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Post on 13-Sep-2018
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Le Québec, de routes et de
gravelles*
Carnet de voyage au travers des cultures autochtones
*Dans le langage usuel au Québec, les chemins de gravelle sont les pistes larges et non
bitumées du territoire. Un élément à part entière du paysage qui témoigne d’une vie
économique et sociale active dans le bois sans toutefois que la densité de la population du
Québec soit assez importante pour y envisager l’installation de communautés humaines,
et donc des voiries modernes. Synonyme de France : Chemins de terre
Le Québec, de routes et de gravelles
Un projet d’envergure se définit sur plusieurs lignes, artistique, journalistique,
ethnologique, sociologique. ‘Le Québec, de routes et de gravelles’ est le résultat
concret de recherches liées au Québec, à ses habitants et à leurs interactions.
Qui est Maxime Authier ?
Je suis agent de développement local de formation, français, âgé de
28 ans.
Depuis 11 ans, mes parcours personnel et professionnel m’ont
permis de développer un tissu relationnel privilégié en France, mais
également à l’étranger (apprenants, familles, gens d’affaires,
institutions, célébrités, acteurs politiques, associations etc).
J’ai réalisé environ 200 événements de dynamisme rural et écrit
plusieurs centaines d’articles, toujours en vue de favoriser la rencontre entre les
palettes d’individus qui composent notre société. Ceci au moyen d’activités
reliant les domaines culturel, artistique, artisanal et touristique de mon
département.
Un premier projet est né en 2007, fondé sur la visite de plusieurs pays d’Afrique
Sahélienne, il donna lieu à une exposition ainsi qu’à un livre de photos. Une
expérience qui se voulait descriptive et vectrice de découverte de cultures
d’ailleurs par l’échange.
2011, seconde exposition. L’Aveyron est mis à l’honneur à l’étranger, et plus
particulièrement à New York, où les habitants ont su se nourrir de vieilles pierres
au travers de clichés de nos 10 plus beaux villages réalisés en 3D.
2013 a été pour moi une année charnière, j’ai investi personnellement la totalité
de ma vie à la découverte de la province du Québec. Quelque chose m’attendait
là-bas, mais je ne savais pas quoi… Parti seul, sans connaissances et pour un an,
j’ai choisi de développer ce voyage en portant une attention particulière aux
interactions entre les Premiers Peuples et les sociétés Québécoises d’hier à
demain… (Voir CV Annexe 1 et dossier de presse)
I
PRÉSENTATION
II UN AN DE VOYAGE
III
POURQUOI LES PREMIERS
PEUPLES
V
PLAN D’ACTION
L’exposition Le livre Le jeu
IV
PROBLÉMATIQUE
VI
FAISABILITÉ
Le budget Les dépenses Les recettes
VII COMMUNICATION
VIII
ANIMATIONS
Au Québec : le vécu sur place
Pour une année de voyage, la réflexion devait se tisser autour d’une manière de
vie nomade, de capacités matérielles limitées, d’un profil d’étranger-touriste-
résident et d’une ligne de recherches thématique tout en gardant un lien avec
l’actualité Française.
Une manière de vie nomade
Mon choix de sectionner le voyage par périodes de deux à trois semaines s’est
rapidement mis en application afin d’éviter de trop m’acclimater aux conforts et
donc de m’éloigner de ma ligne de conduite initiale.
Des capacités matérielles limitées
Me conforter dans une vie sédentaire aurait à coup sûr impliqué la recherche
d’un emploi d’un logement et de toutes les charges qu’ils engendrent. Le
matériel dont je disposais se limitait à une valise, son contenu, du matériel de
prise de vue et de son professionnel et d’un ordinateur. Le bagage financier était
d’environ 10 000 euros (env. 15 000 $ CAD) pour l’année. Tous mes choix
devaient se faire en concordance avec ces capacités.
Une curiosité d’étranger-touriste-résident
Je suis étranger résident, je veux découvrir le territoire et ses habitants. L’enjeu
pour moi était d’explorer des bassins de vie, sans toutefois renier mon caractère
de touriste. J’ai alors emprunté cette marche à suivre dans la plupart des régions,
tout en rencontrant leurs acteurs socio-économiques voire en me joignant à leurs
entreprises.
Un lien avec la France
Je n’avais pas le but de vivre une parenthèse à ma vie Française et de me couper
des réseaux personnel et professionnel que je m’étais construits. Tout au long du
voyage, j’écoutais en alternance l’information française et l’information
canadienne, je réalisais un article général sur mon expérience par semaine sur
mon site Internet (Fil d’Aventure), et entretenais un contact direct avec mon
réseau. Dans un même temps, l’occasion d’accéder à une formation, m’a permis
de me tailler une sorte de ceinture de sécurité sur mesure pour l’année de voyage
: ‘Accompagnement de projet en vue de créer une activité économique’. Pôle
emploi et son programme Fonds d’assurance formation du travail temporaire,
m’a permis d’être suivi par M Jean-Luc Marques, ancien directeur de PME tout
au long de l’année dans mes démarches et mes recherches.
« Extra-Ordinaire »
Extra-Ordinaire est le résumé parfait de ce qui allait se dérouler pour moi.
‘Extra’ pour les expériences sur lesquelles j’ai eu le privilège d’acter, ‘Ordinaire’
pour la vie simple, dénuée mais confortable dont j’ai fait preuve.
I
PRÉSENTATION
II UN AN DE VOYAGE
III
POURQUOI LES PREMIERS
PEUPLES
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PLAN D’ACTION
L’exposition Le livre Le jeu
IV
PROBLÉMATIQUE
VI
FAISABILITÉ
Le budget Les dépenses Les recettes
VII COMMUNICATION
VIII
ANIMATIONS
Les récits concrets du voyage
Mon année s’est déroulée en deux grandes phases de 6 mois :
- La découverte
La publication dont voici le visuel retrace les moments forts sous forme
d’articles et d’enquêtes réalisés au fil de mes rencontres.
- Le démarchage
Bien que la seconde partie soit également aventurière, j’ai mis à profit une partie
du temps à la préparation du projet que je rédige ici, à la réflexion des premières
bases mais également aux démarchages professionnels qu’impliquait mon retour
en France.
I
PRÉSENTATION
II
UN AN DE VOYAGE
III
POURQUOI LES PREMIERS
PEUPLES
V
PLAN D’ACTION
L’exposition Le livre Le jeu
IV
PROBLÉMATIQUE
VI
FAISABILITÉ
Le budget Les dépenses Les recettes
VII COMMUNICATION
VIII
ANIMATIONS
Les peuples autochtones : Sur le plan général, pourquoi une telle
démarche ?
Partir un an sur un territoire que l’on ne connait pas, seul et sans connaitre âme.
Une telle démarche s’explique-t-elle ? J’avais simplement l’assurance de vouloir
y aller. Les Premiers Peuples d’Amérique du Nord m’ont toujours intéressé.
Extrait de conversation :
Je voulais te demander
Pourquoi les autochtones dans le fond ? Qu'est-ce que tu recherches ?
Pour résumer, parce que ce sont des cultures qui se sont faites littéralement
détruire, que peu de monde s’en rend compte (…).
Et tu cherches à faire quoi à partir de ton travail ? Comment tu es arrivé à ça depuis la France ? Tu as découvert ces peuples et
tu t’es dit, ok il faut que je fasse quelque chose là-bas...
Dis-moi un maximum de choses et de ressentis, rationnels ou irrationnels.
Je cherche à les évoquer. J'ai découvert ‘Danse avec les loups’ vers 14 ans, puis
j’ai feuilleté des livres, regardé des photos, écouté des musiques, fait des
parures, essayé de comprendre qui ils étaient. Un ami voyageur m'a alors dit
"mais les indiens tu les verras plus comme dans ‘Danse avec les loups’" Choc.
J'en ai plus parlé jusqu'en 2010. Relecture de mes vieux docs, redécouvertes, re-
visualisations et réécoutes... je commence à écrire... découverte petit à petit des
événements jusqu'au présent aux USA, les grands chefs... New York... mon
premier pas sur ce continent de sang.
Pourquoi parle-t-on de l'esclavage noir et pas du "génocide à feu doux" comme
je l'appelle? Pourquoi?
Cher, Costner, Miley Cyrus, Oprah Winfrey, Hendrix etc, qui est-ce qui connait
d'où coule leur sang?
Puis j'ai eu l'occasion d'être ici pour un an... découvrir qui ils sont au Québec,
pourquoi donc on n'en entend pas parler de ceux-là? Ni au Québec, ni en
Europe ! Quel est leur rapport avec les non autochtones? Qui est indien? Qui ne
l'est pas? C'est quoi vivre dans une réserve? Et pourquoi on utilise encore ce
mot-là?
C'est quoi leurs droits? Leurs devoirs? C'est quoi nos devoirs en tant
qu'étrangers qui veulent vivre au Québec, si on pouvait au moins savoir qu'il en
existe...
Et nous, notre rapport avec les gitans ? Les ghettos-banlieues? Puis moi, qu'est-
ce que je peux faire ou éviter de faire sur place? (…) Qu'est-ce que je peux faire,
moi 'artiste' pour que ces deux mondes qui partagent le même territoire puissent
au moins devenir curieux l'un de l'autre. Et les Inuit, c'est qui eux d'abord !
Ensuite, je ferai le voyage aux USA et dans le reste du Canada, le grand
croisillon. Le passé-présent, le terrestre et ce qui dépasse le concret.
Remarque à quel point ils sont présents et absents en même temps.
Je veux les évoquer.
I
PRÉSENTATION
II UN AN DE VOYAGE
III
POURQUOI LES PREMIERS
PEUPLES
V
PLAN D’ACTION
L’exposition Le livre Le jeu
IV
PROBLÉMATIQUE
VI
FAISABILITÉ
Le budget Les dépenses Les recettes
VII COMMUNICATION
VIII
ANIMATIONS
L’entente entre les sociétés d’un même territoire
Depuis mes années d’études, je me suis fait le constat que LA difficulté majeure
qui réside dans le monde entier au travers des cultures est le relationnel humain.
Les convictions, les contextes géopolitiques, l’Histoire, les cultures ancestrales,
le faciès sont autant de paramètres non exhaustifs qui semblent entrer en ligne de
compte lorsqu’on se pose la question du ‘pourquoi’. Pourquoi les relations entre
tel et tel peuple sont si complexes, pourquoi pour un même discours avons-nous
tendance à prêter une oreille différente selon l’aspect de notre interlocuteur.
Pourquoi le Québec se doit de composer avec le caractère cosmopolite de ses
habitants Immigrants, Descendants de la colonisation, ou Autochtones. La tâche
de réconcilier le monde, ou de porter à bout de bras des groupes sociaux vers
l’entente parfaite est clairement impossible, ni dans le ponctuel, ni dans le temps.
De plus, chaque acteur du monde agit en sa mesure, avec les outils qui lui sont
donnés. Ainsi, le personnage politique composera avec un budget, une
conviction de parti, une ligne de conduite personnelle pour répondre à des
besoins de masse ; un artisan quant à lui œuvrera de ses mains pour faciliter la
vie, offrir du confort au point par point ; un travailleur social affinera sa capacité
d’écoute pour cerner le non-verbal, les maux sous-jacents ; un individu lambda
orientera ses lectures et son opinion pour trouver la convergence entre son esprit,
ses actes et ce qu’il souhaiterait faire transparaitre en société. Je me sens citoyen
du monde dans le sens artistique, sociétal ou journalistique. Mon rôle se situe
dans l’interpellation du grand public et dans la création du support qui
l’engagera à exercer sa sensibilité et sa réflexion…
I
PRÉSENTATION
II
UN AN DE VOYAGE
III
POURQUOI LES PREMIERS
PEUPLES
V
PLAN D’ACTION
L’exposition Le livre Le jeu
IV
PROBLÉMATIQUE
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FAISABILITÉ
Le budget Les dépenses Les recettes
VII COMMUNICATION
VIII
ANIMATIONS
Un voyage dont les expériences m’ont conduit à définir le plan d’action et les publics suivants.
Famille Xavier - Mashteuiatsh
Pour qui ?
La réalisation d’un projet visant à développer la curiosité
des gens envers le territoire même du Québec me semble
être une tâche sur laquelle je peux agir. Le Québec et ses
habitants vit une crise identitaire. Il ne sait pas QUI il va
devenir, et pour appréhender cette problématique, il doit se
connaître sur le plan géographique, et sur le plan
historique. Dans un même temps, il me semble intéressant
d’ouvrir la manifeste de ce beau territoire à mes
concitoyens Français désireux d’accéder à une offre culturelle tissée sur une
approche réaliste et poussée d’un territoire pour lequel il est attiré.
Je souhaite ainsi m’adresser :
Aux Français (personnes intéressées par ce territoire, scolarité…)
Aux peuples autochtones,
Aux non-autochtones (Québécois francophones-anglophones)
Aux résidents temporaires (Touristes, Visas prolongés)
Aux nouveaux immigrés (Résidents permanents)
Composantes du projet :
Le Québec, de routes et de gravelles est l’intitulé du plan d’action que je
souhaite mettre en œuvre.
Le Québec, de routes et de gravelles sera composé :
D’une exposition Carnet de voyage et animations
D’un livre de photos + DVD
D’un jeu de société
Chaque distributions seront indépendantes et complémentaires, présentées au
Québec d’une part, en France et dans les pays désireux.
Une exposition scénographiée Carnet de voyage
Dans une salle d’environ 200 m2, je présenterai 25 photos grands formats
(40x60cm), encadrées et accompagnées de leurs photos contextuelles. Des textes
extraits de mon carnet de route écrits sur des écorces de bouleau seront attribués
en complément des photos avec une carte de situation. La salle sera divisée en
plusieurs ambiances : le visiteur devra avoir l’impression d’entrer dans un
nouveau monde à chaque fois, sans toutefois que ne soit dévalorisé le travail
artistique et l’unité générale de l’exposition.
Une salle sera par exemple consacrée à la forêt et à ma rencontre avec les loups
en Abitibi : des branchages aux senteurs seront installés, un ventilateur
matérialisera le vent pour transporter des odeurs, la portion de salle sera enfouie
dans le noir, donnant toute leur valeur aux photos (aurores boréales, photos
nocturnes, soleil levant), un enregistrement long, monté de loups (avec passage
d’outardes, huard et grenouilles) sera diffusé au volume de son d’origine. De
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II UN AN DE VOYAGE
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L’exposition Le livre Le jeu
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Le budget Les dépenses Les recettes
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ANIMATIONS
même, un paysage éphémère (tipi d’écorce, sous-bois, etc) ainsi qu’un canapé
seront installés pour conforter les ambiances.
Tout au long de leur parcours, les visiteurs seront embarqués dans des
sensations. Des objets chers à mon voyage seront disposés : une valise, un ours
en bois, une carte du Québec, des cannes à pêche sur glace, des dents et griffes
en vitrines… Également, mes travaux de recherches seront mis à disposition du
public : un montage filmique sera présenté en boucle dans un espace de
projection et regroupera sous la forme d’un documentaire de quelques minutes,
mes prises de vues filmées, les différentes entrevues et mes commentaires. Les
sens doivent être mis en éveil.
Unicité de la salle nocturne : L’éclairage des œuvres sera particulièrement
étudié pour que chaque photo et son encadrement soient mis en valeur sans
toutefois perdre l’intimité qu’offrira cette partie de l’exposition. Un éclairage
diffus permettra ainsi de donner toute leur importance aux couleurs, et ne
gênera pas les autres présentations. (inspiré du musée Toulouse Lautrec d’Albi)
Plan imagé en page suivante.
Exemple d’aménagement réalisé en fonction des possibilités de la salle
d’exposition du centre culturel de Val d’Or.
Fibre optique
Nuit d’étoiles
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L’exposition Le livre Le jeu
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Dents, griffes,
pièces d’art,
matériel photo
Dents, griffes,
pièces d’art
Séquence lever
du soleil castor,
outardes,
grenouilles,
loups en accord
avec sons expo
Dossiers de
recherches,
jeu, livre, 1
photo relief,
Carte grand
format
Articles sur écorces bouleau
Empreintes
animales
pour indiquer
la direction
Organisation du voyage
Mise en abime Lumière,
paysages
Carnet de route
Carnet de route
I
PRÉSENTATION
II
UN AN DE VOYAGE
Fibre optique
Ciel d’Étoiles
Un livre de photos + DVD
Un livre de photos édité retraçant mon parcours et mes perceptions, sera mis en
vente en accompagnement de l’exposition. Le DVD que le lecteur trouvera à la
fin, sera présenté dans sa version courte sur l’exposition.
Premier tirage prévisible : 300 exemplaires Tarif prévisible : 30 euros
Circuits de ventes :
Édition France-Canada, Librairies, expositions, médiathèques, scolarité, salons
du livre
Suggestion de visuel :
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L’exposition Le livre Le jeu
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Un jeu de société
Le jeu est une composante sociale non négligeable au Québec. Il permet en effet
d’entretenir les liens lors des conditions météorologiques extrêmes. Apprendre
en s’amusant sera la ligne de fondement de cette édition originale que je
souhaite proposer. Le jeu comportera 200 questions de tous niveaux pour
commencer, qui abordent le Québec, et son Histoire au travers des cultures
autochtones. Il s’agit par une telle création, de sensibiliser les publics cités plus
haut à la présence des cultures autochtones jusque dans certaines manières de
vivre des sociétés actuelles. Prenons l’exemple de l’attrapeur de rêve : Il n’est
pas rare d’en trouver un pendu à la fenêtre de tout un chacun, il est esthétique, il
a une signification spirituelle, mais il a aussi son empreinte dans l’Histoire. Au
moyen de cartes à jouer, les équipes auront la chance de découvrir l’attrapeur de
rêves et tout ce qui l’entoure ! D’où vient le Pow wow, Qu’est-ce que La Paix
des braves, Pourquoi chassait-on le lièvre plus particulièrement à l’approche de
l’hiver ? Ce sont autant de questions qui peuvent susciter un intérêt… Un jeu
francophone et anglophone qui s’adressera également aux membres des premiers
peuples eux-mêmes…
Premier tirage prévisible : 300 exemplaires Tarif prévisible : 12 euros
Circuits de ventes : Magasins de jouets, Réseaux touristiques, librairies,
médiathèques, salons, groupements scolaires, expositions, festivals
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Budget prévisionnel
Budget prévisionnel du projet non communiqué sur cette version
2018…
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L’exposition Le livre Le jeu
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Le budget Les dépenses Les recettes
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Communication
La communication sur l’exposition et les publications qui l’accompagnent
débutera à l’annonce de l’inauguration de l’exposition (2016)
La communication portera sur 5 modes principaux :
- La journalistique (TV/Radio/journaux)
- La toile (mailing/capsules vidéos/réseaux sociaux/site internet)
- La presse spécialisée (magasines écrits ou TV photos / voyages /
nature…)
- Les réseaux professionnels (Associations de collaboration
internationale, ministères, partenaires, lieux d’accueil des événements)
- La communication directe : affiche, bouche à oreille
Pour chaque événement, une grille de communication sera respectée selon le
territoire géographique sur lequel il agit et l’importance qui lui sera définie.
Charte de communication : Les structures partenaires et commanditaires seront
citées sur les documents de communication selon le degré de soutien qu’elles
auront apporté au projet. Entente signée au préalable au sujet de l’exposition
et/ou du livre et/ou du jeu.
Dans le cas des soutiens, suite à l’appel public à donation ou mécénat, l’offrant
recevra en échange un exemplaire du livre et/ou du jeu et/ou jouira du droit à
être cité selon la hauteur de la mise qu’il aura adressée au projet. (Entente qui
sera établie lors de l’appel public).
Personnages référents
Un personnage référent sera choisi pour parrainer l’initiative.
Suggéré : Antoine de Maximy,
personnage télévisuel arpentant les
régions du monde.
Son principe de voyage est
de partir seul, en ayant tout à
découvrir du pays où il atterrit, de
ses cultures et de ses habitants. Son
émission conceptuelle « J’irai
dormir chez vous » met en avant
l’être humain et sa relation avec
l’inconnu, dans le sens de l’animateur-explorateur comme dans celui des hôtes
qui décident de l’accueillir, ou non. À l’aide d’un arsenal de caméras miniatures,
il va ainsi jouer de son aspect visible et de ses capacités à rebondir lors de
conversations ou de situations incongrues.
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L’exposition Le livre Le jeu
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Le budget Les dépenses Les recettes
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ANIMATIONS
Les animations annexes
Une exposition telle que je la perçois, implique la présence de l’artiste, et son
échange direct avec le public. Elle se fait systématiquement lors de
l’inauguration de l’exposition, mais elle peut se faire aussi d’autres manières :
Une permanence régulière sur des dates et des tranches horaires définies, des
interventions auprès de groupes.
Pour la majorité de mes expositions, j’ai attaché un soin particulier à rendre
ludique mon travail.
- Ainsi, pour l’exposition « Carnet de voyages en Afrique Sahélienne » un
programme d’animations avait été établi auprès de 1000 apprenants de tous
âges dont environ 500 élèves des écoles primaires. L’exposition itinérante
avait ainsi plus de vie, avec explication directe des objets présentés, des
photos. Une conteuse Africaine professionnelle m’accompagnait et animait
les groupes en secondes parties de chaque séance.
- L’exposition « L’Aveyron en 3D » était présentée d’un point de vue plus
touristique et patrimonial. Celle-ci devait donc interpeler chaque classe
d’âge, d’ici ou d’ailleurs. Ainsi, la technique des photos en relief donnait
une autre dimension à la photo conventionnelle, certes, mais elle impliquait
avant tout un contact entre le commissaire d’exposition et le public. La
distribution préalable de lunettes anaglyphes (rouge et bleu) et leur remise
au commissaire à la fin de la visite, donnaient ainsi une parfaite mesure sur
l’état d’esprit des visiteurs avant et après la vue des photos ! Une excellente
unité de mesure.
Pour Le Québec, de routes et de gravelles, je m’engage à suivre ma démarche
de rencontres et d’échange avec le public, qu’elles soient officielles ou
informelles. Des animations de groupes pourront être possibles selon ma
tarification habituelle. Ces animations sont extérieures au budget prévisionnel.
Les animations pourront être de l’ordre de la visite commentée à l’encadrement
de groupes avec l’implication d’un intervenant extérieur selon le désir du
commanditaire (conteur, musicien, etc), en passant par l’intervention directe
auprès d’étudiants sur les techniques de voyage ou de montage de projets.
Dès 2014, j’ai d’ores et déjà engagé une série de chroniques et d’entrevues à la
radio associative ‘Radio Temps’. Celles-ci me permettent de maintenir une
certaine connaissance de l’actualité et de diverses thématiques chères à mes
travaux de recherches.
Celles-ci sont téléchargeables sur le site www.radiotemps.com. Mais également,
j’animerai deux soirées diaporamas à l’occasion des rencontres photographiques
de Serre et d’Olt le 05 Août à Saint-Saturnin de Lenne et le 11 Août à Saint-
Geniez d’Olt.
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L’exposition Le livre Le jeu
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Le budget Les dépenses Les recettes
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ANIMATIONS
ATTENTION :
Le projet est à sa naissance, il n’y aura donc pas encore de publications à la
vente.
Les animations proposées seront donc les suivantes :
Tarif de l’exposition (15 à 30 photos, un tipi de peaux, un inukshuk, un paysage
reconstitué, des sonorités de fond, une projection de ciel étoilé) :
Un weekend unique : 150 euros hors frais kilométriques*
Une semaine : 200 euros hors frais kilométriques*
Un mois : 300 euros pour un mois (= 10€ par jour / weekend inclus /
frais inclus)
Les animations envisageables en sus :
- Animations et permanences sur l’exposition elle-même : Public de
groupe ou public familial : 300 euros journée hors frais kilométriques*
- Des animations spécifiques de groupes : Après-midi cours photo /
Animation arts plastiques avec les enfants / intervention sur le voyage
auprès d’étudiants / aide à démarches de voyages. Celles-ci sont plus
complètes en présence de l’exposition, mais elle n’est pas indispensable :
150 euros par demi-journée hors frais kilométriques*
- Une conférence diaporama photo-vidéo après-midi ou soirée : 150 euros
hors frais kilométriques*. La conférence-diaporama peut être présentée
avec l’exposition en toile de fond, ou non. La rémunération peut se faire
selon un tarif d’inscription fixé pour le public. Ex : tarification à 5 euros
pour chaque inscription (mini : 30 personnes).
*Après notre entretien téléphonique, nous avons convenu que les frais
kilométriques vous seront offerts.
La venue d’une telle exposition aura un impact certain auprès de tous les âges.
Mon but est de permettre aux familles d’accéder à une offre culturelle de qualité
professionnelle et ludique, au travers de mon voyage.
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