l J! “ a.urnls pas encore préféré uno révolte chronique. Il n ’avait jamais été dans ün,™ ?r ! “Ganser ou de l'annihiler ab-

’ nia'-5.11 élal1 manifeste qu'elle so croyait tyrannisée, et elle mettait désormais un tel soin à s effacer en toute occasion, que celle affectation devenait aussi intolérable que sa première manière. Uno belle-mère.

dompté0 , est toujours une belle- Ü ? mélancolique et inconsoléese projeta t de plus en plus sur le clair so- leu de notre vie conjugale.

VII

. a r ^ ^ î 70118 remarqué comme le carac- 1 (10 george a changé depuis quelque

temps ? me demanda un jour Bessie. Je ne sais vraiment pas ce qu’il a ; mais c’est à ne plus le reconnaître.nràànÜ? croi8 quo j,0 m ’on doul0» dis-je, en prenant un air profond.

Vraiment ? Dites-le moi donc, je vous

„ - b en' ma ebôre, vous rappelez-vous ^ lrW ar«°“ 9.u,(5tait devenu un certain Charlie Travers, il n ’y a pas bien longtemps, quand il se mit A apporter régulièrement ses nommages à une Jeune personne de vos amies f #

— C h ar l i e . r o a le x - r o u s dire...— Je ne d it rien /.,, notes bien oe point...

Je n’ai garde de prononcer un non, et je ne

voudrais pas qu’il se doutât de mes supposi­tions... M.us enlm, je n’ai pas les yeux à iapoche et je mo llstte de coSnailro les syrnp:tônies de cette maladie-!à...

Sur cet oracle, je parlis pour ma banane laissant Bessie broder tout à son aise sur lé thème que je livrais à ses méditations

Le soir, George arriva après souper, e t me trouva fumant au jardin, i - - ^ 04 di “h|? “fez-vous passé la journée f lui demandai-je machinalement.

— C’est mon affaire, me répendit-il d ’un ton qui me donna l ’éveil.

— Et comment se porto miss V aar re- pris-je malicieusement.

•— Est-ce que je sais ?...— Allons, Goorgo, co rôle do petit Ma­

chiavel ne vous vu pas. s i vous vous rejetiez sut la rude Irancluso du soldat ot me disiez tout simplement où vous ôtes allé I

y ° us m8 Pranez pour un autre, mou cher. Je ne suis pas votre bébé. Vous trou-ÀiJierZiC0JOU° 0 llomi“ 8 là-haut, en train de distraire sa mnmnn

Un vagissement sonore comme un aDDelA?nn«a,S . 8e1nvolanl .au môme instant d u n e fenêtre du premier étage, montra comment Charlie junior s’y prenait Z î distraire sa maman. ^gerde^siijot16 c^ enl^ ° ^ rePr j*"icpourchan-

— Pas l ’ombre d ’un client r SI feulement quelqu un de ces mécréants de docteurs pouvait se décider A avaler «es propres m -m Ali ma I r o nm ltuslm . . . . I l . . 1 .5

tâ jÙ iÿ s iS f e f '*

, n y a dans votre ton uneam er-tpmo évidente contre ta société. J'ose affirme.

a s s i s e

Page 2: Année. IV0 S9. Paraissant le Dimanche et le Jeudi ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_07_23_MRC.pdfParaissant le Dimanche et le Jeudi. a b o n n e m e n t s ï r * S

Les membres de l’Association ont ensuite renouvelé leur Bureau, qui est ainsi com­posé :

Président : H. Lcgcndre, conducteur 4 Méru. Secrétaire-Trésorier : H. -Lefèvro, conducteur

k Membres : MM. Sauvai, à Trio-Château; Capié- mont, à Guiscard; Crété, à Pont-Sainte-Maxeuce; Dangoissu, à Beauvais, et Charlbot, commis a Auneuil. ______

M édaille d 'honneuraux Cantonniers.

Des médailles d’honneur viennent d'étre décernées, en récompense do leurs longs et

éuaéagR* ihjaar-tement de l’Oiso dont les noms suivent :

MM. Charles Villorgne, à Compiôgne; Louis Pilloy, A AüUieuil; Narcose Lliotellier, à Forme rie ; François (ÿroux, 4 Boran; Ca­simir Paillard, à Francastel; Yves Laignier, à Briot; François Durand, à Verneuil.

SENLIS

T abacs supérieurs.Les bureaux de tabacs des petits villages,

voire même de certains bourgs assez impor­tants, sont loin d’étre suffisamment appro­visionnés, et, en outre, vous n’y trouvez aucun tabac, aucun cigare, aucune cigarette de luxe; le tabac scaferlati à 42 fr. 50 le kilog. ou 0 fr. 50 le paquet de 40 grammes, le paquet de cigarettes à 0 fr. 40, parfois môme à 0 fr. 60, le cigare à 0 fr. 05 ou à 0 fr. 40, voilà tout ce que vous pouvez espé­re r trouver; il ne vous faut pas compter y obtenir le tabac maryland, le demi-londrès, ni le londrés, ni les cigarettes à 0 fr. 60 ou 0 fr. 80 ; les ninas y sont inconnus.

Si vous domandez au buraliste pourquoi il n ’est pas autrement approvisionné, la ré­ponse sera invariable :

< On ne veut pas nous livrer en petites quantités ou mieux pas moins d’un kilog. de chaque sorte ; mais nous, nous ne pouvons pas prendre de stocks trop importants, nous en aurions pour un an à les écouler; de plus, la qualité se perdrait et nous aurions une trop longue avance que le minime bé­néfice que nous obtenons ne nous permet pas de faire. »

Nous ne comprenons pas pourquoi 1 Ad­ministration des tabacs se refuse d'obtem­pérer aux demandes des buralistes, c’es dire à leur livrer les tabacs, cigares et cigarettes qu’ils veulent, en si petites quan­tités qn’ils le désirent.

11 est en eifel impossible, en présence du maigre bônélice qu’elle accorde aux titu­laires ou gérants des bureaux de tabacs, que l ’Administration puisse être aussi intolé­rante envers les petits bureaux ; avec son système actuel, il n ’y a que les bureaux des centres importants qui peuvent être à peu près complètement assoriis, et il n ’est per­mis à aucun habitant des campagnes de se payer du tabac, des cigares ou des cigarettes dits de luxe, s’il ne peut faire la dépense d ’aller en acheter dans la ville voisine.

D’autre part, comme c’est la vente des tabacs supérieurs qui donne le plus de béné­fices, l ’Etat y perd le premier en ne favori­sant pas aussi largement que possible l’ap­provisionnement de tous les bureaux.

. 'A f r a v e r g S e u i l s . -L’Orage. — Un violent orage s’est dé­

chaîné sur Senlis, ce malin, entre quatre et sept heures : le vent souillait avec impé­tuosité et des éclairs incessants déchiraient la nue, suivis des roulements prolongés du tonnerre.

Puis la pluie est tombée en abondance, transformant les rues de la ville en torrents.

On pouvait espérer que cette tourmente modifierait la température anormale que nous subissons depuis quelques jours, et nous

m a eto seà t ■«*» <ÿ#r .d p J& te to a r; il n en a rien ôté, et la bourrasque passée la chaleur a repris comme avant. Il faut donc s’attendre à do nouveaux orages avant depoiivoirjoüird’ùnealmosphôremoins lourde.

Réunion radicale. — Une soixantaine de radicaux répondant à l’appel de MM. Thi- rion, Lemaire, d’Avifly, et du Dr Pauthier, se sont réunis dimanche dernier, à trois heures, à l’hôtel des Arènes.

La séance a été très calme : les chefs de file ont affirmé que la République est en danger et que pour conjurer le péril immi­nent qui la menace, il est indispensable de soutenir le ministère dont Galliffet et Mille- rand sont les plus beaux ornements.

Les autres ont opiné du bonnet.Il est vrai que le président de ce ministère,

M. Waldeck-Rousseau, a affirmé, lui, que la République n’était pas en danger du tout ; mais ces contradictions ne sont pas pour troubler messieurs les radicaux et socialistes. Ce qui leur importe, c’est que les camarades tiennent la queue de la poêle et l’urne... aux faveurs, et du moment que le compère Mille- rand peut disposer arbitrairement des déco­rations et des petites prébendes sous diverses formes, tout va bien, à leur avis.

Allons 1 tant mieux !

Distributions de Prix. — Nous croyons savoir que les distributions de prix aux élèves des écoles publiques de Senlis au­ront lieu aux dates ci-après :

Ecoles des filles : samedi 5 août.Ecole des garçons : dimanche 6 août. Ecoles maternelles : lundi 7 août.

ï p p ë l sA dater du 4ir février 4 8'J9, il a été insti­

tué par l’Administration des postes et télé graphes des appels téléphoniques. pubûeraVwfc *uffd ‘p e im ito "q(rf‘ nJeM“pâs abonnée, on peut la faire venir au bureau du téléphone du pays qu’elle habite au moyen d’un appel téléphonique.

11 suffit d’indiquer, au directeur ou à la directrice du bureau de son pays, l’adresse de la personne à qui l ’on veut téléphoner et l’heure à laquelle on la demandera par le téléphone.

Le directeur ou la directrice fera trans­m ettre cet appel à la personne désignée, la­quelle devra se rendre au bureau télépho­nique ou à la cabine de sa localité, à l’heure indiquée, et attendre qu’on la demande pour lui parler.

C’est la personne qui a fait transmettre l’appel qui demandera la communication à l’heure indiquée; c’est elle aussi qui devra payer les frais de l’appel téléphonique et ceux de la conversation.

Le prix de l’appel téléphonique est de 0 fr. 25 pour une distance de 25 kilomètres au plus, et de 0 fr. 40 pour les distances variant entre 25 et 400 kilomètres y com­pris Paris.

On pout envoyer des appels téléphoniques pour toutes les localités possédant un bu­reau ou une cabine téléphonique.

C o n c o u r s poux* l e s u r n u m é r a r i a t

d e » P o s t e s e t T é l é g r a p h e s .Un concours pour l’admission au surnu-

m érariat des Postes et Télégraphes aura lieu les lundi 21 et mardi 22 août 1899, au chef- lieu de chaque département.

Peuvent y prendre part les jeunes gens âgés de 47 ans au moins et de 25 ans au plus au 4er janvier 1899, sans infirmités, ayant une taillo de 1"‘5 i au minimum.

'P a r exception, peuvent concourir après 25 ans, et jusqu’à 28 ans, les candidats qui justifient de trois années au moins de pré­sence sous les drapeaux.

Pour les candidats comptant moins de trois années de service dans l’armée et plus do 25 ans d’âge, la limite d’âge de 25 ans est recu­lée d’une durée égale à celle des sorvicos.

Les candidats devront se présenter'en per­sonne et sans retard au Directeur des Postes et Télégraphes de leur département, chargé de l ’instruction des candidatures.

Ce fonctionnaire leur remettra le pro­gramme du concours.

La liste sera close le 5 août 4899.

31.963.752 fr. 52

C a i s s e n a t i o n a l e «l’é p a r g n e .

Résultats généraux pour l’ensemble des départements pendant

le mois de mai 4899.Vorsemu re as 4e 248.339

déposants, dont 35.196nouveaux.....................

Remboursent1* à 139.321 déposan1*, dont 17.874pour solde..................... 30.140.4 01 fr. 4 9

Excédent des Versements 4.823.651 fr. 33Opérations effectuées dans le département

de l’Oise pendant le mois de j u in 4899. Versements roçus de 2.063

déposants, dont 228 nou­veaux ................................ 202.067 fr. 24

Remboursements à 796 dé­posants, dont 456 pour solde.................................. 208.645 fr. 03

Excédent des Rembours1’., 6.577 fr. 79

45 ju in dernier, pour prendre la suite et remplacer la Senlisienne, dont nous avons annoncé la dissolution il y a déjà quelque temps.

La majorité des membres exécutants de notrë viëille Société chorale, à laquelle est venue se joindre l'E studiantina,siblen dans le goût du jour et que M. Tinel dirige avec tant de dévouement, composent cette pha­lange musicale dont nous sommes heureux d’annoncer la formation, et à laquelle nous souhaitons la bienvenue.

Nous aimons à croire que cette Société, qui s’est réunie officiellement pour la pre­mière fois, mardi dernier, dans la salle des répétitions, place du Parvis (ancienne Ecole des Frères), tiendra à se faire entendre du

pas sans que nous ayons le plaisir d’applau­dir à ses débuts. . \

Nous ^v o n s. la, conviction qu elle saura profiter des leçons du passé et restera une Société dont la Ville de Senlis pourra être fiôre. — Un amateur de musique.'

Fanfare du 2e H ussards. —■ Voici le programme des morceaux qui seront exécu­tés par la fanfare du 2e hussards, demain dimanche, de quatre heures et demie à cinq heures et demie, au Kiosque :1 . L’Avre, a l l e g r o ............. T il l ia r d .2 . La Perle de Plougastel, o u v . L a r d e u r .3 . L’Ile d’Amour, f a n t a i s i e . . . . P e t i t . ,4 . UAndaloux, b o lé r o A m o u h d e d ie u .5 . L’Intrépide, p a s r e d o u b lé . . B o is s o n .

P igeons voyageurs. — M. Edeline (Al­fred), serrurier, est autorisé à ouvrir un colombier de pigeons voyageurs.

F ê te de l,k P o r te de C re il. — Nous rappelons que c’est dimanche 23 juillet, qu’aura lieu la fête de la Porte de Creil, avec bal champêtre et distractions diverses.

On trouvera à l’Hôtel des Arènes de quoi se réconforter et se rafraîchir; chacun con­naît assez la scrupuleuse loyauté commer­ciale du directeur, M. Ott, pour jôlre assuré que les pâtisseries et les liqueurs seront véritablement de premier choix.

Au reste, cette féte de la Porte de Creil, est entrée dans les coutumes senlisiennes et devient, chaque année, de plus en plus ani­mée et de plus en plus brillante.

In stitu tio n Saint-V incent. — L’assaut d'escrime. — Hier après-midi, à une heure, a eu lieu, dans une des cours de l'Institu­tion Saint-Vincent, l’assaut d’armes entre les élèves du cours d'escrime, en vue du classement pour la distribution des prix.

Le R. P . Robin, supérieur, présidait, assisté de MM. le capitaine baron Rey et Villavrède, juges.

La première série des assauts d'élimina­tion a donné les résultats suivants :

Deuxième division.1” a ssa u t : 1. M oquet; 2 . L hoste .2 ' a ssa u t : 1. D ufourm entel ; 2. C hevallier.3‘ a ssa u t : 1. S auvage; 2 . H u b ert.

Troisième division.4* a ssa u t : 1. B a r ; 2 . Delahayo.

Puis l’on a passé à la série des assauts de ilttssflmflnt, qui ont donné :___________

1*' assaut : 1. Hubert; 2 . Chevallier.2 ' assaut : 1. Dufourmeutel ; 2 . Moquet.3' assaut : 1. Bar; 2 . Lhoste.

deuxième division :1. Sauvage.2. Dufourmentel.

Assaut pour le classement du 1er de première division :

M. Grégoire avec le professeur Meilhoc.

En conséquence, le capitaine Rey pro­clame le résultat suivant des épreuves :

Première division : 1” M. Grégoire.Deuxième division: 1" M. Sauvage (18 points);

2 1 ex-æquo : MM. Dufourmentel et Hubert (1 7 p. chacun); 3' M. Chevallier (15 points).

Troisième division : 1" M. Bar.

Tous les élèves que nous avons vus sous les armes ont montré d’excellentes disposi­tions et une méthode très classique : il n ’en pouvait, d ’ailleurs, être autrement, avec un professeur de la valeur de M. Meilhoc.

M. Grégoire a de bons dégagements, des feintes nettos et des phrases bien esquissées. Quand il aura acquis un peu plus de vitesse, il sera un tireur de belle force.

M. Sauvage se tient bien *ur la planche, sait attendre, attaque avec décision et ri­poste vivement; l’allonge est très bonne aussi. Son émule, M. Dufourmentel, a les mêmes qualités, avec une riposte plus prompte encore peut-être; un léger dé­faut cependant, dont il devra se corriger : le bras est trop bas, ce qui le couvre mal dans le haut; le retrait du fer est aussi hési­tant. L'un et l’autre, néanmoins, font déjà de jolies phrases d’armes. M. Sauvage a réussi une bonne feinte de coup droit et dé­gagez, et M. Dufourmentel un coupé et un temps bien pris.

MM. Hubert et Chevallier se défendent très bien, rompent avec aisance, ont la r i­poste prompte, mais ne mesurent pas encore la distance : les coups, bien détaillés, bien lancés, n’arrivent souvent pas ; co sera l’af­faire d ’un pou d'entrainement, et ils seront au point.

MM Moquet, {Lhoste et Delahayo seront aussi d’excellents tireurs, quand ils auront acquis plus de décision, un poignet plus dur leur permettant de bien guider la lame en ligne. Ils ont déjà do réelles qualités de vitesse.

Le jeune Bar se lient bien et so couvre remarquablement; il a de l'action et sera un adversaire sérieux quand ses petites jambes auront allongé.

En somme, nous avons trouvé là, nous le répétons, une sûre méthode et des dispo­sitions excellentes; et, quand on songe que les critiques que nous venons de faire s’adressent à des tireurs dont le plus âgé n'a pas seize ans, on peut se rendre compte que M. Meilhoc est encore en train de nous former une pépinière de fines lames.

Nous félicitons sincèrement lo professeur e t ses jeunes élèves, et nous les retrouve­rons avec plaisir l'année prochaine.

Au 2e Iltrss.vnns. — Le cavalier Damant, du 2e régiment do hussards, vient de rece­voir une médaille do bronze, pour s'être particulièrement fait remarquer, comme in- llrmior régimentaire, par lo zèle et lo dé­vouement avoc lesquels il a soigné ses cama­rades atteints d'angine et de scarlatine; a lui-même contracté celte maladie sous une forme grave.

Toutes nos félicitations.

Les « M énestre ls » Sf.nusîf.ns. — î.« Préfet de l'Oise vient d’approuver les sla!u1| do la Société de musiquo vocale et instru­m enta le les M én estre ls , qui s 'e s t fondée le

Société de Secours mutuels « l’Avenir ».

La Société de secoure mutuels l’Avenir s’est réunie en assemblée générale le samedi 1er juillet 1899, à huit heures et demie du soir, dans une des salles de l’Hôtel-de-Yille de Senlis, sous la présidence de M. Dômelin, président de la Société, assisté de MM. Beau- fort, vice-président, Delmont, secrétaire, et Bléry, secrétaire-adjoint.

M. Thirion, président d’honneur, prend place au bureau.

Après l’appel nominal, il est donné lecture du procès-verbal de la dernière séance, qui est adopté à l’unanimité.

Le Président prend la parole en ces termes :

deux sexes, ou 750 millions seulement pour nne rente de 480 francs.

Ce chiffre trouble un peu les idées, et la réalisation de ce système ne paraît pas en­core possible tant que l’impôt ne forcera pas le capital- ou le re ten u à restituai1 aux ou­vriers, sous forme de pensions, une partie de la fortune qu’il a acquise par leur travail.

En Allenïagae, la caisse des retraites est alimentée à la fois par l’Etat, le patron et l’ouvrier; mais par ce moyen ils arrivent tout au plus au chiffre de 90 à 425 francs, et encore ce système a-t-il l’inconvénient de faire augmenter le prix des denrées et des travaux, chacun voulant retrouver ailleurs ce qu’il est obligé de donner — ensemble de faits qui rendent le commerce plus difficile.

i l est évident que dans une commune, celle, par exemple, citée pVav "uval, u u 'h a un indigent contre dix personnes aisées, une contribution de 48 francs par dix1 per­sonnes aisées formerait une rente de 480 fr. pour un indigent. Ce ne serait pas, somme toute, A* fortune.

Mais tout cela dépend des lois, œuvre bien peu prochaine peut-être, sur la décen­tralisation et l ’impôt sur le capital.

En attendant que l’ouvrier se fasse lui- même sa retraite, il peut toujours, s’il le veut, prendre sur le superflu (le tabac, le café, etc.), une petite somme de 10 cen­times par jour, soit 36 francs par an. Ce prélèvement, depuis l’âge de 46 ans jusqu’à 60 ans, lui constituerait une pension de 509 francs.

Le voudra-t-il? Ne pourrait-on l y aider en contraignant le patron à faire lui-même cette retenue et à la verser à la Caisse d’épargne?

L’Etat le voudra-t-il ?C’est cependant possible et facile.Voilà ce que je voulais vous indiquer.La conférence de M. Thirion est saluée

par de vifs applaudissements. 'M. Dômelin remercie M. Thirion de ses

conseils toujours si réconfortants. Il croit, avec lui, que le moment n ’est pas encore venu d ’imposer à l’Etat la constitution de retraites ouvrières. Une charge aussi consi­dérable, qui d ’ailleurs retomberait rapide­ment sur l’ouvrier, par l’augmentation des impôts. Mieux vaut qu’il économise lui- même ses 10 centimes journaliers ; ce sera plus digne et plus certain.

S’il a eu le bon esprit d ’être mutualiste, il n’aura pas à redouter la maladie et la misère qu’elle engendre. I l se prépare déjà dans sa Société une petite renle-qui. jointe à celle de ses autres efforts personnels, lui assurera une vieillesse honnête- sans avoir besoin de tendre la m ain d’une façon quelconque.

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à dix heures.

Quelques-uns d'entre impatients en raison do ce que la réunion tri­mestrielle n’avait pas encore lieu. Il leur tardait sans donte do savoir comment allait être appli- qüêfie's conditions èires- auraient à jouer ïin rôle important dans la question des accidents du travail.

Votre Bureau partageait votre impatience et attendait de jour en jour l’apparition des règle­ments annoncés et sans lesquels il nous est im­possible de rien faire de définitif.

Vous savez, en effet, que la loi nouvelle con­fère de plus grands avantages aux Sociétés, loi dégrève do certaines obligations, mais, par contre, leur impose des règles plus sérieuses et plus égales, et qu’elles auront à refondre leurs statuts en conséquence.

Lo travail est en grande partie préparé, mais, je vous le répète, nous ne vous le présenterons que lorsque nous aurons reçu les instructions officielles (bientôt sans doute), et alors nous vous convoquerons au plus tôt pour que vous lui don­niez votre sanction.

Un membre ayant demandé quel serait dorénavant le rôle de la Société vis-à-vis des ouvriers blessés, le Président dit qu’il n ’y a rien à changer à ce qui a lieu aujour­d'hui, mais que les patrons, devant régler les frais médicaux et pharmaceutiques, au­ront à en rembourser le montant à la Société si elle en faisait l’avance. D'ailleurs, l'ar­ticle 5 de la loi du 9 avril 1898 les autorise à s’entendre, dans ce but, avec les mutua­lités, moyennant affiliation de leurs ouvriers avec elles, et paiement personnel d’une cer­taine somme supplémentaire. C’est une question de tarif très délicate et que nous n ’aborderons qu’avec circonspection, tout on estimant que, bien appliquée, elle peut offrir une solution avantageuse aussi bien pour les patrons et ouvriers que pour l ’ex­tension et la prospérité des Sociétés.

Un sociétaire demande la parole pour un rappel au règlement.

« A l’appel nominal, dit-il, j ’ai remarqué que n ’ont pas répondu deux ou trois mem­bres qui n’ont pas d’excuse valable. Ces ab­sences sont fâcheuses, car nos réunions, seulement trimestrielles, n ’étant consacrées qu’à des choses utiles et sérieuses, personne n ’a le droit de s’en désintéresser et l’amende doit être strictement appliquée, hors le cas d'absolue impossibilité. »

A la suite d’une discussion, il est décidé qu’à l’avenir, après l'appel nominal, la vali­dité des excuses sera immédiatement votée, et que le cas échéant l’amende sera obliga­toire.

Il èst fensuite procédé au règlement de différentes questions d’ordre purement inté­rieur......

La parole est donnée à M*. Thirion. Les retraites pour la vieillesse font le sujet de sa conférence, dont voici un résumé :

Pourquoi les ouvriers, qui sont la force, dont, par suite, le travail accroît la fortune publique, n ’auraienl-ils pas, à 60 aûs, une retraite modesle, mettons 360 francs, le maximum admis pour le moment par les lois sur la matière?

Les militaires, les fonctionnaires et em­ployés de l’Etat de toute catégorie en ont bien une.

Oui, mais, dira-t-on, on leur relient 6 % sur leurs appointements. Eh bienl l’Etat ne pourrait-il considérer commo retenue sur le salaire du travailleur une partie do ce qu’il lui en prend par les droits de consommation?

Dans cet ordre d ’idées, voyons un peu ce qui arriverait.

Aii hasard, citons une commune dans la­quelle sur 1.247 électeurs j ’ai lu qu’il y a 253 sexagénaires, dont 425 indigents (soit 1 indigent contre 40 aisés).

Cela donnerait pour toute la France 2.130.342 hommes sexagénaires indigents, dont la rente de 360 francs fournirait le chiffre énorme do 766.912.320 francs, envi­ron 750 millions, car les communes rurales ont généralement moins d’indigents.

C 'e st-à -d ire u n milliard et dem i p o u r le»

billet pour Pierrefitte. Leur supercherie, ayant été découverte par le contrôleur-chef Delaherche, à leur arrivée 4 Chantilly, ils furent gratifiés l’un et l’autre d’un procès-verbal.

Cela leur rapporte à chacun 25 fr. d’amende.— Gauthier (Olivier), 38 ans, sujet belge, a,

lui aussi, voyagé 4 l’œil de Clermoni 4 Creil.Il e.U également condamné à 25 fr. d'amende.

Comme Gauthier est oxpulsé de France et qu’ilJr est venu sans la permission du Gouvernement, e Tribunal lui octroie de ce chef un mois de

prison.Coups. — Tissèrent (Lonis-Lucien), 20 ans,

demeurant 4 Creil, s’ootend condamner 4 huit jours de prison sur opposition à un jugement du 15 mai dernier qui l’avait frappé d’une peine de un mois.

— Baugin (Emilo), 26 ans, capitaine de guêpe, demeurant 4 Longueil-Annel, et Lecherbouig

recourt, se trouvant de passage à Creil, le 6 juin dernier, se sont .pris de querelle à propos du service. Baugin, surexcité par les mauvaises pa­roles de Lecherbourg, lui porta des gifl is, puis nos deux gaillards se colletèrent et s’adminis­trèrent réciproquement une volée. -j»

Pour ne pas faire de jaloux, le Tribunal Inflige à chacun 25 francs d'amende, aveo le bénéfice de la loi Bérenger.

— Malet (Emile), 54 ans, et Pécret (Isidore), 24 ans, demeurant tous deux à Thiverny, sont, sur la plainte du premier, poursuivis pour coups réciproques.

Les débats ayant établi que, bien que plai­gnant, le nommé Malet n’avait pas eu le rôle le

S lus pacifique, le Tribunal le condamne à 25 fr. 'amende; quant au sieur Pôoret,' il est acquitté.

ETAT CIVIL DE SENLISdu 15 au 22 juillet 4899.

Naissances.(Néant).Décès.

15. Brebant (Stéphanie-Zoé), 77 ans, à l’Hôpital.16. julien (Ismérie-Rosalie), 62 ans, rue du Puits-

Tiphaine, 8.21. Meiguau (Louise), 82 ans, à l’Hôpital.22. Esselin (Joan-Nicolas), 75 ans, à l'Hôpital.

Mariages.(Néant).

Publications de Mariages.* LéomasAhfll Ponlin. distillateur à Pont-

Ste-Maxence, et Camille-Elisabeth-Ei Brenne, sans profession, & Senlis.

C onseils municipaux.Session d ’août.

P ar arrêté préfectoral, l’ouverture de la troisième session ordinaire des Conseils municipaux, dite session d’août, est fixée au dimanche 6 août prochain. Elle devra être close le 20 du même mois.

F ê t e s de dem aiu dim anche.Glaignes ; — Néry (hameau de Vaucelles), Senlis (Porte de Creil).

Polios ooppootionnollo de Senlle.Audience du 47 ju il le t 4899.

Présidence de M. P aisan t, président.M. Meusnier, substitut,

occupe le siège du ministère public.Vagabondage et mendicité. — Candelier

(Pierre-Guislain), domestique de ferme, sans domicile, a mendié à Montataire le 13 juillet; il se trouve, de plus, en état de vagabondage.

Il obtient un séjour de deux mois à l’hôtel hospitalier de la rue de la Poterne.

Outrages, ivresse. — Trouvé en état d’ivresse manifeste à Villers-sous-Saint-Leu. le nommé Grandin (Louis), 31 ans, briquetier a Précy-sur- Oise, a outragé les gendarmes de Creil, qui, pour sa sécurité, voulaient le mettre au violon.

Grandin regrette les faits; sa bonne attitude lui attire la clémence dû Tribunal, qui ne le condamne qu’à six jours de prison et 5 francs d’amende.

— Delhorbe (Joseph), 4 5 ans, manouvrier à Nanteuil-le-Haudouin, a dit au garde particulier Boilard, qui lui faisait une observation : a Je vous emm.... »

Cet écart de langage lui rapporte 16 francs d’amendo, avec application de la loi de sursis.

Détention d’engins de chasse prohibés. — Plumecoq (Augustin), 15 ans, demeurant 4 Creil, a été rencontré par le garde Murât, se prome­nant dans les propriétés de M. Gustave de Roths­child, avec des collets dans sa poche. Le jeune Plumecoq prétend qu'il a trouvé ces ongius en arrivant daus lo bois.

Le Tribunal décide qu’il a agi sans discerne­ment, l'acquitte et le remet à sa mère.

<putrage public d la pudeur. — Ayant ren­contré la joune Autin (Loontine), âgée do 6 ans près du hameau de Montagny, commune dô Belle-Eglise, le nommé. Le Roy (Yves-Marie) âgé de 40 ans, ouvrier de culturo, en fuite, g’est livré sur cette enfant 4 des actes honteux.

Cet ignoble individu est condamné par défaut à deux ans de prison.

Vol. — Norlier (Palmyre), 18 ans, domestique, demeurant à Clermont, condamnée par défaut, le 27 février dernier, à six mois de prison, pour vols au préjudice des époux Mahieux, cultiva­teurs à Creil, a formé opposition à ce jugement.

Lo Tribunal réduit la peine à trois mois et un jour.

— Gilbort (Alphonse-Julos). 14 ans, et Deléry (Emilo), 10 ans, demeurant à Creil, déjà pour­suivis à plusieurs reprises pour vols, sont de nouveau cités pour semblables faits. Les plus mauvais ronsoigements sont fournis sur cesaeux garnements.

Lo Tribunal, sur lo désir exprimé par les pa­rents, acquitte les jeunes Gilbert et Deléry comme ayant agi sans discernement, mais décide qu’ils seront envoyés en maison de correction pour y êlro détenus jusqu’à l’accomplissemont de leur vingtième année.

Contravention d la police des chemins de fer.Hazard (Georges), 47 ans, ouvrier peintre,

sans domicile flxo, a voyagé, sans billet, le 21 janvier dernier, de Soissons à Crépy.

Pincé par le contrôleur Morel, qui lui dressa procès-verbal, il est condamné par défaut 4 50 fr. d'amende.

- Héro (Raoul), 17 anB, et Bodin (Paul), 20 ans, de neurant tous doux 4 Paris, désirant vonir aux courses do Chantilly, lo 28 mai dernier, sont partis de Paris, le premier aveo un billet è desti­nation do Villlors-le-Bel, le deuxième aveo un

BARBEBYMédailles d'honneur agricoles.

P ar arrêté du ministre de l’agriculture, en date du 17 courant, des médailles d’honueur agricoles ont été accordées à MM. Delcoigne (Frédéric) et Thibault (Alfred), ouvriers chez M. Boucher, à Barbery.

Nous leur adressons toutes nos félicitations.

PLAILLYLa Fête Nationale a été célébrée à Plailly

avec le plus grand entrain.Le 13 au soir, une magnifique retraite aux

flambeaux a annoncé l’ouverture de la féte.Dans la matinée du 14, une distribution

de secoure, pain, vin, viande, fut faite aux indigents.

A deux heures, sur la place de la Mairie, e t en présence d’un grand concours de popu­lation, M. le Maire, assisté de la majeure partie de la municipalité, passa la revue de la Compagnie de sapeurs-pompiers et du matériel d’incendie, pendant que la Fanfare faisait entendre la Marseillaise.

Dans une charmante allocution, M. le Maire exprima aux Sapeurs-Pompiers et à M. Roger, leur commandant, toute sa satis­faction pour leur belle et bonne tenue, et pour le dévouement avec lequel ils accom­plissent leur mission.

Puis il félicite les musiciens des succès qu’ils viennent de remporter au concours de Saint-Brice, et attache sur leur bannière, aux applaudissements de tous les assistants, les Incompensés qu’ils ont obtenues.

Un vin d'honneur est ensuite offert à la mairie. Eusuite, sur la place publique, dé­corée de feuillages, commencent des jeux de divers sortes, avec prix nombreux, pour hommes, femmes, garçons et jeunes filles.

Le soir, sur la place de la Mairie, brillam­ment illuminée, un bal champêtre des plus animés a clos la fêle très bien organisée par «----------------------- 11 ** rpl— ias, Malingre et

l’esprit calme et droit qui faisait le fond de oaractère, et continua jusqu’à ce que la mal l'ait terrassé. 4 s’occuper avec tout le zèle et* lo dévouement dont il était capable, de l’ad nistratiou et du bien-êtjre de la commune.

Je ne veux pas vous retenir plos longt autour de cette fosse entr’ouverte. et j'adres* nom de tous les habitants, un dernier et sÿin thique adieu à M. Reuonard.

Puissent les» témoignages unanimes d’esti de reconnaissance et d’affèction apportés an1 de ce cercueil, adoucir un peu les regrets oeux qui le pleurent 4 si juste titre.

THIERSSociété de Tir de Thiers.

1899.—3* année.

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année.Les P rix seront exposés chez M. Aubli

Liste des numéros oaanants de la tombola.1951219820782260810

2*62226

11721022173611532178

12601864

751712556

197491680219

10281862832

1101259

19)320002046051752

16901860694

1743

1866203814561863576963

1624219J1842870

172641

169217931991

154653

1767

175918571858 1796658640

206050

1265124822691856

17541155982

1676247

1762718141

SAINT-FIRMINLe duc de Chartres est parti pour Sofia,

où il est allé rendre visite à son cousin le prince de Bulgarie, et à la princesse Clé­mentine de Saxe-Cobourg-Golba, née prin­cesse d ’Orléans.

Le marquis d’Harcourt accompagne le prince dans son voyage.

Des excursions dans diverses localités de la Bulgarie sont, à celte occasion, organisées en son honneur. Entre autres endroits pit­toresques, le duo de Chartres a visité, en compagnie du prince Ferdinand, le célèbre couvent du Rilo, à Samakovo, où le prince passe une partie de la belle saison.

Mardi a eu lieu, au palais de Sofia, un grand dîner en l’honneur du duc de ChartreB.

Le jeudi 43 juillet, M. Charles Renouard s’est éteint dans sa propriété de 6t-Firmin, à l ’âge de 81 ans, par un affaiblissement progressif des forces.

Peintre amateur d’un indéniable talent, il avait dû, depuis quelques années, déposer ses pinceaux, que son œil ne pouvait plus guider comme autrefois : son œuvre consi­dérable, tableaux de genre ou copies des grands maîtres, a été disséminée pendant toute sa vie chez ses nombreux amis ou fait l ’ornement de quelques églises.

D’un cœur très généreux, sa bourse était toujours ouverte pour soulager des infor­tunes, et de la façon la plus discrète : bien­faiteur anonyme d’œuvres charitables; nous devons imiter le silence dont il nous donnait l ’exemple en faisant le bien.

Ses obsèques ont eu lieu le lundi 48 juillet en l’église de Saint-Firmin, au milieu de toute la population de la commune. Le deuil était conduit par le fils du défunt. M. René Renouard, et par son gendre, M. le docteur Maymon : les cordons du poêle étaient tenus par MM. Jambon, Guifard, Adam et Hé- douin. M. le lieutenant-colonel Doyen, maire de Vineuil-Saint-Firmin, une grande partie du Conseil municipal, la Compagnie des sapeurs-pompiers avaient tenu à honneur d ’accompagner cet humble cercueil que, par la volonté expresse du défunt, aucune fleur ni aucune couronne n’ornait.

Au cimetière, M. le Maire de Saint-Firmin a rendu un hommage délicat aux qualités du défunt, en exprimant par les paroles qui suivent, les sentiments qu’éprouvaioat les assistants :

Mesdames, Messieurs,La foule qui entouro co cercueil, l’air attristé

et lo pieux recueillement peints sur tous los visages, attestent plus hautement qaoma voix no saurait lo faire, que celui que nous venons d’ao- compagner à sa dernière demeuro était un hommo do bien, aimé et vénéré de tous.

Oui, M. Renouard fut tin homme de bien dans la plus large et la plus noble acoeption de ce mot.

Grand coeur, 4 la fois généreux et modeste, il mettait autant de soins à reohercher les misères pour les soulager, qu’il en mettait 4 cacher ses bienfaits.

Pendant bien longtemps, sa modestie l’empô- cha d’accepter 1 s fouctlons de conseiller muni­cipal, et oe n’est quYn 1892 que, cédant enfin aux sollicitations de ses amis, il consentit 4 en­trer dans l'assemblée communale. 11 y apporta

Conditions générales.Article 1". — Le Tir sera ouvert d

heures du matin à cinq heures du soir.Art. 2. — Les Amateurs seront tenu»

servir de la carabine du Tir, ainsi que _ munitions, lesquelles seront garanties de sion et de première qualité.

Art. 3. — On aura le droit de tirer des ‘ d’essai à raison de 0,05 centimes la balle.

Art. 4. — Les carions sont divisés es cercles, numérotés de 14 5.

Art. 5. — Toute ligne touchée compte : plus haut point.

Art. 6. — La position du Tireur estfaenArt. 7. — Les meilleures séries serai

chées au Tir.Art. 8. — Chaque Tireur ne peut gagner

prix.Art. 9. — A point égal, on tiendra com»

balles les plus près.

P o u r M archand.Habillons Paris de drapeaux En l’honneur du vaillant héros Qui, du Nil-Blaao à Loango,A fait triompher le Congo.

Un admirateur de Marchand, au Vaitsier.

Eu vente aux bureaux du JourSenlis.

Affiches con tenan t la loi le s accidents du travail) 0,11 l’exemplaire.

BETZLEVIGNEN

M. le colonel du 70* de ligne a fait F à M. J. Romain du souvenir com2 ! qui doit être placé sur la tombe de 1 dant Yaldin.

Il consiste en une plaque commé" en marbre blanc avec l’inscription: « venir du 70* à l’adjudant Valdin », 4 couronne cravatée d ’un ruban de soie lore portant la même inscription.

Ces objets ont ôté placés le 14jni" la tombe du héros obscur mort pour» trie.

THURY-EN-VALOISIl sera procédé, en la mairie, sor:.

sions cachetées, au rabais, le <L 30 j uillet 1899, à trois heures du soir,» judication des travaux de maçonnerie, à la clôture du cimetière, dont le s’élève à la somme de 1.500 fr.

Le cahier des charges est dépoei mairie, où chacun peut en prendre :: sance.

Tout soumissionnaire devra êtie d ’un certificat de capacité.

CREILMercredi dernier, M. le Sou»-?»,,

Senlis, accompagné de M. Gaillard,’ a visité en détail l’hôpital de Creil.,

Il a pu constater l ’installation pfc~ tous les services et a adressé à qui M ses plus vives félicitations.

Nous apprenons avec plaisir que M. maire, est revenu d’Aix-les-Bain»,># fait sa cure annuelle, et que sa » meilleure.

Il va donc pouvoir s’occuper série- des questions uui p ré o c c u p e n t tousse», nislrôs et qui divisent le Conseil mus

L’agrandissement de la Mairie oui* truction d ’un Hôtel de Ville;

La construction d’un groupe scoL la rive droite de l’Oise ;

L’acquisition du terrain de la FeL-, Le projet de création d ’une Ecole pi

supérieure.M. le Maire, qui connaît lasiluatw»

ciôre de la Ville et les charges M sortes qui pèsent sur les contribuable*» bien défendre les intérêts de sesaWg contre la pression, les agissemènfif tains personnages qui ne voient d questions municipales que leurs pgp- tôrôis ou le moyen de satisfaire W** taisies.

Les habitants de la rue des Usinj*-; organiser une féte dans leur q“w dimanche 6 août. „»nji

Le programme de la fête n é ta ro r nitivement arrêté, nous le pub»e*r| un prochain numéro. Néanmoins»" vôlocipédiques organisées p tf *• sont déjà décidées à ce sujet, et us . prêtera certainement son concours w, à la fête du quartier.

Les témoins de l’accident m y re, où d eu x m a lh eu re u x o u r n w i

Page 3: Année. IV0 S9. Paraissant le Dimanche et le Jeudi ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_07_23_MRC.pdfParaissant le Dimanche et le Jeudi. a b o n n e m e n t s ï r * S

asphyxiés, admirant le courage et l’énergie dont avait fait preuve en cette Circonstance le capitaine Cazier, qui, à plusieurs reprises, a essayé des insofllalions en collant ses lèvres contre celles des moribonds et en as­pirant dçs m atières fécales qq’il rejetait en­suite, nous prient instamment de porter cet acte de dévouement surhumain & ^ co n n a is ­sance du public.

C’est fait, e t avec nos félicitations renou­velées.

Nous sommes heureux de porter à la con­naissance du public un acte de courage accompli par Mme Peningue, qui lient l ’éta­blissement de bains de l 'Espérance.

Un nommé Velus, charretier chez U . Obry, w i , W tfi Ykjutto hn

soir, la rue du Pré-Saint-Médard, à une allure de pochard dûment lesté. Arrivé p rès du parapet, qui est d 'une hauteur vraiment jnsufllsanie pour protéger les gens dans son état ajnsi que les enfants, il l ’enjambe mal­gré lui et pique une tôle dans l’Oise.

^ La Providence des ivrognes, qui veillait sur lui, envoya A son secours une femme, Mm* Peningue, qui se jeta très courageuse­ment & l’eau e t parvint presque sans peine & sauver notre homme, qui en a été quitte pour un bain froid.

M*» Peningue n’en est pas A son premier sauvetage, ce qui nous dispense d'insister sur l’acte très méritoire qu’elle vient d’ac­complir. __

ment, tout dernièrement imprimé, vient d ’ôtre distribué aux nombreux habitués, qui voient ainsi le choix des livres se renouveler dans une large mesure.

Ce môme Supplément contient le tableau du mouvement de la Bibliothèque depuis 1889 jusqu’en <898, soit pendant dix ans. Nous relevons, pour cette période, le chiffre respectable de 49.194 volumes prêtés.

Mieux qu’aucun commentaire, ces divers renseignements montrent le développement régulier et l’utilité toujours grandissante de ce rem arquable établissement.

Une femme Lemaire, habitant une maison isolée entre Creil e t Nogent, entendant, mardi soir, un bruit insolite chez elle, prêta attention et aperçut une ombre qui s’en­fuyait. Saisie par la peur, elle ne put ni appeler au secours, ni poursuivre son vo­leur, et ce n’est que le lendemaia qu’elle osa faire l’inventaire de ses objets; là, elle s’aperçut qu’un couvercle de presse à b ri­ques en cuivre avait disparu.

La volée a dû aller conter son infortune à qui de droit.

Un sieur Mikaël Goèes, sujet bavarois, qui avait, la semaine dernière, étant de passage dans notre ville, fait des proposi­tions obscènes A deux fillettes, a été arrêté et dirigé sur Senlis.

Faits divers.Un camionneur de Saint-Vaast-les-Mello,

Hardi, qui dormait tranquillement dans sa voi­ture, mercredi matin, en se rendant de Creil à Senlis, a attrapé une contravention de ce fait, et une aulre, en outre, pour n’avoir pas de plaque à sa voiture. *

La ohaleur lourde que nous avons subie ces jours-ci a causé plusieurs accidents. C’est ainsi que, mercredi dernier, une jardinière de Senlis •st tombée d’msolation pendant le marché qui se tient sur la place Carnot. Transportée chez une fruitière des environs, la marchande a pu rentrer le soir chez elle, sans autrement se ressentir de cet incident.

Etat oivil du 7 au 14 juillet I89Ô.Naissance*. — 9 : Fraucolin Emilienne-Mar-

goerite. — 10 : Allizard Germain Guitare.Publica tions de M ariages. - M . Devraigne»

George«-Pa«o»l, ouvrier verrier, e t M lle Conieil Lôontme-Adehne, aane profeuion, t o u deux de­meurant A C r e i l . _____________ ___________

M -Udllo Joeepü ^aul, tourneur »ur métaux, et Mlle Tanguy Eugénie-Suzanne, coreetiôre, tou» deux demeurant à Creil.

M ariage. — 12 ; M. Kint Loata, m ta o îd in retraité, et Mme L eiièvre Marie-Louiee-Théodo- nne, veuve Idelot, eane profewion, ton» deux demeurant 4 Creil.

NOGENT-LES-VIERGESUn de ces derniers soirs, un sieur Lar-

dier, qui occupe un immeuble apparim&pj •L ŸYÉSih» vA-sivsrè A Monchy-Saint-Eloi, ren trait chez lui légèrement ivre, lorsque soudain sa lampe communiqua le feu à sa literie, composée en grande partie de paille. Lardier, qui, heureusement pôtir lui, n ’avait pas bonon sans avoir eu les cheveux, léssourcils et les moustaches brûlés. L’immeuble n’a subi que quelques dégâts, du reste couverts par une assurance.

SAINT-VAAST-LES-MELLOLa semaine dernière, les consommateurs

de l’auberge Charpentier, A Saint-Vaast-les- Mello, ont été les témoins d’un acte de bru­talité auquel se sont livrés Sarrouille, de Maysel, et Bollê, de Cramoisy, sur un nommé Mauduit, de Cires-les-Mello, exer­çant la profession d’étameur, qu’ils ont

ppô tous deux sans aucune provocation de ce dern ier.

VILLERS-SOUS-SAINT-LEUUne nommée Bara, femme Debeauvais

revenait de Paris dans la soirée du 18, et descendait à la gare de Précy, A neuf heures et demie, pour se rendre chez elle, à Villers- sous-Saint-Leu, lorsqu’A une centaine de mètres du pays, elle fut victime d ’une ten­tative de viol de la part d ’un chemineau qui

. s était blotti dans un champ d’avoine et qui| à son approche, se dressa subitement devant

elle e t la renversa dans un fossé.Au cours de la lutte qu’elle soutint avec

son agresseur, elle se fit quelques contu­sions peu graves, et mordit cruellement ce dernier A l’index de la main gauche. Voyant qu’il avait affaire à une gaillarde, le chemi­neau changea de tactique et exigea de sa victime, sous peine de mort, qu’elle lui don­nât tout ce qu’elle avait d’argent ; elle lui remit son porte-monnaie, contenant 0 fr. 90 qu’il empocha, après lui avoir rendu le porte-monnaie, qu'il considérait comme une pièce compromettante.

La femme Debeauvais raconta, à son arri­vée chez elle, l’assaut qu’elle avait eu A subir, et donna le signalement de son agres­seur, qui, malgré de minutieuses recherches, n a pu être retrouvé.

« S t ' . 1'u î, Alfrtd-EmU.

uJh.L» ‘ 0,8 A!Pw‘i.n,°' mâ‘»ni.i.a , à Nanteuil- ï£ ‘épy. P‘ UUn" 'A,b,' U“8'

CRÉPY-EN-VALOI8Nous apprenons que M. Lesueur, chef de

gare A Orraoy-Villers, est nommé en la même qualité à Crépy, et qu’il doit être remplacé à Ormoy par M. Ledan, ancien chef des manœuvres et de la manutention â Crépy.

b e t h is y -s a in t -m a r t inLe chemin de Puisiire.

On nous écrit :

main levée 1 adjudication a ôfô décidée. Voilà toute la vérité.

ê n S PS u r “ aiD,eaW l 188 pr8positio8s dosUn partisan de la Montagne.

g l a ig n e sM. Léon de Berthier de Sauyienv demeu­

r a n t) 02. faubourg Saint-Houofé/'à Paris, montait ces jours derniers, vers sept heurei du malin, 4 grande allure, le boulevard Haussmann. Il conduisait lui-méme son

BordTna 8™ 1 688 Cl)lé8 le m tea“ ici8a u AHrr A1>“uto“ r <iu n" 172 du boulevard,

lie! 'TOul“t éviter un passant qui traversait la chaussée ; malheureusement, il m faire 4 sa direction un écart trop brusque.L automobile, montant sur le trottoir, vint donner de toute la force do la vitesse acquise contre un banc qui fut réduit en miettes.L automobile, faisant presque panache, dé­molissait en mémo temps un bec de gaz et faisait explosion, projetant en tous sens les pièces de son mécanisme. n . £ ? - , J eux y w r s furent violemment précipités sur le sol, mais seul M. de lierlbier g™ s 0 ayantque qe i4gêre9 contusions. 5 . î 81? 10® re8la ôteni|u à torre no donnant plus signe de vio perdant son sani 4 Ilots d une profonde blessure au front, fÎa rz è8uKf !ian*P°rlé dans un état déses- dérê 41 bépital Beaujon et admis d'urgence salle Baudin; il a la i s s e gauche briSetS a m VK I i “ re °r400' l6S r6Sl6S de 1 automobile, dont seul le train d'arrière subsistait encore, ont été enlevés par une équipe d ’ouvriers do la maison qui l'a cons-

SERY-NIAGNEVAL

* J S i ï S , $ 2 Z lZ a “ Célébrt0 a™p t o i ’A ™ i ! K n de 8aP00™-P<’mflambeaux acclam é nal ? ue re‘ïaile sa*touUe parcours8 P *“ POP“ la,,on 8ar

Le jour, une abondante distribution do

de pa[n, do vin © r d e ^ n d e id8ntS’ 88 b

S r e “ 'h o n o S s 8n Pr6s88C8 d8 MM' ^ 8M. Froment a profité de la circonslanm

S2U«a C11aF chaIeareusement la Compagnie de ses succès au concours de Chantilly son discours s est terminé au cri, mille fois ré­pété par fôs assistants, de : tV iv e la Répu­blique!

On nous apprend que le chAteau du Parc- aux-Dames vient d ’ôtre acheté par M. Des- jardins, propriétaire à Paris.

Antoino, 51 tu .

Les ouvriers de l’uxine Clair ayant obtenu satisfaction, ont repris le travail lundi der- m er. Le différend était d ’ailleurs peu im- portant, et il n 'a pas été nécessaire d éfaire de bien grands discours pour arriver 4 une entente entre les deux parties.

A part quelques petits faits sans impor- tance, les ouvriers ont toujours conservé le plus grand calme.COTE

Peur réfondre 4 l’invitation qui lui avaitété faite par le dévoué maire de Covn I r. .M. Audigier, sous-préfet, accompagné dé ï)ePU18 quelque temps, les habitants du M. Leiièvre,secrétaire de la sous-préfecture Gare étalent, malgré eux,* est rendu jeudi dans cette coquette com- ° “ .....................

eontÂ^ m airie, M. Caillotin, m aire, a p ré­senté les m em bres du Conseil m unicipal et M. Bréhamet, institu teur, au sympathique représentant du gouvernem ent de la Répu-airnable * tr0U70 P° Ur chacan un 11101

r1n l S a8' Préf0rl.a en8Dite visUé 108 édi- nlIu i S UnauxVL aPrèl-midi il a examiné Plusieurs des nombreux ateliers dans lesquels s exerce une industrie locale très prosDôre • la fabrication des liens en tille. M. Audigier • est beaucoup intéressé A ce travail qui occupe surtout les femmes pendant environ *ix semaines chaque année.

GOUVIEUXMme la baronne N alhaniel de Rothschild

nn-A Çres(ï ue subitem ent, m ercredi . iS4m!dî ’ à une heu re vingt-cinq, dans *on hôtel dtf Faubourg Saint-H onoré. fn m A aroT de Rothschild avait été souf­frante ces temps dernier», m ais sa fam ille la rojait assez bien rétablie e t avait cru

pu ai sans 1D(lulélude, qu itter Paris.Elle était née le 1 3 ju in 1 8 1 9 . e t avait

blsT deTonH48 8011 “ " 8i” ’ bar0n Nallla' février ) 870 ’ qUI 881 m8rl 4 Paris ,e 19

reslfaiv™ 1''1'?*0 8.0nl nés deul1 DU 1“ ' annt S b L ™ . ça' s i ,am eS (le Botbschild, qui en ïfiîn I i x8?». j6au de l>aris e le s l «‘orl min kî A rtllur d0 Bolhschild, le yachta- “ 4U bien connu, resté célibataire.«a r n n tei8nd 8 ,R o ' l l ! c l lH d a T a i l é P o u s é , e n 1 8 7 ) , laissé nn ni .le' T hêrè le ' de F rancfort; il a docteur en m ao886 r i 10 baron H enr'(

t acon,8DaanviddL8éon„ U o CLildqUi 8 ép8U8é 18nn BRifi'n?110 NalhaT l '»«»» donc un Bis, flnep'8W 8; “ »« petito-fllle e t une belle^

lu ï u<f d e°T" I0£ lT aJ t® ^ S 'd 1 da

iileIfde0n n d l S M“ a la baronno Natha- *3 courant a l 1 r ûmoal lieu le dim anche «lut. , 4 "0»f heure» e t demlo très pré-

Æ haUchaa se0n 8Ur8 ‘i8U an 8imalièr0 dn

flm u o n u o n . IIknoi m BoinscttiLu Conservateur : M. Ed. Barlhélomy.

s uation du premier semestre 1899.

P'«*ros,o î é j t o 04 la nom bre do» «vre« Actuelle 1.272 v o C 80 ’ “ mpt8 4 1,heare

^ ' i X ' s „ r S t r . ï ï , T5 ! r i i j a•« Catalogué de d Sfle! Ce Suppl?!

, v m w u i, U1U1JJIO eu x ,— p js de respirer 1 odeur malsaine des matières servant à la fabrication des en­grais, déposées dans les magasins de M. Ou- din, sis à la Croix-des-Pèlerins.

Plusieurs personnes habitant les environs de 1 établissement firent circuler une péti­tion tendant à l’enlèvement de ces matières qui pouvaient occasionner une épidémie. *

Cette pétition fut déposée à fa mairie le samedi ) 6 courant, et jeudi dernier, après les démarches de l’Administration munici­pale, les matières causes de cette infection furent toutes portées au milieu do la plaine.

Ne pourrait-on prendre les mômes me­sures pour éviter les odeurs nauséabondes que Ion sent en sortant de Crépy par la route de Vaumoise, surtout dans la soirée.

? •119 raPP°rt0 <Jae les personnes l e ­vant faire partie du Cercle catholique, en formation, doivent, avec la jeunesse, faireï l e, e vfnlon diD)anche prochain, 23 cou­rant, A \ îllers-Cotterets.

Jeudi dernier, les religieuses du Pen-é C , at«nSajDt' Josep h ?nt conduil ,eur8 élèves en promenade, les unes à Villers-

pCS v i S ! r c h r a m L° “gPOnl’ OÙ 81188081Le départ a ou lieu 4 neuf heures du ma­

tin , et la rentrée s'est effectuée en deux fractions, 4 cinq heures et 4 neuf heures.

Les excursionnistes, après s'être bien amusées, sont rentrées enchantées de leur

x u B ^ i S i T 188 d o ,M' Alfrad Bemoine, 1 aJ*>an donateur vient d’offrir

S0.000 francs pour la fon- îï!!f!?i f d ’hospice et de deux litsde Crépy &Q Pr°üt de* 00111111,1,105 du canlon

^?AdAann.oncfl la mort de La Haye,décédée chez sâ fille, Mme de La Hante, Ah'I n a cdj * *a helle-môro

f 1 C 018 de Là Haye, conseiller hono-r î f S o J i cour dAm ieos, chevalier de la Légion d honneur.

Les obsèques auront lieu A Amiens, de-

“ égU soX nrt dMaî.inU " 8Ur88 81 d8mie’ 4

E t« t o ivil d u 6 a u 2 0 J u il le t 1 8 9 8 .n”/." ' ^ 8„! M .urioe-LêoD, ru»

n î j . k l ' 1 » "7, î , .8Se t honé-Abol, rua do t . Olotho. - 0 . 0 .rd m Alice S o n n n e -A lp h o u m , p '.oo O .m bon. . _ 9 : F lt m .c l M aniSJ o “ ’ tve-A m édéa-A lphonse, rue Nationale — in •

U lü n ^ b’^ E“e lr LMi*’ h '* " Bambolta* 14 ( BordiorL6ono-L.ur.nco, chemin de. Oo-âù’Lion* "" ; 1 hu«lo-Morguorito, rn .

A nssuo do la revue, le vin d'honneur a nicipaUm.8UX 8ap6ur8'P ompi0rs Pa r la Mu-

liA 8L ’rerahiL 88 8081 888aile excrcés 4 "n tir 4 la carabine avec prix en espèces donné.par un membre honoraire.

[ „vi iUiSiI,s 80 80nl ren(l“s chez M. Promeut oïl le champagne, offert par le maire m “es

^ T c L ”» , ^ 88" 88488-

n S ï d i ainP M8*8” n d v parlie de ,a population f a a in e i.oùJ a r°uto avait ôté or-

m ant effe’t.88888 “ 8rbr88 ï8rts du P '“8 aba' -. Les danseurs ne se sont sônarés mi’nn

1 W8“ d8 r880“ *

VAUCIENNES„ « » raredi’ daf s la matinée, deux bouviers de M. do Cornols, revenaient de Crépv con-™ ita“n„d?ül rd5, cbariols de bois de char­pente qu ils avaient chargés chez M. Delà- fosse, entrepreneur. S ur la route, un individu leur demanda 4 monter snr l'un des chariots ce qui lut fut refusé. Mais dans la descente de la Fonlaine-uux-Clercs, au moment où les bouviers étaient occupés 4 serrer “eursn 8n T ii.8iï!>,T i r esoalaaa ''un des chariots ; il perdit bientôt I équilibre et tomba si mal­heureusement, que les roues du lourd véhi- cuio lui broyèrent un bras et une jambe

On alla chercher du secours 4 lasucrério

On transporta alors io malheureux 4 Senlis

raôpfta!.8” 118 6lre admis’ da8s 14 80irtei 4

a ,™ .?Lcti? ° de C0 crllaI accident, est un étranger, il se nommo Petit; il sortait do la brasserie de Vauciennes et était venu pour s embaucher 4 la brasserie du Valois 4 ?/&<*•< ? 8 881 idonc ? as’ somme le raconte le P eu t Journal sur Ta foi d ’un correspon-

dê vàucie'nne™ “ 1,0UTi8r de la sacr0ria

Aux termes d’un décret du 21 ju illet 1899, M nommé juge d e paix à Neuilly-en-Thelle, M. Itivoirel (Achille-Auguste), en remplace­ment de M. Ùuillon-Kérédan, décédé.

M. Vignon, juge suppléant de la justice de paix du canlon de Neuilly-en-Thelle, a envoyé sa démission au ministre de la justice.

En 1899, lacommunode Neuilly-en-Thelle a été, comme tous Je.sjjx'ÿ tes succès de ses écoles laïques et nous som­mes heureux de faire connaître notamment les noms des lauréats du certificat d ’études dont les épreuves ont eu lieu le 1*r juillet.. M. Gougibus, notre instituteur distingué, droit, Je premia-, a droit à toutes nos féli­

citations pour ses nombreux succès.Ses élôves, MAI. Albert Bouvet, Fernand

Latlln, Maurice Regnier, Maurice Thomas, ont obtenu le certificat d’études. Gabriel Thomas, ainsi que Georges Vaast, ont subi avec succès les examens des bourses, le pre­mier des lycées et collèges, le second de i enseignement primaire supérieur.«„ * la Directrice de nos écoles laïques de filles a préparé six élèves, M11»* Marcelle Debry, Julienne d’Halleine, Eugénie Bou­langer, Angôle Votier, reçues le 1” juillet à

eî/}.men de NwiUy-en-Thello.M1'» Marie Boulanger, reçue le 13 ju illet à

l’examen de Méru. Joi5llAiAJeann? Thomas, reçue sixième sur 210 élèves, A l examen de Montmorency, lauréate du trmsième prix départemental et admise de plus à une bourse dans une école professionnelle.

Ces beaux succès font honneur aux enfants et surtout à leurs instituteurs et institutrices que nous sommes heureux de féliciter.

BORANUne médaille d’honneur vient d’ôtre dé-

cernée, par arrêté de M. le Président du Conseil, en date du 17 juillet 1899, A M. Gi- roux (Vincent), cantonnier A Boran.

flïos sincères félicitations.

PO N T -SA IN IE -M A X E N C ELa Fêto Nationale.

La fôte de la République a ôté célébrée APom 8 aV6C i,8aucouP d’0fiihousiasme

Tout a réussi à merveille, et la nouvelle Société musicale surtout, qui s’est révélée aux yeux de tous, une musique de première classe, a contribué à donner à la fôte de la France un éclat inaccoutumé.

Le jeudi, magnifique retraiteaux flambeaux avec les pompiers, la gymnastique et la musique. Celte retraite faite avec ordre a été admirable.

Le vendredi, distribution de secours aux indigents.

A deux heures, à l’Hôtel-de-Ville, lemaire, les conseillers municipaux, tous les fonc­tionnaires sans exception, la brigadedegen- darmerio. les Snr.iAt ^ .i.....1t°aüy

=— Mesdanies.Messicurs;----- =— ~----A van t quo celte to m b e , s i p ré m a tu ré m e n t o u -

Si° ^uferD1° * jnm ais , i»ermeUez-m oi, au

Il y a d eu x jo u r s à peine, il é ta it p le in d e vie e t uo san lé , c l n o u s espérions io co n se rv e r lo n u - tem ps à n o tre afToctiou ; m a is une nouvelle au ss i foud royan te q u 'in a tten d u e , vint je te r la’S i i erniat,0Di d ^ ns ,(i *)a-v s- e l P*ü'»g«r u n e fam ille d an s le p lu s g ran d deuil !r i S Ï Ï n?".s n o ,re Com pagnie d è s l ’ado lescence, u e m e n t P lateaux s e lit re m a rq u e r p a r la do u ceu r e t ta ca ité do sou c a rac tè re , sou resp ec t p o u r lam n r t i ï .T ’ - <|UÜ p a r u " dévouem en t aussi m odeste quo désintéi'ffssé.

tra v a il le u r m fatigablo, reg re tté do ses m a îtres, non époux a u tan t que bon p è re , so uc ieux av an t to u t de,s e s devoirs, voilà c o q u e fut le cam arade q u e n o u s p le u ro n s a u jo u rd 'h u i!

Une v ie si cou rte , in a js si bien rem p lio , res te ran r . i f XWJ,/ ' tOUS,;<\Ut «VOtft V.S-p r tc ie r ses exce llen tes qualités .

Jo ignons-nous do n c à sa veuve e t à ses enfan ts ae “ ± r ' n e s’. i 1011,0 s a E m ilie si 'c ruo llen ien t ép ro u v ée , e t d iso n s-lu i le suprôm o ad ieu !

cam arad e , so is a ssu ré q u e tou souven ir re s te ra to u jo u rs v iv a n t p arm i nous ! A u nom do « w R agD.io. dos s a p eu rs -p o m p ie rs , au nom de

n » . s- e 01 d ? tou te la com m uue , je te d is , uon n ité f u ’ ma,:i a° rev o ir d a n s le ciel p o u r l’é le r-

PONTPOINTPar arrêté de M. le Ministre de l’Agricul-

}lre \ 0n i aAe du <3 j uillet le garde forestier Oléon fGustave), de la maison fo-Î2 S -u t a i s e s , vient de recevoir la mêdaillo d honneur.

Pons nos compliments 4 ce moùoste et brave fonctionnaire.

VERBERIELa petite Brochot, âgée üo 5 ans, lille du

garde cham pêtre, s'amusait dernièrement avec le petit lluillot, dans l'abattoir du pèrede cet enfant, qui est boucher.

donP(! ?el enfant lui lança une bolle de foin qui lui tomba sur los ge- noux. La secousse fit perdre l'équilibre 4 la

tombant181 S° CilSS8 18 Jal8l)8 gauche 00 VERNEUIL

Une médaille d'honneur vient d'être dé­cernée, par arrêté do M. le Président du Conseil, en date du 17 juillot I8D9, 4 M. Du- rand (François), cantonnier 4 Verneuil.. . o s bien sincères félicitations au bravo et

digne cantonuier.

L „ ^ " ^ U,d u 0 ° erand0 affluence. Le per- (•»?r n J i“ ° (;<,,nPiù8n8 avait déposé

perles üoires l»°t°iflque couronne de

es“m é d e Z d8aUXé,aU,' nMC0ll80t;a*0a'-

ESTREES-SAINT-DENISLe prochain marché franc d'EsIrées-Saint-

Donis se tiendra le 2li juillet courant, qua- tnôine mardi du mois.

B o is s o n d ’é té.aux framboises, d 'un goût fort délicat, quo le Gaulois racoïn-

Ibs soirs d été. On prendra, pour douze p e r T sonnes, un qnart do litre do sirop do fram-sm'iR nn" î.v,pg,l.'cm,I eremmes do sirop de su u e , un litre d eau pure, un demi-litre deK h I\ i ô n S i l l e (,ue,!(lues l)e,ils verres de i;.. , j . u,ei lo Jus (1 une orange. Ce mô-

•lange doit être rais à rafraîchir. Au moment' do servir daus les verres, on les remplit A demi de glace piléo, puis on complète avec! ra n r ii e 11 • .a J 0 u 10 dans cl»acun une line tianche de citron couverte de framboisesnn t«rfSQ° sauip0ui rée d0 sucre impalpable.On sert avec des chalumeaux.

Les ib u rs de su reau en sauce.Voici une m anière imprévue d ’utiliser les

Heurs de sureau, dont on connaît toutes lesZ T t !, p ? in td e vuo de ,a P^annacie. H s agit ici d une sauce très appréciée des chasseurs : mettre dans une bouteille le! petites graines blanches des fleurs de sureau de façon a I emplir à moitié, y ajouter des clous de girolle, du thym, du laurier et des petits oignons; remplir onsuite de vinaigre mois!SS0r 10 t0l,t PendaDt trois bons

Au bout de ce temps, vous aurez un déli­cieux assaisonnement dont vous userez

- d0s sauMS “ S'™»» ; quelques gouttes dans un mets lui donneront une sa­veur exquise et délicate. a

musiciens, sauveteurs, .muais us territoriale se réunissaient et prenaient la lêle du cor­tège avec le Maire.

Dans ce cortège se trouvait une brave ma­rinière, titulaire de deux médailles de sau­vetage que M. Berdin a vivoment félicilée.

A deux heures et demie, Io canon tonne on se rend au Champ de Mars, où M. Berdin irononce un discours, interrompu 4 chaque nstent par les applaudissements de la foule

el par le cri de « Vivo la République ».Aussitôt la musique entonne la Uarscil-

laise, et des brnvos éclatent de toutes parts.Les gymnastes exécutent quelques exer­

cices d ensemble, et celle parlie de la fête au Champ de Mars se termine par une course vélocipédique, parfaitement menée, sans fa­tiguer le public.

A trois heures et demie, tout le cortège se rend sur la Place d'Armes, et 14, pompiers

, et gymnastes exécutent d'une façon irrépro­chable, les sapeurs-pompiers, une manocu-

' ciresdd e T r ere K i r a p S . 888188' d8S 8X8f- La musique joue l’Hymne Ilussc et plu­

sieurs morceaux qui ont soulevé, dans Pas- sistance un véritable enthousiasme.

Le soir, grand et magnilique bal cham­pêtre, sur le vaste emplacement du Chamo ue Mars transformé avec ses deux mille

.Nuits’ d“ 8° Ul8Ur 88 Pal8' 8 d8s M‘lla el 000 Toute la population ainsi que les mariniers

ue sa rron s y étaient donne reodez-vous et' H ü 4 .000 ' T re .avancf' e d° 'a nuit on a uahsé au son d un brillant orchestre.

A r r o n d is s e m e n t s v o i s in s .COMPIEGNE

Assaut d’escrime.Le branle donné par le Cercle d'escrime

de Lenlis se conlinue 4 travers le déparlo- ment : après Clermont, après Ueauvais. voici Compiégne qui, à son tour, organisé un assaut.

En effet, la Société de gymnastique, de tir et d escrime la Compifrjnoise, donuera lo dimanche 30 juillet prochain, sous la direc­tion de son professeur, M. Bézy, rnailre d armes au 51% un grand tournoi d’escrime au fleuret A à l’épée.

n a n t e d i l - l e - h a d d o d i nLe 14 juillet dernier, M. le docteur Gre-

T ' X * » a accrochô à la boutonnière, du Snnntal' a ® ,6S palm08 d° P^SljtUtpopulaire de musique.M ® félicité, avec beaucoup d’à-propos, M. Gréiez, sur le zèle qu’il déploie et le dé­vouement dont il fait montre dans l’accom­plissement de sa tâche si délicate et si ourde de directeur de la Société musicale.

Un prix de direction, obtenu dans un con­cours précédent, prouve surabondamment ^ compétence de l'inslituteur-musicien.

Nous lui adressons aussi nos félicitations.

— 151 : GorJiar Pauline, 7 8 an», venve d e la Haye, A B ruebôihe. — 1 9 : Détr«« F é l i x 32 moi», A Bonifiant. F é l,x »

^ P u b l ic a t io n s de M ariages. — 9 : Entra Pilmèa CMe'tin, em ployé de chemin de fer. 4 p*ri« et

I ° profeujoP)

B0IS8Y-FRESN0Ya V10nt d’accepter la démission/ o n '• n l? ? eron des 808 f°ncli°ûs de maire (20 juillet).

B0RE8Tnnl1 n n 1.6 l!‘0UTé ^ Pige011 ^ 8 ^ HlOrt,qui porte les marques suivantes sur l’aile gauche : n°* 37, 4065, 0362, 2065 K.

Une bague en caoutchouc porte le n° 693.

LAGNY-LE-8ECMédailles d ’honneur agricoles.

Par arrêté du ministre de l’agriculture, en date du 17 courant, des médailles d’honneur agricoles ont été accordées à MM. Landru (Jean) et Lionnet (Alfred), ouvriers chezM. Boisseau, à Lagny-le-Sec. ’

No m le u r ad ressons tou tes nos « lic ita tio n » ,

Lo Crédit ly o n n a is .- Aganoe de Pont.Ou nous écrit :

r ï ? :F x ,es V0ndredis, la Succursale du Crédit Lyonnais qui se tient à Pont, prés la place du Marché au Blé, paio la plupart des coupons sans aucune commission, sans au­cun frais. ’

Il serait trop long d'énuméror les valeurs dont les coupons sont payés sans frais ; lentes Françaises, Crédit Foncier, Villes de »»T' 1HaS808l 1889-1890. Emission 1893-

1894, 4 0/0 intériour, 3 0/0 4891-4894. Fonds Egyptiens, Turcs, Chemins de fer dé I Est, Ouest, Lyon, Orléans, Midi, Econo­miques, Béne Guelina, Ouest Algérien, Gaz Parisien, Omnibus, etc. (car il y en a en­core une foule d 'autres)., , b 0 1!;r4d,“ hyonnais se charge égalomont de toutes les négociations de valeurs, à ries prix excessivement bon marché.

Notre petite ville a donc des avantages noUtL * ’ a.US8, ' l 'o a8 les le n d re d iB , lapetite Agence, place du Marché au Blé, ne désemplit pas.. D’après l’avis de tout le monde, un seul jour ®8t à peine suffisant pour les besoins de la cause; il est à souhaiter que l’agent Vienne deux fois par semaine, et bien cer­tainement les communos voisines commo Pontpomt, Fleurines, Sarron, les Ajeux, Saint-Martin-Longueau, Beaurepaire, Bnzi- court, Houdancourt, Sacy-le-Petit, Mon- ceaux, etc., seraient clientes de la succur­sale de Pont-Sainte-Maxeuce.

Les affaires faites A Pont depuis l’instal­lation de 1 Agence du Crédit Lyonnais sont excessivement importantes, et tous les ren- îers, commerçants, et autres, n ’out qu’à so

louer de cette innovation, qui fait faire aux porteurs de coupons une économie aDDrô- ciable.

-Los uioillüuies laines de la région el des salles de Paris y sont invitées.

La musique du 5i® de ligne donnera son concours.

Si nous ajoutons que la réunion doit avoir heu dans la grande salle du théâtre neuf du ChAteau, on comprendra que celle fôte sera très brillante.

La Société se propose de faire un grand nombre d invitations. B

M ort su b ite .Mercredi dernier, M. Tribonrdeaux, con-

trôleur à la gare de Compiègno, après avoir terminé son service rentrait chez lui, à seot heures du matin, rue d'Abbeville, à Margnv en excellente santé. Après s’élre réconforté!I employé se coucha et s'endormit bientôt, tandis que sa femme vaquait aux soins du ménage.

Vers cinq heures, elle entra dans la cham­bre pour aller réveiller son mari qui ne de­vait pas tarder à reprendre son travail à la gare. Tout étonnée de ne pas le voir répondre du Ut app ’ Mm# T,‘ibourd°aux s’approcha

Quelle ne fut pas la stupeur de la malheu­reuse femme en voyant que son mari avait cessé de vivre. En toute hâte, on lit appeler M. le docteur Camus, qui arriva de suite et qui constata que la mort remontait A trois heures environ. L’employé avait succombé une congestion.

Le défunt était âgé do 49 ans. Originaire de Ghauny, il appartenait dopuis longtemps à la Compagnie du Nord et avant do venir A la gare de Compiégne, où il était depuis quatre ans, Tnbourdeaux avait ôté employé à la gare do Tergnier et comptait vingt an­nées de service.

Ses obsèques ont eu lieu hier malin, A dix heures et demie, en l’cglise de Margny,

Loi sur les Accidents de Iraraii.Compagnie d'assurahees 4

primes bxes, garantit les patrons des consé­quences do la Loi et rembourse 4 la fln de chaque année 90 pour cent do l'excèdent des primes 4 ses assurés.

A ssurances m in e s e t spéciales c o u v r a n t c o m p lè te m en t M il. les A g r ic u l te u r s .

S O i M ï ïA G E N T -G É N É R A L

des q u a tr e C om pagnies « l ’A b eille », 1NCEKD1E, GIIÉLL', VIE, ACCIDENTS.

2 5 , R u o d u O l i â t o l . 2 5

Î A k ^^ Arvj j - h S d e S U C C E S Lt ^ 1>f,X (ï-VOaTVsO4."' IIOKDBAUX 18Ü) |k) GQ H COURS, MEMBRE DU JURV r•q i-M'UÜITI ,S< 113 ItOUBM 13'JÛ, IlRUXXI l.E* IR<17 ^^ ALCOOL p -------------- '

^"0 (Lo smil A l non! ilo Monlhe véritab le Z.

.‘r;1 fi P 1 - ^iÇ.VÇ,,un ««qui»J ï } . J : ^ ^ A lo h a t t r dSlïol6U«B, c o lin » In ,"

i ‘r-1 ^ U V t u r j ^Diitre loi In d lg M -'•S Q ù , J.!'q OyH*es>»«H#, C h o id rln a | d la a lp *

n ? u r ' do T 6 ,0 > f E 8 to m » o .<1 e x c e l l e n t e tour la Toliotte ci la OantsA P3*1- - - - '<9 1

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On demande des dépositaires. 77

Le G é ra n t : Biiaquet.Imprim erie administrative et commerciale

do Senlis.

S î - R I E U L

BRASSEUSEObsèques de Clément Plateaux.

Les obsèques du charretier Clément Pla­teaux, môrt lundi dernier dans les circons­tances affreuses que nous avons racontées

précédent numéro, ont eu lieu Adans notre it numéro, ont e ------ pmistiDu, UUIUCIU, UU ___Brasseuse, au milieu d ’une foule «mue.

Au oimofiêre, M. Hasson, maréchal, prononcé le discours sutrant i

::,V;

D É P O S I T A I R E t

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Page 4: Année. IV0 S9. Paraissant le Dimanche et le Jeudi ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_07_23_MRC.pdfParaissant le Dimanche et le Jeudi. a b o n n e m e n t s ï r * S

Avis important.

I

I H l

à-

J l

I

Nous avons l’honneur d’appeler l ’attention de MM. les Industriels et Commerçants du département de l'Oise, sur les avantages qu'offre la publicité dans les colonnes J o u r n a l d e S e n l is .

Nos éditions bi-hebdomadaires et hebdomadaires, répandues partout, s ’adressent à la clientèle l a p lu s p r o d u c t i v e de la région.

La réputation du J o u r n a l d e S e n l i s , dont l'origine remonte à 70 ans, défie toute concurrence pour ceux qui veulent faire de la publicité

Bien que notre tirage soit enl constante progression, nous mainte-1 sons notre ancien tarif : IAnnonces : la ligne Ofr. 20J

r-.-.v,. ^ ^ Faits divers : la ligne 0 6Q

On n'accepte pas d'insertion au- dessous de 1 fr.

Pour les traités de longue durée, dont le texte dépasse 20 lignes, sous consentons à forfait-d'impor­tantes réductions.

Situées terroir de Crouy-bn-Thkllk ; 1L’adjudication aura lieu

le D im a n c h e « A o û t 1 8 0 9à une heure de relevée.

En la Mairie de Crouy-en-Thelle,Par lo ministère de M* Tissbrant,

notaire à Chambly, commis à cet effet.

S"adresser pour les renseignements:1* A M' MORAND, avoué à Senlis,

poursuivant la vente ;2* A M' ESCAVY, avoué à Senlis,

présent à la vente;3* A M* TISSERANT, notaire &

Chambly, dépositaire du cahier des charges.

4’ Et à M* LOMDOIS, notaire à Précy-sur-Oise.

D É P E N D A N C E S Sises terroir et commune de M AR0LLE8

liou dit Queue d’Uam, canton de Betz,

arrondissement de Senlis (Oise). L’adjudication aura lieu le M a r d i

p r e m i e r A o û t heure de midi,

En l’audience des oriées du Tribunal civil de première instance de Senlis, au Palais de Justice, rue de la Ré-

r ilt, et desservi par une halle de chemin de ferj. 82

Etude de Ma Georges MORAND, avoué à Senlis,

rue Saint-Ililaire,' n* 10. • (Successeur de M’ Lbvieux).

publique.S'adresser pour les renseignements

1* A M* MARTIN, avoué à Senlis, poursuivant la vente;

2* A M* LÉPINE, huissier à Betz ; 3’ Et au Greffe du Tribunal civil

«zzJ <*r <a«sScJv- <est déposé, et où chacun peut en prendre connaissance.

BON FONDS DE CHARBONNAGEExcellente* Condltlone.

S’adresser au Bureau du Journal. 83

A r jE J V J D J B Æ B

DEUX BEAUX IT BONS PONEYSSEULS

Aveo ou *an* C harrette anglaleéS’adresser au Bureau du Journal. 72

A n n o n c e » J u d ic i a i r e s ,

Article 1".GREFFE DU TRIBUNAL DE JSENLIS

Retrait de Cautionnement

Par acte fait au Greffe le vingt-neuf mal dernier, Gaston-Ernest-François- Paul C a r il l o n , demeurant à Cham­bly, a déclaré avoir l’intention de re­tirer le cautionnement par lui fourni comme notaire h Chambly.

Ar t . S .

Retrait de Cautionnement

Par acte fait au Greffe lo quatorze juin, Madame veuve L b v ie u x , demeu­rant à Senlis, a déclaré avoir l’inten­tion de retirer, en son nom et en ce­lui de son fils mineur, lo cauiionne- ment fourni par M* Georges L b v ie u x , sos défunt mari, comme avoué à Senlis.

Le Greffier du Tribunal, Georges DETROYE.

Par suite de Uoltatlon,Avec faculté de réunion,

d e : 1*

UNE MAISONSise à SAINT-OUEN (Seine),

Avenue do la Gare, n* 89,Aveo Jard in et Dépendanoee;

2’U N E M A IS O N

Sise à SAINT-OUEN,Avonue do la Gare, n' 45.

L’adjudication aura lieu le M a r d i h u i t A o û t 1 8 9 9 ,

heure de midi,En l’audience des criées du Tribunal

oivilde première instance de Senlis, au Palais-de-Justice, rue République.

S 'adresser p o u r tous rense ignem en ts: V A M- MORAND, avoué à Senlis,

poursuivant la vente ;2* A M* ESCAVY, avoué à Senlis,

présent à, la vente ;3' A M* TISSERANT, notaire

Chambly;4* A M* LOMBOIS, notaire à Précy-

sur-Oise;5* Et au Greffe du Tribunal civil

de Senlis, où lo cahier des charges est déposé.

Etude de M* Louis ESCAVT,-*ss«, avoué â Senl

rue de Villevert, n* ’W (Successeur de M' Démblin).

VENTE SUR LICITATION

UNE MAISONaveo

Circonstances * DépendancesSises à APREMONT, rue du Geai,

ITDeux Pièces de Terre

ses terroir d’APREMONT. L’adjudication aura lieu le’ M a r d i

8 A o û t 1 8 9 9 , heure de midi,

En l’audience des criées du Tribunal civil de Senlis, au Palais de Justice, rue de la République.

Sadresser pour les renseignements l ’A M“ESCAVYet SAINTE-BEUVE,

avoués i Senlis ;2* A M' BALEZEAUX, notaire à

Chantilly.

Art. 3.Messieurs les Actionnaires de la

Société Anonyme de l’Eclairage et du Chauffage par le Gaz de la ville do Montataire sont convoqués en Assem­blée générale ordinaire, le (rente Juillet m il huit cent quatre-vingt- dix-neuf, d deux heures du soir, dans l'une des salles do la Mairie de Montataire.89 Le Conseil d’administration.

Etudes de

/M" George* MORAND,[ licencié en droit,\ avoué à Senlis, rue( S‘-IIilaire, n* 101------ (suo' de M'Levieux);I BALEZEAUX, notaire [ à Chantilly.

Vente par suite de LicitationDE

Premièrement

UN E M A I S O NSise à VINEUIL, *

commune de Saint-Firmic, en la rue qui conduit à Apremont;

Deuxièmement 1*

Une Maison-Carrière2’

Une Maison d’HabitationSises à VINEUIL,

commune de Saint-Firmin, lieu dit le Plau à Vignon, L’adjudication aura lieu

le D im a n c h e 2 3 J u i l l e t 1 8 9 9 ,

d deu* heures de relevée,Eu l’Etude et par le ministère

de M' Ba l é z b a u x , notaire a Chantilly, commis à cet effet.

S’adresser pour les renseignements : 1* A M' MORAND, avoué à Senlis,

poursuivant la vente;2' A M* SAINTE-BEUVE, avoué à

Senlis, présent à la vente;3a A M* A. BALÉZEAUX, notaire

à Chantilly, dépositaire du cahier des charges.

/M" MORAND, licencié on l droit, avoué à Senlis,I rue Saint-llilairo, n*

Etudes de 1 0 .,» w ew e« r de

I TISSERANT, notaire l à Chambly.

c q o 'ï î n aPar BultB'de licitation,

d e : l a

U NE M A I S O NSise à CROUY-EN-THELLE,

en la rue de Morangles;2*

U N E P R O P R I É T ÉSise h CROUY-EN-THELLE,

en la rue du Voisin;

UNE MAISONSise à MORANGLES,

en la rue des Quatre*Vents;4a

U N E M A IS O NSise à PRÉCY-SUR-OISE,

i l'angle do la rue du Château et de la rue de Blaincourt ;

5a18 Pièces de Terre

BOIS & FRICHE D'une contenance totale de 66 a. 63 o.

Situées terroir de P r é c t -s .-O i s e ;G*

2 Pièces de Terre & BoisD'une contenance totale de 9 a. 96 c.,

Situées terroir de B l a in c o u r t ;7*

7* 50e de JardinSitués à V il l e r s - s o u s -S a in t - L b u ,

en la ruodu Château;8 a ET

Trois Pièces de TerreD'une contenance tetaledel5a.49c.,

Etude de Ma SAINTE-BEUVE, avoué à Senlis.

d ’u n i

P I E C E D E T E R R ESise terroir de CREIL,

lieu dit le Bois du Tremblay, L’adjudication aura lieu

le L u n d i t r e n t e e t u n J u i l l e t 1 8 9 9 ,

d deux heures de relevée,En l’Etude et par le ministère

de Ma Dbsabib, notaire à Creil, commis à cet effet.

S'adresser pour les renseignementsy A M* SAINTE-BEUVE, avoué

à Senlis, poursuivant la vente;2* Et à Ma DESABIE, notaire

â Creil, dépositaire du cahier des charges.

Rude de M* Paul DELAPORTE,licencié en droit,

avoué à Senlis, rue de la République, na 22.

Far suite d’acceptation bénéficiaire,Par le ministèro de Ma Co l l a s ,

notaire à Mello,DE LA

N U E -P R O P R IÉ T É d e : 1*

UNE MAISONSise à SAINT-VAAST-les-MELLO,

lieu dit Sous Crécy;2a k t d ’u n e

Créance de 1.099fr95Montant d’une soulte garantie

par une inscription de privilège.L’adjudication aura lieu

le D im a n c h e 2 3 J u i l l e t 1 8 9 9 ,

à deux heures de relevée,En la Mairie de Saint-Vaast-les-Melio. S'adresser pour les renseignements

y A Ma DELAPORTE, avoué Senlis, poursuivant la vente;

2a A M* COLLAS, notaire à Mello, rédacteur et dépositaire du cahier dos charges.

E tu d e de Ma P h il ip p e MARTIN avoué à Senlis (Oise),

ru e do la R épublique, na 20, succosseu r do M" L io n k t et Q u ê t e r .

V E N T E S U R L IC IT A T IO Nd ’u n e

i v i A i î B s o i s rET DÉPENDANCES

Sises à MOUSSY-LE-NEUF, cau toude l)am m artiu (S e iiie -e t-M arne)

eu la ru o de l'O rm et,ET DE

Diîux Jardins VergerSis au te rro ir dud it MOUSSY-LE-NEUF

lieu dit les J a rd in s R ouards,Fin t r o i s L o t s ,

Qui pourront être réunis partielle' ment ou en totalité.

L’ad jud ication a u ra lieu l e D i m a n c h e t r e n t e J u i l l e t

1 8 9 9 , d d e ii* heures de relevée,

E n la s a l l e d e l a M a ir ie d e M o u ssy - le-Neuf,

E t p a r le m in is tè re de M* Fa uvel , n o la ireà l)am m arliu (S e iiie -e t-M arno ),

com m is à ce t effet.S'adresser pour les renseignements

y A M" MARTIN, avoué à Senlis, p ou rsu iv an t la vonto ;

2* A M* MORAND, avoué â Senlis, p ré s e n t à la ven te ;

3a A M* FAUVEL, n o ta ire à Dom - m a r t in . déposita ire d u cah ie r des charges ;

a E t 5 Ma MAGNIER , no ta ire

Etudo do M‘ Philippe MARTIN,avoué à Senlis,

rue de la République, n’ 20, Successeur de Maa L io n e t et Q u ê t e r .

Sur saisie Immobilière, d’uni

MAISON

BUVETTE, BILLARDDans fort canton dé l’arrondissement..

Affaires ; 43.000 fr. \Prix demandé : 12.000 fr.

Ecrire LURCY, au Journal. 64

Etudes de

I ” L ouis ESCAVY, docteur en droit, avoné à Senlis, rue de Villevert, n* 7, succa de Ma Emile Dé m b l in ;

DELAUNAY, notaire à Senlis.

A D J U D I C A T I O NPar suite dé liquidation judiciaire,

A Senlis, en l’Etude et par le ministère de M* delaunax, notaire,

Le MARDI 25 JUILLET 1899, d deux heures de relevée,

d’un

FONDS DE COMMERCEd 'E p i c e r i e ,

D é b i t a n t d e B o is s o n s , Exploité à SENLIS,rue Vieille-de-Paris,

par M. Alfrbd-Bonifage COLLAS, En exécution d’une ordonnancé de

M. Jégou, juge-commissaire à la liquidation, en date du six Juillet mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistrée.

Mise à prix : 25 franos.

S'adresser pour le s renseignements: A SenliB

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S’adresser à M. LAVALLÉE. 27

Par le ministère de M* F é t iz o n , notaire,

H U I T M A I S O N SD E R A P P O R T

Sises A SENLIS.

1* Maison, sise rue de la Tôur- nelle, n* 3;

2* Maison, sise rue Sainte-Gene- viève, n’ 12 (magasin de teinturerie), contiguë à celle qui suit;

3* Maison, sise rue de la Corne-de- Cerf, n* 9, contiguë à la précédente;

4* Maison, sise rue de Meaux, n-47;

6* Maison, sise rue de Meaux n* 53;

n* 13;7* Maison, sise rue du MauUa-SV-

Rieul, n* 6;JV asi#* ^ Jteeik

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« Le tout dépendant de la « succession de Madame Cru- « sellar, décédée à Senlis.

S’adresser : pour visiter, renseigne­ments et demandes d’afflohes; à M* F é t iz o n , notaire à Senlis, déposi­taire du * J — *■-------

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Etude de M* RICHARD, notaire à Pont-Sainte-Maxonoe.

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relai de marine, consistant en bâti­ments d’habitauon et autre; cour, jardin et verger; pouvant servir à l’habitation bourgeoise comme à un établissement industriel, d’une conte­nance de 73 ares,

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dans la Dordogne. — Sagnier. Con­cours de Dijon (2 flg.). — Truelle. Le lavage des fruits à cidre. — Bou­let. Comice agricole de Rouen. — Décorations du Mérite agricole. — Marsais. Société nationale. — Rem y. Revue commerciale. — Boite aux lettres.

A Céder de Suite

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S’adresser à M* F é t iz o n , pour demander les permis de visiter.

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Ecrire au Journal. 30

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A Ma ESCAVY, avoué liquidateur ; AU ' DELAUNAY, notaire;Et à M. COLLAS, propriétaire dudit

fonds de commerce.

ïtude de M* POISSONNIER, notaire à Compiègne.

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S’adresser à Ma POISSONNIER, 'notaire à Compiègne. 85

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LEZEAUX. 71

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REFUS DE DETTESM . D O U M A . N T ( F io r e n t ) t

demeurant à Viueuil, par Chantilly (Oise), prévient le public qu’il n e p a i e r a p a s l e s d e t t e s q u e p o u r r a c o n t r a c t e r M a d a ­m e D O 11 M A N l ', n é e G A U - T 1 E U , son épouse, résidant à Al- louues (K.-el-L.). 81

M . D E l l O U L L E R S , n é ­g o c i a n t e n b e s t i a u x , près de la gare Uazebrouck (Nord), i n f o r m e M e s s i e u r s l e s L a i t i e r s e t F r o m a g e r s q u ’il t i e n t l e u r d i s p o s i t i o n 3 0 0 V a ­c h e s l la m u u d e s , de race pure, do tout premier choix, pour vêler en août, septembre, octobre. Prix tré* a v a n t a g e u x . — G é n i s s e s f la ­m a n d e s s u r c o m m a n d e . 86

Elude de M’ DELAUNAY, notaireà Senlis

(successour do M ' Dr ia r d ) .

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Le Dimanche 93 Juillet 1899, à trois heures,

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Maxence,Le Dimanche 6 Août, à 4 heures.

Toute demande de renseignements sur les annonces et autres faits pu­bliés dans le Journal doit être accom­pagnée d’un timbre-poste de 0 fr. 15 pour qu’il y soit répondu.

Etude de Ma BEAUCHAXPS, notaire à Pont-Samte-Maxence.

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A deux heures,Par le ministère de M* Bb a d o h a m ps ,

notaire à Pont-Sainte-Maxence.

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Par le ministère de Ma Lkmicqub, notaire à Nanteuil-le-Haudouin.

Etude de M* MÉZIÈRE, notaire â Betz.

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notaire â Betz,A deux heures, on la Mairie de

Lévignen, Vente de Récoltes en Blé et Avoine, à faire sur 3 hectares de terre, terroir de Lévignen.

A trois heures, en la demeure de M. Cariié, cultivateur à Lévignen, Vente de Matériel de Culture.

(Voir les aflchtsj.g f r g gSABIE, notaireEtude de Ma DES..____

à CreilJOise).

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Par le ministèro de M* Dbsabib, notaire â Creil,

Le Dimanche 33 Juillet, d 4 heures,

D’UNE MAISONsituée à NOGENT- LES -VIERGES

rue de Bonvillers, na 14,D’UN TERRAIN BATIR

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Terroir de PRËCY,Le Dimanche 33 Juillet, d 9 heures,

Par le ministère de Ma Lkroih, huissier.

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A Senlis, rue des Jardiniers,Le Dimanche s3 Juillet, à 9 heures, Par le ministère de M* Bajuaukb,

commissaire-priseur à Senlis.

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au domicile de M. Th o m a s , receveur buraliste,

Par le ministère de M* L b n o ib , huissier à Senlis,

Le Dimancne 6 Août, A une heure.

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DU h rue, huissier & Pout-S,a-Maxeuce.

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Le Dimanche 30 Juillet, d 4 heures, A MIMBERTIN

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assujettis ou non assujettis à la Loi du 9 Avril 1898.

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