si je vais tout au fond de moi je trouverai le père si je vais tout au fond de moi

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai le Père

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai mes frères

J’ai envie de tout posséder

Et j’utilise mes amis

Mon cœur ne trouve que dégoût.

Père, loin de Toi j’avais fui !

Père, toi Tu m’espère à chaque heure :

Tu ouvres Ton cœur et je pleure.

Tu m’offres de Te chercher.

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai le Père

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai mes frères

J’ai faim de tendresse et d’amour,

Alors je gaspille l’amitié :

Mes bras ne trouvent que le vide.

Père, dis moi où Te trouver !

Père, Tu m’attends sur mon chemin :

Tu ouvres Tes bras, je reviens.

Tu m’offres Ton amour.

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai le Père

Si je vais tout au fond de moi

Je trouverai mes frères

Je marche selon la vision de mes yeux,

Je marche selon ce que dicte mon cœur.

Et je me réjouis des moments du bonheur,

Même s’ils sont moins nombreux que les jours du malheur

Douce est la lumière de ce pain partagé,

Douce est la lumière de ce petit matin,

Douce est la lumière qui vient pour me guider,

Douce est la lumière jusqu'à bout du chemin.

Je prends ce qui vient comme un don merveilleux,

Je prends ce qui vient comme un cadeau de Dieu.

Et je chante la vie, ces rires partagés,

Même s’ils sont moins nombreux que les temps pour pleurer

Douce est la lumière de ce pain partagé,

Douce est la lumière de ce petit matin,

Douce est la lumière qui vient pour me guider,

Douce est la lumière jusqu'à bout du chemin.

Je vis sans besoin, au rythme du soleil,

Je sis sans besoin, rien n’est jamais pareil.

Et je cueille les fruits des jours ensoleillés,

Même s’ils sont moins nombreux que les matins glacés

Douce est la lumière de ce pain partagé,

Douce est la lumière de ce petit matin,

Douce est la lumière qui vient pour me guider,

Douce est la lumière jusqu'à bout du chemin.

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia, Alléluia,

Mon âme exalte le seigneur

Exulte mon Esprit

En Dieu mon sauveur

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia, Alléluia,

Quand Jésus apprit que les Pharisiens avaient entendu dire qu'il faisait plus de disciples et en baptisait plus que Jean, à vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait

pas, mais ses disciples il quitta la Judée et regagna la Galilée. Or il lui fallait traverser la Samarie.

C'est ainsi qu'il parvint dans une ville de Samarie appelée Sychar, non loin de la terre donnée par Jacob à son fils Joseph, là même où se trouve la source de Jacob. Fatigué du chemin, Jésus était assis tout simplement à même la source.

C'était environ la sixième heure.

Arrive une femme de Samarie pour puiser de l'eau. Jésus lui dit : ''Donne-moi à boire.'' Ses disciples, en effet, étaient allés à la ville pour acheter de quoi

manger. Mais cette femme, cette Samaritaine, lui dit : ''Comment ? Toi, un Juif, tu me demandes à boire à moi, une femme samaritaine !'' Les Juifs, en effet, ne veulent rien avoir de commun avec les Samaritains. Jésus lui répondit : ''Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : 'Donne-moi à boire', c'est

toi qui aurais demandé et il t'aurait donné de l'eau vive.'' La femme lui dit : ''Seigneur, tu n'as même pas un seau et le puits est profond ; d'où la tiens-tu

donc cette eau vive ? Serais-tu plus grand, toi, que notre père Jacob qui nous a donné le puits et qui, lui-même, y a bu ainsi que ses fils et ses bêtes ?'' Jésus

lui répondit : ''Quiconque boit de cette eau-ci aura encore soif ; mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif; au contraire, l'eau que

je lui donnerai deviendra en lui une source jaillissant en vie éternelle.'‘ La femme lui dit : ''Seigneur, donne-moi cette eau pour que je n'aie plus soif et que

je n'aie plus à venir puiser ici.''

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia, Alléluia,

Mon âme exalte le seigneur

Exulte mon Esprit

En Dieu mon sauveur

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia,

Alléluia, Alléluia, Alléluia,

Quand Jésus apprit que les Pharisiens avaient entendu dire qu'il faisait plus de disciples et en baptisait plus que Jean, à vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait

pas, mais ses disciples il quitta la Judée et regagna la Galilée. Or il lui fallait traverser la Samarie.

C'est ainsi qu'il parvint dans une ville de Samarie appelée Sychar, non loin de la terre donnée par Jacob à son fils Joseph, là même où se trouve la source de Jacob. Fatigué du chemin, Jésus était assis tout simplement à même la source.

C'était environ la sixième heure.

Arrive une femme de Samarie pour puiser de l'eau. Jésus lui dit : ''Donne-moi à boire.'' Ses disciples, en effet, étaient allés à la ville pour acheter de quoi

manger. Mais cette femme, cette Samaritaine, lui dit : ''Comment ? Toi, un Juif, tu me demandes à boire à moi, une femme samaritaine !'' Les Juifs, en effet, ne veulent rien avoir de commun avec les Samaritains. Jésus lui répondit : ''Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : 'Donne-moi à boire', c'est

toi qui aurais demandé et il t'aurait donné de l'eau vive.'' La femme lui dit : ''Seigneur, tu n'as même pas un seau et le puits est profond ; d'où la tiens-tu

donc cette eau vive ? Serais-tu plus grand, toi, que notre père Jacob qui nous a donné le puits et qui, lui-même, y a bu ainsi que ses fils et ses bêtes ?'' Jésus

lui répondit : ''Quiconque boit de cette eau-ci aura encore soif ; mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif; au contraire, l'eau que

je lui donnerai deviendra en lui une source jaillissant en vie éternelle.'‘ La femme lui dit : ''Seigneur, donne-moi cette eau pour que je n'aie plus soif et que

je n'aie plus à venir puiser ici.''

Dans nos obscurités,

Allume le feu qui ne s’éteint jamais, qui ne s’éteint jamais

NOTRE PERE

Comme un feu comme une lumière

Comme un feu de plus en plus fort

Comme un feu comme une lumière

Fais moi vivre et renaître encore

Alors peut être une parole

Ira plus loin qu’une amitié

Et nous dira en parabole

Ceux qu’on n’a pas voulu aimer

Comme un feu comme une lumière

Comme un feu de plus en plus fort

Comme un feu comme une lumière

Fais moi vivre et renaître encore

Alors naîtra comme un espoir

Comme une empreinte au creux de nous

Flambeau vivant de notre histoire

Le temps certain d’un rendez-vous

Comme un feu comme une lumière

Comme un feu de plus en plus fort

Comme un feu comme une lumière

Fais moi vivre et renaître encore

Toi qui m’offre tant de futur

Pour ma vrai soif et ma vrai faim

Soleil baigné d’une Écriture

D’un cœur du même sang que le mien

Comme un feu comme une lumière

Comme un feu de plus en plus fort

Comme un feu comme une lumière

Fais moi vivre et renaître encore